Titre de l'histoire érotique : La veuve joyeuse
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : La veuve joyeuse
- Chéri ? tu ne devineras jamais qui m’a invitée à prendre un café cet après midi
- Qui donc ?
- Clémence
- Clémence ? la veuve joyeuse ?
- Oui, elle m’attendait à la sortie de la boulangerie, elle veut me parler chez elle, pas en pleine rue
- Houlà, ça cache quoi … quel âge a-t-elle ?
- Quarante-cinq, dix de plus que moi
- Elle est encore bien conservée la garce ! j’me la f ‘rais bien
- Amuse-toi à ça et tu ne me vois plus !
- N’empêche que depuis le temps que son mari est décédé elle doit être en manque
- Ça la regarde
- Tu iras ?
- Bien sûr, pour l’instant je vais préparer le déjeuner, j’irais à quatorze heures
Je me demande ce que cache ce mystère, lorsqu’elle me parlait j’avais l’impression qu’elle me déshabillait du regard, je n’ai jamais eu de pensées lesbiennes mais j’avoue que j’étais troublée, je me suis bien gardée d’en faire part à Laurent, s’il avait su que je m’étais passée un gant de toilette et une goutte de parfum sur la chatte avant de partir il aurait certainement pensé que j’avais rendez-vous avec un homme !
- Bonjour Clémence
- Bonjour Lydia, pardonnez ce mystère mais j’avais terriblement envie de vous parler en tête a tète
- Rien de grave j’espère ?
- Non-non-non rassurez-vous ! en même temps c’est très délicat de parler de ça avec une voisine que je ne côtoie pas beaucoup
- Vous savez que vous pouvez tout me confier, je suis très discrète
- C’est pour cela que je vous aie choisie, votre ménage va bien ? aucuns problèmes de couple ?
- Je m’entends à merveille avec Laurent, nous somment amoureux comme au premier jour
- Cela implique sexuellement aussi bien sûr ?
- Totalement, mon mari me surprend toujours avec des jeux nouveaux, pourquoi cette question ?
- Tolèrerait-il que vous ayez une relation intime avec une femme ?
- Houlà … je ne sais pas … qu’attendez-vous de moi Clémence ?
- La solitude me pèse, je suis au bord de la dépression
- Trouvez-vous un homme ?
- Que non ! je veux rester fidèle à la mémoire de mon Michel
- Ça se discute... une verge ou un sextoys, je ne vois pas bien la différence !
- Le sperme !
- Ah, vu sous cet angle …
- Et puis j’ai envie de tester les caresses entre femmes
- Bien … puis-je m’assoir à votre côté Clémence ?
- Oui mais Laurent ?
- Il n’en saura rien, moi aussi je suis tentée par une expérience avec une femme… que portez-vous comme sous-vêtements ?
- Je … je suis confuse, je n’en ai mis aucun…
- Vous n’avez pas de culotte ? chouette ! laissez-moi vérifier, ouvrez vos genoux … encore plus, livrez-vous totalement Clémence
- Comme ça ? tirez sur votre robe, découvrez vos cuisses...
- Lydia... vous me troublez...je vais carrément retirer ma robe mais j’ai honte, je suis … je suis trempée
- Laissez-vous aller en arrière, allongez-vous … quelle belle poitrine que bien des hommes aimeraient téter
- Oooohhh Lydia ….vous êtes coquine, je crois que j’ai fait le bon choix
- Vous avez de belle cuisses... blonde naturelle … toison bien entretenue, taillée par vos soins ?
- Bien sûr, j’y consacre énormément de temps, ça m’excite de m’occuper de cet endroit intime
- Moi aussi j’adore me toucher en cachette de mon mari ! c’est mon jardin secret, et puis je suis à peu près sûre qu’il se branle aussi alors …
- A bon ? j’adorerais voir un homme se masturber
- Ajoutez un autre doigt Lydia... ooooouuuuuuiiiiiiiiiii, c’est bon de sentir des doigts étrangers dans son con… que faites-vous ? vous me léchez ?
- Hummmhuuuummm
- Ooooouuuuuuiiiiiiiiiii, mords moi le clitoris... rrrhhhaaaaaaaaaaaaaaaaa que c’est booooooooooooonnnnnnnnnnn ! tu vas me faire décharger dans ta bouche petite vicieuse
- Huuummmmmmhummmmmmmmmm
- ÇA VIIIIIIIIEEEEEEEENNNNNT !!!!! mon dieu je pisse dans ta bouche !
- Je vais fourrer ma main dans ton ventre espèce de salope !
- Fait-le ! fait-le !!
Sans prendre trop de précautions dans un gargouillis choquant j’arrive à enfoncer ma main jusqu’au poignet, ensuite je tourne, avance, recule, Clémence braille comme une truie, des giclées fusent de cette chatte éclatée, puis subitement elle devient complètement inerte, un sourire béat aux lèvres, je juge nécessaire de retirer lentement ma main trempée de jus visqueux odorant
- Il y a des années que je n’avais pas jouis ainsi, veux-tu que j’honore aussi ta chatte ?
- Non merci ça ira pour aujourd’hui, mais je reste persuadée qu’une bonne bite vous ferait du bien
- Tu es persuasive … parle-moi de ton mari
- Je veux bien mais pas touche ! il est inventif, endurant, a écoute de mon ascension vers la jouissance et le principal : il est bien monté !
- Bien monté comment ?
- Je ne fais pas le tour de son membre, ça donne à peu près ceci …
- Ah quand même ? ça laisse rêveuse… j’ai toujours eu un gros fantasme
- Lequel Clémence ?
- Regarder un couple faire l’amour
- Regarder, avec leur consentement ou épier en cachette ?
- Voir de près une verge écarteler un vagin, une bonne queue comme celle de ton mari par exemple …
- Ça va j’ai compris... mais je ne sais pas si Laurent apprécierait
- Il suffit de lui demander
- Vous savez qu’il vous kiffe ?
- Ah bon ?
- Lorsque je lui ai dit que je venais chez vous prendre un café il m’a dit, en riant, qu’il vous baiserait bien
- En plaisantant seulement ...
- Oooh je suis certaine qu’il le ferait volontiers le salaud
- Ne me met pas de fausse joie en tête, n’oublie pas de lui demander s’il veut bien faire ça devant moi, même seulement se masturber j’en serais enchantée, en ta présence bien sûr
- Vous avez de la suite dans les idées chipie ! promis je lui demande en arrivant, je me sauve
En revenant à la maison à pied je rumine ce que la femme vient de me confier … elle n’aimerait pas qu’un homme décharge dans sa chatte ? mon œil ! pour ma part me faire prendre par Laurent en présence de cette femme ne me déplairais pas, je serais fière qu’il exhibe sa bite avant de m’enfiler sous les yeux ahuris d’une femme en manque… lui en parler n’est pas chose facile …dois-je lui avouer que je l’ai léchée et fistée ?
- Elle cache bien son jeu cette Clémence...
- Ah, pourquoi ? de quoi avez-vous parlé ?
- De cul …
- De cul ? mais encore ?
- Elle voulait avoir une relation sexuelle avec moi
- Tu as accepté j’espère ?
- Ça ne te ferait rien que je lèche une autre femme ?
- Aucunement, du moment que tu me raconte
- Eh bien je te raconte
- NON !! tu l’as fait ?
- Oui, elle avait tout prévu, nue sous sa robe, elle m’a fait des avances sans ambigüité, je me suis allongée entre ses cuisses
- Putain tu me fais bander
- Alors masturbe toi, rappelle moi de te demander autre chose à ce sujet
- Ok, mais continue
- Je l’ai doigtée et léchée, je peux affirmer qu’elle est étroite, mais je lui ai travaillé la moule jusqu'à pouvoir lui enfoncer ma main
- Tu l’as fait ?
- Jusqu’au poignet ! elle pissait partout !
- La vache ! dire que je n’étais pas là pour voir ça !
- Tu pourrais si tu voulais
- Explique-toi ?
- Clémence aimerait voir un couple baiser ou un mec se branler
- J’peux faire les deux !
- Je m’en doutais …c’est ça que je voulais te demander
- C’est ok pour moi et toi ?
- Je ne dis pas non à condition que tu n’essaie pas de la toucher
- Promis, on y va quand ?
- Quel vicieux ce mec, je vais l’appeler dans un moment
- Je peux toucher ta chatte pour me finir ? regarde ma queue comme elle est raide, tu dois être en eau
- Vérifie …
- Moouuuaaaah ! ôte-moi cette culotte inutile, je vais te la fourrer dans le con
- Sur le coin de la table, chéri j’ai trop envie !
- Je vais te ramoner comme jamais
- Elle t’excite cette Clémence hein ?
- Oui je l’avoue … écarte les cuisses salope ! tu as le mille-feuille trempé
- Ooooouuuuuuiiiiiiiiiii baise moi salaud, oui tu la baiseras elle aussi, je veux voir ta queue lui ouvrir la cramouille
- Prend ça salope de chaudasse, han-han-han- han-
- Oui-oui-oui-oui- OOOUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! je jouuuuuuuuiiiiiiiiiiiis
- Moi auuuuussssssssssiiiiiiiii !!!!! aaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhoooooouuuuuuiiiiiiii
Revigorée par ce coït sauvage, je suis bien décidée malgré les réticences de Clémence, fondées ou non, à la faire baiser par mon mari, je me garde bien de lui dire lorsque j’ai pris rendez-vous pour le lendemain … ce sera à quatorze heures à la maison histoire de la déstabiliser
Il est convenu que nous commencerons toutes les deux, elle me rendra le cuni sur notre lit conjugal, Laurent entrera en piste en se masturbant dès que j’aurais jouis sous la langue de Clémence
La veuve est arrivée toute excitée mais aussi stressée, ne pas être chez elle la déstabilise
- Vous êtes nue sous votre robe ?
- OH NON ! je n’oserais jamais me présenter ainsi à ton mari … il est là ?
- Il viendra plus tard, par contre moi je suis à poil sous ma robe de chambre, si vous voulez jouer avec ma chatte je suis prête
- Alors allons-y, tu es certaine qu’il viendra ?
- Mais oui !
- Il fera ce que nous avons dit ?
- Se branler ? bien sûr
- J’ai hâte de voir une telle bite bandée, mon Michel n’avait qu’un vermicelle entre les jambes, pour tout te dire lorsque tu m’as enfilée ta main dans la chatte j’ai fantasmé sur la queue de ton mari
- Tu imaginais que c’est lui qui te baisait ?
- Exactement, tu ne m’en veux pas ?
- Pas le moins du monde, venez plutôt me lécher la figue …
- Tu mouille ma cochonne, je vais t’éclater la vulve
Je suis quasiment certaine que Laurent nous épie depuis le couloir, c’est pour cela que je me suis positionnée dans la bonne direction, pour accélérer les choses j’en rajoute afin qu’il se décide à nous rejoindre, je jouirais réellement plus tard, penchée sur moi Clémence ne voit pas la porte s’ouvrir sur mon mec qui tient fermement sa queue dans une main, il est raide comme une trique , lentement il décalotte et re-calotte son gland où suinte déjà la goutte du plaisir ,il n’a d’yeux que pour la croupe rebondie de la veuve , c’est la lame de parquet qui grince qui alerte Clémence, elle relève la tête et reste subjuguée par cette bite qui semble l’hypnotiser tel un cobra royal
- Lydia ?
- Oui ?
- Ton mari vient d’entrer et …
- Eh bien il se masturbe comme vous le souhaitiez
- Incroyable … mon Michel ne m’a jamais fait cela avec autant d’aplomb
- Elle vous plait ma verge Clémence ? désirez-vous que j’approche ?
- Lydia ? j’aimerais la toucher
- Approche chéri, j’accepte que Clémence te touche la bite
- Et si vous me suciez à deux ?
- Avec joie !
Mon vicieux de mari n’attendait que mon feu vert, face à face nous posons les mains sur la hampe, la femme écarquille les yeux devant ce membre qui sursaute dans sa main, tandis qu’il pose les siennes sur notre dos …même si Clémence est encore habillée je sais qu’il va se débrouiller pour descendre sur la croupe et relever la robe sur ses reins, la femme se redresse juste un instant pour qu’il puisse dégager le tissu coincé, elle frissonne lorsque les doigts écartent l’élastique de la taille pour se faufiler dans la raie et se reconcentre mollement sur la sucette que nous avons entreprise, je n’ai plus envie qu’il lâche sa purée sur nos visages
- Laurent ? tu vas déshabiller Clémence et la baiser devant moi
- Chérie ? tu es sérieuse ?et vous Clémence, êtes-vous d’accord ?
- Arrachez mes vêtements …violez moi, souillez moi de votre semence, je suis votre chienne
- Vas-y chéri fous là à poil ! défonce là, fait là hurler !
En quelques secondes la veuve est aussi nue qu’un ver, il la pousse sans ménagements sur le lit où elle s’arrange pour tomber les cuisses ouvertes, appuyée sur les coudes comme pour assister à la pénétration, il est déjà au plus près de la fourche, le membre imposant posé sur le ventre féminin va au-delà du nombril
- Vous allez me rentrer tout ça ?
- Si je pouvais j’entrerais mes couilles aussi, guide ma bite dans ton trou je vais pousser fort…. Hhhhhhhhaaaaaaaaaoooooouuuuuuiiiiiii
- Oooooooohhhhhhhhhhhhh c’est gros ! ma chatte va bailler après avoir été forcée ainsi
- Ta chatte et ton cul si tu oses l’accepter
- Plus tard, pousse encore, jamais mon vagin n’a été fouillé aussi loin
- Autrement dit je te dépucelle vraiment
- C’est merveilleux, mon ventre est gonflé de ta chair, le moindre mouvement m’arrache des ondes électriques géniales
- Tu vas jouir à te faire péter la connasse
Malgré ma boule au ventre crée par la jalousie, je reconnais que de voir coulisser la verge de mon mec dans la toison mouillées de la veuve est une immense fierté pour moi, elle qui n’a jamais connu qu’une petite bite doit ressentir la même chose que moi, un labourage intense des muqueuses, le vagin étiré à son maximum, le clitoris par effet de proximité vachement sollicité, ses yeux révulsés le prouve, tout ceci se traduit par deux de mes doigts dans mon con liquéfié et deux autres pour rouler un téton érigé
Clémence se raidi, Laurent qui a deviné qu’elle allait exploser se déchaine dans la matrice, j’entends les corps se heurter, soudain elle enlace mon mari qui pèse sur elle sans bouger, son p’tit cul de mec se contracte à chaque giclées envoyées dans le ventre de la femelle en chaleur, elle y répond par des glapissements ridicules qui n’en finissent pas …
- Bon ! ça suffit vous deux ! décollez-vous à présent ! salope de clémence toi qui refusais le foutre d’un mâle tu es après maculer mes draps
- Hein ? quoi ? ah excuse-moi Lydia mais c’était trop bon, jamais mon Michel ne m’a faites autant pisser de la chatte
- Ça suffit la chaudasse, et toi gros vicieux vient satisfaire ma chatoune
- Toute de suite mon amour … à bientôt Clémence ?
- Qui donc ?
- Clémence
- Clémence ? la veuve joyeuse ?
- Oui, elle m’attendait à la sortie de la boulangerie, elle veut me parler chez elle, pas en pleine rue
- Houlà, ça cache quoi … quel âge a-t-elle ?
- Quarante-cinq, dix de plus que moi
- Elle est encore bien conservée la garce ! j’me la f ‘rais bien
- Amuse-toi à ça et tu ne me vois plus !
- N’empêche que depuis le temps que son mari est décédé elle doit être en manque
- Ça la regarde
- Tu iras ?
- Bien sûr, pour l’instant je vais préparer le déjeuner, j’irais à quatorze heures
Je me demande ce que cache ce mystère, lorsqu’elle me parlait j’avais l’impression qu’elle me déshabillait du regard, je n’ai jamais eu de pensées lesbiennes mais j’avoue que j’étais troublée, je me suis bien gardée d’en faire part à Laurent, s’il avait su que je m’étais passée un gant de toilette et une goutte de parfum sur la chatte avant de partir il aurait certainement pensé que j’avais rendez-vous avec un homme !
- Bonjour Clémence
- Bonjour Lydia, pardonnez ce mystère mais j’avais terriblement envie de vous parler en tête a tète
- Rien de grave j’espère ?
- Non-non-non rassurez-vous ! en même temps c’est très délicat de parler de ça avec une voisine que je ne côtoie pas beaucoup
- Vous savez que vous pouvez tout me confier, je suis très discrète
- C’est pour cela que je vous aie choisie, votre ménage va bien ? aucuns problèmes de couple ?
- Je m’entends à merveille avec Laurent, nous somment amoureux comme au premier jour
- Cela implique sexuellement aussi bien sûr ?
- Totalement, mon mari me surprend toujours avec des jeux nouveaux, pourquoi cette question ?
- Tolèrerait-il que vous ayez une relation intime avec une femme ?
- Houlà … je ne sais pas … qu’attendez-vous de moi Clémence ?
- La solitude me pèse, je suis au bord de la dépression
- Trouvez-vous un homme ?
- Que non ! je veux rester fidèle à la mémoire de mon Michel
- Ça se discute... une verge ou un sextoys, je ne vois pas bien la différence !
- Le sperme !
- Ah, vu sous cet angle …
- Et puis j’ai envie de tester les caresses entre femmes
- Bien … puis-je m’assoir à votre côté Clémence ?
- Oui mais Laurent ?
- Il n’en saura rien, moi aussi je suis tentée par une expérience avec une femme… que portez-vous comme sous-vêtements ?
- Je … je suis confuse, je n’en ai mis aucun…
- Vous n’avez pas de culotte ? chouette ! laissez-moi vérifier, ouvrez vos genoux … encore plus, livrez-vous totalement Clémence
- Comme ça ? tirez sur votre robe, découvrez vos cuisses...
- Lydia... vous me troublez...je vais carrément retirer ma robe mais j’ai honte, je suis … je suis trempée
- Laissez-vous aller en arrière, allongez-vous … quelle belle poitrine que bien des hommes aimeraient téter
- Oooohhh Lydia ….vous êtes coquine, je crois que j’ai fait le bon choix
- Vous avez de belle cuisses... blonde naturelle … toison bien entretenue, taillée par vos soins ?
- Bien sûr, j’y consacre énormément de temps, ça m’excite de m’occuper de cet endroit intime
- Moi aussi j’adore me toucher en cachette de mon mari ! c’est mon jardin secret, et puis je suis à peu près sûre qu’il se branle aussi alors …
- A bon ? j’adorerais voir un homme se masturber
- Ajoutez un autre doigt Lydia... ooooouuuuuuiiiiiiiiiii, c’est bon de sentir des doigts étrangers dans son con… que faites-vous ? vous me léchez ?
- Hummmhuuuummm
- Ooooouuuuuuiiiiiiiiiii, mords moi le clitoris... rrrhhhaaaaaaaaaaaaaaaaa que c’est booooooooooooonnnnnnnnnnn ! tu vas me faire décharger dans ta bouche petite vicieuse
- Huuummmmmmhummmmmmmmmm
- ÇA VIIIIIIIIEEEEEEEENNNNNT !!!!! mon dieu je pisse dans ta bouche !
- Je vais fourrer ma main dans ton ventre espèce de salope !
- Fait-le ! fait-le !!
Sans prendre trop de précautions dans un gargouillis choquant j’arrive à enfoncer ma main jusqu’au poignet, ensuite je tourne, avance, recule, Clémence braille comme une truie, des giclées fusent de cette chatte éclatée, puis subitement elle devient complètement inerte, un sourire béat aux lèvres, je juge nécessaire de retirer lentement ma main trempée de jus visqueux odorant
- Il y a des années que je n’avais pas jouis ainsi, veux-tu que j’honore aussi ta chatte ?
- Non merci ça ira pour aujourd’hui, mais je reste persuadée qu’une bonne bite vous ferait du bien
- Tu es persuasive … parle-moi de ton mari
- Je veux bien mais pas touche ! il est inventif, endurant, a écoute de mon ascension vers la jouissance et le principal : il est bien monté !
- Bien monté comment ?
- Je ne fais pas le tour de son membre, ça donne à peu près ceci …
- Ah quand même ? ça laisse rêveuse… j’ai toujours eu un gros fantasme
- Lequel Clémence ?
- Regarder un couple faire l’amour
- Regarder, avec leur consentement ou épier en cachette ?
- Voir de près une verge écarteler un vagin, une bonne queue comme celle de ton mari par exemple …
- Ça va j’ai compris... mais je ne sais pas si Laurent apprécierait
- Il suffit de lui demander
- Vous savez qu’il vous kiffe ?
- Ah bon ?
- Lorsque je lui ai dit que je venais chez vous prendre un café il m’a dit, en riant, qu’il vous baiserait bien
- En plaisantant seulement ...
- Oooh je suis certaine qu’il le ferait volontiers le salaud
- Ne me met pas de fausse joie en tête, n’oublie pas de lui demander s’il veut bien faire ça devant moi, même seulement se masturber j’en serais enchantée, en ta présence bien sûr
- Vous avez de la suite dans les idées chipie ! promis je lui demande en arrivant, je me sauve
En revenant à la maison à pied je rumine ce que la femme vient de me confier … elle n’aimerait pas qu’un homme décharge dans sa chatte ? mon œil ! pour ma part me faire prendre par Laurent en présence de cette femme ne me déplairais pas, je serais fière qu’il exhibe sa bite avant de m’enfiler sous les yeux ahuris d’une femme en manque… lui en parler n’est pas chose facile …dois-je lui avouer que je l’ai léchée et fistée ?
- Elle cache bien son jeu cette Clémence...
- Ah, pourquoi ? de quoi avez-vous parlé ?
- De cul …
- De cul ? mais encore ?
- Elle voulait avoir une relation sexuelle avec moi
- Tu as accepté j’espère ?
- Ça ne te ferait rien que je lèche une autre femme ?
- Aucunement, du moment que tu me raconte
- Eh bien je te raconte
- NON !! tu l’as fait ?
- Oui, elle avait tout prévu, nue sous sa robe, elle m’a fait des avances sans ambigüité, je me suis allongée entre ses cuisses
- Putain tu me fais bander
- Alors masturbe toi, rappelle moi de te demander autre chose à ce sujet
- Ok, mais continue
- Je l’ai doigtée et léchée, je peux affirmer qu’elle est étroite, mais je lui ai travaillé la moule jusqu'à pouvoir lui enfoncer ma main
- Tu l’as fait ?
- Jusqu’au poignet ! elle pissait partout !
- La vache ! dire que je n’étais pas là pour voir ça !
- Tu pourrais si tu voulais
- Explique-toi ?
- Clémence aimerait voir un couple baiser ou un mec se branler
- J’peux faire les deux !
- Je m’en doutais …c’est ça que je voulais te demander
- C’est ok pour moi et toi ?
- Je ne dis pas non à condition que tu n’essaie pas de la toucher
- Promis, on y va quand ?
- Quel vicieux ce mec, je vais l’appeler dans un moment
- Je peux toucher ta chatte pour me finir ? regarde ma queue comme elle est raide, tu dois être en eau
- Vérifie …
- Moouuuaaaah ! ôte-moi cette culotte inutile, je vais te la fourrer dans le con
- Sur le coin de la table, chéri j’ai trop envie !
- Je vais te ramoner comme jamais
- Elle t’excite cette Clémence hein ?
- Oui je l’avoue … écarte les cuisses salope ! tu as le mille-feuille trempé
- Ooooouuuuuuiiiiiiiiiii baise moi salaud, oui tu la baiseras elle aussi, je veux voir ta queue lui ouvrir la cramouille
- Prend ça salope de chaudasse, han-han-han- han-
- Oui-oui-oui-oui- OOOUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! je jouuuuuuuuiiiiiiiiiiiis
- Moi auuuuussssssssssiiiiiiiii !!!!! aaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhoooooouuuuuuiiiiiiii
Revigorée par ce coït sauvage, je suis bien décidée malgré les réticences de Clémence, fondées ou non, à la faire baiser par mon mari, je me garde bien de lui dire lorsque j’ai pris rendez-vous pour le lendemain … ce sera à quatorze heures à la maison histoire de la déstabiliser
Il est convenu que nous commencerons toutes les deux, elle me rendra le cuni sur notre lit conjugal, Laurent entrera en piste en se masturbant dès que j’aurais jouis sous la langue de Clémence
La veuve est arrivée toute excitée mais aussi stressée, ne pas être chez elle la déstabilise
- Vous êtes nue sous votre robe ?
- OH NON ! je n’oserais jamais me présenter ainsi à ton mari … il est là ?
- Il viendra plus tard, par contre moi je suis à poil sous ma robe de chambre, si vous voulez jouer avec ma chatte je suis prête
- Alors allons-y, tu es certaine qu’il viendra ?
- Mais oui !
- Il fera ce que nous avons dit ?
- Se branler ? bien sûr
- J’ai hâte de voir une telle bite bandée, mon Michel n’avait qu’un vermicelle entre les jambes, pour tout te dire lorsque tu m’as enfilée ta main dans la chatte j’ai fantasmé sur la queue de ton mari
- Tu imaginais que c’est lui qui te baisait ?
- Exactement, tu ne m’en veux pas ?
- Pas le moins du monde, venez plutôt me lécher la figue …
- Tu mouille ma cochonne, je vais t’éclater la vulve
Je suis quasiment certaine que Laurent nous épie depuis le couloir, c’est pour cela que je me suis positionnée dans la bonne direction, pour accélérer les choses j’en rajoute afin qu’il se décide à nous rejoindre, je jouirais réellement plus tard, penchée sur moi Clémence ne voit pas la porte s’ouvrir sur mon mec qui tient fermement sa queue dans une main, il est raide comme une trique , lentement il décalotte et re-calotte son gland où suinte déjà la goutte du plaisir ,il n’a d’yeux que pour la croupe rebondie de la veuve , c’est la lame de parquet qui grince qui alerte Clémence, elle relève la tête et reste subjuguée par cette bite qui semble l’hypnotiser tel un cobra royal
- Lydia ?
- Oui ?
- Ton mari vient d’entrer et …
- Eh bien il se masturbe comme vous le souhaitiez
- Incroyable … mon Michel ne m’a jamais fait cela avec autant d’aplomb
- Elle vous plait ma verge Clémence ? désirez-vous que j’approche ?
- Lydia ? j’aimerais la toucher
- Approche chéri, j’accepte que Clémence te touche la bite
- Et si vous me suciez à deux ?
- Avec joie !
Mon vicieux de mari n’attendait que mon feu vert, face à face nous posons les mains sur la hampe, la femme écarquille les yeux devant ce membre qui sursaute dans sa main, tandis qu’il pose les siennes sur notre dos …même si Clémence est encore habillée je sais qu’il va se débrouiller pour descendre sur la croupe et relever la robe sur ses reins, la femme se redresse juste un instant pour qu’il puisse dégager le tissu coincé, elle frissonne lorsque les doigts écartent l’élastique de la taille pour se faufiler dans la raie et se reconcentre mollement sur la sucette que nous avons entreprise, je n’ai plus envie qu’il lâche sa purée sur nos visages
- Laurent ? tu vas déshabiller Clémence et la baiser devant moi
- Chérie ? tu es sérieuse ?et vous Clémence, êtes-vous d’accord ?
- Arrachez mes vêtements …violez moi, souillez moi de votre semence, je suis votre chienne
- Vas-y chéri fous là à poil ! défonce là, fait là hurler !
En quelques secondes la veuve est aussi nue qu’un ver, il la pousse sans ménagements sur le lit où elle s’arrange pour tomber les cuisses ouvertes, appuyée sur les coudes comme pour assister à la pénétration, il est déjà au plus près de la fourche, le membre imposant posé sur le ventre féminin va au-delà du nombril
- Vous allez me rentrer tout ça ?
- Si je pouvais j’entrerais mes couilles aussi, guide ma bite dans ton trou je vais pousser fort…. Hhhhhhhhaaaaaaaaaoooooouuuuuuiiiiiii
- Oooooooohhhhhhhhhhhhh c’est gros ! ma chatte va bailler après avoir été forcée ainsi
- Ta chatte et ton cul si tu oses l’accepter
- Plus tard, pousse encore, jamais mon vagin n’a été fouillé aussi loin
- Autrement dit je te dépucelle vraiment
- C’est merveilleux, mon ventre est gonflé de ta chair, le moindre mouvement m’arrache des ondes électriques géniales
- Tu vas jouir à te faire péter la connasse
Malgré ma boule au ventre crée par la jalousie, je reconnais que de voir coulisser la verge de mon mec dans la toison mouillées de la veuve est une immense fierté pour moi, elle qui n’a jamais connu qu’une petite bite doit ressentir la même chose que moi, un labourage intense des muqueuses, le vagin étiré à son maximum, le clitoris par effet de proximité vachement sollicité, ses yeux révulsés le prouve, tout ceci se traduit par deux de mes doigts dans mon con liquéfié et deux autres pour rouler un téton érigé
Clémence se raidi, Laurent qui a deviné qu’elle allait exploser se déchaine dans la matrice, j’entends les corps se heurter, soudain elle enlace mon mari qui pèse sur elle sans bouger, son p’tit cul de mec se contracte à chaque giclées envoyées dans le ventre de la femelle en chaleur, elle y répond par des glapissements ridicules qui n’en finissent pas …
- Bon ! ça suffit vous deux ! décollez-vous à présent ! salope de clémence toi qui refusais le foutre d’un mâle tu es après maculer mes draps
- Hein ? quoi ? ah excuse-moi Lydia mais c’était trop bon, jamais mon Michel ne m’a faites autant pisser de la chatte
- Ça suffit la chaudasse, et toi gros vicieux vient satisfaire ma chatoune
- Toute de suite mon amour … à bientôt Clémence ?
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