Titre de l'histoire érotique : La visite coquine de Béa - histoire érotique

Béa regarda les numéros sur les immeubles de chaque côté pour s'assurer qu'elle était bien à l'adresse que lui avait indiquée l'agence immobilière. Ses yeux verts protégés de ses lunettes de soleil, elle leva la tête pour observer la façade de la belle maison de ville qui abritait cinq logements. Béa s'était spécialisée dans les opérations immobilières et souhaitait faire l'acquisition de ce bien pour mettre les logements en location. Le quartier cossu dans lequel se trouvait l'immeuble constituait un bon placement. En plus d'être une jolie jeune femme de tout juste quarante ans, aux cheveux châtain clairs et avec de beaux yeux verts, Béa était également une exécutive woman confirmée et épanouie dans son métier. Satisfaite de sa première impression elle sortit le portable de son sac à main et appela son interlocuteur pour lui indiquer sa présence. Béa tourna doucement sur elle même sur ses hauts talons noirs Art, s'imprégnant de l'atmosphère de cette rue et ressentant l'air doux sur ses jambes nues que libérait la jupe légère rayée noir et blanc lui arrivant à mis cuisses. Un haut noir moulant venait parfaire la tenue et mettait en valeur sa jolie poitrine. Quelques instants plus tard la porte s'ouvrit et elle eut l'agréable surprise d'être accueillie par un très bel homme d'une trentaine d'années. L'agent immobilier s'écarta et Béa, relevant ses lunettes sur ses cheveux, pénétra dans le hall.
Les présentations faites, la visite commença. Il y avait pas mal de travaux à réaliser pour pouvoir mettre les logements en location mais le bien possédait incontestablement un fort potentiel qu'estimait facilement Béa. Elle tenta d'ouvrir une fenêtre donnant sur un grand jardin mais elle était coincée. L'homme vint à sa rescousse et saisit la poignée, se collant à elle et Béa put sentir son odeur et son corps musclé contre elle. "Pardon" murmura l'agent immobilier. "Non, il n'y a pas de mal" rétorqua Béa. La fenêtre ouverte, la jeune femme se pencha pour admirer le jardin joliment arboré, faisant par ce geste remonter sa jupe haut sur ses cuisses. En se redressant elle vit dans le reflet de la vitre que l'homme l'observait. Cela provoqua en elle un doux picotement dans le bas du ventre. Béa pratiquait depuis quelques années le libertinage et il leur était arrivé avec son mari Greg de recevoir des hommes à la maison et leur visite s'était souvent terminée en trios endiablés. La situation était nouvelle. Etre seule dans cette maison vide en compagnie de cet inconnu dont le charme ne la laissait pas indifférente l'émoustillait beaucoup. "Non ma fille, ne prends pas tes rêves pour des réalités" pensa t-elle et cela déclencha un très joli sourire sur son doux visage. Ils montèrent au premier étage. L'agent immobilier passa en premier et Béa eut tout le loisir de mater son cul bien galbé qui semblait ferme et musclé. Dans une des pièces la femme s'accroupit pour examiner l'intérieur d'une belle cheminée, offrant à l'homme une vue plongeante sur son décolleté et la naissance de son soutien-gorge en dentelle noire. Posée sur ses talons, elle pivota sur elle-même pour parfaire son examen, ouvrant de ce fait un peu les cuisses. Elle croisa le regard de l'homme qui rougit instantanément tel un petit garçon pris en faute. "La vue vous plaît ?" lui dit elle d'un air mutin. L'homme bredouilla "oui, terriblement" et cette timidité lui fit rebattre toutes ses barrières. Elle était fidèle à son mari et il était hors de question de faire quoi que ce soit sans son aval. Elle décrocha son téléphone pour appeler Greg tout en gagnant la pièce d'à côté puis en marchant en l'arpentant de long en large tel un défilé de mode. La petite conversation avec Greg lui confirma qu'il l'aimait et que sa confiance envers elle était totale. Cela l'excitait même qu'elle puisse s'offrir ce petit extra à condition qu'elle lui raconte tout en détail le soir-même. En revenant dans la pièce elle découvrit que le pauvre homme n'en pouvait plus et elle remarqua la bosse qui déformait l'entrejambe de son pantalon. Avait il entendu leur conversation ? Béa se sentait libérée et elle continua la visite de l'immeuble en compagnie de ce bel homme dont elle allait, elle le savait maintenant, faire son quatre heures. Mais avant elle voulait voir ce que l'homme avait dans son pantalon, au propre comme au figuré. Un nouvel escalier se présenta et elle se fit un malin plaisir à passer devant lui afin qu'il ait une jolie vue sur ses fesses qui ondulaient au rythme des marches. À mi hauteur elle fit mine d'en rater une et, déséquilibrée, l'agent se précipita pour la retenir dans sa chute. Ses bras puissants s'étaient glissés sous ses aisselles et elle sentait ses mains chaudes contre ses seins. "Merci" dit-elle un sourire radieux aux lèvres. Ils entrèrent dans une grande chambre lumineuse avec un balcon donnant sur le jardin. Béa s'appuya dos à la rambarde, se cambrant pour faire ressortir sa poitrine. Elle releva sa jambe droite et la fit glisser contre l'autre, faisant remonter sa jupe et dévoilant sa cuisse. Elle sentait son bas-ventre en feu et l'homme face à elle avait une vue sur ses longues jambes aux cuisses fuselées et sur sa chaînette de cheville dorée brillant au soleil. Elle s'approcha de lui et, ses yeux plantés dans les siens, elle se décida à passer à l'action. Elle déposa un doux baiser au coin de sa bouche. Pour répondre à sa surprise elle lui expliqua alors qu'elle le trouvait à son goût et qu'elle avait envie de faire des coquineries avec lui. Tout en passant ses doigts dans les cheveux de l'agent, Béa lui raconta sa pratique du libertinage et lui confirma que son mari était consentant. L'homme prit le visage de la belle entre ses mains et l'embrassa fougueusement. Leurs langues virevoltaient, s'enroulant et se vrillant dans un ballet charnel. Béa glissa sa main sur le torse puissant de l'agent immobilier puis descendit jusqu'à sa braguette pendant qu'il posait les siennes sur ses seins au travers de son chemisier. Tout en continuant à l'embrasser Béa manœuvra la fermeture et glissa ses doigts vers la queue chaude et déjà tendue de l'agent. Elle s'accroupit sur ses talons, baissa le pantalon de l'homme, libérant et admirant cette queue tendue devant son visage. Béa branla doucement l'homme, prenant tout son temps pour l'exciter tout en le regardant droit dans les yeux. Elle approcha sa bouche et fit glisser sa langue sur toute la longueur de la hampe, allant du gland jusqu'aux bourses velues. Béa entrouvrit la bouche et engloutit délicieusement le membre chaud, centimètre par centimètre. Elle marqua une pause, la jolie queue plantée dans sa bouche puis démarra de lents va-et-vients, mouillant copieusement le membre de sa salive. La fellation dura plusieurs minutes et l'homme sentait qu'il n'allait pas tenir longtemps tant la caresse et la situation étaient délicieuses. Soudain il éclata en de longs jets brûlants, répandant sa semence sur la bouche et le menton de Béa. Elle continua à presser la queue jusqu'à ce que la dernière goutte en sorte puis attrapa un paquet de mouchoirs dans son sac à mains. Elle se débarrassa de tout ce jus puis elle signifia à l'agent immobilier qu'elle devait y aller et l'invita à poursuivre ses recherches pour lui proposer d'autres biens. Dans un rire elle le quitta alors qu'il était un peu désappointé, sa queue toujours hors du pantalon. Béa avait hâte de rentrer à la maison pour raconter sa petite aventure à son mari. Elle se jeta littéralement sur lui, dégagea son membre et le branla pendant quel lui donner tous les détails de sa visite. Ses doigts et le récit coquin eurent raison de Greg qui et j'acculassions dans la bouche de Béa. Elle avala son foutre puis l'embrassa fougueusement, ravie de cette aventure coquine. Ils passèrent le reste de l'après-midi à baiser, Greg conduisant plusieurs fois sa belle vers les sommets délicieux de l'orgasme.
Plusieurs jours s'écoulèrent avant que l'agent immobilier ne recontacte Béa. Il avait fait une sélection de biens à lui proposer et l'invitait à venir à l'agence pendant l'heure de midi. Le beau brun l'accueillit et la complimenta sur sa tenue. Il faisait chaud et Béa portait une légère robe fleurie et colorée, lui arrivant à mi-cuisses retenue aux épaules par de fines bretelles. De ce fait elle ne portait pas de soutien-gorge pour éviter la présence de bretelles disgracieuses. Mais Béa pouvait se le permettre car sa poitrine ferme se maintenait parfaitement. Aux pieds de jolies sandales blanches mettant en valeur son bronzage rehaussé par la chaînette dorée brillant à sa cheville. L'agence était déserte à l'exception du directeur, un bel homme d'une soixantaine d'années aux tempes grises et à la belle prestance. L'agent fit une présentation des biens à Béa qui se penchait sur le bureau, offrant une vue plongeante à l'homme sur ses seins nus et qui n'avait certainement pas oublié la douce fellation. Béa s'amusait de la situation mais elle n'en laissa rien paraître. Seule sa petite culotte de dentelle blanche aurait pu attester qu'elle commençait à mouiller. A un moment il eut besoin de l'avis de son supérieur pour répondre à une question technique de Béa. L'homme se pencha par dessus l'épaule de son adjoint et eut lui aussi droit à une jolie vue sur le décolleté de Béa. Tout était clair et ils allaient pouvoir partir en visite lorsque le directeur lança à brûle-pourpoint à la jeune femme : "j'ai cru comprendre par certaines confidences de mon collaborateur que vous pratiquiez le libertinage ?". Béa, bien que surprise par le côté direct de la question se ressaisit et répondit d'un ton neutre :"oui, je le pratique avec mon mari et nous aimons cela. Pourquoi ?". L'homme mûr lui rétorqua alors sans sourciller, en négociateur expérimenté qu'il était : "Accepteriez vous de faire l'amour avec mon adjoint ici devant moi. Je ne serai que voyeur et je vous propose une belle somme d'argent pour cela". Béa ne put s'empêcher de rougir ce qui déclencha un rire joyeux chez cet homme qui détendît instantanément l'ambiance électrique qui s'était installée et qui laissa le temps à Béa de réfléchir. Après tout, elle adorait faire l'amour et elle avait envie de le faire avec cet homme à qui elle avait taillé cette sublime pipe. Alors si l'autre homme était prêt à payer pour mater, pourquoi pas joindre l'utile à l'agréable. Avec cet argent elle pourrait se payer un joli week-end coquin avec son mari. Elle accepta et l'homme s'installa dans un grand fauteuil face au bureau. Béa s'approcha de l'agent qui avait fait le tour et ils commencèrent à s'embrasser. Béa se retourna et il l'embrassa dans le cou pendant que ses mains firent glisser les bretelles de la robe qui tomba en corolle à ses pieds. L'homme saisit alors les seins de la belle et en pinça les tétons qui commencèrent à durcir. Le directeur observait sans rien dire et cela excita beaucoup Béa qui avait vraiment envie de lui en offrir pour son argent tout en prenant avant tout du plaisir pour elle-même. Le beau brun dans son dos avait dégrafé son pantalon et Béa saisit son membre qu'elle branla tout doucement tout en regardant l'homme assis en face d'elle. Béa se débarrassa de son string et offrit à la vue du voyeur sa vulve totalement lisse. Les doigts de l'agent glissèrent sur sa fente aux grandes lèvres délicates. Ils allaient et venaient en elle et ressortirent trempés de sa mouille. Elle prit la main du beau brun et la porta à ses lèvres pour lécher les doigts maculés du délicieux élixir. Béa continuait à regarder le directeur dans les yeux et lui ordonna de se caresser. Elle constata l'ascendant qu'elle avait pris lorsqu'elle vit l'homme obéir et ouvrir son pantalon pour libérer son sexe en érection. Il n'était pas très long mais assez large. La belle ordonna qu'il se branle et les doigts commencèrent à glisser sur le membre, dégageant le gland qui apparut d'un rose éclatant contrastant avec la peau assez brune du reste du sexe. Béa était très excitée et elle fit s'allonger l'agent sur le bureau. Elle s'aida de la chaise pour le rejoindre et toujours face au directeur, les cuisses bien écartées, accroupie et bien campée sur ses hauts talons elle saisit la queue tendue protégée d'un préservatif qu'elle présenta à l'entrée de son vagin. Elle fit glisser le gland sur toute la longueur de sa fente, l'utilisant pour frapper son clitoris puis s'empala dessus. Lorsque le membre fut totalement en elle, Béa posa ses mains en arrière sur les épaules de son partenaire et commença des va-et-vient sur toute la longueur de la belle tige, la faisant ressortir de son sexe, marquant un temps d'arrêt puis l'engloutissant à nouveau. C'était divin. Se faire baiser par ce bel homme tout en étant matée par ce notable comblait les fantasmes de la belle. Et en plus elle repartait avec une jolie enveloppe garnie ! Elle imaginait toutes les belles séances de sexe qu'elle allait avoir avec son mari lorsqu'elle lui raconterait tout cela en détail. L'agent continuait à la prendre fougueusement pendant que l'homme mûr se masturbait en la regardant et il semblait apprécier l'exhibition qu'elle lui offrait. Elle se dit qu'après tout pour la somme donnée elle pouvait bien lui offrir un petit bonus. Béa était tellement excitée qu'elle avait envie de se sentir totalement remplie. De l'index elle lui fit signe d'approcher. La belle saisit sa large bite et la branla pendant qu'il lui suçait les tétons. Il saisit un préservatif sur le bureau et l'enfila. Béa indiqua à l'agent d'arrêter ses coups de reins et guida le membre du directeur vers sa fente, écartant la fourche de ses lèvres de ses jolis doigts. La queue glissa contre celle de l'autre homme et pénétra doucement la chatte trempée et distendue de Béa. Bientôt les deux hommes coordonnèrent leurs mouvements et se mirent à la prendre en cadence. La jeune femme se sentait complètement remplie par ces deux queues et sensation ressentie était sublime. Les deux hommes accéléraient et amplifiaient leurs mouvements et Béa halerait de plus en plus fort. La jouissance finit par la submerger et ses deux amants continuèrent à la limer quelques instants puis s'arrachèrent d'elle, enlevèrent leur capote et se mirent debout près de la belle en se branlant. Bientôt ils éjaculèrent sur son ventre en inondant ses jolis seins de leur semence épaisse et chaude.