Titre de l'histoire érotique : Le beaufils ...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Le beaufils ...
Depuis que je suis tombé accidentellement sur mon père et sa copine dans une position plutôt délicate sur leur lit porte non fermée, je n’ai plus qu’une seule envie, me retrouver comme mon père, être chevauché par cette créature aux seins lourds, qui n’a que dix ans de plus que moi, c'est-à-dire vingt sept
Sonia n’as pu ignorer ma présence car elle s’est redressée empalée au plus profond de sa chatte par la verge invisible de mon père qui ne pouvait déceler ma présence, elle décrivait de petits cercles d’avant en arrière et aussi sur le coté avec son ventre sur celui de mon père, qui, par le plaisir procuré crispait ses mains sur les cuisses de sa maitresse attitrée
En me voyant passer une main insistante sur ma braguette elle m’a toisé une ou deux secondes qui ont parut une éternité, un air de défit, ses cheveux collés sur son visage par la sueur lui occultant un œil ne la rendait que plus désirable, féline, terriblement sensuelle, je suis allé me masturber car mon sexe était dur au point de me faire mal
Il ne pouvait pas me voir et elle n’as rien fait pour l’alerter de ma présence …par la suite rien dans son comportement ne pouvait laisser deviner que nous étions tacitement complices de ce ‘voyeurisme’, a chaque occasions je n’hésitais plus a frôler sa poitrine ou ses fesses, sur le canapé trois places je m’arrange dorénavant a m’assoir a son côté sachant que mon père est de l’autre coté
Seule lumière ambiante de l’écran de télé irradie le salon, lorsqu’il devient sombre, le dos de ma main caresse sa cuisse brulante protégée par un kimono en soie très fine, mais comment progresser sans éveiller les soupçons ??..... c’est elle qui a trouvé un moyen en se tournant vers mon père pour quémander un baiser en l’enlaçant pour former un écran entre nous, elle pose un genou sur la cuisse de papa ouvrant ainsi un angle ouvert sur son sexe
Mes doigts essaient de s’infiltrer entre ses cuisses décollées au risque de me faire prendre je réussis a gratter la culotte étroite, dommage que la lumière et la position m’empêche de voir la lèvre imberbe que je sens échappée de la dentelle
Elle geint lorsque mon majeur effleure un grain de maïs situé au dessus de sa fente que je croyais trouver poilue, mais elle est aussi lisse que mon genou, mon père croyant que c’est lui qui déclenche cette excitation soudaine l’invite à aller se coucher… pour la baiser sans doute !
- Bonne nuit Nathan, fait de beaux rêves !
Quelle salope ! elle se moque en plus ? mes doigts garde malgré tout un léger parfum de femme, je ne laverais pas les mains tant qu’il subsistera, énervé je me lève pour aller me coucher lorsque j’entends la deuxième chasse d’eau des WC, c’est là que j’aperçois dans la pénombre un bout de chiffon blanc accroché a ma poignée de porte de chambre … Wooouuuah ! c’est un string ! ‘SON’ string et plutôt odorant, mêlé de pisse et de jus intime
En quelques secondes je suis nu allongé a cheval sur mon traversin, comme j’aimerais l’être sur son corps, en guise de visage j’ai la petite culotte parfumée a l’essence de chatte sous le nez, en rampant je décalotte et recalotte lentement ma bite sur le traversin afin de retarder l’éjaculation car ma queue est prête à gicler, hélas l’envie l’emporte sur ma détermination, a la hâte j’enveloppe mon gland dans ce vagin de dentelle, je jouis en poussant un beuglement qui doit s’entendre dans toute la maison, je ne sais comment attraper le string devenu serpillère et surtout où le déposer ? elle m’a envoyé un signal ? je veux qu’elle connaisse la réponse !
Mon père se lève le premier pour aller bosser ? j’accroche moi aussi ce trophée amidonné, qui sent l’amour a vingt mètres, a sa poignée de porte …j’ai surveillé sa sortie, elle a ramassé sa culotte et s’est enfermée dans la salle de bain d’où j’ai cru percevoir des gémissements explicites …mais après sa toilette, rien, aucunes allusions, merde alors !
Deux jours plus tard j’ai bien cru que c’était arrivé …
- Henri chéri ? tu es là ?
- Papa vient de partir chercher des cigarettes
- Oh mince alors... tu peu venir m’aider a fermer ma robe Nathan ? je suis dans ma chambre
- Tout de suite Sonia !
Et là, quelle surprise, Sonia de dos tient tant bien que mal avec ses mains une petite robe noire ouverte si bas que je vois la naissance de sa raie, a mon avis elle ne porte pas de slip et encore moins de soutien-gorge !
- Merci Nathan, je crois que la fermeture est bloquée
- Tu vas où avec cette robe ?
- Tu es indiscret ! figure toi qu’un copain célibataire a ton père nous invite à diner chez lui Alain tu connais ?
- Hoooouuuu ! ça va être chaud !
- Que veux-tu dire ?
- Ben, il a une sacrée réputation de dragueur
- Bon assez parlé, ferme ma robe s’il te plait
Je ne résister a l’envie de plaquer mes mains sur ce dos nu, elle ne repousse pas mon audace ce qui me conforte pour pousser plus loin le bouchon, mes mains partent sous le tissu pour rejoindre la base des seins nus, Sonia se raidit et me laisse empaumer les mamelles ferment sous mes doigts, mon genou repousse son entrejambes qui ne rencontre pas non plus de résistance, ma verge en érection pousse sur sa fesse qu’elle recule sur ma bite, je lâche un sein pour venir entre ses cuisses, au moment ou j’atteins le ‘paradis’ libre de toutes entraves nous entendons la voiture s’arrêter devant la maison… j’ai soudainement une envie de meurtre envers mon père ! juste le temps de remonter la fermeture et me sauver dans ma chambre pour une ixième masturbation, mais une conversation stoppe mon élan …
- Tu es prête chérie ?
- Oui-Oui
- Tu as mis ta robe toute seule ? tu es bien rouge ?
- Nathan m’as aidée …je suis rouge ? c’est certainement le stress
- Ha ? …Heeeuuuuu, tu es bien nue dessous ?
- Comme tu me l’as demandé
- Il va être content Didier, tu lui plais beaucoup
- Tu pense me faire aller jusqu’où ?
- Sois indulgente, il est célibataire et j’ai besoin de ce chantier…
J’le crois pas ? mon père va faire baiser sa copine pour avoir un chantier ? je vais le tuer ce con ! impossible de trouver le sommeil, des images insupportables hantent mon esprit, je vois un gros type se faire sucer une bite énorme avant de s’allonger entre les frêles cuisses de Sonia pour lui fourrer son gourdin immonde dans sa petite chatte, je vois un flot de sperme couler le long de ses cuisses, mon père filme la scène
Vers minuit j’entends une voiture s’arrêter devant la maison et repartir aussitôt …la porte d’entrée s’ouvre, des talons hauts résonnent sur le carrelage… des sanglots ? je me précipite en caleçon de nuit, Sonia titubante est décoiffée, une bretelle est arrachée dévoilant quasiment un sein
- Sonia ? tu es seule ? qu’est-il arrivé ? mon père va bien ? pourquoi pleures-tu ?
- Tout va bien Nathan
- Je vois bien que non !
- PARLE à la fin !
- Je suis écœurée ! j’ai soif
- Viens avec moi je vais nous servir un alcool fort et tu va tout me raconter
- Un alcool c’est exactement ce qu’il me faut, mais pour le reste je ne peux décemment te dire ce qui s’est passé …
Tandis qu’elle marche devant moi je vois une large tache humide au dos de sa mini robe, c’est clair, la copine de papa s’est faite baiser par le gros porc
- Où est mon père Sonia ? comment est tu rentrée ?
- En taxi, Henri et son copain sont partis en night-club, je n’ai pas voulu les suivre
- C’est quoi cette bretelle cassée et la tache sur ta robe ? PARLE QUE DIABLE !!
- Ne te fâche pas Nathan, je vais te dire …dés que je nous somme arrivés chez Didier j’ai compris ce qui allait se passer, il était déjà en robe de chambre, nu dessous car je voyais de temps à autre un long sexe épais balloter entre les pans, il a voulu m’embrasser sur la bouche, ton père a insisté pour que j’accepte sa langue, il a baissé une bretelle avec ses grosses pattes et l’a craquée, puis il a forcé sur ma nuque pour …
- Ça va j’ai compris …
- J’ai ai eu partout, sa queue toute veinée était devenue énorme, ensuite il a passé ses mains entre mes cuisses, ses doigts boudinés élargissaient ma vulve qui malgré moi était humide
- Le porc …
- Puis il m’a penchée sur la table et remonté ma robe sur mes reins, Henri me tenait les mains afin que je ne me débatte pas, j’ai sentis ma chatte déchirée par ce membre
- Il t’a fait mal ?
- … Non… j’ai même pris du plaisir … j’en ai honte …j’ai jouis plusieurs fois il a déchargé deux fois en moi d’où l’inondation et la tache …
- C’est là que tu t’es enfuie ?
- Non … enfin oui car il projetait de me sodomiser, j’ai déjà de la peine à accepter ton père par là alors imagine …
- Pour imaginer j’ai imaginé …
- Tu pensais à moi ?
- Ben oui je me doutais ce qui allait se passer
- C’est bizarre ! tout à coup j’ai eu ton visage sous les yeux et c’est là, que j’ai su
- Su quoi ?
- Que je t’aime Nathan !
- Tu ? tu m’aime ?
- Oui, sinon je ne t’aurais jamais permis ces petits attouchements ! je vais me laver et ensuite...
- NON !
- Tu ne veux pas de moi ?
- Si, mais comme tu es, dans l’état que tu es
- Je me sens sale, avilie, j’en ai entre les seins, dans les cheveux, plein la chatte
- Justement …je veux sentir ton corps et lécher ta chatte
- Wouaaah quel amant tu vas faire !
- Vient dans ma chambre, regarde comme je bande pour toi
- J’avais déjà remarqué
- Bien sûr elle n’est pas aussi grosse que celle qui t’a fouillée le vagin mais elle est performante !
- Combien de fois t’es tu masturbé en pensant à moi ?
- Hoooouuuu, je ne compte plus… et si papa revient plus tôt que prévu ?
- Il aura le choix, ou il accepte un ménage à trois ou nous partons tous les deux
- Tu coucheras avec nous deux ?
- Pas ensemble pour la morale mais je peux passer d’un lit a l’autre rapidement ! aide-moi à ôter ma robe Nathan chéri, elle colle à ma peau
- Étend toi sur le lit j’ai envie de t’embrasser
- Mon haleine risque de sentir le sperme
- Quand je vais bouffer ta chatte j’en aurais jusqu’aux yeux
Entièrement nus tous les deux j’admire son corps exposé sans pudeur au milieu du lit, les bras relevés au dessus de sa tête, les jambes écartées, elle attend ma venue, la bite fièrement dressée je m’agenouille prés de sa tête, je n’ai pas à demander ce dont a quoi j’ai souvent rêvé, elle se tourne pour décalotter mon membre qu’elle gobe délicatement, je me cabre sous cette caresse nouvelle pour moi, mes testicules roulent dans sa paume, il y a même un doigt qui effleure mon anus , impossible de résister a l’envie d’éjaculer qui éclate soudainement, Sonia dégluti a trois reprises, mon gland est devenu très sensible mais sans aucune défaillance
- Tu ne débande pas facilement toi !
- Je vais te faire l’amour toute la nuit, j’ai envie de téter tes seins
- Les voilà, ils sont a toi mais souillés de foutre
- Tout ce qui est sur toi ne peut être que délicieux, et puis je connais le gout du mien,…mmmmmmuuuuummmmm, ton téton est succulent
- Embrasse-moi et doigte ma chatte Nathan
J’obéis, mes doigts s’enfoncent trop facilement entre les lèvres gonflées par le passage de la bite du gros, le magma fait du bruit lorsque je branle le conduit vaginal, le foutre encore présent coule jusqu'à mon poignet, Sonia agite ses cuisses et tend son bassin tellement elle a envie que je la prenne, je délaisse sa bouche pour descendre vers son antre en butinant chaque parcelles souillées, les quelques poils qui ornent son pubis sont amidonnés et très odorant, je décide de m’installer carrément entre ses cuisses pour boire directement a sa source
- Oooooooohhhhh chéri mange moi vite j’ai trop envie de ta queue
- Moi aussi j’ai très envie de te pénétrer, j’aimerais faire comme tu faisais l’autre jour avec papa
- Quand tu nous espionnais ? a cheval sur lui ?
- Oui, je te voyais prendre du plaisir
- C’est vrai la femme peux choisir où va frotter le sexe de l’homme, allonge toi …
- Je vais introduire moi-même ta bite dans mon con
- Je veux la regarder disparaitre dans ton ventre
- Je m’assoirais lentement, regarde avec deux doigts j’ouvre ma fente…
- Elle est rouge dedans ! ça coule encore sur mes poils ….
- A présent je maintiens ta verge en l’air et ….
- Wouuaaaaaah ça fait du biiiiiieeeeeeennnnnnnnn ! c’est brulant
- Je l’enfonce et je la ressort …
- Rhhhhuuuuuuummmmmmmmmm je vais décharger !
- Ferme les yeux ça va passer, a présent je vais onduler sur ta queue, comme je faisais a Henri quand tu regardais
- Hhhhhoooooooooouuuuuuiiiiii serre encore ton vagin sur mon membre !
- Comme ça ??
- Oooooouuuuuuuiiiiiiiiii
- Ça fait dresser ta bite !
- Laisse toi aller dans mon vagin, ensuite tu me prendras en levrette
- Haaaouiii j’aime ça aussi !
- Puttaaaiin je décharge !
- Hhhuuuuummmmm, je te sens couler !, je vais me retourner sans sortir ta queue de mon ventre ensuite tu te mettras à genoux et tu me baise a fond !
- Je peux te demander quelque chose ?
- Hou ! laisse-moi deviner … tu veux mon anus ?
- Oui …
- Il est à toi ! tout mon corps t’appartient
Nos jus se mêlent sur mes burnes, mes poils pubiens sont collés et surtout, la vue que m’offre Sonia ferait bander un impuissant, je n’aurais jamais imaginé qu’une femme a genoux ressemble a un animal, ses recoins les plus intimes sont exposés sans pudeur, sa fente boursouflée par le passage des verges qu’elle a prisent ce soir et son anus défripé a dût être fouillé par les doigts du copain a papa, elle a bien fait de refuser , ce con a préparé le terrain pour moi !
Accroché à ses hanches, je viens de m’enfoncer d’un trait dans sa mangue quand la porte s’ouvre d’un coup
- Hhhhaaaaaaaaa ! je me doutais bien que mon fils avait des vues sur ma copine ! salope ! pouffiasse !
- S’il te plait papa soit poli
- Et toi morveux tu va te barrer de chez moi !
- Henri, désormais Nathan sera mon amant, si cela ne te convient pas je pars avec lui sur le champ
- Ne te fâche pas, nous pouvons discuter ?
- Sonia finit la nuit dans mon lit, elle y viendra autant de fois qu’elle le voudra
- Je te demande pardon de t’avoir mise entre les pattes de cet individu, fait lui bien l’amour Nathan, je vous laisse, a demain !
Sonia n’as pu ignorer ma présence car elle s’est redressée empalée au plus profond de sa chatte par la verge invisible de mon père qui ne pouvait déceler ma présence, elle décrivait de petits cercles d’avant en arrière et aussi sur le coté avec son ventre sur celui de mon père, qui, par le plaisir procuré crispait ses mains sur les cuisses de sa maitresse attitrée
En me voyant passer une main insistante sur ma braguette elle m’a toisé une ou deux secondes qui ont parut une éternité, un air de défit, ses cheveux collés sur son visage par la sueur lui occultant un œil ne la rendait que plus désirable, féline, terriblement sensuelle, je suis allé me masturber car mon sexe était dur au point de me faire mal
Il ne pouvait pas me voir et elle n’as rien fait pour l’alerter de ma présence …par la suite rien dans son comportement ne pouvait laisser deviner que nous étions tacitement complices de ce ‘voyeurisme’, a chaque occasions je n’hésitais plus a frôler sa poitrine ou ses fesses, sur le canapé trois places je m’arrange dorénavant a m’assoir a son côté sachant que mon père est de l’autre coté
Seule lumière ambiante de l’écran de télé irradie le salon, lorsqu’il devient sombre, le dos de ma main caresse sa cuisse brulante protégée par un kimono en soie très fine, mais comment progresser sans éveiller les soupçons ??..... c’est elle qui a trouvé un moyen en se tournant vers mon père pour quémander un baiser en l’enlaçant pour former un écran entre nous, elle pose un genou sur la cuisse de papa ouvrant ainsi un angle ouvert sur son sexe
Mes doigts essaient de s’infiltrer entre ses cuisses décollées au risque de me faire prendre je réussis a gratter la culotte étroite, dommage que la lumière et la position m’empêche de voir la lèvre imberbe que je sens échappée de la dentelle
Elle geint lorsque mon majeur effleure un grain de maïs situé au dessus de sa fente que je croyais trouver poilue, mais elle est aussi lisse que mon genou, mon père croyant que c’est lui qui déclenche cette excitation soudaine l’invite à aller se coucher… pour la baiser sans doute !
- Bonne nuit Nathan, fait de beaux rêves !
Quelle salope ! elle se moque en plus ? mes doigts garde malgré tout un léger parfum de femme, je ne laverais pas les mains tant qu’il subsistera, énervé je me lève pour aller me coucher lorsque j’entends la deuxième chasse d’eau des WC, c’est là que j’aperçois dans la pénombre un bout de chiffon blanc accroché a ma poignée de porte de chambre … Wooouuuah ! c’est un string ! ‘SON’ string et plutôt odorant, mêlé de pisse et de jus intime
En quelques secondes je suis nu allongé a cheval sur mon traversin, comme j’aimerais l’être sur son corps, en guise de visage j’ai la petite culotte parfumée a l’essence de chatte sous le nez, en rampant je décalotte et recalotte lentement ma bite sur le traversin afin de retarder l’éjaculation car ma queue est prête à gicler, hélas l’envie l’emporte sur ma détermination, a la hâte j’enveloppe mon gland dans ce vagin de dentelle, je jouis en poussant un beuglement qui doit s’entendre dans toute la maison, je ne sais comment attraper le string devenu serpillère et surtout où le déposer ? elle m’a envoyé un signal ? je veux qu’elle connaisse la réponse !
Mon père se lève le premier pour aller bosser ? j’accroche moi aussi ce trophée amidonné, qui sent l’amour a vingt mètres, a sa poignée de porte …j’ai surveillé sa sortie, elle a ramassé sa culotte et s’est enfermée dans la salle de bain d’où j’ai cru percevoir des gémissements explicites …mais après sa toilette, rien, aucunes allusions, merde alors !
Deux jours plus tard j’ai bien cru que c’était arrivé …
- Henri chéri ? tu es là ?
- Papa vient de partir chercher des cigarettes
- Oh mince alors... tu peu venir m’aider a fermer ma robe Nathan ? je suis dans ma chambre
- Tout de suite Sonia !
Et là, quelle surprise, Sonia de dos tient tant bien que mal avec ses mains une petite robe noire ouverte si bas que je vois la naissance de sa raie, a mon avis elle ne porte pas de slip et encore moins de soutien-gorge !
- Merci Nathan, je crois que la fermeture est bloquée
- Tu vas où avec cette robe ?
- Tu es indiscret ! figure toi qu’un copain célibataire a ton père nous invite à diner chez lui Alain tu connais ?
- Hoooouuuu ! ça va être chaud !
- Que veux-tu dire ?
- Ben, il a une sacrée réputation de dragueur
- Bon assez parlé, ferme ma robe s’il te plait
Je ne résister a l’envie de plaquer mes mains sur ce dos nu, elle ne repousse pas mon audace ce qui me conforte pour pousser plus loin le bouchon, mes mains partent sous le tissu pour rejoindre la base des seins nus, Sonia se raidit et me laisse empaumer les mamelles ferment sous mes doigts, mon genou repousse son entrejambes qui ne rencontre pas non plus de résistance, ma verge en érection pousse sur sa fesse qu’elle recule sur ma bite, je lâche un sein pour venir entre ses cuisses, au moment ou j’atteins le ‘paradis’ libre de toutes entraves nous entendons la voiture s’arrêter devant la maison… j’ai soudainement une envie de meurtre envers mon père ! juste le temps de remonter la fermeture et me sauver dans ma chambre pour une ixième masturbation, mais une conversation stoppe mon élan …
- Tu es prête chérie ?
- Oui-Oui
- Tu as mis ta robe toute seule ? tu es bien rouge ?
- Nathan m’as aidée …je suis rouge ? c’est certainement le stress
- Ha ? …Heeeuuuuu, tu es bien nue dessous ?
- Comme tu me l’as demandé
- Il va être content Didier, tu lui plais beaucoup
- Tu pense me faire aller jusqu’où ?
- Sois indulgente, il est célibataire et j’ai besoin de ce chantier…
J’le crois pas ? mon père va faire baiser sa copine pour avoir un chantier ? je vais le tuer ce con ! impossible de trouver le sommeil, des images insupportables hantent mon esprit, je vois un gros type se faire sucer une bite énorme avant de s’allonger entre les frêles cuisses de Sonia pour lui fourrer son gourdin immonde dans sa petite chatte, je vois un flot de sperme couler le long de ses cuisses, mon père filme la scène
Vers minuit j’entends une voiture s’arrêter devant la maison et repartir aussitôt …la porte d’entrée s’ouvre, des talons hauts résonnent sur le carrelage… des sanglots ? je me précipite en caleçon de nuit, Sonia titubante est décoiffée, une bretelle est arrachée dévoilant quasiment un sein
- Sonia ? tu es seule ? qu’est-il arrivé ? mon père va bien ? pourquoi pleures-tu ?
- Tout va bien Nathan
- Je vois bien que non !
- PARLE à la fin !
- Je suis écœurée ! j’ai soif
- Viens avec moi je vais nous servir un alcool fort et tu va tout me raconter
- Un alcool c’est exactement ce qu’il me faut, mais pour le reste je ne peux décemment te dire ce qui s’est passé …
Tandis qu’elle marche devant moi je vois une large tache humide au dos de sa mini robe, c’est clair, la copine de papa s’est faite baiser par le gros porc
- Où est mon père Sonia ? comment est tu rentrée ?
- En taxi, Henri et son copain sont partis en night-club, je n’ai pas voulu les suivre
- C’est quoi cette bretelle cassée et la tache sur ta robe ? PARLE QUE DIABLE !!
- Ne te fâche pas Nathan, je vais te dire …dés que je nous somme arrivés chez Didier j’ai compris ce qui allait se passer, il était déjà en robe de chambre, nu dessous car je voyais de temps à autre un long sexe épais balloter entre les pans, il a voulu m’embrasser sur la bouche, ton père a insisté pour que j’accepte sa langue, il a baissé une bretelle avec ses grosses pattes et l’a craquée, puis il a forcé sur ma nuque pour …
- Ça va j’ai compris …
- J’ai ai eu partout, sa queue toute veinée était devenue énorme, ensuite il a passé ses mains entre mes cuisses, ses doigts boudinés élargissaient ma vulve qui malgré moi était humide
- Le porc …
- Puis il m’a penchée sur la table et remonté ma robe sur mes reins, Henri me tenait les mains afin que je ne me débatte pas, j’ai sentis ma chatte déchirée par ce membre
- Il t’a fait mal ?
- … Non… j’ai même pris du plaisir … j’en ai honte …j’ai jouis plusieurs fois il a déchargé deux fois en moi d’où l’inondation et la tache …
- C’est là que tu t’es enfuie ?
- Non … enfin oui car il projetait de me sodomiser, j’ai déjà de la peine à accepter ton père par là alors imagine …
- Pour imaginer j’ai imaginé …
- Tu pensais à moi ?
- Ben oui je me doutais ce qui allait se passer
- C’est bizarre ! tout à coup j’ai eu ton visage sous les yeux et c’est là, que j’ai su
- Su quoi ?
- Que je t’aime Nathan !
- Tu ? tu m’aime ?
- Oui, sinon je ne t’aurais jamais permis ces petits attouchements ! je vais me laver et ensuite...
- NON !
- Tu ne veux pas de moi ?
- Si, mais comme tu es, dans l’état que tu es
- Je me sens sale, avilie, j’en ai entre les seins, dans les cheveux, plein la chatte
- Justement …je veux sentir ton corps et lécher ta chatte
- Wouaaah quel amant tu vas faire !
- Vient dans ma chambre, regarde comme je bande pour toi
- J’avais déjà remarqué
- Bien sûr elle n’est pas aussi grosse que celle qui t’a fouillée le vagin mais elle est performante !
- Combien de fois t’es tu masturbé en pensant à moi ?
- Hoooouuuu, je ne compte plus… et si papa revient plus tôt que prévu ?
- Il aura le choix, ou il accepte un ménage à trois ou nous partons tous les deux
- Tu coucheras avec nous deux ?
- Pas ensemble pour la morale mais je peux passer d’un lit a l’autre rapidement ! aide-moi à ôter ma robe Nathan chéri, elle colle à ma peau
- Étend toi sur le lit j’ai envie de t’embrasser
- Mon haleine risque de sentir le sperme
- Quand je vais bouffer ta chatte j’en aurais jusqu’aux yeux
Entièrement nus tous les deux j’admire son corps exposé sans pudeur au milieu du lit, les bras relevés au dessus de sa tête, les jambes écartées, elle attend ma venue, la bite fièrement dressée je m’agenouille prés de sa tête, je n’ai pas à demander ce dont a quoi j’ai souvent rêvé, elle se tourne pour décalotter mon membre qu’elle gobe délicatement, je me cabre sous cette caresse nouvelle pour moi, mes testicules roulent dans sa paume, il y a même un doigt qui effleure mon anus , impossible de résister a l’envie d’éjaculer qui éclate soudainement, Sonia dégluti a trois reprises, mon gland est devenu très sensible mais sans aucune défaillance
- Tu ne débande pas facilement toi !
- Je vais te faire l’amour toute la nuit, j’ai envie de téter tes seins
- Les voilà, ils sont a toi mais souillés de foutre
- Tout ce qui est sur toi ne peut être que délicieux, et puis je connais le gout du mien,…mmmmmmuuuuummmmm, ton téton est succulent
- Embrasse-moi et doigte ma chatte Nathan
J’obéis, mes doigts s’enfoncent trop facilement entre les lèvres gonflées par le passage de la bite du gros, le magma fait du bruit lorsque je branle le conduit vaginal, le foutre encore présent coule jusqu'à mon poignet, Sonia agite ses cuisses et tend son bassin tellement elle a envie que je la prenne, je délaisse sa bouche pour descendre vers son antre en butinant chaque parcelles souillées, les quelques poils qui ornent son pubis sont amidonnés et très odorant, je décide de m’installer carrément entre ses cuisses pour boire directement a sa source
- Oooooooohhhhh chéri mange moi vite j’ai trop envie de ta queue
- Moi aussi j’ai très envie de te pénétrer, j’aimerais faire comme tu faisais l’autre jour avec papa
- Quand tu nous espionnais ? a cheval sur lui ?
- Oui, je te voyais prendre du plaisir
- C’est vrai la femme peux choisir où va frotter le sexe de l’homme, allonge toi …
- Je vais introduire moi-même ta bite dans mon con
- Je veux la regarder disparaitre dans ton ventre
- Je m’assoirais lentement, regarde avec deux doigts j’ouvre ma fente…
- Elle est rouge dedans ! ça coule encore sur mes poils ….
- A présent je maintiens ta verge en l’air et ….
- Wouuaaaaaah ça fait du biiiiiieeeeeeennnnnnnnn ! c’est brulant
- Je l’enfonce et je la ressort …
- Rhhhhuuuuuuummmmmmmmmm je vais décharger !
- Ferme les yeux ça va passer, a présent je vais onduler sur ta queue, comme je faisais a Henri quand tu regardais
- Hhhhhoooooooooouuuuuuiiiiii serre encore ton vagin sur mon membre !
- Comme ça ??
- Oooooouuuuuuuiiiiiiiiii
- Ça fait dresser ta bite !
- Laisse toi aller dans mon vagin, ensuite tu me prendras en levrette
- Haaaouiii j’aime ça aussi !
- Puttaaaiin je décharge !
- Hhhuuuuummmmm, je te sens couler !, je vais me retourner sans sortir ta queue de mon ventre ensuite tu te mettras à genoux et tu me baise a fond !
- Je peux te demander quelque chose ?
- Hou ! laisse-moi deviner … tu veux mon anus ?
- Oui …
- Il est à toi ! tout mon corps t’appartient
Nos jus se mêlent sur mes burnes, mes poils pubiens sont collés et surtout, la vue que m’offre Sonia ferait bander un impuissant, je n’aurais jamais imaginé qu’une femme a genoux ressemble a un animal, ses recoins les plus intimes sont exposés sans pudeur, sa fente boursouflée par le passage des verges qu’elle a prisent ce soir et son anus défripé a dût être fouillé par les doigts du copain a papa, elle a bien fait de refuser , ce con a préparé le terrain pour moi !
Accroché à ses hanches, je viens de m’enfoncer d’un trait dans sa mangue quand la porte s’ouvre d’un coup
- Hhhhaaaaaaaaa ! je me doutais bien que mon fils avait des vues sur ma copine ! salope ! pouffiasse !
- S’il te plait papa soit poli
- Et toi morveux tu va te barrer de chez moi !
- Henri, désormais Nathan sera mon amant, si cela ne te convient pas je pars avec lui sur le champ
- Ne te fâche pas, nous pouvons discuter ?
- Sonia finit la nuit dans mon lit, elle y viendra autant de fois qu’elle le voudra
- Je te demande pardon de t’avoir mise entre les pattes de cet individu, fait lui bien l’amour Nathan, je vous laisse, a demain !
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Les avis des lecteurs
pas mal, mais on voit trop l'arrivée
Woaw !