Titre de l'histoire érotique : le casino
Récit érotique écrit par Jfcorto [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : le casino
Le casino.
L'homme était assis au casino, jouant à la roulette. Il remarqua à ses côtés une très belle blonde, très classe qui semblait jouer mécaniquement. Son visage à la Grace Kelly, d’une beauté très pure, auréolé de cheveux blonds, se tendait au fur et à mesure de ses pertes. Très élégante sa robe bustier de jersey verte, tendue par une poitrine qui semblait généreuse, dénudait ses épaules délicates. Si il ne se privait pas de la détailler à la dérobée, Sophie, elle, ne lui avait pas accordé encore un regard, et semblait perdu dans ses pensées.
En voyage d'affaires avec son mari, elle était descendue au casino de l'hôtel par désoeuvrement, ce dernier l'ayant abandonné une fois de plus pour sortir avec ses clients. Elle l’avait rencontré alors qu'elle était étudiante et avait été séduite par cet homme plus mûr, riche banquier d'affaires, qui la changeait de ses petits amis occasionnels, étudiants comme elle, mais qu'elle trouvait souvent gamins dans leur attitude. Elle avait cédé à ses avances après un mois de cour assidue. Issue d'un milieu bourgeois assez coincé elle avait accepté sa demande de mariage au bout d'un autre mois, arrêtant ses études, plus pour quitter le domicile familial qui l'étouffait, que par vraie passion. Mais elle s'était vite rendue compte au bout de quelques mois que seules les affaires intéressaient vraiment son mari, qu’il l'avait épousée comme on s'offre une belle voiture et que sa beauté était surtout pour lui un symbole de réussite qui lui permettait de parader à son bras. Il ne la touchait quasiment plus, croyant compenser ce manque d'affection en la couvrant de cadeaux. Mais, à peine 28 ans, elle avait déjà l'impression de s'étioler comme une fleur fanée.
Quand elle perdit son dernier jeton, elle se mordit la lèvre, hypnotisée par la roulette qui continuait de tourner, mais restait assise, se tordant nerveusement les mains. Ce n'était pas la perte d'argent qui la faisait hésiter à se lever mais plutôt la perspective de retrouver la solitude de sa chambre.
Se méprenant sur son attitude, son voisin tenta sa chance et poussa une pile de jetons vers elle.
- Je vous les prête, dit-il avec son sourire le plus charmeur
Au regard de l'homme qui louchait dans son décolleté, et à la cuisse qui frôlait la sienne, Sophie ne fut pas dupe de sa générosité. Outré qu'il puisse penser qu'elle se laisserait acheter, elle lui jeta un regard noir et refusa sèchement. Mais il insistait.
- Vraiment, c'est avec plaisir, je vous assure.
Elle l’observa plus attentivement. De type libanais, la quarantaine, très brun, il avait un charme oriental indéniable qui n'était pas déplaisant. Inconsciemment, elle est flattée de l'attention qui lui prêtait. Après tout cela pouvait être amusant de lui laisser croire qu'elle rentrait dans son jeu, et au moins cela l'occuperait et lui changerait les idées. Elle arrêterait dès que cela irait trop loin.
Elle finit donc par accepter, mimant un sourire contrit, les yeux baissés, parfaite incarnation de la femme gênée d’accepter. Elle perdit l’argent très vite et il poussa une autre pile :
- Ne vous inquiétez pas, la chance va finir par tourner, lui glissa-t-il un au creux de l'oreille, se penchant vers elle, coulant son regard au creux du sillon dévoilé de ses seins jusqu’au à l’attache centrale d’un soutien gorge de dentelle blanche, en profitant pour lui poser la main au-dessus du genou, sous la table.
Cela restait assez sage et de nouveau elle accepta les jetons. Mais la série noire continuait et chaque fois qu'il poussait une nouvelle pile, il remontait sa main d'un cran sur sa cuisse. Il découvrit bientôt sous sa paume le relief du haut de son bas et l’attache d’une jarretelle à travers le jersey, l'excitant terriblement. Malgré elle Sophie commençait à être troublé et le laissa faire.
Devant son manque de réaction, il poussa son avantage et suivit la jarretelle jusqu'à sentir du bout des doigts le relief de la dentelle de sa culotte sous laquelle elle se glissait. Il voulut descendre entre ses cuisses mais elle serra instinctivement les jambes pour l'empêcher d'aller plus loin. Il poussa alors une pile de jetons plus grosse, avec un sourire ambigu.
Sophie hésitait à continuer ce jeu pervers. Elle trouvait déjà incroyable qu’il lui ait balancé plus de 1000 € uniquement pour pouvoir lui peloter les jambes. Mais la chaleur de la paume masculine au creux de ses cuisses ne la laissait pas indifférente et de toute façon, même si elle était cachée par la table, sa position assise l’empêcherait d'aller bien loin. Elle finit par accepter les jetons, desserrant imperceptiblement les jambes mais suffisamment malgré tout pour que les doigts puissent suivre le galbe intérieur de ses cuisses. Le tranchant de la main plaqué contre son mont de Vénus, il palpa la discrète épaisseur de sa toison sous les tissus, la faisant frémir malgré elle. Elle mit un peu plus de temps à perdre et l'homme en profitait pour discrètement caresser également son ventre, ses hanches et le haut de ses fesses, appréciant les contours du V de sa culotte et de son porte-jarretelles, la troublant beaucoup plus qu'elle n'aurait imaginée.
Affolé par ce qu’elle lui avait déjà permis de découvrir, il ne pouvait pousser plus loin son avantage, gêné par la chaise. Aussi lui proposa t-il d'aller boire un verre au bar pour faire tourner la chance. Cela ne l’engageait en rien et elle se leva pour le suivre. Mais sur le chemin, il la prit par la main et l’entraîna vers le hall.
- Venez, Nous serons plus au calme dans ma chambre.
Sophie fut surprise par cette attaque pour le moins directe. Une voix intérieure lui disait de refuser et de s'en aller. Accepter son invitation risquait de l'engager à aller plus loin que quelques attouchements à travers sa robe. D'un autre côté les caresses de l'homme avaient fait naître une douce chaleur au creux de son ventre qui appelait d’autres caresses. Et laisser croire à cet homme qu'il dirigeait le jeu lui donnait une sensation de pouvoir qu'elle n’avait jamais connu. Délaissée par son mari, se soumettre à un autre homme pour un argent dont elle n’avait nul besoin lui paraissait être une douce vengeance. Aussi murmura-t-elle
- Euh, bien, je vous suis.
Dans le couloir, il en profita pour admirer sa silhouette. Sa robe s'arrêtait au-dessus des genoux, dévoilait le galbe parfait de ses mollets rehaussés par ses chaussures à talons. Le souple balancement de ces hanches plaquait le tissu soyeux sur sa croupe qui semblait prometteuse, marquant discrètement le contour de sa culotte assez étroite. Il n’en revenait pas de voir cette superbe femme le suivre si docilement et d'imaginer pouvoir la posséder peut-être dans peu de temps le rendait fébrile et il a eut du mal à ouvrir la porte.
Une fois dans l'intimité de la chambre, Sophie eut un temps d'hésitation. Le sentant, il la fixa les yeux brillants et sortant 2 plaques de 1000 €, lui dit abruptement :
- 2000 € si tu enlèves juste ta robe.
Sophie rougit et hésita, partagée entre le désir de s'enfuir et l’appel de ses sens qui ne demandaient qu’à être écoutés, et comme hypnotisée par les plaques qu'il faisait tourner entre ses doigts, symbole du désir qu'elle provoquait chez lui. Se méprenant à nouveau sur son hésitation, il rajouta d’un ton dur
- allez, dépêche toi, tu sais pourquoi tu es la.
La dureté du ton l'électrisa, l’excita inconsciemment et elle savait qu’elle aurait du mal à jouer les effarouchées après l’avoir suivie dans sa chambre. Se soumettant à ses désirs, elle glissa le zip de sa robe qui tombe à ses pieds. Peu d’hommes l’ayant vue nue, dans un dernier geste de pudeur elle croisa un bras sur sa poitrine et glissa une main contre sa culotte pour tenter de cacher maladroitement sa belle lingerie de dentelle. Mais voulant profiter de ce magnifique corps offert il lui écarta les bras. Elle rougit encore plus, baissa les yeux et détourna la tête mais se laissa admirer.
Son balconnet sans bretelles contenait mal les rondeurs et dévoilait largement les flancs de sa belle poitrine dont les auréoles transparaissaient sous la dentelle. Le regard de l'homme descendit sur son ventre plat jusqu'au porte-jarretelles de soie blanche, tenant ses bas couleur chair et encadrant sa culotte de dentelle blanche. Cette dernière, très échancrée, moulait le renflement de son pubis et laissait deviner les mèches diaphanes de sa toison blonde. Il la fit tourner pour admirer ses fesses rondes et pleines, à demi dénudées par le V étroit de sa culotte bien tendue, dévoilant en transparence le sillon profond de sa croupe.
Très excité par la vision de ses formes ainsi mises en valeur, il se retenait de ne pas lui sauter dessus pour ne pas la bloquer par trop de hâte. Prenant une plaque de 500 € il la fit glisser le long de son cou jusqu'au sillon profond de ses seins, la faisant frissonner. Il la coula dans son soutien-gorge jusqu'aux pointes qui durcirent au contact du plastique froid, en profitant pour palper les globes pleins et fermes. Haletante, toujours soumise, Sophie le laissa glisser la dentelle sous ses seins, libérant sa poitrine aux larges auréoles rose pâle. Malgré sa rondeur, le galbe parfait de son buste les faisait se dresser orgueilleusement. Les yeux toujours baissés, la respiration de Sophie se fit plus saccadée. Prenant une autre plaque, il la descendit le long de son ventre qu’elle creusa instinctivement comme pour échapper à la caresse mais ne fit rien pour l'empêcher de s'insinuer sous la dentelle de sa culotte, glissant au creux de ses cuisses en repoussant le tissu, dévoilant la mousse blonde de son pubis.
Les sens en feu, elle poussa un petit jappement quand le plastique frôla son clitoris avant de glisser entre ses lèvres intimes. Le contact du plastique froid lui fit serrer les cuisses. Du genou il les écarta doucement pour mieux la caresser avec la plaque, forçant du coin l’orée de son vagin. Malgré elle, la caresse perverse la faisait réagir, la rendant moite. Il dégrafa alors son soutien-gorge et fit rouler sa culotte le long de ses jambes fuselées, la laissant uniquement vêtue de ses bas, son porte jarretelle et de ses escarpins. Elle sentait son regard brûlant d'envie sur son corps dénudé, appréciant la blancheur nacrée de sa poitrine bien épanouie, la finesse de sa taille mise en valeur par la ceinture de dentelle et le triangle régulier de sa fine toison claire, dévoilant en son creux le départ de ses fines lèvres roses. Mais elle recula instinctivement quand il libéra son sexe déjà dressé, se rendant compte que, prise à son propre piège, elle ne maîtrisait plus grand-chose et que les événements allaient un peu vite pour elle.
Sentant sa réticence, il posa 5 000 € sur la table et la regarda durement :
- Jusqu’au bout !
Sophie ne pouvait plus jouer l'effarouchée alors qu'elle venait de se laisser dénuder et caresser deux minutes avant. Elle savait qu'elle ne pouvait plus arrêter le jeu ni ignorer la douce brûlure de son ventre et de ses seins. Rien ne peut plus l’empêcher de se donner à cet inconnu. Sans rien dire, elle se rapprocha, le regard trouble et vint envelopper le sexe de l'homme de ses doigts fins, le caressant doucement, prenant enfin l'initiative. La verge de l’homme bondit contre sa paume.
- Vas-y, il faut que tu mérites ton fric.
Les paroles crues, loin de la choquer, l'excitèrent encore plus. Sa frustration sexuelle des derniers mois put enfin se libérer et, sous le couvert fallacieux de l'argent, elle pouvait se laisser aller à tous ses désirs. Le masturbant d’une main, elle vint lui palper les testicules de l’autre, le faisant grogner Les mains de l'homme palpait son corps sans ménagement, explorant les fermes rondeurs, pinçant les pointes dardées, pétrissant les fesses glissant dans leur sillon jusqu'à son sexe humide qu’il força d'un doigt, la faisant se cambrer.
L'homme n'en pouvait plus de voir ce corps superbe s'offrir si complaisamment pour ce qu’il croyait être de l'argent et voulant aller plus loin, lui intima :
- Allonges-toi sur la table et écartes les cuisses.
Sophie, le coeur battant, s'exécuta, ouvrant largement le compas de ses jambes, exhibant sa vulve sans pudeur. Sa toison très claire et clairsemée ne cachait rien de la fente bien dessinée de son sexe. Elle découvrait le plaisir de s'exhiber sans retenue et le regard de l'homme plaqué sur sa vulve l'excita terriblement. Lui relevant les cuisses, il s'approcha d'elle sexe tendu et vint plaquer son gland contre son intimité. Il s’amusa quelques instants à le monter et descendre le long de ses lèvres, préparant la pénétration maintenant inévitable. D’une souple poussée des reins il força sans difficulté son ventre humide et s'enfonça dans son fourreau serré, la faisant crier de plaisir.
- Hum, grogna-t-il, tu es étroite comme une jeune fille.
Elle prit cela plutôt comme un compliment malgré la rudesse des mots. La colonne de chair se frayait doucement un passage dans son ventre, jusqu’à s’abuter au fond de son vagin. La crochant sous les fesse, il commença un mouvement de va et vient. Haletante, elle creusait le ventre au rythme de ses coups de reins, les yeux fixés sur la tige épaisse qui disparaissait au creux de sa fine toison blonde. Elle se sentait délicieusement envahie par le membre qui la pilonnait maintenant sans retenue, et se mit à gémir bruyamment. Elle sentait une boule de feu grossir dans son ventre et, à la surprise de l'homme, elle eut bientôt un orgasme qui la fit se cambrer, et rendit son ventre encore plus brûlant et humide. Complètement libérée par cette jouissance soudaine et voulant aller au bout de son fantasme, elle le repoussa et se redressa.
Se collant à lui, elle l'embrassa à pleine bouche, se frottant contre lui, ses seins fermes s'écrasant contre son torse, le rendant fou de désir. Pliant les jambes, elle mordilla d'abord ses tétons puis lui lècha le nombril. Dans cette position, le sexe toujours dressé vint battre entre les globes pleins, les pointes dressées frôlant son gland. Les empaumant par-dessous, il emprisonna son sexe entre les douces masses tièdes, se branlant dans le creux de sa poitrine. Elle le laissa jouer avec ses seins quelques minutes, excitée à nouveau par cette caresse inconnue pour elle, pendant qu’elle lui pétrissait les fesses. Lui appuyant sur les épaules, l'homme l'a fit descendre encore d'un cran, son sexe venant battre contre son beau visage classique. Sophie, fascinée, fixait la tige dressée, n’ayant encore jamais sucé un homme. L'attrapant d'une main, elle lécha d'abord le gland baveux, découvrant son goût salé. Entrouvrant les lèvres, elle le goba jusqu'au prépuce replié, l'accrochant avec les dents. Son inexpérience manifeste, tranchant sur sa bonne volonté, le rendait fou.
- Ouvres plus la bouche et joue avec ta langue ordonna-t-il.
Concentrée comme une élève appliquée, elle obéit, l’avalant jusqu'a mi-membre, et commença à le pomper vigoureusement. Se penchant légèrement, il en profita pour caresser les lourdes masses de ses seins ballants, les pointes durcies calées aux creux de ses paumes. Elle adorait sentir la colonne de chair brûlante grossir encore contre son palais et ses joues se gonflaient au rythme de la fellation, déformant son beau visage. L'homme commença à haleter bruyamment et quand il sentit la main de la blonde lui palper de nouveau les testicules, il ne put s’empêcher d’exploser au fond de sa gorge en jets puissants, déclenchant un deuxième orgasme chez Sophie. Grognant de plaisir, elle avala la semence brûlante, finissant de le nettoyer du bout de la langue.
Après quelques moments de flottement, elle se rhabilla lentement, le regard encore trouble. Elle avait du mal à croire que ce petit jeu pervers ait débouché sur un tel plaisir et qu’elle venait de s’offrir sans pudeur à cet inconnu. Mais les ondes de plaisirs qui la traversaient encore ne lui faisaient pas regretter son coup de folie. Se penchant pour prendre sa culotte, elle lui offrit une dernière fois la vue de sa croupe fendue, les lèvres encore gonflées de plaisir, trahissant sa nature volcanique et sensuelle. Ramassant les plaques et les jetons, elle les posa sur le lit, et l’embrassant, lui murmura :
- pour le personnel, merci ! le laissant pour le moins interloqué….
L'homme était assis au casino, jouant à la roulette. Il remarqua à ses côtés une très belle blonde, très classe qui semblait jouer mécaniquement. Son visage à la Grace Kelly, d’une beauté très pure, auréolé de cheveux blonds, se tendait au fur et à mesure de ses pertes. Très élégante sa robe bustier de jersey verte, tendue par une poitrine qui semblait généreuse, dénudait ses épaules délicates. Si il ne se privait pas de la détailler à la dérobée, Sophie, elle, ne lui avait pas accordé encore un regard, et semblait perdu dans ses pensées.
En voyage d'affaires avec son mari, elle était descendue au casino de l'hôtel par désoeuvrement, ce dernier l'ayant abandonné une fois de plus pour sortir avec ses clients. Elle l’avait rencontré alors qu'elle était étudiante et avait été séduite par cet homme plus mûr, riche banquier d'affaires, qui la changeait de ses petits amis occasionnels, étudiants comme elle, mais qu'elle trouvait souvent gamins dans leur attitude. Elle avait cédé à ses avances après un mois de cour assidue. Issue d'un milieu bourgeois assez coincé elle avait accepté sa demande de mariage au bout d'un autre mois, arrêtant ses études, plus pour quitter le domicile familial qui l'étouffait, que par vraie passion. Mais elle s'était vite rendue compte au bout de quelques mois que seules les affaires intéressaient vraiment son mari, qu’il l'avait épousée comme on s'offre une belle voiture et que sa beauté était surtout pour lui un symbole de réussite qui lui permettait de parader à son bras. Il ne la touchait quasiment plus, croyant compenser ce manque d'affection en la couvrant de cadeaux. Mais, à peine 28 ans, elle avait déjà l'impression de s'étioler comme une fleur fanée.
Quand elle perdit son dernier jeton, elle se mordit la lèvre, hypnotisée par la roulette qui continuait de tourner, mais restait assise, se tordant nerveusement les mains. Ce n'était pas la perte d'argent qui la faisait hésiter à se lever mais plutôt la perspective de retrouver la solitude de sa chambre.
Se méprenant sur son attitude, son voisin tenta sa chance et poussa une pile de jetons vers elle.
- Je vous les prête, dit-il avec son sourire le plus charmeur
Au regard de l'homme qui louchait dans son décolleté, et à la cuisse qui frôlait la sienne, Sophie ne fut pas dupe de sa générosité. Outré qu'il puisse penser qu'elle se laisserait acheter, elle lui jeta un regard noir et refusa sèchement. Mais il insistait.
- Vraiment, c'est avec plaisir, je vous assure.
Elle l’observa plus attentivement. De type libanais, la quarantaine, très brun, il avait un charme oriental indéniable qui n'était pas déplaisant. Inconsciemment, elle est flattée de l'attention qui lui prêtait. Après tout cela pouvait être amusant de lui laisser croire qu'elle rentrait dans son jeu, et au moins cela l'occuperait et lui changerait les idées. Elle arrêterait dès que cela irait trop loin.
Elle finit donc par accepter, mimant un sourire contrit, les yeux baissés, parfaite incarnation de la femme gênée d’accepter. Elle perdit l’argent très vite et il poussa une autre pile :
- Ne vous inquiétez pas, la chance va finir par tourner, lui glissa-t-il un au creux de l'oreille, se penchant vers elle, coulant son regard au creux du sillon dévoilé de ses seins jusqu’au à l’attache centrale d’un soutien gorge de dentelle blanche, en profitant pour lui poser la main au-dessus du genou, sous la table.
Cela restait assez sage et de nouveau elle accepta les jetons. Mais la série noire continuait et chaque fois qu'il poussait une nouvelle pile, il remontait sa main d'un cran sur sa cuisse. Il découvrit bientôt sous sa paume le relief du haut de son bas et l’attache d’une jarretelle à travers le jersey, l'excitant terriblement. Malgré elle Sophie commençait à être troublé et le laissa faire.
Devant son manque de réaction, il poussa son avantage et suivit la jarretelle jusqu'à sentir du bout des doigts le relief de la dentelle de sa culotte sous laquelle elle se glissait. Il voulut descendre entre ses cuisses mais elle serra instinctivement les jambes pour l'empêcher d'aller plus loin. Il poussa alors une pile de jetons plus grosse, avec un sourire ambigu.
Sophie hésitait à continuer ce jeu pervers. Elle trouvait déjà incroyable qu’il lui ait balancé plus de 1000 € uniquement pour pouvoir lui peloter les jambes. Mais la chaleur de la paume masculine au creux de ses cuisses ne la laissait pas indifférente et de toute façon, même si elle était cachée par la table, sa position assise l’empêcherait d'aller bien loin. Elle finit par accepter les jetons, desserrant imperceptiblement les jambes mais suffisamment malgré tout pour que les doigts puissent suivre le galbe intérieur de ses cuisses. Le tranchant de la main plaqué contre son mont de Vénus, il palpa la discrète épaisseur de sa toison sous les tissus, la faisant frémir malgré elle. Elle mit un peu plus de temps à perdre et l'homme en profitait pour discrètement caresser également son ventre, ses hanches et le haut de ses fesses, appréciant les contours du V de sa culotte et de son porte-jarretelles, la troublant beaucoup plus qu'elle n'aurait imaginée.
Affolé par ce qu’elle lui avait déjà permis de découvrir, il ne pouvait pousser plus loin son avantage, gêné par la chaise. Aussi lui proposa t-il d'aller boire un verre au bar pour faire tourner la chance. Cela ne l’engageait en rien et elle se leva pour le suivre. Mais sur le chemin, il la prit par la main et l’entraîna vers le hall.
- Venez, Nous serons plus au calme dans ma chambre.
Sophie fut surprise par cette attaque pour le moins directe. Une voix intérieure lui disait de refuser et de s'en aller. Accepter son invitation risquait de l'engager à aller plus loin que quelques attouchements à travers sa robe. D'un autre côté les caresses de l'homme avaient fait naître une douce chaleur au creux de son ventre qui appelait d’autres caresses. Et laisser croire à cet homme qu'il dirigeait le jeu lui donnait une sensation de pouvoir qu'elle n’avait jamais connu. Délaissée par son mari, se soumettre à un autre homme pour un argent dont elle n’avait nul besoin lui paraissait être une douce vengeance. Aussi murmura-t-elle
- Euh, bien, je vous suis.
Dans le couloir, il en profita pour admirer sa silhouette. Sa robe s'arrêtait au-dessus des genoux, dévoilait le galbe parfait de ses mollets rehaussés par ses chaussures à talons. Le souple balancement de ces hanches plaquait le tissu soyeux sur sa croupe qui semblait prometteuse, marquant discrètement le contour de sa culotte assez étroite. Il n’en revenait pas de voir cette superbe femme le suivre si docilement et d'imaginer pouvoir la posséder peut-être dans peu de temps le rendait fébrile et il a eut du mal à ouvrir la porte.
Une fois dans l'intimité de la chambre, Sophie eut un temps d'hésitation. Le sentant, il la fixa les yeux brillants et sortant 2 plaques de 1000 €, lui dit abruptement :
- 2000 € si tu enlèves juste ta robe.
Sophie rougit et hésita, partagée entre le désir de s'enfuir et l’appel de ses sens qui ne demandaient qu’à être écoutés, et comme hypnotisée par les plaques qu'il faisait tourner entre ses doigts, symbole du désir qu'elle provoquait chez lui. Se méprenant à nouveau sur son hésitation, il rajouta d’un ton dur
- allez, dépêche toi, tu sais pourquoi tu es la.
La dureté du ton l'électrisa, l’excita inconsciemment et elle savait qu’elle aurait du mal à jouer les effarouchées après l’avoir suivie dans sa chambre. Se soumettant à ses désirs, elle glissa le zip de sa robe qui tombe à ses pieds. Peu d’hommes l’ayant vue nue, dans un dernier geste de pudeur elle croisa un bras sur sa poitrine et glissa une main contre sa culotte pour tenter de cacher maladroitement sa belle lingerie de dentelle. Mais voulant profiter de ce magnifique corps offert il lui écarta les bras. Elle rougit encore plus, baissa les yeux et détourna la tête mais se laissa admirer.
Son balconnet sans bretelles contenait mal les rondeurs et dévoilait largement les flancs de sa belle poitrine dont les auréoles transparaissaient sous la dentelle. Le regard de l'homme descendit sur son ventre plat jusqu'au porte-jarretelles de soie blanche, tenant ses bas couleur chair et encadrant sa culotte de dentelle blanche. Cette dernière, très échancrée, moulait le renflement de son pubis et laissait deviner les mèches diaphanes de sa toison blonde. Il la fit tourner pour admirer ses fesses rondes et pleines, à demi dénudées par le V étroit de sa culotte bien tendue, dévoilant en transparence le sillon profond de sa croupe.
Très excité par la vision de ses formes ainsi mises en valeur, il se retenait de ne pas lui sauter dessus pour ne pas la bloquer par trop de hâte. Prenant une plaque de 500 € il la fit glisser le long de son cou jusqu'au sillon profond de ses seins, la faisant frissonner. Il la coula dans son soutien-gorge jusqu'aux pointes qui durcirent au contact du plastique froid, en profitant pour palper les globes pleins et fermes. Haletante, toujours soumise, Sophie le laissa glisser la dentelle sous ses seins, libérant sa poitrine aux larges auréoles rose pâle. Malgré sa rondeur, le galbe parfait de son buste les faisait se dresser orgueilleusement. Les yeux toujours baissés, la respiration de Sophie se fit plus saccadée. Prenant une autre plaque, il la descendit le long de son ventre qu’elle creusa instinctivement comme pour échapper à la caresse mais ne fit rien pour l'empêcher de s'insinuer sous la dentelle de sa culotte, glissant au creux de ses cuisses en repoussant le tissu, dévoilant la mousse blonde de son pubis.
Les sens en feu, elle poussa un petit jappement quand le plastique frôla son clitoris avant de glisser entre ses lèvres intimes. Le contact du plastique froid lui fit serrer les cuisses. Du genou il les écarta doucement pour mieux la caresser avec la plaque, forçant du coin l’orée de son vagin. Malgré elle, la caresse perverse la faisait réagir, la rendant moite. Il dégrafa alors son soutien-gorge et fit rouler sa culotte le long de ses jambes fuselées, la laissant uniquement vêtue de ses bas, son porte jarretelle et de ses escarpins. Elle sentait son regard brûlant d'envie sur son corps dénudé, appréciant la blancheur nacrée de sa poitrine bien épanouie, la finesse de sa taille mise en valeur par la ceinture de dentelle et le triangle régulier de sa fine toison claire, dévoilant en son creux le départ de ses fines lèvres roses. Mais elle recula instinctivement quand il libéra son sexe déjà dressé, se rendant compte que, prise à son propre piège, elle ne maîtrisait plus grand-chose et que les événements allaient un peu vite pour elle.
Sentant sa réticence, il posa 5 000 € sur la table et la regarda durement :
- Jusqu’au bout !
Sophie ne pouvait plus jouer l'effarouchée alors qu'elle venait de se laisser dénuder et caresser deux minutes avant. Elle savait qu'elle ne pouvait plus arrêter le jeu ni ignorer la douce brûlure de son ventre et de ses seins. Rien ne peut plus l’empêcher de se donner à cet inconnu. Sans rien dire, elle se rapprocha, le regard trouble et vint envelopper le sexe de l'homme de ses doigts fins, le caressant doucement, prenant enfin l'initiative. La verge de l’homme bondit contre sa paume.
- Vas-y, il faut que tu mérites ton fric.
Les paroles crues, loin de la choquer, l'excitèrent encore plus. Sa frustration sexuelle des derniers mois put enfin se libérer et, sous le couvert fallacieux de l'argent, elle pouvait se laisser aller à tous ses désirs. Le masturbant d’une main, elle vint lui palper les testicules de l’autre, le faisant grogner Les mains de l'homme palpait son corps sans ménagement, explorant les fermes rondeurs, pinçant les pointes dardées, pétrissant les fesses glissant dans leur sillon jusqu'à son sexe humide qu’il força d'un doigt, la faisant se cambrer.
L'homme n'en pouvait plus de voir ce corps superbe s'offrir si complaisamment pour ce qu’il croyait être de l'argent et voulant aller plus loin, lui intima :
- Allonges-toi sur la table et écartes les cuisses.
Sophie, le coeur battant, s'exécuta, ouvrant largement le compas de ses jambes, exhibant sa vulve sans pudeur. Sa toison très claire et clairsemée ne cachait rien de la fente bien dessinée de son sexe. Elle découvrait le plaisir de s'exhiber sans retenue et le regard de l'homme plaqué sur sa vulve l'excita terriblement. Lui relevant les cuisses, il s'approcha d'elle sexe tendu et vint plaquer son gland contre son intimité. Il s’amusa quelques instants à le monter et descendre le long de ses lèvres, préparant la pénétration maintenant inévitable. D’une souple poussée des reins il força sans difficulté son ventre humide et s'enfonça dans son fourreau serré, la faisant crier de plaisir.
- Hum, grogna-t-il, tu es étroite comme une jeune fille.
Elle prit cela plutôt comme un compliment malgré la rudesse des mots. La colonne de chair se frayait doucement un passage dans son ventre, jusqu’à s’abuter au fond de son vagin. La crochant sous les fesse, il commença un mouvement de va et vient. Haletante, elle creusait le ventre au rythme de ses coups de reins, les yeux fixés sur la tige épaisse qui disparaissait au creux de sa fine toison blonde. Elle se sentait délicieusement envahie par le membre qui la pilonnait maintenant sans retenue, et se mit à gémir bruyamment. Elle sentait une boule de feu grossir dans son ventre et, à la surprise de l'homme, elle eut bientôt un orgasme qui la fit se cambrer, et rendit son ventre encore plus brûlant et humide. Complètement libérée par cette jouissance soudaine et voulant aller au bout de son fantasme, elle le repoussa et se redressa.
Se collant à lui, elle l'embrassa à pleine bouche, se frottant contre lui, ses seins fermes s'écrasant contre son torse, le rendant fou de désir. Pliant les jambes, elle mordilla d'abord ses tétons puis lui lècha le nombril. Dans cette position, le sexe toujours dressé vint battre entre les globes pleins, les pointes dressées frôlant son gland. Les empaumant par-dessous, il emprisonna son sexe entre les douces masses tièdes, se branlant dans le creux de sa poitrine. Elle le laissa jouer avec ses seins quelques minutes, excitée à nouveau par cette caresse inconnue pour elle, pendant qu’elle lui pétrissait les fesses. Lui appuyant sur les épaules, l'homme l'a fit descendre encore d'un cran, son sexe venant battre contre son beau visage classique. Sophie, fascinée, fixait la tige dressée, n’ayant encore jamais sucé un homme. L'attrapant d'une main, elle lécha d'abord le gland baveux, découvrant son goût salé. Entrouvrant les lèvres, elle le goba jusqu'au prépuce replié, l'accrochant avec les dents. Son inexpérience manifeste, tranchant sur sa bonne volonté, le rendait fou.
- Ouvres plus la bouche et joue avec ta langue ordonna-t-il.
Concentrée comme une élève appliquée, elle obéit, l’avalant jusqu'a mi-membre, et commença à le pomper vigoureusement. Se penchant légèrement, il en profita pour caresser les lourdes masses de ses seins ballants, les pointes durcies calées aux creux de ses paumes. Elle adorait sentir la colonne de chair brûlante grossir encore contre son palais et ses joues se gonflaient au rythme de la fellation, déformant son beau visage. L'homme commença à haleter bruyamment et quand il sentit la main de la blonde lui palper de nouveau les testicules, il ne put s’empêcher d’exploser au fond de sa gorge en jets puissants, déclenchant un deuxième orgasme chez Sophie. Grognant de plaisir, elle avala la semence brûlante, finissant de le nettoyer du bout de la langue.
Après quelques moments de flottement, elle se rhabilla lentement, le regard encore trouble. Elle avait du mal à croire que ce petit jeu pervers ait débouché sur un tel plaisir et qu’elle venait de s’offrir sans pudeur à cet inconnu. Mais les ondes de plaisirs qui la traversaient encore ne lui faisaient pas regretter son coup de folie. Se penchant pour prendre sa culotte, elle lui offrit une dernière fois la vue de sa croupe fendue, les lèvres encore gonflées de plaisir, trahissant sa nature volcanique et sensuelle. Ramassant les plaques et les jetons, elle les posa sur le lit, et l’embrassant, lui murmura :
- pour le personnel, merci ! le laissant pour le moins interloqué….
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