Titre de l'histoire érotique : Le garçon boucher 3
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Le garçon boucher 3
Le garçon boucher 3
Marcel rompt le silence, autoritaire.
- Bon, couche-toi sur le bord du lit, écarte tes quilles, que j’admire ta cramouille. Tu te tailles le maillot toute seule ?
- Non, entre coiffeuses, on se rend service ! Autant utiliser les compétences et ne pas se blesser. Le bord de vulve est trop délicat
- Les vicieuses ! Vous devez bien rigoler et vous chatouiller comme des gouines ! J’aimerais voir ça.
- Mais non, on fait ça entre femmes. Naturellement, parfois ça dérape un peu, mais c’est sans conséquences !
- C'est ce que je disais, vous êtes un peu salopes sur les bords.
J’en apprends de belles sur ma femme. Il est des questions que je n’ai jamais posées, Marcel grâce à son manque de tact en connaît la réponse. Il est direct, ça plaît aux femmes, sans doute...à la mienne sûrement.
- Allez en position que je te saute ! T’es prête ? Avec tes deux mains, ouvre-toi, je vais te pénétrer d’un trait, le TGV va entrer dans le tunnel. Prépare-toi à connaître enfin le vrai bonheur, l’orgasme avec un grand O !
- Alors tu hésites ? Je ne me contenterai pas de promesses. Je veux du solide de la bite plein partout.
- J’adore ton petit minou ! Oh ! C’est tout rose là dedans. Je peux entrer un doigt ? Tu aimes ?
- Humm, oui, mais fais doucement, sinon tu vas m’étriper. Voilà, comme ça, plus profond. Hihihi, ta langue sur mon bouton, huuumm ! Ça c'est super bon. Oh , oui, suce
Ton vieux rentre entre midi ?
- Non, il reste sur les chantiers. Je lui prépare une gamelle le matin !
- Parfait, formidable ! J'ai une solution pour qu'on puisse se voir aussi souvent que tu le voudras. S’il t’emmerde au lit, mets-lui du bromure dans sa bouffe. Ne crains rien, question sexe, j’ai de quoi te satisfaire tous les jours, plutôt deux fois qu’une. Je t’en livrerai au salon vers 18 heures, il y aura une dosette. N’exagère pas la quantité, suis la posologie,sinon tu aurais des ennuis avec les flics. C'est la poudre qui assaisonnait le pinard des troufions privés de femmes autrefois. Avec ça l'homme débande. Tu remplis la dosette, tu saupoudres la bouffe, sa queue pendouille, indique midi et demi à toute heure et le pauvre mari finit par désespérer : il n'ose plus te montrer sa bite molle et ilte fout la paix. Si ça t'amuse, tu peux le masturber, le sucer, il ne te sautera plus dessus, honteux et confus le bonhomme devenu impuissant. Et pour toi, place au vrai plaisir avec moi l C'est le contraire du viagra.
Elle ne proteste pas. Qui ne dit mot, consent. Serait-elle prête à m’empoisonner pour les belles couilles de ce salopard ? Alors ça ! Elle se renseigne, qu'espère-t-elle, un surcroît de puissance, des défoncements hors normes?
- Toi, tu prends du viagra ?
Il rit grassement:
- Moi ? Tu rigoles. Non, ça c'est du produit local, rien que du naturel de première qualité. Du bio !J Pas du billot avec deux ! . Je vois, tu en veux. Je vais t’en donner, tu vas goûter et tu me diras ce que tu en penses.. Tu te tournes, à quatre pattes, en travers, au bord du matelas et tu exposes ton joli cul. Fesses en l’air, expose tes trous. Magnifique ! Que c’est bandant, ce beau fruit gonflé et fendu ! Tiens, tu sens ma queue ? J’adore me promener à la porte, élargir le passage peu à peu. Tu piaffes d‘impatience ma pute, tiens, prends ça, rrrhha !
- Aïe ! La brute, oh... ! Oui, encore ! …Une grosse comme ça, ça remplit, ça fait chaud. Allez, bouge, fais-moi jouir. Baise ! mon cochon, bourre moi, fais moi jouir. Ahh! Ouihihi.
Je peux monter sans crainte. J’arrive à la porte de la chambre. Ils n’avaient pas de raison de fermer les portes. Elle est tournée vers la fenêtre, il est collé à ses fesses et me présente son postérieur de singe poilu. À grands coups de boutoir, il lui explose le fondement, la secoue. Fesses en l’air, le vagin rempli par un gourdin que je ne vois pas ou presque pas, en raison de l’allure folle de la charge, Émilie résiste aux chocs, puis sa tête rejoint ses avant-bras sur le drap. Il est fort, violent, pressé de faire grosse impression dès le premier assaut. Le mâle en rut souffle bruyamment, comme un taureau dans l’arène. Les bruits des respirations se répondent, se mêlent, toujours plus forts, toujours plus irréguliers !
- C’est bon…, hein… ? C’est pas ton…, ton Jules…, qui te fait cet effet ! Celle-là, tu la… sens passer. Allez, encaisse, pour une première fois…, tu vas bientôt gueuler, je le sens ! Tu mouilles…, cochonne et tu te mets à trembler. Tu aimes ? Tiens, tiens, prends, tiens encore, jouis !
- Ohh ! Ah, ah ! Encore, baise, baise, plus fort ! C’est bon, c’est bon, c’est bonbon, ah, ah !
Effectivement, elle en veut ! Elle en redemande. Certes, je ne suis pas aussi brutal. C’est un tort, je le constate. Trop de délicatesse nuit. Ce soir, je vais imiter son étalon, je vais lui faire passer l’envie de me verser du bromure dans ma gamelle. Je vais la limer sans pitié. Marcel se cale:
- Ça vient, je pars !
- Sors, crache sur mon dos ! Pas dedans, fais gaffe.
- Tu ne veux pas me boire ?
- La prochaine fois ! Étale, c’est bon pour la peau ! T’en a mis une louche pleine, ma parole ! Il t’en reste ? Quel gaillard; tu es le bon choix.
- Bon dieu ! Que tu es bonne ! De la salope de chez salope ! Il faut que j’y aille, mais demain midi, je vais te faire ta fête, je te remplirai, le foutre te sortira par les yeux et par le nez, ma belle !
- Allez, viens à la salle de bain, on m’attend au salon !
Et moi, je file. Mari cocu, mari déçu. Huit années d’un mariage, apparemment heureux, viennent de s’effondrer, de voler en éclats. C’est triste, mais c’est la cruelle réalité. Ma femme en pince pour un amant violent. Je suis cocu et menacé d’impuissance ! Je dois préparer ma défense et ma contre-attaque. Je n’espère pas la voir revenir à moi, au contraire j’ai tout à craindre de la mise en œuvre des consignes édictées par Marcel. Mieux vaut me méfier de mes repas préparés par elle. Je bâtirai ma vie sans elle; je crois savoir qui m’aidera.
L’un des clients de notre entreprise d’installation sanitaire et chauffage que j’ai dépanné récemment, cherchait un locataire pour son appartement de type3. Il accepte de me le louer officiellement à partir du premier. Je lui ai raconté mon infortune. Il m’a consolé selon la formule consacrée entre hommes:
- Toutes des salopes, sauf ma mère .
Si je veux faire les tapisseries, je peux l’occuper demain, il me remet les clés, on règlera les papiers. Je me rends dans le café situé en face du salon de coiffure, m’assieds près d’une fenêtre et peu avant 18 heures, je vois Marcel remettre un sachet à Émilie sur le seuil du salon. Je me précipite au sex-shop et j’achète quelques gadgets, mon cadeau d’adieu à Émilie, car je dois la quitter si je veux vivre en bonne santé. Je me rends, ensuite, à la grande surface, passe à la caisse de Laure. Elle débauche à 19 heures. Nous nous arrêtons dans un bar. C’est rapide, mais je fonce tête baissée :
- Laure, veux-tu de moi ?
- Quoi ? Répète ! J’ai bien entendu ?
- Tu m’as dit que tu me regrettais, alors je te propose de vivre avec moi !
- Ne te moque pas de moi. Tu es marié à une très jolie femme. Si c’est juste pour coucher, pas question : je suis une fille sérieuse, quoi que tu penses de moi ! Et puis, il y a Marcel, tu ne le connais pas. Jaloux et violent, je me tiens à carreau, sinon je dérouille !
- Ah ! Bon, j’espérais que tu étais sincère ! J’ai décidé de divorcer. J’étais si heureux du hasard qui m’avait amené chez toi. Excuse-moi !
- C’est quoi ce délire ? Tu divorces, tu te mets avec moi ? Explique !
- La cause du divorce, tu la connaîtras bientôt ! Si tu veux de moi, je t’épouserai ! Souviens-toi, on s’était juré de s’aimer toute la vie. Alors, tu veux ou tu veux pas, comme dit la chanson ?
- Je n’y crois pas ! Bien sûr que je voudrais, mais…
- Pas de mais, viens avec moi, je vais te montrer notre futur appartement !
L’appartement lui plaît. Nous emménagerons vendredi puisque c’est son jour de repos. Qu’elle se prépare discrètement. Nous nous embrassons amoureusement. Il faut que je rentre, il est tard. Elle a des étoiles plein les yeux.
Je suis encore marié. Émilie accepte de croire que j’ai fait des heures supplémentaires sur une panne. Elle a préparé mon repas de demain. A la cuisine je remarque un flacon sur la table de travail. Elle le range dans un placard. Après le repas du soir, Émilie se dit épuisée. Je sais que son travail n’est pas seul en cause. Elle va se coucher sans regarder son feuilleton télévisé. Voilà le signe de fatigue le plus convainquant : rater un épisode de ce feuilleton interminable est vraiment anormal. Marcel l’a vraiment bousculée et fatiguée.
Je devrais comprendre. Mais je ne veux pas comprendre justement. Je veux l’épuiser, lui faire perdre le goût de s’envoyer en l’air demain avec son amant. Je rêve de les séparer, de les pousser à la rupture. Non pour la récupérer, je ne pourrai plus jamais avoir confiance en une femme prête à me faire avaler du bromure. J’insiste pour obtenir un gros câlin. Un refus réclamerait une explication. J’insiste parce que, contrairement à elle, je sais que c’est notre dernière nuit.
De la salle de bain au lit, je colle à sa peau, j’attrape un sein, je pince une fesse, je me presse contre son dos, je l’embrasse derrière l’oreille, je lui passe une main entre les jambes. Elle aimerait résister, son vagin se souvient encore de notre union d’hier, prétexte-t-elle. Elle ne peut pas invoquer la copulation adultère de l’après-midi qui l’a certainement crevée. Mon empressement l’embarrasse. Elle doit regretter de ne pas avoir versé sa dosette de poudre dans le souper. Je m’étonne :
- Pourtant j’ai été très doux. Tu es irritée? Il faudra consulter ta gynécologue. Veux-tu que je demande un rendez-vous ? Montre-moi tes plaies !
- Grand fou ! Regarde, puisqu’il le faut !
Qui pourrait dater avec précision les derniers frottements, comment pourrais-je attribuer à un tiers les rougeurs de son vagin ? Émilie me montre son sexe, l’ouvre à la demande et grimace quand j’effleure les nymphes.
- Je connais le remède : il faut appliquer une cuillerée à soupe de sirop de corps d’homme, respecter la dose prescrite. Le remède doit être frais et absorbé à la sortie du tube !
Émilie rit de la mauvaise plaisanterie. Marcel a moins marqué ses zygomatiques que ses muqueuses vaginales. Elle aimerait les préserver en vue de son prochain rendez-vous. Elle se jette à pleine bouche sur mon membre. S’il s’agit d’éviter une pénétration douloureuse, en travaillant avec les doigts, les lèvres et la langue, elle a raison de tenter l’opération. Je réplique de la même manière, je suce et mordille longuement les abords de son sexe, je fais entrer deux doigts enduits de salive et les secoue vivement. Ça fait "Switch", "swouitch", "Switch", "switt", "fuitcg", "ffuitt". La mouille les entoure, produit ce bruit de glissement dans un liquide.
Les fesses montent, retombent en spirales endiablées. Son corps se soulève comme électrisé , se cabre et s’affaisse, se tend puis s’effondre. Elle ne confessera pas sa relation coupable. Elle aime la bite de Marcel plus que Marcel. Il serait si simple de me dire :
- Je veux vivre avec Untel ou Telautre. Non, elle me trompe mais veut me garder. C’est incompréhensible. Alors elle peut sangloter, parler de douleur, je lui fait payer sa conduite et son projet d’endormir mon sexe.
Émilie m’implore, je suis sans pitié. Mes doigts accélèrent, tournent contre les parois, les raclent, ma langue frotte, le clitoris rougit sous les interminables suçons. Elle se tord, fait des bonds, dit non, oui, s’effondre, enfin, emportée par un violent orgasme. Ça fait un moment qu’elle a lâché mon pénis pour clamer son plaisir ascendant, mais contrarié par les excès du jour.
- Maintenant, attelons-nous à la production du remède prescrit ! Suce.
Tu ne pourrais pas attendre demain ! Je n’en peux plus, j’ai sommeil !
Elle peut toujours espérer me calmer au bromure, demain je n’avalerai pas son repas.
- Demain soir, qui sait si je serai encore ici ?
Elle fronce ses sourcils, si soigneusement dessinés.
- Qu’est-ce que tu me racontes ? Tu envisages de me quitter parce que je suis lasse après une journée de travail ! Bourreau, allez viens, puisque tu en as envie aussi fort !
Allez comprendre, elle a un amant et craint de me perdre ? Par elle je serai amoindri, humilié, mais mari soumis. Vache, comme dit Marcel !
Cette fois, j’envoie trois doigts, de quoi la combler comme un Marcel épanoui, gonflé au viagra. Quand un bras fatigue, l’autre prend le relais. Le pouce inoccupé écrase le clitoris de plus en plus sensible. Ah ! Elle préfère l’amour vache, je vais la servir. Elle jouit mieux quand Marcel est brutal. Je vais changer, imiter le mâle qui la bouscule, cet aspect de moi que je jugeais devoir juguler, elle va le découvrir, je vais lui laisser des regrets. Son masochisme va être satisfait.
Émilie supporte difficilement le déferlement de secousses et de caresses rudes. D’une hanche à l’autre, elle bondit, comme un poisson tiré de l’eau. Elle gémit, crie, supplie d’arrêter. Je choisis ces supplications pour la pénétrer une dernière fois. J’y mets toutes mes forces, me propulse avec la rage du cocu mécontent et hurle plus fort que Marcel !
- Tiens, prends, tiens, tiens !
Je ne suis plus moi, je suis hors de moi, fou de sa trahison. Le spasme vient, je sens monter la semence, elle se précipite en saccades dans la verge. Je me cramponne solidement, l’écrase de toutes mes forces, reste planté dans la chaleur de la gaine irritée et verse ma contribution au fond de ce vagin stérile depuis huit ans. Elle n’a plus la force de protester, ni de courir au bidet. Peut-être gardera-t-elle de moi un souvenir vivant, peut-être Marcel l’a-t-il déjà fécondée ? Peut-être le doute sur l’origine de son enfant satisfera-t-il sa notion élastique de la fidélité conjugale ?
Marcel lui a promis une charge formidable, ça fera combien de louches ? Elle en rêve sans doute en dormant. Ce soir il me reste quelque chose à vérifier. Je fouille le placard, je prends, entre mes doigts protégés, le flacon, l’ouvre, hume, puis je respire l’odeur de la gamelle : elle a suivi la consigne, je serai impuissant, si….
Je déballe mon cadeau. Un pénis en plastique à picots: j’y introduis la pile qui va en faire un vibromasseur géant. Je retourne au lit et place l’engin sous mon oreiller, j’avance l’heure de la sonnerie du réveil. Je dors. Le réveil sonne. J’embrasse ma femme, je la caresse, je l’étonne par ce réveil amoureux :
- Chéri, tu exagères ce matin ! Ça ne t’a pas suffi hier soir. Bon, mais vite. Tu pousses.
Couverture repoussée, elle présente son sexe entre les jambes jetées de côté, ferme les yeux et attend presque avec indifférence. Je réveille la vulve d’un baiser, dégage le passage, pointe le vibreur lubrifié, appuie et l’envoie à fond jusqu’à la garde.
- Quoi, qu’est-ce que tu fais ? Tu es fou. Louis, pitié. Tu me tues.
- Je te prépare en accéléré, j’ai tellement envie de toi ! Tu sens, c’est un vibromasseur de dernière génération, puissant et mobile. C’est un cadeau ! Parfois, j’ai l’impression que tu restes insatisfaite quand on a fait l’amour. J’ai pensé faciliter ton plaisir avec cet instrument. Beaucoup de femmes y recourent, m’a dit le vendeur. Attends, j’augmente la vitesse ! Et encore un peu plus vite !
Émilie retient sa respiration, tente de me faire croire qu’elle reste insensible. Je presse sur la commande, cette fois, les cinq centimètres de l’extrémité se mettent à tourner, la semelle du pied se met à vibrer sur le haut de la vulve. Les yeux de ma femme s’affolent, sa bouche se relâche, bave un peu de mousse; ses mâchoires se décontractent et elle laisse échapper des plaintes déchirantes. Cet engin est d’une efficacité redoutable. Dernière épreuve, je le fais aller et venir, le sors et le rentre, les picots frottent le vagin en montant et en descendant. Émilie s’arrache les cheveux !
- Retire ça et viens sur moi !
- Plus le temps ! Mais ce soir, je te promets un feu d’artifice !
Après ce traitement mécanique ses rapports avec Marcel deviendront une punition. Un peu plus tard, je m’apprête à partir. Emilie me rappelle :
- Louis, tu as oublié ta gamelle ? Tu rentres à midi ?
- Ah, non ! Matin et soir, ça me convient et me semble raisonnable, nous ne sommes pas des bêtes. Maintenant si tu veux faire l’amour à midi, parle, je ferai une exception pour toi.
- Qu’est-ce que tu as avalé ? Pense à ta santé. Tu as raison, deux fois par jour c’est presque trop. Soyons sage, si tu veux que ça dure. Attendons ce soir pour savoir si ton envie demeure aussi forte.
Elle pense que sa poudre va calmer ma libido. Je lui montre ma gamelle
Pardon, c’est quoi aujourd’hui, dans ma gamelle?
- Une nouvelle recette, la saveur devrait te plaire, mon amour ! J’ai tellement de plaisir à mitonner des spécialités pour toi, mon amour.
Ho ! La salope
Marcel rompt le silence, autoritaire.
- Bon, couche-toi sur le bord du lit, écarte tes quilles, que j’admire ta cramouille. Tu te tailles le maillot toute seule ?
- Non, entre coiffeuses, on se rend service ! Autant utiliser les compétences et ne pas se blesser. Le bord de vulve est trop délicat
- Les vicieuses ! Vous devez bien rigoler et vous chatouiller comme des gouines ! J’aimerais voir ça.
- Mais non, on fait ça entre femmes. Naturellement, parfois ça dérape un peu, mais c’est sans conséquences !
- C'est ce que je disais, vous êtes un peu salopes sur les bords.
J’en apprends de belles sur ma femme. Il est des questions que je n’ai jamais posées, Marcel grâce à son manque de tact en connaît la réponse. Il est direct, ça plaît aux femmes, sans doute...à la mienne sûrement.
- Allez en position que je te saute ! T’es prête ? Avec tes deux mains, ouvre-toi, je vais te pénétrer d’un trait, le TGV va entrer dans le tunnel. Prépare-toi à connaître enfin le vrai bonheur, l’orgasme avec un grand O !
- Alors tu hésites ? Je ne me contenterai pas de promesses. Je veux du solide de la bite plein partout.
- J’adore ton petit minou ! Oh ! C’est tout rose là dedans. Je peux entrer un doigt ? Tu aimes ?
- Humm, oui, mais fais doucement, sinon tu vas m’étriper. Voilà, comme ça, plus profond. Hihihi, ta langue sur mon bouton, huuumm ! Ça c'est super bon. Oh , oui, suce
Ton vieux rentre entre midi ?
- Non, il reste sur les chantiers. Je lui prépare une gamelle le matin !
- Parfait, formidable ! J'ai une solution pour qu'on puisse se voir aussi souvent que tu le voudras. S’il t’emmerde au lit, mets-lui du bromure dans sa bouffe. Ne crains rien, question sexe, j’ai de quoi te satisfaire tous les jours, plutôt deux fois qu’une. Je t’en livrerai au salon vers 18 heures, il y aura une dosette. N’exagère pas la quantité, suis la posologie,sinon tu aurais des ennuis avec les flics. C'est la poudre qui assaisonnait le pinard des troufions privés de femmes autrefois. Avec ça l'homme débande. Tu remplis la dosette, tu saupoudres la bouffe, sa queue pendouille, indique midi et demi à toute heure et le pauvre mari finit par désespérer : il n'ose plus te montrer sa bite molle et ilte fout la paix. Si ça t'amuse, tu peux le masturber, le sucer, il ne te sautera plus dessus, honteux et confus le bonhomme devenu impuissant. Et pour toi, place au vrai plaisir avec moi l C'est le contraire du viagra.
Elle ne proteste pas. Qui ne dit mot, consent. Serait-elle prête à m’empoisonner pour les belles couilles de ce salopard ? Alors ça ! Elle se renseigne, qu'espère-t-elle, un surcroît de puissance, des défoncements hors normes?
- Toi, tu prends du viagra ?
Il rit grassement:
- Moi ? Tu rigoles. Non, ça c'est du produit local, rien que du naturel de première qualité. Du bio !J Pas du billot avec deux ! . Je vois, tu en veux. Je vais t’en donner, tu vas goûter et tu me diras ce que tu en penses.. Tu te tournes, à quatre pattes, en travers, au bord du matelas et tu exposes ton joli cul. Fesses en l’air, expose tes trous. Magnifique ! Que c’est bandant, ce beau fruit gonflé et fendu ! Tiens, tu sens ma queue ? J’adore me promener à la porte, élargir le passage peu à peu. Tu piaffes d‘impatience ma pute, tiens, prends ça, rrrhha !
- Aïe ! La brute, oh... ! Oui, encore ! …Une grosse comme ça, ça remplit, ça fait chaud. Allez, bouge, fais-moi jouir. Baise ! mon cochon, bourre moi, fais moi jouir. Ahh! Ouihihi.
Je peux monter sans crainte. J’arrive à la porte de la chambre. Ils n’avaient pas de raison de fermer les portes. Elle est tournée vers la fenêtre, il est collé à ses fesses et me présente son postérieur de singe poilu. À grands coups de boutoir, il lui explose le fondement, la secoue. Fesses en l’air, le vagin rempli par un gourdin que je ne vois pas ou presque pas, en raison de l’allure folle de la charge, Émilie résiste aux chocs, puis sa tête rejoint ses avant-bras sur le drap. Il est fort, violent, pressé de faire grosse impression dès le premier assaut. Le mâle en rut souffle bruyamment, comme un taureau dans l’arène. Les bruits des respirations se répondent, se mêlent, toujours plus forts, toujours plus irréguliers !
- C’est bon…, hein… ? C’est pas ton…, ton Jules…, qui te fait cet effet ! Celle-là, tu la… sens passer. Allez, encaisse, pour une première fois…, tu vas bientôt gueuler, je le sens ! Tu mouilles…, cochonne et tu te mets à trembler. Tu aimes ? Tiens, tiens, prends, tiens encore, jouis !
- Ohh ! Ah, ah ! Encore, baise, baise, plus fort ! C’est bon, c’est bon, c’est bonbon, ah, ah !
Effectivement, elle en veut ! Elle en redemande. Certes, je ne suis pas aussi brutal. C’est un tort, je le constate. Trop de délicatesse nuit. Ce soir, je vais imiter son étalon, je vais lui faire passer l’envie de me verser du bromure dans ma gamelle. Je vais la limer sans pitié. Marcel se cale:
- Ça vient, je pars !
- Sors, crache sur mon dos ! Pas dedans, fais gaffe.
- Tu ne veux pas me boire ?
- La prochaine fois ! Étale, c’est bon pour la peau ! T’en a mis une louche pleine, ma parole ! Il t’en reste ? Quel gaillard; tu es le bon choix.
- Bon dieu ! Que tu es bonne ! De la salope de chez salope ! Il faut que j’y aille, mais demain midi, je vais te faire ta fête, je te remplirai, le foutre te sortira par les yeux et par le nez, ma belle !
- Allez, viens à la salle de bain, on m’attend au salon !
Et moi, je file. Mari cocu, mari déçu. Huit années d’un mariage, apparemment heureux, viennent de s’effondrer, de voler en éclats. C’est triste, mais c’est la cruelle réalité. Ma femme en pince pour un amant violent. Je suis cocu et menacé d’impuissance ! Je dois préparer ma défense et ma contre-attaque. Je n’espère pas la voir revenir à moi, au contraire j’ai tout à craindre de la mise en œuvre des consignes édictées par Marcel. Mieux vaut me méfier de mes repas préparés par elle. Je bâtirai ma vie sans elle; je crois savoir qui m’aidera.
L’un des clients de notre entreprise d’installation sanitaire et chauffage que j’ai dépanné récemment, cherchait un locataire pour son appartement de type3. Il accepte de me le louer officiellement à partir du premier. Je lui ai raconté mon infortune. Il m’a consolé selon la formule consacrée entre hommes:
- Toutes des salopes, sauf ma mère .
Si je veux faire les tapisseries, je peux l’occuper demain, il me remet les clés, on règlera les papiers. Je me rends dans le café situé en face du salon de coiffure, m’assieds près d’une fenêtre et peu avant 18 heures, je vois Marcel remettre un sachet à Émilie sur le seuil du salon. Je me précipite au sex-shop et j’achète quelques gadgets, mon cadeau d’adieu à Émilie, car je dois la quitter si je veux vivre en bonne santé. Je me rends, ensuite, à la grande surface, passe à la caisse de Laure. Elle débauche à 19 heures. Nous nous arrêtons dans un bar. C’est rapide, mais je fonce tête baissée :
- Laure, veux-tu de moi ?
- Quoi ? Répète ! J’ai bien entendu ?
- Tu m’as dit que tu me regrettais, alors je te propose de vivre avec moi !
- Ne te moque pas de moi. Tu es marié à une très jolie femme. Si c’est juste pour coucher, pas question : je suis une fille sérieuse, quoi que tu penses de moi ! Et puis, il y a Marcel, tu ne le connais pas. Jaloux et violent, je me tiens à carreau, sinon je dérouille !
- Ah ! Bon, j’espérais que tu étais sincère ! J’ai décidé de divorcer. J’étais si heureux du hasard qui m’avait amené chez toi. Excuse-moi !
- C’est quoi ce délire ? Tu divorces, tu te mets avec moi ? Explique !
- La cause du divorce, tu la connaîtras bientôt ! Si tu veux de moi, je t’épouserai ! Souviens-toi, on s’était juré de s’aimer toute la vie. Alors, tu veux ou tu veux pas, comme dit la chanson ?
- Je n’y crois pas ! Bien sûr que je voudrais, mais…
- Pas de mais, viens avec moi, je vais te montrer notre futur appartement !
L’appartement lui plaît. Nous emménagerons vendredi puisque c’est son jour de repos. Qu’elle se prépare discrètement. Nous nous embrassons amoureusement. Il faut que je rentre, il est tard. Elle a des étoiles plein les yeux.
Je suis encore marié. Émilie accepte de croire que j’ai fait des heures supplémentaires sur une panne. Elle a préparé mon repas de demain. A la cuisine je remarque un flacon sur la table de travail. Elle le range dans un placard. Après le repas du soir, Émilie se dit épuisée. Je sais que son travail n’est pas seul en cause. Elle va se coucher sans regarder son feuilleton télévisé. Voilà le signe de fatigue le plus convainquant : rater un épisode de ce feuilleton interminable est vraiment anormal. Marcel l’a vraiment bousculée et fatiguée.
Je devrais comprendre. Mais je ne veux pas comprendre justement. Je veux l’épuiser, lui faire perdre le goût de s’envoyer en l’air demain avec son amant. Je rêve de les séparer, de les pousser à la rupture. Non pour la récupérer, je ne pourrai plus jamais avoir confiance en une femme prête à me faire avaler du bromure. J’insiste pour obtenir un gros câlin. Un refus réclamerait une explication. J’insiste parce que, contrairement à elle, je sais que c’est notre dernière nuit.
De la salle de bain au lit, je colle à sa peau, j’attrape un sein, je pince une fesse, je me presse contre son dos, je l’embrasse derrière l’oreille, je lui passe une main entre les jambes. Elle aimerait résister, son vagin se souvient encore de notre union d’hier, prétexte-t-elle. Elle ne peut pas invoquer la copulation adultère de l’après-midi qui l’a certainement crevée. Mon empressement l’embarrasse. Elle doit regretter de ne pas avoir versé sa dosette de poudre dans le souper. Je m’étonne :
- Pourtant j’ai été très doux. Tu es irritée? Il faudra consulter ta gynécologue. Veux-tu que je demande un rendez-vous ? Montre-moi tes plaies !
- Grand fou ! Regarde, puisqu’il le faut !
Qui pourrait dater avec précision les derniers frottements, comment pourrais-je attribuer à un tiers les rougeurs de son vagin ? Émilie me montre son sexe, l’ouvre à la demande et grimace quand j’effleure les nymphes.
- Je connais le remède : il faut appliquer une cuillerée à soupe de sirop de corps d’homme, respecter la dose prescrite. Le remède doit être frais et absorbé à la sortie du tube !
Émilie rit de la mauvaise plaisanterie. Marcel a moins marqué ses zygomatiques que ses muqueuses vaginales. Elle aimerait les préserver en vue de son prochain rendez-vous. Elle se jette à pleine bouche sur mon membre. S’il s’agit d’éviter une pénétration douloureuse, en travaillant avec les doigts, les lèvres et la langue, elle a raison de tenter l’opération. Je réplique de la même manière, je suce et mordille longuement les abords de son sexe, je fais entrer deux doigts enduits de salive et les secoue vivement. Ça fait "Switch", "swouitch", "Switch", "switt", "fuitcg", "ffuitt". La mouille les entoure, produit ce bruit de glissement dans un liquide.
Les fesses montent, retombent en spirales endiablées. Son corps se soulève comme électrisé , se cabre et s’affaisse, se tend puis s’effondre. Elle ne confessera pas sa relation coupable. Elle aime la bite de Marcel plus que Marcel. Il serait si simple de me dire :
- Je veux vivre avec Untel ou Telautre. Non, elle me trompe mais veut me garder. C’est incompréhensible. Alors elle peut sangloter, parler de douleur, je lui fait payer sa conduite et son projet d’endormir mon sexe.
Émilie m’implore, je suis sans pitié. Mes doigts accélèrent, tournent contre les parois, les raclent, ma langue frotte, le clitoris rougit sous les interminables suçons. Elle se tord, fait des bonds, dit non, oui, s’effondre, enfin, emportée par un violent orgasme. Ça fait un moment qu’elle a lâché mon pénis pour clamer son plaisir ascendant, mais contrarié par les excès du jour.
- Maintenant, attelons-nous à la production du remède prescrit ! Suce.
Tu ne pourrais pas attendre demain ! Je n’en peux plus, j’ai sommeil !
Elle peut toujours espérer me calmer au bromure, demain je n’avalerai pas son repas.
- Demain soir, qui sait si je serai encore ici ?
Elle fronce ses sourcils, si soigneusement dessinés.
- Qu’est-ce que tu me racontes ? Tu envisages de me quitter parce que je suis lasse après une journée de travail ! Bourreau, allez viens, puisque tu en as envie aussi fort !
Allez comprendre, elle a un amant et craint de me perdre ? Par elle je serai amoindri, humilié, mais mari soumis. Vache, comme dit Marcel !
Cette fois, j’envoie trois doigts, de quoi la combler comme un Marcel épanoui, gonflé au viagra. Quand un bras fatigue, l’autre prend le relais. Le pouce inoccupé écrase le clitoris de plus en plus sensible. Ah ! Elle préfère l’amour vache, je vais la servir. Elle jouit mieux quand Marcel est brutal. Je vais changer, imiter le mâle qui la bouscule, cet aspect de moi que je jugeais devoir juguler, elle va le découvrir, je vais lui laisser des regrets. Son masochisme va être satisfait.
Émilie supporte difficilement le déferlement de secousses et de caresses rudes. D’une hanche à l’autre, elle bondit, comme un poisson tiré de l’eau. Elle gémit, crie, supplie d’arrêter. Je choisis ces supplications pour la pénétrer une dernière fois. J’y mets toutes mes forces, me propulse avec la rage du cocu mécontent et hurle plus fort que Marcel !
- Tiens, prends, tiens, tiens !
Je ne suis plus moi, je suis hors de moi, fou de sa trahison. Le spasme vient, je sens monter la semence, elle se précipite en saccades dans la verge. Je me cramponne solidement, l’écrase de toutes mes forces, reste planté dans la chaleur de la gaine irritée et verse ma contribution au fond de ce vagin stérile depuis huit ans. Elle n’a plus la force de protester, ni de courir au bidet. Peut-être gardera-t-elle de moi un souvenir vivant, peut-être Marcel l’a-t-il déjà fécondée ? Peut-être le doute sur l’origine de son enfant satisfera-t-il sa notion élastique de la fidélité conjugale ?
Marcel lui a promis une charge formidable, ça fera combien de louches ? Elle en rêve sans doute en dormant. Ce soir il me reste quelque chose à vérifier. Je fouille le placard, je prends, entre mes doigts protégés, le flacon, l’ouvre, hume, puis je respire l’odeur de la gamelle : elle a suivi la consigne, je serai impuissant, si….
Je déballe mon cadeau. Un pénis en plastique à picots: j’y introduis la pile qui va en faire un vibromasseur géant. Je retourne au lit et place l’engin sous mon oreiller, j’avance l’heure de la sonnerie du réveil. Je dors. Le réveil sonne. J’embrasse ma femme, je la caresse, je l’étonne par ce réveil amoureux :
- Chéri, tu exagères ce matin ! Ça ne t’a pas suffi hier soir. Bon, mais vite. Tu pousses.
Couverture repoussée, elle présente son sexe entre les jambes jetées de côté, ferme les yeux et attend presque avec indifférence. Je réveille la vulve d’un baiser, dégage le passage, pointe le vibreur lubrifié, appuie et l’envoie à fond jusqu’à la garde.
- Quoi, qu’est-ce que tu fais ? Tu es fou. Louis, pitié. Tu me tues.
- Je te prépare en accéléré, j’ai tellement envie de toi ! Tu sens, c’est un vibromasseur de dernière génération, puissant et mobile. C’est un cadeau ! Parfois, j’ai l’impression que tu restes insatisfaite quand on a fait l’amour. J’ai pensé faciliter ton plaisir avec cet instrument. Beaucoup de femmes y recourent, m’a dit le vendeur. Attends, j’augmente la vitesse ! Et encore un peu plus vite !
Émilie retient sa respiration, tente de me faire croire qu’elle reste insensible. Je presse sur la commande, cette fois, les cinq centimètres de l’extrémité se mettent à tourner, la semelle du pied se met à vibrer sur le haut de la vulve. Les yeux de ma femme s’affolent, sa bouche se relâche, bave un peu de mousse; ses mâchoires se décontractent et elle laisse échapper des plaintes déchirantes. Cet engin est d’une efficacité redoutable. Dernière épreuve, je le fais aller et venir, le sors et le rentre, les picots frottent le vagin en montant et en descendant. Émilie s’arrache les cheveux !
- Retire ça et viens sur moi !
- Plus le temps ! Mais ce soir, je te promets un feu d’artifice !
Après ce traitement mécanique ses rapports avec Marcel deviendront une punition. Un peu plus tard, je m’apprête à partir. Emilie me rappelle :
- Louis, tu as oublié ta gamelle ? Tu rentres à midi ?
- Ah, non ! Matin et soir, ça me convient et me semble raisonnable, nous ne sommes pas des bêtes. Maintenant si tu veux faire l’amour à midi, parle, je ferai une exception pour toi.
- Qu’est-ce que tu as avalé ? Pense à ta santé. Tu as raison, deux fois par jour c’est presque trop. Soyons sage, si tu veux que ça dure. Attendons ce soir pour savoir si ton envie demeure aussi forte.
Elle pense que sa poudre va calmer ma libido. Je lui montre ma gamelle
Pardon, c’est quoi aujourd’hui, dans ma gamelle?
- Une nouvelle recette, la saveur devrait te plaire, mon amour ! J’ai tellement de plaisir à mitonner des spécialités pour toi, mon amour.
Ho ! La salope
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le bromure qui est un sédatif a souvent été utilisé dans les cliniques psychiatriques
pour calmer la libido des patients (pratiques aujourd'hui interdites)comme dit Marcel
l'armée l'a bien utilisé aussi pour les mêmes raisons ainsi que certains éleveurs de
bétail et j'ignore si c'est toujours admis
pour calmer la libido des patients (pratiques aujourd'hui interdites)comme dit Marcel
l'armée l'a bien utilisé aussi pour les mêmes raisons ainsi que certains éleveurs de
bétail et j'ignore si c'est toujours admis
le bromure c'est blanc? en poudre ? nocif?
Utiliser du bromure compromet la santé ? c'est pas un tentative d'empoisonnement punissable ? Le bromure altère la santé ou reste inefficace sur l'érection ?Quelle est la part de vérité ou de légende ?
je lui faiS payer je fais (l'auteur)