Titre de l'histoire érotique : Le gîte naturisme, 7 ème chapitre. Des voyeurs se rincent l'oeil et ça les excitent.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Le gîte naturisme, 7 ème chapitre. Des voyeurs se rincent l'oeil et ça les excitent.
Ils passent à l’acte sans se soucier des voyeurs
Les aventures d’Anne et Patrick racontées par les deux protagonistes.
LE GITE NATURISTE
Chapitre 7
Anne.
Cela fait maintenant 3 jours que j’ai fait la connaissance de Patrick et je ne pense qu’à vivre à nouveau avec lui ces moments de plaisir torride.
Mais je n’ai pas pu de toute cette journée m’isoler avec lui, Pierre était toujours dans les alentours. J’ai suggéré à Patrick de m’inviter à aller faire les magasins, sachant que Pierre déteste ça.
Il a tout de suite sauté sur l’occasion et nous propose :
- Demain, je dois aller faire des courses à Lyon, à l’origine, je n’avais prévu qu’un séjour de 48h pour découvrir la vie de naturiste et je dois dire que ça me plait au-delà de mes espérances malgré l’appréhension du néophyte. Il faut que je fasse quelques achats indispensables, vous m’accompagnez ?
- Pas pour moi, répond Pierre, moins longtemps je suis dans ces magasins, mieux je me porte, et toi Anne ?
- Tu seras toujours le même, avec toi il ne faut jamais rien acheter mais tu es le premier qui se plaint quand il manque quelque chose ! Si tu veux bien, je vais profiter de la proposition de Patrick.
- Fais comme tu veux, je préfère retourner à la pêche, j’ai bien amorcé mon coin hier et ça devrait mordre aujourd’hui.
Nous prenons la route et je lui suggère:
- Tu te souviens de ce que je t’avais demandé ? Je fantasme sur les hommes en string, peut-être par contraste de voir tout le monde le sexe à l’air au gîte. Je connais un sex-shop à Lyon, si tu es d’accord, on y fera un tour après nos emplettes.
-Pourquoi-pas ! J’essaierai de trouver pour toi une petite robe sexy.
- Je voudrais qu’elle soit estivale, moulante, courte et décolletée. Tu pourras me conseiller.
Une heure après, nos courses faites, nous nous garons à proximité du magasin, il est situé dans une petite rue avec une vitrine disons assez neutre quand on sait ce qui est proposé à l’intérieur.
Nous entrons main dans la main. Le magasin est sombre, petit. Au comptoir se trouve un homme jeune et dans les rayons je vois un homme assez âgé qui feuillette des revues.
Nous explorons les rayons, je viens de repérer ce que je cherche, un string homme tout noir et je suis impatiente de voir Patrick le passer.
Pour moi, j’ai choisi 3 robes, une première en lycra très moulante avec un décolleté en v et dans le dos, laissant dénudé ma chute de rein....
La seconde est en tissu, très courte avec un décolleté en rond préformée sur le devant pour les seins exposant la poitrine jusqu’aux aréoles, interdit de lever les bras sinon…
La troisième (celle que je préfère) est encore plus courte et moulante dans un tissu léger un peu transparent, des bretelles permettent à chaque pan de tissu de découvrir un décolleté faramineux et avec deux fentes sur les cotés montrant le fil du string à chaque pas.
Je prends les articles et l’accompagne dans la cabine d’essayage.
On y entre, on laisse le rideau ouvert. Il retire son pantacourt et son slip, je présente le string au niveau de ses pieds, il passe une jambe après l’autre dedans et je remonte le minuscule bout de tissu le long de ses mollets puis de ses cuisses.
Mes mains passent au niveau de ses fesses musclées pour finir l’ascension du string et j’ai enfin sous les yeux ce qui me fait le plus bicher, un beau mâle avec son organe reproducteur qui gonfle le peu de tissu côté face.
Le problème avec Patrick, et c’est pour ça que je tenais tant à le voir harnaché par ce type de sous-vêtement, et d’ailleurs il m’avait prévenu, c’est que sa queue au repos fait quand même 15 cm de long et 5 de large. Le string n’est pas conçu pour de telles massues.
- Je te l’avais bien dit, les strings, ce n’est pas fait pour moi.
- Si, si, c’est super. Attends, je vais essayer de ranger ton service 3 pièces.
Mes mains essaient de dresser sa verge pour qu’elle ne ressorte ni d’un côté ni de l’autre, mais c’est peine perdue, et de toute façon, sa queue est si épaisse qu’elle repousse le tissu sur le devant qui ne cache plus grand-chose.
Je m’escrime, espérant toujours arriver à mes fins, mais je ne réussis qu’à déclencher avec mes papouilles une réaction bien naturelle. Sa verge gonfle et s’allonge, je prends mon téléphone et filme pour immortaliser la chose. Le triangle de tissu se déforme de plus en plus sous l’énorme pression de ce formidable piston.
La bosse enfle et remonte lentement, je la vois arriver à l’élastique de ceinture qui résiste vaillamment mais succombe doucement en s’écartant de son bas-ventre.
Un bout violet apparaît et tel un champignon de Paris continue de s’élever découvrant le chapeau de plus en plus gros. Mais le spectacle n’est pas fini, la hampe toute aussi massive propulse le gland trigonocéphale, l’escalade ne s’arrête qu’une fois que son nombril a disparu derrière cette poutre dressée à la verticale.
La vision de Patrick avec ce string et ce sexe qui dépasse est hyper sensuelle. Il faut acheter ce petit bout de tissu, c’est trop bien.
-Il faudra que je mette cette vidéo en ligne, elle va faire exploser les compteurs !
Soudain je m’aperçois que le vieux monsieur n’a rien raté du spectacle, je suis contente car j’adore être épiée et c’est pour ça que je n’ai pas fermé le rideau. Patrick ne semble pas gêné.
Il garde le string sur lui.
- Bon, c’est à mon tour, pousses-toi un peu pour me faire un peu plus de place.
Je retire à mon tour, le rideau toujours ouvert, mes vêtements, ne gardant que mon string. Patrick est sorti de la cabine, il est dans l’allée, me regardant.
J’enfile la 1ère robe en lycra, je dois me trémousser pour l’enfiler et demande un peu d’aide à Patrick, ça n’arrange pas son problème coté string, son gourdin en bande de plus bel.
Je suis dubitative en me voyant dans le miroir et la retire avant d’enfiler la robe suivante. Le vieux est resté figé, il se rince l’œil sans même se cacher.
Elle est en tissu bleu, très courte avec un décolleté en rond préformée sur le devant mettant vraiment en valeurs mon opulente poitrine.
- Que penses-tu de celle là, Patrick ?
- Un vrai pousse au viol mais elle expose bien la marchandise, je ne sais que te dire, demande au vendeur, et aussitôt, il le hèle.
- Help, Monsieur, vous pouvez venir nous dire ce que vous pensez de sa robe ?
Je n’ai pas le temps de lui répondre que le jeune vendeur se pointe.
On lui offre un sacré spectacle mais il doit en voir de toutes les couleurs dans son commerce. Un étalon avec un mât de cocagne qui dépasse du string qui lui dit d’admirer sa belle jument dans une robe dont le décolleté montre les seins jusque au bord des aréoles!
- La taille est bonne, la poitrine n’est pas trop serrée, quand pensez-vous?
- Cette robe vous va à ravir Madame, il faudra peut-être faire une légère retouche au niveau de la poitrine mais à porter pour un public averti quand -même.
Et sans aucune gêne, il pose sa main droite sur un de mes seins qui s’échappe de la robe, pendant que son autre main saisit le tissu et corrige l’incident. Deux doigts encadrent le téton récalcitrant qu’il guide dans le décolleté. Quel coquin !
-Voila ! Mais il faudra faire attention à ne pas faire de mouvement brusque et je félicite aussi Monsieur qui porte admirablement bien notre article, quoi que… Là… Je ne peux rien faire pour y remédier. Il faudrait un modèle spécial taillé aux mesures de Monsieur. Vous avez bien de la chance, Madame !
On dirait qu’il aime plus les hommes que les femmes, le loustic !
Il s’éloigne, je me dessape pour essayer mon 3ème choix, elle est encore plus courte et moulante à souhait dans un tissu léger et assez élastique un peu transparent, des bretelles transparentes sont assez discrètes et maintiennent les pans de la robe qui dévoilent mes seins et mon nombril, deux fentes montent de chaque coté pour permettre la marche mais on voit le fil du string.
-Tu es superbe la dedans Anne, mais ce fil est disgracieux, tu sais ce qu’il te reste à faire ?
Je vois où il veut en venir, glisse mes mains dans les fentes de la robe et descends mon string, je suis entièrement nue sous la robe.
-Là… C’est beaucoup mieux, si elle te plait, je te l’offre.
Je lui saute au coup et l’embrasse, je sens appuyé contre mon ventre cette barre d’acier qui décidément ne veut plus débander. Lui sent mes « mamelles » collées contre sa poitrine.
Nous nous changeons et remettons nos habits. Le vieux s’éloigne radieux, en levant le pouce pour nous remercier du spectacle gratuit.
Nous passons à la caisse pour régler nos achats.
- Je vous remercie de votre visite et j’espère que vos achats vous donneront entière satisfaction. Vous pouvez aussi profiter de nos cabines de projection et vous n’avez pas vu tous les beaux objets que nous avons, peut-être une prochaine fois ? Bonne journée.
- Oui vous de même, au revoir.
Nous quittons le magasin avec nos emplettes et regagnons la voiture.
Je confie à Patrick :
-Promets-moi que nous y retournerons, j’aurai tant aimée découvrir encore d’autres sensations en ce lieu.
Patrick m’avoue :
-Si le vieux n’avait pas été là, je t’aurais prise dans la cabine, trouvons vite un endroit, je ne peux pas attendre qu’on soit revenu au camping, regarde, là, un parking souterrain !
Et il s’engouffre dans l’accès, gare le véhicule dans le coin le plus sombre, coupe le moteur et me saute dessus.
Je suis aussi chaude que lui. Excitée comme une puce, je lorgne sur la bosse révélatrice de son pantacourt, jaugeant son excitation à travers le tissu.
Mais je ne suis pas satisfaite de ses dimensions et fais sortir le loup du bois.
Je dégrafe sa ceinture et déboutonne la braguette, descends un peu son slip pour faire jaillir son membre, il me facilite la tâche en relevant le bassin et j’en profite pour baisser jusqu’aux genoux ses vêtements. Son sexe jaillit à ce moment et je retrouve enfin devant mes yeux sa queue si épaisse.
Je me jette dessus telle la salope que je suis et referme ma main sur la hampe de son pieu.
De son côté, il glisse ses doigts dans ma culotte et constate que je suis déjà trempée, il fourre ses doigts sur ma vulve, glissant son index sur ma fente tandis que j’entreprends de le caresser.
Il ne faut que quelques instants pour que sa verge retrouve sa dureté ferrugineuse qui me fascine tant.
J’agite mes doigts sur son rostre et j’ondule du bassin pour l’aider à baisser ma culotte bloquée en bas de mes cuisses.
Nous nous branlons mutuellement comme ça un moment, il plonge sa main entre mes cuisses et m’embrasse avec passion.
Je gémis de plus en plus fort sous ses attouchements. Nous nous crispons à chaque fois qu’une voiture passe près de la nôtre. A un moment même, les phares d’une voiture éclairent la scène de nos corps soudés.
Ça m’excite de risquer d’être surprise en plein ébat mais ne peux arrêter mon envie de sexe, enjambant le levier de vitesse, je me positionne face à lui, un genou de part et d’autre de ses jambes et lentement, très lentement, me laisse descendre sur son bâton dressé.
Je suis si mouillée que son engin entre en moi comme dans du beurre. Quand il bute au fond de mon fourreau, je mets en œuvre mes muscles intimes qui massent son pénis à chaque pénétration. Je serre et sens que cela l’excite. Il semble se retenir.
J’accélère mes mouvements du bassin, mes contractions sont de moins en moins maîtrisées quand survient mon premier orgasme dans un soupir langoureux. Je ne peux me retenir :
- Chéri ! Je jooouuuiiisss !
Il doit mettre sa main sur mes lèvres pour étouffer mes cris de jouissance mais je suis devenue folle, j’entreprends un mouvement lancinant de haut en bas en ondulant du bassin, à la fois doux et ferme.
Mon sexe trempé est devenu un véritable puits dans lequel plonge son énorme flotteur.
Je retiens difficilement mes cris de jouissance, oubliant où nous sommes.
Il me laboure… Je le chevauche… Quand je remarque deux jeunes qui se rincent l’œil. Depuis quand ?
Je veux prévenir Patrick mais il est devenu sourd à mes paroles.
Que va-t-il faire ? Pour le savoir il faudra lire la suite d’ici quelques jours.
Les aventures d’Anne et Patrick racontées par les deux protagonistes.
LE GITE NATURISTE
Chapitre 7
Anne.
Cela fait maintenant 3 jours que j’ai fait la connaissance de Patrick et je ne pense qu’à vivre à nouveau avec lui ces moments de plaisir torride.
Mais je n’ai pas pu de toute cette journée m’isoler avec lui, Pierre était toujours dans les alentours. J’ai suggéré à Patrick de m’inviter à aller faire les magasins, sachant que Pierre déteste ça.
Il a tout de suite sauté sur l’occasion et nous propose :
- Demain, je dois aller faire des courses à Lyon, à l’origine, je n’avais prévu qu’un séjour de 48h pour découvrir la vie de naturiste et je dois dire que ça me plait au-delà de mes espérances malgré l’appréhension du néophyte. Il faut que je fasse quelques achats indispensables, vous m’accompagnez ?
- Pas pour moi, répond Pierre, moins longtemps je suis dans ces magasins, mieux je me porte, et toi Anne ?
- Tu seras toujours le même, avec toi il ne faut jamais rien acheter mais tu es le premier qui se plaint quand il manque quelque chose ! Si tu veux bien, je vais profiter de la proposition de Patrick.
- Fais comme tu veux, je préfère retourner à la pêche, j’ai bien amorcé mon coin hier et ça devrait mordre aujourd’hui.
Nous prenons la route et je lui suggère:
- Tu te souviens de ce que je t’avais demandé ? Je fantasme sur les hommes en string, peut-être par contraste de voir tout le monde le sexe à l’air au gîte. Je connais un sex-shop à Lyon, si tu es d’accord, on y fera un tour après nos emplettes.
-Pourquoi-pas ! J’essaierai de trouver pour toi une petite robe sexy.
- Je voudrais qu’elle soit estivale, moulante, courte et décolletée. Tu pourras me conseiller.
Une heure après, nos courses faites, nous nous garons à proximité du magasin, il est situé dans une petite rue avec une vitrine disons assez neutre quand on sait ce qui est proposé à l’intérieur.
Nous entrons main dans la main. Le magasin est sombre, petit. Au comptoir se trouve un homme jeune et dans les rayons je vois un homme assez âgé qui feuillette des revues.
Nous explorons les rayons, je viens de repérer ce que je cherche, un string homme tout noir et je suis impatiente de voir Patrick le passer.
Pour moi, j’ai choisi 3 robes, une première en lycra très moulante avec un décolleté en v et dans le dos, laissant dénudé ma chute de rein....
La seconde est en tissu, très courte avec un décolleté en rond préformée sur le devant pour les seins exposant la poitrine jusqu’aux aréoles, interdit de lever les bras sinon…
La troisième (celle que je préfère) est encore plus courte et moulante dans un tissu léger un peu transparent, des bretelles permettent à chaque pan de tissu de découvrir un décolleté faramineux et avec deux fentes sur les cotés montrant le fil du string à chaque pas.
Je prends les articles et l’accompagne dans la cabine d’essayage.
On y entre, on laisse le rideau ouvert. Il retire son pantacourt et son slip, je présente le string au niveau de ses pieds, il passe une jambe après l’autre dedans et je remonte le minuscule bout de tissu le long de ses mollets puis de ses cuisses.
Mes mains passent au niveau de ses fesses musclées pour finir l’ascension du string et j’ai enfin sous les yeux ce qui me fait le plus bicher, un beau mâle avec son organe reproducteur qui gonfle le peu de tissu côté face.
Le problème avec Patrick, et c’est pour ça que je tenais tant à le voir harnaché par ce type de sous-vêtement, et d’ailleurs il m’avait prévenu, c’est que sa queue au repos fait quand même 15 cm de long et 5 de large. Le string n’est pas conçu pour de telles massues.
- Je te l’avais bien dit, les strings, ce n’est pas fait pour moi.
- Si, si, c’est super. Attends, je vais essayer de ranger ton service 3 pièces.
Mes mains essaient de dresser sa verge pour qu’elle ne ressorte ni d’un côté ni de l’autre, mais c’est peine perdue, et de toute façon, sa queue est si épaisse qu’elle repousse le tissu sur le devant qui ne cache plus grand-chose.
Je m’escrime, espérant toujours arriver à mes fins, mais je ne réussis qu’à déclencher avec mes papouilles une réaction bien naturelle. Sa verge gonfle et s’allonge, je prends mon téléphone et filme pour immortaliser la chose. Le triangle de tissu se déforme de plus en plus sous l’énorme pression de ce formidable piston.
La bosse enfle et remonte lentement, je la vois arriver à l’élastique de ceinture qui résiste vaillamment mais succombe doucement en s’écartant de son bas-ventre.
Un bout violet apparaît et tel un champignon de Paris continue de s’élever découvrant le chapeau de plus en plus gros. Mais le spectacle n’est pas fini, la hampe toute aussi massive propulse le gland trigonocéphale, l’escalade ne s’arrête qu’une fois que son nombril a disparu derrière cette poutre dressée à la verticale.
La vision de Patrick avec ce string et ce sexe qui dépasse est hyper sensuelle. Il faut acheter ce petit bout de tissu, c’est trop bien.
-Il faudra que je mette cette vidéo en ligne, elle va faire exploser les compteurs !
Soudain je m’aperçois que le vieux monsieur n’a rien raté du spectacle, je suis contente car j’adore être épiée et c’est pour ça que je n’ai pas fermé le rideau. Patrick ne semble pas gêné.
Il garde le string sur lui.
- Bon, c’est à mon tour, pousses-toi un peu pour me faire un peu plus de place.
Je retire à mon tour, le rideau toujours ouvert, mes vêtements, ne gardant que mon string. Patrick est sorti de la cabine, il est dans l’allée, me regardant.
J’enfile la 1ère robe en lycra, je dois me trémousser pour l’enfiler et demande un peu d’aide à Patrick, ça n’arrange pas son problème coté string, son gourdin en bande de plus bel.
Je suis dubitative en me voyant dans le miroir et la retire avant d’enfiler la robe suivante. Le vieux est resté figé, il se rince l’œil sans même se cacher.
Elle est en tissu bleu, très courte avec un décolleté en rond préformée sur le devant mettant vraiment en valeurs mon opulente poitrine.
- Que penses-tu de celle là, Patrick ?
- Un vrai pousse au viol mais elle expose bien la marchandise, je ne sais que te dire, demande au vendeur, et aussitôt, il le hèle.
- Help, Monsieur, vous pouvez venir nous dire ce que vous pensez de sa robe ?
Je n’ai pas le temps de lui répondre que le jeune vendeur se pointe.
On lui offre un sacré spectacle mais il doit en voir de toutes les couleurs dans son commerce. Un étalon avec un mât de cocagne qui dépasse du string qui lui dit d’admirer sa belle jument dans une robe dont le décolleté montre les seins jusque au bord des aréoles!
- La taille est bonne, la poitrine n’est pas trop serrée, quand pensez-vous?
- Cette robe vous va à ravir Madame, il faudra peut-être faire une légère retouche au niveau de la poitrine mais à porter pour un public averti quand -même.
Et sans aucune gêne, il pose sa main droite sur un de mes seins qui s’échappe de la robe, pendant que son autre main saisit le tissu et corrige l’incident. Deux doigts encadrent le téton récalcitrant qu’il guide dans le décolleté. Quel coquin !
-Voila ! Mais il faudra faire attention à ne pas faire de mouvement brusque et je félicite aussi Monsieur qui porte admirablement bien notre article, quoi que… Là… Je ne peux rien faire pour y remédier. Il faudrait un modèle spécial taillé aux mesures de Monsieur. Vous avez bien de la chance, Madame !
On dirait qu’il aime plus les hommes que les femmes, le loustic !
Il s’éloigne, je me dessape pour essayer mon 3ème choix, elle est encore plus courte et moulante à souhait dans un tissu léger et assez élastique un peu transparent, des bretelles transparentes sont assez discrètes et maintiennent les pans de la robe qui dévoilent mes seins et mon nombril, deux fentes montent de chaque coté pour permettre la marche mais on voit le fil du string.
-Tu es superbe la dedans Anne, mais ce fil est disgracieux, tu sais ce qu’il te reste à faire ?
Je vois où il veut en venir, glisse mes mains dans les fentes de la robe et descends mon string, je suis entièrement nue sous la robe.
-Là… C’est beaucoup mieux, si elle te plait, je te l’offre.
Je lui saute au coup et l’embrasse, je sens appuyé contre mon ventre cette barre d’acier qui décidément ne veut plus débander. Lui sent mes « mamelles » collées contre sa poitrine.
Nous nous changeons et remettons nos habits. Le vieux s’éloigne radieux, en levant le pouce pour nous remercier du spectacle gratuit.
Nous passons à la caisse pour régler nos achats.
- Je vous remercie de votre visite et j’espère que vos achats vous donneront entière satisfaction. Vous pouvez aussi profiter de nos cabines de projection et vous n’avez pas vu tous les beaux objets que nous avons, peut-être une prochaine fois ? Bonne journée.
- Oui vous de même, au revoir.
Nous quittons le magasin avec nos emplettes et regagnons la voiture.
Je confie à Patrick :
-Promets-moi que nous y retournerons, j’aurai tant aimée découvrir encore d’autres sensations en ce lieu.
Patrick m’avoue :
-Si le vieux n’avait pas été là, je t’aurais prise dans la cabine, trouvons vite un endroit, je ne peux pas attendre qu’on soit revenu au camping, regarde, là, un parking souterrain !
Et il s’engouffre dans l’accès, gare le véhicule dans le coin le plus sombre, coupe le moteur et me saute dessus.
Je suis aussi chaude que lui. Excitée comme une puce, je lorgne sur la bosse révélatrice de son pantacourt, jaugeant son excitation à travers le tissu.
Mais je ne suis pas satisfaite de ses dimensions et fais sortir le loup du bois.
Je dégrafe sa ceinture et déboutonne la braguette, descends un peu son slip pour faire jaillir son membre, il me facilite la tâche en relevant le bassin et j’en profite pour baisser jusqu’aux genoux ses vêtements. Son sexe jaillit à ce moment et je retrouve enfin devant mes yeux sa queue si épaisse.
Je me jette dessus telle la salope que je suis et referme ma main sur la hampe de son pieu.
De son côté, il glisse ses doigts dans ma culotte et constate que je suis déjà trempée, il fourre ses doigts sur ma vulve, glissant son index sur ma fente tandis que j’entreprends de le caresser.
Il ne faut que quelques instants pour que sa verge retrouve sa dureté ferrugineuse qui me fascine tant.
J’agite mes doigts sur son rostre et j’ondule du bassin pour l’aider à baisser ma culotte bloquée en bas de mes cuisses.
Nous nous branlons mutuellement comme ça un moment, il plonge sa main entre mes cuisses et m’embrasse avec passion.
Je gémis de plus en plus fort sous ses attouchements. Nous nous crispons à chaque fois qu’une voiture passe près de la nôtre. A un moment même, les phares d’une voiture éclairent la scène de nos corps soudés.
Ça m’excite de risquer d’être surprise en plein ébat mais ne peux arrêter mon envie de sexe, enjambant le levier de vitesse, je me positionne face à lui, un genou de part et d’autre de ses jambes et lentement, très lentement, me laisse descendre sur son bâton dressé.
Je suis si mouillée que son engin entre en moi comme dans du beurre. Quand il bute au fond de mon fourreau, je mets en œuvre mes muscles intimes qui massent son pénis à chaque pénétration. Je serre et sens que cela l’excite. Il semble se retenir.
J’accélère mes mouvements du bassin, mes contractions sont de moins en moins maîtrisées quand survient mon premier orgasme dans un soupir langoureux. Je ne peux me retenir :
- Chéri ! Je jooouuuiiisss !
Il doit mettre sa main sur mes lèvres pour étouffer mes cris de jouissance mais je suis devenue folle, j’entreprends un mouvement lancinant de haut en bas en ondulant du bassin, à la fois doux et ferme.
Mon sexe trempé est devenu un véritable puits dans lequel plonge son énorme flotteur.
Je retiens difficilement mes cris de jouissance, oubliant où nous sommes.
Il me laboure… Je le chevauche… Quand je remarque deux jeunes qui se rincent l’œil. Depuis quand ?
Je veux prévenir Patrick mais il est devenu sourd à mes paroles.
Que va-t-il faire ? Pour le savoir il faudra lire la suite d’ici quelques jours.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le naturisme a le vent en poupe
vive la libération du sexe!!!!
Il m'est déjà arrivée de surprendre un couple en pleine copulation, c'est 10 fois plus fort que de regarder un film porno
Encore... Encore... J'en tire la langue d'impatience et ça frétille dans mon slip
Les chapitres sont de plus en plus chauds