Titre de l'histoire érotique : Leçon de sexe
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : Leçon de sexe
A 19 ans, j'étais dans un collège technique. C'était en 1973. Juste avant que la majorité passe de 21 à 18 ans. Dans la même enceinte, il y avait un lycée technique. L'internat concernait les deux sexes, qu'on soit au collège ou au lycée. J'étais timide avec les filles. Certaines tentaient bien leur chance, mais je n'osais jamais aller plus loin que les bisous sur la joue ou leur tenir la main. Beaucoup se sont lassées d'attendre. Sauf une !
Elle était plus grande et plus musclée que moi. Elle se moquait de moi devant les autres, pour être dans le ton. Mais, la façon dont elle me regardait, quand il n'y avait personne... Je sentais que je lui plaisais.
Un jour où les toilettes étaient en panne, je suis monté à l'étage supérieur. Je ne l'avait pas vue. Au moment d'entrer dans les WC, elle s'est précipité et m'a poussé à l'intérieur. Elle a rabattu la lunette et m'a mis debout sur la cuvette. Elle a pris ma tête entre ses mains et a posé ses lèvres sur les miennes. Sa langue s'est insinuée dans ma bouche, cherchant la mienne.
- C'est pas vrai ! T'as jamais embrassé une fille ? Dit-elle en se reculant.
J'avais l'air triste. Je regardais par terre, l'air idiot.
- C'est pas grave, dit-elle en me caressant les joues. Ecoute, on dira rien à personne, et je vais tout t'apprendre !
Elle se planta devant moi et commanda :
- Tu vas d'abord m'embrasser. Tu mets ta langue dans ma bouche et tu cherches la mienne. Tu goûtes ma salive et moi la tienne. Pendant ce temps-là, tu caresses mes seins, lentement. Tu m'embrasses dans le cou. Maintenant, tu laisses glisser tes mains sur mes hanches, puis sur mes fesses. Là, tu les pétris et tu me colles contre toi. Tes mains remontent dans mon dos. Au passage, tu agrippes mon t-shirt, et l'enlèves. Tu ne lâches surtout pas ma bouche. Après le t-shirt, tu cherches les attaches de mon sous-tif. Tu le dégrafes et le laisse tomber. Tu prends mes seins dans tes mains et tu les malaxe. Là, tu te baisses et suce leurs pointes. Tu me retournes. Tu saisis mon slip et le descends jusqu'à mes pieds. Tu m'assieds et écarte mes cuisses. Tu glisses un doigt dans ma chatte, puis deux pour l'ouvrir, tu te penches et glisses ta langue à l'intérieur. Tu suces le bouton qui se trouve au sommet. Quand je gémis, tu accélères le mouvement de ta langue. Quand j'ai joui, c'est à moi de jouer.
Pendant qu'elle parlait, j'ai fait tout ce qu'elle a dit.
- Ce soir, quand tout le monde dormira, je viendrai te chercher... Souffla-telle, pantelante.
Et, elle est venue. Marchant sans bruit dans le dortoir des garçons, elle s'est approchée de mon lit. Elle m'a secoué doucement, puis a rejeté les couvertures sur le côté. Elle m'a pris dans ses bras, comme une marionnette, et m'a porté dans les escaliers, jusqu'à son lit. Elle m'a embrassé goulûment et m'a retiré tout mes vêtements. Elle m'a couché sur le lit et s'est agenouillée. Elle a léché mes couilles, puis sa langue a humecté la peau de ma pine, puis l'a avalée, jusqu'à la garde, m'arrachant un soupir. J'étais raide comme la justice.
Elle s'est relevée, m'a enjambé, puis s'est laissée retomber sur ma queue bien dressée. Elle s'est penchée de nouveau pour m'embrasser et a commencer de monter et descendre le long de mon sexe. Il n'a pas fallu très longtemps avant que je jouisse en elle..
- Demain, tu m'enculeras, et après ce seras moi qui le ferai ! J'ai dit que je t'apprendrai. Tu sauras tout ce que je sais. Quand tu auras fini avec moi, tu pourras faire l'amour avec n'importe quelle fille. Ou, avec n'importe quel mec, si tu préfères.
Elle était plus grande et plus musclée que moi. Elle se moquait de moi devant les autres, pour être dans le ton. Mais, la façon dont elle me regardait, quand il n'y avait personne... Je sentais que je lui plaisais.
Un jour où les toilettes étaient en panne, je suis monté à l'étage supérieur. Je ne l'avait pas vue. Au moment d'entrer dans les WC, elle s'est précipité et m'a poussé à l'intérieur. Elle a rabattu la lunette et m'a mis debout sur la cuvette. Elle a pris ma tête entre ses mains et a posé ses lèvres sur les miennes. Sa langue s'est insinuée dans ma bouche, cherchant la mienne.
- C'est pas vrai ! T'as jamais embrassé une fille ? Dit-elle en se reculant.
J'avais l'air triste. Je regardais par terre, l'air idiot.
- C'est pas grave, dit-elle en me caressant les joues. Ecoute, on dira rien à personne, et je vais tout t'apprendre !
Elle se planta devant moi et commanda :
- Tu vas d'abord m'embrasser. Tu mets ta langue dans ma bouche et tu cherches la mienne. Tu goûtes ma salive et moi la tienne. Pendant ce temps-là, tu caresses mes seins, lentement. Tu m'embrasses dans le cou. Maintenant, tu laisses glisser tes mains sur mes hanches, puis sur mes fesses. Là, tu les pétris et tu me colles contre toi. Tes mains remontent dans mon dos. Au passage, tu agrippes mon t-shirt, et l'enlèves. Tu ne lâches surtout pas ma bouche. Après le t-shirt, tu cherches les attaches de mon sous-tif. Tu le dégrafes et le laisse tomber. Tu prends mes seins dans tes mains et tu les malaxe. Là, tu te baisses et suce leurs pointes. Tu me retournes. Tu saisis mon slip et le descends jusqu'à mes pieds. Tu m'assieds et écarte mes cuisses. Tu glisses un doigt dans ma chatte, puis deux pour l'ouvrir, tu te penches et glisses ta langue à l'intérieur. Tu suces le bouton qui se trouve au sommet. Quand je gémis, tu accélères le mouvement de ta langue. Quand j'ai joui, c'est à moi de jouer.
Pendant qu'elle parlait, j'ai fait tout ce qu'elle a dit.
- Ce soir, quand tout le monde dormira, je viendrai te chercher... Souffla-telle, pantelante.
Et, elle est venue. Marchant sans bruit dans le dortoir des garçons, elle s'est approchée de mon lit. Elle m'a secoué doucement, puis a rejeté les couvertures sur le côté. Elle m'a pris dans ses bras, comme une marionnette, et m'a porté dans les escaliers, jusqu'à son lit. Elle m'a embrassé goulûment et m'a retiré tout mes vêtements. Elle m'a couché sur le lit et s'est agenouillée. Elle a léché mes couilles, puis sa langue a humecté la peau de ma pine, puis l'a avalée, jusqu'à la garde, m'arrachant un soupir. J'étais raide comme la justice.
Elle s'est relevée, m'a enjambé, puis s'est laissée retomber sur ma queue bien dressée. Elle s'est penchée de nouveau pour m'embrasser et a commencer de monter et descendre le long de mon sexe. Il n'a pas fallu très longtemps avant que je jouisse en elle..
- Demain, tu m'enculeras, et après ce seras moi qui le ferai ! J'ai dit que je t'apprendrai. Tu sauras tout ce que je sais. Quand tu auras fini avec moi, tu pourras faire l'amour avec n'importe quelle fille. Ou, avec n'importe quel mec, si tu préfères.
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