Titre de l'histoire érotique : Le père vincent et sa chose...
Récit érotique écrit par Nahuatl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Le père vincent et sa chose...
En hommage appuyé à une histoire lue sur ce site. L’auteur se reconnaitra et qu’elle en soit remerciée.
Déjà plus d’un mois que le père Vincent l’a baisée. Car pour l’avoir baisée, il l’a baisée !! Elle en a convenu à elle-même très vite. Il l’a faite jouir comme jamais. Et pas qu’une fois. Le salaud !
Les premiers jours, elle se cachait, évitait d’être seule, fermait sa porte… Et puis après une semaine, rassurée elle a repris son rythme. Puis l’a guetté… si, si, elle se l’est avoué aussi elle en aurait bien repris. Mais de père Vincent, point. Il ne passait plus dans cette rue. Il allait bien, elle l’apercevait au loin mais… il ne venait point !!!
Alors, de désir en frustration… l’idée a germé en elle. Au début elle en a ri, s’est traitée de folle. Et puis, insidieusement, la nécessité est apparue : elle irait le voir une nuit chez lui !!!!
Un déplacement du mari. Ca arrivait. Et la voila qui se prépare. Douche, parfum, petite robe, pas de soutien-gorge. String. String ? non , finalement : rien ! Elle enlève le bout de tissu, se regarde. C’est bon, je ne suis pas trop moche.
Il est 1h du matin et personne ne traine plus dans le village. N’empèche que des précautions, elle en prend. Et la voila devant la porte du septuagénaire. « il a du fermer, tu n’y as même pas pensé.. ! quelle cruche tu fais !! »
Elle pousse la petite poignée et la porte s’ouvre ! Le temps de s’habituer à la lumière et elle distingue le lit, au fond de la pièce, plus clair. Elle s’approche et une voix familière lui demande
-c’est donc toi, t’es v’nue la Fabienne ? fo-t-y qu’t’en veuilles du cul !
-oui , père Vincent, prenez moi, j’ai envie
-viens par là !
Docile la femme habituellement sure d’elle avance en tremblant…elle sent la main du vieux qui fouille sous sa robe, remonte le long de la cuisse par l’intérieur, heurte le sexe tout en haut des jambes. Que c’est bon… Les doigts ont senti que de culotte point…
- T’as pas d’culotte ? t'as bien fait ! ça sert à rien
Les doigts sont déjà dans la chatte, ils sont trois qui dansent le rigodon, avançant, reculant, tournant ; les jambes se sont écartées, la chatte de Fabienne déjà trempée en entrant dégouline le long de ses jambes. Elle rougit dans le noir, le feu brule ses joues. Le vieux a passé la tête sous la robe de Fabienne toujours debout, il la lèche et mordille , c’est si doux. Déjà elle se sent partir. Déjà elle grimpe une première fois aux rideaux ! « déjà ça » se surprend-elle à se dire.
Avec ses trois doigts enfoncés dans son étui, le pouce part en exploration du côté de son anus… ile le trouve, le titille un moment et bing ! s’introduit sans plus de cérémonies. Alors commence un branle de feu. Prenant appui sur le pouce fiché dans le cul de la mère de famille, les doigts malaxent plus qu’ils ne branlent la chatte de Fabienne, elle s’accroche au fronton de ce vieux lit pour ne pas tomber, elle mord son bras pour ne pas crier quand surviennent les orgasmes… il la masturbe sans ménagement,longtemps...
-dis donc, j’tai bien branlée, faut m’sucer. Amène ton bec
Il repousse le drap, il est à poil et il bande comme un cerf.
Elle le prend en bouche, il lui dit « t’as senti ? je m’lave depuis l’ot jour. J’savais qu’tu viendrai ma garce. Quand l’père Vincent y nique, la gueuse, elle oublie pas.
Et Fabienne pompe ce nœud avec amour, avec toute sa science. La bourgeoise suce ce vieux et adore ça. Elle lèche la longue tige, suce les bourses, et enfourne à nouveau la grosse bite du papy.
Il est radieux le ptit père. Il laisse faire…il apprécie. Il encourage même !!!
-c’est bon, vas-y plus profond, làààà continue, plus vite…attends recommence… !
La plus belle femme du village, une madame quoi, est là , venue en cachette au milieu de la nuit et le suce, le pompe…lui le petit vieux…
Il lui attrape la tête et lui baise la bouche, elle risque d’étouffer mais il continue et s’arrête au bord de la jouissance. Les larmes coulent des yeux de Fabienne mais elle est heureuse d’avoir donné du bonheur à son amant.
Et lui demande de la baiser !
- prends moi , pere vincent, maintenant ! murmure-t-elle
- A quat’pattes !
Elle s’exécute…il pousse ses reins plus bas, sa croupe est saillante au maximum. Telle qu’elle est là, humilié, elle offre sa chatte et son cul à ce vieux vicieux. Elle se répète qu’elle est barjot…
Mais le vieux va la baiser. Il enfile sa queue interminable dans l’étui brulant et commence à pistonner. Et c’est tout de suite infernal … tellement bon ! paradisiaque, oui !! elle jouit avec une facilité qui la stupéfie et sens monter un nouvel orgasme presqu’immédiatement après le précédent. C’est fou, c’est trop fort…
Elle finit par s’évanouir de bonheur… !!!
Le pere Vincent la réveille et lui propose de rentrer. Non !! elle en veut encore.
-il faut finir pere vincent, il faut finir…
- mais t'es une sacrée salope! moi qui t'croyais sérieuse! T'sais les femmes du village elles y ont toute passé mais toi, j'osions point m'approcher. comme koué!!!
Le vieux la fait coucher sur le lit et relève ses jambes. C’est la première fois qu’elle le voit la baiser se dit-elle ! Pas une gueule d’ange, mais sa queue…oh sa queue… !!!!
Il s’enfonce en elle et la pistonne allegro. Elle adore !! Sa chatte fourrée et folle de bonheur accompagne la grosse queue, la retient, l’aspire, essaie de l’empêcher de sortir et défaille à chaque poussée du bonhomme ! Elle caresse le dos de son male, le griffe, elle écarte les cuisses, essayant d’avaler le maximum de millimètres de queue !!!
-ah c’est bon j’sens qu’tu vas r’cevoir !
Et la bite s’enfonce dans des bruits de clapotis qui trouent la nuit sans cesse et la Fabienne, ben elle se prend encore un panard puissance 4 et le vieux qui lui demande
-grimpe sur moué, j’veux t’vouere monter et descendre sur ma bite !
Il s’allonge, elle s’assoit lentement sur ce mandrin qui lui amène tant de plaisir. Elle n’en finit pas de descendre, et la queue n’en finit pas de s’enfoncer…Elle arrive enfin à être assise, elle a tout enfourné…quelle salope…quelle gourmande… Et elle peut commencer à pomper ce dard avec sa chatte, montant, descendant, montant… à ce petit jeu vous pensez bien que la Dame s’envoie encore en l’air. Et plutôt deux fois qu’une !!! Alors le petit vieux prend les choses en mains. Il la bloque lorsqu’elle est à moitié enfoncée sur sa bite et la tenant fermement aux hanches, il bourre la chatte comme s’il disputait un grand prix. A fond la caisse. Tout participe, l’odeur de mouille, le bruit des clapotis, les râles de la femelle en rut, les ahans du vieux… tout participe à ce que finalement il beugle un « ouiiiiiii » qui troue la nuit du village. Avant de s’effondrer, les couilles vidées, enfin.
Fabienne va se laver à l’évier, pour avoir ramassé, elle a ramassé!!! Quel pied, mais quel pied se dit-elle !
Elle se retourne pour remercier son amant...il ronfle comme un sonneur… !
Elle se rentre, chaque pas lui rappelle le bonheur qu’a connu son bas-ventre, ça glisse et c’est chaud entre ses cuisses…
-je suis peut-etre une salope après tout ? se demande-t-elle
Quant à moi, c’est décidé. Demain je me déguise en petit vieux et je tente ma chance auprès de Fabienne !
A vos messages….
Déjà plus d’un mois que le père Vincent l’a baisée. Car pour l’avoir baisée, il l’a baisée !! Elle en a convenu à elle-même très vite. Il l’a faite jouir comme jamais. Et pas qu’une fois. Le salaud !
Les premiers jours, elle se cachait, évitait d’être seule, fermait sa porte… Et puis après une semaine, rassurée elle a repris son rythme. Puis l’a guetté… si, si, elle se l’est avoué aussi elle en aurait bien repris. Mais de père Vincent, point. Il ne passait plus dans cette rue. Il allait bien, elle l’apercevait au loin mais… il ne venait point !!!
Alors, de désir en frustration… l’idée a germé en elle. Au début elle en a ri, s’est traitée de folle. Et puis, insidieusement, la nécessité est apparue : elle irait le voir une nuit chez lui !!!!
Un déplacement du mari. Ca arrivait. Et la voila qui se prépare. Douche, parfum, petite robe, pas de soutien-gorge. String. String ? non , finalement : rien ! Elle enlève le bout de tissu, se regarde. C’est bon, je ne suis pas trop moche.
Il est 1h du matin et personne ne traine plus dans le village. N’empèche que des précautions, elle en prend. Et la voila devant la porte du septuagénaire. « il a du fermer, tu n’y as même pas pensé.. ! quelle cruche tu fais !! »
Elle pousse la petite poignée et la porte s’ouvre ! Le temps de s’habituer à la lumière et elle distingue le lit, au fond de la pièce, plus clair. Elle s’approche et une voix familière lui demande
-c’est donc toi, t’es v’nue la Fabienne ? fo-t-y qu’t’en veuilles du cul !
-oui , père Vincent, prenez moi, j’ai envie
-viens par là !
Docile la femme habituellement sure d’elle avance en tremblant…elle sent la main du vieux qui fouille sous sa robe, remonte le long de la cuisse par l’intérieur, heurte le sexe tout en haut des jambes. Que c’est bon… Les doigts ont senti que de culotte point…
- T’as pas d’culotte ? t'as bien fait ! ça sert à rien
Les doigts sont déjà dans la chatte, ils sont trois qui dansent le rigodon, avançant, reculant, tournant ; les jambes se sont écartées, la chatte de Fabienne déjà trempée en entrant dégouline le long de ses jambes. Elle rougit dans le noir, le feu brule ses joues. Le vieux a passé la tête sous la robe de Fabienne toujours debout, il la lèche et mordille , c’est si doux. Déjà elle se sent partir. Déjà elle grimpe une première fois aux rideaux ! « déjà ça » se surprend-elle à se dire.
Avec ses trois doigts enfoncés dans son étui, le pouce part en exploration du côté de son anus… ile le trouve, le titille un moment et bing ! s’introduit sans plus de cérémonies. Alors commence un branle de feu. Prenant appui sur le pouce fiché dans le cul de la mère de famille, les doigts malaxent plus qu’ils ne branlent la chatte de Fabienne, elle s’accroche au fronton de ce vieux lit pour ne pas tomber, elle mord son bras pour ne pas crier quand surviennent les orgasmes… il la masturbe sans ménagement,longtemps...
-dis donc, j’tai bien branlée, faut m’sucer. Amène ton bec
Il repousse le drap, il est à poil et il bande comme un cerf.
Elle le prend en bouche, il lui dit « t’as senti ? je m’lave depuis l’ot jour. J’savais qu’tu viendrai ma garce. Quand l’père Vincent y nique, la gueuse, elle oublie pas.
Et Fabienne pompe ce nœud avec amour, avec toute sa science. La bourgeoise suce ce vieux et adore ça. Elle lèche la longue tige, suce les bourses, et enfourne à nouveau la grosse bite du papy.
Il est radieux le ptit père. Il laisse faire…il apprécie. Il encourage même !!!
-c’est bon, vas-y plus profond, làààà continue, plus vite…attends recommence… !
La plus belle femme du village, une madame quoi, est là , venue en cachette au milieu de la nuit et le suce, le pompe…lui le petit vieux…
Il lui attrape la tête et lui baise la bouche, elle risque d’étouffer mais il continue et s’arrête au bord de la jouissance. Les larmes coulent des yeux de Fabienne mais elle est heureuse d’avoir donné du bonheur à son amant.
Et lui demande de la baiser !
- prends moi , pere vincent, maintenant ! murmure-t-elle
- A quat’pattes !
Elle s’exécute…il pousse ses reins plus bas, sa croupe est saillante au maximum. Telle qu’elle est là, humilié, elle offre sa chatte et son cul à ce vieux vicieux. Elle se répète qu’elle est barjot…
Mais le vieux va la baiser. Il enfile sa queue interminable dans l’étui brulant et commence à pistonner. Et c’est tout de suite infernal … tellement bon ! paradisiaque, oui !! elle jouit avec une facilité qui la stupéfie et sens monter un nouvel orgasme presqu’immédiatement après le précédent. C’est fou, c’est trop fort…
Elle finit par s’évanouir de bonheur… !!!
Le pere Vincent la réveille et lui propose de rentrer. Non !! elle en veut encore.
-il faut finir pere vincent, il faut finir…
- mais t'es une sacrée salope! moi qui t'croyais sérieuse! T'sais les femmes du village elles y ont toute passé mais toi, j'osions point m'approcher. comme koué!!!
Le vieux la fait coucher sur le lit et relève ses jambes. C’est la première fois qu’elle le voit la baiser se dit-elle ! Pas une gueule d’ange, mais sa queue…oh sa queue… !!!!
Il s’enfonce en elle et la pistonne allegro. Elle adore !! Sa chatte fourrée et folle de bonheur accompagne la grosse queue, la retient, l’aspire, essaie de l’empêcher de sortir et défaille à chaque poussée du bonhomme ! Elle caresse le dos de son male, le griffe, elle écarte les cuisses, essayant d’avaler le maximum de millimètres de queue !!!
-ah c’est bon j’sens qu’tu vas r’cevoir !
Et la bite s’enfonce dans des bruits de clapotis qui trouent la nuit sans cesse et la Fabienne, ben elle se prend encore un panard puissance 4 et le vieux qui lui demande
-grimpe sur moué, j’veux t’vouere monter et descendre sur ma bite !
Il s’allonge, elle s’assoit lentement sur ce mandrin qui lui amène tant de plaisir. Elle n’en finit pas de descendre, et la queue n’en finit pas de s’enfoncer…Elle arrive enfin à être assise, elle a tout enfourné…quelle salope…quelle gourmande… Et elle peut commencer à pomper ce dard avec sa chatte, montant, descendant, montant… à ce petit jeu vous pensez bien que la Dame s’envoie encore en l’air. Et plutôt deux fois qu’une !!! Alors le petit vieux prend les choses en mains. Il la bloque lorsqu’elle est à moitié enfoncée sur sa bite et la tenant fermement aux hanches, il bourre la chatte comme s’il disputait un grand prix. A fond la caisse. Tout participe, l’odeur de mouille, le bruit des clapotis, les râles de la femelle en rut, les ahans du vieux… tout participe à ce que finalement il beugle un « ouiiiiiii » qui troue la nuit du village. Avant de s’effondrer, les couilles vidées, enfin.
Fabienne va se laver à l’évier, pour avoir ramassé, elle a ramassé!!! Quel pied, mais quel pied se dit-elle !
Elle se retourne pour remercier son amant...il ronfle comme un sonneur… !
Elle se rentre, chaque pas lui rappelle le bonheur qu’a connu son bas-ventre, ça glisse et c’est chaud entre ses cuisses…
-je suis peut-etre une salope après tout ? se demande-t-elle
Quant à moi, c’est décidé. Demain je me déguise en petit vieux et je tente ma chance auprès de Fabienne !
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
L'auteur a demandé des commentaires... superbe!
cool la suite :)
BRAVO!Toujours aussi excellente comme histoire,on aurait envie d'être à la place du père
Vincent!!!!
Vincent!!!!
Elle ose se reconnaitre. Et cette histoire est superbement écrite.
Merci encore et une suite s'impose.
Merci encore et une suite s'impose.
Mon ami, c'est superbe, l'idée, les détails...
Extra...
Ecrivain
Extra...
Ecrivain
super