Titre de l'histoire érotique : Le photographe
Récit érotique écrit par Subtilparis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Le photographe
A quel moment peut-on dire qu’on est « expérimentés » dans le milieu libertin ? Pour notre part nous estimions que ce serait après notre septième rencontre et nous la préparions avec soin. Mais avant nous avions le sentiment qu’il nous manquait un élément décisif pour nous faire reconnaître : de belles photos érotiques – porno – de nous deux en action. Le moins qu’on puisse dire c’est que nous ne manquions pas de propositions. Même seulement photographiées par moi dans notre appartement le 95D de Caroline, ses courbes, ses poses, amenaient à nous un flot de propositions de photographes plus ou moins sérieux. Plutôt moins, avec parfois des books faméliques, certains prétendant se faire payer, d’autres être « payés en nature ». Rien de bien enthousiasmant quoi quand nous fumes contactés par un photographe qui se disait Allemand et venir souvent à Paris pour ses affaires et en profiter pour proposer à des couples de poser pour lui. Ses photos étaient très belles et un couple pour lequel il avait travaillé nous confirma qu’il était « excellent ».
Ce ne fut pas une décision facile à prendre, faire confiance à un inconnu, tout lui montrer, mais Caroline était motivée et voilà comment nous nous retrouvâmes dans son hôtel un mercredi soir. Un bel hôtel, pas un palace, qu’il nous expliqua « apprécier surtout pour son décor ». Les murs étaient blancs, le mobilier noir, les rideaux blancs et noirs, c’était chic.
« Vous recevez souvent des couples ici ? » La discussion était polie. Comme si nous rencontrions un vieil ami. Il avait préparé du champagne, un excellent Veuve Cliquot, et nous mettait à l’aise d’un français presque parfait ; il était venu étudier le doit français à Perpignan il y a quelques années. Caroline le buvait littéralement des yeux. 1 m 90, musclé, fin, il était carrément très beau. Loin des clichés que nous nous étions fait d’un photographe forcément adipeux et ne pensant qu’à culbuter Caroline passées les deux premières photos. Nous étions bien loin du compte.
Il proposa rapidement à Caroline de mettre une des robes qu’elle avait apportées. C’était une robe en cuir noir très longue au décolleté affirmé qui lui donnait un côté très dominatrice. Premières photos. Sages. Puis à quatre pattes. Un sein révélé. « Enlevez la robe. » En-dessous elle portait une guêpière et des bas. Pas de culotte comme il l’avait demandé. « Très jolie. Voilà, montrez vos seins. Oui prenez les à pleine main. Là. Ecartez les cuisses. Assise. Oui touchez-vous. Encore. Les seins. Le clitoris. Très jolie cette fente rasée. En arrière. Ecartez les jambes. Levez-les. » Les ordres se suivaient. De plus en plus précis. Je sentais Caroline prête à obéir à tous. Y compris s’il lui demandait de la sucer mais il restait dans son monde. Très pro. Photographe avant tout. Tournait autour d’elle. Prenant des dizaines de photos. « Oui à quatre pattes. Regardez-vous dans le miroir. Ce sein. Sébastien venez. »
Jusque-là je n’étais qu’un spectateur fasciné. En érection mais discret. Là notre photographe me demandait de participer. « Allez suce le. Vous attirerez plein de couples avec ces photos. » Je sortis donc mon sexe pour me faire sucer. J’avais déjà remarqué que Caroline me suçait divinement pendant nos soirées libertines. Excitée sa bouche ne semblait pas avoir la même texture. Elle était beaucoup plus douce. Sa langue plus agile. Elle m’aspirait littéralement. Et ce soir elle était dans cet état. Me suçant, soupesant mes bourses, les léchant. J’enlevais mon pantalon, ma chemise, j’avais envie d’elle. Notre Allemand nous prenait en photos. Nu j’entrepris de la lécher. C’était trop bon quand elle me prenait la tête à pleine main. Enfin je la pris. En levrette comme elle aimait. Sur moi. Par devant. Le côté. Notre photographe nous disait « Doucement, doucement, ne jouis pas. » C’était juste divin mais aussi très frustrant. Et lui qui ne bougeait pas. Enfin il nous dit « ça suffit, j’ai tout ce dont j’ai besoin ».
Je n’avais pas joui et Caroline non plus si j’en crois son visage et ses expressions mais nous étions dans un état d’excitation juste dément. Je n’en crus pas mes oreilles en m’entendant proposer à notre photographe de « participer » s’il le souhaitait. Encore moins de l’entendre répondre que « Non, ce n’était pas professionnel ». Pas professionnel mais ses prestations étaient gratuites. Et ses photos très réussies comme nous le virent quelques jours plus tard en les recevant chez nous.
Ce ne fut pas une décision facile à prendre, faire confiance à un inconnu, tout lui montrer, mais Caroline était motivée et voilà comment nous nous retrouvâmes dans son hôtel un mercredi soir. Un bel hôtel, pas un palace, qu’il nous expliqua « apprécier surtout pour son décor ». Les murs étaient blancs, le mobilier noir, les rideaux blancs et noirs, c’était chic.
« Vous recevez souvent des couples ici ? » La discussion était polie. Comme si nous rencontrions un vieil ami. Il avait préparé du champagne, un excellent Veuve Cliquot, et nous mettait à l’aise d’un français presque parfait ; il était venu étudier le doit français à Perpignan il y a quelques années. Caroline le buvait littéralement des yeux. 1 m 90, musclé, fin, il était carrément très beau. Loin des clichés que nous nous étions fait d’un photographe forcément adipeux et ne pensant qu’à culbuter Caroline passées les deux premières photos. Nous étions bien loin du compte.
Il proposa rapidement à Caroline de mettre une des robes qu’elle avait apportées. C’était une robe en cuir noir très longue au décolleté affirmé qui lui donnait un côté très dominatrice. Premières photos. Sages. Puis à quatre pattes. Un sein révélé. « Enlevez la robe. » En-dessous elle portait une guêpière et des bas. Pas de culotte comme il l’avait demandé. « Très jolie. Voilà, montrez vos seins. Oui prenez les à pleine main. Là. Ecartez les cuisses. Assise. Oui touchez-vous. Encore. Les seins. Le clitoris. Très jolie cette fente rasée. En arrière. Ecartez les jambes. Levez-les. » Les ordres se suivaient. De plus en plus précis. Je sentais Caroline prête à obéir à tous. Y compris s’il lui demandait de la sucer mais il restait dans son monde. Très pro. Photographe avant tout. Tournait autour d’elle. Prenant des dizaines de photos. « Oui à quatre pattes. Regardez-vous dans le miroir. Ce sein. Sébastien venez. »
Jusque-là je n’étais qu’un spectateur fasciné. En érection mais discret. Là notre photographe me demandait de participer. « Allez suce le. Vous attirerez plein de couples avec ces photos. » Je sortis donc mon sexe pour me faire sucer. J’avais déjà remarqué que Caroline me suçait divinement pendant nos soirées libertines. Excitée sa bouche ne semblait pas avoir la même texture. Elle était beaucoup plus douce. Sa langue plus agile. Elle m’aspirait littéralement. Et ce soir elle était dans cet état. Me suçant, soupesant mes bourses, les léchant. J’enlevais mon pantalon, ma chemise, j’avais envie d’elle. Notre Allemand nous prenait en photos. Nu j’entrepris de la lécher. C’était trop bon quand elle me prenait la tête à pleine main. Enfin je la pris. En levrette comme elle aimait. Sur moi. Par devant. Le côté. Notre photographe nous disait « Doucement, doucement, ne jouis pas. » C’était juste divin mais aussi très frustrant. Et lui qui ne bougeait pas. Enfin il nous dit « ça suffit, j’ai tout ce dont j’ai besoin ».
Je n’avais pas joui et Caroline non plus si j’en crois son visage et ses expressions mais nous étions dans un état d’excitation juste dément. Je n’en crus pas mes oreilles en m’entendant proposer à notre photographe de « participer » s’il le souhaitait. Encore moins de l’entendre répondre que « Non, ce n’était pas professionnel ». Pas professionnel mais ses prestations étaient gratuites. Et ses photos très réussies comme nous le virent quelques jours plus tard en les recevant chez nous.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est bien dommage!! J'aurais aimé qu'il profite de ta femme et de la domination qu'il exerçait sur elle et sur toi...
Tu aurais aimé qu'il la saute?
Moi à ta place, bien que n'ayant jamais vécu ça, je crois que ça m'aurait grave excité!!
A bientôt par mail peut-être...
Tu aurais aimé qu'il la saute?
Moi à ta place, bien que n'ayant jamais vécu ça, je crois que ça m'aurait grave excité!!
A bientôt par mail peut-être...
Tout bon photographe professionnel ou pas qui se respecte restera "professionnel" dans ces circonstances...
On ne mélange pas les genres : faire des photos érotiques (même pornographiques si j'en crois le texte) implique de ne pas participer...
On ne mélange pas les genres : faire des photos érotiques (même pornographiques si j'en crois le texte) implique de ne pas participer...