Titre de l'histoire érotique : Le plaisir primitif par ma soumission
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Le plaisir primitif par ma soumission
Le plaisir primitif par ma soumission
Il s’agit là d’une troisième histoire avec ce noir massif que j’ai rencontré à la fac. On s’y était rencontré, il m’avait baisé puis foutu dehors. Plus tard on s’était revu au hasard des allers et venues sur le campus et il m’avait convaincu de le suivre dans sa voiture puis chez lui où il m’a forcé à lui faire des gorges profondes.
C’est clairement un salaud manipulateur, mais ce salaud baise tellement bien. Et surtout je l’ai dans la peau. Je n’y peux rien : je ne peux pas lui résister. Ce n’est pas qu’il me contrôle, mais à son contact, c’est tellement bon de perdre le contrôle que j’ai sur moi-même.
Avec lui, mon cerveau se déconnecte automatiquement et seuls mes instincts primitifs guident mes pas et mes gestes. Je perds toute inhibition pour redevenir un animal suivant ses plus bas instincts. Et ces instincts naturels me poussent naturellement à me soumettre à lui quand il me le demande, sans me poser de questions.
Est-ce une relation saine ? Sûrement que non, mais mes instincts primaires n’en ont cure.
Suis-je un trou pour baiser, qu’il appelle quand il en a envie ? Certainement. Et j’aime ça. Quand il m’appelle, je cours pour sentir son corps et son animalité m’envahir.
Car ensemble, nous somme des animaux ; lui le lion dominant, et moi la gazelle, sa proie.
L’autre jour, il m’a appelé pour passer. J’ai abandonné tout ce que je faisais pour le retrouver chez lui. J’étais déjà commandé par mes instincts de soumis. Une fois sur place, je fus surpris d’apprendre que lui et son colocataire partaient faire une partie de foot dans le parc. Il m’a dit d’attendre son retour dans sa chambre. Puis ils sont partis.
J’étais seul chez lui et j’en ai profité pour fouiller dans ses affaires. Instinctivement, j’ai commencé par le bac à linge sale et j’ai sorti ses tee shirts et caleçons pour sentir son odeur de mâle puissant. Enivrant… J’ai également fouillé dans sa poubelle et j’ai vu des capotes usagées remplies de sperme. Je savais qu’il avait une fiancée mais il ne devait pas utiliser de préservatifs avec elle. Je n’étais donc pas sa seule pute. Ça aurait dû me gêner mais finalement, non. Mon mâle peut avoir d’autres putes, c’est son droit de dominant. Je faisais partie de son harem, et surtout, il n’utilisait aucune capote avec moi ; j’avais le droit à son sperme.
Avoir couru jusqu’à chez lui m’avait fait transpirer, et mon excitation et la chaleur caniculaire de ce mois de juillet 2015 n’arrangeaient rien. J’étais en sueur.
Il est finalement rentré avec son pote. Tandis que celui-ci est allé dans sa chambre, mon mâle m’a rejoint dans la sienne, où je l’attendais en caleçon, allongé sur son lit. Quand il est entré, il s’est dévêtu, et son corps était luisant de transpiration. Ça a rendu l’animal primitif que j’étais devenu fou. Ce corps massif recouvert de sa sueur bestiale… Je me suis collé contre lui et, instinctivement, ai ressenti le besoin de lui lécher tout le corps. Sa peau, qui en temps normal a un goût exotique et fort, n’en était que meilleur.
J’embrassais chaque centimètre carré de sa peau, ou la léchais complètement. Il s’est allongé sur le lit. J’ai ôté mon caleçon et l’y ai rejoint. Je lui ai retiré le sien pour que nous nous retrouvions nus tous les deux. Je me suis mis à califourchon sur lui et je l’ai embrassé à pleine bouche.
Mon baiser était passionnel. Pas une passion amoureuse, une passion bestiale. Avec lui, je ne peux pas faire les choses à moitié ou du bout des lèvres. Mon appétit est alors vorace.
A califourchon sur lui, je sentais son sexe dur contre le mien et je les faisais se frotter. Je descendais peu à peu vers ses aisselles, son torse, son ventre. Nos peaux glissaient l’une contre l’autre sous l’effet de la sueur.
Je suis finalement arrivé à son bassin. Sans réfléchir, j’ai saisi son sexe et l’ai enfourné dans ma bouche pour lui prodiguer une fellation comme il aime. Il aime les fellations profondes, quand je prends toute sa bite dans ma gorge et que je m’étouffe presque avec. C’est ainsi qu’il me l’a enseigné, dans sa voiture. Depuis j’aime ça. J’aime ça, avec lui. Il y des choses que je ne fais jamais avec d’autres, que je fais avec plaisir avec lui. Comme lécher son anus. Là encore, c'est avec passion que j'ai mis mon visage entre ses fesses et que j'ai léché son anus.
Son sexe est très beau et le gland, plutôt rosé, attire véritablement ma langue et mes lèvres et j'aime m'attarder dessus, le prendre dans ma bouche et le masser avant d'avaler toute sa queue,
Pendant que je le suce, il aime que je lui saisisse le scrotum. Je lui masse les boules, je les lui avale, C'est tout mon visage que j'insère entre ses cuisses et contre son sexe, me laissant m'imprégner de son odeur intime.
La pipe a tendance à l'exciter et une fois qu'il est bien excité, je ne peux que subir sa domination et sa force physique. Donc quand il a décidé que la pipe était finie, il m'a repoussé, s'est levé , m'a saisi comme une petite chose et m'a fait me mettre à 4 pattes sur le lit. Le match avait dû l'échauffer car cette fois il était particulièrement énergique. Je le sentais dans ses gestes et la force de sa poigne quand il me pétrissait les fesses.
Donc une fois en position, j'étais dans l'attente de me faire pénétrer par mon mâle. Seulement, quand il a fini de m'habituer à la gorge profonde, il m'a initié à une autre pratique violente : la sodomie sans lubrifiant autre que ma salive et sans douceur. J'aime sa force et sa brutalité mais la 1ère pénétration est extrêmement douloureuse : au même moment je ressents un grand plaisir mental quand il me malmène et une grande douleur physique.
Encore cette fois, il s'est positionné derrière moi, m'a saisi par les épaules, a fait pénétrer seulement le bout de son gland. Je redoute et attend avec envie ce moment. Puis, il a donné un grand coup de bassin tout en me tirant à lui par l'épaule pour une pénétration qui me fit hurler. Il a inséré sa queue en moi jusqu'à la garde. C'est toujours un moment dur à passer. Il attend rarement que la douleur passe et encore cette fois il m'a baisé tout de suite après.
Il m'a besogné en levrette avec beaucoup de force, ne pouvant ignorer la douleur physique que je ressentais mais connaissant pertinemment le plaisir mental que ça me procurait. Je sentais sa grosse bite noire s'enfoncer en moi tandis que la douleur s'effaçait pour laisser place au plaisir. Plaisir physique et mental, j'étais réellement au 7ème ciel, le niveau de plaisir qu'on atteint quand il n'existe plus aucune barrière ou limite chez soi. C'était comme si chaque pénétration de son pénis m'électrisait jusqu'au cerveau, encore et encore,
J'étais tellement déconnecté de la réalité à me faire chevaucher par mon mâle et à crier que je n'ai pas réalisé que son ami était entré et nous matait. Je l'ai aperçu quand il s'est approché de moi et a sorti sa queue près de ma bouche. Il voulait que je le suce. Terrassé par le plaisir sexuel et tenant à peine sur mes 4 pattes, je n'ai pas eu la force de résister et il a inséré sa queue dans ma bouche, ou plutôt il m'a baisé la bouche.
Au moment de jouir, il a râlé mais avant qu'il éjacule dans ma bouche, mon mâle lui a dit de dégager, et que ma bouche n'appartenait qu'à lui. Je vous laisse imaginer ce que j'ai ressenti et ma fierté. Quand mon mâle fait de moi sa chasse gardée et sa pute attitrée. Du coup, le gars a éjaculé sur mon visage et est parti.
A terme, mon mâle s'est planté au fond de moi, s'est vidé les couilles puis s'est écroulé sur le lit. Submergé par le plaisir et tentant de récupérer mon souffle, je me suis lové contre lui. J'ai réalisé que je sentais le sperme de l'autre et ça m'a gêné ; je ne voulais sentir que lui. Je me suis essuyé le visage et la bouche et j'ai sucé à nouveau mon mâle jusqu'au bout. J'étais comblé.
Il s’agit là d’une troisième histoire avec ce noir massif que j’ai rencontré à la fac. On s’y était rencontré, il m’avait baisé puis foutu dehors. Plus tard on s’était revu au hasard des allers et venues sur le campus et il m’avait convaincu de le suivre dans sa voiture puis chez lui où il m’a forcé à lui faire des gorges profondes.
C’est clairement un salaud manipulateur, mais ce salaud baise tellement bien. Et surtout je l’ai dans la peau. Je n’y peux rien : je ne peux pas lui résister. Ce n’est pas qu’il me contrôle, mais à son contact, c’est tellement bon de perdre le contrôle que j’ai sur moi-même.
Avec lui, mon cerveau se déconnecte automatiquement et seuls mes instincts primitifs guident mes pas et mes gestes. Je perds toute inhibition pour redevenir un animal suivant ses plus bas instincts. Et ces instincts naturels me poussent naturellement à me soumettre à lui quand il me le demande, sans me poser de questions.
Est-ce une relation saine ? Sûrement que non, mais mes instincts primaires n’en ont cure.
Suis-je un trou pour baiser, qu’il appelle quand il en a envie ? Certainement. Et j’aime ça. Quand il m’appelle, je cours pour sentir son corps et son animalité m’envahir.
Car ensemble, nous somme des animaux ; lui le lion dominant, et moi la gazelle, sa proie.
L’autre jour, il m’a appelé pour passer. J’ai abandonné tout ce que je faisais pour le retrouver chez lui. J’étais déjà commandé par mes instincts de soumis. Une fois sur place, je fus surpris d’apprendre que lui et son colocataire partaient faire une partie de foot dans le parc. Il m’a dit d’attendre son retour dans sa chambre. Puis ils sont partis.
J’étais seul chez lui et j’en ai profité pour fouiller dans ses affaires. Instinctivement, j’ai commencé par le bac à linge sale et j’ai sorti ses tee shirts et caleçons pour sentir son odeur de mâle puissant. Enivrant… J’ai également fouillé dans sa poubelle et j’ai vu des capotes usagées remplies de sperme. Je savais qu’il avait une fiancée mais il ne devait pas utiliser de préservatifs avec elle. Je n’étais donc pas sa seule pute. Ça aurait dû me gêner mais finalement, non. Mon mâle peut avoir d’autres putes, c’est son droit de dominant. Je faisais partie de son harem, et surtout, il n’utilisait aucune capote avec moi ; j’avais le droit à son sperme.
Avoir couru jusqu’à chez lui m’avait fait transpirer, et mon excitation et la chaleur caniculaire de ce mois de juillet 2015 n’arrangeaient rien. J’étais en sueur.
Il est finalement rentré avec son pote. Tandis que celui-ci est allé dans sa chambre, mon mâle m’a rejoint dans la sienne, où je l’attendais en caleçon, allongé sur son lit. Quand il est entré, il s’est dévêtu, et son corps était luisant de transpiration. Ça a rendu l’animal primitif que j’étais devenu fou. Ce corps massif recouvert de sa sueur bestiale… Je me suis collé contre lui et, instinctivement, ai ressenti le besoin de lui lécher tout le corps. Sa peau, qui en temps normal a un goût exotique et fort, n’en était que meilleur.
J’embrassais chaque centimètre carré de sa peau, ou la léchais complètement. Il s’est allongé sur le lit. J’ai ôté mon caleçon et l’y ai rejoint. Je lui ai retiré le sien pour que nous nous retrouvions nus tous les deux. Je me suis mis à califourchon sur lui et je l’ai embrassé à pleine bouche.
Mon baiser était passionnel. Pas une passion amoureuse, une passion bestiale. Avec lui, je ne peux pas faire les choses à moitié ou du bout des lèvres. Mon appétit est alors vorace.
A califourchon sur lui, je sentais son sexe dur contre le mien et je les faisais se frotter. Je descendais peu à peu vers ses aisselles, son torse, son ventre. Nos peaux glissaient l’une contre l’autre sous l’effet de la sueur.
Je suis finalement arrivé à son bassin. Sans réfléchir, j’ai saisi son sexe et l’ai enfourné dans ma bouche pour lui prodiguer une fellation comme il aime. Il aime les fellations profondes, quand je prends toute sa bite dans ma gorge et que je m’étouffe presque avec. C’est ainsi qu’il me l’a enseigné, dans sa voiture. Depuis j’aime ça. J’aime ça, avec lui. Il y des choses que je ne fais jamais avec d’autres, que je fais avec plaisir avec lui. Comme lécher son anus. Là encore, c'est avec passion que j'ai mis mon visage entre ses fesses et que j'ai léché son anus.
Son sexe est très beau et le gland, plutôt rosé, attire véritablement ma langue et mes lèvres et j'aime m'attarder dessus, le prendre dans ma bouche et le masser avant d'avaler toute sa queue,
Pendant que je le suce, il aime que je lui saisisse le scrotum. Je lui masse les boules, je les lui avale, C'est tout mon visage que j'insère entre ses cuisses et contre son sexe, me laissant m'imprégner de son odeur intime.
La pipe a tendance à l'exciter et une fois qu'il est bien excité, je ne peux que subir sa domination et sa force physique. Donc quand il a décidé que la pipe était finie, il m'a repoussé, s'est levé , m'a saisi comme une petite chose et m'a fait me mettre à 4 pattes sur le lit. Le match avait dû l'échauffer car cette fois il était particulièrement énergique. Je le sentais dans ses gestes et la force de sa poigne quand il me pétrissait les fesses.
Donc une fois en position, j'étais dans l'attente de me faire pénétrer par mon mâle. Seulement, quand il a fini de m'habituer à la gorge profonde, il m'a initié à une autre pratique violente : la sodomie sans lubrifiant autre que ma salive et sans douceur. J'aime sa force et sa brutalité mais la 1ère pénétration est extrêmement douloureuse : au même moment je ressents un grand plaisir mental quand il me malmène et une grande douleur physique.
Encore cette fois, il s'est positionné derrière moi, m'a saisi par les épaules, a fait pénétrer seulement le bout de son gland. Je redoute et attend avec envie ce moment. Puis, il a donné un grand coup de bassin tout en me tirant à lui par l'épaule pour une pénétration qui me fit hurler. Il a inséré sa queue en moi jusqu'à la garde. C'est toujours un moment dur à passer. Il attend rarement que la douleur passe et encore cette fois il m'a baisé tout de suite après.
Il m'a besogné en levrette avec beaucoup de force, ne pouvant ignorer la douleur physique que je ressentais mais connaissant pertinemment le plaisir mental que ça me procurait. Je sentais sa grosse bite noire s'enfoncer en moi tandis que la douleur s'effaçait pour laisser place au plaisir. Plaisir physique et mental, j'étais réellement au 7ème ciel, le niveau de plaisir qu'on atteint quand il n'existe plus aucune barrière ou limite chez soi. C'était comme si chaque pénétration de son pénis m'électrisait jusqu'au cerveau, encore et encore,
J'étais tellement déconnecté de la réalité à me faire chevaucher par mon mâle et à crier que je n'ai pas réalisé que son ami était entré et nous matait. Je l'ai aperçu quand il s'est approché de moi et a sorti sa queue près de ma bouche. Il voulait que je le suce. Terrassé par le plaisir sexuel et tenant à peine sur mes 4 pattes, je n'ai pas eu la force de résister et il a inséré sa queue dans ma bouche, ou plutôt il m'a baisé la bouche.
Au moment de jouir, il a râlé mais avant qu'il éjacule dans ma bouche, mon mâle lui a dit de dégager, et que ma bouche n'appartenait qu'à lui. Je vous laisse imaginer ce que j'ai ressenti et ma fierté. Quand mon mâle fait de moi sa chasse gardée et sa pute attitrée. Du coup, le gars a éjaculé sur mon visage et est parti.
A terme, mon mâle s'est planté au fond de moi, s'est vidé les couilles puis s'est écroulé sur le lit. Submergé par le plaisir et tentant de récupérer mon souffle, je me suis lové contre lui. J'ai réalisé que je sentais le sperme de l'autre et ça m'a gêné ; je ne voulais sentir que lui. Je me suis essuyé le visage et la bouche et j'ai sucé à nouveau mon mâle jusqu'au bout. J'étais comblé.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super!!! Tu veux bien recommencer et me présenter ton black, j'adorerai lui être entièrement soumise...
Ohhh!!
Ohhh!!