Titre de l'histoire érotique : Le tumultueux retour de Tamara
Récit érotique écrit par DMN [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Le tumultueux retour de Tamara
Léa repartie, je me mis le lendemain même au travail pour préparer la remise à niveau de Tamara.
Parce que c’est bien beau de la fesser, mais avant tout, c’est un coaching pour son examen qu’elle veut, ce qui demande donc que je sois au top pour l’aider.
Tandis que je me prépare des fiches, je reçois un texto de Léa m’indiquant qu’elle a passé la nuit dans le train et qu’elle est bien arrivée chez elle. L’instant d’après arrive un MMS, je vois apparaitre le fessier de Léa, d’un blanc immaculé, rien n’indique qu’elle a ramassé plusieurs corrections plus ou moins sévères au cours de ces derniers jours.
Je lui réponds que si elle tient à garder ses jolies fesses claires et à bonne température, elle a intérêt à avoir son examen du premier coup, si tel n’est pas le cas …
Elle me dit que mes mains ont besoin de repos et qu’elle fera tout pour ne pas les déranger en œuvre à l’issue de son examen. Adorable de se préoccuper de mes paluches.
Je termine en lui disant que celles-ci vont être pas mal occupées avec Tamara et plus tard Emilie, dont le bulletin transmis le matin même m’a ostensiblement déçu.
Je passe la journée à préparer le nécessaire et me rend ensuite au garde meuble pour tout mettre en place. Je nettoie une nouvelle fois le matériel et procède à une réorganisation totale du coffre.
Dans le premier tiroir se côtoient maintenant les paddles, spatules et tongs.
Le deuxième renferme les cravaches, le martinet, les ceintures et les fils électriques (jamais utilisés).
Enfin, le troisième contient les menottes, les godes le bâillon et un important stock de préservatifs.
Une fois tout le matériel rangé, je passe un appel à Tamara pour lui proposer de passer pour définir un programme optimum pour elle comme pour moi.
Elle me répond qu’elle est à proximité et qu’elle arrive, je la trouve bizarre au téléphone, elle me dit qu’elle m’expliquera dans le box.
Quand elle entre dans le box, je remarque de suite qu’elle a pleuré et qu’elle ne va pas bien.
Elle s’installe dans le canapé, je m’assoie à côté d’elle et lui demande ce qu’il y a. Pour toute réponse, elle éclate en sanglots, je la prends contre moi et essaye de la consoler comme je peux.
Je comprends que la raison de ce chagrin est Lucie, elle a appris par je ne sais quel moyen que Tamara était revenue vers moi et cette garce s’est empressée d’en informer la famille de Tamara dans les Caraïbes.
Je vous laisse imaginer la réaction de ses parents.
Tamara sort juste d’une sacrée engueulade passée par ceux-ci qui menacent de lui couper les vivres si elle ne rompt pas immédiatement sa relation avec moi. Vert de rage à l’idée de perdre Tamara à cause de la jalousie d’une idiote, une idée me vient. Quand Tamara est un peu calmée, je lui demande de me conduire chez elle et de me faire confiance, elle obéit de suite.
Une fois chez elle, je lui demande d’appeler sa famille par Skype, je peux lire l’inquiétude dans ses yeux mais elle obtempère. Je suis derrière elle quand je vois le visage de sa mère.
Etant donné que Tamara a son casque, je n’entends rien mais je déduis en voyant son père et sa petite sœur se pointer derrière qu’ils ne sont pas extrêmement ravis de me rencontrer.
Tamara me cède sa place, je prends le casque et me présente. En effet, ils ne sont pas enchantés, le père est remonté comme un coucou et la mère passablement énervée.
Je leur demande de ne porter aucun crédit aux dires de Lucie pour la simple et bonne raison que sa jalousie par rapport à l’amitié qui nous unit Tamara et moi la pousse à dire n’importe quoi.
Je me lance alors dans une explication montée en partie sur des bases de vérité, mais j’omets de préciser que le derrière de leur fille est passé sous mes mains à quelques reprises, je ne suis pas fou à ce point.
Lorsque j’ai terminé, les parents de la miss sont partagés et ne savent pas à quel saint se vouer. Ils me demandent alors pourquoi Lucie est tellement jalouse de leur fille. Je sors alors le bobard de l’ex jalouse. Je déteste mentir, mais quand c’est pour la bonne cause, je fais un effort.
J’ai porté le coup de grâce à leurs derniers doutes avec cet argument Après s’être excusé auprès de leur fille, ils nous saluent et raccrochent.
Tamara est radieuse, non seulement elle continue ses études en Métropole avec l’aval de ses parents mais en plus, son coach est « le meilleur » (c’est elle qui le dit, pas moi).
Etant donné que nous sommes loin du garde meuble et que je n’avais pas l’intention de faire quoi que ce soit ce soir, je lui explique comment j’ai organisé l’ensemble. Durant la prochaine semaine, comme je suis en congés, et elle en vacances scolaires, nous allons passer beaucoup de temps au garde meuble. Dès demain, au matin, je lui appliquerais la sentence que j’estime égale à ses résultats. J’adore la voir rougir … de partout bien sûr. Ensuite, durant les jours suivants jusqu’à l’arrivée d’Emilie, je la ferais réviser et lui préparerais des interrogations, même principe qu’avec Léa.
Elle m’interroge sur ce qu’il se passera quand la jumelle n°2 sera là, je lui explique que telle que je la connais, Tamara verra la lune tous les jours voire plusieurs fois par jours, elle me demande pourquoi.
Je lui réponds qu’elle aura la réponse demain si ces résultats à l’évaluation me conviennent, elle est frustrée.
Je rentre chez moi non sans difficultés puisque la jolie métisse voulait m’empêcher de rentrer si je ne lui racontais pas l’histoire. Une claque bien appuyée sur son petit cul l’a calmé.
Le lendemain matin, nous nous retrouvons de bonne heure au garde meuble. Tamara a mis une longue robe noire qui descend jusqu’à ses chevilles, ses longs cheveux ondulés arrivant dans le milieu de son dos. Elle est plus habillée pour une soirée qu’autre chose et est absolument superbe.
La miss va s’installer au bureau et commence les exercices que je lui ai préparé. De mon côté, je suis perplexe. Au vu de son bulletin, j’hésite à la fesser soit déculottée soit complètement nue, chose qu’elle n’a jamais faite.
Quand elle a terminé, je l’envoie au coin tandis que je commence à lire l’évaluation qu’elle a remplie, c’est plutôt bien, ce sera donc une déculottée simple, le nu viendra plus tard, promis. Il est 10h30, son derrière va chauffer. Je lui demande de me lire les notes de son bulletin et les moyennes, sans les appréciations.
Elle commence alors le listing pendant que je la couche en travers de mes genoux. Elle a à peine terminé qu’une première claque s’abat sur ses fesses. Elle pousse un petit cri de surprise, tandis qu’une deuxième tombe, puis une troisième et bientôt c’est une belle averse qui s’abat sur son beau derrière. Etant donné qu’elle porte une robe, il est inutile de la redresser pour enlever le bas, je n’ai qu’un geste à faire. Sa robe glisse doucement sur sa peau, dévoilant petit à petit sur ses mollets puis ses cuisses et enfin l’ourlet de sa robe arrive sur ses hanches. Je me retrouve devant un string mauve enfoui profondément dans ses fesses, je me penche alors sur ses fesses et regarde vers son dos. J’y vois un soutien-gorge assorti.
J’enlève directement son string et empoigne l’un des paddles, Tamara me voit faire et l’instant d’après, l’une de ses mains attrape ma cheville. Quand le premier coup s’abat sur ses fesses nues, elle a du mal à contenir le hurlement qui lui monte à la gorge. Au bout des 2 coups suivants, j’attrape le bâillon et lui enfile. Un véritable orage vient ensuite s’abattre sur son derrière, elle bouge dans tous les sens, pleure et crie au travers de son bâillon, sa main me broie la cheville. Je termine rapidement, ce n’est pas la durée qui prime actuellement mais l’intensité et je dois dire que son cul a pris de bonnes couleurs, certes plus nuancées que ceux des jumelles mais quand même.
Je la remets au coin le temps pour elle de se remettre de ses émotions. Je corrige rapidement sa copie et remets tout en place.
Tamara vient dans le canapé, je lui demande si elle estime que la correction reçue précédemment était adéquate à son bulletin et si elle pense avoir mérité que je lui raconte les débuts d’Emilie.
Elle me répond par l’affirmative aux 2 questions. Je lui tends alors sa copie où est inscrit un gros 13 en vert avec un smiley clignant de l’œil. Je commence donc à lui parler des premières fessées des jumelles (voir mes tout premiers récits), avant d’enchainer sur Emilie uniquement. Au fur et à mesure que j’avance dans le récit, je vois les jambes de la miss s’écarter légèrement, tandis que je vois ses tétons pointer sous sa robe, bizarre vu qu’elle a un soutien-gorge. Je pose ma main sur sa cuisse et la fais passer sous sa robe, arrivé entre les jambes de Tamara, je constate que mon histoire lui a fait de l’effet. Je dézippe alors sa robe et la mets nue. Je découvre alors qu’au lieu d’avoir un soutif classique, celui-ci n’a pas de bonnets. Ses tétons sont totalement libres et trahissent un désir très marqué.
La miss se relève et je la fais tourner sur elle-même, elle n’est même plus hyper sexy, elle est …
C’est inqualifiable en fait.
Son string, lui rentre légèrement dans la chatte, tandis que plus haut, ses tétons pointent et ce n’est pas à cause de la température. Elle revient sur moi et m’embrasse à pleine bouche tandis que je sens ses mains déboutonner mon jean puis attraper ma bite avant de commencer à lentement me masturber. Tandis que nous nous embrassons et que Tamara s’occupe de mes attributs, je prends en main la partie supérieure de son anatomie. Elle n’a pas une poitrine très imposante (je penche pour du 90B), ses seins ressemblent à des petites pommes.
Le temps que mon vit soit prêt pour le service, je joue avec ses tétons, les tirant doucement, les faisant rouler. Je prends une capote dans le coffre et je laisse la belle demoiselle en face de moi procéder. Dès qu’elle est prête, elle vient se mettre au-dessus de moi et d’un coup vient s’enfoncer sur moi. Je suis surpris, elle d’ordinaire si timide, elle va et vient comme une forcenée, je lui dis d’aller moins vite, que je ne vais pas m’envoler. Rien à faire, elle est comme possédée. Alors que je sens que je vais venir très rapidement si elle continue sur ce rythme, je décide de passer à l’action.
Je mets ses bras sur mes épaules et passe mes mains sous ses fesses. Je me relève d’un coup et me dirige vers le mur, ses pieds ne touchent plus terre quand je la pose sur le bureau et que je l’y allonge. Ses jambes posées sur mes épaules, je reprends les commandes et choisit de lui imposer un rythme moins effréné mais plus profond. Nous continuons nos ébats jusqu’à ce que je la sente se contracter autour de ma bite et avoir un orgasme dévastateur puisqu’elle retombe comme une poupée de chiffon.
Quelques coups de boutoirs la ramènent bien rapidement, car si je n’ai pas joui lors de son orgasme, celui-ci m’a mis dans une posture délicate. Je la fais donc rouler sur le bureau et la mets à plat ventre. Je recommence alors ma besogne à un rythme plus tranquille que précédemment. Quand je sens l’éjac venir, je la retourne et la met à genoux devant moi. Comme elle n’aime pas sucer, je vais finir sur sa poitrine, ça la dérange moins. Une fois à genoux, elle finit de me masturber jusqu’au terme.
Nous nous réinstallons dans le canapé, Tamara sur mes genoux. Je passe ma main sur ses belles fesses, encore chaudes de la tempête passée. Elle me confie alors qu’elle n’a jamais essayé la sodomie et qu’elle ne sait pas si elle sera en capacité de le supporter. Je regarde alors le plug et constate qu’il est un peu gros pour un anus jamais visité.
Je lui dis en la rassurant que je trouverai le moyen de la sodomiser sans la faire (trop) souffrir et qu’une fois prête, elle en sera accro.
Concernant l’utilisation du bâillon, des menottes et des godes, je lui explique que j’utiliserai l’ensemble si j’estime que la punition doit être exemplaire.
Elle ne pose qu’une condition à cette utilisation : En privé uniquement, elle et moi.
Je lui propose alors d’essayer l’ensemble tant qu’elle ne s’est pas rhabillée, sans que je ne la fesse, puisqu’il n’y a pas lieu de la punir. Elle me demande juste de ne rien insérer dans son cul.
Sans mot dire, je lui enfile le bâillon boule dans la bouche et lui passe les menottes avant de la pencher sur le dossier du fauteuil, jambes écartées. Je passe la main entre ses lèvres et je constate qu’elle est trempée, je choisis donc de lui insérer le plus gros gode dont je dispose (15 cm de long par 5 de large environ). Le gode se fiche en elle sans aucun problème.
J’ai sous les yeux une jeune femme nue, penchée sur un fauteuil, bâillonnée, les mains attachées dans le dos, la chatte pleine et le cul tendu vers moi. Inutile de dire que c’est extrêmement dur de ne pas se laisser tenter par son anus encore vierge. Je lui demande comment elle se sent en la regardant droit dans les yeux et y voit une belle lueur, elle aime ça apparemment.
Je prends sous ses yeux une capote que j’enfile sur mon petit doigt avant de commencer à titiller son anus. Derrière elle, j’appuie très légèrement sur la porte arrière, je ne veux pas l’enfoncer non plus.
Je reste ainsi pendant quelques minutes à jouer avec son cul jusqu’à ne plus pouvoir tenir. J’enfile la capote sur mon engin et enlève le gode de sa chatte pour le remplacer séance tenante par ma bite.
Je commence à faire des allers retours express entre son fondement et ses lèvres, je vais vite et loin.
Tamara est toujours menottée et bâillonnée, ce qui est encore plus excitant. Nous jouissons simultanément au bout de quelques minutes.
Je libère ma belle métisse et nous nous réinstallons dans le canapé. Comme pour Léa, j’explique que je ferais tout mon possible pour lui procurer du plaisir si son travail est satisfaisant mais qu’à contrario, elle va en baver si elle me déçoit. Elle me répond que cela lui convient et que la stimulation de son anus lui a plu. Elle me confie également qu’elle n’a eu en tout et pour tout qu’une expérience sexuelle et que son dépucelage quelques années plus tôt s’est très mal passé (mec brutal et égoïste), et qu’elle n’a plus rien fait depuis
Je lui demande alors si elle a des fantasmes qu’elle aimerait réaliser.
Faire l’amour attachée (plus que menottée) sort en premier, vient ensuite la soumission et 2-3 autres choses toutes aussi excitantes.
Je pense que je vais faire plus que son coach dans les prochains jours…
Parce que c’est bien beau de la fesser, mais avant tout, c’est un coaching pour son examen qu’elle veut, ce qui demande donc que je sois au top pour l’aider.
Tandis que je me prépare des fiches, je reçois un texto de Léa m’indiquant qu’elle a passé la nuit dans le train et qu’elle est bien arrivée chez elle. L’instant d’après arrive un MMS, je vois apparaitre le fessier de Léa, d’un blanc immaculé, rien n’indique qu’elle a ramassé plusieurs corrections plus ou moins sévères au cours de ces derniers jours.
Je lui réponds que si elle tient à garder ses jolies fesses claires et à bonne température, elle a intérêt à avoir son examen du premier coup, si tel n’est pas le cas …
Elle me dit que mes mains ont besoin de repos et qu’elle fera tout pour ne pas les déranger en œuvre à l’issue de son examen. Adorable de se préoccuper de mes paluches.
Je termine en lui disant que celles-ci vont être pas mal occupées avec Tamara et plus tard Emilie, dont le bulletin transmis le matin même m’a ostensiblement déçu.
Je passe la journée à préparer le nécessaire et me rend ensuite au garde meuble pour tout mettre en place. Je nettoie une nouvelle fois le matériel et procède à une réorganisation totale du coffre.
Dans le premier tiroir se côtoient maintenant les paddles, spatules et tongs.
Le deuxième renferme les cravaches, le martinet, les ceintures et les fils électriques (jamais utilisés).
Enfin, le troisième contient les menottes, les godes le bâillon et un important stock de préservatifs.
Une fois tout le matériel rangé, je passe un appel à Tamara pour lui proposer de passer pour définir un programme optimum pour elle comme pour moi.
Elle me répond qu’elle est à proximité et qu’elle arrive, je la trouve bizarre au téléphone, elle me dit qu’elle m’expliquera dans le box.
Quand elle entre dans le box, je remarque de suite qu’elle a pleuré et qu’elle ne va pas bien.
Elle s’installe dans le canapé, je m’assoie à côté d’elle et lui demande ce qu’il y a. Pour toute réponse, elle éclate en sanglots, je la prends contre moi et essaye de la consoler comme je peux.
Je comprends que la raison de ce chagrin est Lucie, elle a appris par je ne sais quel moyen que Tamara était revenue vers moi et cette garce s’est empressée d’en informer la famille de Tamara dans les Caraïbes.
Je vous laisse imaginer la réaction de ses parents.
Tamara sort juste d’une sacrée engueulade passée par ceux-ci qui menacent de lui couper les vivres si elle ne rompt pas immédiatement sa relation avec moi. Vert de rage à l’idée de perdre Tamara à cause de la jalousie d’une idiote, une idée me vient. Quand Tamara est un peu calmée, je lui demande de me conduire chez elle et de me faire confiance, elle obéit de suite.
Une fois chez elle, je lui demande d’appeler sa famille par Skype, je peux lire l’inquiétude dans ses yeux mais elle obtempère. Je suis derrière elle quand je vois le visage de sa mère.
Etant donné que Tamara a son casque, je n’entends rien mais je déduis en voyant son père et sa petite sœur se pointer derrière qu’ils ne sont pas extrêmement ravis de me rencontrer.
Tamara me cède sa place, je prends le casque et me présente. En effet, ils ne sont pas enchantés, le père est remonté comme un coucou et la mère passablement énervée.
Je leur demande de ne porter aucun crédit aux dires de Lucie pour la simple et bonne raison que sa jalousie par rapport à l’amitié qui nous unit Tamara et moi la pousse à dire n’importe quoi.
Je me lance alors dans une explication montée en partie sur des bases de vérité, mais j’omets de préciser que le derrière de leur fille est passé sous mes mains à quelques reprises, je ne suis pas fou à ce point.
Lorsque j’ai terminé, les parents de la miss sont partagés et ne savent pas à quel saint se vouer. Ils me demandent alors pourquoi Lucie est tellement jalouse de leur fille. Je sors alors le bobard de l’ex jalouse. Je déteste mentir, mais quand c’est pour la bonne cause, je fais un effort.
J’ai porté le coup de grâce à leurs derniers doutes avec cet argument Après s’être excusé auprès de leur fille, ils nous saluent et raccrochent.
Tamara est radieuse, non seulement elle continue ses études en Métropole avec l’aval de ses parents mais en plus, son coach est « le meilleur » (c’est elle qui le dit, pas moi).
Etant donné que nous sommes loin du garde meuble et que je n’avais pas l’intention de faire quoi que ce soit ce soir, je lui explique comment j’ai organisé l’ensemble. Durant la prochaine semaine, comme je suis en congés, et elle en vacances scolaires, nous allons passer beaucoup de temps au garde meuble. Dès demain, au matin, je lui appliquerais la sentence que j’estime égale à ses résultats. J’adore la voir rougir … de partout bien sûr. Ensuite, durant les jours suivants jusqu’à l’arrivée d’Emilie, je la ferais réviser et lui préparerais des interrogations, même principe qu’avec Léa.
Elle m’interroge sur ce qu’il se passera quand la jumelle n°2 sera là, je lui explique que telle que je la connais, Tamara verra la lune tous les jours voire plusieurs fois par jours, elle me demande pourquoi.
Je lui réponds qu’elle aura la réponse demain si ces résultats à l’évaluation me conviennent, elle est frustrée.
Je rentre chez moi non sans difficultés puisque la jolie métisse voulait m’empêcher de rentrer si je ne lui racontais pas l’histoire. Une claque bien appuyée sur son petit cul l’a calmé.
Le lendemain matin, nous nous retrouvons de bonne heure au garde meuble. Tamara a mis une longue robe noire qui descend jusqu’à ses chevilles, ses longs cheveux ondulés arrivant dans le milieu de son dos. Elle est plus habillée pour une soirée qu’autre chose et est absolument superbe.
La miss va s’installer au bureau et commence les exercices que je lui ai préparé. De mon côté, je suis perplexe. Au vu de son bulletin, j’hésite à la fesser soit déculottée soit complètement nue, chose qu’elle n’a jamais faite.
Quand elle a terminé, je l’envoie au coin tandis que je commence à lire l’évaluation qu’elle a remplie, c’est plutôt bien, ce sera donc une déculottée simple, le nu viendra plus tard, promis. Il est 10h30, son derrière va chauffer. Je lui demande de me lire les notes de son bulletin et les moyennes, sans les appréciations.
Elle commence alors le listing pendant que je la couche en travers de mes genoux. Elle a à peine terminé qu’une première claque s’abat sur ses fesses. Elle pousse un petit cri de surprise, tandis qu’une deuxième tombe, puis une troisième et bientôt c’est une belle averse qui s’abat sur son beau derrière. Etant donné qu’elle porte une robe, il est inutile de la redresser pour enlever le bas, je n’ai qu’un geste à faire. Sa robe glisse doucement sur sa peau, dévoilant petit à petit sur ses mollets puis ses cuisses et enfin l’ourlet de sa robe arrive sur ses hanches. Je me retrouve devant un string mauve enfoui profondément dans ses fesses, je me penche alors sur ses fesses et regarde vers son dos. J’y vois un soutien-gorge assorti.
J’enlève directement son string et empoigne l’un des paddles, Tamara me voit faire et l’instant d’après, l’une de ses mains attrape ma cheville. Quand le premier coup s’abat sur ses fesses nues, elle a du mal à contenir le hurlement qui lui monte à la gorge. Au bout des 2 coups suivants, j’attrape le bâillon et lui enfile. Un véritable orage vient ensuite s’abattre sur son derrière, elle bouge dans tous les sens, pleure et crie au travers de son bâillon, sa main me broie la cheville. Je termine rapidement, ce n’est pas la durée qui prime actuellement mais l’intensité et je dois dire que son cul a pris de bonnes couleurs, certes plus nuancées que ceux des jumelles mais quand même.
Je la remets au coin le temps pour elle de se remettre de ses émotions. Je corrige rapidement sa copie et remets tout en place.
Tamara vient dans le canapé, je lui demande si elle estime que la correction reçue précédemment était adéquate à son bulletin et si elle pense avoir mérité que je lui raconte les débuts d’Emilie.
Elle me répond par l’affirmative aux 2 questions. Je lui tends alors sa copie où est inscrit un gros 13 en vert avec un smiley clignant de l’œil. Je commence donc à lui parler des premières fessées des jumelles (voir mes tout premiers récits), avant d’enchainer sur Emilie uniquement. Au fur et à mesure que j’avance dans le récit, je vois les jambes de la miss s’écarter légèrement, tandis que je vois ses tétons pointer sous sa robe, bizarre vu qu’elle a un soutien-gorge. Je pose ma main sur sa cuisse et la fais passer sous sa robe, arrivé entre les jambes de Tamara, je constate que mon histoire lui a fait de l’effet. Je dézippe alors sa robe et la mets nue. Je découvre alors qu’au lieu d’avoir un soutif classique, celui-ci n’a pas de bonnets. Ses tétons sont totalement libres et trahissent un désir très marqué.
La miss se relève et je la fais tourner sur elle-même, elle n’est même plus hyper sexy, elle est …
C’est inqualifiable en fait.
Son string, lui rentre légèrement dans la chatte, tandis que plus haut, ses tétons pointent et ce n’est pas à cause de la température. Elle revient sur moi et m’embrasse à pleine bouche tandis que je sens ses mains déboutonner mon jean puis attraper ma bite avant de commencer à lentement me masturber. Tandis que nous nous embrassons et que Tamara s’occupe de mes attributs, je prends en main la partie supérieure de son anatomie. Elle n’a pas une poitrine très imposante (je penche pour du 90B), ses seins ressemblent à des petites pommes.
Le temps que mon vit soit prêt pour le service, je joue avec ses tétons, les tirant doucement, les faisant rouler. Je prends une capote dans le coffre et je laisse la belle demoiselle en face de moi procéder. Dès qu’elle est prête, elle vient se mettre au-dessus de moi et d’un coup vient s’enfoncer sur moi. Je suis surpris, elle d’ordinaire si timide, elle va et vient comme une forcenée, je lui dis d’aller moins vite, que je ne vais pas m’envoler. Rien à faire, elle est comme possédée. Alors que je sens que je vais venir très rapidement si elle continue sur ce rythme, je décide de passer à l’action.
Je mets ses bras sur mes épaules et passe mes mains sous ses fesses. Je me relève d’un coup et me dirige vers le mur, ses pieds ne touchent plus terre quand je la pose sur le bureau et que je l’y allonge. Ses jambes posées sur mes épaules, je reprends les commandes et choisit de lui imposer un rythme moins effréné mais plus profond. Nous continuons nos ébats jusqu’à ce que je la sente se contracter autour de ma bite et avoir un orgasme dévastateur puisqu’elle retombe comme une poupée de chiffon.
Quelques coups de boutoirs la ramènent bien rapidement, car si je n’ai pas joui lors de son orgasme, celui-ci m’a mis dans une posture délicate. Je la fais donc rouler sur le bureau et la mets à plat ventre. Je recommence alors ma besogne à un rythme plus tranquille que précédemment. Quand je sens l’éjac venir, je la retourne et la met à genoux devant moi. Comme elle n’aime pas sucer, je vais finir sur sa poitrine, ça la dérange moins. Une fois à genoux, elle finit de me masturber jusqu’au terme.
Nous nous réinstallons dans le canapé, Tamara sur mes genoux. Je passe ma main sur ses belles fesses, encore chaudes de la tempête passée. Elle me confie alors qu’elle n’a jamais essayé la sodomie et qu’elle ne sait pas si elle sera en capacité de le supporter. Je regarde alors le plug et constate qu’il est un peu gros pour un anus jamais visité.
Je lui dis en la rassurant que je trouverai le moyen de la sodomiser sans la faire (trop) souffrir et qu’une fois prête, elle en sera accro.
Concernant l’utilisation du bâillon, des menottes et des godes, je lui explique que j’utiliserai l’ensemble si j’estime que la punition doit être exemplaire.
Elle ne pose qu’une condition à cette utilisation : En privé uniquement, elle et moi.
Je lui propose alors d’essayer l’ensemble tant qu’elle ne s’est pas rhabillée, sans que je ne la fesse, puisqu’il n’y a pas lieu de la punir. Elle me demande juste de ne rien insérer dans son cul.
Sans mot dire, je lui enfile le bâillon boule dans la bouche et lui passe les menottes avant de la pencher sur le dossier du fauteuil, jambes écartées. Je passe la main entre ses lèvres et je constate qu’elle est trempée, je choisis donc de lui insérer le plus gros gode dont je dispose (15 cm de long par 5 de large environ). Le gode se fiche en elle sans aucun problème.
J’ai sous les yeux une jeune femme nue, penchée sur un fauteuil, bâillonnée, les mains attachées dans le dos, la chatte pleine et le cul tendu vers moi. Inutile de dire que c’est extrêmement dur de ne pas se laisser tenter par son anus encore vierge. Je lui demande comment elle se sent en la regardant droit dans les yeux et y voit une belle lueur, elle aime ça apparemment.
Je prends sous ses yeux une capote que j’enfile sur mon petit doigt avant de commencer à titiller son anus. Derrière elle, j’appuie très légèrement sur la porte arrière, je ne veux pas l’enfoncer non plus.
Je reste ainsi pendant quelques minutes à jouer avec son cul jusqu’à ne plus pouvoir tenir. J’enfile la capote sur mon engin et enlève le gode de sa chatte pour le remplacer séance tenante par ma bite.
Je commence à faire des allers retours express entre son fondement et ses lèvres, je vais vite et loin.
Tamara est toujours menottée et bâillonnée, ce qui est encore plus excitant. Nous jouissons simultanément au bout de quelques minutes.
Je libère ma belle métisse et nous nous réinstallons dans le canapé. Comme pour Léa, j’explique que je ferais tout mon possible pour lui procurer du plaisir si son travail est satisfaisant mais qu’à contrario, elle va en baver si elle me déçoit. Elle me répond que cela lui convient et que la stimulation de son anus lui a plu. Elle me confie également qu’elle n’a eu en tout et pour tout qu’une expérience sexuelle et que son dépucelage quelques années plus tôt s’est très mal passé (mec brutal et égoïste), et qu’elle n’a plus rien fait depuis
Je lui demande alors si elle a des fantasmes qu’elle aimerait réaliser.
Faire l’amour attachée (plus que menottée) sort en premier, vient ensuite la soumission et 2-3 autres choses toutes aussi excitantes.
Je pense que je vais faire plus que son coach dans les prochains jours…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore… c'est bien écrit et vivant… on s'y croirait !