Titre de l'histoire érotique : LE VOISIN 2 - histoire érotique

LE VOISIN 2


Après toutes ces émotions nocturnes, au petit matin je me suis levé plus curieux que jamais, ma femme était déjà sous la douche et je suis allé vers la fenêtre de la chambre pour voir quel temps il allait faire.

Le ciel était bien dégagé et le soleil pointait ses rayons sur l’immeuble d’en face, celui là justement où habitait mon voyeur de la veille, suivant notre exposition, ils avaient le soleil le matin et nous le soir au couchant.

C’est en analysant ce détail que je me suis rendu compte que mon voyeur avait une vue parfaite sur notre appartement et plus particulièrement sur notre chambre.

Même pas à trente mètres et au même étage, d’un seul coup mon sang n’a fait qu’un tour, si cela se trouve il nous espionne aussi, il a surement déjà vu ma femme en petite tenue, voir même toute nue, elle n’est peut être pas au courant que l’on peut facilement voir notre intimité.

Pire encore, même moi jusqu'à hier soir je ne pensais pas à ca, je n’imaginais pas que l’on puisse nous voir aussi facilement à travers les rideaux, j’ai soudainement compris qu’il avait surement déjà vu une partie de notre intimité.

Lui et peut être d’autres personnes, car il y avait multitude de fenêtres face à nous, d’abord angoissé par cette découverte, je me suis vite rassuré du fait que même si cela avait été le cas, rien en rapport à cela n’avait bouleversé notre vie.

Soudain ma petite femme est sortie de la salle de bain, ceinturé de sa serviette elle est venue m’embrasser avant de choisir ses vêtements devant sa grande armoire.

J’étais toujours devant la fenêtre, le rideau entre ouvert pour pouvoir regarder dehors et j’ai vu ma femme laisser tomber sa serviette en toute naïveté, découvrant son corps totalement nu à mon regard et bien entendu à celui des éventuels voyeurs d’en face.

Je la regardais, plus belle que jamais avec ce magnifique cul qui me faisait craquer depuis le premier jour, ses petits seins en pomme quelle trouvait trop petits à son goût, ses anches marquant une taille parfaitement galbé.

Son corps dégageait une harmonie parfaite, de beaux cheveux châtains clair et un très beau visage, il ne m’en a pas fallu plus pour tomber amoureux de cette belle pouliche.

Sans se rendre compte de mes pensées, elle plaçait ses robes devant elle, face à la glace pour sélectionner celle qu’elle portera pour la journée.

- Chérie, dit moi celle qui me vat le mieux.

- Elles te vont toutes bien et aucune n’est assez belle pour toi.

- Arrête tes mensonges et soit sincère.

- Ok, j’aime bien cette robe portefeuille, elle te vat à merveille.

- Mouaiii… mais elle marque trop mes formes, non ?

- Justement, elle dévoile ton corps sans rien montrer, le tissu est léger et souple il suit tous tes mouvements avec grâce, tu es vraiment bandante dans cette robe.

- Dit pas ça ou je la mets pas, je ne veux pas être vulgaire.

- J’n’ai pas dit vulgaire, j’ai dit bandante, Marylin Monroe était bandante et elle n’a jamais été vulgaire.

- Bon d’accord, tu es sur, ce n’est pas trop moulant ?

Comme toutes les femmes elle adorait être rassuré dans ses choix, c’était une façon déguisé de se protéger face à son envie de paraître toujours plus belle, de se plaire à elle-même ainsi qu’aux autres.

Pour ma part je la trouvais bandante dans n’importe quel chiffon, elle pouvait tout porter, toujours élégante et radieuse elle savait user de ses charmes pour mon plus grand plaisir.

Elle finissait de s’habiller et je la regardais toujours, j’étais surpris par son insouciance et sa supposé naïveté, car tout le monde pouvait l’observer à travers les rideaux, mais elle ne semblait pas s’en rendre compte.

J’avais presque envie de lui dire, mais une autre part de moi-même à préféré se taire, profitant de cette excitation inexpliqué d’exhiber ma femme aux regards d’éventuels inconnus.

C’est comme lors d’une soirée ou la beauté de votre femme vous rempli de fierté, le regard des autres, hommes ou femmes, sur votre moitié vous apporte plus de satisfaction que de jalousie.

Même si vous savez très bien que certains hommes penserons qu’elle a un beau cul, des seins appétissants, qu’elle est surement trop bonne, qu’on la baiserait bien, etc.

Vous ne vous en faite pas, car d’une part vous êtes là pour surveiller et d’autre part vous lui faite confiance.

Et bien là, c’était pareil pour moi, la présence d’éventuels voyeur profitant de ce corps désirable sans pouvoir en abuser, me prodiguais une grande satisfaction, titillait ma jalousie mais surtout m’excitait de plus en plus.

Nous avons pris notre petit déjeuné, papoté de tout et de rien et nous nous sommes souhaité une bonne journée.

Autant vous dire que toute la journée au travail, je n’ai cessé de penser à tout cela, attendant le soir avec impatience pour vérifier mes hypothèses concernant le voisin d’en face.

Je me suis surpris à être plus excité par l’éventuelle exhibition de ma femme, que part le couple d’en face que j’avais espionné.

Je me suis posé un tas de questions, d’ailleurs je me faisais surement des idées, car ma femme fermait surement les doubles rideaux avant de se dévêtir, mais très sincèrement, jamais je n’avais prêté attention à ce détail.

Et puis, si elle ne les fermait pas, c’était par pure négligence, elle ne se doutait pas que l’on puisse l’observer aussi facilement, il se peut même que le voisin ne l’ai jamais observé, déjà elle ne se couche jamais très tard et ensuite il n’est pas forcément là, au moment précis où elle se met nue.

Et puis, elle se déshabille souvent dans le noir avec juste la lumière de la salle de bain, un peut comme le couple que j’ai observé, donc il ne peut pas vraiment la voir, juste la deviner.

Peut être, mais quoi qu’il en soit, il sait qui nous sommes et peut la reconnaître dans la rue, c’est plutôt déstabilisant et inquiétant, quoi que non, car il ne sait rien passé depuis le temps que nous habitons là.

Moi-même je me suis découvert voyeur et pourtant je n’irais pas faire de mal a ceux que j’observe, bien au contraire je vis cela comme un secret bien gardé qui à la moindre faute de ma part peut disparaître à jamais.

Donc pour maintenir le plaisir il faut se taire, faire profil bas et profiter en égoïste sans partager ses bons plans, il en est de même pour notre voisin, s’il veut continuer à espionner ma femme dans son intimité la plus secrète il devra se faire discret.

Cette dernière pensée ma complètement rassuré, la journée est passé très vite et c’est le cœur léger que je suis rentré à la maison pour rejoindre ma bien aimée.

- Alors ta petite journée, quelqu’un ta fait une réflexion sur ta robe ?

- Non mais arrête, j’avais l’impression que tous les regards étaient sur moi, c’était gênant.

- Gênant pour qui ? Pour les autres femmes peut être, car les hommes eux ils se sont surement régalé.

- Justement c’était peut être trop, ils ont du me prendre pour une allumeuse.

- Ca ce n’est pas grave, l’important c’est que tu te sentes bien dans ta peau, belle et désirable.

- Oui d’accord, mais je t’assure que c’est gênant, tous les regards se retournent sur ton passage, tu te sens presque nue tellement ils détaillent tes courbes et tes formes.

- Ne fait pas la sainte ni touche, je suis sur que cela te plait, quelle femme n’aimerai pas être le centre d’intérêt des hommes, c’est surement très excitant, non ?

- Ba… oui, bien sur… ce n’est pas déplaisant, mais là …

- Mais trêve de bavardages je vais allez me prendre un bon bain pour me délasser, tu veux bien faire la popote pour ce soir ?

- Bien sur mon amour, fait toi plaisir, moi je vais nous faire un petit truc à grignoter vite fait bien fait.

C’était plutôt rare qu’elle veuille prendre un bain le soir en rentrant du travail, serait ce pour se détendre après cette journée d’excitation, ma curiosité était aiguisé et c’était pour moi une affaire à suivre.

Ma femme à laissé couler l’eau du bain et est partie se déshabiller, me pensant dans la cuisine elle n’a pas complètement fermé la porte ce qui m’a permis de venir discrètement l’espionner au travers de l’entre bâillement.

Je pensai qu’elle se serait déshabillée devant la glace de notre armoire mais il n’en était rien, je fus très surpris de constater qu’elle se dénudait face à la fenêtre, certes les rideaux étaient tirés mais les lampes de la chambre étaient toutes allumées et cela permettait de voir tout ce qui se passait de l’extérieur.

Encore plus surprenant, elle semblait prendre tout son temps, langoureusement elle a défait la ceinture de sa robe porte feuille, puis elle l’a ouverte lentement laissant découvrir son joli corps laiteux sur lequel tranchait le noir de sa lingerie fine.

Laissant glisser sa robe sur le sol elle a levé ses deux bras pour enfiler ses mains dans sa belle crinière, remontant ses cheveux comme pour les démêler et augmenter leur volume, ce qui à immédiatement tendu sa poitrine en provoquant une posture incroyablement sexy.

Toujours avec lenteur, elle à dégrafé son soutien-gorge, glissé les bretelles sur ses bras dénudés dévoilant la totalité de ses seins aux éventuels regards, car c’était bien ça qu’il pouvait y avoir de l’autre coté de la fenêtre, n’importe qui pouvait la voir et peut être même mon fameux voyeur.

Ma femme en avait elle conscience ?

Pour l’instant il m’était difficile de le dire mais son attitude était plus que troublante.

Elle agissait comme devant un spectateur imaginaire, il y avait bien les rideaux tirés l’empêchant de voir au-dehors, mais elle, savait elle qu’elle pouvait être vue facilement de l’extérieur ?

En tout cas elle agissait comme une véritable stripteaseuse, mouvement gracieux avec une pointe de perversité à peine dissimulée, si elle chercherait à exciter quelqu’un qu’elle n’agirait pas autrement.

Ensuite se fut le tour de son petit, que dit-je, son minuscule string, il a glissé très lentement le long de ses jolies jambes pour finir à ses pieds, elle s’est baissé pour le prendre et la déployé juste devant ses yeux comme pour regarder au travers avec le contre jour.

Là aussi, elle aurait voulu montrer le détail de sa lingerie intime qu’elle n’aurait pas fait mieux et cela commençait à me travailler sérieusement au point que j’ai laissé mon poste d’observation pour aller vite dans le salon vérifier si effectivement quelqu’un l’espionnait d’en face.

Caché derrière les rideaux du salon j’ai scruté l’horizon, en face rien, à gauche rien non plus, à droite rien… à si… encore cette silhouette qui ne m’est plus inconnue, c’était bien mon voyeur, posté derrière ses vitres dans l’ombre, il était donc là à dévorer ma femme du regard.

Car effectivement en regardant vers la fenêtre de notre chambre sur ma gauche, je voyais parfaitement le halo de lumière et au centre de la fenêtre, le profil de ma chère et tendre qui s’exhibait sans le savoir.

Cela avait beau être une ombre derrière des rideaux, cela n’en était pas moins excitant, les détails étaient suffisamment précis pour reconnaître la jolie femme qui s’exhibait et moi-même la regardant sous ce nouvel angle je me suis pris au jeu.

Elle était vraiment belle et bandante, chevelure au vent, les seins libérés dont on distinguait parfaitement les tétons pointus, tout se dessinait parfaitement, ses longues jambes débouchant sur des anches pulpeuses, une taille fine et des fesses plus qu’appétissantes.

Regarder ma femme ainsi était nouveau et très excitant, mon regard ne pouvait se détacher de cette magnifique vision, elle était belle et j’en étais plutôt fier.

J’ai tourné ma tête vers le voyeur, il était toujours là, observant mon épouse sans même me voir, j’aurai bien voulu pouvoir lui dire :

- Ta vu comme elle est belle ma femme, bien roulée et appétissante, n’est-ce pas ?

Rien que ces pensées augmentaient mon excitation, comment pouvais je m’exciter sur le fait que ma femme s’exhibe, qu’un autre homme l’observe, c’était la première fois que j’étais confronté à une telle situation et cela me troublait sincèrement.

Toute la scène durait depuis cinq bonnes minutes et je trouvais de plus en plus suspect que ma femme poursuive son exhibition sans qu’elle ne se doute vraiment de rien, il me faudra bien tirer cela au clair et rapidement.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin, la lumière de la chambre à finit par s’éteindre, j’ai vu le voyeur disparaître dans la pénombre de son appartement et je suis donc retourné vers le couloir pour observer la suite.

Ma femme était maintenant dans la salle de bain et la porte était fermée, sans faire de bruit je suis rentré dans la chambre en restant dans le noir pour regarder au travers des rideaux.

Là, c’était sur, le voyeur était trop bien placé pour avoir raté quoi que ce soit, c’était donc bien sur ma femme qu’il se rinçait l’œil et cela à encore titiller ma jalousie tout en m’excitant.

Mais comment ma femme pouvait elle s’exhiber juste devant la fenêtre sans se rendre compte de rien, il fallait vraiment être naïve ou peut être… quelle était bien consciente de ce quelle faisait.

J’ai regardé dans la chambre comme pour chercher des indices et mes yeux se sont posé sur le minuscule string qui était resté part terre.

En me baissant pour le ramasser j’ai constaté qu’il était tout mouillé en son centre, c’était un liquide poisseux que je reconnaissais bien, ma femme était plus qu’excitée lorsqu’elle a retiré ce petit bout de tissu.

Cela ne faisait plus de doute, les indices étaient trop clairs, elle s’avait bien ce qu’elle faisait devant cette fenêtre et apparemment cela lui procure beaucoup de plaisir au point de mouiller sa petite culotte.

Là encore je me suis senti soudainement submergé par la jalousie qu’une aussi soudaine excitation est venue calmer, ces sentiments opposés me perturbaient et j’ai préféré me concentrer sur mon nouveau plaisir de voyeur.

Je suis donc retourné vers la salle de bain pour écouter à la porte le moindre petit bruit, elle devait être dans l’eau car j’entendais des petits clapotis.

Mais cela ne me suffisait pas et il me fallait voir en détails ce qui pouvait bien se passer dans la pièce car entendre sans voir déculpe l’imaginaire mais n’assouvit pas le voyeurisme.

Tel un gamin je me suis accroupi pour zieuter au travers de la serrure pour voir si la clef y était ou non, à l’époque il n’existait pas encore de gâche de sécurité et c’était une simple serrure de chambre avec de petites clefs.

Une chance pour moi, la clef était bien dans la serrure mais tournée de façon à me laisser un axe de vision qui donnait pile sur la baignoire où ma femme trempait.

Il ne m’en fallait pas plus pour me contenter et je me suis mis à observer la scène dans ses moindres détails, sa tête était appuyiez en arrière sur le dosseret de la baignoire et ses cheveux étaient enroulés en chinon ce qui dégageait sa jolie nuque.

Elle avait les yeux fermés et une légère brume sortait de l’eau qui devait être bien chaude.

Ses genoux étaient bien écartés, appuyés de chaque coté de la baignoire et je distinguais son bras droit qui montait et descendait langoureusement sous l’eau en provoquant les petits clapotis que j’avais entendu.

Je comprenais soudain qu’elle devait se caresser plongé dans ses fantasmes, encore une preuve évidente qu’elle était consciente de son exhibition et que cela l’avait sérieusement allumée.

Elle se laissait allé, me croyant dans la cuisine à préparer la miam, n’imaginant surement pas que je puisse l’observer au travers de la serrure tel un pervers.

Mais je ne me sentais pas du tout coupable et elle me donnait mille et une raisons de l’espionner, son exhibition pas si naïve que ça, son string immaculé de mouille et maintenant ces caresses équivoques.

J’avais l’agréable impression de découvrir une autre femme, pas tout à fait celle que je connaissais sans pour autant être tout à fait une autre, c’était bizarre et excitant en même temps.

Moi qui habituellement étais plutôt jaloux je me surprenais à éprouver un grand plaisir à cette face cachée de mon épouse.

Quelle puisse avoir des fantasmes et des pulsions sexuelles en cachette, quelle puisse aimer s’exhiber et s’exciter sous le regard d’un inconnu, quelle aime se caresser en solitaire, tout cela était nouveau pour moi.

Je trouvais ça curieux et pervers pour une femme mais très intéressant pour la suite, ma curiosité et mon coté voyeur l’emportaient et je décidais de garder tout cela secret afin qu’elle ne se doute de rien et quelle puisse m’en montrer encore plus, beaucoup plus.

De son coté, elle ne faisait pas semblant, ses caresses lui faisaient de l’effet car sa respiration s’accélérait, sa poitrine gonflait et sa bouche restait entre-ouverte comme pour un baisé imaginaire.

Le spectacle était émouvant, je voyais ses seins qui sortaient de l’eau avec les bouts tout durs et bien pointés, ses jambes tremblaient doucement annonçant une future vague de plaisir et sa langue apparaissait pour venir caresser et humidifier ses lèvres.

Son plaisir était beau à voir, se croyant seule elle ne subissait pas la censure de sa légitime pudeur, jamais elle n’avait été aussi impudique dans nos relations intimes.

De ce coté, je n’avais pas à me plaindre, au regard de ce que mes copains me disaient, ma femme était bien ouverte coté cul, si je peux m’exprimer ainsi.

Certains de mes potes n’arrivaient même pas à faire l’amour avec la lumière allumée ou à se faire sucer par leur femme alors que moi j’arrivais à en obtenir beaucoup plus, oui beaucoup plus.

Mais là, ce n’était pas pareil, tout se passait derrière mon dos, en cachette et en secret, rien de mieux pour aiguiser ma curiosité, titiller mon coté jaloux tout en m’excitant comme un diable.

Cette face cachée de ma moitié n’était peut être que la partie visible de l’iceberg, que me cachait elle encore de croustillant, était elle encore sérieuse et fidèle ?

Ma pensée fut stoppé par ses gémissements, là devant mes yeux elle se laissait jouir tout en essayant de se retenir pour ne pas se faire remarquer, étouffant les cris de plaisirs qui tentaient de sortir de son corps qui se cabrait tel une pouliche en rut.

Elle se contorsionnait dans l’eau les cuisses resserrés sur son avant bras qui était resté planté dans son intimité, éclaboussant les murs et le sol près de la baignoire.

Ses contractions d’extase se déversaient sur l’ensemble de son corps et c’est le visage crispé et les yeux révulsés quelle s’est laissé choir dans l’eau après le tsunami de plaisir.

Jamais je ne l’avais vu jouir ainsi et cela à touché mon amour propre, jaloux de ce qui à pu provoquer ce niveau de plaisir.

A compter de ce jour, mon but sera d’être capable de lui procurer de telles jouissances, ce furent mes dernières pensées avant de rejoindre discrètement la cuisine.

Préparant rapidement une petite salade de crudités, j’ai aussitôt mis sur le feu de quoi faire quelques pâtes que j’allais agrémenter d’une sauce bolognaise vite fait bien fait.

J’ai mis la table et servis deux verres d’un vin blanc liquoreux bien sucré que nous aimons particulièrement elle et moi, content d’avoir rattrapé mon retard je glissais une oreille vers le couloir pour entendre où en était ma chère et tendre épouse.

Elle est apparu en tenu de combat, comme elle dit, une espèce de jogging pyjama, un vrai tue l’amour mais après une telle jouissance je comprenais bien qu’elle allait éviter de me séduire et surtout éviter de m’exciter.

- Alors chérie, ce petit bain ta fait du bien ?

- Tu ne peu imaginer à quel point, mon amour.

- En tout cas tu as bonne mine et parait bien détendue, tu devais être très stressé en rentrant du travail ?

- Certains jours, je me sens fatiguée, mais là ça va vraiment beaucoup mieux, l’eau chaude m’a décontracté.

Poussant le vice je lui ai dit :

- C’est dommage que tu te sois habillée en tenue de combat, maintenant que tu es toute propre nous aurions pu... Comment dire… j’aurai pu, m’occuper en peu de toi

- Toi tu es trop coquin, mais pas ce soir, j’ai envie d’être cool sur le canapé, regarder un peu la télé blottie dans tes bras, en silence juste avec de la tendresse, tu veux bien ?

- Mais oui, je comprends, allez vient c’est prêt, on mange un petit bout et je te fais une place sur le canapé pour te faire pleins de tendres papouilles.

C’est ce que nous avons fait avant d’allez nous coucher, j’ai respecté son désir de chasteté en me disant que le meilleur était encore à venir.