Titre de l'histoire érotique : LE VOISIN 5
Récit érotique écrit par Jlf071 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : LE VOISIN 5
LE VOISIN 5
Au matin j’espérais avoir oublié tout cela, mais la vue du sublime cul de ma femme qui se dirigeait vers la salle de bain m’a immédiatement réchauffé les esprits.
J’ai ouvert les rideaux pour laisser entrée le soleil et mes yeux sont retombés sur la fenêtre du voisin avec tous les souvenirs de la veille.
Ce salaud avait vraiment un sacré mandrin et il était impossible que ma femme ne soit pas excitée par ce beau morceau, d’ailleurs aucune femme ne pourrait rester insensible devant un tel argument d’autant plus que le mec ne s’emblait pas moche du tout.
D’un seul coup, je mesurais mieux la fidélité de ma femme, car malgré le fantasme qui s’était insinué en elle avec ce rituel régulier ou elle s’exhibait devant lui, malgré qu’il ait tenté de la séduire, oui malgré tout cela, elle n’a pas succombé à la tentation.
Une fois douchés et habillés, nous avons déjeuné sans aucune allusion à cette soirée, j’ai mis à l’aise mon épouse qui devait surement appréhender notre face à face après toutes ces révélations de la veille permettant à son visage de libéré son plus beau sourire.
Elle est partie au travail la première me laissant seul avec mes pensées perverses, comment allais je pourvoir faire pour organiser la suite des évènements car il n’était pas sur qu’elle souhaite vraiment passer à l’acte, j’entends souvent dire qu’un fantasme doit rester un fantasme, au-delà du plaisir cérébral évident que cela lui procure, serait elle prête à franchir ce point de non retour.
Et une fois l’acte consommé, serait elle comblée ou dessue, aurait elle des remords insurmontables, comment allait elle vivre la chose, se sentir après coup, toutes ses interrogations me semblaient pertinentes.
Mais je soupçonnais mon ego de les attribuer à ma femme alors que c’était moi qui ressentais ces craintes.
Je suis donc parti à mon tour au travail pour une longue journée de réflexion, concentré comme jamais sur mon but final, il me fallait tout organiser sans qu’elle ne se doute de quoi que ce soit, que cela soit une véritable surprise et devienne une explosion de sensations.
Restait à rencontrer notre voisin pour organiser cela, aucun doute quant à son acceptation au vu de l’effet que ma femme lui faisait depuis des semaines, il ne devait rêver que de cela, pouvoir enfin se la mettre malgré ses refus de femme fidèle.
Le vrai problème était de lui faire comprendre les règles à respecter, de ne pas confondre offrande et donation, de ne pas croire un seul instant à une faiblesse de notre part, d’elle comme de moi, qu’il comprenne qu’il s’agit d’un jeu entre adultes consentants et qu’il n’est qu’un instrument du plaisir du couple.
Je me suis donc décidé à prendre mon courage à deux mains et a allé le voir, après tout nous serons entre hommes, depuis hier soir il s’avait que j’étais complice des exhibitions de ma femme et il devait s’attendre à une quelconque réaction de ma part.
La journée fut vraiment longue et j’ai demandé à pouvoir partir plus tôt afin d’avoir le temps de le rencontrer avant le retour de ma femme, moins d’une heure plus tard, c’est le cœur battant que je me suis retrouvé devant sa porte.
Il n’y avait qu’un nom sur la porte, il vivait donc seul sans aucun obstacle pour notre future affaire, j’ai hésité de longues secondes avant de sonner.
- Dring…
Pendant un bref instant j’ai espéré qu’il ne soit pas là, ma jalousie tentant une dernière escapade pour faire capoter le projet, mais je l’ai entendu approcher, puis ouvrir pour se retrouver face à moi le regard surpris.
- Bon…bonjour…
- bonjour… j’aimerais pouvoir vous parler
- Je comprends, j’espère que vous n’êtes pas en colère ?
- Comment dire… non… mais il faut qu’on puisse en parler
- Vous souhaitez entrée ?
- Oui, ce sera mieux
Il était très surpris et s’emblait inquiet de mon éventuelle réaction, mais le ton de ma voix et mes premières paroles l’avaient déjà un peu rassuré, il me fit donc entrer chez lui en me dirigeant vers le salon, c’était là que ce trouvait la fenêtre donnant sur notre chambre.
- Oui, c’est là que je vous observe, enfin… que j’observe votre femme, mais c’était vraiment involontaire…
- Oui, ma femme me la dit… n’empêche que depuis…
- Sincèrement que feriez vous à ma place, je ne fait rien de mal à regarder cette très belle femme
- Surement mais… mon épouse m’a dit… que vous aviez tenté une approche… plus concrète
- Oui, inutile de vous mentir, mais elle vous est fidèle… je peux vous le garantir
- J’ai cru le comprendre, mais néanmoins… j’ai constaté qu’elle n’était pas… comment dire…insensible à vos charmes
Légèrement mal à l’aise, il s’est levé et m’a proposé à boire
- Monsieur, cette situation est gênante pour moi comme pour vous, il faut que vous compreniez que rien n’ai fait contre vous… je n’imaginais pas un instant que vous alliez découvrir notre petit jeu et en aucune façon je ne voulais vous manquer de respect.
Il m’a tendu un whisky
- Au moins c’est sincère de votre part, mais… ma femme… est restée sur sa faim.
J’ai cru qu’il allait avaler de travers
- Je ne vous ai pas bien compris, monsieur ?
- Je veux vous dire que tout cela la fortement excitée et qu’elle reste sur sa faim, mais vous m’avez bien compris.
- Je suis désolé… je ne pouvais pas imaginer qu’elle le prendrait ainsi… je vais cesser cela immédiatement, je ne veux pas que nous soyons mal à l’aise entre voisins.
- Heu, non… ce n’est pas vraiment ce que je suis venu… vous demander
- Alors que souhaitez-vous ?
- Ben… disons que ce n’est pas très facile… de vous avouer une telle chose.
- Si je peux me permettre… quoi que vous décidiez je vous garantie de le prendre avec respect, faites vos choix sereinement, après tout… nous avons tout notre temps.
Par ses mots il me faisait comprendre qu’il se doutait un peut du sujet que je voulais aborder et me mettait simplement plus à l’aise.
- Merci… vous comprenez donc… qu’il n’est pas facile pour un homme… d’offrir la femme qu’il aime… à un autre homme, qui plus est… totalement inconnu.
- Offrir votre femme ?
- S’il vous plait…laisser moi finir… ma femme fantasme sur vous…et je pense que vous n’êtes pas insensible à ses charmes, non… je me trompe ?
- Heu… pas du tout… votre épouse est vraiment… très belle…
- Vous me rassurez, donc j’aimerais que nous élaborions ensemble la meilleure manière de pouvoir lui permettre d’assouvir son fantasme, elle n’est absolument pas au courant de ma démarche.
- Excusez moi, mais vous dans tout cela, comment…
- Comment… et bien cela dépend aussi de vous, pour ma part j’aimerai que cela se passe en ma présence pour la rassurer… j’espère que vous comprendrez ?
- Tout à fait, votre femme n’est pas une… désolé, n’est pas une habituée de ces choses là
- Non effectivement et je ne veux pas la décevoir, ni lui imposer quoi que ce soit, lui permette de vivre une aventure inimaginable… oui, mais faire d’elle ce qu’elle n’est pas alors là pas question.
- Je veux absolument vous rassurer, je mesure la chance incroyable qui est la mienne de pouvoir vivre une telle situation, mais j’ai parfaitement conscience de mon rôle dans cette relation…érotique.
- Vous me facilitez sincèrement la tache, avez-vous déjà vécu ce genre de… relation ?
Son visage sourit et il leva son verre vers moi
- Non, mais j’en rêve depuis plusieurs semaines.
- Donc si vous en rêvez, dans votre rêve… cela se passe comment ?
- Heu… dans mes rêves vous… n’étiez pas présent, mais… consentant.
- Comment cela ?
- Et bien un jour votre femme serait venue me voir dans la rue pour me demander si j’étais toujours partant…
- Vous avez changée d’avis ?
- Non, mais mon mari m’autorise cette fantaisie, alors toujours tenté ?
Je vous passe les détails, c’est comme cela que votre épouse et moi nous faisions l’amour avec votre permission.
- Oui c’est une hypothèse, mais ce n’est pas vraiment comme ça que je vois les choses… du moins pour l’instant…
- Et quel serait votre scénario ?
- Et bien moi… j’imaginerai bien une soirée plus particulière…
Ce soir là, nous nous sommes donc quitté en bon amis, les idées bien calés sur les désirs de chacun et les limites nécessaires à une telle relation.
Mais je dois avouer que le personnage m’a bien plut, éduqué, instruit et bel homme, j’avoue même que la bosse à l’entre jambe de son pantalon m’impressionnait et me rendait jaloux.
Ce soir là je suis donc rentré comme d’habitude, ma femme ne s’aperçu de rien et nous avons diner et discuté de nos journées respectives, puis je me suis installé dans le salon devant la télé sachant que mon épouse n’allait pas tarder à rejoindre son petit rituel d’exhibition.
Comme a chaque fois elle est donc partie dans la chambre pour se mettre en tenue de combat, puis comme a chaque fois elle a montré son corps à son futur partenaire et comme a chaque fois elle s’est fait jouir en cachette, honteuse de ses pulsions.
Seul le voisin a dut se régaler plus que d’habitude, car maintenant il s’avait qu’il allait se la faire, ce n’était plus qu’une question de temps.
Ma femme est venu se lover contre moi sur le canapé, la mine radieuse après avoir bien jouie, elle m’a embrassé comme si de rien n’était et nous avons passé notre soirée devant le petit écran avant d’aller nous coucher en attendant le lendemain.
J’avais donc tout prévus pour la fin de semaine, mon partenaire était informé des détails et il savait exactement tout ce qu’il avait à faire et quand le faire, j’avais élaboré un véritable plan de bataille, essayant de ne rien omettre qui puisse faire chambouler mes plans.
J’étais excité comme jamais et je pense que notre partenaire ne l’était pas moins, il allait posséder la femme qu’il désirait depuis des semaines, celle qui s’était refusée à lui à plusieurs reprises et qui pourtant allait succomber bien malgré elle.
Oui, je pense que ces derniers jours notre compère n’a pas beaucoup débandé, car moi-même j’avais la trique quasi permanente tellement cela m’excitait, je revivais la scène que j’imaginais en permanence et je l’ai vu baisser ma femme un nombre incalculable de fois, plus excitant de jours en jours, mon esprit c’est habitué à cette jouissance cérébrale et plus rien ne me ferait renoncer à devenir cocu.
Le jour tant attendu est arrivé et j’étais déjà à la maison lorsque mon épouse est rentrée à son tour, bien entendu j’avais déjà mis en place tous les préparatifs pour notre soirée très spéciale et ma chère femme allait les découvrir au fur et à mesure.
Nous nous sommes embrassés et je l’ai séré fort dans mes bras, comme chaque jour elle était très belle et séduisante.
- Ho toi, tu es très câlin ce soir, ça cache quelque chose
- Mais non, c’est toi qui me rend fou tellement tu es sexy dans ton petit tailleur de secrétaire
- Vous les hommes et votre fantasme sur la secrétaire coquine
- Tu vois, c’est toi qui y fait allusion, mois je ne fait que constater les jolies choses que tu me mets sous les yeux
- Quelles jolies choses, tu dis n’importe quoi
- Ben… ce joli et profond décolleté… et puis… cette petite jupe courte… très courte, qui dévoile de très jolies jambes… que l’on a envie de caresser…. et puis….
- Oui je sais, et puis ses belles fesses, etc.… je connais votre discourt par cœur
- Comment ça notre discourt, qui te complimente sur tes fesses ?
- Mais non, c’est votre discourt à vous les hommes car vous êtes tous les même, vous ne pouvez pas voir un bout de cuisse sans aussitôt vous exciter.
- Si c’est comme ça, alors pourquoi vous nous les montrez, c’est que vous aimez nous exciter, non ?
- Surement, mais après on ne touche pas…
Et tout en rigolant elle s’est sauvé vers la chambre en me répétant :
- On ne touche pas… non, non, on ne touche pas…
J’ai fait mine de courir pour la rattraper, elle ma vu et s’est enfermé dans la chambre
- Ce n’est pas la peine de courir, tu n’a pas la clef…
Juste derrière la porte j’ai continué à la taquiner
- Ouvre moi ma beauté…sinon tu auras la fessée… soit gentille, aller ouvre moi…
Je la connaissais trop bien et bien entendu j’avais anticipé sa réaction, cela faisait partie du plan et pour la suite il ne lui restait qu’a se retourner vers le lit…
- Dit donc chéri, c’est quoi ces paquets sur le lit ?
Je restais muet écoutant à la porte pour découvrir ses réactions
- Et bien… de la lingerie… mon amour, tu me gâte… c’est très beau mais tu sais bien que je n’aime pas mettre de porte jarretelles… une robe sexy… chérie…tu dis rien ?
Tu boude… hou, hou, chérie… tu es là… mon parfum préféré et en plus il y a une enveloppe à mon attention, je dois l’ouvrir ?
Je vois que tu fais ton boudin, tant pis… je l’ouvre, même s’il ne fallait pas…
Il s’en est suivi un long silence, comme convenu elle lisait le texte que j’avais glissé dans l’enveloppe, au fur et à mesure de sa lecture j’entendais ses commentaires sur le programme de la soirée.
- Ho toi, je te vois venir… bien voyons, rien que ça… tu m’invite au restaurant, ça c’est bien… là chéri je crois que tu rêve…que je retire ma culotte… du champagne, oui j’adore… que je me bande les yeux, mais pour quoi faire… ho toi tu es trop excité ce soir.
Je l’ai entendu ouvrir la porte et nous nous sommes retrouvés face à face, elle m’a regardé avec un air coquin et ma dit :
- Pourquoi tu me gâte comme ça, de la belle lingerie, mon parfum préféré et une invitation au restaurant… on fête quoi ce soir ?
- Rien de spécial ma chérie, j’ai juste envi de te surprendre, de te faire plaisir, que l’on passe une soirée inoubliable.
- Inoubliable et apparemment plutôt coquine pour la fin de la soirée, mais ce n’est pas la peine de me bander les yeux… je ne suis pas timide et puis on se connaît si bien tous les deux
- On ne connaît jamais assez les gens et puis qui sait il y a peut être d’autres surprises que je dois encore garder secrètes
- d’autres surprises… mais je suis vraiment gâtée ce soir
- Tu n’imagine pas à quel point mon amour, tu vas vivre une soirée merveilleuse et inoubliable
- A ce point ?
- Oui, si tu suis à la lettre mes consignes et que tu es bien sage
- Mais je suis toujours sage, surtout s’il y a des cadeaux
- Bon, l’heure avance il faut te préparer, fait toi encore plus belle pour nous régaler
- Vous régaler ?
- Oui, nous régaler nous les hommes, ceux que l’on va croiser, ceux qui serons au restaurant, oui tous les hommes qui vont te voir ce soir
- Mais mon amour, tu ne pense pas que cette robe est un peu trop…
- Non pas du tout, tu vois tu commence déjà
- Non ce n’est pas ça, mais là je t’assure… la fente sur le coté s’ouvre trop facilement et on voit presque ma culotte
- C’est ça qui est érotique, une belle robe de soirée longue et fendue sur le coté, il n’y a rien de plus sexy pour mettre en valeur une jolie femme
- Si tu le dit, mais il y a aussi les décolletés qui sont un peut trop… et puis avec ça je ne peux pas mettre de soutien-gorge on verrait les bretelles de tous les cotés
Effectivement j’avais acheté une magnifique robe de soirée, toute en soie bleu nuit, elle avait une fente interminable sur le coté droit qui dévoilait la presque totalité de la jambe à chaque pas de la femme qui la porterait.
La matière parfaitement découpée épousait ses formes voluptueuses, pour le haut elle était conçu de deux petits bouts de tissu qui croisés se nouaient derrière la nuque, couvrant à peine sa poitrine généreuse et laissant le dos presque à nu avec une vue plongeante sur la naissance des reins.
Je ne pouvais pas nier que c’était vraiment, très, très osé et terriblement sexy, un véritable pousse au viol mais cela faisait partie du plan, il fallait quelle attire tous les regards sur elle surtout ceux des hommes qui ne manquerons pas de la fixer intensément.
Ainsi vêtue elle me faisait déjà chavirer la tête, j’avais une irrésistible envie de venir derrière elle pour glisser mes mains dans son dos nu, contourner son buste et aller saisir ses seins totalement libre sous le fin tissu, mais il fallait que je me retienne car la soirée allait être chaude, très chaude.
- Ma chérie, tu sais bien que les robes de soirée sont ainsi faites, ce sont des robes extraordinaires pour mettre les corps magnifiques en valeur.
- Tu es trop galant et vraiment charmeur ce soir, me faut-il craindre quelque chose ?
- Absolument rien mon amour, laisse toi guider par les évènements, laisse transparaitre ta féminité et ta beauté sans craindre quoi que ce soit, sans te préoccuper du regard des autres, ni par celui des femmes qui ne pourrons qu’être jalouses, ni par celui des hommes qui te convoiterons forcément en fantasmant sur tes charmes.
Ce soir je veux que tu sois rayonnante, désirable et irrésistible, un point c’est tout
- Ok mon chéri, tu l’auras voulu… moi je ne répondrai de rien et tu ne pourras pas m’en vouloir
Sur ces mots elle à continué à se parer, comme demandé sur mon message, elle a donc agrafé le porte-jarretelle en dentelle noire autour de ses anches pour ensuite envelopper une à une ses jolies jambes dans les bas de soie qui allaient avec.
Ensuite elle a enjambé le minuscule petit string loin de cacher son intimité bien âpreté, lui aussi en fine et délicate dentelle transparente.
Une fois la petite ficelle dissimulée entre ses fesses elle a ajusté sa robe autour de son coup en laissant sa généreuse poitrine libre comme l’air, ballotant au gré de ses gracieux mouvements qui provoquaient déjà l’érection de ses tétons brins.
- Mon amour ce que tu es bandante, je te regarde avec gourmandise
Son visage à légèrement rougi, elle se laissait entrée dans la peau du personnage que je lui demandais d’être pour notre soirée
Elle s’est assise pour pouvoir glisser ses escarpins à haut talon, un à un elle a glissé ses pied dans ces magnifiques écrins, élançant sa silhouette pour sublimer la féminité et la sensualité de ses courbes.
Ainsi paré, elle s’est regardée dans la glace et avec le regard pétillant elle s’est tournée vers moi pour me dire :
- Ca te va mon chéri, suis-je assez sexy et désirable… tu pense qu’ils vont aimer ?
- Ils, comme tu dis, ne vont pas aimer… ils vont devenir fou de jalousie, ils vont fantasmer sur toi comme des dingues, tu n’imagine même pas l’effet que tu va provoquer.
Ensuite elle s’est magnifiquement maquillée mettant son beau visage en valeur, s’est vernis les ongles et s’est parfumée telle une déesse jusque dans les plus intimes recoins.
Elle s’est parée d’un magnifique collier ras le coup de perles noires qui attirait encore plus les regards vers son décolleté, une paire de simples brillants aux oreilles et une bague étincelante au majeur de sa main droite.
Voilà elle était prête, magnifiquement belle, j’avais presque envie de la prendre là, tout de suite oubliant le plan de la soirée, mais ce n’était pas possible il me fallait résister pour viser l’apothéose du final que je lui réservais.
Je l’ai aidé à revêtir un long manteau qui cacherait temporairement la sensualité de sa tenue, juste le temps du trajet vers le restaurant que j’avais réservé et qui se trouvait à quelques minutes de chez nous.
Nous sommes donc sortie de l’appartement, direction l’ascenseur devant lequel nous avons attendu en silence, mon épouse était sage comme une image et je la sentais tendue à cause de sa tenue vestimentaire très indécente, la porte s’est ouverte et il y avait deux hommes à l’intérieur
J’ai pris ma femme par le bras et je l’ai accompagné vers le fond de la cabine en passant volontairement entre les deux hommes
- Bonsoir messieurs
Ils me répondirent aussitôt : - Bonsoir monsieur, bonsoir madame
Ma femme n’osant pas les regarder répondit à son tour d’une voie presque inaudible :
- Bonsoir messieurs
La porte s’est refermé sur nous et pour mieux marquer l’atmosphère j’ai pris ma femme par les anches en la serrant contre moi
- L’un des deux hommes mous demandât : - Quel étage ?
- Rez-de-chaussée, merci
La machine s’est ébranlé et nous sommes descendus dans un silence de cathédrale, il n’y avait que quelques étage mais le temps nous a paru très long, je sentais ma femme très gêné de cette promiscuité surtout depuis que je lui passais ma main sur les fesses, juste là, à coté de ses deux inconnus.
Arrivés en bas, les deux messieurs sont sortis en nous souhaitant une bonne soirée, ils nous ont bien regardé avec un regard malicieux, surtout ma femme qu’ils ont jugé de haut en bas sans même se préoccuper de ma présence, peut être avaient ils repéré mon geste déplacé.
Ma femme parue soulagée, elle s’est collé contre moi en me tenant par le coude et nous sommes partis vers la voiture.
- Chéri… tu exagère, ces hommes sont surement nos voisins d’immeuble et tu n’as pas été très discret
J’ai stoppé notre marche et je me suis mit face à elle pour lui dire :
- Pourtant tu t’es laissé faire, tu n’as pas cherché à te défiler à ma caresse
- j’ai confiance en toi, mais je trouve cela gênant et risqué de faire des choses comme ça prêt de chez nous, on ne sait jamais et cela peut être mal interprété.
- Pourtant tu fais moins la sainte ni touche lorsque tu t’exhibe devant le voyeur d’en face
Je l’ai sentis mouché et pas très fière.
- Ce… n’est pas… pareil…
- Pas pareil ? Mais c’est encore pire, tu montre carrément ton cul, tes seins, tout ton corps sans te préoccuper de qui regarde
- Oui… mais… je fais attention…
- Attention à quoi ? J’ai découvert votre petit jeu, alors qui te dit qu’il n’y a personne d’autre qui te matte en cachette
Elle enfoui sont visage contre ma poitrine et ma serré très fort contre elle
- Tu as raison… j’ai été très imprudente et je t’ai fait du mal…
- Je n’ai pas dit ça, mais comprend bien que si cela ce trouve les deux hommes de tout à l’heure t’on déjà vu à poil, eux et bien d’autres encore
- Mais non… tu dis ça pour me punir…
- Mais oui, ne soit pas craintive comme ça, je suis là pour te protéger alors fait moi confiance et laisse moi te dévergonder un peut, après tout tu me semble déjà bien coquine avec ton voyeur attitré.
- Oui, mais tu sais bien que je ne céderais pas à ces avances, c’est juste pour alimenter mes fantasmes, comme un jardin secret.
- Sauf que moi je suis au courant de votre petit manège, allez assez discuter nous allons arriver en retard.
Nous sommes arrivés rapidement à la voiture, je lui ai ouvert la portière par galanterie mais aussi pour pouvoir apercevoir ses jolies jambes gainées de bas noirs, parure qu’elle ne portait presque jamais préférant les collants.
Pour ma part et celle de beaucoup d’hommes, il n’y a pas photo, une belle pair de bas soutenus par un joli porte-jarretelles en dentelle sur des jambes élancées, il n’y a rien de plus sexy au monde, alors mesdames de grâce faites nous fantasmer à mort.
Sur le trajet je n’ai pu m’empêché de lui caresser tendrement la cuisse qu’elle avait laissé en vu, la douceur de la soie sur sa peau de pêche m’excitait au plus haut point.
- Ma chérie, si ton voyeur te découvrait dans ce bel ensemble de lingerie… il deviendrait fou
- Je crois qu’il n’a pas besoin de ça, tu as bien vu comment il se caresse en me regardant
- Il ne se caresse pas… il se branle en imaginant qu’il te baise
- Oui, c’est ce qui m’excite, pensé à ce qu’il aimerait me faire
- C’est sur, car à la vue de ses attributs, je comprends que tu sois tentée, il est vraiment mieux monté que moi
- Peut être, mais tu me suffis, ce n’est pas pour ça…
- chut…chut… je sais que tu m’aime, mais une queue comme ça… ce n’est pas tous les jours qu’on en voit une, alors c’est normal de fantasmer dessus.
Et tout en parlant j’avais glissé mes doigts entre ses jambes, glissant même mon majeur sous la dentelle du string pour frôler sa vulve déjà moite.
- D’ailleurs tu me semble bien réceptive à son anatomie, tu dégouline déjà
- Arrête et n’en profite pas, c’est toi qui m’excite depuis tout à l’heure, après tout tu veux que je sois coquine, alors ce soir je serais coquine rien que pour toi
- Rien que pour moi ?
- Ben oui, pour qui d’autre voyons.
Nous venions d’arriver à destination, trouvant une place sur le parking de l’auberge, on entendait les pneus sur le gravier et le silence tout autour.
Je suis sorti le premier pour pouvoir ouvrir à ma belle épouse à qui j’ai tendu la main
- Vient, tu ne connais pas cet endroit
- Je ne crois pas, tu ne m’as jamais emmené ici
- Non c’est la première fois, mais tu vas aimer
Je l’ai prise par la taille pour traverser vers l’entrée du restaurant dont l’éclairage attirait nos regards
- Ca à l’air très chic, mon amour tu vas faire des folies
- Il n’y a rien que tu ne mérite, et pour faire des folies… oui, ce soir… je pense que je vais faire des folies, mais les jeux sont faits.
- Que veux-tu dire ?
- Rien ma chérie, c’est une simple expression
- Bonsoir madame, bonsoir monsieur,
- Bonsoir, nous avons une table de réservé
- Effectivement, madame puis je prendre votre manteau, s’il vous plait
J’ai aidé ma femme à retirer son manteau laissant apparaître une silhouette de rêve, revêtue de cette sublime robe bleu nuit, fendue sur toute la jambe et avec ce décolleté à tomber raide, même notre serviteur n’a pu s’empêcher un regard plus appuyé tout en restant à sa place.
- Par ici, veuillez me suivre
Nous sommes entrée dans la grande salle à manger où se trouvait déjà quelques couples de ci et de là, ma femme à traversé la première attirant bien entendu tous les regards sur elle, les femmes sur sa tenue et les hommes sur son cul et ses seins à n’en pas douter.
Moi je suivais, fier comme un coq, d’exposer ce qui m’appartient et qui attise autant de convoitises.
L’homme nous installa près d’une grande cheminée qui en raison de la saison n’était bien sur pas allumée, l’objet avait du cachet et donnerait surement prétexte aux futurs regards des hommes attirés par mon épouse.
L’éclairage de la salle était presque tamisé, avec un jet directionnel sur chaque table occupée, cela rendait l’atmosphère très feutré et permettait une certaine intimité pour les couples qui pouvaient presque se croire seul au monde.
Le Maître d’hôtel recula le siège de ma femme pour lui permettre de s’asseoir, ce quelle fit de manière très élégante, puis il nous remis la carte.
- Souhaitez-vous commencer par un apéritif ?
- Oui, nous souhaiterions du champagne, une bouteille car nous dinerons aussi au champagne, quant pense tu chérie ?
- Tu sais que le champagne me fait facilement tourner la tête, alors c’est toi qui sais…
- Justement comme cela nous pourrons en profiter
- Nous pourrons ? Tu vois que tu me cache quelque chose…
- Nous… les hommes, d’ailleurs regarde il y en a un qui en profite déjà, il reluque bien tes jambes
- Ca ne m’étonne pas avec cette robe il m’est impossible de ne pas les montrer, j’espère qu’il ne voit pas mes dessous
- Laisse le, ce n’est pas tous les jours qu’il doit voir de si jolies jambes, aussi sexy
- Mais sa compagne est très belle aussi
- Oui mais pas aussi sexy que toi, elle est trop classique et semble triste et ennui heuse
- C’est surement de la faute de son mari
- Mais toi, tu n’a pas besoin de moi pour être toujours séduisante et pétillante, moi je suis juste là pour te permettre d’oser porter des choses encore plus sexy.
- Oui, mais des fois tu exagère, regarde cette robe, tout le monde vois bien que je ne porte pas de soutien gorge et en plus j’ai les bouts qui pointes a cause de toi, c’est plutôt gênant.
- Et encore ma belle tu n’a pas vu de derrière, avec le string et ce tissu qui épouse ta peau on dirait que tu es entièrement nue, je te l’ai dit tu es vraiment bandante et ce soir il y en a plus d’un qui va se branler en pensant à toi.
- N’importe quoi, je ne suis pas la seule belle femme ici ce soir, regarde il y a vraiment de très belle femmes.
Entretemps le serveur nous as apporté notre champagne, plaça le sceau à ma droite et déboucha délicatement la bouteille, puis nous servis deux coupes en commençant par madame.
Profitant que le jeune homme servait mon épouse j’ai osé lui demander :
- Dite moi jeune homme, en toute sincérité, je disais à ma femme qu’elle était de loin la plus belle et désirable de toutes les femmes présentent ce soir, pouvez vous confirmer cela ?
Le garçon à rougi en regardant néanmoins mon épouse, monsieur c’est gênant… mais je suis de votre avis, madame est vraiment la plus élégante de la soirée.
- Merci, tu vois que je ne te mens pas, monsieur est lui aussi sensible à ton charme
Ma femme n’osait plus regarder le serveur qui en passant plongea ses yeux dans le profond décolleté et sur les tétons qui déformaient le fin tissu, du coup il prit son temps pour finir le service et replonger la bouteille dans la glace avant de repartir.
- Tu vois mon amour tu fais même de l’effet aux petits jeunes, n’est ce pas agréable ?
- Arrête tu es terrible, tu as gêné ce garçon, il était tout rouge
- N’empêche qu’il reluquait bien tes nichons, il était juste intimidé par les circonstances et il serait bien resté à te mater encore un peut.
- Mais ce jeune garçon ne voudrait pas d’une vieille comme moi
- Que tu dis, la prochaine fois qu’il vient nous servir glisse lui ton numéro de téléphone dans la poche et tu verras
- Mais tu es fou, je n’en ai pas envie du tout, il est trop jeune
- A nous y voilà, il est trop jeune, car s’il l’était moins tu n’aurais pas dit non ?
- Seule je n’aurai pas osé, mais si tu me pousse à le faire alors je ne garantie rien… tu vois je n’ai encore rien bu et tu me fais déjà dire des bêtises.
Nous avons trinqué nos coupes
- A la plus merveilleuse femme du monde, à ton sourire craquant et à nos fantasmes les plus fous
- Tshin…
- A propos de fantasmes, tu ne veux toujours pas me dire ce que tu me réserve pour tout à l’heure ?
- Non…non… c’est une surprise, si tu es, très, très sage
Tout en discutant amoureusement, nous avons dégusté l’entrée et le plat principal et nous avons finis notre bouteille sans nous en rendre compte, après avoir commandé le dessert et une autre bouteille mon épouse à voulus se rendre au toilettes.
Vous auriez vu la scène, lorsqu’elle à traversé les tables sous les regards masculins collés à ses fesses et à ses jambes qui se dénudaient sous le flottement de la robe.
Elle était vraiment belle et il m’a fallu me raisonner pour ne pas aller me la faire dans les toilettes au nez et à la barbe de tous, je préférais attendre la suite du programme.
A son retour des toilettes j’ai cru que plusieurs femmes allaient demander le divorce
- Et bien ma chérie tu fais sensation et tu fais des jalouses, ils sont comme des fous, heureusement que je suis là sinon ils te sauteraient dessus
- C’est surement le champagne qui me grise, mais cela ne me déplais pas de les exciter tous ces mecs…
- C’est un peu le champagne mais c’est aussi ta nature, ca t’excite bien de t’exhiber
- Oui, c’est vrai… allez ressert moi une coupe, je te l’ai dit, ce soir je serais ta coquine
Les choses prenaient bonne tournure à mon sens, ma chérie se prenait au jeu et le champagne allait bien m’aider pour la suite
Après avoir dégusté un délicieux dessert, nous avons attendus le café en finissant la deuxième bouteille de champagne, notre compte était bon, ma femme ne pouvait plus rien me refuser et même moi je commençais à être limite pour pouvoir conduire.
Après avoir réglé la note, nous sommes allés vers l’accueil où c’est le jeune serveur qui est venu aider ma femme à passer son manteau
- Tenez madame, la soirée c’est bien passé ?
J’ai soudain eu l’envi de taquiner ma femme en pensant à notre petite discussion à table
- Très, très bien… d’ailleurs chérie tu ne devais pas donner quelque au jeune homme ?
Ma femme m’a regardez avec des gros yeux, elle avait compris où je voulais en venir et m’a pris de revers.
- Tu es sur de toi, tu veux que je le fasse ?
- En sera tu capable ?
Je l’ai vu ouvrir son sac à main, elle a pris un petit carnet duquel elle a arraché une feuille pour y noter quelque chose, puis elle a pris un billet dans son porte monnaie et à mis le tout dans la main du jeune homme qui attendait souriant.
- Tenez jeune homme, faite en bon usage et encore merci
Puis elle m’a pris par le bras et nous sommes sortis pour nous rendre à notre voiture
- Tu vois chéri, il ne fallait pas me chercher, maintenant les dés sont jetés
- Je ne pensais pas que tu aurais eu le courage de le faire, et maintenant s’il t’appel tu feras quoi ?
- Si ce beau jeune homme m’appelle, et bien je me laisse faire et j’en profite, ce n’est pas ce que tu voulais ?
Je lui ai ouvert la portière pour quelle s’installe et j’ai fait le tour pour mettre le contact
- Ok, alors tu me tiendras au courant des éventuelles suites…
- Peut être… mais il est aussi possible que je ne te dise rien, histoire de te faire languir
- Tu fais comme tu veux mon amour, mais laisse moi vérifier dans quel état ce jeune homme ta mit
Tout en finissant ma phrase, j’ai glissé ma main entre ses cuisses direction l’élastique du string en glissant mes doigts vers l’entrée de sa vulve.
- Et bien ma petite salope, je crois qu’il te fait carrément fondre, tu es toute ruisselante
- Hum… au lieu de me fouiller, si tu me parlais plutôt de ma surprise, car j’ai été très sage
Je laissais mon majeur aller et venir dans le sillon des grandes lèvres qui s’entrouvraient au passage de celui-ci, parfaitement lubrifié mon doigt coulissait avec aisance et je constatais que ma femme y prenait un certain plaisir en ondulant du basin.
- Ma chérie, ferme les yeux et concentre toi sur ce que je te fais à l’instant
- Hum… tu crois que c’est raisonnable… on pourrait attendre d’être à la maison
- Voilà, c’est mieux comme ça… écarte bien tes cuisses au maximum… c’est bien
Ainsi ouverte, j’ai pu écarter le string et empoigner la totalité de sa vulve tout en y glissant deux doigts
- Humm… fait attention…. tu vas finir par me faire…. Hum… jouir…
- Non pas question, tu vas te retenir… je t’interdis de jouir… je veux juste t’allumer pour tout à l’heure
- Comment ça… pour tout à l’heure…non, fait moi jouir…
- Non, non, de la frustration n’ait le désir et je veux que tu sois folle de désir, je veux que tu ne puisses pas te retenir, que tu ne puisses rien me refuser tellement tu auras envie de jouir.
Je lui ai ordonné de rester ainsi cuisses largement ouverte, la vulve à l’air, avec toute l’indécence que cela dégageait, de l’extérieur de la voiture on aurait dit une pute qui montrait sa marchandise et cela nous excitaient au plus haut point.
J’ai roulé en traversant la ville, exhibant ma putain à chaque feu rouge, chaque stop, chaque passage piéton, elle fermait les yeux pour se laisser aller, mais au regard de l’humidité qui se propageait sur le siège entre ses cuisses je pense qu’elle y prenait un sincère plaisir.
Et moi je bandais très fort, excité par tout cela mais bien plus par mon futur cocufiage qui approchait au gré des kilomètres, nous n’étions plus très loin et les choses sérieuse allaient enfin commencer.
Au matin j’espérais avoir oublié tout cela, mais la vue du sublime cul de ma femme qui se dirigeait vers la salle de bain m’a immédiatement réchauffé les esprits.
J’ai ouvert les rideaux pour laisser entrée le soleil et mes yeux sont retombés sur la fenêtre du voisin avec tous les souvenirs de la veille.
Ce salaud avait vraiment un sacré mandrin et il était impossible que ma femme ne soit pas excitée par ce beau morceau, d’ailleurs aucune femme ne pourrait rester insensible devant un tel argument d’autant plus que le mec ne s’emblait pas moche du tout.
D’un seul coup, je mesurais mieux la fidélité de ma femme, car malgré le fantasme qui s’était insinué en elle avec ce rituel régulier ou elle s’exhibait devant lui, malgré qu’il ait tenté de la séduire, oui malgré tout cela, elle n’a pas succombé à la tentation.
Une fois douchés et habillés, nous avons déjeuné sans aucune allusion à cette soirée, j’ai mis à l’aise mon épouse qui devait surement appréhender notre face à face après toutes ces révélations de la veille permettant à son visage de libéré son plus beau sourire.
Elle est partie au travail la première me laissant seul avec mes pensées perverses, comment allais je pourvoir faire pour organiser la suite des évènements car il n’était pas sur qu’elle souhaite vraiment passer à l’acte, j’entends souvent dire qu’un fantasme doit rester un fantasme, au-delà du plaisir cérébral évident que cela lui procure, serait elle prête à franchir ce point de non retour.
Et une fois l’acte consommé, serait elle comblée ou dessue, aurait elle des remords insurmontables, comment allait elle vivre la chose, se sentir après coup, toutes ses interrogations me semblaient pertinentes.
Mais je soupçonnais mon ego de les attribuer à ma femme alors que c’était moi qui ressentais ces craintes.
Je suis donc parti à mon tour au travail pour une longue journée de réflexion, concentré comme jamais sur mon but final, il me fallait tout organiser sans qu’elle ne se doute de quoi que ce soit, que cela soit une véritable surprise et devienne une explosion de sensations.
Restait à rencontrer notre voisin pour organiser cela, aucun doute quant à son acceptation au vu de l’effet que ma femme lui faisait depuis des semaines, il ne devait rêver que de cela, pouvoir enfin se la mettre malgré ses refus de femme fidèle.
Le vrai problème était de lui faire comprendre les règles à respecter, de ne pas confondre offrande et donation, de ne pas croire un seul instant à une faiblesse de notre part, d’elle comme de moi, qu’il comprenne qu’il s’agit d’un jeu entre adultes consentants et qu’il n’est qu’un instrument du plaisir du couple.
Je me suis donc décidé à prendre mon courage à deux mains et a allé le voir, après tout nous serons entre hommes, depuis hier soir il s’avait que j’étais complice des exhibitions de ma femme et il devait s’attendre à une quelconque réaction de ma part.
La journée fut vraiment longue et j’ai demandé à pouvoir partir plus tôt afin d’avoir le temps de le rencontrer avant le retour de ma femme, moins d’une heure plus tard, c’est le cœur battant que je me suis retrouvé devant sa porte.
Il n’y avait qu’un nom sur la porte, il vivait donc seul sans aucun obstacle pour notre future affaire, j’ai hésité de longues secondes avant de sonner.
- Dring…
Pendant un bref instant j’ai espéré qu’il ne soit pas là, ma jalousie tentant une dernière escapade pour faire capoter le projet, mais je l’ai entendu approcher, puis ouvrir pour se retrouver face à moi le regard surpris.
- Bon…bonjour…
- bonjour… j’aimerais pouvoir vous parler
- Je comprends, j’espère que vous n’êtes pas en colère ?
- Comment dire… non… mais il faut qu’on puisse en parler
- Vous souhaitez entrée ?
- Oui, ce sera mieux
Il était très surpris et s’emblait inquiet de mon éventuelle réaction, mais le ton de ma voix et mes premières paroles l’avaient déjà un peu rassuré, il me fit donc entrer chez lui en me dirigeant vers le salon, c’était là que ce trouvait la fenêtre donnant sur notre chambre.
- Oui, c’est là que je vous observe, enfin… que j’observe votre femme, mais c’était vraiment involontaire…
- Oui, ma femme me la dit… n’empêche que depuis…
- Sincèrement que feriez vous à ma place, je ne fait rien de mal à regarder cette très belle femme
- Surement mais… mon épouse m’a dit… que vous aviez tenté une approche… plus concrète
- Oui, inutile de vous mentir, mais elle vous est fidèle… je peux vous le garantir
- J’ai cru le comprendre, mais néanmoins… j’ai constaté qu’elle n’était pas… comment dire…insensible à vos charmes
Légèrement mal à l’aise, il s’est levé et m’a proposé à boire
- Monsieur, cette situation est gênante pour moi comme pour vous, il faut que vous compreniez que rien n’ai fait contre vous… je n’imaginais pas un instant que vous alliez découvrir notre petit jeu et en aucune façon je ne voulais vous manquer de respect.
Il m’a tendu un whisky
- Au moins c’est sincère de votre part, mais… ma femme… est restée sur sa faim.
J’ai cru qu’il allait avaler de travers
- Je ne vous ai pas bien compris, monsieur ?
- Je veux vous dire que tout cela la fortement excitée et qu’elle reste sur sa faim, mais vous m’avez bien compris.
- Je suis désolé… je ne pouvais pas imaginer qu’elle le prendrait ainsi… je vais cesser cela immédiatement, je ne veux pas que nous soyons mal à l’aise entre voisins.
- Heu, non… ce n’est pas vraiment ce que je suis venu… vous demander
- Alors que souhaitez-vous ?
- Ben… disons que ce n’est pas très facile… de vous avouer une telle chose.
- Si je peux me permettre… quoi que vous décidiez je vous garantie de le prendre avec respect, faites vos choix sereinement, après tout… nous avons tout notre temps.
Par ses mots il me faisait comprendre qu’il se doutait un peut du sujet que je voulais aborder et me mettait simplement plus à l’aise.
- Merci… vous comprenez donc… qu’il n’est pas facile pour un homme… d’offrir la femme qu’il aime… à un autre homme, qui plus est… totalement inconnu.
- Offrir votre femme ?
- S’il vous plait…laisser moi finir… ma femme fantasme sur vous…et je pense que vous n’êtes pas insensible à ses charmes, non… je me trompe ?
- Heu… pas du tout… votre épouse est vraiment… très belle…
- Vous me rassurez, donc j’aimerais que nous élaborions ensemble la meilleure manière de pouvoir lui permettre d’assouvir son fantasme, elle n’est absolument pas au courant de ma démarche.
- Excusez moi, mais vous dans tout cela, comment…
- Comment… et bien cela dépend aussi de vous, pour ma part j’aimerai que cela se passe en ma présence pour la rassurer… j’espère que vous comprendrez ?
- Tout à fait, votre femme n’est pas une… désolé, n’est pas une habituée de ces choses là
- Non effectivement et je ne veux pas la décevoir, ni lui imposer quoi que ce soit, lui permette de vivre une aventure inimaginable… oui, mais faire d’elle ce qu’elle n’est pas alors là pas question.
- Je veux absolument vous rassurer, je mesure la chance incroyable qui est la mienne de pouvoir vivre une telle situation, mais j’ai parfaitement conscience de mon rôle dans cette relation…érotique.
- Vous me facilitez sincèrement la tache, avez-vous déjà vécu ce genre de… relation ?
Son visage sourit et il leva son verre vers moi
- Non, mais j’en rêve depuis plusieurs semaines.
- Donc si vous en rêvez, dans votre rêve… cela se passe comment ?
- Heu… dans mes rêves vous… n’étiez pas présent, mais… consentant.
- Comment cela ?
- Et bien un jour votre femme serait venue me voir dans la rue pour me demander si j’étais toujours partant…
- Vous avez changée d’avis ?
- Non, mais mon mari m’autorise cette fantaisie, alors toujours tenté ?
Je vous passe les détails, c’est comme cela que votre épouse et moi nous faisions l’amour avec votre permission.
- Oui c’est une hypothèse, mais ce n’est pas vraiment comme ça que je vois les choses… du moins pour l’instant…
- Et quel serait votre scénario ?
- Et bien moi… j’imaginerai bien une soirée plus particulière…
Ce soir là, nous nous sommes donc quitté en bon amis, les idées bien calés sur les désirs de chacun et les limites nécessaires à une telle relation.
Mais je dois avouer que le personnage m’a bien plut, éduqué, instruit et bel homme, j’avoue même que la bosse à l’entre jambe de son pantalon m’impressionnait et me rendait jaloux.
Ce soir là je suis donc rentré comme d’habitude, ma femme ne s’aperçu de rien et nous avons diner et discuté de nos journées respectives, puis je me suis installé dans le salon devant la télé sachant que mon épouse n’allait pas tarder à rejoindre son petit rituel d’exhibition.
Comme a chaque fois elle est donc partie dans la chambre pour se mettre en tenue de combat, puis comme a chaque fois elle a montré son corps à son futur partenaire et comme a chaque fois elle s’est fait jouir en cachette, honteuse de ses pulsions.
Seul le voisin a dut se régaler plus que d’habitude, car maintenant il s’avait qu’il allait se la faire, ce n’était plus qu’une question de temps.
Ma femme est venu se lover contre moi sur le canapé, la mine radieuse après avoir bien jouie, elle m’a embrassé comme si de rien n’était et nous avons passé notre soirée devant le petit écran avant d’aller nous coucher en attendant le lendemain.
J’avais donc tout prévus pour la fin de semaine, mon partenaire était informé des détails et il savait exactement tout ce qu’il avait à faire et quand le faire, j’avais élaboré un véritable plan de bataille, essayant de ne rien omettre qui puisse faire chambouler mes plans.
J’étais excité comme jamais et je pense que notre partenaire ne l’était pas moins, il allait posséder la femme qu’il désirait depuis des semaines, celle qui s’était refusée à lui à plusieurs reprises et qui pourtant allait succomber bien malgré elle.
Oui, je pense que ces derniers jours notre compère n’a pas beaucoup débandé, car moi-même j’avais la trique quasi permanente tellement cela m’excitait, je revivais la scène que j’imaginais en permanence et je l’ai vu baisser ma femme un nombre incalculable de fois, plus excitant de jours en jours, mon esprit c’est habitué à cette jouissance cérébrale et plus rien ne me ferait renoncer à devenir cocu.
Le jour tant attendu est arrivé et j’étais déjà à la maison lorsque mon épouse est rentrée à son tour, bien entendu j’avais déjà mis en place tous les préparatifs pour notre soirée très spéciale et ma chère femme allait les découvrir au fur et à mesure.
Nous nous sommes embrassés et je l’ai séré fort dans mes bras, comme chaque jour elle était très belle et séduisante.
- Ho toi, tu es très câlin ce soir, ça cache quelque chose
- Mais non, c’est toi qui me rend fou tellement tu es sexy dans ton petit tailleur de secrétaire
- Vous les hommes et votre fantasme sur la secrétaire coquine
- Tu vois, c’est toi qui y fait allusion, mois je ne fait que constater les jolies choses que tu me mets sous les yeux
- Quelles jolies choses, tu dis n’importe quoi
- Ben… ce joli et profond décolleté… et puis… cette petite jupe courte… très courte, qui dévoile de très jolies jambes… que l’on a envie de caresser…. et puis….
- Oui je sais, et puis ses belles fesses, etc.… je connais votre discourt par cœur
- Comment ça notre discourt, qui te complimente sur tes fesses ?
- Mais non, c’est votre discourt à vous les hommes car vous êtes tous les même, vous ne pouvez pas voir un bout de cuisse sans aussitôt vous exciter.
- Si c’est comme ça, alors pourquoi vous nous les montrez, c’est que vous aimez nous exciter, non ?
- Surement, mais après on ne touche pas…
Et tout en rigolant elle s’est sauvé vers la chambre en me répétant :
- On ne touche pas… non, non, on ne touche pas…
J’ai fait mine de courir pour la rattraper, elle ma vu et s’est enfermé dans la chambre
- Ce n’est pas la peine de courir, tu n’a pas la clef…
Juste derrière la porte j’ai continué à la taquiner
- Ouvre moi ma beauté…sinon tu auras la fessée… soit gentille, aller ouvre moi…
Je la connaissais trop bien et bien entendu j’avais anticipé sa réaction, cela faisait partie du plan et pour la suite il ne lui restait qu’a se retourner vers le lit…
- Dit donc chéri, c’est quoi ces paquets sur le lit ?
Je restais muet écoutant à la porte pour découvrir ses réactions
- Et bien… de la lingerie… mon amour, tu me gâte… c’est très beau mais tu sais bien que je n’aime pas mettre de porte jarretelles… une robe sexy… chérie…tu dis rien ?
Tu boude… hou, hou, chérie… tu es là… mon parfum préféré et en plus il y a une enveloppe à mon attention, je dois l’ouvrir ?
Je vois que tu fais ton boudin, tant pis… je l’ouvre, même s’il ne fallait pas…
Il s’en est suivi un long silence, comme convenu elle lisait le texte que j’avais glissé dans l’enveloppe, au fur et à mesure de sa lecture j’entendais ses commentaires sur le programme de la soirée.
- Ho toi, je te vois venir… bien voyons, rien que ça… tu m’invite au restaurant, ça c’est bien… là chéri je crois que tu rêve…que je retire ma culotte… du champagne, oui j’adore… que je me bande les yeux, mais pour quoi faire… ho toi tu es trop excité ce soir.
Je l’ai entendu ouvrir la porte et nous nous sommes retrouvés face à face, elle m’a regardé avec un air coquin et ma dit :
- Pourquoi tu me gâte comme ça, de la belle lingerie, mon parfum préféré et une invitation au restaurant… on fête quoi ce soir ?
- Rien de spécial ma chérie, j’ai juste envi de te surprendre, de te faire plaisir, que l’on passe une soirée inoubliable.
- Inoubliable et apparemment plutôt coquine pour la fin de la soirée, mais ce n’est pas la peine de me bander les yeux… je ne suis pas timide et puis on se connaît si bien tous les deux
- On ne connaît jamais assez les gens et puis qui sait il y a peut être d’autres surprises que je dois encore garder secrètes
- d’autres surprises… mais je suis vraiment gâtée ce soir
- Tu n’imagine pas à quel point mon amour, tu vas vivre une soirée merveilleuse et inoubliable
- A ce point ?
- Oui, si tu suis à la lettre mes consignes et que tu es bien sage
- Mais je suis toujours sage, surtout s’il y a des cadeaux
- Bon, l’heure avance il faut te préparer, fait toi encore plus belle pour nous régaler
- Vous régaler ?
- Oui, nous régaler nous les hommes, ceux que l’on va croiser, ceux qui serons au restaurant, oui tous les hommes qui vont te voir ce soir
- Mais mon amour, tu ne pense pas que cette robe est un peu trop…
- Non pas du tout, tu vois tu commence déjà
- Non ce n’est pas ça, mais là je t’assure… la fente sur le coté s’ouvre trop facilement et on voit presque ma culotte
- C’est ça qui est érotique, une belle robe de soirée longue et fendue sur le coté, il n’y a rien de plus sexy pour mettre en valeur une jolie femme
- Si tu le dit, mais il y a aussi les décolletés qui sont un peut trop… et puis avec ça je ne peux pas mettre de soutien-gorge on verrait les bretelles de tous les cotés
Effectivement j’avais acheté une magnifique robe de soirée, toute en soie bleu nuit, elle avait une fente interminable sur le coté droit qui dévoilait la presque totalité de la jambe à chaque pas de la femme qui la porterait.
La matière parfaitement découpée épousait ses formes voluptueuses, pour le haut elle était conçu de deux petits bouts de tissu qui croisés se nouaient derrière la nuque, couvrant à peine sa poitrine généreuse et laissant le dos presque à nu avec une vue plongeante sur la naissance des reins.
Je ne pouvais pas nier que c’était vraiment, très, très osé et terriblement sexy, un véritable pousse au viol mais cela faisait partie du plan, il fallait quelle attire tous les regards sur elle surtout ceux des hommes qui ne manquerons pas de la fixer intensément.
Ainsi vêtue elle me faisait déjà chavirer la tête, j’avais une irrésistible envie de venir derrière elle pour glisser mes mains dans son dos nu, contourner son buste et aller saisir ses seins totalement libre sous le fin tissu, mais il fallait que je me retienne car la soirée allait être chaude, très chaude.
- Ma chérie, tu sais bien que les robes de soirée sont ainsi faites, ce sont des robes extraordinaires pour mettre les corps magnifiques en valeur.
- Tu es trop galant et vraiment charmeur ce soir, me faut-il craindre quelque chose ?
- Absolument rien mon amour, laisse toi guider par les évènements, laisse transparaitre ta féminité et ta beauté sans craindre quoi que ce soit, sans te préoccuper du regard des autres, ni par celui des femmes qui ne pourrons qu’être jalouses, ni par celui des hommes qui te convoiterons forcément en fantasmant sur tes charmes.
Ce soir je veux que tu sois rayonnante, désirable et irrésistible, un point c’est tout
- Ok mon chéri, tu l’auras voulu… moi je ne répondrai de rien et tu ne pourras pas m’en vouloir
Sur ces mots elle à continué à se parer, comme demandé sur mon message, elle a donc agrafé le porte-jarretelle en dentelle noire autour de ses anches pour ensuite envelopper une à une ses jolies jambes dans les bas de soie qui allaient avec.
Ensuite elle a enjambé le minuscule petit string loin de cacher son intimité bien âpreté, lui aussi en fine et délicate dentelle transparente.
Une fois la petite ficelle dissimulée entre ses fesses elle a ajusté sa robe autour de son coup en laissant sa généreuse poitrine libre comme l’air, ballotant au gré de ses gracieux mouvements qui provoquaient déjà l’érection de ses tétons brins.
- Mon amour ce que tu es bandante, je te regarde avec gourmandise
Son visage à légèrement rougi, elle se laissait entrée dans la peau du personnage que je lui demandais d’être pour notre soirée
Elle s’est assise pour pouvoir glisser ses escarpins à haut talon, un à un elle a glissé ses pied dans ces magnifiques écrins, élançant sa silhouette pour sublimer la féminité et la sensualité de ses courbes.
Ainsi paré, elle s’est regardée dans la glace et avec le regard pétillant elle s’est tournée vers moi pour me dire :
- Ca te va mon chéri, suis-je assez sexy et désirable… tu pense qu’ils vont aimer ?
- Ils, comme tu dis, ne vont pas aimer… ils vont devenir fou de jalousie, ils vont fantasmer sur toi comme des dingues, tu n’imagine même pas l’effet que tu va provoquer.
Ensuite elle s’est magnifiquement maquillée mettant son beau visage en valeur, s’est vernis les ongles et s’est parfumée telle une déesse jusque dans les plus intimes recoins.
Elle s’est parée d’un magnifique collier ras le coup de perles noires qui attirait encore plus les regards vers son décolleté, une paire de simples brillants aux oreilles et une bague étincelante au majeur de sa main droite.
Voilà elle était prête, magnifiquement belle, j’avais presque envie de la prendre là, tout de suite oubliant le plan de la soirée, mais ce n’était pas possible il me fallait résister pour viser l’apothéose du final que je lui réservais.
Je l’ai aidé à revêtir un long manteau qui cacherait temporairement la sensualité de sa tenue, juste le temps du trajet vers le restaurant que j’avais réservé et qui se trouvait à quelques minutes de chez nous.
Nous sommes donc sortie de l’appartement, direction l’ascenseur devant lequel nous avons attendu en silence, mon épouse était sage comme une image et je la sentais tendue à cause de sa tenue vestimentaire très indécente, la porte s’est ouverte et il y avait deux hommes à l’intérieur
J’ai pris ma femme par le bras et je l’ai accompagné vers le fond de la cabine en passant volontairement entre les deux hommes
- Bonsoir messieurs
Ils me répondirent aussitôt : - Bonsoir monsieur, bonsoir madame
Ma femme n’osant pas les regarder répondit à son tour d’une voie presque inaudible :
- Bonsoir messieurs
La porte s’est refermé sur nous et pour mieux marquer l’atmosphère j’ai pris ma femme par les anches en la serrant contre moi
- L’un des deux hommes mous demandât : - Quel étage ?
- Rez-de-chaussée, merci
La machine s’est ébranlé et nous sommes descendus dans un silence de cathédrale, il n’y avait que quelques étage mais le temps nous a paru très long, je sentais ma femme très gêné de cette promiscuité surtout depuis que je lui passais ma main sur les fesses, juste là, à coté de ses deux inconnus.
Arrivés en bas, les deux messieurs sont sortis en nous souhaitant une bonne soirée, ils nous ont bien regardé avec un regard malicieux, surtout ma femme qu’ils ont jugé de haut en bas sans même se préoccuper de ma présence, peut être avaient ils repéré mon geste déplacé.
Ma femme parue soulagée, elle s’est collé contre moi en me tenant par le coude et nous sommes partis vers la voiture.
- Chéri… tu exagère, ces hommes sont surement nos voisins d’immeuble et tu n’as pas été très discret
J’ai stoppé notre marche et je me suis mit face à elle pour lui dire :
- Pourtant tu t’es laissé faire, tu n’as pas cherché à te défiler à ma caresse
- j’ai confiance en toi, mais je trouve cela gênant et risqué de faire des choses comme ça prêt de chez nous, on ne sait jamais et cela peut être mal interprété.
- Pourtant tu fais moins la sainte ni touche lorsque tu t’exhibe devant le voyeur d’en face
Je l’ai sentis mouché et pas très fière.
- Ce… n’est pas… pareil…
- Pas pareil ? Mais c’est encore pire, tu montre carrément ton cul, tes seins, tout ton corps sans te préoccuper de qui regarde
- Oui… mais… je fais attention…
- Attention à quoi ? J’ai découvert votre petit jeu, alors qui te dit qu’il n’y a personne d’autre qui te matte en cachette
Elle enfoui sont visage contre ma poitrine et ma serré très fort contre elle
- Tu as raison… j’ai été très imprudente et je t’ai fait du mal…
- Je n’ai pas dit ça, mais comprend bien que si cela ce trouve les deux hommes de tout à l’heure t’on déjà vu à poil, eux et bien d’autres encore
- Mais non… tu dis ça pour me punir…
- Mais oui, ne soit pas craintive comme ça, je suis là pour te protéger alors fait moi confiance et laisse moi te dévergonder un peut, après tout tu me semble déjà bien coquine avec ton voyeur attitré.
- Oui, mais tu sais bien que je ne céderais pas à ces avances, c’est juste pour alimenter mes fantasmes, comme un jardin secret.
- Sauf que moi je suis au courant de votre petit manège, allez assez discuter nous allons arriver en retard.
Nous sommes arrivés rapidement à la voiture, je lui ai ouvert la portière par galanterie mais aussi pour pouvoir apercevoir ses jolies jambes gainées de bas noirs, parure qu’elle ne portait presque jamais préférant les collants.
Pour ma part et celle de beaucoup d’hommes, il n’y a pas photo, une belle pair de bas soutenus par un joli porte-jarretelles en dentelle sur des jambes élancées, il n’y a rien de plus sexy au monde, alors mesdames de grâce faites nous fantasmer à mort.
Sur le trajet je n’ai pu m’empêché de lui caresser tendrement la cuisse qu’elle avait laissé en vu, la douceur de la soie sur sa peau de pêche m’excitait au plus haut point.
- Ma chérie, si ton voyeur te découvrait dans ce bel ensemble de lingerie… il deviendrait fou
- Je crois qu’il n’a pas besoin de ça, tu as bien vu comment il se caresse en me regardant
- Il ne se caresse pas… il se branle en imaginant qu’il te baise
- Oui, c’est ce qui m’excite, pensé à ce qu’il aimerait me faire
- C’est sur, car à la vue de ses attributs, je comprends que tu sois tentée, il est vraiment mieux monté que moi
- Peut être, mais tu me suffis, ce n’est pas pour ça…
- chut…chut… je sais que tu m’aime, mais une queue comme ça… ce n’est pas tous les jours qu’on en voit une, alors c’est normal de fantasmer dessus.
Et tout en parlant j’avais glissé mes doigts entre ses jambes, glissant même mon majeur sous la dentelle du string pour frôler sa vulve déjà moite.
- D’ailleurs tu me semble bien réceptive à son anatomie, tu dégouline déjà
- Arrête et n’en profite pas, c’est toi qui m’excite depuis tout à l’heure, après tout tu veux que je sois coquine, alors ce soir je serais coquine rien que pour toi
- Rien que pour moi ?
- Ben oui, pour qui d’autre voyons.
Nous venions d’arriver à destination, trouvant une place sur le parking de l’auberge, on entendait les pneus sur le gravier et le silence tout autour.
Je suis sorti le premier pour pouvoir ouvrir à ma belle épouse à qui j’ai tendu la main
- Vient, tu ne connais pas cet endroit
- Je ne crois pas, tu ne m’as jamais emmené ici
- Non c’est la première fois, mais tu vas aimer
Je l’ai prise par la taille pour traverser vers l’entrée du restaurant dont l’éclairage attirait nos regards
- Ca à l’air très chic, mon amour tu vas faire des folies
- Il n’y a rien que tu ne mérite, et pour faire des folies… oui, ce soir… je pense que je vais faire des folies, mais les jeux sont faits.
- Que veux-tu dire ?
- Rien ma chérie, c’est une simple expression
- Bonsoir madame, bonsoir monsieur,
- Bonsoir, nous avons une table de réservé
- Effectivement, madame puis je prendre votre manteau, s’il vous plait
J’ai aidé ma femme à retirer son manteau laissant apparaître une silhouette de rêve, revêtue de cette sublime robe bleu nuit, fendue sur toute la jambe et avec ce décolleté à tomber raide, même notre serviteur n’a pu s’empêcher un regard plus appuyé tout en restant à sa place.
- Par ici, veuillez me suivre
Nous sommes entrée dans la grande salle à manger où se trouvait déjà quelques couples de ci et de là, ma femme à traversé la première attirant bien entendu tous les regards sur elle, les femmes sur sa tenue et les hommes sur son cul et ses seins à n’en pas douter.
Moi je suivais, fier comme un coq, d’exposer ce qui m’appartient et qui attise autant de convoitises.
L’homme nous installa près d’une grande cheminée qui en raison de la saison n’était bien sur pas allumée, l’objet avait du cachet et donnerait surement prétexte aux futurs regards des hommes attirés par mon épouse.
L’éclairage de la salle était presque tamisé, avec un jet directionnel sur chaque table occupée, cela rendait l’atmosphère très feutré et permettait une certaine intimité pour les couples qui pouvaient presque se croire seul au monde.
Le Maître d’hôtel recula le siège de ma femme pour lui permettre de s’asseoir, ce quelle fit de manière très élégante, puis il nous remis la carte.
- Souhaitez-vous commencer par un apéritif ?
- Oui, nous souhaiterions du champagne, une bouteille car nous dinerons aussi au champagne, quant pense tu chérie ?
- Tu sais que le champagne me fait facilement tourner la tête, alors c’est toi qui sais…
- Justement comme cela nous pourrons en profiter
- Nous pourrons ? Tu vois que tu me cache quelque chose…
- Nous… les hommes, d’ailleurs regarde il y en a un qui en profite déjà, il reluque bien tes jambes
- Ca ne m’étonne pas avec cette robe il m’est impossible de ne pas les montrer, j’espère qu’il ne voit pas mes dessous
- Laisse le, ce n’est pas tous les jours qu’il doit voir de si jolies jambes, aussi sexy
- Mais sa compagne est très belle aussi
- Oui mais pas aussi sexy que toi, elle est trop classique et semble triste et ennui heuse
- C’est surement de la faute de son mari
- Mais toi, tu n’a pas besoin de moi pour être toujours séduisante et pétillante, moi je suis juste là pour te permettre d’oser porter des choses encore plus sexy.
- Oui, mais des fois tu exagère, regarde cette robe, tout le monde vois bien que je ne porte pas de soutien gorge et en plus j’ai les bouts qui pointes a cause de toi, c’est plutôt gênant.
- Et encore ma belle tu n’a pas vu de derrière, avec le string et ce tissu qui épouse ta peau on dirait que tu es entièrement nue, je te l’ai dit tu es vraiment bandante et ce soir il y en a plus d’un qui va se branler en pensant à toi.
- N’importe quoi, je ne suis pas la seule belle femme ici ce soir, regarde il y a vraiment de très belle femmes.
Entretemps le serveur nous as apporté notre champagne, plaça le sceau à ma droite et déboucha délicatement la bouteille, puis nous servis deux coupes en commençant par madame.
Profitant que le jeune homme servait mon épouse j’ai osé lui demander :
- Dite moi jeune homme, en toute sincérité, je disais à ma femme qu’elle était de loin la plus belle et désirable de toutes les femmes présentent ce soir, pouvez vous confirmer cela ?
Le garçon à rougi en regardant néanmoins mon épouse, monsieur c’est gênant… mais je suis de votre avis, madame est vraiment la plus élégante de la soirée.
- Merci, tu vois que je ne te mens pas, monsieur est lui aussi sensible à ton charme
Ma femme n’osait plus regarder le serveur qui en passant plongea ses yeux dans le profond décolleté et sur les tétons qui déformaient le fin tissu, du coup il prit son temps pour finir le service et replonger la bouteille dans la glace avant de repartir.
- Tu vois mon amour tu fais même de l’effet aux petits jeunes, n’est ce pas agréable ?
- Arrête tu es terrible, tu as gêné ce garçon, il était tout rouge
- N’empêche qu’il reluquait bien tes nichons, il était juste intimidé par les circonstances et il serait bien resté à te mater encore un peut.
- Mais ce jeune garçon ne voudrait pas d’une vieille comme moi
- Que tu dis, la prochaine fois qu’il vient nous servir glisse lui ton numéro de téléphone dans la poche et tu verras
- Mais tu es fou, je n’en ai pas envie du tout, il est trop jeune
- A nous y voilà, il est trop jeune, car s’il l’était moins tu n’aurais pas dit non ?
- Seule je n’aurai pas osé, mais si tu me pousse à le faire alors je ne garantie rien… tu vois je n’ai encore rien bu et tu me fais déjà dire des bêtises.
Nous avons trinqué nos coupes
- A la plus merveilleuse femme du monde, à ton sourire craquant et à nos fantasmes les plus fous
- Tshin…
- A propos de fantasmes, tu ne veux toujours pas me dire ce que tu me réserve pour tout à l’heure ?
- Non…non… c’est une surprise, si tu es, très, très sage
Tout en discutant amoureusement, nous avons dégusté l’entrée et le plat principal et nous avons finis notre bouteille sans nous en rendre compte, après avoir commandé le dessert et une autre bouteille mon épouse à voulus se rendre au toilettes.
Vous auriez vu la scène, lorsqu’elle à traversé les tables sous les regards masculins collés à ses fesses et à ses jambes qui se dénudaient sous le flottement de la robe.
Elle était vraiment belle et il m’a fallu me raisonner pour ne pas aller me la faire dans les toilettes au nez et à la barbe de tous, je préférais attendre la suite du programme.
A son retour des toilettes j’ai cru que plusieurs femmes allaient demander le divorce
- Et bien ma chérie tu fais sensation et tu fais des jalouses, ils sont comme des fous, heureusement que je suis là sinon ils te sauteraient dessus
- C’est surement le champagne qui me grise, mais cela ne me déplais pas de les exciter tous ces mecs…
- C’est un peu le champagne mais c’est aussi ta nature, ca t’excite bien de t’exhiber
- Oui, c’est vrai… allez ressert moi une coupe, je te l’ai dit, ce soir je serais ta coquine
Les choses prenaient bonne tournure à mon sens, ma chérie se prenait au jeu et le champagne allait bien m’aider pour la suite
Après avoir dégusté un délicieux dessert, nous avons attendus le café en finissant la deuxième bouteille de champagne, notre compte était bon, ma femme ne pouvait plus rien me refuser et même moi je commençais à être limite pour pouvoir conduire.
Après avoir réglé la note, nous sommes allés vers l’accueil où c’est le jeune serveur qui est venu aider ma femme à passer son manteau
- Tenez madame, la soirée c’est bien passé ?
J’ai soudain eu l’envi de taquiner ma femme en pensant à notre petite discussion à table
- Très, très bien… d’ailleurs chérie tu ne devais pas donner quelque au jeune homme ?
Ma femme m’a regardez avec des gros yeux, elle avait compris où je voulais en venir et m’a pris de revers.
- Tu es sur de toi, tu veux que je le fasse ?
- En sera tu capable ?
Je l’ai vu ouvrir son sac à main, elle a pris un petit carnet duquel elle a arraché une feuille pour y noter quelque chose, puis elle a pris un billet dans son porte monnaie et à mis le tout dans la main du jeune homme qui attendait souriant.
- Tenez jeune homme, faite en bon usage et encore merci
Puis elle m’a pris par le bras et nous sommes sortis pour nous rendre à notre voiture
- Tu vois chéri, il ne fallait pas me chercher, maintenant les dés sont jetés
- Je ne pensais pas que tu aurais eu le courage de le faire, et maintenant s’il t’appel tu feras quoi ?
- Si ce beau jeune homme m’appelle, et bien je me laisse faire et j’en profite, ce n’est pas ce que tu voulais ?
Je lui ai ouvert la portière pour quelle s’installe et j’ai fait le tour pour mettre le contact
- Ok, alors tu me tiendras au courant des éventuelles suites…
- Peut être… mais il est aussi possible que je ne te dise rien, histoire de te faire languir
- Tu fais comme tu veux mon amour, mais laisse moi vérifier dans quel état ce jeune homme ta mit
Tout en finissant ma phrase, j’ai glissé ma main entre ses cuisses direction l’élastique du string en glissant mes doigts vers l’entrée de sa vulve.
- Et bien ma petite salope, je crois qu’il te fait carrément fondre, tu es toute ruisselante
- Hum… au lieu de me fouiller, si tu me parlais plutôt de ma surprise, car j’ai été très sage
Je laissais mon majeur aller et venir dans le sillon des grandes lèvres qui s’entrouvraient au passage de celui-ci, parfaitement lubrifié mon doigt coulissait avec aisance et je constatais que ma femme y prenait un certain plaisir en ondulant du basin.
- Ma chérie, ferme les yeux et concentre toi sur ce que je te fais à l’instant
- Hum… tu crois que c’est raisonnable… on pourrait attendre d’être à la maison
- Voilà, c’est mieux comme ça… écarte bien tes cuisses au maximum… c’est bien
Ainsi ouverte, j’ai pu écarter le string et empoigner la totalité de sa vulve tout en y glissant deux doigts
- Humm… fait attention…. tu vas finir par me faire…. Hum… jouir…
- Non pas question, tu vas te retenir… je t’interdis de jouir… je veux juste t’allumer pour tout à l’heure
- Comment ça… pour tout à l’heure…non, fait moi jouir…
- Non, non, de la frustration n’ait le désir et je veux que tu sois folle de désir, je veux que tu ne puisses pas te retenir, que tu ne puisses rien me refuser tellement tu auras envie de jouir.
Je lui ai ordonné de rester ainsi cuisses largement ouverte, la vulve à l’air, avec toute l’indécence que cela dégageait, de l’extérieur de la voiture on aurait dit une pute qui montrait sa marchandise et cela nous excitaient au plus haut point.
J’ai roulé en traversant la ville, exhibant ma putain à chaque feu rouge, chaque stop, chaque passage piéton, elle fermait les yeux pour se laisser aller, mais au regard de l’humidité qui se propageait sur le siège entre ses cuisses je pense qu’elle y prenait un sincère plaisir.
Et moi je bandais très fort, excité par tout cela mais bien plus par mon futur cocufiage qui approchait au gré des kilomètres, nous n’étions plus très loin et les choses sérieuse allaient enfin commencer.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le futur amant fait le toutou devant le mari pour le rassurer mais des qu il aura sa femme au bout de sa queue il en fera une pute qui s avilira avec des gros porcs qui s en serviront pire qu avec une prostituée. Et le mari ne contrôlera plus rien et finira par perdre sa compagne voilà l idiotie du candauliste.
Voilà comment une femme sérieuse poussé par son mari abruti fini par céder à ces caprices et commet l adultère. Le pervers candauliste n à certainement pas la lumière à tous les étages. Pauvre épouse tomber sur un idiot qui va la pervertir pour son malheur et en faire une chienne que tous les porcs de la ville vont salire et avilir. Même les prostituées ont plus de morale que ce sale dégénéré de mari.
Belle histoire au début mais une fin sans interet
Superbe série !
Très bel érotisme et surtout sans vulgarité. Un partage des plaisirs , merci.
Toujours aussi excellent!
J'ai fait lire votre récit à mon mari et il parait soudain très impatient lui aussi de connaître la suite.
Merci encore!... J'ai commencée à avoir un peu d'espoir qu'il change d'attitude avec moi.
J'ai fait lire votre récit à mon mari et il parait soudain très impatient lui aussi de connaître la suite.
Merci encore!... J'ai commencée à avoir un peu d'espoir qu'il change d'attitude avec moi.
j'attends la suite avec tres grande impatience une serie d'histoire trés excitantes
j'attends la suite avec tres grande impatience une serie d'histoire trés excitantes