Titre de l'histoire érotique : LE VOISIN 7
Récit érotique écrit par Jlf071 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : LE VOISIN 7
LE VOISIN 7
Après cette incroyable soirée et une très bonne nuit de sommeil, nous nous sommes retrouvés devant un bon café et des tartines beurrés, mais j’ai vite remarqué que ma chérie semblait gênée et évitait mon regard.
- Quelque chose ne va pas ?
- Non, ca va mais j’ai… un peu honte, pour hier soir
- Comment ca, honte ?
- Je n’aurai pas du me laissé aller comme ca, non, pas là, pas devant toi…pas devant l’homme que j’aime, nous n’aurions pas du.
- Ma chérie, il faut que cela soit bien clair pour nous deux, tu n’a rien fait de mal, nous nous aimons et nous sommes des adultes consentants, tu as des fantasmes, tu es belle, désirable et il faut que tu en profite
- Oui mais, je t’ai trompé… avec un voisin, j’ai jouie avec un inconnu
- Vient là ma chérie, vient sur moi
Je lui ai demandé de se lever et de venir jusqu'à moi en l’invitant à s’assoir sur mes genoux
- Premièrement, tu ne ma pas trompé, car je suis au courant et c’est moi qui l’ai voulu, même si c’était le cas c’est entre nous que cela ce passe, tu ne doit de comptes à personne d’autre que moi, moi je t’aime et j’ai vraiment pris beaucoup de plaisir à te voir faire l’amour avec un autre homme.
- Tu en es sur, tu m’en veux pas ?
- Non, vraiment pas, je ne sais pas pourquoi mais ca m’excite vraiment de te voir jouir avec ce mec, de voir sa grosse queue te pénétrer et te donner du plaisir devant moi
Tout en lui disant ces choses là, mes mains n’ont pas pu s’empêcher de la caresser sous la petite chemise de nuit, une main s’occupait de ses seins tout chauds et l’autre parcourait ses cuisses jusqu'à sa petite culotte.
- L’important c’est de savoir si toi tu aime ça ?
- Ben… oui, c’était très agréable, excitant…très excitant même
Ma main venait de passer sous la dentelle de la culotte pour venir se frotter sur le mont de venus et parcourir la fente qui s’ouvrait délicatement sous la pression de mes doigts inquisiteurs.
- Je vois bien que c’était excitant, d’ailleurs ca t’excite encore à ce que je constate, tu es toute chaude et humide, juste là dans ta petite chatte.
- C’est de ta faute, c’est toi qui me reparle de nos bêtises
- Comment ça nos bêtises, ce sont tes bêtises à toi, après tout c’est toi qui s’est régalé avec cette bonne queue, hein…
- Oui mais c’est toi qui m’a piégé, je ne savais pas et j’avais les yeux bandé
- N’empêche qu’il n’a pas eu besoin de trop forcer pour te la mettre
Mes mots devenaient de plus en plus crus alors que je branlais carrément son petit bouton rose et elle commençait à réagir à mes sollicitations en ondulant du cul sur mes genoux
- Hum… mais je t’avais promis d’être sage….humm… très sage…
- C’est vrai et j’adore que tu sois sage, si je te demande encore d’être sage tu m’obéiras ?
- Humm…. Oui, une femme…doit toujours être…sage… et obéissante avec son… mari
- Mais c’est bien ça… j’aime quant tu m’obéis, donc si je décide qu’il vienne encore te baiser devant moi, tu accepteras ?
- Humm….oui…ouiiiiii…..ouiiiiiiiiiiiiii…
Ma petite salope venait de se laisser jouir sous mes doigts, la dernière phrase l’avait littéralement fait exploser sous mes caresses, les cuisses serrés elle avait emprisonnez ma main encore enfuit dans sa fente baveuse pendant quelle libérait ses dernières contractions de plaisir.
- Et bien ma belle, ce mec te fait vraiment de l’effet, c’est lui ou sa queue ?
Alors quelle tentait de reprendre ses esprits elle balbutiât
- C’est…les deux…oui…les deux…
Je l’ai laissé souffler un peu, toujours sur mes genoux et blottie contre moi je lui ai fait de gros câlins tendres comme pour la remercier d’être sage, très sage.
Nous avons fini par boire notre café et manger les tartines déjà froides, mais j’avais le sentiment que ma femme venait de franchir une étape décisive dans sa vie de femme, à compter de ce jour elle ne serait plus jamais la même et cela j’allais le comprendre à mes dépends.
Nous nous sommes reposés tout le restant de ce court week-end, télé, plateaux repas et canapés où nous avons parlé de tout et de rien mais aussi de nos fantasmes respectifs, j’essayais de savoir quel serait le prochain fantasme que ma femme aurait aimé vivre.
Elle m’a fait comprendre quelle ne pensait pas à d’autre fantasmes pour l’instant, le seul qui l’excitait était de coucher avec notre voisin et que bien que nous l’avions vécus elle y pensait encore et encore.
Elle était comme hypnotisée par cet homme qui l’attirait vraiment et le fait que je les ai réunis dans le pêché n’avait en rien étouffé son désir pour lui, j’étais jaloux de cette attirance mais en même temps cela m’excitait très fort.
Tout était clair et sans mensonges, j’acceptais cette situation, elle était honnête avec moi, sans détours ni trahison elle exprimait ouvertement ses envies pour notre plaisir commun.
Mais le temps passe vite et il se faisait déjà tard, le travail nous attendait de nouveau le lendemain ainsi que la routine de la vie, nous nous sommes couché pour une nouvelle nuit pleine de fantasmes.
Encore une belle journée de boulot pour chacun de nous, pour ma part le fait d’avoir assouvi le fantasme de voir ma femme avec un autre mec avait comme comblé un vide, j’avais la sensation d’une mission accomplie sans avoir de but supplémentaire à atteindre.
Un effet bizarre de satiété érotique, j’aurais pensé que d’avoir mis les doigts dans cet engrenage coquin, l’envie d’y mettre le bras entier allait me prendre et bien non, pas du tout, au contraire je n’avais pas envie de remettre ça, du moins pas tout de suite.
J’y ai pensé, bien sur, mais j’avais plutôt envie de tourner la page, comme si mon subconscient envisageait une certaine forme de risque à poursuivre dans cette voie, surement mon coté jaloux qui reprenait le dessus une fois les effets de l’excitation passés.
J’avais réussi à faire les choses sans aucun sentiment de rivalité entre cet homme et moi, mais ma femme s’était vraiment libérée et avait jouie comme jamais ce qui malgré tout avait touché mon égo, et si elle y prenait goût ?
Oui, si elle ne pouvait plus se passer de cet homme, surtout de son gros sexe auprès duquel le mien semble ridicule, ce n’est pas la taille qui compte…Bla…Bla…Bla… mais moi j’ai bien vu l’effet que cet engin lui a fait, elle ne faisait pas semblant.
Je me retrouvais comme un con, tiraillé entre mes contradictions et cette putain de jalousie qui me ronge les entrailles, comment pouvais je être jaloux à ce point et éprouver un tel plaisir à imaginer et voir ce qui me faisait mal.
Il me fallait prendre un peut de recul pour me calmer les esprits, j’ai donc décidé de ne plus en parler avec ma femme pendant un certain temps, laissant venir les choses d’elles mêmes.
Après tout, c’est moi qui l’ai poussé donc si je ne force pas les choses elle ne s’en plaindra pas, oubliera peut être, mais n’osera pas en parler ni en redemander de peur de passer pour ce qu’elle n’est pas.
Le temps arrange les choses et je verrai bien ce qu’il en sera dans quelques semaines.
Les semaines sont donc passées, comme je l’avais pensé notre épisode érotique n’est pas revenu sur le tapis, même si ma femme y a aussi repensé, elle ne me la jamais fait savoir et je ne l’ai même pas soupçonné, ne serait ce qu’un instant.
Tout semblait être rentré dans l’ordre, même les petits déshabillages érotiques de soirée que ma femme faisait devant notre fenêtre pour se montrer au voisin étaient terminés, lui, je ne l’ai plus revu derrière ses carreaux, je me sentais donc rassuré car elle aussi était passé à autre chose, du moins je le pensais…
Mais un de ces jours pas comme les autres, alors que nous étions partis au travail comme à nos habitudes respectives, j’ai pensé très fort à ma chérie tout la matinée et j’ai eu comme une envie de la rejoindre pour lui faire la surprise d’un déjeuner en amoureux.
Voulant absolument conserver l’effet de surprise, j’ai rejoint son lieu de travail sans l’en avertir, n’ayant pas remarqué sa voiture sur le parking de sa boite je me suis décidé à me rendre à l’accueil pour la faire avertir de ma présence.
L’agent de sécurité à gentiment prévenu son service et m’a demandé de patienter un peu pendant qu’il attendait une réponse, après quelques secondes il se tourne vers moi et me dit :
- Monsieur, il s’emblerait que votre dame est pris sa journée, c’était apparemment prévu car pour sa responsable elle est en congés.
J’ai du faire une tête de déterré
- Heu… vous en êtes sur ?
- Oui monsieur, désolé…
Le monde venait de s’effondrer à mes pieds, je suis reparti la queue entre les jambes vers ma voiture cherchant à comprendre ce qui m’arrivait d’un coup, d’un seul.
Cherchant à me raccrocher aux branches, je me suis dit qu’il y avait surement une bonne raison et qu’elle allait m’expliquer tout cela une fois rentré à la maison, en attendant je suis retourné à mon travail pour finir cette journée vraiment particulière.
L’après midi fut assez pénible pour moi, tout et rien me trottait dans la tête, je ne pouvais pas imaginer une quelconque trahison de sa part mais j’étais malgré tout inquiet.
Le soir venu, je suis rentré à la maison, ma femme était déjà là préparant notre diner, j’ai posé mon manteau et suis venu vers elle pour l’embrasser.
- Bonsoir chérie, tu as passé une bonne journée ?
- oui merci et toi ?
- Ben… écoute, oui la routine, le boulot…
Je m’attendais à ce qu’elle me raconte autre chose, mais rien, elle faisait comme si de rien n’était ce qui a renforcé mon inquiétude, mais j’ai décidé de ne rien dire et d’attendre le plus sereinement possible que les choses viennent d’elle.
Après tout on ne sait jamais, si tout cela était pour me faire une surprise, de toutes les façons je l’apprendrais bien assez vite.
Toute notre soirée s’est passé comme d’habitude, diner et télé dans le canapé, pas de déshabillage coquin devant la fenêtre comme depuis plusieurs semaines, non rien qui puisse me dire que son comportement avait changé.
Nous nous sommes couchés sans que j’en sache plus sur sa journée d’absence au travail
J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir cherchant en vain à deviner ce qu’elle pouvait bien tramer, elle cachait bien son jeux car elle n’avait rien laissé transparaitre.
Au petit matin, nous avons déjeuné comme d’habitude et toujours pas d’explications de sa part et c’est sur ma faim que je suis parti au travail où j’ai encore ruminé toute la matinée.
Mais pris de doutes je me suis de nouveau rendu à son boulot pour vérifier sa présence, mais sa voiture était bien là sur le parking et je suis reparti presque rassurer mais sans avoir de réponse pour la veille.
Un autre après midi plutôt long et pénible, si c’était une surprise j’allais le savoir rapidement car qu’est-ce que cela pouvait être d’autre pour qu’elle me le cache ainsi.
Mais de nouveau arrivé au soir, le silence total sur le sujet, pas une once de début d’explication, non rien de rien, ni même les jours suivants.
Là mon inquiétude est devenue plus sérieuse, ma jalousie s’est mêlé à mes craintes et je me m’étais à imaginer des milliers de choses plus terribles les une que les autres ce qui n’arrangeait en rien le désespoir qui s’installait en moi.
Pourtant avec tout cela je n’ai pas imaginé un seul instant que cela puisse avoir un rapport avec notre voisin, car depuis il s’emblait aux abonnés absents et elle de son coté s’emblait l’avoir tout simplement oublié.
Alors je me suis justement mis à penser que tout venait de là, je l’avais poussé dans ses bras où elle avait trouvé beaucoup de plaisir et puis tout d’un coup plus rien, je l’obligeais à faire comme si de rien n’était, la frustrant et la privant de cet incroyable plaisir qui devait sincèrement lui manquer.
Néanmoins, j’ai tout de même décidé de la surveiller plus sérieusement jusqu'à que je puisse comprendre de moi-même ou qu’elle m’explique ce qui se passait.
Chaque jours de la semaine à midi j’allais vérifier sa présence au travail et je suis arrivé au constat que chaque semaine, elle était absente, une, voir deux journées sans autre explication et ce depuis plusieurs semaines.
Cela commençait à me ronger les sens et devant son éternel silence j’ai senti pointer une sorte de colère alimentée par cette éternelle jalousie à qui je donnais maintenant raison.
J’allais donc tout mettre en œuvre pour découvrir ce qui se passait vraiment, après recherches sur internet, j’ai déniché la boutique qui allait me venir en aide, tout pour l’espionnage, et oui il me fallait les grands moyens.
Après quelques achats plutôt onéreux, je suis rentré à la maison pour tout mettre en place, premièrement le clonage de son téléphone, on m’a vendu un logiciel qui me permettrait d’entendre et d’enregistrer toute communication entrante ou sortante de son mobile.
Cerise sur le gâteau, il y avait aussi la localisation GPS de celui-ci et encore mieux je pouvais déclencher à distance l’écouteur et la caméra sans qu’elle puisse s’en apercevoir et tout ça de mon propre téléphone.
J’étais fin prêt mais je souhaitais encore lui laisser une dernière chance de tout me dire, le soir venu alors que nous dinions ensemble je lui ai demandé une dernière fois :
- Tout va bien chérie ?
- Ba… oui, pourquoi tu me demande ça ?
- Pour rien…je te trouve… bizarre depuis quelques temps
Elle a baissé son regard et à légèrement rougie
- Non, je t’assure…tout va bien, peut être un peu fatiguée j’ai surement besoin de vacances
Besoin de vacances avec tous les jours de congés qu’elle prend depuis des semaines, là elle m’a menti sérieusement
- Je préfère ça, de toutes les façons tu me le dirais si quelque chose n’allait pas ?
- Mais bien sur mon chéri, je t’aime et tu ne doit pas en douter
Toujours sans réponse j’ai donc décidé de mettre mon plan à exécution dés le lendemain
J’ai à peine attendu deux jours pour établir le premier contact en cachette, au matin alors que ma femme était encore dans la douche j’aillais regarder ma messagerie sur mon portable et là je vois sur le mouchard qu’elle avait reçu un sms.
Le cœur battant j’ai ouvert ma copie pour vérifier son contenu, un numéro masqué lui avait envoyé le texte suivant :
- Jeudi, même heure et comme d’habitude
Rien de plus, rien de moins, mais suffisant pour que je prévois ma journée car nous étions jeudi, donc j’allais moi aussi prendre ma journée pour la suivre.
A mon tour je suis parti sous la douche pendant qu’elle se préparait, elle avait mit une très jolie robe souple et vaporeuse comme j’en raffole, sauf que là ce n’était surement pas pour moi, escarpins à talon haut et de beaux collants ou bas noir satinés il me serait difficile de le savoir sans me trahir, je le saurais bien assez tôt.
Nous avons déjeuné et comme si de rien n’était, elle m’a embrassé en partant au travail
- Bonne journée mon chéri
- Toi aussi mon amour, passe une bonne journée
Je l’ai laissé prendre de l’avance et une fois dans ma voiture j’ai appelé au bureau pour les prévenir de mon absence exceptionnelle, ensuite j’ai mis en service la localisation GPS du portable de m’a petite femme.
J’ai d’abord été surpris par le fait qu’elle se dirigeait bien vers son travail, néanmoins je l’ai suivi à bonne distance, jusqu'à sa place de parking habituelle.
Là sa voiture est resté sur place une bonne demi heure, me laissant à pensé que j’étais fou et que rien de tout ça n’était vrai, que je me faisais des idées noires provoquées par cette fichue jalousie qui me hantait.
Mais les choses sérieuses ont repris leur court, sa voiture est reparti sur le chemin inverse comme si elle rentrait à la maison, toujours à bonne distance je l’ai suivi vers la découverte de la vérité.
Effectivement elle a garé sa voiture dans notre parking habituel, même place comme si sa journée était fini.
J’ai attendu quelques minutes pour faire de même et essayez de découvrir où elle allait se rendre mais le problème était que le mouchard GPS n’était pas suffisamment précis pour pouvoir localiser à moins de cent mètres la position de son téléphone, ce qui dans notre dédale d’immeubles n’allait pas me faciliter la tache.
Premièrement je me suis dit qu’elle était surement à la maison, très discrètement je m’y suis rendu et après avoir écouté à la porte j’ai constaté que ce n’était pas là qu’elle était, je suis néanmoins rentré pour faire le point sans me faire remarquer sur le pallier.
Assis dans notre cuisine, je regardais mon téléphone constatant que le point indiquant sa position ne bougeait plus depuis plusieurs minutes elle était donc bien à proximité de chez nous, là pas très loin, mais où ?
Le seul moyen de le découvrir serait d’actionner à distance le micro ou la caméra de son mobile, j’ai hésité à le faire, craignant plus que tout de découvrir cette vérité qui allait surement me faire mal, très mal.
Mais il fallait que je le découvre enfin, malgré moi, malgré elle, j’ai déclenché le micro à distance sans chercher à voir pour l’instant…
Le son n’était pas très net, mais je distinguais bien plusieurs voix d’hommes
- Tu vois bien quelle est obéissante, elle ne peut rien me refuser
- Effectivement elle est venue, tu as raison elle est vraiment très belle
- Tu peux la toucher comme tu veux, elle aime ça c’est une chaud asse
- Pourtant elle a l’air timide, elle n’ose pas nous regarder, elle a peut être peur ?
- Non elle n’a pas peur, elle est simplement obéissante et soumise à ma volonté
En entendant ces phrases, mon sang n’a fait qu’un tour, j’étais comme pétrifié sur ma chaise, mon cœur battait à deux cent à l’heure, cherchant presque à sortir de ma poitrine.
- J’avais du mal à te croire, mais là vraiment tu m’épate, une si jolie femme, mariée de surcroit et en plus soumise à tes moindres désirs, nous sommes au paradis.
- Tient tu vas vérifier par toi-même si elle n’a pas mis de culotte comme je le lui ai demandé
Le son était encore faible mais suffisamment clair pour que je m’imagine presque dans la scène et cela devenait terrifiant pour moi, ma jalousie me tétanisait mais je ressentais encore cette putain d’excitation malsaine qui venait me perturber.
Je ne tenais plus il fallait que je vois de mes yeux ce qui ce passait, j’ai donc pensé à allumer le mode caméra du portable de ma femme, avec un peu de chance…
Bingo… l’image n’était pas complète comme coupé par un obstacle sur un des coins de l’écran mais j’ai immédiatement reconnu ma femme.
En analysant un peu mieux la scène, j’ai compris que son portable devait être à l’intérieur de son sac, qui lui devait être posé sur un meuble ou un fauteuil et par chance l’ouverture du sac à main est restée dirigée vers le centre de la pièce où tout ce déroulait.
Ma femme était bien là, debout face à un homme à genoux devant elle et qui semblait glisser ses mains sous la petite robe vaporeuse et sexy que j’avais aperçu ce matin
- Effectivement elle est très obéissante, elle ne dit rien mais ses jambes tremblent
C’était la voix de cet inconnu qui abusait de ma bien aimée, ces gestes étaient assurés mais plutôt lents, il s’emblait savourer sa progression.
- Sa peau est tiède et très douce, mais regarde comme elle est timide, elle ferme les yeux
Je voyais les mains de l’homme déformer le tissu de la robe au fur et à mesure de leur progression sur les cuisses de ma femme jusqu'à venir se poser carrément sur ses fesses.
- Oui, elle tremble…est-ce de la peur ou du plaisir ? En tout cas, ses fesses sont merveilleuses, bien charnues et encore très fermes.
J’ai vu l’homme retourner son visage vers l’arrière comme s’il s’adressait à quelqu’un d’autre que je ne pouvais voir pour l’instant.
- Dit moi, avec un cul comme celui là… j’espère qu’elle aime la sodomie, allez rassure moi ?
- Oui, je te l’ai dit… elle ne me refuse rien
Je venais de reconnaître la voix de notre voisin, ce salaud était bien là chez lui avec ce nouvel inconnu et tous deux se servaient de ma femme comme si elle leur appartenait.
Et comment ça elle ne lui refuse rien ? Comment ça elle aime la sodomie, qu'est ce qu'il en sait ? Les choses prenaient une tournure qui ne ma plaisait pas vraiment.
J’avais le ventre complètement noué, des perles de sueur sur le front prouvaient mon sentiment de mal être, la gorge sèche et les mains tremblantes avec ma fichue jalousie qui me bloquait sur ma chaise.
J’étais encore tiraillé entre ces sentiments opposés, l’envie d’aller sur place pour tout arrêter, reprendre ma femme pour rentrer à la maison et puis cette putain de chaleur dans le bas ventre qui voulait en voir plus, excité par le déroulement des choses
Les yeux fixés sur l’écran j’ai senti ma main se poser sur mon sexe qui commençait à se réveiller
- Putain ce qu’elle doit être bonne, j’adore la texture de sa peau, douce et ferme à la fois et je te confirme elle est vraiment obéissante, elle n’a pas mis de culotte…
Soudain j’ai vu notre voisin venir se positionner juste derrière ma femme, comme pour la soutenir il a glissé ses mains sous ses bras pour venir se poser sur la poitrine qui se soulevait de plus en plus vite sous l’emprise de l’émoi.
Puis il a fait glisser la fermeture éclair de cette petite robe dans le dos de mon épouse, la robe à glissé lentement vers le sol en dévoilant son joli corps totalement nue.
Notre voisin a ré empoigné à pleines mains les seins dénudés sous le regard vicieux de son ami qui soulevait une à une les jambes de ma femme pour pouvoir retirer complètement la robe qu'il a jeté sur le coté.
La scène était trop érotique et l’excitation est devenue plus puissante que ma jalousie, voir ainsi ma femme soumise à ces deux hommes, savoir qu’ils allaient en abuser selon leur bon vouloir, là sous mes yeux.
L’homme à genoux à demandé à ma femme d’écarter les jambes pour lui donner accès à son intimité, et elle s’est exécuté sans rien dire, tel un robot elle à ouvert ses cuisses mettant en avant son mont de vénus et sa fente déjà baveuse.
L’homme a aussitôt engouffré son visage dans son sexe, quelques bruits de clapotis et ma femme à gémie laissant sa tête tomber en arrière sur les épaules de notre voisin, comme pour lui indiquer son total abandon pour les réjouissances à venir.
Devant tout cela, je bandais comme un âne, ma queue était tendue à m’en faire mal et je me l’astiquais avec régal en savourant les images sur le petit écran de mon téléphone.
Maintenant j'aurai aimé être à leur coté et ressentir les odeurs dégagées par les corps en chaleur, mais il me fallait assister à distance, résigné à ne rien pouvoir faire, juste subir.
- Putain ce quelle mouille, je vais me noyer en lui bouffant la chatte, elle dégouline de partout, on va y entré comme dans du beure, un vrai bonheur.
Tout en gémissant de plus belle, ma femme a posé ses mains sur la tête de son suceur, elle accompagnait les léchouilles avec des mouvements de son bassin en tenant fermement le visage entre ses cuisses.
Pendant ce temps là, elle se laissait pénétrer la bouche par la langue de notre voisin qui la fouillait dans tout les recoins tout en lui martyrisant les seins, malaxant, roulant et pinçant les tétons rougis pour les faire bander au maximum.
- Tu vois ma belle, mon ami te trouve à son goût et il vat te baiser comme une vraie petite pute... tu aime être ma pute, hein... allez dit le...
- Ouiiiii... j'aime...je suis ta putain...
- Ton mari n'imagine pas la salope que tu es, il a joué avec le feu et maintenant plus rien ne peut nous retenir, tu es à moi, tu es ma putain et je vais t'avilir, te salir, te soumettre à mes moindres désirs.
- Regarde la grosse bite de mon pote, regarde ce qu'il va te mettre dans la moule
L'autre mec s'était relevé et présentait un sexe tout aussi gros que celui de notre voisin, un gland violacé par l'afflux du sang, des veines saillantes le long de la tige qui lui donnait encore plus de virilité, oui c'était vraiment un beau morceau.
Notre voisin s'est reculé vers un fauteuil et a titré ma femme vers lui
- Vient là ma belle, vient t'assoir sur moi, oui là… écarte bien tes jambes
Il s'était installé dans le fond du fauteuil et a posé ma femme sur lui en la tenant par la taille, de façon à ce quelle puisse bien écarter ses cuisses, lui posant une jambe sur chaque accoudoir, il offrait ainsi une vision très perverse de l'intimité de mon épouse à son pote.
Pote qui s'est aussitôt présenté devant le couple illégitime, la queue dressée fièrement telle un pieux qu'il allait planter dans cette chatte baveuse et qui s'emblait s'ouvrir toute seule au fur et à mesure qu'il se rapprochait.
Il s'est agenouillé entre les jambes écartées et s'est avancé pour présenter son membre juste devant la moule bouillante, sa main a fait coulisser sa queue sur la chatte de ma femme ouvrant à chaque passage les grandes lèvres ce qui huilait parfaitement sa bite
Me femme était tellement excitée que son jus dégoulinait de partout, j'entendais parfaitement les bruits de clapotis à chaque fois que le mâle frottait sa queue sur la moule juteuse.
- J'ai jamais vu une salope comme celle là, ta vu comment qu'elle mouille, on dirait que c'est la première fois quelle se fait mettre, putain ce qu'elle doit être bonne
- Son mec la baise jamais, ce n’est pas possible, si j’avais une pute comme ça je la baisserai tellement qu’elle n’irait pas voir ailleurs même affamée elle ne penserait qu'a ma queue.
- Dit pas n'importe quoi, tu parle trop... si t'avais une femme comme celle là, tu serais cocu car je l'aurai baisé depuis longtemps, c'est ça les potes...
Cette façon dégradante qu'ils avaient de parler de ma femme, l'humiliant à chaque phrase et sans qu'elle ne réagisse me troublait au plus haut point.
Même moi je n'aurai jamais osé la traiter de la sorte, c'était troublant et pourtant tellement excitant, à chaque fois je ressentais ma bite sursauter entre mes doigts, petites convulsions de plaisir incontrôlé.
Le pire c'est que moi aussi je me sentais humilié, impuissant et soumis à ce jeux pervers, conscient que j'aurai pu tout arrêter et pourtant je n'ai rien fait, j'ai laissé faire en y prenant un immense plaisir
Ce salaud m'a trahis, je lui ai offert ma femme et il me fait un petit dans le dos, il se permet d'abuser d'elle sans ma permission, cela aurait du me révolter et me mettre dans une terrible colère, mais non au contraire c'était comme si j'avais désiré cette situation.
Sauf que là il offrait ma femme à un de ses potes et ça je ne l'avais pas prévu, je n'aurais pas imaginé que ma femme se serait laissée faire dans une telle situation, comme quoi on ne connaît jamais assez les personnes avec qui l'on vie.
- Je n'en peux plus il faut que je l'enfile
- Vas y elle ne demande que ça
- Oblige-la à me regarder dans les yeux pendant que je la pénètre
- Tu as entendu ma belle, regarde le monsieur qui va te régaler
Comme il le demandait ma femme la fixé en se l’aichant le coin des lèvres avec sa langue, elle a posé ses mains sur ses cuisses pour les maintenir ouvertes en attendant qu'il la pourfende.
Tout en la fixant au fond des yeux, il a fait glisser son gland dans la fente, recherchant le point d'entrée de la cavité brulante, bien lubrifiée la grosse bite s'est facilement logée au début du tunnel.
Encore un soupir de mon épouse et l'homme s'est mit à pousser lentement, ouvrant les chairs délicates qui se dilataient en épousant parfaitement le mandrin qui la pénétrait, la chatte de ma bien aimée s'emblait dévorer ce sexe inquisiteur.
Centimètre par centimètre, avec une lenteur déconcertante, il s'est enfoncé très profondément jusqu'à venir buter tout au fond alors qu'il restait encore un bon morceau de queue à l'extérieur.
Il devait être encore plus long que son pote car je ne rappelais pas avoir noté ce détail avec notre voisin qui pourtant possédait déjà un sacret paquet entre les cuisses.
Je me suis tout simplement dit que ma petite salope de femme allait vraiment se régaler, avec une queue pareille elle allait le sentir passer, le ramonage allait être appliqué.
A peine ai je fini de penser cela que le mâle s'est mit à faire de profonds vat et vient qui mettaient ma femme dans tous ces états, elle commençait à haleter et à respirer de plus en plus vite pendant que notre voisin lui disait des grossièretés aux oreilles.
- Tu aime ça, tu aime les grosses queues... hein salope, dit le que tu aime ça, que tu aime te faire enfiler par des grosses bites
- Ouiiii...j'aime....ça....hummmmm....les...grosses...humm mm...queues...
- Regarde putain, regarde ta chatte qui se régale avec ma bite
- Oui, elle est grosse... humm mm… elle est… bonne
- Tu va voir, tu pourras plus t'en passer... tu va en rêver jour et nuit
- Ce n’est pas ton homme qui te baisse comme ça, hein... petite pute...
- Il aimerait bien en avoir une aussi grosse pour te dilater
A ces mots j'ai surpris ma femme à faire une légère rébellion
- Arrêté...j'aime mon mari... ne parlé pas...comme ça de lui...
- A oui... et sinon quoi... ton homme est cocu et toi tu adore le faire cocu
- Sinon tu te ferais pas enfiler comme une putain, tu es une vraie salope qui ne peut pas se passer de nos grosses bites, n'est ce pas... allez avoue...
Avec ses mots il a accéléré la cadence, les coups de bites devenaient rapides et puissants, claquant ses boules sur les fesses de sa pute qui gémissait à chaque coup de boutoir.
- Alors j'ai pas entendu, avoue que t'aime cocufier ton mec, que t'aime te faire mettre
- Humm...oui....oui...ouiiiiiiiiiii.....
Regardant son pote il a sourit
- Tu vois c'est trop facile, c'est une affamée de bites, putain qu'est ce qu'on va se régaler avec cette salope
Ma femme venait de jouir une première fois sous les insultes perverses de ses deux amants, les puissants coups de queue et l'humiliation de son baiseur.
- C'est bien ma belle, le plaisir ça ce mérite et maintenant tu m'es redevable, pour la peine je vais te prendre par le cul
- Non...pas ça... non…elle est trop grosse...
- Voilà que madame fait la petite prude, je rêve... mais tu n'a pas ton mot à dire ma belle, je ne te demande pas l'autorisation
- Non...s'il vous plait... pas par le cul....
Je ressentais de la peur dans sa voix, elle avait la gorge nouée et ses yeux s'humidifiaient
- T'inquiète pas ca va rentrer comme dans du beurre, vu comment tu dégouline
- non... je vais avoir trop mal... elle est vraiment trop grosse…non…
Ne voulant rien savoir il a demandé à son pote de bien la maintenir et a présenté sa queue sur la rosette plissée de mon épouse qui s'est mis à couler des petites larmes dans l'attente des premiers signes de douleur
Le salaud à pincé le clito avec ses doigts pour la faire réagir, il roulait le petit bouton pour le faire reluire détournant du même coup l'attention de ma femme qui ce concentrait sur le plaisir provoqué par cette manipulation
Discrètement il a commencé a poussé de ses reins, dilatant les chairs lentement mais surement, faisant néanmoins grimacer ma bien aimée qui n'était pas dupe sur le sort de son petit cul.
- Non... je vous en... prie.... je vais avoir....humm....mal...
- Mais non, ça y est presque... regarde ce n’est pas si difficile
- Aieee...non....nonnnnn... aie...hummm.... si, j'ai mal...
- Voilà, ça y est... il ne manque pas grand chose... elle est presque en entier dedans
- Non... aieeee... ce n’est pas vrai....humm mm.... aieee.... trop mal... humm
- Chut...regarde, encore un peux et tu l’aura jusqu'aux couilles
- Haaaaa.... oui...nonnnn... humm mm.... j'ai.... malllllll…..
Mine de rien doucement mais surement il lui a enfilé le morceau dans le cul, jusqu'à la garde l'énorme bite s'est logé dans les boyaux de sa salope, marquant un temps d'arrêt pour qu'elle puisse s'habituer a ce corps étranger dans ses chairs.
- Voilà, regarde je bouge plus, tu auras moins mal, c’est bien tu es docile
Dans l'attente qu'elle se détende un peut il continuait à jouer avec son petit bouton, ce que ma femme s'emblait vraiment apprécier commençant même à accepter la présence de cette bonne queue dans son cul en découvrant des plaisirs nouveaux.
- Humm... oui... doucement... humm
- N'ai pas peur, je vais y allé très doucement, tu va aimer... laisse toi faire
- Oui... doucement s'il vous plait... j'ai trop mal….humm
Elle n'avait pas fini sa phrase qu'il commençait déjà à lui limer le cul par de longs mouvements du bassin qui faisaient presque ressortir la totalité de sa queue, puis il replongeait au plus profond en lui arrachant au passage des petits cris de douleur
- Haaaaa...doucement...humm...douce...ment....
Il n'écoutait plus ses plaintes et se concentrait sur son plaisir à enculer cette jolie femme mariée, cette pute de bourgeoise qui se faisait dilater le cul, il prenait son pied et petit à petit ma femme se détendait, appréciant de plus en plus cette nouvelle pénétration
- Humm...ouiiiii... allez y.... humm... doucement...ouiii....
Notre voisin regardait la scène en bandant, il continuait à lui pincer les tétons de plus en plus fort, admiratif de sa capacité à supporter la douleur car avec la bite de son pote il s'avait bien quelle devait la sentir passer.
Voilà, tu voit mon ami, avec les femmes il faut savoir y faire, le passage est fait et regarde comme elle commence à aimer ça.
- Hein petite pute, dit à mon pote que tu aime ça... que t'aime te faire enculer, dit lui...
- Humm...oui....ouiiiii...humm... oui j'aime...ça....humm...
- Et bien voilà on y arrive, c'est bien.... mais mon copain il aimerait bien prendre ma place, lui aussi aimerait te la mettre dans le cul
A peine les mots terminés il à sorti sa queue du fion marital, laissant la rosette entrebâillée pour recevoir la suite des festivités, saisissant les fesses de ma femme il la soulevé pour que son pote puisse à son tout venir enfiler sa queue dans ce cul accueillant
Celui ci ne sait pas fait prier, il a guidé son membre pour le loger dans le petit trou si convoité et comme il avait été bien dilaté par son pote il n'a pas eu de mal à s'enfoncer dans le conduit anal
Ma femme ne gri massait plus et bien au contraire semblait se régaler de la prendre dans le cul, se contorsionnant pour qu'il puisse se loger au plus profond
- Humm... ouiiii.... oui vas y... met là....ouiiii... oui dans mon cul....ouiiii....
- Putain t'es une vraie chienne en chaleur, on peut tout te faire... t'es une sacré salope
- On vat te faire jouir par le cul, tu va voir sale pute
- Ouiiiiiiii......ouiiiiiiiii.....
La grosse bite du voisin lui ramonait le cul et le pote qui lui triturait le clito ont eu mal de sa retenue, elle s'est laissé jouir comme jamais avec de puissants soubresauts, son corps s'emblait se convulser par saccades
- Putain ce quelle joui, c'est trop beau à voir, jamais j'ai n'ai vu une femme comme elle, tu as vraiment trouvé la pute idéale on vat en profiter un max.
- Je crois quelle est prête pour sa première double, tient arrête de bouger que je me place
Son copain à stopper ses ruades pendant qu'il à commencer à loger sa queue dans la chatte malmenée de ma femme, les chairs étaient tendues au maximum, la bite logée dans son cul s'emblait prendre toute la place possible et je me demandais comment ma femme allait pouvoir accepter ses deux membres virils en même temps
Ni une ni deux, la deuxième queue s'est engouffrée sans trop de mal dans l'utérus de ma bien aimée, ma femme à grogné et serré les dents à l'intromission, mais à vite repris le dessus en ce raccrochant à l'incroyable plaisir qui recommençais à lui dévorer l'intérieur du ventre
C'était la première fois quelle se faisait prendre ainsi et même moi je n'avais jamais vu une telle scène, c'était horriblement excitant et j'aurai tout donné pour être à ces cotés, lui tenir la main et l'embrassé pendant quelle se ferait pilonné par ses deux mâles en rut.
Ma femme se faisait prendre par deux énormes bites, ses deux orifices étaient visités en même temps dans une incroyable et perverse chevauché et elle y prenait un vrai et sincère plaisir
Les deux mâles tentaient tant bien que mal de coordonner leurs coups de bites mais ma femme hurlait son plaisir, son corps gigotait dans tous les sens en ballotant ses seins sous les yeux gourmands de ses baiseurs qui peinaient à retenir leur jouissance.
Par contre moi, je n’ai pas pu me retenir, l’intense excitation de voir cette scène si perverse, de voir ma femme se faire défoncer la chatte et le cul en même temps sous mes yeux, de la voir prendre son pied et jouir comme jamais.
J’ai lâché toute ma purée entre mes doigts, il y avait une sacré dose me prouvant que j’étais au summum de l’excitation et que je n’étais pas insensible à voir ma femme ainsi pervertie par des inconnus.
La colère et la jalousie se sont dispersées pour laisser place à un plaisir indescriptible qui allait à l’avenir devenir permanent en moi.
Pendant ce temps là, les mecs s’acharnaient sur les cavités de la belle, cuisses grand ouvertes elle prenait d’intenses coups de queue avec des « Hans « de bucherons qui en disaient long sur la force que les gars mettaient dans leur coups de reins.
A chaque fois j’entendais le claquage des chairs l’une contre l’autre, le bruit humide et pervers du trop plein de cyprine qui s’oblige à sortir de cette chatte dégoulinante pour laisser place au mandrin qui se loge bien au fond, jusqu'à venir claquer contre les ovaires dilatées.
A chaque coup de queue ma femme ne peut que crier ses sensations, bouche grand ouverte pour laisser sortir le rugissement de satisfaction, ses yeux se révulsent et sa tête tombe lourdement sur le corps de celui qui la maintient.
Son corps la lâche, épuisée de jouir autant et si longtemps, elle s’effondre après une intense jouissance finale pendant que les deux salauds se vident en elle, lui remplissant les trous au maximum.
Vidant leurs couilles dans cette magnifique femme qui ne leur appartient pas, cette femme mariée qui encore hier était sérieuse et inaccessible, elle qui se refusait encore à la tentation pour ne pas salir son mari et qui là a offert tout ce quelle à de plus intime à deux inconnus.
Les choses ne pourrons plus jamais être comme avant, après avoir vu cela, comment allais je réagir face à elle, quelle attitude devrais je adopter à l’avenir, face à elle mais aussi face à notre voisin qui ma tout simplement trahis.
J’ai éteins la caméra du portable de ma femme, lui laissant une sorte d’intimité pour quelle nettoie les traces de sa luxure et quelle puisse se rhabiller, j’en ai même oublié nos deux compères qui maintenant devaient bien rire sur mon dos après avoir baisé ma femme.
Mais je n’en avais cure, mon plaisir avait été réel et infiniment plus puissant que tout ce que j’avais éprouvé jusqu'à ce jour, une véritable découverte qui n’en finirait pas de me surprendre dans les semaines et mois à venir.
La tension est retombée lentement, je me suis fait un brun de toilette et j’ai attendu tranquillement que ma femme veuille bien rentrer à la maison en faisant mine de rien.
Une bonne heure plus tard elle est effectivement rentrée avec les mêmes habitudes que les autres soirs, ne laissant rien paraître de sa débauche elle a fait en sorte que je ne puisse me douter de rien.
Souriante et aimante, elle nous a concocté un bon repas et nous nous sommes installés sur le canapé pour regarder nos séries habituelles à la télé.
Blottie contre moi elle attendait mes preuves de tendresse que je n’ai pu lui refuser, mes mains ont tendrement caressé son corps et ses cheveux, quelques doux baisés sur ses joues et ses lèvres, elle était aux anges malgré sa terrible trahison.
Malgré mes efforts, mon esprit repensait aux scènes de cette après midi, j’aurai cru que cela me mettrai en colère mais c’est tout le contraire que je ressentais avec cette curieuse excitation qui s’installait de nouveau en moi.
A peine les images de ma femme dans les bras de ces deux hommes me revenaient à l’esprit qu’aussitôt je sentais une douce chaleur envahir mes reins, mon ventre et mon sexe.
Ma femme la surement ressenti car elle sait mise à le caresser lentement au travers du tissu qui le protégeait encore, il durcissait à vue d’œil et cela ne semblait pas la surprendre.
Je la croyais repue de sexe pour la journée mais c’était mal la connaître car avec dextérité elle a fait glisser la fermeture éclair, baissé mon slip, saisi mes bourses et ma tige à qui elle a fait prendre l’air juste devant son visage qui s’était rapproché.
J’ai juste eu le temps de déglutir que j’ai aussitôt ressenti la chaleur de sa bouche me happer le gland, le sentir glisser délicatement sur sa langue pour se loger presque au fond de sa gorge.
Ma queue était encore semi rigide, bien logé dans cette bouche si chaude et cette langue humide et ferme qui commençait à me titiller le méat pour m’électriser les sens d’agréables sensations.
J’ai repensé aux moments ou je l’ai vu embrasser et avaler les gros sexes de ses partenaires, ouvrant plus que possible ses délicates lèvres afin de les laisser lui baiser la bouche, ils tentaient de lui en mettre le maximum malgré la taille de leurs sexes parfois jusqu'à lui donner des nausées et des suffocations.
Je revoyais ses énormes bites déformer le beau visage de ma bien aimée et cela me rendait encore plus fou d’excitation, je sentais mon sexe durcir de plus en plus, bien loti entre ses lèvres gourmandes qui me resserraient la tige.
La paume d’une main callé sur mes boules, appuyant et chauffant légèrement ma prostate, elle agissait telle une véritable pro, maitrisant parfaitement toutes les sensations qu’un homme peut ressentir, sans forcer mi se précipiter elle savait comment me faire craquer.
Maintenant sa bouche coulissait agréablement sur ma queue avec de langoureux vat et vient qui me rendaient fou, appliquant son geste, utilisant ses lèvres et sa langue avec dextérité pour faire monter le plaisir en moi.
Elle ne m’avait jamais aussi bien sucé, peut être sa façon à elle de se faire pardonner de son infidélité, uniquement pour son âme personnelle car elle n’imaginait pas un instant que je fusse au courant, qu’à peine quelques heures avant elle m’avait belle et bien cocufié.
Mais je n’en avais cure, profitant à fond du moment, décidé à jouir au maximum de cette agréable bouche, pulpeuse et gourmande et dans laquelle j’aimerai me déverser jusqu'à tarir mes bourses de leurs précieux jus.
J’espérais que d’elle-même elle en vienne à me faire jouir dans sa bouche, quelle avale mon sperme avec gourmandise, quelle me montre que je ne suis pas moins que ses amants pour la remplir par tous les orifices.
Sans trop y croire j’ai laissé le plaisir m’envahir, fermant les yeux j’ai senti ma sève monter dans une explosion de plaisir et là j’ai réalisé que j’étais toujours dans sa bouche, quelle tentait d’avaler ma semence qui se déversait par saccades sur sa langue.
Ouvrant les yeux, je l’ai vu me regarder fixement, tout en avalant mon plaisir elle s’assurait du travail bien fait, du plaisir quelle me donnait, fièrement et amoureusement elle déglutissait les dernières gouttes de mon jus pour finir avec un indécent coup de langue sur le long de la tige, signal d’une petite toilette finale.
- Waouh… et bien ma chérie, qu’est ce qui ta pris ?
- Pour rien, je t’aime et… j’en ai eu l’envie, juste pour te faire plaisir…
- Merci mon amour, c’est encore meilleur quand on ne si attend pas, moi aussi je t’aime
Ce soir là, j’ai décidé de me taire sur son infidélité, me laissant du temps pour réfléchir à tout cela, nous nous somme couché et j’ai fait de très beaux rêves.
Après cette incroyable soirée et une très bonne nuit de sommeil, nous nous sommes retrouvés devant un bon café et des tartines beurrés, mais j’ai vite remarqué que ma chérie semblait gênée et évitait mon regard.
- Quelque chose ne va pas ?
- Non, ca va mais j’ai… un peu honte, pour hier soir
- Comment ca, honte ?
- Je n’aurai pas du me laissé aller comme ca, non, pas là, pas devant toi…pas devant l’homme que j’aime, nous n’aurions pas du.
- Ma chérie, il faut que cela soit bien clair pour nous deux, tu n’a rien fait de mal, nous nous aimons et nous sommes des adultes consentants, tu as des fantasmes, tu es belle, désirable et il faut que tu en profite
- Oui mais, je t’ai trompé… avec un voisin, j’ai jouie avec un inconnu
- Vient là ma chérie, vient sur moi
Je lui ai demandé de se lever et de venir jusqu'à moi en l’invitant à s’assoir sur mes genoux
- Premièrement, tu ne ma pas trompé, car je suis au courant et c’est moi qui l’ai voulu, même si c’était le cas c’est entre nous que cela ce passe, tu ne doit de comptes à personne d’autre que moi, moi je t’aime et j’ai vraiment pris beaucoup de plaisir à te voir faire l’amour avec un autre homme.
- Tu en es sur, tu m’en veux pas ?
- Non, vraiment pas, je ne sais pas pourquoi mais ca m’excite vraiment de te voir jouir avec ce mec, de voir sa grosse queue te pénétrer et te donner du plaisir devant moi
Tout en lui disant ces choses là, mes mains n’ont pas pu s’empêcher de la caresser sous la petite chemise de nuit, une main s’occupait de ses seins tout chauds et l’autre parcourait ses cuisses jusqu'à sa petite culotte.
- L’important c’est de savoir si toi tu aime ça ?
- Ben… oui, c’était très agréable, excitant…très excitant même
Ma main venait de passer sous la dentelle de la culotte pour venir se frotter sur le mont de venus et parcourir la fente qui s’ouvrait délicatement sous la pression de mes doigts inquisiteurs.
- Je vois bien que c’était excitant, d’ailleurs ca t’excite encore à ce que je constate, tu es toute chaude et humide, juste là dans ta petite chatte.
- C’est de ta faute, c’est toi qui me reparle de nos bêtises
- Comment ça nos bêtises, ce sont tes bêtises à toi, après tout c’est toi qui s’est régalé avec cette bonne queue, hein…
- Oui mais c’est toi qui m’a piégé, je ne savais pas et j’avais les yeux bandé
- N’empêche qu’il n’a pas eu besoin de trop forcer pour te la mettre
Mes mots devenaient de plus en plus crus alors que je branlais carrément son petit bouton rose et elle commençait à réagir à mes sollicitations en ondulant du cul sur mes genoux
- Hum… mais je t’avais promis d’être sage….humm… très sage…
- C’est vrai et j’adore que tu sois sage, si je te demande encore d’être sage tu m’obéiras ?
- Humm…. Oui, une femme…doit toujours être…sage… et obéissante avec son… mari
- Mais c’est bien ça… j’aime quant tu m’obéis, donc si je décide qu’il vienne encore te baiser devant moi, tu accepteras ?
- Humm….oui…ouiiiiii…..ouiiiiiiiiiiiiii…
Ma petite salope venait de se laisser jouir sous mes doigts, la dernière phrase l’avait littéralement fait exploser sous mes caresses, les cuisses serrés elle avait emprisonnez ma main encore enfuit dans sa fente baveuse pendant quelle libérait ses dernières contractions de plaisir.
- Et bien ma belle, ce mec te fait vraiment de l’effet, c’est lui ou sa queue ?
Alors quelle tentait de reprendre ses esprits elle balbutiât
- C’est…les deux…oui…les deux…
Je l’ai laissé souffler un peu, toujours sur mes genoux et blottie contre moi je lui ai fait de gros câlins tendres comme pour la remercier d’être sage, très sage.
Nous avons fini par boire notre café et manger les tartines déjà froides, mais j’avais le sentiment que ma femme venait de franchir une étape décisive dans sa vie de femme, à compter de ce jour elle ne serait plus jamais la même et cela j’allais le comprendre à mes dépends.
Nous nous sommes reposés tout le restant de ce court week-end, télé, plateaux repas et canapés où nous avons parlé de tout et de rien mais aussi de nos fantasmes respectifs, j’essayais de savoir quel serait le prochain fantasme que ma femme aurait aimé vivre.
Elle m’a fait comprendre quelle ne pensait pas à d’autre fantasmes pour l’instant, le seul qui l’excitait était de coucher avec notre voisin et que bien que nous l’avions vécus elle y pensait encore et encore.
Elle était comme hypnotisée par cet homme qui l’attirait vraiment et le fait que je les ai réunis dans le pêché n’avait en rien étouffé son désir pour lui, j’étais jaloux de cette attirance mais en même temps cela m’excitait très fort.
Tout était clair et sans mensonges, j’acceptais cette situation, elle était honnête avec moi, sans détours ni trahison elle exprimait ouvertement ses envies pour notre plaisir commun.
Mais le temps passe vite et il se faisait déjà tard, le travail nous attendait de nouveau le lendemain ainsi que la routine de la vie, nous nous sommes couché pour une nouvelle nuit pleine de fantasmes.
Encore une belle journée de boulot pour chacun de nous, pour ma part le fait d’avoir assouvi le fantasme de voir ma femme avec un autre mec avait comme comblé un vide, j’avais la sensation d’une mission accomplie sans avoir de but supplémentaire à atteindre.
Un effet bizarre de satiété érotique, j’aurais pensé que d’avoir mis les doigts dans cet engrenage coquin, l’envie d’y mettre le bras entier allait me prendre et bien non, pas du tout, au contraire je n’avais pas envie de remettre ça, du moins pas tout de suite.
J’y ai pensé, bien sur, mais j’avais plutôt envie de tourner la page, comme si mon subconscient envisageait une certaine forme de risque à poursuivre dans cette voie, surement mon coté jaloux qui reprenait le dessus une fois les effets de l’excitation passés.
J’avais réussi à faire les choses sans aucun sentiment de rivalité entre cet homme et moi, mais ma femme s’était vraiment libérée et avait jouie comme jamais ce qui malgré tout avait touché mon égo, et si elle y prenait goût ?
Oui, si elle ne pouvait plus se passer de cet homme, surtout de son gros sexe auprès duquel le mien semble ridicule, ce n’est pas la taille qui compte…Bla…Bla…Bla… mais moi j’ai bien vu l’effet que cet engin lui a fait, elle ne faisait pas semblant.
Je me retrouvais comme un con, tiraillé entre mes contradictions et cette putain de jalousie qui me ronge les entrailles, comment pouvais je être jaloux à ce point et éprouver un tel plaisir à imaginer et voir ce qui me faisait mal.
Il me fallait prendre un peut de recul pour me calmer les esprits, j’ai donc décidé de ne plus en parler avec ma femme pendant un certain temps, laissant venir les choses d’elles mêmes.
Après tout, c’est moi qui l’ai poussé donc si je ne force pas les choses elle ne s’en plaindra pas, oubliera peut être, mais n’osera pas en parler ni en redemander de peur de passer pour ce qu’elle n’est pas.
Le temps arrange les choses et je verrai bien ce qu’il en sera dans quelques semaines.
Les semaines sont donc passées, comme je l’avais pensé notre épisode érotique n’est pas revenu sur le tapis, même si ma femme y a aussi repensé, elle ne me la jamais fait savoir et je ne l’ai même pas soupçonné, ne serait ce qu’un instant.
Tout semblait être rentré dans l’ordre, même les petits déshabillages érotiques de soirée que ma femme faisait devant notre fenêtre pour se montrer au voisin étaient terminés, lui, je ne l’ai plus revu derrière ses carreaux, je me sentais donc rassuré car elle aussi était passé à autre chose, du moins je le pensais…
Mais un de ces jours pas comme les autres, alors que nous étions partis au travail comme à nos habitudes respectives, j’ai pensé très fort à ma chérie tout la matinée et j’ai eu comme une envie de la rejoindre pour lui faire la surprise d’un déjeuner en amoureux.
Voulant absolument conserver l’effet de surprise, j’ai rejoint son lieu de travail sans l’en avertir, n’ayant pas remarqué sa voiture sur le parking de sa boite je me suis décidé à me rendre à l’accueil pour la faire avertir de ma présence.
L’agent de sécurité à gentiment prévenu son service et m’a demandé de patienter un peu pendant qu’il attendait une réponse, après quelques secondes il se tourne vers moi et me dit :
- Monsieur, il s’emblerait que votre dame est pris sa journée, c’était apparemment prévu car pour sa responsable elle est en congés.
J’ai du faire une tête de déterré
- Heu… vous en êtes sur ?
- Oui monsieur, désolé…
Le monde venait de s’effondrer à mes pieds, je suis reparti la queue entre les jambes vers ma voiture cherchant à comprendre ce qui m’arrivait d’un coup, d’un seul.
Cherchant à me raccrocher aux branches, je me suis dit qu’il y avait surement une bonne raison et qu’elle allait m’expliquer tout cela une fois rentré à la maison, en attendant je suis retourné à mon travail pour finir cette journée vraiment particulière.
L’après midi fut assez pénible pour moi, tout et rien me trottait dans la tête, je ne pouvais pas imaginer une quelconque trahison de sa part mais j’étais malgré tout inquiet.
Le soir venu, je suis rentré à la maison, ma femme était déjà là préparant notre diner, j’ai posé mon manteau et suis venu vers elle pour l’embrasser.
- Bonsoir chérie, tu as passé une bonne journée ?
- oui merci et toi ?
- Ben… écoute, oui la routine, le boulot…
Je m’attendais à ce qu’elle me raconte autre chose, mais rien, elle faisait comme si de rien n’était ce qui a renforcé mon inquiétude, mais j’ai décidé de ne rien dire et d’attendre le plus sereinement possible que les choses viennent d’elle.
Après tout on ne sait jamais, si tout cela était pour me faire une surprise, de toutes les façons je l’apprendrais bien assez vite.
Toute notre soirée s’est passé comme d’habitude, diner et télé dans le canapé, pas de déshabillage coquin devant la fenêtre comme depuis plusieurs semaines, non rien qui puisse me dire que son comportement avait changé.
Nous nous sommes couchés sans que j’en sache plus sur sa journée d’absence au travail
J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir cherchant en vain à deviner ce qu’elle pouvait bien tramer, elle cachait bien son jeux car elle n’avait rien laissé transparaitre.
Au petit matin, nous avons déjeuné comme d’habitude et toujours pas d’explications de sa part et c’est sur ma faim que je suis parti au travail où j’ai encore ruminé toute la matinée.
Mais pris de doutes je me suis de nouveau rendu à son boulot pour vérifier sa présence, mais sa voiture était bien là sur le parking et je suis reparti presque rassurer mais sans avoir de réponse pour la veille.
Un autre après midi plutôt long et pénible, si c’était une surprise j’allais le savoir rapidement car qu’est-ce que cela pouvait être d’autre pour qu’elle me le cache ainsi.
Mais de nouveau arrivé au soir, le silence total sur le sujet, pas une once de début d’explication, non rien de rien, ni même les jours suivants.
Là mon inquiétude est devenue plus sérieuse, ma jalousie s’est mêlé à mes craintes et je me m’étais à imaginer des milliers de choses plus terribles les une que les autres ce qui n’arrangeait en rien le désespoir qui s’installait en moi.
Pourtant avec tout cela je n’ai pas imaginé un seul instant que cela puisse avoir un rapport avec notre voisin, car depuis il s’emblait aux abonnés absents et elle de son coté s’emblait l’avoir tout simplement oublié.
Alors je me suis justement mis à penser que tout venait de là, je l’avais poussé dans ses bras où elle avait trouvé beaucoup de plaisir et puis tout d’un coup plus rien, je l’obligeais à faire comme si de rien n’était, la frustrant et la privant de cet incroyable plaisir qui devait sincèrement lui manquer.
Néanmoins, j’ai tout de même décidé de la surveiller plus sérieusement jusqu'à que je puisse comprendre de moi-même ou qu’elle m’explique ce qui se passait.
Chaque jours de la semaine à midi j’allais vérifier sa présence au travail et je suis arrivé au constat que chaque semaine, elle était absente, une, voir deux journées sans autre explication et ce depuis plusieurs semaines.
Cela commençait à me ronger les sens et devant son éternel silence j’ai senti pointer une sorte de colère alimentée par cette éternelle jalousie à qui je donnais maintenant raison.
J’allais donc tout mettre en œuvre pour découvrir ce qui se passait vraiment, après recherches sur internet, j’ai déniché la boutique qui allait me venir en aide, tout pour l’espionnage, et oui il me fallait les grands moyens.
Après quelques achats plutôt onéreux, je suis rentré à la maison pour tout mettre en place, premièrement le clonage de son téléphone, on m’a vendu un logiciel qui me permettrait d’entendre et d’enregistrer toute communication entrante ou sortante de son mobile.
Cerise sur le gâteau, il y avait aussi la localisation GPS de celui-ci et encore mieux je pouvais déclencher à distance l’écouteur et la caméra sans qu’elle puisse s’en apercevoir et tout ça de mon propre téléphone.
J’étais fin prêt mais je souhaitais encore lui laisser une dernière chance de tout me dire, le soir venu alors que nous dinions ensemble je lui ai demandé une dernière fois :
- Tout va bien chérie ?
- Ba… oui, pourquoi tu me demande ça ?
- Pour rien…je te trouve… bizarre depuis quelques temps
Elle a baissé son regard et à légèrement rougie
- Non, je t’assure…tout va bien, peut être un peu fatiguée j’ai surement besoin de vacances
Besoin de vacances avec tous les jours de congés qu’elle prend depuis des semaines, là elle m’a menti sérieusement
- Je préfère ça, de toutes les façons tu me le dirais si quelque chose n’allait pas ?
- Mais bien sur mon chéri, je t’aime et tu ne doit pas en douter
Toujours sans réponse j’ai donc décidé de mettre mon plan à exécution dés le lendemain
J’ai à peine attendu deux jours pour établir le premier contact en cachette, au matin alors que ma femme était encore dans la douche j’aillais regarder ma messagerie sur mon portable et là je vois sur le mouchard qu’elle avait reçu un sms.
Le cœur battant j’ai ouvert ma copie pour vérifier son contenu, un numéro masqué lui avait envoyé le texte suivant :
- Jeudi, même heure et comme d’habitude
Rien de plus, rien de moins, mais suffisant pour que je prévois ma journée car nous étions jeudi, donc j’allais moi aussi prendre ma journée pour la suivre.
A mon tour je suis parti sous la douche pendant qu’elle se préparait, elle avait mit une très jolie robe souple et vaporeuse comme j’en raffole, sauf que là ce n’était surement pas pour moi, escarpins à talon haut et de beaux collants ou bas noir satinés il me serait difficile de le savoir sans me trahir, je le saurais bien assez tôt.
Nous avons déjeuné et comme si de rien n’était, elle m’a embrassé en partant au travail
- Bonne journée mon chéri
- Toi aussi mon amour, passe une bonne journée
Je l’ai laissé prendre de l’avance et une fois dans ma voiture j’ai appelé au bureau pour les prévenir de mon absence exceptionnelle, ensuite j’ai mis en service la localisation GPS du portable de m’a petite femme.
J’ai d’abord été surpris par le fait qu’elle se dirigeait bien vers son travail, néanmoins je l’ai suivi à bonne distance, jusqu'à sa place de parking habituelle.
Là sa voiture est resté sur place une bonne demi heure, me laissant à pensé que j’étais fou et que rien de tout ça n’était vrai, que je me faisais des idées noires provoquées par cette fichue jalousie qui me hantait.
Mais les choses sérieuses ont repris leur court, sa voiture est reparti sur le chemin inverse comme si elle rentrait à la maison, toujours à bonne distance je l’ai suivi vers la découverte de la vérité.
Effectivement elle a garé sa voiture dans notre parking habituel, même place comme si sa journée était fini.
J’ai attendu quelques minutes pour faire de même et essayez de découvrir où elle allait se rendre mais le problème était que le mouchard GPS n’était pas suffisamment précis pour pouvoir localiser à moins de cent mètres la position de son téléphone, ce qui dans notre dédale d’immeubles n’allait pas me faciliter la tache.
Premièrement je me suis dit qu’elle était surement à la maison, très discrètement je m’y suis rendu et après avoir écouté à la porte j’ai constaté que ce n’était pas là qu’elle était, je suis néanmoins rentré pour faire le point sans me faire remarquer sur le pallier.
Assis dans notre cuisine, je regardais mon téléphone constatant que le point indiquant sa position ne bougeait plus depuis plusieurs minutes elle était donc bien à proximité de chez nous, là pas très loin, mais où ?
Le seul moyen de le découvrir serait d’actionner à distance le micro ou la caméra de son mobile, j’ai hésité à le faire, craignant plus que tout de découvrir cette vérité qui allait surement me faire mal, très mal.
Mais il fallait que je le découvre enfin, malgré moi, malgré elle, j’ai déclenché le micro à distance sans chercher à voir pour l’instant…
Le son n’était pas très net, mais je distinguais bien plusieurs voix d’hommes
- Tu vois bien quelle est obéissante, elle ne peut rien me refuser
- Effectivement elle est venue, tu as raison elle est vraiment très belle
- Tu peux la toucher comme tu veux, elle aime ça c’est une chaud asse
- Pourtant elle a l’air timide, elle n’ose pas nous regarder, elle a peut être peur ?
- Non elle n’a pas peur, elle est simplement obéissante et soumise à ma volonté
En entendant ces phrases, mon sang n’a fait qu’un tour, j’étais comme pétrifié sur ma chaise, mon cœur battait à deux cent à l’heure, cherchant presque à sortir de ma poitrine.
- J’avais du mal à te croire, mais là vraiment tu m’épate, une si jolie femme, mariée de surcroit et en plus soumise à tes moindres désirs, nous sommes au paradis.
- Tient tu vas vérifier par toi-même si elle n’a pas mis de culotte comme je le lui ai demandé
Le son était encore faible mais suffisamment clair pour que je m’imagine presque dans la scène et cela devenait terrifiant pour moi, ma jalousie me tétanisait mais je ressentais encore cette putain d’excitation malsaine qui venait me perturber.
Je ne tenais plus il fallait que je vois de mes yeux ce qui ce passait, j’ai donc pensé à allumer le mode caméra du portable de ma femme, avec un peu de chance…
Bingo… l’image n’était pas complète comme coupé par un obstacle sur un des coins de l’écran mais j’ai immédiatement reconnu ma femme.
En analysant un peu mieux la scène, j’ai compris que son portable devait être à l’intérieur de son sac, qui lui devait être posé sur un meuble ou un fauteuil et par chance l’ouverture du sac à main est restée dirigée vers le centre de la pièce où tout ce déroulait.
Ma femme était bien là, debout face à un homme à genoux devant elle et qui semblait glisser ses mains sous la petite robe vaporeuse et sexy que j’avais aperçu ce matin
- Effectivement elle est très obéissante, elle ne dit rien mais ses jambes tremblent
C’était la voix de cet inconnu qui abusait de ma bien aimée, ces gestes étaient assurés mais plutôt lents, il s’emblait savourer sa progression.
- Sa peau est tiède et très douce, mais regarde comme elle est timide, elle ferme les yeux
Je voyais les mains de l’homme déformer le tissu de la robe au fur et à mesure de leur progression sur les cuisses de ma femme jusqu'à venir se poser carrément sur ses fesses.
- Oui, elle tremble…est-ce de la peur ou du plaisir ? En tout cas, ses fesses sont merveilleuses, bien charnues et encore très fermes.
J’ai vu l’homme retourner son visage vers l’arrière comme s’il s’adressait à quelqu’un d’autre que je ne pouvais voir pour l’instant.
- Dit moi, avec un cul comme celui là… j’espère qu’elle aime la sodomie, allez rassure moi ?
- Oui, je te l’ai dit… elle ne me refuse rien
Je venais de reconnaître la voix de notre voisin, ce salaud était bien là chez lui avec ce nouvel inconnu et tous deux se servaient de ma femme comme si elle leur appartenait.
Et comment ça elle ne lui refuse rien ? Comment ça elle aime la sodomie, qu'est ce qu'il en sait ? Les choses prenaient une tournure qui ne ma plaisait pas vraiment.
J’avais le ventre complètement noué, des perles de sueur sur le front prouvaient mon sentiment de mal être, la gorge sèche et les mains tremblantes avec ma fichue jalousie qui me bloquait sur ma chaise.
J’étais encore tiraillé entre ces sentiments opposés, l’envie d’aller sur place pour tout arrêter, reprendre ma femme pour rentrer à la maison et puis cette putain de chaleur dans le bas ventre qui voulait en voir plus, excité par le déroulement des choses
Les yeux fixés sur l’écran j’ai senti ma main se poser sur mon sexe qui commençait à se réveiller
- Putain ce qu’elle doit être bonne, j’adore la texture de sa peau, douce et ferme à la fois et je te confirme elle est vraiment obéissante, elle n’a pas mis de culotte…
Soudain j’ai vu notre voisin venir se positionner juste derrière ma femme, comme pour la soutenir il a glissé ses mains sous ses bras pour venir se poser sur la poitrine qui se soulevait de plus en plus vite sous l’emprise de l’émoi.
Puis il a fait glisser la fermeture éclair de cette petite robe dans le dos de mon épouse, la robe à glissé lentement vers le sol en dévoilant son joli corps totalement nue.
Notre voisin a ré empoigné à pleines mains les seins dénudés sous le regard vicieux de son ami qui soulevait une à une les jambes de ma femme pour pouvoir retirer complètement la robe qu'il a jeté sur le coté.
La scène était trop érotique et l’excitation est devenue plus puissante que ma jalousie, voir ainsi ma femme soumise à ces deux hommes, savoir qu’ils allaient en abuser selon leur bon vouloir, là sous mes yeux.
L’homme à genoux à demandé à ma femme d’écarter les jambes pour lui donner accès à son intimité, et elle s’est exécuté sans rien dire, tel un robot elle à ouvert ses cuisses mettant en avant son mont de vénus et sa fente déjà baveuse.
L’homme a aussitôt engouffré son visage dans son sexe, quelques bruits de clapotis et ma femme à gémie laissant sa tête tomber en arrière sur les épaules de notre voisin, comme pour lui indiquer son total abandon pour les réjouissances à venir.
Devant tout cela, je bandais comme un âne, ma queue était tendue à m’en faire mal et je me l’astiquais avec régal en savourant les images sur le petit écran de mon téléphone.
Maintenant j'aurai aimé être à leur coté et ressentir les odeurs dégagées par les corps en chaleur, mais il me fallait assister à distance, résigné à ne rien pouvoir faire, juste subir.
- Putain ce quelle mouille, je vais me noyer en lui bouffant la chatte, elle dégouline de partout, on va y entré comme dans du beure, un vrai bonheur.
Tout en gémissant de plus belle, ma femme a posé ses mains sur la tête de son suceur, elle accompagnait les léchouilles avec des mouvements de son bassin en tenant fermement le visage entre ses cuisses.
Pendant ce temps là, elle se laissait pénétrer la bouche par la langue de notre voisin qui la fouillait dans tout les recoins tout en lui martyrisant les seins, malaxant, roulant et pinçant les tétons rougis pour les faire bander au maximum.
- Tu vois ma belle, mon ami te trouve à son goût et il vat te baiser comme une vraie petite pute... tu aime être ma pute, hein... allez dit le...
- Ouiiiii... j'aime...je suis ta putain...
- Ton mari n'imagine pas la salope que tu es, il a joué avec le feu et maintenant plus rien ne peut nous retenir, tu es à moi, tu es ma putain et je vais t'avilir, te salir, te soumettre à mes moindres désirs.
- Regarde la grosse bite de mon pote, regarde ce qu'il va te mettre dans la moule
L'autre mec s'était relevé et présentait un sexe tout aussi gros que celui de notre voisin, un gland violacé par l'afflux du sang, des veines saillantes le long de la tige qui lui donnait encore plus de virilité, oui c'était vraiment un beau morceau.
Notre voisin s'est reculé vers un fauteuil et a titré ma femme vers lui
- Vient là ma belle, vient t'assoir sur moi, oui là… écarte bien tes jambes
Il s'était installé dans le fond du fauteuil et a posé ma femme sur lui en la tenant par la taille, de façon à ce quelle puisse bien écarter ses cuisses, lui posant une jambe sur chaque accoudoir, il offrait ainsi une vision très perverse de l'intimité de mon épouse à son pote.
Pote qui s'est aussitôt présenté devant le couple illégitime, la queue dressée fièrement telle un pieux qu'il allait planter dans cette chatte baveuse et qui s'emblait s'ouvrir toute seule au fur et à mesure qu'il se rapprochait.
Il s'est agenouillé entre les jambes écartées et s'est avancé pour présenter son membre juste devant la moule bouillante, sa main a fait coulisser sa queue sur la chatte de ma femme ouvrant à chaque passage les grandes lèvres ce qui huilait parfaitement sa bite
Me femme était tellement excitée que son jus dégoulinait de partout, j'entendais parfaitement les bruits de clapotis à chaque fois que le mâle frottait sa queue sur la moule juteuse.
- J'ai jamais vu une salope comme celle là, ta vu comment qu'elle mouille, on dirait que c'est la première fois quelle se fait mettre, putain ce qu'elle doit être bonne
- Son mec la baise jamais, ce n’est pas possible, si j’avais une pute comme ça je la baisserai tellement qu’elle n’irait pas voir ailleurs même affamée elle ne penserait qu'a ma queue.
- Dit pas n'importe quoi, tu parle trop... si t'avais une femme comme celle là, tu serais cocu car je l'aurai baisé depuis longtemps, c'est ça les potes...
Cette façon dégradante qu'ils avaient de parler de ma femme, l'humiliant à chaque phrase et sans qu'elle ne réagisse me troublait au plus haut point.
Même moi je n'aurai jamais osé la traiter de la sorte, c'était troublant et pourtant tellement excitant, à chaque fois je ressentais ma bite sursauter entre mes doigts, petites convulsions de plaisir incontrôlé.
Le pire c'est que moi aussi je me sentais humilié, impuissant et soumis à ce jeux pervers, conscient que j'aurai pu tout arrêter et pourtant je n'ai rien fait, j'ai laissé faire en y prenant un immense plaisir
Ce salaud m'a trahis, je lui ai offert ma femme et il me fait un petit dans le dos, il se permet d'abuser d'elle sans ma permission, cela aurait du me révolter et me mettre dans une terrible colère, mais non au contraire c'était comme si j'avais désiré cette situation.
Sauf que là il offrait ma femme à un de ses potes et ça je ne l'avais pas prévu, je n'aurais pas imaginé que ma femme se serait laissée faire dans une telle situation, comme quoi on ne connaît jamais assez les personnes avec qui l'on vie.
- Je n'en peux plus il faut que je l'enfile
- Vas y elle ne demande que ça
- Oblige-la à me regarder dans les yeux pendant que je la pénètre
- Tu as entendu ma belle, regarde le monsieur qui va te régaler
Comme il le demandait ma femme la fixé en se l’aichant le coin des lèvres avec sa langue, elle a posé ses mains sur ses cuisses pour les maintenir ouvertes en attendant qu'il la pourfende.
Tout en la fixant au fond des yeux, il a fait glisser son gland dans la fente, recherchant le point d'entrée de la cavité brulante, bien lubrifiée la grosse bite s'est facilement logée au début du tunnel.
Encore un soupir de mon épouse et l'homme s'est mit à pousser lentement, ouvrant les chairs délicates qui se dilataient en épousant parfaitement le mandrin qui la pénétrait, la chatte de ma bien aimée s'emblait dévorer ce sexe inquisiteur.
Centimètre par centimètre, avec une lenteur déconcertante, il s'est enfoncé très profondément jusqu'à venir buter tout au fond alors qu'il restait encore un bon morceau de queue à l'extérieur.
Il devait être encore plus long que son pote car je ne rappelais pas avoir noté ce détail avec notre voisin qui pourtant possédait déjà un sacret paquet entre les cuisses.
Je me suis tout simplement dit que ma petite salope de femme allait vraiment se régaler, avec une queue pareille elle allait le sentir passer, le ramonage allait être appliqué.
A peine ai je fini de penser cela que le mâle s'est mit à faire de profonds vat et vient qui mettaient ma femme dans tous ces états, elle commençait à haleter et à respirer de plus en plus vite pendant que notre voisin lui disait des grossièretés aux oreilles.
- Tu aime ça, tu aime les grosses queues... hein salope, dit le que tu aime ça, que tu aime te faire enfiler par des grosses bites
- Ouiiii...j'aime....ça....hummmmm....les...grosses...humm mm...queues...
- Regarde putain, regarde ta chatte qui se régale avec ma bite
- Oui, elle est grosse... humm mm… elle est… bonne
- Tu va voir, tu pourras plus t'en passer... tu va en rêver jour et nuit
- Ce n’est pas ton homme qui te baisse comme ça, hein... petite pute...
- Il aimerait bien en avoir une aussi grosse pour te dilater
A ces mots j'ai surpris ma femme à faire une légère rébellion
- Arrêté...j'aime mon mari... ne parlé pas...comme ça de lui...
- A oui... et sinon quoi... ton homme est cocu et toi tu adore le faire cocu
- Sinon tu te ferais pas enfiler comme une putain, tu es une vraie salope qui ne peut pas se passer de nos grosses bites, n'est ce pas... allez avoue...
Avec ses mots il a accéléré la cadence, les coups de bites devenaient rapides et puissants, claquant ses boules sur les fesses de sa pute qui gémissait à chaque coup de boutoir.
- Alors j'ai pas entendu, avoue que t'aime cocufier ton mec, que t'aime te faire mettre
- Humm...oui....oui...ouiiiiiiiiiii.....
Regardant son pote il a sourit
- Tu vois c'est trop facile, c'est une affamée de bites, putain qu'est ce qu'on va se régaler avec cette salope
Ma femme venait de jouir une première fois sous les insultes perverses de ses deux amants, les puissants coups de queue et l'humiliation de son baiseur.
- C'est bien ma belle, le plaisir ça ce mérite et maintenant tu m'es redevable, pour la peine je vais te prendre par le cul
- Non...pas ça... non…elle est trop grosse...
- Voilà que madame fait la petite prude, je rêve... mais tu n'a pas ton mot à dire ma belle, je ne te demande pas l'autorisation
- Non...s'il vous plait... pas par le cul....
Je ressentais de la peur dans sa voix, elle avait la gorge nouée et ses yeux s'humidifiaient
- T'inquiète pas ca va rentrer comme dans du beurre, vu comment tu dégouline
- non... je vais avoir trop mal... elle est vraiment trop grosse…non…
Ne voulant rien savoir il a demandé à son pote de bien la maintenir et a présenté sa queue sur la rosette plissée de mon épouse qui s'est mis à couler des petites larmes dans l'attente des premiers signes de douleur
Le salaud à pincé le clito avec ses doigts pour la faire réagir, il roulait le petit bouton pour le faire reluire détournant du même coup l'attention de ma femme qui ce concentrait sur le plaisir provoqué par cette manipulation
Discrètement il a commencé a poussé de ses reins, dilatant les chairs lentement mais surement, faisant néanmoins grimacer ma bien aimée qui n'était pas dupe sur le sort de son petit cul.
- Non... je vous en... prie.... je vais avoir....humm....mal...
- Mais non, ça y est presque... regarde ce n’est pas si difficile
- Aieee...non....nonnnnn... aie...hummm.... si, j'ai mal...
- Voilà, ça y est... il ne manque pas grand chose... elle est presque en entier dedans
- Non... aieeee... ce n’est pas vrai....humm mm.... aieee.... trop mal... humm
- Chut...regarde, encore un peux et tu l’aura jusqu'aux couilles
- Haaaaa.... oui...nonnnn... humm mm.... j'ai.... malllllll…..
Mine de rien doucement mais surement il lui a enfilé le morceau dans le cul, jusqu'à la garde l'énorme bite s'est logé dans les boyaux de sa salope, marquant un temps d'arrêt pour qu'elle puisse s'habituer a ce corps étranger dans ses chairs.
- Voilà, regarde je bouge plus, tu auras moins mal, c’est bien tu es docile
Dans l'attente qu'elle se détende un peut il continuait à jouer avec son petit bouton, ce que ma femme s'emblait vraiment apprécier commençant même à accepter la présence de cette bonne queue dans son cul en découvrant des plaisirs nouveaux.
- Humm... oui... doucement... humm
- N'ai pas peur, je vais y allé très doucement, tu va aimer... laisse toi faire
- Oui... doucement s'il vous plait... j'ai trop mal….humm
Elle n'avait pas fini sa phrase qu'il commençait déjà à lui limer le cul par de longs mouvements du bassin qui faisaient presque ressortir la totalité de sa queue, puis il replongeait au plus profond en lui arrachant au passage des petits cris de douleur
- Haaaaa...doucement...humm...douce...ment....
Il n'écoutait plus ses plaintes et se concentrait sur son plaisir à enculer cette jolie femme mariée, cette pute de bourgeoise qui se faisait dilater le cul, il prenait son pied et petit à petit ma femme se détendait, appréciant de plus en plus cette nouvelle pénétration
- Humm...ouiiiii... allez y.... humm... doucement...ouiii....
Notre voisin regardait la scène en bandant, il continuait à lui pincer les tétons de plus en plus fort, admiratif de sa capacité à supporter la douleur car avec la bite de son pote il s'avait bien quelle devait la sentir passer.
Voilà, tu voit mon ami, avec les femmes il faut savoir y faire, le passage est fait et regarde comme elle commence à aimer ça.
- Hein petite pute, dit à mon pote que tu aime ça... que t'aime te faire enculer, dit lui...
- Humm...oui....ouiiiii...humm... oui j'aime...ça....humm...
- Et bien voilà on y arrive, c'est bien.... mais mon copain il aimerait bien prendre ma place, lui aussi aimerait te la mettre dans le cul
A peine les mots terminés il à sorti sa queue du fion marital, laissant la rosette entrebâillée pour recevoir la suite des festivités, saisissant les fesses de ma femme il la soulevé pour que son pote puisse à son tout venir enfiler sa queue dans ce cul accueillant
Celui ci ne sait pas fait prier, il a guidé son membre pour le loger dans le petit trou si convoité et comme il avait été bien dilaté par son pote il n'a pas eu de mal à s'enfoncer dans le conduit anal
Ma femme ne gri massait plus et bien au contraire semblait se régaler de la prendre dans le cul, se contorsionnant pour qu'il puisse se loger au plus profond
- Humm... ouiiii.... oui vas y... met là....ouiiii... oui dans mon cul....ouiiii....
- Putain t'es une vraie chienne en chaleur, on peut tout te faire... t'es une sacré salope
- On vat te faire jouir par le cul, tu va voir sale pute
- Ouiiiiiiii......ouiiiiiiiii.....
La grosse bite du voisin lui ramonait le cul et le pote qui lui triturait le clito ont eu mal de sa retenue, elle s'est laissé jouir comme jamais avec de puissants soubresauts, son corps s'emblait se convulser par saccades
- Putain ce quelle joui, c'est trop beau à voir, jamais j'ai n'ai vu une femme comme elle, tu as vraiment trouvé la pute idéale on vat en profiter un max.
- Je crois quelle est prête pour sa première double, tient arrête de bouger que je me place
Son copain à stopper ses ruades pendant qu'il à commencer à loger sa queue dans la chatte malmenée de ma femme, les chairs étaient tendues au maximum, la bite logée dans son cul s'emblait prendre toute la place possible et je me demandais comment ma femme allait pouvoir accepter ses deux membres virils en même temps
Ni une ni deux, la deuxième queue s'est engouffrée sans trop de mal dans l'utérus de ma bien aimée, ma femme à grogné et serré les dents à l'intromission, mais à vite repris le dessus en ce raccrochant à l'incroyable plaisir qui recommençais à lui dévorer l'intérieur du ventre
C'était la première fois quelle se faisait prendre ainsi et même moi je n'avais jamais vu une telle scène, c'était horriblement excitant et j'aurai tout donné pour être à ces cotés, lui tenir la main et l'embrassé pendant quelle se ferait pilonné par ses deux mâles en rut.
Ma femme se faisait prendre par deux énormes bites, ses deux orifices étaient visités en même temps dans une incroyable et perverse chevauché et elle y prenait un vrai et sincère plaisir
Les deux mâles tentaient tant bien que mal de coordonner leurs coups de bites mais ma femme hurlait son plaisir, son corps gigotait dans tous les sens en ballotant ses seins sous les yeux gourmands de ses baiseurs qui peinaient à retenir leur jouissance.
Par contre moi, je n’ai pas pu me retenir, l’intense excitation de voir cette scène si perverse, de voir ma femme se faire défoncer la chatte et le cul en même temps sous mes yeux, de la voir prendre son pied et jouir comme jamais.
J’ai lâché toute ma purée entre mes doigts, il y avait une sacré dose me prouvant que j’étais au summum de l’excitation et que je n’étais pas insensible à voir ma femme ainsi pervertie par des inconnus.
La colère et la jalousie se sont dispersées pour laisser place à un plaisir indescriptible qui allait à l’avenir devenir permanent en moi.
Pendant ce temps là, les mecs s’acharnaient sur les cavités de la belle, cuisses grand ouvertes elle prenait d’intenses coups de queue avec des « Hans « de bucherons qui en disaient long sur la force que les gars mettaient dans leur coups de reins.
A chaque fois j’entendais le claquage des chairs l’une contre l’autre, le bruit humide et pervers du trop plein de cyprine qui s’oblige à sortir de cette chatte dégoulinante pour laisser place au mandrin qui se loge bien au fond, jusqu'à venir claquer contre les ovaires dilatées.
A chaque coup de queue ma femme ne peut que crier ses sensations, bouche grand ouverte pour laisser sortir le rugissement de satisfaction, ses yeux se révulsent et sa tête tombe lourdement sur le corps de celui qui la maintient.
Son corps la lâche, épuisée de jouir autant et si longtemps, elle s’effondre après une intense jouissance finale pendant que les deux salauds se vident en elle, lui remplissant les trous au maximum.
Vidant leurs couilles dans cette magnifique femme qui ne leur appartient pas, cette femme mariée qui encore hier était sérieuse et inaccessible, elle qui se refusait encore à la tentation pour ne pas salir son mari et qui là a offert tout ce quelle à de plus intime à deux inconnus.
Les choses ne pourrons plus jamais être comme avant, après avoir vu cela, comment allais je réagir face à elle, quelle attitude devrais je adopter à l’avenir, face à elle mais aussi face à notre voisin qui ma tout simplement trahis.
J’ai éteins la caméra du portable de ma femme, lui laissant une sorte d’intimité pour quelle nettoie les traces de sa luxure et quelle puisse se rhabiller, j’en ai même oublié nos deux compères qui maintenant devaient bien rire sur mon dos après avoir baisé ma femme.
Mais je n’en avais cure, mon plaisir avait été réel et infiniment plus puissant que tout ce que j’avais éprouvé jusqu'à ce jour, une véritable découverte qui n’en finirait pas de me surprendre dans les semaines et mois à venir.
La tension est retombée lentement, je me suis fait un brun de toilette et j’ai attendu tranquillement que ma femme veuille bien rentrer à la maison en faisant mine de rien.
Une bonne heure plus tard elle est effectivement rentrée avec les mêmes habitudes que les autres soirs, ne laissant rien paraître de sa débauche elle a fait en sorte que je ne puisse me douter de rien.
Souriante et aimante, elle nous a concocté un bon repas et nous nous sommes installés sur le canapé pour regarder nos séries habituelles à la télé.
Blottie contre moi elle attendait mes preuves de tendresse que je n’ai pu lui refuser, mes mains ont tendrement caressé son corps et ses cheveux, quelques doux baisés sur ses joues et ses lèvres, elle était aux anges malgré sa terrible trahison.
Malgré mes efforts, mon esprit repensait aux scènes de cette après midi, j’aurai cru que cela me mettrai en colère mais c’est tout le contraire que je ressentais avec cette curieuse excitation qui s’installait de nouveau en moi.
A peine les images de ma femme dans les bras de ces deux hommes me revenaient à l’esprit qu’aussitôt je sentais une douce chaleur envahir mes reins, mon ventre et mon sexe.
Ma femme la surement ressenti car elle sait mise à le caresser lentement au travers du tissu qui le protégeait encore, il durcissait à vue d’œil et cela ne semblait pas la surprendre.
Je la croyais repue de sexe pour la journée mais c’était mal la connaître car avec dextérité elle a fait glisser la fermeture éclair, baissé mon slip, saisi mes bourses et ma tige à qui elle a fait prendre l’air juste devant son visage qui s’était rapproché.
J’ai juste eu le temps de déglutir que j’ai aussitôt ressenti la chaleur de sa bouche me happer le gland, le sentir glisser délicatement sur sa langue pour se loger presque au fond de sa gorge.
Ma queue était encore semi rigide, bien logé dans cette bouche si chaude et cette langue humide et ferme qui commençait à me titiller le méat pour m’électriser les sens d’agréables sensations.
J’ai repensé aux moments ou je l’ai vu embrasser et avaler les gros sexes de ses partenaires, ouvrant plus que possible ses délicates lèvres afin de les laisser lui baiser la bouche, ils tentaient de lui en mettre le maximum malgré la taille de leurs sexes parfois jusqu'à lui donner des nausées et des suffocations.
Je revoyais ses énormes bites déformer le beau visage de ma bien aimée et cela me rendait encore plus fou d’excitation, je sentais mon sexe durcir de plus en plus, bien loti entre ses lèvres gourmandes qui me resserraient la tige.
La paume d’une main callé sur mes boules, appuyant et chauffant légèrement ma prostate, elle agissait telle une véritable pro, maitrisant parfaitement toutes les sensations qu’un homme peut ressentir, sans forcer mi se précipiter elle savait comment me faire craquer.
Maintenant sa bouche coulissait agréablement sur ma queue avec de langoureux vat et vient qui me rendaient fou, appliquant son geste, utilisant ses lèvres et sa langue avec dextérité pour faire monter le plaisir en moi.
Elle ne m’avait jamais aussi bien sucé, peut être sa façon à elle de se faire pardonner de son infidélité, uniquement pour son âme personnelle car elle n’imaginait pas un instant que je fusse au courant, qu’à peine quelques heures avant elle m’avait belle et bien cocufié.
Mais je n’en avais cure, profitant à fond du moment, décidé à jouir au maximum de cette agréable bouche, pulpeuse et gourmande et dans laquelle j’aimerai me déverser jusqu'à tarir mes bourses de leurs précieux jus.
J’espérais que d’elle-même elle en vienne à me faire jouir dans sa bouche, quelle avale mon sperme avec gourmandise, quelle me montre que je ne suis pas moins que ses amants pour la remplir par tous les orifices.
Sans trop y croire j’ai laissé le plaisir m’envahir, fermant les yeux j’ai senti ma sève monter dans une explosion de plaisir et là j’ai réalisé que j’étais toujours dans sa bouche, quelle tentait d’avaler ma semence qui se déversait par saccades sur sa langue.
Ouvrant les yeux, je l’ai vu me regarder fixement, tout en avalant mon plaisir elle s’assurait du travail bien fait, du plaisir quelle me donnait, fièrement et amoureusement elle déglutissait les dernières gouttes de mon jus pour finir avec un indécent coup de langue sur le long de la tige, signal d’une petite toilette finale.
- Waouh… et bien ma chérie, qu’est ce qui ta pris ?
- Pour rien, je t’aime et… j’en ai eu l’envie, juste pour te faire plaisir…
- Merci mon amour, c’est encore meilleur quand on ne si attend pas, moi aussi je t’aime
Ce soir là, j’ai décidé de me taire sur son infidélité, me laissant du temps pour réfléchir à tout cela, nous nous somme couché et j’ai fait de très beaux rêves.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore un fantasme d un idiot qui prends plaisir à voir sa compagne se faire defoncer l anus par un type avec une grosse queue et ça le fait bander l abruti moi j aimerai voir tous ces candaulistes se faire defoncer le cul par un gros noir avec une bite de cheval et les entendre appeler leur mère.
L abruti de mari n à plus de femme c est devenu une pute que tout le monde s enfile il ferait bien de se méfier car c est considere' comme de la prostitution et lui comme un maquereau il pourrait bien finir en tôle c est abruti.C est à croire que c est la triste histoire du couple d auteurs.
l'histoire du téléphone n'est pas vraisemblable mais l'imagination est bonne car voir son épouse le faire cocu entre deux hommes n'Est-ce pas un des meilleurs souhaits pour un bon candau ! Alors attendons la suite...
Ce chapitre est très agréable à lire et on espère qu'il y aura une suite!
Histoire très existant que donnera la suite.
Elle va le quitter pour devenir l'esclave du voisin qui va la faire sombrer dans la déchéance.
Et le mari n'aura que ses yeux pour pleurer.
Et c'est justice.
Et le mari n'aura que ses yeux pour pleurer.
Et c'est justice.
Ce chapitre est carrément démoniaque !
EXTRA !
Bravo
Rudy
EXTRA !
Bravo
Rudy
Magnifique découverte histoire très éxitante encore!!