Titre de l'histoire érotique : Les bonheurs de Sophie (4)
Récit érotique écrit par Modianorouge [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Les bonheurs de Sophie (4)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Elle tombe sur les fesses. Elle est là, pelotonnée, bras enserrant sa poitrine, genoux relevés, pataugeant dans sa pisse. Pour la dénouer, il pose la cravache sur la table, en vue mais à distance, s’agenouille à sa hauteur, il change complètement de registre, d’intensité, abandonne volontiers l’agressivité pour la gentillesse. Passe de la tension à l’attention. Certes, il la déconcerte, la manipule mais pour qu’elle s’affranchisse. La main du maître s’ouvre en une caresse affectueuse sur la tête :
« Làà ma chérie. Tout va bien. Il ne faut pas avoir peur. Je suis là… »
Elle est tellement désorientée. Elle a besoin d’être rassurée, aimée, dorlotée par cet homme ce qui signifie trahir son éducation, contrevenir à tous les principes inculqués par sa mère.
« … Lààà, voilà. C’est quand même beaucoup mieux si tu es sage, tu ne crois pas ? »
Les doigts lissent les cheveux soyeux, puis descendent sur la tempe, glissent sur la pommette. La douceur qui succède ainsi à ce qui pouvait ressembler à de la cruauté déstabilise complètement Sophie. Est-elle dupe ? A-t-elle tout simplement besoin de se simulacre pour se laisser complètement aller ? Toujours est-il qu’elle n’a plus aucun mouvement de rejet, ne dérobe pas sa joue, au contraire, la tend à la caresse.
Comme s’il maniait une porcelaine précieuse, il l’invite à se relever :
« Mets-toi debout ma chérie, ne reste pas assise dans ta pisse. Regarde-moi ça ! Tu avais le cul juste sur la flaque. Heureusement que le sol n’est pas recouvert de moquette. Un coup de serpillière suffira. Mais ne marche quand même pas dedans, sinon tu vas en mettre partout dans la maison ».
Tout ce qu’une rabaissée ne conteste pas, elle le concède. En se dévoyant, elle dévie toujours plus d’une route morale rigide et toute tracée, s’éloigne de l’endoctrinement maternelle.
Il se saisit maintenant du vibromasseur. Comme prévu, Sophie verrouille ses cuisses et pose les mains en protection devant sa culotte.
« Tu peux m’expliquer pourquoi tu fais autant d’histoire ?
- Je ne veux pas Monsieur.
- Quoi ?
- Faire ça.
- Etre branlée ?
- Monsieur….
- Et pour quelle raison ?
- C’est mal !
- Crois-moi, il est inutile de combattre tes pulsions sexuelles. Tu ne les surmonteras qu’en t’abandonnant.
- …
- Tu ne t’es vraiment jamais branlée ?
- Mais non !!!
- Alors comment peux-tu savoir que c’est mal ? Tu verras, en sortant de toi le démon va laisser la place à ce qu’il y a de plus délicieux, de plus divin au monde.
- Je ne veux pas ! »
Qu’est-ce qu’elle est têtue. Conditionnée. Elle a envie de céder, mais s’accroche encore à des principes écrasant, d’un autre siècle.
« Moi je veux. Et je sais ce qui est bon pour toi. Ecoutes, tu sais ce que l’on va faire ? Je vais juste un peu te branler et si vraiment tu n’es pas touchée par la révélation, on arrête. Voici, une proposition équitable que tu ne peux pas refuser.
- Mais… Ôôooohhh Monsieur, je vous en supplie !!! »
Oui, elle supplie.
- Sophie ne me déçoit pas ! Je vais finir par croire que tu ne mérites décidemment pas la peine que je me donne. Et tu sais ce qu’il va se passer si je prends la décision irrévocable de ne plus m’occuper de toi ? Je te propose un deal que tu ne peux pas refuser et toi tu tergiverses encore ! Tiens, je suis si gentille, que vais t’aider à prendre la bonne décision. Donne-moi tes menottes… »
Phil attrape avec sa main gauche les deux poignets si fins de la jeune fille, elle rechigne mais par crainte des représailles, n’ose pas se rebeller franchement. A-t-on jamais vu un poids mouche défier un super lourd ? Si bien qu’il peut, en déplaçant légèrement les bras de sa proie, dégager l’accès à la chatte.
Elle se contracte.
« Chuuut Sophie, détends-toi, je te jure que tu vas adorer ça. Ce n’est pas possible autrement. Làààà, voilà comme ça… »
Et après l’avoir mis en marche au niveau de vibration le plus bas, il appuie prudemment l’embout hérissé contre le tissu trempé. Milles petites pattes s’activent en des massages diaboliques. Sophie a bien évidement un mouvement de recul, mais il accompagne la dérobade du bassin, elle ne peut échapper aux ondes qui insidieusement traversent la culotte pour pénétrer sa vulve. Elle pousse un cri, se trémousse, il ne la lâche pas, la boule vibrante épouse le relief du con, le coton imbibé de pisse s’est plaqué contre le mont de vénus et, avec la pression exercée, le tissu moule si bien le fil des lèvres que Phil identifie aisément l’emplacement précis du clitoris. L’adorable se débat, pour échapper à la torture masturbatoire elle balance ses hanches, ses mignons nichons tanguent en rythme, les pointes semblent donner le tempo ; phil comme un cavalier de rodéo montant une pouliche sauvage, la ferre un peu plus solidement d’une main, en enserrant ses poignets, et de l’autre, avec son engin diabolique, il ralentit, augmente, module l’intensité vibratoire, alors que les cercles concentriques autour du cœur de cible se font toujours plus précis. Maintenant, elle rue, ses lèvres se tordent en une grimace obscène, entre ses dents serrées jaillissent des miaulements aigus. Elle est incroyablement sensible. En trois minutes, elle atteint le seuil ultime… elle devrait être engloutie par l’orgasme… mais un barrage, un conditionnement, retient la vague déferlante. Le corps est bien traversé par des spasmes orgasmiques et pourtant, elle ne bascule pas, car si la chair est débordée, l’esprit lui résiste à la submersion, stagne aux franges de l’explosion et, pour compenser ce différé d’une libération qui se refuse, les nerfs frustrés se tendent inexorablement. Phil sent bien qu’au lieu de lâcher complètement prise, elle va se crisper de plus en plus. Inutile de s’acharner, ce serait contre jouissif pour elle. L’orgasme fuirait encore plus loin, irait se terrer dans les recoins inaccessibles de l’inconscient où il serait encore plus ardu à déloger… Il est, provisoirement, encore trop tôt.
Il la libère et comme elle tirait de toutes ses forces sur ses bras, déséquilibrée, la gracieuse part à la renverse et s’étale à nouveau sur le cul.
Dans un gémissement :
« Ohh Mon dieu. »
Elle a les yeux écarquillés et les cils papillonnant d’une biche appâtant malgré elle un chasseur, sa crinière brune tombe en désordre sur son visage séraphique ; la bouche entrouverte, elle halète, l’entrebâillement des lèvres officie comme un appel au sexe, les rougeurs aux joues trahissent cette urgence pendant que les deux obus admirablement bombés se soulèvent d’impatience et comme une réponse à cette insurrection les cuisses sont écartées ; avec ses collants noirs elle a plus que jamais l’air d’une jeune putain qui excite le client ; d’ailleurs le voyeur discerne une auréole de mouillure, la tache de cyprine plus épaisse se démarque sur la culotte imprégnée de pisse.
Elle répète « Ohh monn dieuuuu… », ne reprend que lentement le contrôle de son organisme, prend conscience de sa pose obscène et resserre les jambes avec un gémissement supplémentaire qui pourrait laisser croire qu’elle ne recouvre sa pudeur qu’à contre cœur.
« Tu es en train de découvrir ton potentiel orgasmique. Et ce n’est encore qu’un aperçu. Je vais t’aider à l’exprimer pleinement.
- Mais… mais… Si… si je ne veux pas !
- Ne sois pas aussi stupide, Sophie. On ne peut pas aller contre sa nature. Tu en as besoin. Sinon tu ne réagirais pas aussi positivement à la masturbation.
- Vous me forcez ?
- Je me contente d’enclencher le processus, c’est toi qui déclenches la jouissance. Pas moi.
- Il n’empêche, je… je… je déteste ça, je… »
Ôh la menteuse ! Il la coupe sévèrement.
« Je ne veux plus entendre de telles inepties ! Crois-moi que je vais rapidement te débarrasser de toutes ces niaiseries qui encombrent ton esprit et bloquent le processus d’épanouissement.
- Mais…
- Cesse de déblatérer. Je ne vais quand même pas perdre mon temps à discuter avec une petite dinde ! »
La voici mortifiée. Mais son libre arbitre conditionné l’entraînerait vers la frustration, la condamnerait à des privations contre nature. Pour l’aider à surmonter ses inhibitions, il l’enfonce un peu plus. Il indique du doigt la marre qui macule le plancher.
« Rends-toi plutôt utile. Tu crois que ta pisse va s’évaporer par magie ? Non ? Alors qu’est-ce que tu attends pour nettoyer ? File à la cuisine, remplit une bassine d’eau et prend une éponge ! Et après, tu me prépareras à manger. Il est bientôt midi trente. J’ai faim.
- Mais… Je…
- Dépêche-toi ! »
Un interlude, un détour pour finalement se rapprocher encore du but.
Elle tombe sur les fesses. Elle est là, pelotonnée, bras enserrant sa poitrine, genoux relevés, pataugeant dans sa pisse. Pour la dénouer, il pose la cravache sur la table, en vue mais à distance, s’agenouille à sa hauteur, il change complètement de registre, d’intensité, abandonne volontiers l’agressivité pour la gentillesse. Passe de la tension à l’attention. Certes, il la déconcerte, la manipule mais pour qu’elle s’affranchisse. La main du maître s’ouvre en une caresse affectueuse sur la tête :
« Làà ma chérie. Tout va bien. Il ne faut pas avoir peur. Je suis là… »
Elle est tellement désorientée. Elle a besoin d’être rassurée, aimée, dorlotée par cet homme ce qui signifie trahir son éducation, contrevenir à tous les principes inculqués par sa mère.
« … Lààà, voilà. C’est quand même beaucoup mieux si tu es sage, tu ne crois pas ? »
Les doigts lissent les cheveux soyeux, puis descendent sur la tempe, glissent sur la pommette. La douceur qui succède ainsi à ce qui pouvait ressembler à de la cruauté déstabilise complètement Sophie. Est-elle dupe ? A-t-elle tout simplement besoin de se simulacre pour se laisser complètement aller ? Toujours est-il qu’elle n’a plus aucun mouvement de rejet, ne dérobe pas sa joue, au contraire, la tend à la caresse.
Comme s’il maniait une porcelaine précieuse, il l’invite à se relever :
« Mets-toi debout ma chérie, ne reste pas assise dans ta pisse. Regarde-moi ça ! Tu avais le cul juste sur la flaque. Heureusement que le sol n’est pas recouvert de moquette. Un coup de serpillière suffira. Mais ne marche quand même pas dedans, sinon tu vas en mettre partout dans la maison ».
Tout ce qu’une rabaissée ne conteste pas, elle le concède. En se dévoyant, elle dévie toujours plus d’une route morale rigide et toute tracée, s’éloigne de l’endoctrinement maternelle.
Il se saisit maintenant du vibromasseur. Comme prévu, Sophie verrouille ses cuisses et pose les mains en protection devant sa culotte.
« Tu peux m’expliquer pourquoi tu fais autant d’histoire ?
- Je ne veux pas Monsieur.
- Quoi ?
- Faire ça.
- Etre branlée ?
- Monsieur….
- Et pour quelle raison ?
- C’est mal !
- Crois-moi, il est inutile de combattre tes pulsions sexuelles. Tu ne les surmonteras qu’en t’abandonnant.
- …
- Tu ne t’es vraiment jamais branlée ?
- Mais non !!!
- Alors comment peux-tu savoir que c’est mal ? Tu verras, en sortant de toi le démon va laisser la place à ce qu’il y a de plus délicieux, de plus divin au monde.
- Je ne veux pas ! »
Qu’est-ce qu’elle est têtue. Conditionnée. Elle a envie de céder, mais s’accroche encore à des principes écrasant, d’un autre siècle.
« Moi je veux. Et je sais ce qui est bon pour toi. Ecoutes, tu sais ce que l’on va faire ? Je vais juste un peu te branler et si vraiment tu n’es pas touchée par la révélation, on arrête. Voici, une proposition équitable que tu ne peux pas refuser.
- Mais… Ôôooohhh Monsieur, je vous en supplie !!! »
Oui, elle supplie.
- Sophie ne me déçoit pas ! Je vais finir par croire que tu ne mérites décidemment pas la peine que je me donne. Et tu sais ce qu’il va se passer si je prends la décision irrévocable de ne plus m’occuper de toi ? Je te propose un deal que tu ne peux pas refuser et toi tu tergiverses encore ! Tiens, je suis si gentille, que vais t’aider à prendre la bonne décision. Donne-moi tes menottes… »
Phil attrape avec sa main gauche les deux poignets si fins de la jeune fille, elle rechigne mais par crainte des représailles, n’ose pas se rebeller franchement. A-t-on jamais vu un poids mouche défier un super lourd ? Si bien qu’il peut, en déplaçant légèrement les bras de sa proie, dégager l’accès à la chatte.
Elle se contracte.
« Chuuut Sophie, détends-toi, je te jure que tu vas adorer ça. Ce n’est pas possible autrement. Làààà, voilà comme ça… »
Et après l’avoir mis en marche au niveau de vibration le plus bas, il appuie prudemment l’embout hérissé contre le tissu trempé. Milles petites pattes s’activent en des massages diaboliques. Sophie a bien évidement un mouvement de recul, mais il accompagne la dérobade du bassin, elle ne peut échapper aux ondes qui insidieusement traversent la culotte pour pénétrer sa vulve. Elle pousse un cri, se trémousse, il ne la lâche pas, la boule vibrante épouse le relief du con, le coton imbibé de pisse s’est plaqué contre le mont de vénus et, avec la pression exercée, le tissu moule si bien le fil des lèvres que Phil identifie aisément l’emplacement précis du clitoris. L’adorable se débat, pour échapper à la torture masturbatoire elle balance ses hanches, ses mignons nichons tanguent en rythme, les pointes semblent donner le tempo ; phil comme un cavalier de rodéo montant une pouliche sauvage, la ferre un peu plus solidement d’une main, en enserrant ses poignets, et de l’autre, avec son engin diabolique, il ralentit, augmente, module l’intensité vibratoire, alors que les cercles concentriques autour du cœur de cible se font toujours plus précis. Maintenant, elle rue, ses lèvres se tordent en une grimace obscène, entre ses dents serrées jaillissent des miaulements aigus. Elle est incroyablement sensible. En trois minutes, elle atteint le seuil ultime… elle devrait être engloutie par l’orgasme… mais un barrage, un conditionnement, retient la vague déferlante. Le corps est bien traversé par des spasmes orgasmiques et pourtant, elle ne bascule pas, car si la chair est débordée, l’esprit lui résiste à la submersion, stagne aux franges de l’explosion et, pour compenser ce différé d’une libération qui se refuse, les nerfs frustrés se tendent inexorablement. Phil sent bien qu’au lieu de lâcher complètement prise, elle va se crisper de plus en plus. Inutile de s’acharner, ce serait contre jouissif pour elle. L’orgasme fuirait encore plus loin, irait se terrer dans les recoins inaccessibles de l’inconscient où il serait encore plus ardu à déloger… Il est, provisoirement, encore trop tôt.
Il la libère et comme elle tirait de toutes ses forces sur ses bras, déséquilibrée, la gracieuse part à la renverse et s’étale à nouveau sur le cul.
Dans un gémissement :
« Ohh Mon dieu. »
Elle a les yeux écarquillés et les cils papillonnant d’une biche appâtant malgré elle un chasseur, sa crinière brune tombe en désordre sur son visage séraphique ; la bouche entrouverte, elle halète, l’entrebâillement des lèvres officie comme un appel au sexe, les rougeurs aux joues trahissent cette urgence pendant que les deux obus admirablement bombés se soulèvent d’impatience et comme une réponse à cette insurrection les cuisses sont écartées ; avec ses collants noirs elle a plus que jamais l’air d’une jeune putain qui excite le client ; d’ailleurs le voyeur discerne une auréole de mouillure, la tache de cyprine plus épaisse se démarque sur la culotte imprégnée de pisse.
Elle répète « Ohh monn dieuuuu… », ne reprend que lentement le contrôle de son organisme, prend conscience de sa pose obscène et resserre les jambes avec un gémissement supplémentaire qui pourrait laisser croire qu’elle ne recouvre sa pudeur qu’à contre cœur.
« Tu es en train de découvrir ton potentiel orgasmique. Et ce n’est encore qu’un aperçu. Je vais t’aider à l’exprimer pleinement.
- Mais… mais… Si… si je ne veux pas !
- Ne sois pas aussi stupide, Sophie. On ne peut pas aller contre sa nature. Tu en as besoin. Sinon tu ne réagirais pas aussi positivement à la masturbation.
- Vous me forcez ?
- Je me contente d’enclencher le processus, c’est toi qui déclenches la jouissance. Pas moi.
- Il n’empêche, je… je… je déteste ça, je… »
Ôh la menteuse ! Il la coupe sévèrement.
« Je ne veux plus entendre de telles inepties ! Crois-moi que je vais rapidement te débarrasser de toutes ces niaiseries qui encombrent ton esprit et bloquent le processus d’épanouissement.
- Mais…
- Cesse de déblatérer. Je ne vais quand même pas perdre mon temps à discuter avec une petite dinde ! »
La voici mortifiée. Mais son libre arbitre conditionné l’entraînerait vers la frustration, la condamnerait à des privations contre nature. Pour l’aider à surmonter ses inhibitions, il l’enfonce un peu plus. Il indique du doigt la marre qui macule le plancher.
« Rends-toi plutôt utile. Tu crois que ta pisse va s’évaporer par magie ? Non ? Alors qu’est-ce que tu attends pour nettoyer ? File à la cuisine, remplit une bassine d’eau et prend une éponge ! Et après, tu me prépareras à manger. Il est bientôt midi trente. J’ai faim.
- Mais… Je…
- Dépêche-toi ! »
Un interlude, un détour pour finalement se rapprocher encore du but.
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