Titre de l'histoire érotique : LES BONS PETITS VIEUX
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : LES BONS PETITS VIEUX
J’ai fait la connaissance du couple sexagénaire au cours de plusieurs réceptions. Louise était charmante. Par sa façon d’être, ses sourires engageants, sa conversation, son élégance naturelle. Au fil de nos rencontres nous avions sympathisé. Et ce fut au cours d’une discussion, qu’ils apprirent mon faible pour le ratafia.
- Mais cela tombe bien, me fit René euphorique. Tu sais que Louise est bourguignonne, et que le ratafia n’a pas de secret pour elle. De mère en fille, elles se passent le savoir-faire. Tiens, même moi je ne sais pas le secret de fabrication.
- Ah oui ! Répondais-je.
- Passe un soir à la maison. Comme ça tu pourras en juger. Qu’est-ce que tu en dis ?
Dans une époque où je ne crachais pas sur ce breuvage, il m’était impossible de décliner l’invitation qui m’avait été si aimablement offert.
- Oui, cela pourrait se faire.
Je me présentais donc à 20H00 précise devant la porte du domicile du couple. Ce fut René qui ouvrit, avec son épouse derrière lui.
- Oh ! Alain ! S’exclama-t-il, radieux, un sourire tout émail.
Comme si ma venue était une surprise.
- Reste pas là, entre donc, Alain, ça nous fait tellement plaisir que tu sois venue. Fit Louise.
C’était sans doute vrai. Comme à son habitude, elle était vêtue de façon élégante. Elle portait une robe en cuir, ses jambes étaient gainées de ce que j’espérais être des bas noirs. et était chaussée de mules.
Elle me faisait, comme l’on dit, beaucoup d’effet. Sa tenue mettait en avant une poitrine que je supposais très ferme. Je ressentais en moi un désir qui, vu toutes nos différences, était probablement impossible à satisfaire.
J’ai franchi l’entrée. Il se dégageait de la cuisine une bonne odeur de pâtisserie. Dans la grande salle de séjour, se tenait côté salon, une jolie table ronde qui avait été dressée de pas mal de bonne chose déguster.
- Installez-vous dans les fauteuils, nous lançâmes Louise, je vais chercher la bouteille.
Alors qu’elle s'éloignait vers la cuisine, René dit :
- Prends donc place sur ce fauteuil, nous allons avec Louise prendre le canapé.
La maîtresse de maison revint avec une bouteille ambrée dans la main.
- Je fais le service, lança-t-elle.
- S'il te plaît chérie, répondit René à la voler.
Après avoir choqué nos verres, je portais le verre à mes lèvres. Et buvait une gorgée pour le déguster. C’était sans doute un des meilleurs que j’avais bus jusqu’à maintenant, et je le lui fis part :
- Un pur délice ma chère Louise. Mais bien alcoolisé tout de même.
La louange fit roussir ses joues. Sitôt la première bouteille vidée, Louise fut enchantée d’allait en chercher une seconde. L’alcool aidant, le déroulement de la soirée avaient pris une autre tournure.
Louise faisait de moins en moins attention à sa contenance. J’avais eu les loisirs à plusieurs reprises, de constater qu’elle portait bien des bas, sans porte-jarretelles pour mon plus grand désarroi.
Très vite des allusions de sexe firent son entrée dans notre discussion. René ne se privant pas à deux ou trois reprises, de poser sa pogne sur le genou de sa femme, sans que cela offusque l’intéresser. Tout au contraire, cela avait l’air de la satisfaire.
À un moment, je ne sais pourquoi, elle secoua l’ourlet de sa robe comme si elle avait un besoin de s’aérer. Ce qui me permit de constater qu’elle portait une culotte blanche. Je m’étais pas gêné de river mon regard dessus, sous les yeux de plus en plus brillants de sa propriétaire. Qui prenait désormais plaisir de jouer avec ses jambes. Les croisant et décroisant de plus en plus souvent. Battant par la même occasion l’air avec son pied, adorablement chaussé de petite mule.
Hormis ses gestes, Louise s’enhardissait de plus en plus à des grivoiseries verbales, du genre :
- l’alcool ça me chauffe un peu les fesses.
Ça sonnait comme un signal. Celui de débauche. Et René fut le premier à s’autoriser une fantaisie plus osez que ce qu'il faisait jusqu'à maintenant. Faisant disparaître sa main sous la robe. La coquine se laissa tripoter, riant comme l’aurait fait une adolescente lors de son premier pelotage.
S’offusquant devant rien, elle s’installa à califourchon sur les genoux de son époux, tout en gesticulant. Avec l’air goguenard qui lui était familier, René lança :
- Doucement, Lulu ! Nous ne sommes pas tout seul !
- Et alors ? Ce n’est qu’Alain. Répliqua-t-elle Je sentais qu'il allait se passer quelque entre nous. L’effet ratafia. C’était peut-être ce que l’on voulait me faire croire. Mais je pensais, et encore maintenant, que l’alcool était juste pour eux un prétexte pour s’autoriser à sombrer dans la débauche. Elle poussa même le vice à me consulter :
- Comment trouves-tu les dessous que je porte. Ils sont beaux, hein ! Tu sais, tu peux toucher. Elle ne va pas de mordre.
- Mais Lulu, ça ne va pas, voyant. Un beau jeune homme comme lui avec un vieux p… - Mais arrête, coupa Louise, cela ne gêne nullement Alain. N’est-ce pas mon lapin ?
Après un temps de réflexion, elle ajouta :
- il attend que ça. Qu’on lui donne l’autorisation de toucher… - Ma chérie ! Protesta René.
- Bah ! Si ! Bien sûr ! Il sent que je suis toute chose.
- Et bien ma chérie. Quel tempérament !
Puis me regardant dans les yeux, adjoignirent :
- dis-moi, Alain, qu’est-ce que tu lui as fait pour qu’elle parle comme ça ?
- Je pense que le coupable est le ratafia. Elle en a peut-être trop abusé. Mais je t’en fais pas pour toi, René, je trouve la soirée très constructible.
- Ah bon ! Tu penses donc que c’est la faute du ratafia. Alors chérie qu’attends-tu pour aller en chercher une autre.
Elle ne se le fit pas dire deux fois, descendant de sa monture et disparut du côté de la cuisine. Quand elle réapparut, ce fut tenant une bouteille en main.
Alors qu’elle emplissait les verres René enfouit de nouveau sa main sous la robe de sa moitié, en s’exclamant :
- Oh ! Je pense comme toi, Alain cette soirée est très constructible.
Louise penchée au-dessus du verre s’immobilisa. Elle se figea même la bouteille en l'air.
- Je te sens étonner par le déroulement de la soirée, mon chéri. Tu oublies la discussion que nous avions eue ce matin. Sur la probable venue d’Alain. Je t’ai avoué que cela me rendrait toute chose, et tu n'étais du même avis que moi. Tu te rappelles au moins ce que tu as dit, sur le fait de voir un autre homme me faire plaisir ! Alors comme on a parlé ce matin d’exercices pratiques, je me suis dit que c’était l’occasion de la mettre en théorie ! Hein !
- Ah ! Toi et ta franchise ! Répondit René.
- Mais c’est bien la discussion que nous avons eu ce matin. Oui ou non ?
- C’est vrai ! Fit-il, à contre cœur, en portant son regard sur moi, alors que j’avais les yeux fixaient sur sa femme.
- J’ai l’impression que tu trouves ma femme désirable, je me trompe .
Je ne pris pas la peine de répondre.
- Ne sois pas gêné, tu sais pour nous c’est plutôt flatteur d’être ainsi admiré, surtout quand c’est avec respect et courtoisie.
- Mais vous êtes échangistes. Interrogeais-je. Peut-être libertins, ou quelque chose comme ça ?
Elle se met à rire, en posant la bouteille sur la table.
- Non, non, nous avons simplement, dans notre couple, une complicité tendre et coquine.
Et elle prit l’ourlet de sa robe à deux mains, et tira l’étoffe vers
le haut. Faisant apparaître ses genoux, ses cuisses, une bande de chair très pâle, puis sa culotte, dont je vis la main de René fourrageaient dedans.
- Nous y avions pensé, souviens-toi chérie. Dit-il.
- Ah oui, renchérit-elle. Nous avions essayé par petite annonce. Levant les yeux au plafond. Nous avions été déçus… Vraiment pas ça pour nous.
- Ils ne pensaient qu’à tirer un coup, tout de suite, limite s’ils se souciaient de ce que ma femme désirait.
- Oui, je vois. Un besoin de vider leur couille, et salut. Moi c’est tout le contraire j’adore les préliminaires. Et entre nous, j’ai un faible pour les cunnilingus. Sucer une chatte pour moi s’est aphrodisiaque.
Ils s’échangeaient un clin d’œil.
Il y a du bon dans tes paroles. Fit-elle. C’est plutôt tout à ton honneur. C’est rare de rencontrer quelqu’un qui aime ce genre de pratique. Et toi, mon chéri, qu’en penses-tu de ce qui vient de dire ? Ça te dirait de me la lécher .
Pour toute réponse il se mit à fouiller de plus belle dans la culotte de sa femme. Je ne pus résister à la tentation, et envoyais ma
main rejoignait celle de René. Alors qu’il coula sa main sur le fessier. Moi je m’occupais du devant. Débusquant le clito de sa forêt de poils. Il était long comme un téton. Elle était dans la même urgence que moi.
- Tu devais ! Grondais-je en lui saisissant le poignet. Rends-toi compte dans quel état cette seule idée me met…
Et je dirigeais la main de Louise vers le devant de mon pantalon, déformé par une bosse. Elle referma doucement ses doigts autour de ma virilité tendue et me regardait avec un petit sourire allumé et gourmand.
- Dans l’état avantageux où je te sens, dit-elle d’une voix un peu plus rauque, je pense que tu as un grand besoin de mes services.
Comme une furie, elle m’enleva le maillot, mettant à l’air mon torse velu. Puis elle s’agenouilla pour m’ôter le pantalon puis le slip. Se retrouvant nez à nez avec mon sexe en érection.
D’une main légère, elle s’empara de ma verge dressée. Je la regardais, le cœur battant, et le souffle court. Elle commença par une masturbation lente. Laissant de temps en temps traîner son pouce sur mon gland pour le câliner. J’éprouvais vous vous en doutez beaucoup de plaisir.
- Je m’y prends bien ? Aimes-tu ma manière de te masturber ? me demandait-elle, malicieusement.
Le bien être me coupait le souffle, m’empêchait de répondre de manière cohérente. Je répliquais par des mouvements de tête. Avide de découverte, elle prit mes testicules au creux de sa main. Qu’elle se mit à masser quelques instants avant de caresser à nouveau ma verge. Variant le rythme de ses câlineries. Tantôt très doucement. Tantôt beaucoup plus rapidement. Sachant s’arrêter quelques secondes pour faire descendre un peu la pression.
Je tirais doucement sur sa tignasse. Elle me questionna du regard, comprenant très vite mon attention, un afflux de sang lui colora les joues. Elle s’étrangla.
- Je… fit-elle… je.
Ses lèvres touchèrent mon gland. Moment exquis. J’aurais voulu qui dure éternellement. Le souffle de Louise courait sur mes
poils. Il fallut qu’elle prenne sur elle pour que sa bouche veuille enfin me prendre. Descendant autour de ma verge alors que sa langue léchait mon gland. Je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un râle de plaisir. Je contemplais avec fascination ma queue qui enfonçait entre ses lèvres. Même si elle était novice en la matière, elle me manipulait plus tôt bien, mon foie. Les picotements annonciateurs du plaisir étaient en train de naître.
De temps en temps elle abandonnait ma verge pour se rabattre sur mes couilles qu’elle malaxait avec douceur avant de revenir astiquer mon sexe. Je pense que si elle ne s’était pas arrêté je n’aurais pas pu me retenir de jouir dans sa bouche.
Elle m’avait abandonné pour prendre appui sur la table de la salle à manger. La bouche toute gonflée et souillée de salive, elle se tortillait pour faire descendre la culotte sur ses jambes. Les yeux écarquillés, la bouche ouverte, je regardais le sous-vêtement glissait sur ses genoux, sur ses mollets, les chevilles, pour terminer sa course
sur ses mules. D’un coup de pied elle l’envoya valser de l'autre côté de la pièce, du côté du salon.
Retroussant sa robe, elle écarta les jambes, exhibant un buisson touffu poivre et sel niché entre ses cuisses.
- Mais maintenant que j’ai la chatte à l’air libre, il faut me la chauffer ! Qui vient ? Toi Alain, ça te dirait de t’occuper d’une vieille comme moi. Me proposa Louise, avec un sourire salace sur ses lèvres.
Tu n’es pas obligé. Tu sais ! Fit-elle avec un petit rire idiot. J’espère ne pas te choquer, au moins !
Mon regard croisa celui du mari qui me fixait d’un œil amusé.
- Pas du tout. Il m’en faut Louise pour me choquer. Je trouve cela très tentant. Mais je n’avais pas l’avalé de ton mari, fis-je en m’approchant d’elle pas après pas. Au passage, je me suis saisis de la culotte.
- Il vient de me le donner. Juste avec ses yeux. N'est-ce pas René. Renchéris-je, en examinant sous tous les coutures. Quand je trouvais l’endroit adéquat, je la portais à mes narines, humant son fumet. Alors que j’arrivais à porter de mains de Louise, elle posa les siennes sur mon torse velu, avec douceur. J’étais étourdi par tant de sensations agréables.
Je rendais sa caresse, en posant ma main sur son pubis. Entre les poils rêches, j’ai tout de suite senti sous mes doigts une chair molle.
- Humm Alain, continue, c’est très bon, j’adore ça me faire toucher comme ça… avoua-t-elle, tout en me regardant droit dans les yeux.
Un léger sourire flottait sur ses lèvres brillantes. La coquine ouvrait tant qu’elle pouvait le compas de ses jambes. Faisant saillir son buste avantageux. Cela me donnait envie. Mais avant tout il me fallait m'occuper de la fermeture Éclair qui fermait encore sa robe sur le dos. Je pris entre deux doigts la languette et tirer vers le bas. Au fur et à mesure de la descente du curseur. Les pans de la robe s’ouvraient. Donnant droit à une vision affolante. Une paire de seins aux pointes dressées.
Sur le divan René s’était mis à son aise. Il avait mis à l’air, sa queue bien raide, décalotter. Se caressant sagement, les yeux aimantés sur ma bouche, qui suçotait l’un après l’autre les gros bouts mauves aux larges aréoles très sombres. Elle soupirait de plus en plus. Pour accentuer ce contact excitant je tétais encore plus fort. Allant jusqu’à mordiller les grosses pointes de chair, les étirant violemment à l’aide de mes dents.
Un éclat étrange illumina les yeux de Louise. Nos bouches s’étaient rejointes pour un bon gros patin. Une salive alcoolisée passait d’une bouche à l’autre.
- Tu m’excites tu sais Louise, soupirai-je en pétrissant ses fesses dénudées.
- Alors prends-moi.
Ces mots agissaient chez moi comme un détonateur. Je m’enfonçais d’un coup brutal au fond de son vagin. Elle se cramponnait à mes épaules tandis que je la soumettais à des ruades féroces qui la collaient durement contre la table. Un instinct sauvage s’empara de moi.
Son souffle devint plus rapide au fur et à mesure que je martelais son ventre. Assuré de tenir le choc, je la soulevai pour la souder plus intimement à moi. Elle comprit le message en nouant ses jambes autour de ma taille. Chacune de mes mains sur une fesse pour la maintenir, je lui faisais subir mes impétueuses offensives. J’étais dopé au plaisir.
Sans aménagement, ma queue allait, venait, avançait, reculait, pénétré, écartait. Malgré toute ma vigueur, et pour mon plus grand désarroi, Louise ne réagissait pas. Comme si elle était insensible à ce que je lui faisais.
Mon expérience sur ce genre de mésaventure me préconisa de chercher la solution plus bas. Tout en continuant de la besogner, je glissai ma main sur sa fesse. Jusqu’à pouvoir toucher du doigt la corolle anale. J’utilisais mon index comme une sonde. La pistonnant quelques instants avec mon doigt. Jusqu'à sentir ses muscles se détendre. Un deuxième doigt vint à la rencontre du premier. Deux valaient mieux qu’un pour assouplir convenablement le trou. Il se laissa assouplir, s’élargir.
Il était temps pour moi de changer de gare. À la mesure de mon sexe. Pour cela je la déposais sur la table. Devinant ce qui aller suivre, elle réagissait en essayant de se dérober et dans un cri, dit :
- Non, pas par là… c’est sale Alain.
Pourquoi j’aurais-je écouté ? Sans aide, je poussais d’un coup de reins, mon gland contre l’entrée de son anus. Mon membre pourtant plus ou moins lubrifié par la précédente pénétration fit un dérapage incontrôlé. Je me suis saisis de ma queue et la guidais fermement vers son lieu d’hébergement, où manifestement je n’étais pas la bienvenue.
Quand enfin mon gland a pénétré, la sensation a été si voluptueuse que j’ai eu du mal à me retenir de crier. Je le lui fis part - Regarde un peu ça. Ton cul est en train d’avaler ma queue.
Quand je fus enfoncé jusqu’aux couilles dans le trou du cul dilaté, elle se mit à trembler de tous ses membres. Son rectum se moulait comme un gant autour de moi. Je donnais une impulsion à ma verge, tandis que Louise poussait un gémissement, en secouant la tête.
Je surpris René la queue tendue à l’extrême. Un drôle de morceau, qu’il avait entre les jambes, le René ! Le genre de truc qui devrait faire du bien à une femme.
Je fis coulisser ma queue hors de son cul. Sans pour autant faire sortir le gland. Gardant ainsi le sphincter en bonne dilatation. Les mains en appui sur les hanches de la coquine, je commençais un lent mouvement de va-et-vient en conservant toujours le gland dans l’anus. De savoir, en plus, que j’accomplissais cela devant du mari me procurait une excitation encore plus forte. Autant que voire ma verge coulissait sans effort et ça, sans provoquer de remarques de la bouche de Louise, qui semblait appréciait. Les yeux fermés, je l’écoutais ronronner de plaisir. Elle ondulait, venant au-devant de ma verge pour essayer de m’introduire encore plus loin. Ses lèvres laissaient passer des gémissements rythmés sur mes poussées.
- Oui, Alain… Oui, Alain… Oui, Alain…, disait-elle à chaque fois que mon gland l’engloutissait et que mes couilles venaient frapper ses cuisses. Encouragé par ses plaintes, je changeais le rythme. Avec des
mouvements plus amples, plus violents aussi.
C’est alors que j’entendis des flashs crépitaient derrière moi. J’ouvrais les yeux pour apercevoir mon René, appareil de photo en main, immortalisant ce qui devait être la première enculade de Madame.
Il m’en fallut pas plus pour la dérouiller de plus belle. Sortant totalement ma verge du cul avant de la réintroduire dans le passage maintenant grand ouvert. La violence était si grande que la table avait du mal à se maintenir sur place pour le plus plaisir de Louise.
- Ouiiii… plus fort… Oui plus fort… Ça vient ! Oui ça vient. C’est bon… Je jouis… Oui, Alain, je jouis…
Pris de convulsions, l’anneau culier comprima la base de ma queue. C’était du pur bonheur. Je n’étais plus maître de mon esprit, ni de mon corps, d'ailleurs. J’aurais voulu retarder ma frénésie, reporter l’échéance mais le dispositif s’était emportée. Je sentais l’inexorable montée de jouissance sans pouvoir retenir mes coups. Les vagues de plaisir me submergeaient. Je poussais des petits cris tant les sensations étaient délicieuses. J’explosais dans un orgasme ravageur, transférant toute ma jouissance dans son trou du cul. Elle
fut si intense que je dû m’allonger sur elle pour ne pas tomber. Tout mon corps semblait planer dans l'air. Alors que derrière mes paupières closes des étoiles brillantes défilaient. Je planais dans un océan de bonheur, imperturbable à tout ce qui m’entourait.
Ce fut René qui me ramena à la réalité. Me tirant en arrière. Me faisant sortir des entrailles de sa dame. J’eus tout juste le temps d’apercevoir l’anus de Louise s’ouvrir et se refermer. Laissant échapper des larmes de sperme, avant que René, sa puissante queue en main, tel un gourdin dressait orgueilleusement investisse à son tour le lieu. Pressé d’assouvir une curiosité sexuelle longtemps contenue Il se lança dans un déferlement puissant de va-et-vient dans le fondement de son épouse. Je voyais la poitrine de cette dernière ballotter sous les assauts de son mari. À cette cadence il ne mit pas longtemps à éjaculer. L’anneau culier de Louise s'étirait en restant accrochée au sexe de son époux. Avant de se libérer et de reprendre sa position initiale.
Je n'étais pas moins content d’être arrivé à la faire jouir. Mais tout cela avait un prix, et un mot : lessivé.
Toujours sur la table, Louise récupérait. Son anus s’ouvrait et se refermait. Elle poussait. Des gaz étaient sortis bruyamment de son cul. Éjectant des guirlandes de sperme. Le spectacle était aussi dégoûtant qu’il soit fascinant…
Quelques jours plus tard, et toujours lors d’une réception, j’ai eu le plaisir de rencontrer à nouveau le couple. Louise ne me quittait pas des yeux comme pour imprimer mon image dans mon cerveau. Elle était belle dans son fuseau noir moulant. Cela me donnait des envies de viols.
Ce fut peut-être pour cela que j’avais accepté l’invitation de passer le soir même prendre un verre de ratafia. Ou pour autre chose. Mais ça à vous de le deviner…
- Mais cela tombe bien, me fit René euphorique. Tu sais que Louise est bourguignonne, et que le ratafia n’a pas de secret pour elle. De mère en fille, elles se passent le savoir-faire. Tiens, même moi je ne sais pas le secret de fabrication.
- Ah oui ! Répondais-je.
- Passe un soir à la maison. Comme ça tu pourras en juger. Qu’est-ce que tu en dis ?
Dans une époque où je ne crachais pas sur ce breuvage, il m’était impossible de décliner l’invitation qui m’avait été si aimablement offert.
- Oui, cela pourrait se faire.
Je me présentais donc à 20H00 précise devant la porte du domicile du couple. Ce fut René qui ouvrit, avec son épouse derrière lui.
- Oh ! Alain ! S’exclama-t-il, radieux, un sourire tout émail.
Comme si ma venue était une surprise.
- Reste pas là, entre donc, Alain, ça nous fait tellement plaisir que tu sois venue. Fit Louise.
C’était sans doute vrai. Comme à son habitude, elle était vêtue de façon élégante. Elle portait une robe en cuir, ses jambes étaient gainées de ce que j’espérais être des bas noirs. et était chaussée de mules.
Elle me faisait, comme l’on dit, beaucoup d’effet. Sa tenue mettait en avant une poitrine que je supposais très ferme. Je ressentais en moi un désir qui, vu toutes nos différences, était probablement impossible à satisfaire.
J’ai franchi l’entrée. Il se dégageait de la cuisine une bonne odeur de pâtisserie. Dans la grande salle de séjour, se tenait côté salon, une jolie table ronde qui avait été dressée de pas mal de bonne chose déguster.
- Installez-vous dans les fauteuils, nous lançâmes Louise, je vais chercher la bouteille.
Alors qu’elle s'éloignait vers la cuisine, René dit :
- Prends donc place sur ce fauteuil, nous allons avec Louise prendre le canapé.
La maîtresse de maison revint avec une bouteille ambrée dans la main.
- Je fais le service, lança-t-elle.
- S'il te plaît chérie, répondit René à la voler.
Après avoir choqué nos verres, je portais le verre à mes lèvres. Et buvait une gorgée pour le déguster. C’était sans doute un des meilleurs que j’avais bus jusqu’à maintenant, et je le lui fis part :
- Un pur délice ma chère Louise. Mais bien alcoolisé tout de même.
La louange fit roussir ses joues. Sitôt la première bouteille vidée, Louise fut enchantée d’allait en chercher une seconde. L’alcool aidant, le déroulement de la soirée avaient pris une autre tournure.
Louise faisait de moins en moins attention à sa contenance. J’avais eu les loisirs à plusieurs reprises, de constater qu’elle portait bien des bas, sans porte-jarretelles pour mon plus grand désarroi.
Très vite des allusions de sexe firent son entrée dans notre discussion. René ne se privant pas à deux ou trois reprises, de poser sa pogne sur le genou de sa femme, sans que cela offusque l’intéresser. Tout au contraire, cela avait l’air de la satisfaire.
À un moment, je ne sais pourquoi, elle secoua l’ourlet de sa robe comme si elle avait un besoin de s’aérer. Ce qui me permit de constater qu’elle portait une culotte blanche. Je m’étais pas gêné de river mon regard dessus, sous les yeux de plus en plus brillants de sa propriétaire. Qui prenait désormais plaisir de jouer avec ses jambes. Les croisant et décroisant de plus en plus souvent. Battant par la même occasion l’air avec son pied, adorablement chaussé de petite mule.
Hormis ses gestes, Louise s’enhardissait de plus en plus à des grivoiseries verbales, du genre :
- l’alcool ça me chauffe un peu les fesses.
Ça sonnait comme un signal. Celui de débauche. Et René fut le premier à s’autoriser une fantaisie plus osez que ce qu'il faisait jusqu'à maintenant. Faisant disparaître sa main sous la robe. La coquine se laissa tripoter, riant comme l’aurait fait une adolescente lors de son premier pelotage.
S’offusquant devant rien, elle s’installa à califourchon sur les genoux de son époux, tout en gesticulant. Avec l’air goguenard qui lui était familier, René lança :
- Doucement, Lulu ! Nous ne sommes pas tout seul !
- Et alors ? Ce n’est qu’Alain. Répliqua-t-elle Je sentais qu'il allait se passer quelque entre nous. L’effet ratafia. C’était peut-être ce que l’on voulait me faire croire. Mais je pensais, et encore maintenant, que l’alcool était juste pour eux un prétexte pour s’autoriser à sombrer dans la débauche. Elle poussa même le vice à me consulter :
- Comment trouves-tu les dessous que je porte. Ils sont beaux, hein ! Tu sais, tu peux toucher. Elle ne va pas de mordre.
- Mais Lulu, ça ne va pas, voyant. Un beau jeune homme comme lui avec un vieux p… - Mais arrête, coupa Louise, cela ne gêne nullement Alain. N’est-ce pas mon lapin ?
Après un temps de réflexion, elle ajouta :
- il attend que ça. Qu’on lui donne l’autorisation de toucher… - Ma chérie ! Protesta René.
- Bah ! Si ! Bien sûr ! Il sent que je suis toute chose.
- Et bien ma chérie. Quel tempérament !
Puis me regardant dans les yeux, adjoignirent :
- dis-moi, Alain, qu’est-ce que tu lui as fait pour qu’elle parle comme ça ?
- Je pense que le coupable est le ratafia. Elle en a peut-être trop abusé. Mais je t’en fais pas pour toi, René, je trouve la soirée très constructible.
- Ah bon ! Tu penses donc que c’est la faute du ratafia. Alors chérie qu’attends-tu pour aller en chercher une autre.
Elle ne se le fit pas dire deux fois, descendant de sa monture et disparut du côté de la cuisine. Quand elle réapparut, ce fut tenant une bouteille en main.
Alors qu’elle emplissait les verres René enfouit de nouveau sa main sous la robe de sa moitié, en s’exclamant :
- Oh ! Je pense comme toi, Alain cette soirée est très constructible.
Louise penchée au-dessus du verre s’immobilisa. Elle se figea même la bouteille en l'air.
- Je te sens étonner par le déroulement de la soirée, mon chéri. Tu oublies la discussion que nous avions eue ce matin. Sur la probable venue d’Alain. Je t’ai avoué que cela me rendrait toute chose, et tu n'étais du même avis que moi. Tu te rappelles au moins ce que tu as dit, sur le fait de voir un autre homme me faire plaisir ! Alors comme on a parlé ce matin d’exercices pratiques, je me suis dit que c’était l’occasion de la mettre en théorie ! Hein !
- Ah ! Toi et ta franchise ! Répondit René.
- Mais c’est bien la discussion que nous avons eu ce matin. Oui ou non ?
- C’est vrai ! Fit-il, à contre cœur, en portant son regard sur moi, alors que j’avais les yeux fixaient sur sa femme.
- J’ai l’impression que tu trouves ma femme désirable, je me trompe .
Je ne pris pas la peine de répondre.
- Ne sois pas gêné, tu sais pour nous c’est plutôt flatteur d’être ainsi admiré, surtout quand c’est avec respect et courtoisie.
- Mais vous êtes échangistes. Interrogeais-je. Peut-être libertins, ou quelque chose comme ça ?
Elle se met à rire, en posant la bouteille sur la table.
- Non, non, nous avons simplement, dans notre couple, une complicité tendre et coquine.
Et elle prit l’ourlet de sa robe à deux mains, et tira l’étoffe vers
le haut. Faisant apparaître ses genoux, ses cuisses, une bande de chair très pâle, puis sa culotte, dont je vis la main de René fourrageaient dedans.
- Nous y avions pensé, souviens-toi chérie. Dit-il.
- Ah oui, renchérit-elle. Nous avions essayé par petite annonce. Levant les yeux au plafond. Nous avions été déçus… Vraiment pas ça pour nous.
- Ils ne pensaient qu’à tirer un coup, tout de suite, limite s’ils se souciaient de ce que ma femme désirait.
- Oui, je vois. Un besoin de vider leur couille, et salut. Moi c’est tout le contraire j’adore les préliminaires. Et entre nous, j’ai un faible pour les cunnilingus. Sucer une chatte pour moi s’est aphrodisiaque.
Ils s’échangeaient un clin d’œil.
Il y a du bon dans tes paroles. Fit-elle. C’est plutôt tout à ton honneur. C’est rare de rencontrer quelqu’un qui aime ce genre de pratique. Et toi, mon chéri, qu’en penses-tu de ce qui vient de dire ? Ça te dirait de me la lécher .
Pour toute réponse il se mit à fouiller de plus belle dans la culotte de sa femme. Je ne pus résister à la tentation, et envoyais ma
main rejoignait celle de René. Alors qu’il coula sa main sur le fessier. Moi je m’occupais du devant. Débusquant le clito de sa forêt de poils. Il était long comme un téton. Elle était dans la même urgence que moi.
- Tu devais ! Grondais-je en lui saisissant le poignet. Rends-toi compte dans quel état cette seule idée me met…
Et je dirigeais la main de Louise vers le devant de mon pantalon, déformé par une bosse. Elle referma doucement ses doigts autour de ma virilité tendue et me regardait avec un petit sourire allumé et gourmand.
- Dans l’état avantageux où je te sens, dit-elle d’une voix un peu plus rauque, je pense que tu as un grand besoin de mes services.
Comme une furie, elle m’enleva le maillot, mettant à l’air mon torse velu. Puis elle s’agenouilla pour m’ôter le pantalon puis le slip. Se retrouvant nez à nez avec mon sexe en érection.
D’une main légère, elle s’empara de ma verge dressée. Je la regardais, le cœur battant, et le souffle court. Elle commença par une masturbation lente. Laissant de temps en temps traîner son pouce sur mon gland pour le câliner. J’éprouvais vous vous en doutez beaucoup de plaisir.
- Je m’y prends bien ? Aimes-tu ma manière de te masturber ? me demandait-elle, malicieusement.
Le bien être me coupait le souffle, m’empêchait de répondre de manière cohérente. Je répliquais par des mouvements de tête. Avide de découverte, elle prit mes testicules au creux de sa main. Qu’elle se mit à masser quelques instants avant de caresser à nouveau ma verge. Variant le rythme de ses câlineries. Tantôt très doucement. Tantôt beaucoup plus rapidement. Sachant s’arrêter quelques secondes pour faire descendre un peu la pression.
Je tirais doucement sur sa tignasse. Elle me questionna du regard, comprenant très vite mon attention, un afflux de sang lui colora les joues. Elle s’étrangla.
- Je… fit-elle… je.
Ses lèvres touchèrent mon gland. Moment exquis. J’aurais voulu qui dure éternellement. Le souffle de Louise courait sur mes
poils. Il fallut qu’elle prenne sur elle pour que sa bouche veuille enfin me prendre. Descendant autour de ma verge alors que sa langue léchait mon gland. Je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un râle de plaisir. Je contemplais avec fascination ma queue qui enfonçait entre ses lèvres. Même si elle était novice en la matière, elle me manipulait plus tôt bien, mon foie. Les picotements annonciateurs du plaisir étaient en train de naître.
De temps en temps elle abandonnait ma verge pour se rabattre sur mes couilles qu’elle malaxait avec douceur avant de revenir astiquer mon sexe. Je pense que si elle ne s’était pas arrêté je n’aurais pas pu me retenir de jouir dans sa bouche.
Elle m’avait abandonné pour prendre appui sur la table de la salle à manger. La bouche toute gonflée et souillée de salive, elle se tortillait pour faire descendre la culotte sur ses jambes. Les yeux écarquillés, la bouche ouverte, je regardais le sous-vêtement glissait sur ses genoux, sur ses mollets, les chevilles, pour terminer sa course
sur ses mules. D’un coup de pied elle l’envoya valser de l'autre côté de la pièce, du côté du salon.
Retroussant sa robe, elle écarta les jambes, exhibant un buisson touffu poivre et sel niché entre ses cuisses.
- Mais maintenant que j’ai la chatte à l’air libre, il faut me la chauffer ! Qui vient ? Toi Alain, ça te dirait de t’occuper d’une vieille comme moi. Me proposa Louise, avec un sourire salace sur ses lèvres.
Tu n’es pas obligé. Tu sais ! Fit-elle avec un petit rire idiot. J’espère ne pas te choquer, au moins !
Mon regard croisa celui du mari qui me fixait d’un œil amusé.
- Pas du tout. Il m’en faut Louise pour me choquer. Je trouve cela très tentant. Mais je n’avais pas l’avalé de ton mari, fis-je en m’approchant d’elle pas après pas. Au passage, je me suis saisis de la culotte.
- Il vient de me le donner. Juste avec ses yeux. N'est-ce pas René. Renchéris-je, en examinant sous tous les coutures. Quand je trouvais l’endroit adéquat, je la portais à mes narines, humant son fumet. Alors que j’arrivais à porter de mains de Louise, elle posa les siennes sur mon torse velu, avec douceur. J’étais étourdi par tant de sensations agréables.
Je rendais sa caresse, en posant ma main sur son pubis. Entre les poils rêches, j’ai tout de suite senti sous mes doigts une chair molle.
- Humm Alain, continue, c’est très bon, j’adore ça me faire toucher comme ça… avoua-t-elle, tout en me regardant droit dans les yeux.
Un léger sourire flottait sur ses lèvres brillantes. La coquine ouvrait tant qu’elle pouvait le compas de ses jambes. Faisant saillir son buste avantageux. Cela me donnait envie. Mais avant tout il me fallait m'occuper de la fermeture Éclair qui fermait encore sa robe sur le dos. Je pris entre deux doigts la languette et tirer vers le bas. Au fur et à mesure de la descente du curseur. Les pans de la robe s’ouvraient. Donnant droit à une vision affolante. Une paire de seins aux pointes dressées.
Sur le divan René s’était mis à son aise. Il avait mis à l’air, sa queue bien raide, décalotter. Se caressant sagement, les yeux aimantés sur ma bouche, qui suçotait l’un après l’autre les gros bouts mauves aux larges aréoles très sombres. Elle soupirait de plus en plus. Pour accentuer ce contact excitant je tétais encore plus fort. Allant jusqu’à mordiller les grosses pointes de chair, les étirant violemment à l’aide de mes dents.
Un éclat étrange illumina les yeux de Louise. Nos bouches s’étaient rejointes pour un bon gros patin. Une salive alcoolisée passait d’une bouche à l’autre.
- Tu m’excites tu sais Louise, soupirai-je en pétrissant ses fesses dénudées.
- Alors prends-moi.
Ces mots agissaient chez moi comme un détonateur. Je m’enfonçais d’un coup brutal au fond de son vagin. Elle se cramponnait à mes épaules tandis que je la soumettais à des ruades féroces qui la collaient durement contre la table. Un instinct sauvage s’empara de moi.
Son souffle devint plus rapide au fur et à mesure que je martelais son ventre. Assuré de tenir le choc, je la soulevai pour la souder plus intimement à moi. Elle comprit le message en nouant ses jambes autour de ma taille. Chacune de mes mains sur une fesse pour la maintenir, je lui faisais subir mes impétueuses offensives. J’étais dopé au plaisir.
Sans aménagement, ma queue allait, venait, avançait, reculait, pénétré, écartait. Malgré toute ma vigueur, et pour mon plus grand désarroi, Louise ne réagissait pas. Comme si elle était insensible à ce que je lui faisais.
Mon expérience sur ce genre de mésaventure me préconisa de chercher la solution plus bas. Tout en continuant de la besogner, je glissai ma main sur sa fesse. Jusqu’à pouvoir toucher du doigt la corolle anale. J’utilisais mon index comme une sonde. La pistonnant quelques instants avec mon doigt. Jusqu'à sentir ses muscles se détendre. Un deuxième doigt vint à la rencontre du premier. Deux valaient mieux qu’un pour assouplir convenablement le trou. Il se laissa assouplir, s’élargir.
Il était temps pour moi de changer de gare. À la mesure de mon sexe. Pour cela je la déposais sur la table. Devinant ce qui aller suivre, elle réagissait en essayant de se dérober et dans un cri, dit :
- Non, pas par là… c’est sale Alain.
Pourquoi j’aurais-je écouté ? Sans aide, je poussais d’un coup de reins, mon gland contre l’entrée de son anus. Mon membre pourtant plus ou moins lubrifié par la précédente pénétration fit un dérapage incontrôlé. Je me suis saisis de ma queue et la guidais fermement vers son lieu d’hébergement, où manifestement je n’étais pas la bienvenue.
Quand enfin mon gland a pénétré, la sensation a été si voluptueuse que j’ai eu du mal à me retenir de crier. Je le lui fis part - Regarde un peu ça. Ton cul est en train d’avaler ma queue.
Quand je fus enfoncé jusqu’aux couilles dans le trou du cul dilaté, elle se mit à trembler de tous ses membres. Son rectum se moulait comme un gant autour de moi. Je donnais une impulsion à ma verge, tandis que Louise poussait un gémissement, en secouant la tête.
Je surpris René la queue tendue à l’extrême. Un drôle de morceau, qu’il avait entre les jambes, le René ! Le genre de truc qui devrait faire du bien à une femme.
Je fis coulisser ma queue hors de son cul. Sans pour autant faire sortir le gland. Gardant ainsi le sphincter en bonne dilatation. Les mains en appui sur les hanches de la coquine, je commençais un lent mouvement de va-et-vient en conservant toujours le gland dans l’anus. De savoir, en plus, que j’accomplissais cela devant du mari me procurait une excitation encore plus forte. Autant que voire ma verge coulissait sans effort et ça, sans provoquer de remarques de la bouche de Louise, qui semblait appréciait. Les yeux fermés, je l’écoutais ronronner de plaisir. Elle ondulait, venant au-devant de ma verge pour essayer de m’introduire encore plus loin. Ses lèvres laissaient passer des gémissements rythmés sur mes poussées.
- Oui, Alain… Oui, Alain… Oui, Alain…, disait-elle à chaque fois que mon gland l’engloutissait et que mes couilles venaient frapper ses cuisses. Encouragé par ses plaintes, je changeais le rythme. Avec des
mouvements plus amples, plus violents aussi.
C’est alors que j’entendis des flashs crépitaient derrière moi. J’ouvrais les yeux pour apercevoir mon René, appareil de photo en main, immortalisant ce qui devait être la première enculade de Madame.
Il m’en fallut pas plus pour la dérouiller de plus belle. Sortant totalement ma verge du cul avant de la réintroduire dans le passage maintenant grand ouvert. La violence était si grande que la table avait du mal à se maintenir sur place pour le plus plaisir de Louise.
- Ouiiii… plus fort… Oui plus fort… Ça vient ! Oui ça vient. C’est bon… Je jouis… Oui, Alain, je jouis…
Pris de convulsions, l’anneau culier comprima la base de ma queue. C’était du pur bonheur. Je n’étais plus maître de mon esprit, ni de mon corps, d'ailleurs. J’aurais voulu retarder ma frénésie, reporter l’échéance mais le dispositif s’était emportée. Je sentais l’inexorable montée de jouissance sans pouvoir retenir mes coups. Les vagues de plaisir me submergeaient. Je poussais des petits cris tant les sensations étaient délicieuses. J’explosais dans un orgasme ravageur, transférant toute ma jouissance dans son trou du cul. Elle
fut si intense que je dû m’allonger sur elle pour ne pas tomber. Tout mon corps semblait planer dans l'air. Alors que derrière mes paupières closes des étoiles brillantes défilaient. Je planais dans un océan de bonheur, imperturbable à tout ce qui m’entourait.
Ce fut René qui me ramena à la réalité. Me tirant en arrière. Me faisant sortir des entrailles de sa dame. J’eus tout juste le temps d’apercevoir l’anus de Louise s’ouvrir et se refermer. Laissant échapper des larmes de sperme, avant que René, sa puissante queue en main, tel un gourdin dressait orgueilleusement investisse à son tour le lieu. Pressé d’assouvir une curiosité sexuelle longtemps contenue Il se lança dans un déferlement puissant de va-et-vient dans le fondement de son épouse. Je voyais la poitrine de cette dernière ballotter sous les assauts de son mari. À cette cadence il ne mit pas longtemps à éjaculer. L’anneau culier de Louise s'étirait en restant accrochée au sexe de son époux. Avant de se libérer et de reprendre sa position initiale.
Je n'étais pas moins content d’être arrivé à la faire jouir. Mais tout cela avait un prix, et un mot : lessivé.
Toujours sur la table, Louise récupérait. Son anus s’ouvrait et se refermait. Elle poussait. Des gaz étaient sortis bruyamment de son cul. Éjectant des guirlandes de sperme. Le spectacle était aussi dégoûtant qu’il soit fascinant…
Quelques jours plus tard, et toujours lors d’une réception, j’ai eu le plaisir de rencontrer à nouveau le couple. Louise ne me quittait pas des yeux comme pour imprimer mon image dans mon cerveau. Elle était belle dans son fuseau noir moulant. Cela me donnait des envies de viols.
Ce fut peut-être pour cela que j’avais accepté l’invitation de passer le soir même prendre un verre de ratafia. Ou pour autre chose. Mais ça à vous de le deviner…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une bonne hstoire... gâchée par une grammaire et une orthographe déplorable qui rend le récit pénible à lire!
C'est une histoire très excitante. J'adore les histoires de vieux couples qui partagent leur amour et leur sexualité avec une troisième personne. Votre histoire répond à un de mes fantasmes. J'adore des histoires de ce genre. J'apprécie beaucoup votre écriture et votre style. Continuez, je vous souhaite une bonne réussite.
Merci pour l'histoire très excitante