Titre de l'histoire érotique : Les deux filles
Récit érotique écrit par Sexapile33 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2010 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Les deux filles
Je suis fiancé avec celle qui partage ma vie depuis maintenant 2 ans. Nous
vivons dans la proche banlieue parisienne, à Boulogne. Le studio est sympa,
32m2 et un petit parking pour la voiture que nous n’avons pas !
Ce week-end, nous recevons sa cousine, de 2 ans son aîné.
Entre ma future, châtain avec des mèches blondes et sa cousine, plus
garçonne sans maquillage et sans fioriture, je suis content de mon choix
dans cette famille.
Le week-end se passe bien jusqu’à la soirée qui nous tue un peu.
Après le resto, nous rentrons à l’appartement.
Dans le couloir, devant la porte, nous voyons une serpillière et nous
trouvons sympa les voisins d’avoir protéger notre logement d’une inondation
qui a due les mettre dans l’embarras.
En ouvrant la porte, je remarque vite une étrangeté dans la pièce
principale. Effectivement, la lueur de la lune se reflète sur la moquette
!!!
« Et merde ! »
Alors que Lucie, ma fiancée, se morfond de ce désastre, Nadège et moi
entrons en action pour isoler les affaires risquant d’être abîmées.
Dans les dix minutes suivantes, tout le monde travaille pour essorer la
moquette avec les serviettes.
La chaleur du mois de Juillet et la moiteur de ce studio inondé nous donne
du courage pour avancer le grand séchage le plus vite possible.
Il n’y a pas grand malheur, juste le matelas où devait dormir la cousine
qui fini sur le balcon pour sécher.
Vers 1h00 du matin, tout est à peu prêt séché et il ne reste plus qu’à
laisser un à deux jours aéré pour que l’appartement retrouve sa santé.
Nous sommes tous exténués et, pendant les travaux à quatre pattes, je me
suis excité tout seul à voir les loches des filles se balancer au fur et à
mesure qu’elles frottaient la moquette avec les serviettes.
Je répare la chasse d’eau pour que l’inondation ne se répète pas.
Ensuite, tout le monde au WC avant de finir dans la banquette clic-clac
transformée en radeau de la méduse.
Après un court conciliabule, nous décidons que je dors au milieu des
donzelles.
La présence de deux nanas dans mon lit fait naître en moi un flot d’images
érotiques, voire plus si affinité !
Je bande seul dans mon pyjama sans oser bouger de peur d’éveiller des
soupçons auprès des filles.
J’écoute les respirations et je me doute qu’elles sont déjà parties dans
les rêves.
Petit à petit, la fatigue me rattrape et je sombre dans un sommeil bien
mérité.
Comme à mon habitude, j’émerge le premier du sommeil.
Comme d’habitude, je me tourne vers la place de ma future et je caresse le
corps de ma tendre.
Ma main rencontre la forme d’un sein et j’en profite pour ouvrir le premier
bouton trouvé et glisser ma main directement sur le sein chaud.
J’écoute la respiration pour savoir si elle apprécie ou non cette caresse.
Je fais attention de ne pas chatouiller ou énerver le téton et je caresse
tout le sein avec sérieux.
Elle bouge légèrement et je m’attend à ce qu’elle se retourne au cas où ma
caresse ne lui convienne pas.
Au contraire, elle soupir et a tendance à s’approcher de moi.
Ce mouvement me fait bander car j’ai l’impression qu’elle est demandeuse.
Sa jambe bouge et vient toucher la mienne doucement.
Je prend ça pour une invitation à continuer plus en avant mes intrusions
sur son corps.
Ma main passe d’un téton à un autre et je prend plaisir à glisser sur la
peau fine de sa poitrine.
Doucement, elle se met sur le dos et je peux à loisir caresser la poitrine
complète.
J’adore la mollesse de sa poitrine avec le renflement de ses mamelons.
Ma main sort de sa chemise de nuit et descend vers son ventre.
Je touche ses hanches et ma main se pose sur la culotte par dessus la bosse
de sa toison.
Mes doigts glisse le plus bas possible pour suivre son sexe et faire une
pression sur le clito.
Je suis agréablement surpris de ne pas sentir la présence d’un protège-slip
et ça me donne le loisir de suivre la forme des lèvres.
En plusieurs mouvement lents, j’entend la respiration devenir plus rapide.
J’ai aussi l’impression que les hanches bougent en fonction des mouvements
de ma main.
Le bras de ma bien-aimée s’avance et vient à toucher mon ventre. Sa main
fouille au hasard jusqu’à trouver mon sexe dressé, prêt à la bataille.
Ma main remonte vers le haut du slip et je me glisse dedans pour me
retrouver sur la toison.
Pendant que mon doigt touche les lèvres, mon sexe est attrapé par une main
qui s’est glissé dans mon caleçon.
D’un geste uni, nos corps s’approchent et nous sommes prêt à nous masturber
mutuellement.
Dans ma tête, à ce moment là, une lumière éclabousse ma boite crânienne
avec une sirène hurlante.
« Je masturbe la femme qui se trouve à ma gauche mais… hier soir, ma femme
était à ma droite ! »
Je me fige d’un coup en me rendant compte que c’est dans la culotte de la
cousine de ma fiancée que ma main travaille. En plus, ma fiancée est
allongée juste à côté pendant c’est sa cousine a mon sexe en main et joue à
faire glisser ma peau sur mon gland.
« Oh putain ! »
Je cherche comment sortir de cette merde et je commence à retirer ma main
doucement du slip.
Je me couche sur le dos mais Nadège garde sa main sur mon sexe en
continuant de le caresser.
Je me trouve dans une situation extrêmement délicate et je ne peux rien
faire pour arrêter ça.
Si je parle, ma future femme va vouloir savoir à qui je parle.
Si je repousse Nadège, elle risque de mal le prendre.
Si je me tape la cousine dans le lit conjugal en présence de ma future
femme, je suis bon pour le pilori avec une réputation de gros salaud.
Ma situation est vraiment délicate et Nadège semble en avoir rien à foutre
car elle continu son travail sur moi.
Coincé dans cet état de désordre cérébral, Lucie choisi ce moment pour se
tourner vers moi et poser sa main sur mon torse.
« Oh putain ! »
La situation se dégrade à une vitesse vraiment trop grande et je vais
mourir dans les minutes qui vont suivre.
La cousine me masturbe et, quelques centimètre plus haut sur mon corps,
celle qui doit devenir ma femme me caresse le torse.
Je reste raide comme un piquet, les bras le long du corps.
Mes mains ne bougent plus et je veux disparaître !
Nadège bouge doucement vers moi et cherche sûrement à retrouver mes
caresses sur elle.
Lucie en fait autant pour chercher la chaleur de son homme contre elle.
Toujours aussi immobile, j’ai les deux filles tournées vers moi avec mes
mains à quelques centimètres de leurs hanches.
Ma femme s’approche tellement que ma main touche la peau de sa jambe.
Ma mort approche à grand pas car je sens la main de Lucie descendre
doucement pour aller visiter mon sexe.
Dans ma tête, je me représente la distance se réduisant entre la main de
Nadège et celle de Lucie.
Je sens clairement la main de Lucie se glisser dans mon caleçon et
rencontrer mon sexe déjà en prise avec celle de Nadège.
Pendant un court instant, personne ne bouge.
J’imagine que Nadège doit être morte de honte d’être prise avec mon sexe en
main.
J’imagine aussi que ma Lucie doit prendre sa respiration pour pousser un
hurlement de contestation.
Le temps s’est arrêté et je n’ose même pas respirer.
Pourtant, à ma grande surprise, les mains se joignent pour me caresser
ensemble.
Je ne comprend pas jusqu’au moment où ma moitié me glisse à l’oreille de la
laisser faire.
« Oh putain ! »
Elle croit que c’est ma main.
Donc, je résume rapidement la situation pour chercher comment me sortir de
cette horreur.
Nadège doit savoir qu’elle me masturbe en même temps que sa cousine.
Ma femme croit que je me branle et veut me finir seule.
Moi… ben, moi, je suis mort de trouille et je tremble des suites
inévitables.
D’un coup, je sens que Lucie se crispe sur moi et elle se redresse d’un
bon.
Je garde les yeux fermés en attendant la suite… « Je vais mourir ! »
- « Nadège ! qu’est-ce que tu fous ? »
- « Oh, fais pas chier et partage un peu ! »
Je garde les yeux fermés en attendant de savoir à quelle sauce je vais être
mangé.
Lucie reprend :
- « Ben t’emmerde pas et baise mon mec pendant que t’y es ! »
- « Pourquoi pas ! on a fait pire ! »
Je ne comprend pas trop le sens de la conversation et j’évite bien de me
mêler. Quand c’est trop féminin, le seul moyen d’avoir une chance de s’en
sortir en vie, c’est de laisser faire…
Je m’attend à ce que je me prenne une réflexion ou une baffe mais, rien
n’arrive vers moi… pour le moment.
Nadège n’a pas quitté mon sexe et seule Lucie à retirer sa main pour se
tenir redressée sur le lit.
Après un long moment de silence, Lucie parle :
- « Mouais… »
Atterré, je reste coi quand je m’aperçois que Lucie se recouche et viens
m’embrasser sur la joue.
Elle me glisse dans l’oreille quand même la petite phrase assassine : « Et
toi, t’en profite sans rien dire mon salaud. Tu ne perds rien pour attendre
! Tu vas me le payer… La journée va être longue »
Sans vraiment comprendre ce revirement et ma survie momentanée, je laisse
faire et je recommence à respirer.
Je tourne la tête vers Lucie et la regarde.
Elle me fixe avec, apparemment, aucune colère dans le regard. Elle arrive
même à me sourire avant de se débarrasser de son haut de pyjama pour se
mettre torse nu.
Elle s’amuse à voir mon étonnement et elle se contorsionne avant de me
montrer sa culotte qu’elle pose négligemment au pied du lit.
Nadège quitte mon sexe et commence aussi à remuer.
Je tourne ma tête vers elle et je vois ses seins tomber lourdement quand
ils sortent de l’emprisonnement temporaire du pyjama passant par dessus sa
tête.
Je découvre les seins de Nadège, plus gros que ceux de ma Lucie, qui
pourtant, porte un 90C très correct.
Nadège retire aussi sa culotte qu’elle jète vers le côté de Lucie.
Ensuite, sans un mot, les filles m’aident à retirer mon haut et mon
caleçon.
Nous voilà tous les trois nus dans le même lit. Je crois que la situation
est claire mais j’ai du mal à comprendre ce que je suis censé faire avec
les deux nanas.
Je reste comme un con avec le sexe raide qui, seul, semble vouloir s’amuser
sans réfléchir.
Lucie vient à mon aide en me demandant ce que je veux qu’elles fassent.
Devant mon manque de réponse, elle continue :
- « Tu veux que je lèche les seins de Nadège ? Je sais que tu
aimerais ça ! »
Toujours sans rien comprendre, je me demande où se trouve la caméra cachée
de ce cirque.
Avant même que je réponde, Lucie se penche vers la poitrine de sa propre
cousine et lui attrape un téton.
Je regarde la bouche de ma promise s’ouvrir en grand et avaler l’auréole
pour le sucer.
Nadège me regarde avec un je ne sais quoi de perversité dans les yeux.
Lucie, penchée pour sucer les seins de sa cousine, à sa poitrine pendante
et je décide de lui prendre les loches dans les mains pour la caresser.
Bien que j’avais les doigts sur la chatte de Nadège avant que tout ne se
déclare, je suis quand même plus à l’aise avec celle qui doit devenir ma
femme.
Nadège, toujours avec Lucie accrochée à son sein, s’avance vers moi et
m’embrasse sur la bouche.
Dans le même temps, elle pose sa main sur mon sexe et me caresse les
testicules.
Lucie quitte la poitrine de Nadège et s’assoit en tailleur à côté de moi.
Elle pose ses mains sur mon sexe qu’elle caresse avec douceur.
Je la regarde faire et je regarde sa chatte, sans pouvoir apercevoir ses
lèvres et sa vulve.
Nadège s’essuie le téton humide libéré de la bouche de Lucie et je vois ses
loches s’agiter en fonction de ses gestes.
Je la trouve canon même si elle est un peu plus forte que Lucie, elle a
quand même tout ce qu’il faut où il faut.
Elle rejoint Lucie sur mon sexe et je subis une caresse à quatre mains.
Je les regarde s’activer sur moi et je reste sur le cul quand elles
s’embrassent à pleine bouche sans aucune hésitation.
Je vois clairement leurs langues jouer ensemble de la même façon que dans
les films porno.
Je croyais connaître Lucie mais elle m’avait caché ce côté déluré de sa
personne.
Les caresses sur mon sexe et mes testicules me font de l’effet et je sens
que je vais exploser.
Avant même que je puisse avertir les filles, un premier petit jet de sperme
sort timidement pour mouiller les mains.
Ensuite, un long jet sort et fini en parti sur un téton de Nadège. Le reste
s’étale sur le ventre de Lucie.
L’odeur de foutre inonde le lit et les filles deviennent comme folle avec
ce jet.
Je vois Lucie récupérer le sperme et l’étaler sur les seins de Nadège.
Nadège ondule du bassin comme pour rythmer une pénétration alors que Lucie
fini de s’essuyer le sperme sur sa propre poitrine.
Nadège lèche les mains de Lucie et s’attaque à ses seins pour les nettoyer.
Les filles partent dans un délire où elles se lèchent et s’embrassent avec
moult gémissements.
Les voir comme ça me fait perdre toutes peurs et je m’aventure vers elles.
Je glisse ma main entre les cuisses de Lucie, toujours assise en tailleur,
et je trouve sa chatte complètement ouverte et trempée. Sans effort, mes
doigts glissent sur elle et je caresse son clito gonflé.
De même pour Nadège, ma main trouve sa chatte ouverte et j’entre en elle
trois doigts sans aucun problème.
Dans un même élan, les filles basculent vers le bout du canapé-lit en
continuant de se lécher les seins et de s’embrasser.
Elles ouvrent leurs cuisses et m’offrent à la vue leurs sexes.
Le sexe de Nadège est plus grand que celui de Lucie mais la couleur rose
est aussi généreuse. Je me penche en avant pour bien regarder les sexes.
Celui de Lucie, je le connais bien car je le lèche régulièrement mais le
voir à côté d’un autre sexe féminin le rend encore plus beau.
L’odeur de leurs sexes réunis me donne le vertige et j’ai de suite envie de
les pénétrer.
Je me positionne sur le côté de Nadège et j’arrive, avec difficulté, à
faire entrer mon gland en elle.
La position n’est pas évidente et je reste frustré de ne pas pouvoir
m’enfoncer plus loin en elle.
Je tente une autre position avec Lucie et, là aussi, mon sexe entre à peine
en elle.
De plus, la banquette clic-clac est instable et elle tend à basculer sur le
côté.
Venant à mon aide, Lucie se met à genoux par terre, posée sur le lit.
Nadège vient sur elle et présente aussi sa croupe à l’extérieur du lit.
Sans un mot, Nadège pelote les seins de Lucie pendant que Lucie se
masturbe.
De ma position hors du lit, je vois les doigts de Lucie se caresser le sexe
et je vois les deux sexes offerts.
Debout, je pose mon sexe sur celui de Nadège et d’un coup, je m’enfonce en
elle.
J’ai le plaisir de me sentir glisser en elle jusqu’au maximum de mes
possibilités. Nadège gémit bruyamment et je me glisse en elle pendant
quelques coups.
Ensuite, je sors mon sexe gluant du sexe de Nadège et je me place sur celui
de Lucie que je pénètre aussi.
Les doigts de Lucie se placent de part et d’autre de ma tige et me guide en
elle.
Pendant que je m’agite dans Lucie, j’enfonce en même temps deux doigts dans
Nadège.
Après un bon moment dans Lucie, je me replace avec autant de facilité dans
la chatte de Nadège.
Alors que Nadège gémit avec le même rythme que mes agissements en elle, je
lui présente mes doigts couvert de son propre jus. Elle les lèche sans
problème.
A trois reprises, je suis passé d’une fille à l’autre et c’est Nadège qui
eut un orgasme. J’ai été étonné par les petits cris qu’elle poussait juste
avant de râler comme un cri de bête. Je n’ai pas une grande expérience dans
les orgasmes féminins mais celui-ci est le plus étrange que je connaisse.
Après que Nadège ce soit calmée, nous retournons tous sous les draps et les
filles m’offrent leurs seins à lécher.
Les filles frottent en même temps leurs toisons contre mes hanches et nous
restons comme ça pendant longtemps.
Je me régale de leurs tétons.
Le calme revient doucement et Nadège indique qu’elle a faim.
Elle se lève et va dans la salle de bain pour prendre un peignoir.
Pendant qu’elle passe aux toilettes, Lucie vient sur moi et guide mon sexe
en elle. Je suis sur le dos et elle est juste au dessus de moi avec sa
poitrine qui danse.
Son bassin bascule et j’ai mon sexe qui se promène dans son ventre en
frottant dans l’ensemble de son vagin.
Elle me regarde et me demande si je suis heureux.
Je lui dis qu’elle a quelques explications à me donner.
Nadège revient avec le peignoir mal ajusté et j’aperçois sa toison sombre
entre les pans du vêtement.
Elle s’approche de Lucie et lui caresse les cheveux.
J’avance mon bras et je lui caresse les fesses en descendant vers l’arrière
de son sexe.
Nadège me laisse faire et demande à Lucie si elle lui en veut.
Alors que Lucie danse en se faisant du plaisir avec mon sexe, elle répond :
- « Tu aurais pu me demander mais je ne t’en veux pas »
- « T’en mieux. Je t’aime ! »
- « Moi aussi, ma NaNa ».
- « Quand vous avez fini, vous me rejoignez ? »
- « Mouiiii »
Mes doigts touchent les poils et les grosses lèvres de Nadège. Elle me dit
:
- « J’adore comment tu fais l’amour. Lucie a de la chance. »
Elle pli les jambes en les écartant un peu et mes doigts peuvent se glisser
encore une fois entre les lèvres chaudes pour trouve la douceur de son
sexe.
Mon majeur et mon index s’enfoncent en elle et bougent pour lui caresser
l’intérieur de son vagin.
Doucement, Nadège se redresse et va vers la cuisine.
Je récupère mes doigts humides et les essuie sur un téton de Lucie.
Elle me regarde faire et me dit :
- « Je vois à quoi tu penses gros cochon ! »
- « A quoi ? »
- « La journée n’est pas terminée et tu es encore loin de finir les
découvertes. »
Nadège a le temps de faire chauffer le lait avant que Lucie atteigne
l’ultime plaisir presque en même temps que moi. Les gémissements et les
cris de Lucie font monter mon plaisir et les électrisations dû aux
frottements dans le vagin déclenche mon éjaculation.
Lucie danse pour continuer d’avoir les milliers de fourmillements en elle
mais Nadège nous appelle pour le petit déjeuner.
Nous nous levons pour rejoindre Nadège qui nous a préparé un bon repas.
Il est presque midi et je remarque que nous faisons l’amour depuis plus de
deux heures. En disant ça aux filles, elles rigolent en me demandant si je
suis déjà fatigué.
- moi : « Bien sûr que non mais généralement, ça dure moins longtemps
! »
- Nadège : « T’es un peu ringard quand tu t’y mets ! »
- Lucie : « C’est vrai que généralement, on est moins nombreux ! »
- Nadège : « Quoi qu’il en soit, l’échauffement était sympa et je te
remercie pour le réveil »
- moi : « Je me suis trompé de côté ce matin »
- Lucie : « Ah mon salaud, c’est toi qui a commencé ! »
- Nadège : « Gueule pas ! C’est cool non ? »
- Lucie : « Ouais, je me rend compte que ça me manquait en fait ! »
- Nadège : « Depuis plus de 6 ans, tu dois être méchamment en manque
! »
- moi : « De quoi parlez-vous ? Il y a un secret que j’aimerais
connaître »
- Nadège : « C’est moi qui ai fait découvrir le sexe à Lucie et nous
avons beaucoup joué ensemble. »
- Lucie : « Mais rassures toi, il n’y avait pas de mec, juste des
jouets et nous deux. »
- Nadège : « Et Caro aussi. »
- Lucie : « Oui mais c’était qu’une fois. »
- moi : « Ma future femme est bi-sexuelle. C’est ça ? »
- Lucie : « J’étais jeune et je n’y connaissais rien. Nadège m’a
appris les rudiments de mon corps »
- moi : « C’est pas grave, c’est même super excitant. J’adore te voir
embrasser Nadège et la caresser. »
- Nadège : « Après le petit déjeuner, on prend un bain et on te
montre la suite…vite. »
- Lucie : « Et tu dis que c’est moi qui suis en manque. Depuis
combien de temps, tu n’as pas fait l’amour toi ? »
- Nadège : « Oublie ça. C’est de l’histoire ancienne ! »
Le petit déjeuner passé, je fais couler un bain où les filles se coulent.
Tout le monde se lave et se relaxe dans la baignoire.
Nous ouvrons les rideaux et j’ouvre les fenêtres pour aérer.
L’appartement ne donne pas sur du vis à vis donc nous avons tout loisir de
laisser ouvert.
Nadège et Lucie se promènent nues sans aucune pudeur.
Pendant que c’est à mon tour d’être cool dans la baignoire, Nadège entre et
me demande si j’ai des films de cul sur le PC.
Avec les téléchargements avec la mule, dois-je avouer que je me garde un
petit répertoire où je me garde des photos et des films pornos. Finalement,
après cette matinée de cul et la découverte de ma future femme en diva du
sexe homo et hétéro, je ne risque pas grand chose. J’indique le nom du
répertoire où se trouve le stock.
Nadège est toujours nue et elle m’offre toujours une belle vue sur ses
seins qui se balancent. Je bande tout seul dans l’eau du bain et je
réfléchi aux découvertes que les filles vont faire dans le
fameux répertoire.
C’est surtout des photos et des films lesbiens que je me garde car j’adore
voir les femmes entre elles.
Je me rince et range un peu la salle de bain avant de rejoindre les filles.
Contrairement à elles, je met un caleçon pour cacher (c’est un grand mot)
mon sexe.
En entrant dans la salle, je trouve les filles devant le PC à visionner des
photos pornos.
Lucie me demande celles que je préfère. Elle n’est absolument pas choquée
et je suis heureux que cela se passe comme ça. Je lui indique les photos
que je préfère et elle commente ses choix pour comparer. Nadège fait aussi
son choix qui est beaucoup plus trash avec des filles offrant leur sexe
ouvert à la vue. Nadège me demande si j’aimerais voir Lucie avec la chatte
ouverte.
Je lui répond que je ne pense pas que Lucie soit aussi exhibitionniste mais
que cela me plairait bien.
Lucie ouvre une photo avec une fille léchant à grand coup de langue le
clito d’une autre.
- « Moi, c’est ça que je préfère »
Nadège regarde et lui répond :
- « Oui mais c’est pas incompatible »
- « T’es pas assez souple pour t’offrir comme ça ! »
Nadège sourit et dans un geste très surprenant, elle lève la jambe pour
poser son pied sur le bureau.
La toison de Nadège est au même niveau que le visage de Lucie. La jambe
relevée de Nadège montre la fente de son sexe. Il est toujours fermé mais
j’ai l’impression qu’il ne faut pas grand chose pour qu’il s’ouvre comme
une fleur.
Je propose aux filles de prendre l’appareil photo et de faire comme les
photos que j’ai en stock.
Elles rigolent mais il n’est pas question de faire ça aujourd’hui.
Nadège me demande comment j’aimerais voir Lucie la lécher.
Ma réponse est claire et je lui dis que je veux les voir se faire un 69
avec moi qui passerait de l’une à l’autre.
Nadège sourit :
- « Et bien voilà qui est clair. J’accepte »
- Lucie : « Moi, je veux voir Pascal enfoncer ses doigts en nous et
se les lécher. »
- Nadège : « Bonne idée. Je suis prête ! »
Lucie recula la chaise à roulettes et me laissa la place en face du ventre
et de la toison de Nadège.
Je me mets à genoux en face de Nadège et lève la tête pour regarder la
fente encore fermée de Nadège.
Lucie me rejoint et me dit qu’elle regarde avec attention.
J’embrasse l’intérieur des cuisses de Nadège qui pousse un soupir.
A peine après trois baiser, je vois le sexe de Nadège se dilater et
s’ouvrir. Les lèvres s’écartent et l’odeur caractéristique se répand.
Je regarde Lucie qui en profite pour m’embrasser sur la bouche.
La journée se déroule dans une ambiance torride et je découvre ma future
femme et ma cousine comme jamais je n’aurais imaginé.
A chaque fois que Nadège vient à la maison, nous dormons ensemble et c’est
à chaque fois la folie furieuse.
Le mariage est prévu l’année prochaine et il est question que nous fassions
un voyage de noce du style croisière pendant 15 jours dans les Caraïbes.
Il y a de fortes chances pour que Nadège soit une passagère de ce voyage et
nous accompagne pour éviter qu’on fasse des bêtises.. où pour vérifier
qu’on les fasse avec elle.
vivons dans la proche banlieue parisienne, à Boulogne. Le studio est sympa,
32m2 et un petit parking pour la voiture que nous n’avons pas !
Ce week-end, nous recevons sa cousine, de 2 ans son aîné.
Entre ma future, châtain avec des mèches blondes et sa cousine, plus
garçonne sans maquillage et sans fioriture, je suis content de mon choix
dans cette famille.
Le week-end se passe bien jusqu’à la soirée qui nous tue un peu.
Après le resto, nous rentrons à l’appartement.
Dans le couloir, devant la porte, nous voyons une serpillière et nous
trouvons sympa les voisins d’avoir protéger notre logement d’une inondation
qui a due les mettre dans l’embarras.
En ouvrant la porte, je remarque vite une étrangeté dans la pièce
principale. Effectivement, la lueur de la lune se reflète sur la moquette
!!!
« Et merde ! »
Alors que Lucie, ma fiancée, se morfond de ce désastre, Nadège et moi
entrons en action pour isoler les affaires risquant d’être abîmées.
Dans les dix minutes suivantes, tout le monde travaille pour essorer la
moquette avec les serviettes.
La chaleur du mois de Juillet et la moiteur de ce studio inondé nous donne
du courage pour avancer le grand séchage le plus vite possible.
Il n’y a pas grand malheur, juste le matelas où devait dormir la cousine
qui fini sur le balcon pour sécher.
Vers 1h00 du matin, tout est à peu prêt séché et il ne reste plus qu’à
laisser un à deux jours aéré pour que l’appartement retrouve sa santé.
Nous sommes tous exténués et, pendant les travaux à quatre pattes, je me
suis excité tout seul à voir les loches des filles se balancer au fur et à
mesure qu’elles frottaient la moquette avec les serviettes.
Je répare la chasse d’eau pour que l’inondation ne se répète pas.
Ensuite, tout le monde au WC avant de finir dans la banquette clic-clac
transformée en radeau de la méduse.
Après un court conciliabule, nous décidons que je dors au milieu des
donzelles.
La présence de deux nanas dans mon lit fait naître en moi un flot d’images
érotiques, voire plus si affinité !
Je bande seul dans mon pyjama sans oser bouger de peur d’éveiller des
soupçons auprès des filles.
J’écoute les respirations et je me doute qu’elles sont déjà parties dans
les rêves.
Petit à petit, la fatigue me rattrape et je sombre dans un sommeil bien
mérité.
Comme à mon habitude, j’émerge le premier du sommeil.
Comme d’habitude, je me tourne vers la place de ma future et je caresse le
corps de ma tendre.
Ma main rencontre la forme d’un sein et j’en profite pour ouvrir le premier
bouton trouvé et glisser ma main directement sur le sein chaud.
J’écoute la respiration pour savoir si elle apprécie ou non cette caresse.
Je fais attention de ne pas chatouiller ou énerver le téton et je caresse
tout le sein avec sérieux.
Elle bouge légèrement et je m’attend à ce qu’elle se retourne au cas où ma
caresse ne lui convienne pas.
Au contraire, elle soupir et a tendance à s’approcher de moi.
Ce mouvement me fait bander car j’ai l’impression qu’elle est demandeuse.
Sa jambe bouge et vient toucher la mienne doucement.
Je prend ça pour une invitation à continuer plus en avant mes intrusions
sur son corps.
Ma main passe d’un téton à un autre et je prend plaisir à glisser sur la
peau fine de sa poitrine.
Doucement, elle se met sur le dos et je peux à loisir caresser la poitrine
complète.
J’adore la mollesse de sa poitrine avec le renflement de ses mamelons.
Ma main sort de sa chemise de nuit et descend vers son ventre.
Je touche ses hanches et ma main se pose sur la culotte par dessus la bosse
de sa toison.
Mes doigts glisse le plus bas possible pour suivre son sexe et faire une
pression sur le clito.
Je suis agréablement surpris de ne pas sentir la présence d’un protège-slip
et ça me donne le loisir de suivre la forme des lèvres.
En plusieurs mouvement lents, j’entend la respiration devenir plus rapide.
J’ai aussi l’impression que les hanches bougent en fonction des mouvements
de ma main.
Le bras de ma bien-aimée s’avance et vient à toucher mon ventre. Sa main
fouille au hasard jusqu’à trouver mon sexe dressé, prêt à la bataille.
Ma main remonte vers le haut du slip et je me glisse dedans pour me
retrouver sur la toison.
Pendant que mon doigt touche les lèvres, mon sexe est attrapé par une main
qui s’est glissé dans mon caleçon.
D’un geste uni, nos corps s’approchent et nous sommes prêt à nous masturber
mutuellement.
Dans ma tête, à ce moment là, une lumière éclabousse ma boite crânienne
avec une sirène hurlante.
« Je masturbe la femme qui se trouve à ma gauche mais… hier soir, ma femme
était à ma droite ! »
Je me fige d’un coup en me rendant compte que c’est dans la culotte de la
cousine de ma fiancée que ma main travaille. En plus, ma fiancée est
allongée juste à côté pendant c’est sa cousine a mon sexe en main et joue à
faire glisser ma peau sur mon gland.
« Oh putain ! »
Je cherche comment sortir de cette merde et je commence à retirer ma main
doucement du slip.
Je me couche sur le dos mais Nadège garde sa main sur mon sexe en
continuant de le caresser.
Je me trouve dans une situation extrêmement délicate et je ne peux rien
faire pour arrêter ça.
Si je parle, ma future femme va vouloir savoir à qui je parle.
Si je repousse Nadège, elle risque de mal le prendre.
Si je me tape la cousine dans le lit conjugal en présence de ma future
femme, je suis bon pour le pilori avec une réputation de gros salaud.
Ma situation est vraiment délicate et Nadège semble en avoir rien à foutre
car elle continu son travail sur moi.
Coincé dans cet état de désordre cérébral, Lucie choisi ce moment pour se
tourner vers moi et poser sa main sur mon torse.
« Oh putain ! »
La situation se dégrade à une vitesse vraiment trop grande et je vais
mourir dans les minutes qui vont suivre.
La cousine me masturbe et, quelques centimètre plus haut sur mon corps,
celle qui doit devenir ma femme me caresse le torse.
Je reste raide comme un piquet, les bras le long du corps.
Mes mains ne bougent plus et je veux disparaître !
Nadège bouge doucement vers moi et cherche sûrement à retrouver mes
caresses sur elle.
Lucie en fait autant pour chercher la chaleur de son homme contre elle.
Toujours aussi immobile, j’ai les deux filles tournées vers moi avec mes
mains à quelques centimètres de leurs hanches.
Ma femme s’approche tellement que ma main touche la peau de sa jambe.
Ma mort approche à grand pas car je sens la main de Lucie descendre
doucement pour aller visiter mon sexe.
Dans ma tête, je me représente la distance se réduisant entre la main de
Nadège et celle de Lucie.
Je sens clairement la main de Lucie se glisser dans mon caleçon et
rencontrer mon sexe déjà en prise avec celle de Nadège.
Pendant un court instant, personne ne bouge.
J’imagine que Nadège doit être morte de honte d’être prise avec mon sexe en
main.
J’imagine aussi que ma Lucie doit prendre sa respiration pour pousser un
hurlement de contestation.
Le temps s’est arrêté et je n’ose même pas respirer.
Pourtant, à ma grande surprise, les mains se joignent pour me caresser
ensemble.
Je ne comprend pas jusqu’au moment où ma moitié me glisse à l’oreille de la
laisser faire.
« Oh putain ! »
Elle croit que c’est ma main.
Donc, je résume rapidement la situation pour chercher comment me sortir de
cette horreur.
Nadège doit savoir qu’elle me masturbe en même temps que sa cousine.
Ma femme croit que je me branle et veut me finir seule.
Moi… ben, moi, je suis mort de trouille et je tremble des suites
inévitables.
D’un coup, je sens que Lucie se crispe sur moi et elle se redresse d’un
bon.
Je garde les yeux fermés en attendant la suite… « Je vais mourir ! »
- « Nadège ! qu’est-ce que tu fous ? »
- « Oh, fais pas chier et partage un peu ! »
Je garde les yeux fermés en attendant de savoir à quelle sauce je vais être
mangé.
Lucie reprend :
- « Ben t’emmerde pas et baise mon mec pendant que t’y es ! »
- « Pourquoi pas ! on a fait pire ! »
Je ne comprend pas trop le sens de la conversation et j’évite bien de me
mêler. Quand c’est trop féminin, le seul moyen d’avoir une chance de s’en
sortir en vie, c’est de laisser faire…
Je m’attend à ce que je me prenne une réflexion ou une baffe mais, rien
n’arrive vers moi… pour le moment.
Nadège n’a pas quitté mon sexe et seule Lucie à retirer sa main pour se
tenir redressée sur le lit.
Après un long moment de silence, Lucie parle :
- « Mouais… »
Atterré, je reste coi quand je m’aperçois que Lucie se recouche et viens
m’embrasser sur la joue.
Elle me glisse dans l’oreille quand même la petite phrase assassine : « Et
toi, t’en profite sans rien dire mon salaud. Tu ne perds rien pour attendre
! Tu vas me le payer… La journée va être longue »
Sans vraiment comprendre ce revirement et ma survie momentanée, je laisse
faire et je recommence à respirer.
Je tourne la tête vers Lucie et la regarde.
Elle me fixe avec, apparemment, aucune colère dans le regard. Elle arrive
même à me sourire avant de se débarrasser de son haut de pyjama pour se
mettre torse nu.
Elle s’amuse à voir mon étonnement et elle se contorsionne avant de me
montrer sa culotte qu’elle pose négligemment au pied du lit.
Nadège quitte mon sexe et commence aussi à remuer.
Je tourne ma tête vers elle et je vois ses seins tomber lourdement quand
ils sortent de l’emprisonnement temporaire du pyjama passant par dessus sa
tête.
Je découvre les seins de Nadège, plus gros que ceux de ma Lucie, qui
pourtant, porte un 90C très correct.
Nadège retire aussi sa culotte qu’elle jète vers le côté de Lucie.
Ensuite, sans un mot, les filles m’aident à retirer mon haut et mon
caleçon.
Nous voilà tous les trois nus dans le même lit. Je crois que la situation
est claire mais j’ai du mal à comprendre ce que je suis censé faire avec
les deux nanas.
Je reste comme un con avec le sexe raide qui, seul, semble vouloir s’amuser
sans réfléchir.
Lucie vient à mon aide en me demandant ce que je veux qu’elles fassent.
Devant mon manque de réponse, elle continue :
- « Tu veux que je lèche les seins de Nadège ? Je sais que tu
aimerais ça ! »
Toujours sans rien comprendre, je me demande où se trouve la caméra cachée
de ce cirque.
Avant même que je réponde, Lucie se penche vers la poitrine de sa propre
cousine et lui attrape un téton.
Je regarde la bouche de ma promise s’ouvrir en grand et avaler l’auréole
pour le sucer.
Nadège me regarde avec un je ne sais quoi de perversité dans les yeux.
Lucie, penchée pour sucer les seins de sa cousine, à sa poitrine pendante
et je décide de lui prendre les loches dans les mains pour la caresser.
Bien que j’avais les doigts sur la chatte de Nadège avant que tout ne se
déclare, je suis quand même plus à l’aise avec celle qui doit devenir ma
femme.
Nadège, toujours avec Lucie accrochée à son sein, s’avance vers moi et
m’embrasse sur la bouche.
Dans le même temps, elle pose sa main sur mon sexe et me caresse les
testicules.
Lucie quitte la poitrine de Nadège et s’assoit en tailleur à côté de moi.
Elle pose ses mains sur mon sexe qu’elle caresse avec douceur.
Je la regarde faire et je regarde sa chatte, sans pouvoir apercevoir ses
lèvres et sa vulve.
Nadège s’essuie le téton humide libéré de la bouche de Lucie et je vois ses
loches s’agiter en fonction de ses gestes.
Je la trouve canon même si elle est un peu plus forte que Lucie, elle a
quand même tout ce qu’il faut où il faut.
Elle rejoint Lucie sur mon sexe et je subis une caresse à quatre mains.
Je les regarde s’activer sur moi et je reste sur le cul quand elles
s’embrassent à pleine bouche sans aucune hésitation.
Je vois clairement leurs langues jouer ensemble de la même façon que dans
les films porno.
Je croyais connaître Lucie mais elle m’avait caché ce côté déluré de sa
personne.
Les caresses sur mon sexe et mes testicules me font de l’effet et je sens
que je vais exploser.
Avant même que je puisse avertir les filles, un premier petit jet de sperme
sort timidement pour mouiller les mains.
Ensuite, un long jet sort et fini en parti sur un téton de Nadège. Le reste
s’étale sur le ventre de Lucie.
L’odeur de foutre inonde le lit et les filles deviennent comme folle avec
ce jet.
Je vois Lucie récupérer le sperme et l’étaler sur les seins de Nadège.
Nadège ondule du bassin comme pour rythmer une pénétration alors que Lucie
fini de s’essuyer le sperme sur sa propre poitrine.
Nadège lèche les mains de Lucie et s’attaque à ses seins pour les nettoyer.
Les filles partent dans un délire où elles se lèchent et s’embrassent avec
moult gémissements.
Les voir comme ça me fait perdre toutes peurs et je m’aventure vers elles.
Je glisse ma main entre les cuisses de Lucie, toujours assise en tailleur,
et je trouve sa chatte complètement ouverte et trempée. Sans effort, mes
doigts glissent sur elle et je caresse son clito gonflé.
De même pour Nadège, ma main trouve sa chatte ouverte et j’entre en elle
trois doigts sans aucun problème.
Dans un même élan, les filles basculent vers le bout du canapé-lit en
continuant de se lécher les seins et de s’embrasser.
Elles ouvrent leurs cuisses et m’offrent à la vue leurs sexes.
Le sexe de Nadège est plus grand que celui de Lucie mais la couleur rose
est aussi généreuse. Je me penche en avant pour bien regarder les sexes.
Celui de Lucie, je le connais bien car je le lèche régulièrement mais le
voir à côté d’un autre sexe féminin le rend encore plus beau.
L’odeur de leurs sexes réunis me donne le vertige et j’ai de suite envie de
les pénétrer.
Je me positionne sur le côté de Nadège et j’arrive, avec difficulté, à
faire entrer mon gland en elle.
La position n’est pas évidente et je reste frustré de ne pas pouvoir
m’enfoncer plus loin en elle.
Je tente une autre position avec Lucie et, là aussi, mon sexe entre à peine
en elle.
De plus, la banquette clic-clac est instable et elle tend à basculer sur le
côté.
Venant à mon aide, Lucie se met à genoux par terre, posée sur le lit.
Nadège vient sur elle et présente aussi sa croupe à l’extérieur du lit.
Sans un mot, Nadège pelote les seins de Lucie pendant que Lucie se
masturbe.
De ma position hors du lit, je vois les doigts de Lucie se caresser le sexe
et je vois les deux sexes offerts.
Debout, je pose mon sexe sur celui de Nadège et d’un coup, je m’enfonce en
elle.
J’ai le plaisir de me sentir glisser en elle jusqu’au maximum de mes
possibilités. Nadège gémit bruyamment et je me glisse en elle pendant
quelques coups.
Ensuite, je sors mon sexe gluant du sexe de Nadège et je me place sur celui
de Lucie que je pénètre aussi.
Les doigts de Lucie se placent de part et d’autre de ma tige et me guide en
elle.
Pendant que je m’agite dans Lucie, j’enfonce en même temps deux doigts dans
Nadège.
Après un bon moment dans Lucie, je me replace avec autant de facilité dans
la chatte de Nadège.
Alors que Nadège gémit avec le même rythme que mes agissements en elle, je
lui présente mes doigts couvert de son propre jus. Elle les lèche sans
problème.
A trois reprises, je suis passé d’une fille à l’autre et c’est Nadège qui
eut un orgasme. J’ai été étonné par les petits cris qu’elle poussait juste
avant de râler comme un cri de bête. Je n’ai pas une grande expérience dans
les orgasmes féminins mais celui-ci est le plus étrange que je connaisse.
Après que Nadège ce soit calmée, nous retournons tous sous les draps et les
filles m’offrent leurs seins à lécher.
Les filles frottent en même temps leurs toisons contre mes hanches et nous
restons comme ça pendant longtemps.
Je me régale de leurs tétons.
Le calme revient doucement et Nadège indique qu’elle a faim.
Elle se lève et va dans la salle de bain pour prendre un peignoir.
Pendant qu’elle passe aux toilettes, Lucie vient sur moi et guide mon sexe
en elle. Je suis sur le dos et elle est juste au dessus de moi avec sa
poitrine qui danse.
Son bassin bascule et j’ai mon sexe qui se promène dans son ventre en
frottant dans l’ensemble de son vagin.
Elle me regarde et me demande si je suis heureux.
Je lui dis qu’elle a quelques explications à me donner.
Nadège revient avec le peignoir mal ajusté et j’aperçois sa toison sombre
entre les pans du vêtement.
Elle s’approche de Lucie et lui caresse les cheveux.
J’avance mon bras et je lui caresse les fesses en descendant vers l’arrière
de son sexe.
Nadège me laisse faire et demande à Lucie si elle lui en veut.
Alors que Lucie danse en se faisant du plaisir avec mon sexe, elle répond :
- « Tu aurais pu me demander mais je ne t’en veux pas »
- « T’en mieux. Je t’aime ! »
- « Moi aussi, ma NaNa ».
- « Quand vous avez fini, vous me rejoignez ? »
- « Mouiiii »
Mes doigts touchent les poils et les grosses lèvres de Nadège. Elle me dit
:
- « J’adore comment tu fais l’amour. Lucie a de la chance. »
Elle pli les jambes en les écartant un peu et mes doigts peuvent se glisser
encore une fois entre les lèvres chaudes pour trouve la douceur de son
sexe.
Mon majeur et mon index s’enfoncent en elle et bougent pour lui caresser
l’intérieur de son vagin.
Doucement, Nadège se redresse et va vers la cuisine.
Je récupère mes doigts humides et les essuie sur un téton de Lucie.
Elle me regarde faire et me dit :
- « Je vois à quoi tu penses gros cochon ! »
- « A quoi ? »
- « La journée n’est pas terminée et tu es encore loin de finir les
découvertes. »
Nadège a le temps de faire chauffer le lait avant que Lucie atteigne
l’ultime plaisir presque en même temps que moi. Les gémissements et les
cris de Lucie font monter mon plaisir et les électrisations dû aux
frottements dans le vagin déclenche mon éjaculation.
Lucie danse pour continuer d’avoir les milliers de fourmillements en elle
mais Nadège nous appelle pour le petit déjeuner.
Nous nous levons pour rejoindre Nadège qui nous a préparé un bon repas.
Il est presque midi et je remarque que nous faisons l’amour depuis plus de
deux heures. En disant ça aux filles, elles rigolent en me demandant si je
suis déjà fatigué.
- moi : « Bien sûr que non mais généralement, ça dure moins longtemps
! »
- Nadège : « T’es un peu ringard quand tu t’y mets ! »
- Lucie : « C’est vrai que généralement, on est moins nombreux ! »
- Nadège : « Quoi qu’il en soit, l’échauffement était sympa et je te
remercie pour le réveil »
- moi : « Je me suis trompé de côté ce matin »
- Lucie : « Ah mon salaud, c’est toi qui a commencé ! »
- Nadège : « Gueule pas ! C’est cool non ? »
- Lucie : « Ouais, je me rend compte que ça me manquait en fait ! »
- Nadège : « Depuis plus de 6 ans, tu dois être méchamment en manque
! »
- moi : « De quoi parlez-vous ? Il y a un secret que j’aimerais
connaître »
- Nadège : « C’est moi qui ai fait découvrir le sexe à Lucie et nous
avons beaucoup joué ensemble. »
- Lucie : « Mais rassures toi, il n’y avait pas de mec, juste des
jouets et nous deux. »
- Nadège : « Et Caro aussi. »
- Lucie : « Oui mais c’était qu’une fois. »
- moi : « Ma future femme est bi-sexuelle. C’est ça ? »
- Lucie : « J’étais jeune et je n’y connaissais rien. Nadège m’a
appris les rudiments de mon corps »
- moi : « C’est pas grave, c’est même super excitant. J’adore te voir
embrasser Nadège et la caresser. »
- Nadège : « Après le petit déjeuner, on prend un bain et on te
montre la suite…vite. »
- Lucie : « Et tu dis que c’est moi qui suis en manque. Depuis
combien de temps, tu n’as pas fait l’amour toi ? »
- Nadège : « Oublie ça. C’est de l’histoire ancienne ! »
Le petit déjeuner passé, je fais couler un bain où les filles se coulent.
Tout le monde se lave et se relaxe dans la baignoire.
Nous ouvrons les rideaux et j’ouvre les fenêtres pour aérer.
L’appartement ne donne pas sur du vis à vis donc nous avons tout loisir de
laisser ouvert.
Nadège et Lucie se promènent nues sans aucune pudeur.
Pendant que c’est à mon tour d’être cool dans la baignoire, Nadège entre et
me demande si j’ai des films de cul sur le PC.
Avec les téléchargements avec la mule, dois-je avouer que je me garde un
petit répertoire où je me garde des photos et des films pornos. Finalement,
après cette matinée de cul et la découverte de ma future femme en diva du
sexe homo et hétéro, je ne risque pas grand chose. J’indique le nom du
répertoire où se trouve le stock.
Nadège est toujours nue et elle m’offre toujours une belle vue sur ses
seins qui se balancent. Je bande tout seul dans l’eau du bain et je
réfléchi aux découvertes que les filles vont faire dans le
fameux répertoire.
C’est surtout des photos et des films lesbiens que je me garde car j’adore
voir les femmes entre elles.
Je me rince et range un peu la salle de bain avant de rejoindre les filles.
Contrairement à elles, je met un caleçon pour cacher (c’est un grand mot)
mon sexe.
En entrant dans la salle, je trouve les filles devant le PC à visionner des
photos pornos.
Lucie me demande celles que je préfère. Elle n’est absolument pas choquée
et je suis heureux que cela se passe comme ça. Je lui indique les photos
que je préfère et elle commente ses choix pour comparer. Nadège fait aussi
son choix qui est beaucoup plus trash avec des filles offrant leur sexe
ouvert à la vue. Nadège me demande si j’aimerais voir Lucie avec la chatte
ouverte.
Je lui répond que je ne pense pas que Lucie soit aussi exhibitionniste mais
que cela me plairait bien.
Lucie ouvre une photo avec une fille léchant à grand coup de langue le
clito d’une autre.
- « Moi, c’est ça que je préfère »
Nadège regarde et lui répond :
- « Oui mais c’est pas incompatible »
- « T’es pas assez souple pour t’offrir comme ça ! »
Nadège sourit et dans un geste très surprenant, elle lève la jambe pour
poser son pied sur le bureau.
La toison de Nadège est au même niveau que le visage de Lucie. La jambe
relevée de Nadège montre la fente de son sexe. Il est toujours fermé mais
j’ai l’impression qu’il ne faut pas grand chose pour qu’il s’ouvre comme
une fleur.
Je propose aux filles de prendre l’appareil photo et de faire comme les
photos que j’ai en stock.
Elles rigolent mais il n’est pas question de faire ça aujourd’hui.
Nadège me demande comment j’aimerais voir Lucie la lécher.
Ma réponse est claire et je lui dis que je veux les voir se faire un 69
avec moi qui passerait de l’une à l’autre.
Nadège sourit :
- « Et bien voilà qui est clair. J’accepte »
- Lucie : « Moi, je veux voir Pascal enfoncer ses doigts en nous et
se les lécher. »
- Nadège : « Bonne idée. Je suis prête ! »
Lucie recula la chaise à roulettes et me laissa la place en face du ventre
et de la toison de Nadège.
Je me mets à genoux en face de Nadège et lève la tête pour regarder la
fente encore fermée de Nadège.
Lucie me rejoint et me dit qu’elle regarde avec attention.
J’embrasse l’intérieur des cuisses de Nadège qui pousse un soupir.
A peine après trois baiser, je vois le sexe de Nadège se dilater et
s’ouvrir. Les lèvres s’écartent et l’odeur caractéristique se répand.
Je regarde Lucie qui en profite pour m’embrasser sur la bouche.
La journée se déroule dans une ambiance torride et je découvre ma future
femme et ma cousine comme jamais je n’aurais imaginé.
A chaque fois que Nadège vient à la maison, nous dormons ensemble et c’est
à chaque fois la folie furieuse.
Le mariage est prévu l’année prochaine et il est question que nous fassions
un voyage de noce du style croisière pendant 15 jours dans les Caraïbes.
Il y a de fortes chances pour que Nadège soit une passagère de ce voyage et
nous accompagne pour éviter qu’on fasse des bêtises.. où pour vérifier
qu’on les fasse avec elle.
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J'ai bien aimé, je n'ai jamais vécu ça dommage