Titre de l'histoire érotique : LES JAMBES DE BELLE MAMAN (suite...2) Les rideaux.
Récit érotique écrit par Milo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2016 dans la catégorie Fétichisme
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Titre de l'histoire érotique : LES JAMBES DE BELLE MAMAN (suite...2) Les rideaux.
Après un repas chaud tant en plats qu’en émotions, je découvrais ma belle-mère comme jamais je ne l’avais imaginée. Notre promenade touchait à sa fin et suite à notre détour en tête à tête ou pied à queue ; nous arrivions à l’écluse où nous attendaient mes fils et Adeline qui s’écria :
-Ah ! Les voilà tout de même… Nous étions en soucis.
- Patrick s’est pris le pied dans une souche, rien de grave, mais il a la veste et le pantalon plein de terre !
Marilyne me chuchote à l’oreille qu’elle espère que mon caleçon n’est pas lui aussi dans cet état.
-Papa, tu peux nous expliquer pourquoi tu as de la terre sur les genoux, les coudes et le dos ? Tu as fait un roulé boulé ?
-Votre père, ne fait jamais les choses à moitié, c’est un perfectionniste, même dans les chutes.
-Euh… Oui j’ai fait un roulé boulé, heureusement que mamy était là pour m’aider à me relever !
-Patrick, aujourd’hui j’ai été votre ange gardien. J’espère que vous vous en souviendrez.
Alors que les jumeaux m’entraînent sur la passerelle de l’écluse pour observer une péniche qui va passer ; ma femme et sa mère, discutent tout en longeant le canal.
Nous avons achevé notre promenade en fin d’après-midi quand le soleil printanier quittait l’horizon ; le soir s’annonçait, les Dimanches soir, jusqu’à ce jour, n’étaient pas mes soirées préférées : le blouse du Dimanche soir ; la fin du week-end, le Lundi matin qui s’annonçait…Pourtant, ce jour-là le Dimanche soir devint synonyme de « seul avec belle-maman ». Notre retour se déroula en silence, sans gestes déplacés. Juste avant la sortie d’autoroute, Adeline qui conduisait demanda :
-Je nous dépose avec les enfants chez nous, et toi Patrick tu reconduis maman chez elle. Tu lui dois bien ça, avec tout le soin qu’elle a pris pour toi aujourd’hui, hein maman ?
-Ah oui, il me doit bien ça ! Confirme Marilyne.
La voiture finissait les derniers kilomètres qui nous séparaient de la maison, je n’avais eu de cesse de penser à ce qui se passerait toute à l’heure chez ma belle-mère. Que me proposerait-elle ? Jusqu’où irons-nous ? Adeline stationna devant la maison, les jumeaux descendirent, embrassèrent Marilyne et suivirent ma femme qui nous fit signe de la main en s’écriant :
-Je passerai demain en fin d’après-midi, maman. Tu me donneras tes rideaux du salon pour que je te termine l’ourlet….ou donne les ce soir à Patrick, je serai quitte de passer demain.
J’avais pris place au volant, déjà j’imaginais ma belle-mère sur l’escabeau qui décroche les rideaux et moi dessous tenant les montants, le regard rivé sous la jupe, mon appétit de voyeur satisfait. Le temps de régler mon siège, Je quittais à peine le stationnement que Marilyne dit :
-Alors Patrick, ces rideaux, je les décroche ou vous les décrocher ? Si je monte sur l’escabeau, j’ai peur, il faudra que vous assuriez en vous tenant derrière moi. Si vous montez, vous êtes assez fort pour ne pas tomber, toutefois, en réfléchissant, il faut décrocher avec soin ces voiles fragiles…Et c’est plus un travail de femme non ?
-Oui, je préfère vous laissez le soin de l’opération et moi je vous tiendrai l’escabeau.
-Vous ne ferez que tenir l’escabeau ? Vous me décevez Patrick.
-Je pense qu’il faudra que j’occupe mon regard et pour remplir au mieux mon rôle, il est préférable que je reste concentré sur vous.
A partir de cet instant, Marilyne mis sa main sur ma cuisse en la massant doucement et sa voix devint plus suave, enjôleuse.
-Vous materez ma culotte sous ma jupe, en tenant fort le haut de mes cuisses, que vous caresserez de vos pouces ; pervers que vous êtes…Aurez-vous envie de me peloter les fesses comme contre l’arbre ? Monterez-vous sur les premières marches de l’escabeau pour vous branler sur ma jambe ? Sortirez-vous votre bite pour brûler votre gland sur mes collants ? Laisserez-vous partir votre foutre ? Dites-moi salaud….Que vous êtes. Humm…Je suis excitée Patrick...
Comme elle terminait sa phrase, de son autre main, elle avait remonté sa jupe et commençait à se caresser….Elle fermait les yeux, imaginait la scène chez elle, ses doigts sur ma cuisse, se faisaient de plus en plus pressants…Moi je regardais la route, j’avais réduis ma vitesse, le désir montait, du coin de l’œil je voyais Marilyne se masturber, elle aimait parler ainsi, elle aimait s’exhiber, elle aimait entendre des mots crus….Tout ça je l’ai découvert en cette journée très spéciale. Attentif à la route, je ne pensais plus qu’à elle, et pris de désir, je voulu à mon tour accompagner Marilyne et faire encore monter son excitation :
-Vous aimez caresser votre chatte, vous voudriez que je passe ma main dans votre collant et vous branle à mon tour, que je pelote votre cul et vous caresse la raie …C’est tout ça qui vous plairait ?
-Oui….Oui…Patrick …Encore, parlez-moi encore….
-Vous êtes une grosse salope, vous avez dû vous branler bien des fois en pensant à moi, hein ? vieille obsédée que vous êtes….Vous voudriez que je vous la lèche, votre grosse chatte, que je vous suce votre petit clito….Ho…que j’aimerais …..J’aimerais…
-Oui…quoi ?...Quoi petit salaud ? Dites-moi…humm…Dites...
-Vous ne saurez pas tout, pas tout d’un coup, vous seriez trop contente…Patientez encore…continuez de vous branlez, allez branlez-vous, baissez votre collant, votre culotte et mettez-vous le doigt, branlez-vous….
J’arrêtai là mes écarts de langage, je ne savais plus si c’était parce que j’insultais ma belle-mère : je la traitais de vieille salope ! Ou si mes invectives suffisaient à me faire du bien, en attendant, je bandais et n’avais qu’une envie : arriver chez Marilyne.
Ma passagère dévergondée, venait juste de pousser un petit cris, puis plus rien, silence, ma cuisse était abandonnée par cette main si chaude. Marilyne redescendit sa jupe et reprit une position correcte. La fin du parcours se poursuivit sans un mot ; comme si tout d’un coup, l’un comme l’autre nous étions honteux de nos propos et attitudes...Nous arrivions devant chez Marilyne, à peine la voiture garée, belle maman descendit et monta quatre à quatre les escaliers qui mènent à la véranda, ceux-là même que je montais ce matin, sans me douter de la teneur exceptionnelle de ce Dimanche pas comme les autres. Alors que j’étais encore assis au volant, plongé dans mes pensées, la lumière au premier s’allumait déjà, je souris à l’idée que Marilyne devait certainement préparer l’escabeau. A mon tour, je gravis les escaliers, rentrai dans la maison.
-Venez Patrick ! Je suis au salon ; je m’installe avec l’escabeau, j’ai peur de tomber, vous savez.
J’entre dans le salon et je vois Marilyne debout sur l’escabeau, les bras tendus vers le plafond, appliquée à décrocher un à un les crochets des rideaux. Même sur la plateforme de l’escabeau et les bras tendus, belle maman est obligée de se mettre sur la pointe des pieds ; sa jupe remonte et déjà on aperçoit le liserait foncé de son collant.
-Attention Marilyne, je viens derrière vous, n’ayez pas peur, je tiens l’escabeau.
J’arrive au bas de l’escabeau, cramponne les montants, je lève la tête…et…qu’elle vue magnifique ! Les cuisses de belle maman, comme deux étais soutenant le petites fesses rondes qui débordent d’une culotte trop courte sous la couture du collant. Je ne tiens plus, fébrilement, je monte sur la première marche et déjà ma tête est sous la jupe, mes mains s’agrippent aux cuisses que je caresse de haut en bas, je monte encore une marche, ma tête soulève maintenant tout le bas de la jupe jusqu’aux reins, j’ai sous le nez le postérieur de Marilyne, je me hisse encore plus haut, mes mains prennent appui sur les hanches, je me frotte sur les cuisses de ma belle-mère qui a cessé son travail et se cramponne au garde-fou de notre perchoir d’amour….
-Petit vicieux, tu ne pouvais pas attendre un peu, tu te branles déjà sur moi comme un jeune chien, humm… continue, frotte toi, monte une marche, viens te branler sur mon cul, je sais que tu l’aimes, tu voudrais le lécher ?
-Tu…Vous me dites « tu » Marilyne ?
-Oui mon branleur, uniquement dans ces moments particuliers, ce sera le signal à notre débauche, plus du m’échaufferas, plus tu m’exciteras, plus je serai vulgaire, plus je te demanderai des choses…Tu comprends ? Comme elle termine de décrire les règles qu’elle a définies, elle ondule son cul sur moi et me demande :
-Baisse ton pantalon, sors ta queue et tape là sur mes cuisses et mon cul, allez dépêche-toi je veux la sentir ta queue…Ta queue de vicelard excité, je suis sûre qu’elle bave déjà hein ? Sors là que je sente.
Déjà, ma main extirpe ma bite de mon pantalon, de l’autre je me cramponne à Marilyne et commence à marteler les cuisses et le cul de mon gland rougi par les frottements et baveux de plaisir. Marilyne, toujours le dos tourné, d’un revers de main, se saisit de ma verge et de son pouce balaie mon gland :
-Tiens je le savais, petit salaud…Ton gland est tout baveux…J’aimerais le sucer tu sais….Même te branler pour te faire jouir mon Patrick, Patrick tu as la trique ? C’est marrant ça rime. Ha ha ha..
Elle est maintenant prise d’un fou rire qui loin de me déconcentrer, me rend encore plus fou….Sa main a lâché mon gland et a repris sa place sur le garde-fou de notre perchoir. Je ne me contente plus de me frotter ou de marteler le nylon, je descends le collant jusqu’ à la limite des cuisses et glisse mon sexe sous l’élastique de la culotte, je sens alors la chaire chaude et lisse de ce petit cul qui continue de ses mouvements d’avant en arrière… C’est bon….
-Alors vieille truie, tu la sens la tête de ma bite ? Moi aussi je te dis « tu »…Tu voudrais bien que je t’encule salope hein ? Tu n’attends que ça…Mais tu devras attendre encore, je vais jouir là toute suite…je vais arroser ton cul, essuyer mon chibre sur tes cuisses et ta culotte….tu vois….tu m’as tellement allumé depuis ce matin, j’en peu plus, du ne mérites que ça…
-Fumier ! Tu vas décharger là, toute suite ? …hum…Envoie…arrose moi où tu veux, oui lâche toi…Viens, baisse ma culotte, caresse moi la chatte…Je veux sentir tes mains sur ma chatte pendant que tu jouis…
Ma bite contre les fesses incendiaires, de plus en plus mouillées par mon sexe qui commence à ne plus se contenir, je baisse la culotte qui rejoint le collant a mis cuisses…Que c’est beau ! Les fesses de ma belle-mère à l’air, la jupe remontée, les collants et la culotte baissés…. je place mes deux mains sur la chatte…Elle est humide et chaude. Mon index commence à….
-Oh !....Oui…hum….je viens, je viens, tiens…salope c’est pour toi, la voilà ma purée….
Je suis dans un état second, transporté, ma vue se brouille, ma main appuie fortement le sexe de Marilyne, tandis que j’inonde les fesses provoquantes qui ont bien mérité d’être souillées par ce jus si longtemps retenu.
-Saligaud ! Tu l’aime le cul de ta belle-mère ; il te fait bander, tu as jouis, mais la prochaine fois je te ferai attendre plus longtemps et crois moi, mon petit cul, tu vas le goûter, le lécher….Ma chatte, tu ne compteras plus le nombre de fois où tu l’aura à pleine bouche accroupie sur elle, je me balancerai jusqu’à jouir et même je….
Je reprends mes esprits et encore entre rêve et réalité, descendu d’une marche, je m’essuie le sexe avec la culotte et le collant…Que c’est bon ! Souiller les sous-vêtements de Marilyne.
-Vous…Tu disais ? Même je quoi…?
-Rien, rien… plus tard et puis… maintenant il faut décrocher les rideaux, redevenir poli, n’est-ce pas Patrick ?
Nous descendons de l’escabeau, Marilyne s’approche avec une démarche de canard, rendue inévitable par la culotte et les collants qui lui entravent les jambes ; sur la pointe des pieds me saisit la nuque, approche sa bouche de la mienne y colle ses lèvres, glisse sa langue qui ne trouve aucune résistance pour s’enrouler autour de la mienne, nous nous enlaçons fortement, mon sexe encore convalescent, laisse échapper quelques goûtes sur la jupe maintenant souillée et froissée. Marilyne envoie sous pression un jet de salive qui glisse sur ma langue, à mon tour mélangée à la mienne je lui renvoie cette vague salée qui déborde et coule de chaque côté de ses lèvres ; que je m’empresse de lécher à grands coups de langue, bien au-delà de la bouche, vers le nez, les joues, le front, je lèche toute sa face, elle aime ; par des mouvements de la tête, elle vient appuyer l’assaut de ce pinceau humide et reconnaissant de tant de bonheur.
-Assez Patrick. Nous allons terminer sagement notre besogne, nous rendre un peu plus présentables ; vous allez rentrer chez vous avec pour seule compagnie : les rideaux. Mais très bientôt, encore de bons moments, pleins de bons moments.
Comme un enfant sage, j’acquiesçai d’un signe de la tête, me rendis vers la salle de bain pour un brin de toilette. Quand je revins au salon, Marilyne avait décroché les rideaux, me les tendit :
-Voilà, vous voyez, je ne suis pas tombée. Je pris les rideaux à pleines mains pour les engager dans le sac que me tentait belle maman. Je pris le sac et fis demi-tour pour prendre la direction du couloir. Arrivé derrière la porte de sortie, je sentis la main de belle maman, je me retournai et je vis Marilyne soulever sa poitrine de ses deux mains, à travers son chemisier, tout en faisant la moue :
-Et mes seins Patrick, vous voudriez les voir ? Juste les voir bien entendu.
Elle déboutonna son chemisier, l’ouvrit, fit passer ses seins blancs hors des bonnets du soutient gorge noir. De ce noir et blanc ressortaient deux tétons roses pointus qui semblaient appeler au secours pour qu’on les délivre.
-Alors ils te font envie ? Tu voudrais les téter ? Les ploter ?
Je restai sans voix, les yeux fixés sur cette poitrine attirante. Alors que je levai ma seule main libre pour toucher ces beaux fruits ; Marilyne m’arrêta dans mon élan :
-Non, non, on ne touche pas, la prochaine fois…Peut-être.
Après un baiser sur le front, Marilyne ouvrit la porte, sans me retourner je descendis les escaliers, lentement, j’entendis la porte se refermer. Je pris place dans ma voiture, après avoir posé les rideaux, derniers témoins de nos ébats, sur le siège passager. Je rentrai chez moi, la tête pleine de fantasmes, d’envies, de moments avec Marilyne. Elle avait réussie en me montrant ses seins, à m’exciter à nouveau, impatient, il me tardait la prochaine fois ; quand ? Où ? J’allais très vite le savoir en arrivant chez moi. (À suivre).
-Ah ! Les voilà tout de même… Nous étions en soucis.
- Patrick s’est pris le pied dans une souche, rien de grave, mais il a la veste et le pantalon plein de terre !
Marilyne me chuchote à l’oreille qu’elle espère que mon caleçon n’est pas lui aussi dans cet état.
-Papa, tu peux nous expliquer pourquoi tu as de la terre sur les genoux, les coudes et le dos ? Tu as fait un roulé boulé ?
-Votre père, ne fait jamais les choses à moitié, c’est un perfectionniste, même dans les chutes.
-Euh… Oui j’ai fait un roulé boulé, heureusement que mamy était là pour m’aider à me relever !
-Patrick, aujourd’hui j’ai été votre ange gardien. J’espère que vous vous en souviendrez.
Alors que les jumeaux m’entraînent sur la passerelle de l’écluse pour observer une péniche qui va passer ; ma femme et sa mère, discutent tout en longeant le canal.
Nous avons achevé notre promenade en fin d’après-midi quand le soleil printanier quittait l’horizon ; le soir s’annonçait, les Dimanches soir, jusqu’à ce jour, n’étaient pas mes soirées préférées : le blouse du Dimanche soir ; la fin du week-end, le Lundi matin qui s’annonçait…Pourtant, ce jour-là le Dimanche soir devint synonyme de « seul avec belle-maman ». Notre retour se déroula en silence, sans gestes déplacés. Juste avant la sortie d’autoroute, Adeline qui conduisait demanda :
-Je nous dépose avec les enfants chez nous, et toi Patrick tu reconduis maman chez elle. Tu lui dois bien ça, avec tout le soin qu’elle a pris pour toi aujourd’hui, hein maman ?
-Ah oui, il me doit bien ça ! Confirme Marilyne.
La voiture finissait les derniers kilomètres qui nous séparaient de la maison, je n’avais eu de cesse de penser à ce qui se passerait toute à l’heure chez ma belle-mère. Que me proposerait-elle ? Jusqu’où irons-nous ? Adeline stationna devant la maison, les jumeaux descendirent, embrassèrent Marilyne et suivirent ma femme qui nous fit signe de la main en s’écriant :
-Je passerai demain en fin d’après-midi, maman. Tu me donneras tes rideaux du salon pour que je te termine l’ourlet….ou donne les ce soir à Patrick, je serai quitte de passer demain.
J’avais pris place au volant, déjà j’imaginais ma belle-mère sur l’escabeau qui décroche les rideaux et moi dessous tenant les montants, le regard rivé sous la jupe, mon appétit de voyeur satisfait. Le temps de régler mon siège, Je quittais à peine le stationnement que Marilyne dit :
-Alors Patrick, ces rideaux, je les décroche ou vous les décrocher ? Si je monte sur l’escabeau, j’ai peur, il faudra que vous assuriez en vous tenant derrière moi. Si vous montez, vous êtes assez fort pour ne pas tomber, toutefois, en réfléchissant, il faut décrocher avec soin ces voiles fragiles…Et c’est plus un travail de femme non ?
-Oui, je préfère vous laissez le soin de l’opération et moi je vous tiendrai l’escabeau.
-Vous ne ferez que tenir l’escabeau ? Vous me décevez Patrick.
-Je pense qu’il faudra que j’occupe mon regard et pour remplir au mieux mon rôle, il est préférable que je reste concentré sur vous.
A partir de cet instant, Marilyne mis sa main sur ma cuisse en la massant doucement et sa voix devint plus suave, enjôleuse.
-Vous materez ma culotte sous ma jupe, en tenant fort le haut de mes cuisses, que vous caresserez de vos pouces ; pervers que vous êtes…Aurez-vous envie de me peloter les fesses comme contre l’arbre ? Monterez-vous sur les premières marches de l’escabeau pour vous branler sur ma jambe ? Sortirez-vous votre bite pour brûler votre gland sur mes collants ? Laisserez-vous partir votre foutre ? Dites-moi salaud….Que vous êtes. Humm…Je suis excitée Patrick...
Comme elle terminait sa phrase, de son autre main, elle avait remonté sa jupe et commençait à se caresser….Elle fermait les yeux, imaginait la scène chez elle, ses doigts sur ma cuisse, se faisaient de plus en plus pressants…Moi je regardais la route, j’avais réduis ma vitesse, le désir montait, du coin de l’œil je voyais Marilyne se masturber, elle aimait parler ainsi, elle aimait s’exhiber, elle aimait entendre des mots crus….Tout ça je l’ai découvert en cette journée très spéciale. Attentif à la route, je ne pensais plus qu’à elle, et pris de désir, je voulu à mon tour accompagner Marilyne et faire encore monter son excitation :
-Vous aimez caresser votre chatte, vous voudriez que je passe ma main dans votre collant et vous branle à mon tour, que je pelote votre cul et vous caresse la raie …C’est tout ça qui vous plairait ?
-Oui….Oui…Patrick …Encore, parlez-moi encore….
-Vous êtes une grosse salope, vous avez dû vous branler bien des fois en pensant à moi, hein ? vieille obsédée que vous êtes….Vous voudriez que je vous la lèche, votre grosse chatte, que je vous suce votre petit clito….Ho…que j’aimerais …..J’aimerais…
-Oui…quoi ?...Quoi petit salaud ? Dites-moi…humm…Dites...
-Vous ne saurez pas tout, pas tout d’un coup, vous seriez trop contente…Patientez encore…continuez de vous branlez, allez branlez-vous, baissez votre collant, votre culotte et mettez-vous le doigt, branlez-vous….
J’arrêtai là mes écarts de langage, je ne savais plus si c’était parce que j’insultais ma belle-mère : je la traitais de vieille salope ! Ou si mes invectives suffisaient à me faire du bien, en attendant, je bandais et n’avais qu’une envie : arriver chez Marilyne.
Ma passagère dévergondée, venait juste de pousser un petit cris, puis plus rien, silence, ma cuisse était abandonnée par cette main si chaude. Marilyne redescendit sa jupe et reprit une position correcte. La fin du parcours se poursuivit sans un mot ; comme si tout d’un coup, l’un comme l’autre nous étions honteux de nos propos et attitudes...Nous arrivions devant chez Marilyne, à peine la voiture garée, belle maman descendit et monta quatre à quatre les escaliers qui mènent à la véranda, ceux-là même que je montais ce matin, sans me douter de la teneur exceptionnelle de ce Dimanche pas comme les autres. Alors que j’étais encore assis au volant, plongé dans mes pensées, la lumière au premier s’allumait déjà, je souris à l’idée que Marilyne devait certainement préparer l’escabeau. A mon tour, je gravis les escaliers, rentrai dans la maison.
-Venez Patrick ! Je suis au salon ; je m’installe avec l’escabeau, j’ai peur de tomber, vous savez.
J’entre dans le salon et je vois Marilyne debout sur l’escabeau, les bras tendus vers le plafond, appliquée à décrocher un à un les crochets des rideaux. Même sur la plateforme de l’escabeau et les bras tendus, belle maman est obligée de se mettre sur la pointe des pieds ; sa jupe remonte et déjà on aperçoit le liserait foncé de son collant.
-Attention Marilyne, je viens derrière vous, n’ayez pas peur, je tiens l’escabeau.
J’arrive au bas de l’escabeau, cramponne les montants, je lève la tête…et…qu’elle vue magnifique ! Les cuisses de belle maman, comme deux étais soutenant le petites fesses rondes qui débordent d’une culotte trop courte sous la couture du collant. Je ne tiens plus, fébrilement, je monte sur la première marche et déjà ma tête est sous la jupe, mes mains s’agrippent aux cuisses que je caresse de haut en bas, je monte encore une marche, ma tête soulève maintenant tout le bas de la jupe jusqu’aux reins, j’ai sous le nez le postérieur de Marilyne, je me hisse encore plus haut, mes mains prennent appui sur les hanches, je me frotte sur les cuisses de ma belle-mère qui a cessé son travail et se cramponne au garde-fou de notre perchoir d’amour….
-Petit vicieux, tu ne pouvais pas attendre un peu, tu te branles déjà sur moi comme un jeune chien, humm… continue, frotte toi, monte une marche, viens te branler sur mon cul, je sais que tu l’aimes, tu voudrais le lécher ?
-Tu…Vous me dites « tu » Marilyne ?
-Oui mon branleur, uniquement dans ces moments particuliers, ce sera le signal à notre débauche, plus du m’échaufferas, plus tu m’exciteras, plus je serai vulgaire, plus je te demanderai des choses…Tu comprends ? Comme elle termine de décrire les règles qu’elle a définies, elle ondule son cul sur moi et me demande :
-Baisse ton pantalon, sors ta queue et tape là sur mes cuisses et mon cul, allez dépêche-toi je veux la sentir ta queue…Ta queue de vicelard excité, je suis sûre qu’elle bave déjà hein ? Sors là que je sente.
Déjà, ma main extirpe ma bite de mon pantalon, de l’autre je me cramponne à Marilyne et commence à marteler les cuisses et le cul de mon gland rougi par les frottements et baveux de plaisir. Marilyne, toujours le dos tourné, d’un revers de main, se saisit de ma verge et de son pouce balaie mon gland :
-Tiens je le savais, petit salaud…Ton gland est tout baveux…J’aimerais le sucer tu sais….Même te branler pour te faire jouir mon Patrick, Patrick tu as la trique ? C’est marrant ça rime. Ha ha ha..
Elle est maintenant prise d’un fou rire qui loin de me déconcentrer, me rend encore plus fou….Sa main a lâché mon gland et a repris sa place sur le garde-fou de notre perchoir. Je ne me contente plus de me frotter ou de marteler le nylon, je descends le collant jusqu’ à la limite des cuisses et glisse mon sexe sous l’élastique de la culotte, je sens alors la chaire chaude et lisse de ce petit cul qui continue de ses mouvements d’avant en arrière… C’est bon….
-Alors vieille truie, tu la sens la tête de ma bite ? Moi aussi je te dis « tu »…Tu voudrais bien que je t’encule salope hein ? Tu n’attends que ça…Mais tu devras attendre encore, je vais jouir là toute suite…je vais arroser ton cul, essuyer mon chibre sur tes cuisses et ta culotte….tu vois….tu m’as tellement allumé depuis ce matin, j’en peu plus, du ne mérites que ça…
-Fumier ! Tu vas décharger là, toute suite ? …hum…Envoie…arrose moi où tu veux, oui lâche toi…Viens, baisse ma culotte, caresse moi la chatte…Je veux sentir tes mains sur ma chatte pendant que tu jouis…
Ma bite contre les fesses incendiaires, de plus en plus mouillées par mon sexe qui commence à ne plus se contenir, je baisse la culotte qui rejoint le collant a mis cuisses…Que c’est beau ! Les fesses de ma belle-mère à l’air, la jupe remontée, les collants et la culotte baissés…. je place mes deux mains sur la chatte…Elle est humide et chaude. Mon index commence à….
-Oh !....Oui…hum….je viens, je viens, tiens…salope c’est pour toi, la voilà ma purée….
Je suis dans un état second, transporté, ma vue se brouille, ma main appuie fortement le sexe de Marilyne, tandis que j’inonde les fesses provoquantes qui ont bien mérité d’être souillées par ce jus si longtemps retenu.
-Saligaud ! Tu l’aime le cul de ta belle-mère ; il te fait bander, tu as jouis, mais la prochaine fois je te ferai attendre plus longtemps et crois moi, mon petit cul, tu vas le goûter, le lécher….Ma chatte, tu ne compteras plus le nombre de fois où tu l’aura à pleine bouche accroupie sur elle, je me balancerai jusqu’à jouir et même je….
Je reprends mes esprits et encore entre rêve et réalité, descendu d’une marche, je m’essuie le sexe avec la culotte et le collant…Que c’est bon ! Souiller les sous-vêtements de Marilyne.
-Vous…Tu disais ? Même je quoi…?
-Rien, rien… plus tard et puis… maintenant il faut décrocher les rideaux, redevenir poli, n’est-ce pas Patrick ?
Nous descendons de l’escabeau, Marilyne s’approche avec une démarche de canard, rendue inévitable par la culotte et les collants qui lui entravent les jambes ; sur la pointe des pieds me saisit la nuque, approche sa bouche de la mienne y colle ses lèvres, glisse sa langue qui ne trouve aucune résistance pour s’enrouler autour de la mienne, nous nous enlaçons fortement, mon sexe encore convalescent, laisse échapper quelques goûtes sur la jupe maintenant souillée et froissée. Marilyne envoie sous pression un jet de salive qui glisse sur ma langue, à mon tour mélangée à la mienne je lui renvoie cette vague salée qui déborde et coule de chaque côté de ses lèvres ; que je m’empresse de lécher à grands coups de langue, bien au-delà de la bouche, vers le nez, les joues, le front, je lèche toute sa face, elle aime ; par des mouvements de la tête, elle vient appuyer l’assaut de ce pinceau humide et reconnaissant de tant de bonheur.
-Assez Patrick. Nous allons terminer sagement notre besogne, nous rendre un peu plus présentables ; vous allez rentrer chez vous avec pour seule compagnie : les rideaux. Mais très bientôt, encore de bons moments, pleins de bons moments.
Comme un enfant sage, j’acquiesçai d’un signe de la tête, me rendis vers la salle de bain pour un brin de toilette. Quand je revins au salon, Marilyne avait décroché les rideaux, me les tendit :
-Voilà, vous voyez, je ne suis pas tombée. Je pris les rideaux à pleines mains pour les engager dans le sac que me tentait belle maman. Je pris le sac et fis demi-tour pour prendre la direction du couloir. Arrivé derrière la porte de sortie, je sentis la main de belle maman, je me retournai et je vis Marilyne soulever sa poitrine de ses deux mains, à travers son chemisier, tout en faisant la moue :
-Et mes seins Patrick, vous voudriez les voir ? Juste les voir bien entendu.
Elle déboutonna son chemisier, l’ouvrit, fit passer ses seins blancs hors des bonnets du soutient gorge noir. De ce noir et blanc ressortaient deux tétons roses pointus qui semblaient appeler au secours pour qu’on les délivre.
-Alors ils te font envie ? Tu voudrais les téter ? Les ploter ?
Je restai sans voix, les yeux fixés sur cette poitrine attirante. Alors que je levai ma seule main libre pour toucher ces beaux fruits ; Marilyne m’arrêta dans mon élan :
-Non, non, on ne touche pas, la prochaine fois…Peut-être.
Après un baiser sur le front, Marilyne ouvrit la porte, sans me retourner je descendis les escaliers, lentement, j’entendis la porte se refermer. Je pris place dans ma voiture, après avoir posé les rideaux, derniers témoins de nos ébats, sur le siège passager. Je rentrai chez moi, la tête pleine de fantasmes, d’envies, de moments avec Marilyne. Elle avait réussie en me montrant ses seins, à m’exciter à nouveau, impatient, il me tardait la prochaine fois ; quand ? Où ? J’allais très vite le savoir en arrivant chez moi. (À suivre).
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Les avis des lecteurs
Vite la suite je ne tiens plus
Excellent !Continuez...