Titre de l'histoire érotique : Les retrouvailles après l’abstinence – partie 1
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Les retrouvailles après l’abstinence – partie 1
L’année a été longue et difficile : pour moi comme pour Alain. Alain est le nom de cet homme que j’avais rencontré chez des amis. Nous nous étions touchés là-bas puis il m’avait ramené à la maison avant de me baiser. Depuis nous nous sommes revus plusieurs fois, notamment chez lui en l’absence de sa femme qui est frigide. Ils ne couchent plus ensemble depuis des années et je suis son dérivatif sexuel.
Je devais partir à l’étranger quelques mois et ne revenir qu’au mois de juillet. Ca allait lui faire une longue période de disette. Aussi, il m’a invité chez lui un soir avant de partir, pour se soulager. Une fois la baise finie, il m’a fait promettre de ne pas avoir de relation sexuelle pendant mon voyage et qu’il en ferait autant. Il m’a aussi fait promettre de ne pas me masturber pendant les deux dernières semaines ; idem pour lui. Ainsi, nous serions super excités lors de la semaine de vacances qu’on prendrait à mon retour ; lui et moi dans une petite maison à l’écart, à la campagne. L’idée me plaisait ; 5 mois d’abstinence, 2 semaines de sevrage complet pour une explosion de plaisir. J’ai accepté. Le lendemain, en guise d’adieu, je lui ai fait une gorge profonde sur le pas de la porte. Je lui ai tiré et malaxé les bourses au point où la douleur égale le plaisir, afin qu’il ne m’oublie pas. J’ai avalé et je suis parti.
L’abstinence a été plutôt facile pour moi, notamment grâce à ses messages qui trahissaient une grande difficulté pour lui. Ils étaient enflammés. En revanche, les deux dernières semaines ont été très dures. Habitué à me masturber plusieurs fois par jour, j’avais l’impression d’avoir des poids à la place des testicules et qu’elles allaient exploser. Mais j’ai tenu le coup.
Une fois rentré, j’ai pris le train pour aller le rejoindre dans la maison qu’il avait loué pour la semaine. Il est venu me chercher à la gare et rien qu’en le voyant, je sentais toute la tension qui se dégageait de lui ; inutile de lui demander s’il avait tenu le coup. Une fois sur la route, je me suis approché de lui, lui ai mis la main au paquet pour le masser ; sa queue était déjà bien dure. Je lui ai susurré des mots coquins à l’oreille avec quelques petites léchouilles (« Dis moi, c’est parce qu’elle est sur le point d’exploser que ta queue est si grosse ? Ca te soulage si je te masse la bite pendant que tu conduis ? Tu crois que tu vas pouvoir tenir jusqu’à la maison ? Je me suis préparé dans le train ; mon cul est prêt à recevoir ta grosse bite et tout ce qu’elle contient »).
Une fois arrivés à destination, nous sommes sortis en vitesse de la voiture pour rejoindre la maison (en fait, un mobil-home relativement grand mais isolé). Il m’a pris par le bras et m’a fait entrer en me poussant à l’intérieur. Il m’a poussé contre le mur ; il a défait sa ceinture et baissé son pantalon. Je me suis agenouillé pour le sucer mais il m’a relevé (« plut tard, maintenant je te baise »).
Il était déchainé. Il a lui même baissé mon pantalon sans le défaire (quelle force !), il m’a retourné, face contre le mur, et m’a écarté les fesses. Je me suis cambrer pour les faire ressortir. Il s’est arrêté un instant, comme pour savourer le plaisir ; il faisait augmenter la tension en parlant (« Mes couilles sont sur le point d’exploser ! Il me faut ton cul tout de suite ! Je vais te sodomiser et éjaculer tout mon foutre en toi ! »). Je n’ai pu répondre qu’une chose : « Vas-y ! Encule moi fort ! ».
Il a placé son gland à l’orée de mon anus, puis il a donné un coup de queue tout en me tirant vers lui par les épaules. La pénétration a été violente, à l’image de son comportement depuis nos retrouvailles. Sous l’effet de l’abstinence (la mienne ou la sienne), sa queue semblait plus grosse, plus chaude, et plus vigoureuse.
Je n’ai pas eu de mal à m’habituer à cet excès de violence car j’était en manque et j’avais besoin de me faire sodomiser, sans douceur de préférence. J’étais comblé ; le plaisir m’a de suite submergé. Debout, contre le mur, je subissais autant que je réclamais ses assauts. Sa bite s’enfonçait dans mon cul et en ressortait. A chaque nouvelle pénétration, son pénis semblait me pénétrer pour la 1ère fois, tant la sensation d’empalement était forte.
Isolé à la campagne, je ne me suis pas retenu et j’ai crié le plaisir que je ressentais à me faire sodomiser pour la 1ère fois depuis des mois. « OH OUI c’est bon ! J’aime ta queue ! Prend moi comme une pute ! Vide toi en moi ! J’adore quand tu me domines ! Je jouis ! ». J’aime bien les plans domis/soumis de temps en temps, et je suis plus souvent le soumis. Alain le savait et il était clairement dominant cette fois. Il me tirait la tête en arrière, me faisait cambrer le dos et m’insultait (« Bouge ton cul PD ! Tu es à moi pour la semaine et je vais te remplir de mon sperme ! Dis moi quand tu vas jouir ! »).
Le plaisir, anal et mental, était puissant, autant que la douleur dans mes couilles et la tension dans mon gland étaient fortes. La combinaison de ces sensations contradictoires était détonante et je grimpais au rideau.
Il continuais à me buriner le cul quand l’orgasme pointait. Je lui ai alors crié que j’allait jouir. A ce moment là, il a arrêté de me baiser et s’est retiré. D’un coup. Et il est parti dans le coin cuisine. Comme ça. J’étais déconcerté, puis furax, puis encore plus frustré. Il m’a dit de me remettre en position. Comme il avait l’air de vouloir dominer, je me suis exécuté, les mains sur le mur, le dos cambré pour faire ressortir mes fesses. Il est revenu, et une fois derrière moi, il m’a dit d’écarter les fesses et il m’a planté sa verge bien au fond.
Le cours normal du coït reprenait et le plaisir revenait quand il a fait quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas…. (la suite très bientôt).
Je devais partir à l’étranger quelques mois et ne revenir qu’au mois de juillet. Ca allait lui faire une longue période de disette. Aussi, il m’a invité chez lui un soir avant de partir, pour se soulager. Une fois la baise finie, il m’a fait promettre de ne pas avoir de relation sexuelle pendant mon voyage et qu’il en ferait autant. Il m’a aussi fait promettre de ne pas me masturber pendant les deux dernières semaines ; idem pour lui. Ainsi, nous serions super excités lors de la semaine de vacances qu’on prendrait à mon retour ; lui et moi dans une petite maison à l’écart, à la campagne. L’idée me plaisait ; 5 mois d’abstinence, 2 semaines de sevrage complet pour une explosion de plaisir. J’ai accepté. Le lendemain, en guise d’adieu, je lui ai fait une gorge profonde sur le pas de la porte. Je lui ai tiré et malaxé les bourses au point où la douleur égale le plaisir, afin qu’il ne m’oublie pas. J’ai avalé et je suis parti.
L’abstinence a été plutôt facile pour moi, notamment grâce à ses messages qui trahissaient une grande difficulté pour lui. Ils étaient enflammés. En revanche, les deux dernières semaines ont été très dures. Habitué à me masturber plusieurs fois par jour, j’avais l’impression d’avoir des poids à la place des testicules et qu’elles allaient exploser. Mais j’ai tenu le coup.
Une fois rentré, j’ai pris le train pour aller le rejoindre dans la maison qu’il avait loué pour la semaine. Il est venu me chercher à la gare et rien qu’en le voyant, je sentais toute la tension qui se dégageait de lui ; inutile de lui demander s’il avait tenu le coup. Une fois sur la route, je me suis approché de lui, lui ai mis la main au paquet pour le masser ; sa queue était déjà bien dure. Je lui ai susurré des mots coquins à l’oreille avec quelques petites léchouilles (« Dis moi, c’est parce qu’elle est sur le point d’exploser que ta queue est si grosse ? Ca te soulage si je te masse la bite pendant que tu conduis ? Tu crois que tu vas pouvoir tenir jusqu’à la maison ? Je me suis préparé dans le train ; mon cul est prêt à recevoir ta grosse bite et tout ce qu’elle contient »).
Une fois arrivés à destination, nous sommes sortis en vitesse de la voiture pour rejoindre la maison (en fait, un mobil-home relativement grand mais isolé). Il m’a pris par le bras et m’a fait entrer en me poussant à l’intérieur. Il m’a poussé contre le mur ; il a défait sa ceinture et baissé son pantalon. Je me suis agenouillé pour le sucer mais il m’a relevé (« plut tard, maintenant je te baise »).
Il était déchainé. Il a lui même baissé mon pantalon sans le défaire (quelle force !), il m’a retourné, face contre le mur, et m’a écarté les fesses. Je me suis cambrer pour les faire ressortir. Il s’est arrêté un instant, comme pour savourer le plaisir ; il faisait augmenter la tension en parlant (« Mes couilles sont sur le point d’exploser ! Il me faut ton cul tout de suite ! Je vais te sodomiser et éjaculer tout mon foutre en toi ! »). Je n’ai pu répondre qu’une chose : « Vas-y ! Encule moi fort ! ».
Il a placé son gland à l’orée de mon anus, puis il a donné un coup de queue tout en me tirant vers lui par les épaules. La pénétration a été violente, à l’image de son comportement depuis nos retrouvailles. Sous l’effet de l’abstinence (la mienne ou la sienne), sa queue semblait plus grosse, plus chaude, et plus vigoureuse.
Je n’ai pas eu de mal à m’habituer à cet excès de violence car j’était en manque et j’avais besoin de me faire sodomiser, sans douceur de préférence. J’étais comblé ; le plaisir m’a de suite submergé. Debout, contre le mur, je subissais autant que je réclamais ses assauts. Sa bite s’enfonçait dans mon cul et en ressortait. A chaque nouvelle pénétration, son pénis semblait me pénétrer pour la 1ère fois, tant la sensation d’empalement était forte.
Isolé à la campagne, je ne me suis pas retenu et j’ai crié le plaisir que je ressentais à me faire sodomiser pour la 1ère fois depuis des mois. « OH OUI c’est bon ! J’aime ta queue ! Prend moi comme une pute ! Vide toi en moi ! J’adore quand tu me domines ! Je jouis ! ». J’aime bien les plans domis/soumis de temps en temps, et je suis plus souvent le soumis. Alain le savait et il était clairement dominant cette fois. Il me tirait la tête en arrière, me faisait cambrer le dos et m’insultait (« Bouge ton cul PD ! Tu es à moi pour la semaine et je vais te remplir de mon sperme ! Dis moi quand tu vas jouir ! »).
Le plaisir, anal et mental, était puissant, autant que la douleur dans mes couilles et la tension dans mon gland étaient fortes. La combinaison de ces sensations contradictoires était détonante et je grimpais au rideau.
Il continuais à me buriner le cul quand l’orgasme pointait. Je lui ai alors crié que j’allait jouir. A ce moment là, il a arrêté de me baiser et s’est retiré. D’un coup. Et il est parti dans le coin cuisine. Comme ça. J’étais déconcerté, puis furax, puis encore plus frustré. Il m’a dit de me remettre en position. Comme il avait l’air de vouloir dominer, je me suis exécuté, les mains sur le mur, le dos cambré pour faire ressortir mes fesses. Il est revenu, et une fois derrière moi, il m’a dit d’écarter les fesses et il m’a planté sa verge bien au fond.
Le cours normal du coït reprenait et le plaisir revenait quand il a fait quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas…. (la suite très bientôt).
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