Titre de l'histoire érotique : Les voyages en "Bitécul"
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Les voyages en "Bitécul"
Depuis que le virus des voyages m'a pris, j'ai toujours entendu dire que les faire en stop, était la meilleure occasion d'avoir des aventures.
Je suis petit de taille. Je suis blond, les cheveux courts et un cul d'enfer. Ma peau, couleur miel, me donne à penser que ma mère a fauté avec un étranger. Mais, peu importe. Le fait est que je plais aux femmes, aussi bien qu'aux hommes.
Dès que j'ai eu 18 ans, je me suis acheté un sac à dos, et j'ai taillé la route, direction l'est. Pourquoi l'est, parce que de l'autre côté, c'est la mer, et, je ne sais pas nager.
C'est l'été. Je suis habillé en short. Premièrement à cause de la chaleur, mais aussi, parce que je suis un peu exhibitionniste. J'aime montrer mes cuisses. Le reste aussi, mais, en public, ce n'est pas permis.
Le premier qui s'arrête, est un camion. Le gars me fait monter, avant de savoir où je vais. Quand je m'introduis, je vois ses yeux fixés sur mes cuisses. Le temps de boucler ma ceinture, il avait déjà ouvert sa braguette, et sorti sa grosse queue.
Quand je fus confortablement assis, le routier dit :
- On va pas perdre de temps ! Suces moi !
Je me penchais vers son bas-ventre et pris le formidable engin entre mes lèvres.
J'entendis :
- Yvan sur la 55 ! J'en tiens un ! Il pompe comme pas un !
Je n'ai rien dit, mais mes lèvres sont descendues d'un trait, jusque sur ses poils. Le gland était rentré dans ma gorge. La pine eut un soubresaut. Les cuisses du routier tremblaient. Il a joui dans ma bouche, s'est arrêté et a dit :
- Allez, petite pédale, descends de mon bahut !
Je me suis retrouvé au bord de la route.
A peine la portière refermée, une voiture a freiné violemment. Une femme conduisait. J'ouvris la portière, et elle me tendit la ceinture de sécurité.
- Merci Madame ! Susurrai-je.
- Oh ! Oh ! Fit-elle. Ton haleine sent le sperme.... Tu as sucé le routier ?
- Oui, Madame. Fis-je .
- Il t'a obligé ?
- Oh non, Madame !
- Je vois...Tu es en chasse !
- En chasse de quoi ?
- En chasse de sexe !
- C'est possible....
- Dans ce cas, déshabilles-toi.....entièrement !
Au premier carrefour, elle tourna à droite. Elle s'arrêta au bord de la route. Tournes-toi vers la vitre.
- Ah oui ! Fit-elle. Avec un cul et un visage pareil, tu m'étonnes que les routiers s'arrêtent. Tu baises avec les femmes aussi ?
- Si vous voulez !
Elle releva sa robe, elle ne portait pas de culotte. Prête à l'emploi quoi.
- Viens me lécher le minou, fit-elle.
J'allais passer de son côté, mais elle me dit :
- Non, fais le tour !
- A poil ?
- Pourquoi ? Tu as peur ?
Je sortis de la voiture, et en fis le tour. Elle me fit monter entre ses cuisses, puis démarra. Je glissai ma langue entre ses lèvres d'en bas, pendant qu'elle conduisait. J'ai su qu'elle appréciait, grâce aux bonds saccadés, du véhicule et de sa conductrice. Quand elle eut prit son pied, elle s'arrêta, me releva, et glissa un doigt dans mon cul.
- Un virtuose ! Me dit-elle.
Elle passa la première et disparut.
Je repris ma place, sur le bord de la route. Un nouveau camion s'arrêta. Il y avait déjà un passager. Celui-ci descendit :
- C'est lui, je te dis ! Avec un cul pareil, ça ne peut être que lui !
Je montai, et vu ma taille, ils me firent monter dans la couchette.
- Tu vas où ?
- Je sais pas...
- C'est pas grave. Il parait que tu rends le voyage agréable. En attendant, mets-toi à ton aise.
Je me suis déshabillé entièrement.
- Putain, quel cul ! dit le passager. Je crois qu'on va s'amuser. Tu passes le premier, ou c'est moi ?
- Vas-y, dit le chauffeur. J'ai pas fini mon tour !
Il adapta un second rétroviseur intérieur, de manière à nous voir en action.
Le passager s'adressa à moi :
- Tu suces ?
- Oui !
- Tu baises ?
- Aussi !
- Les deux en même temps ?
- J'ai deux trous !
Il s'est débarrassé de son jean, et, la queue pendante, il monta dans la couchette. Il la prit à la main, et la tendit à ma bouche. Le gros gland violacé me fit saliver. J'écartai les lèvres et gobai le bonbon de chair. Ma langue et mes lèvres glissèrent le long du gros manche, sous le regard exorbité du conducteur. Avisant un lieu de parking pour poids lourd, il s'arrêta et ouvrit sa braguette. Il baissa son jean, jusqu'en-dessous des genoux, et monta dans la couchette. Il me saisit par le col et dit :
- Retournes-toi, et enfiles ta broche ! J'en ai une autre pour toi !
Je relâchai la bite que j'avais dans la bouche, pour la remplacer par celle du chauffeur. Le précédent occupant, en profita pour poser ses mains sur mes hanches. Le bonbon que je venais de sucer, se posa sur mon petit trou. Sous la pression de ses reins, le second conducteur enfonça sa bite, tout au fond de mon cul.
Les deux compères, se mirent à genoux. Un dans ma bouche, l'autre dans mon cul. D'un mouvement convenu, ils se sont enfoncés en moi, en même temps. J'ai compris pourquoi, l'un d'eux avait parlé de broche. Ils s'étaient enfoncés, tellement fort, tellement loin, que j'étais en suspend, entre les deux bites.
Finalement, ils ont joui, ensembles, dans mes deux orifices.
J'y ai pris tellement de plaisir, que je recommencerai, dés que possible.
Je suis petit de taille. Je suis blond, les cheveux courts et un cul d'enfer. Ma peau, couleur miel, me donne à penser que ma mère a fauté avec un étranger. Mais, peu importe. Le fait est que je plais aux femmes, aussi bien qu'aux hommes.
Dès que j'ai eu 18 ans, je me suis acheté un sac à dos, et j'ai taillé la route, direction l'est. Pourquoi l'est, parce que de l'autre côté, c'est la mer, et, je ne sais pas nager.
C'est l'été. Je suis habillé en short. Premièrement à cause de la chaleur, mais aussi, parce que je suis un peu exhibitionniste. J'aime montrer mes cuisses. Le reste aussi, mais, en public, ce n'est pas permis.
Le premier qui s'arrête, est un camion. Le gars me fait monter, avant de savoir où je vais. Quand je m'introduis, je vois ses yeux fixés sur mes cuisses. Le temps de boucler ma ceinture, il avait déjà ouvert sa braguette, et sorti sa grosse queue.
Quand je fus confortablement assis, le routier dit :
- On va pas perdre de temps ! Suces moi !
Je me penchais vers son bas-ventre et pris le formidable engin entre mes lèvres.
J'entendis :
- Yvan sur la 55 ! J'en tiens un ! Il pompe comme pas un !
Je n'ai rien dit, mais mes lèvres sont descendues d'un trait, jusque sur ses poils. Le gland était rentré dans ma gorge. La pine eut un soubresaut. Les cuisses du routier tremblaient. Il a joui dans ma bouche, s'est arrêté et a dit :
- Allez, petite pédale, descends de mon bahut !
Je me suis retrouvé au bord de la route.
A peine la portière refermée, une voiture a freiné violemment. Une femme conduisait. J'ouvris la portière, et elle me tendit la ceinture de sécurité.
- Merci Madame ! Susurrai-je.
- Oh ! Oh ! Fit-elle. Ton haleine sent le sperme.... Tu as sucé le routier ?
- Oui, Madame. Fis-je .
- Il t'a obligé ?
- Oh non, Madame !
- Je vois...Tu es en chasse !
- En chasse de quoi ?
- En chasse de sexe !
- C'est possible....
- Dans ce cas, déshabilles-toi.....entièrement !
Au premier carrefour, elle tourna à droite. Elle s'arrêta au bord de la route. Tournes-toi vers la vitre.
- Ah oui ! Fit-elle. Avec un cul et un visage pareil, tu m'étonnes que les routiers s'arrêtent. Tu baises avec les femmes aussi ?
- Si vous voulez !
Elle releva sa robe, elle ne portait pas de culotte. Prête à l'emploi quoi.
- Viens me lécher le minou, fit-elle.
J'allais passer de son côté, mais elle me dit :
- Non, fais le tour !
- A poil ?
- Pourquoi ? Tu as peur ?
Je sortis de la voiture, et en fis le tour. Elle me fit monter entre ses cuisses, puis démarra. Je glissai ma langue entre ses lèvres d'en bas, pendant qu'elle conduisait. J'ai su qu'elle appréciait, grâce aux bonds saccadés, du véhicule et de sa conductrice. Quand elle eut prit son pied, elle s'arrêta, me releva, et glissa un doigt dans mon cul.
- Un virtuose ! Me dit-elle.
Elle passa la première et disparut.
Je repris ma place, sur le bord de la route. Un nouveau camion s'arrêta. Il y avait déjà un passager. Celui-ci descendit :
- C'est lui, je te dis ! Avec un cul pareil, ça ne peut être que lui !
Je montai, et vu ma taille, ils me firent monter dans la couchette.
- Tu vas où ?
- Je sais pas...
- C'est pas grave. Il parait que tu rends le voyage agréable. En attendant, mets-toi à ton aise.
Je me suis déshabillé entièrement.
- Putain, quel cul ! dit le passager. Je crois qu'on va s'amuser. Tu passes le premier, ou c'est moi ?
- Vas-y, dit le chauffeur. J'ai pas fini mon tour !
Il adapta un second rétroviseur intérieur, de manière à nous voir en action.
Le passager s'adressa à moi :
- Tu suces ?
- Oui !
- Tu baises ?
- Aussi !
- Les deux en même temps ?
- J'ai deux trous !
Il s'est débarrassé de son jean, et, la queue pendante, il monta dans la couchette. Il la prit à la main, et la tendit à ma bouche. Le gros gland violacé me fit saliver. J'écartai les lèvres et gobai le bonbon de chair. Ma langue et mes lèvres glissèrent le long du gros manche, sous le regard exorbité du conducteur. Avisant un lieu de parking pour poids lourd, il s'arrêta et ouvrit sa braguette. Il baissa son jean, jusqu'en-dessous des genoux, et monta dans la couchette. Il me saisit par le col et dit :
- Retournes-toi, et enfiles ta broche ! J'en ai une autre pour toi !
Je relâchai la bite que j'avais dans la bouche, pour la remplacer par celle du chauffeur. Le précédent occupant, en profita pour poser ses mains sur mes hanches. Le bonbon que je venais de sucer, se posa sur mon petit trou. Sous la pression de ses reins, le second conducteur enfonça sa bite, tout au fond de mon cul.
Les deux compères, se mirent à genoux. Un dans ma bouche, l'autre dans mon cul. D'un mouvement convenu, ils se sont enfoncés en moi, en même temps. J'ai compris pourquoi, l'un d'eux avait parlé de broche. Ils s'étaient enfoncés, tellement fort, tellement loin, que j'étais en suspend, entre les deux bites.
Finalement, ils ont joui, ensembles, dans mes deux orifices.
J'y ai pris tellement de plaisir, que je recommencerai, dés que possible.
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