Titre de l'histoire érotique : Leslie AR12
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : Leslie AR12
Leslie AR12 - Sophie, les confessions d’une collègue, suite
Après ce baiser, Sophie continua sentant Cathy prête à aller plus loin, sa langue parcourra le cou de son amie, puis sa belle poitrine.
Elle aspira les pointes de ses seins à demi érigées avant de descendre plus bas sur le ventre ferme jusqu’à titiller la petite grotte de son nombril. Cathy respira plus fort lorsque la pointe de la langue de Sophie glissa encore plus bas. Elle sentait pour la première fois la chaude et humide caresse sur la peau fraîchement rasée de son mont de Vénus.
Quand la langue de Sophie trouva sa chatte fraichement épilée, Cathy ne put plus retenir un léger gémissement :
- Ohhh, Sophie, continue, c’est fantastique !
Sophie caressait la main de Cathy pendant que sa langue séparait ses grandes lèvres maintenant si merveilleusement lisses pour aller chatouiller son clitoris qui durcissait.
- Oui, encore, encore !
Cathy sentait monter son plaisir à une vitesse record. Ses rares expériences lui avaient laissé un mauvais souvenir, tant dans les bras de ses copines, qu’avec les mecs qui avaient été maladroits. Son vagin dégoulinait de cyprine et son orgasme l’emporta dans des mouvements incontrôlables.
Durant un moment, Cathy resta sur le lit les yeux fermés à respirer fort, avant de les rouvrir, d’attirer Sophie et de l’embrasser très longuement sur la bouche. Ce baiser parut durer éternellement, avant que leurs lèvres ne puissent enfin se séparer.
- Sophie, c’était tout simplement incroyable ! Dit finalement Cathy en posant sa main ouverte sur son pubis lisse.
- Ne t’inquiète pas, lui dit Sophie, maintenant nous allons vivre des moments incroyables, je le promets.
- Rien que de t’écouter, je mouille de nouveau.
Sophie lui répondit :
- File prendre une douche, il va être l’heure d’aller souper et tes parents vont nous attendre.
Cathy fila dans la salle de bains, et Sophie la suivie du regard, heureuse et pleine de désir, elle avait une amante, et les jours à venir s’annonçaient chauds.
Quand Cathy ressortit de la salle de bains, Sophie avait déjà mis de l’ordre. La chambre était en ordre et toutes traces de leurs ébats avaient disparus.
- Habille toi sexy, dit Sophie à Cathy, pendant que je file me doucher.
Et elle donna un baiser à Cathy au passage. Puis, elle disparut dans la salle de bains.
Cathy fredonnait gaiement tout en s’habillant, une simple petite culotte de coton blanc, son tee-shirt blanc moulant sa poitrine et la courte jupe d’été, blanche elle aussi, qui guère plus longue qu’une jupe de tennis mettait parfaitement en valeur ses jambes et de légères sandales à courroie.
Sophie revint dans la chambre et laissa tomber sur le lit le drap de bains qui la couvrait et s’habilla aussi légèrement que Cathy.
- Je voudrais te faire deux tresses comme tu les portais avant, lorsque nous nous sommes rencontrées, demanda Sophie en s’approchant de Cathy, ainsi tu auras l’air d’une petite fille.
- Pourquoi pas, si ça te fait plaisir ! Dis Cathy.
Bientôt les cheveux d’Cathy furent attachés en deux longues tresses, une coiffure qui lui donnait une sorte d’apparence de petite fille et qui contrastait carrément l’image de ses formes féminines, si bien qu’elle ne pouvait guère passer pour une écolière. Sophie lui offrit un baiser mutin sur le nez.
- Tu es très belle !
Puis Sophie prit la clé et elles se dirigèrent vers la porte. À mi-chemin, Sophie se retourna vers Cathy, et dit :
- J’ai failli oublier, t’as pas mis de culotte j’espère.
- Si, pourquoi ?
- Ce soir, tu n’en as pas besoin, dit doucement Sophie, retires-la.
Soulevant sa jupe Cathy s’exécuta en marmonnant atterrée :
- Mais, Sophie, ma jupe est si courte.
Sophie entoura les fesses de son amie qui, dans sa surprise, tenait toujours sa jupe relevée sur ses hanches et la serra contre elle. Elle avait le sexe rasé de Cathy à la hauteur des yeux. Doucement, elle déposa un baiser sur les grandes lèvres toujours parfumées d’huile et glissa sa langue dans la fente de Cathy. Puis elle se releva d’un bond et regarda Cathy droit dans les yeux :
- Ce soir, je te veux que tu sois nue sous ta jupe et le fait que nous le sachions toutes les deux pimentera le souper avec tes parents, allez viens maintenant !
Il ne restait plus à Cathy que de s’abandonner à son destin. Sophie prit la main de Cathy et la tira hors de la chambre.
Dans le couloir de l’hôtel, alors que Cathy sentait que son cœur battre la chamade, elle se dit qu’elles étaient prises toutes les deux de folie, mais la folle situation ne lui déplaisait pas tant que cela.
Evidemment, l’ascenseur n’était pas là et elles durent attendre.
Côte à côte, pendant cette attente, Sophie fit glisser sa main droite sur la fesse gauche de son amie seulement couverte de sa courte jupe, elle sentit sous le tissu la chaleur du corps de Cathy.
Celle-ci inspira bruyamment et jeta un regard réprobateur à son amie, regard aussi qui oscillait entre insécurité et excitation, puis Sophie se montra plus audacieuse, d’un vif mouvement elle releva la jupe de Cathy et glissa sa main dessous.
Cathy sentit une bouffée de chaleur l’envahir, elle recula son bassin en disant :
- Non, t’es folle !
- Oui, répondis Sophie, de toi.
Cathy ne pouvait presque plus s’opposer à l’assaut des sens qui l’envahissaient. Respirant de façon saccadée, elle se balançait sur ses hanches en sentant le bout des doigts de Sophie parcourir doucement sa peau nue et finalement atteindre sa fente déjà un peu humide.
Puis l’ascenseur arriva, elles montèrent pour se rendre à la salle à manger.
Arrivées au rez de chaussé en sortant de l’ascenseur, l’employé de la réception fit un signe de tête approbateur aux deux jeunes filles qui sortaient de l’ascenseur et marchaient vers le restaurant. Il prit plaisir à laisser son regard s’arrêter en particulier sur les rondeurs du postérieur de la brune qui portait ce soir deux tresses et qui en marchant rajustait sa légère et courte jupe d’été de sa main droite.
Seule Sophie put entendre :
- Je n’y crois pas ! murmura Cathy entre ses dents.
A suivre…
Après ce baiser, Sophie continua sentant Cathy prête à aller plus loin, sa langue parcourra le cou de son amie, puis sa belle poitrine.
Elle aspira les pointes de ses seins à demi érigées avant de descendre plus bas sur le ventre ferme jusqu’à titiller la petite grotte de son nombril. Cathy respira plus fort lorsque la pointe de la langue de Sophie glissa encore plus bas. Elle sentait pour la première fois la chaude et humide caresse sur la peau fraîchement rasée de son mont de Vénus.
Quand la langue de Sophie trouva sa chatte fraichement épilée, Cathy ne put plus retenir un léger gémissement :
- Ohhh, Sophie, continue, c’est fantastique !
Sophie caressait la main de Cathy pendant que sa langue séparait ses grandes lèvres maintenant si merveilleusement lisses pour aller chatouiller son clitoris qui durcissait.
- Oui, encore, encore !
Cathy sentait monter son plaisir à une vitesse record. Ses rares expériences lui avaient laissé un mauvais souvenir, tant dans les bras de ses copines, qu’avec les mecs qui avaient été maladroits. Son vagin dégoulinait de cyprine et son orgasme l’emporta dans des mouvements incontrôlables.
Durant un moment, Cathy resta sur le lit les yeux fermés à respirer fort, avant de les rouvrir, d’attirer Sophie et de l’embrasser très longuement sur la bouche. Ce baiser parut durer éternellement, avant que leurs lèvres ne puissent enfin se séparer.
- Sophie, c’était tout simplement incroyable ! Dit finalement Cathy en posant sa main ouverte sur son pubis lisse.
- Ne t’inquiète pas, lui dit Sophie, maintenant nous allons vivre des moments incroyables, je le promets.
- Rien que de t’écouter, je mouille de nouveau.
Sophie lui répondit :
- File prendre une douche, il va être l’heure d’aller souper et tes parents vont nous attendre.
Cathy fila dans la salle de bains, et Sophie la suivie du regard, heureuse et pleine de désir, elle avait une amante, et les jours à venir s’annonçaient chauds.
Quand Cathy ressortit de la salle de bains, Sophie avait déjà mis de l’ordre. La chambre était en ordre et toutes traces de leurs ébats avaient disparus.
- Habille toi sexy, dit Sophie à Cathy, pendant que je file me doucher.
Et elle donna un baiser à Cathy au passage. Puis, elle disparut dans la salle de bains.
Cathy fredonnait gaiement tout en s’habillant, une simple petite culotte de coton blanc, son tee-shirt blanc moulant sa poitrine et la courte jupe d’été, blanche elle aussi, qui guère plus longue qu’une jupe de tennis mettait parfaitement en valeur ses jambes et de légères sandales à courroie.
Sophie revint dans la chambre et laissa tomber sur le lit le drap de bains qui la couvrait et s’habilla aussi légèrement que Cathy.
- Je voudrais te faire deux tresses comme tu les portais avant, lorsque nous nous sommes rencontrées, demanda Sophie en s’approchant de Cathy, ainsi tu auras l’air d’une petite fille.
- Pourquoi pas, si ça te fait plaisir ! Dis Cathy.
Bientôt les cheveux d’Cathy furent attachés en deux longues tresses, une coiffure qui lui donnait une sorte d’apparence de petite fille et qui contrastait carrément l’image de ses formes féminines, si bien qu’elle ne pouvait guère passer pour une écolière. Sophie lui offrit un baiser mutin sur le nez.
- Tu es très belle !
Puis Sophie prit la clé et elles se dirigèrent vers la porte. À mi-chemin, Sophie se retourna vers Cathy, et dit :
- J’ai failli oublier, t’as pas mis de culotte j’espère.
- Si, pourquoi ?
- Ce soir, tu n’en as pas besoin, dit doucement Sophie, retires-la.
Soulevant sa jupe Cathy s’exécuta en marmonnant atterrée :
- Mais, Sophie, ma jupe est si courte.
Sophie entoura les fesses de son amie qui, dans sa surprise, tenait toujours sa jupe relevée sur ses hanches et la serra contre elle. Elle avait le sexe rasé de Cathy à la hauteur des yeux. Doucement, elle déposa un baiser sur les grandes lèvres toujours parfumées d’huile et glissa sa langue dans la fente de Cathy. Puis elle se releva d’un bond et regarda Cathy droit dans les yeux :
- Ce soir, je te veux que tu sois nue sous ta jupe et le fait que nous le sachions toutes les deux pimentera le souper avec tes parents, allez viens maintenant !
Il ne restait plus à Cathy que de s’abandonner à son destin. Sophie prit la main de Cathy et la tira hors de la chambre.
Dans le couloir de l’hôtel, alors que Cathy sentait que son cœur battre la chamade, elle se dit qu’elles étaient prises toutes les deux de folie, mais la folle situation ne lui déplaisait pas tant que cela.
Evidemment, l’ascenseur n’était pas là et elles durent attendre.
Côte à côte, pendant cette attente, Sophie fit glisser sa main droite sur la fesse gauche de son amie seulement couverte de sa courte jupe, elle sentit sous le tissu la chaleur du corps de Cathy.
Celle-ci inspira bruyamment et jeta un regard réprobateur à son amie, regard aussi qui oscillait entre insécurité et excitation, puis Sophie se montra plus audacieuse, d’un vif mouvement elle releva la jupe de Cathy et glissa sa main dessous.
Cathy sentit une bouffée de chaleur l’envahir, elle recula son bassin en disant :
- Non, t’es folle !
- Oui, répondis Sophie, de toi.
Cathy ne pouvait presque plus s’opposer à l’assaut des sens qui l’envahissaient. Respirant de façon saccadée, elle se balançait sur ses hanches en sentant le bout des doigts de Sophie parcourir doucement sa peau nue et finalement atteindre sa fente déjà un peu humide.
Puis l’ascenseur arriva, elles montèrent pour se rendre à la salle à manger.
Arrivées au rez de chaussé en sortant de l’ascenseur, l’employé de la réception fit un signe de tête approbateur aux deux jeunes filles qui sortaient de l’ascenseur et marchaient vers le restaurant. Il prit plaisir à laisser son regard s’arrêter en particulier sur les rondeurs du postérieur de la brune qui portait ce soir deux tresses et qui en marchant rajustait sa légère et courte jupe d’été de sa main droite.
Seule Sophie put entendre :
- Je n’y crois pas ! murmura Cathy entre ses dents.
A suivre…
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