Titre de l'histoire érotique : Lucas et moi - histoire érotique

Lucas et moi

Il y’a quelques mois plusieurs fois j’ai fait le même rêve. Je rêvais que j’étais en 2010 et que je faisais l’amour avec mon meilleur copain.

J’ai connu Lucas au collège, on est devenu copain à ce moment là. Après avoir découvert que j’étais bisexuel je suis tombé amoureux de lui. Ca été mon amour d’adolescent. Amour impossible. Lui beau brun à la peau clair avait toutes les filles qu’il voulait. Moi le mec rondouillard, timide et maladroit. A défaut de pouvoir sortir avec lui j’essayais de traîner le plus possible avec lui pour profiter de lui le plus possible. Jusque là c’est une histoire assez classique. Ce qui l’est moins entre guillemet c’est la suite.

Septembre 2010 j’ai enfin terminé mes études, j’ai mon diplôme, un jour je croise Lucas et lui annonce. Il me propose de passer le samedi qui vient chez lui avec une bouteille. Moi qui ne boit jamais d’alcool (sauf contraint et forcé) j’achète donc une bouteille de cidre au Super U voisin et me rend « chez lui ». Lucas habite le garage de la maison de sa mère. Il s’est aménagé sa chambre, avec sa batterie, ses guitares et son lit. Après avoir discuté en buvant un peu de cidre Lucas me dit « On va en profiter pour faire tout ce que t’as pas fait. ». Pour le jeune puceau que je suis cette phrase n’a rien d’anodin, mais angoissé comme je l’étais à chaque fois que je le voyais, l’idée qui m’est venue en tête à ce moment là n’a pas réussie à franchir le seuil de mon esprit. Croyez moi je le regrette amèrement. Car même s’il m’avait jeté, j’aurais tenté, car même si je n’avais à mon sens que 10% de chance qu’il me dise ok, c’était toujours une chance. Quelques années plus tard j’ai commencé à rêver de cet épisode. Sauf que dans mon rêve j’osais lui demander ce qui à l’époque était mon rêve le plus cher.

« J’aimerais faire l’amour avec toi.
- J’suis pas pd mec.
- Je sais, mais tu as dit faire tout ce que j’avais pas fait. Je suis toujours puceau et ça fait des années que je suis amoureux de toi. Je te demande de le faire juste une fois. Tu seras actif.
- Tu en as vraiment envie ?
- Oui.
- Je te pénètre c’est tout ?
- Je te suce et tu me baises, c’est tout.
- Ok. Juste une fois mec.
- Ok. »

On se déshabille chacun de notre côté, Lucas enfile une capote sur sa queue à moitié raide. Je m’approche de l’objet de mes désirs et l’avale pendant que mes mains caresse son torse. Un torse magnifique, sans un poils et avec de belles tablettes de chocolat. Ce plaisir dure quelques minutes pendant lesquelles je l’avale entièrement, je suce le gland, le titille, enroule ma langue autours de sa queue, … . Je découvre ce plaisir de la fellation et ce que je peux faire avec ma bouche et ma langue pour pour donner du plaisir à cette belle queue. Lucas soupire de plaisir et après avoir repoussé ma tête me dit de me mettre sur le lit, dans la position que je veux. Alors je me met sur le dos pour profiter de la vue splendide qu’elle m’offre sur son corps et son beau visage. Lucas me pénètre doucement. Je grimace sous l’effet de cette première pénétration. Lucas qui voit que je souffre me dit qu’il va arrêter, je lui dis de continuer. Il continue, progresse lentement, par palier, pour laisser mon cul s’habituer à sa queue. Arrivé au fond, il attend de voir mes grimaces s’estomper pour commencer à me baiser. Je prend du plaisir à sentir cette queue en moi, à le regarder, à le voir me baiser. Je le vois prendre du plaisir à me limer le cul. Je le vois haleter de plus en plus jusqu’à ce grand soupir de soulagement. Je sens sa queue expulser la semence dans la capote. Je vois son sourire réjoui. Je suis heureux. J’ai pris du plaisir et je vois que lui aussi à aimé. Lucas se retire. Après avoir jeté le préservatif, la queue pendante il me dit
« T’as pas joui ?
- Non. Mais j’ai adoré que tu me baises.
- J’ai vu. Moi aussi j’ai aimé. » 

Dans mon rêve on en reste là ce jour là. Mais quelques jours plus tard Lucas me demande de passer le voir. Arrivé chez lui il m’explique que ça lui a plut et qu’il veut recommencer. Fou de joie je l’embrasse et à ma grande surprise il me rend mon baiser avant de me désaper en vitesse et de mettre une capote sur son sexe qui n’attend que ma bouche. On recommencera à faire l’amour quelques jours plus tard. Cette fois après m’avoir pris il me demande
« Je sais que je suis pas pd, mais je prend du plaisir à faire l’amour avec toi. Comme on avait dit je suis uniquement actif, mais j’aimerais bien être passif pour essayer. Ca te gêne ?
- Pas du tout. J’aime quand tu me baises, mais j’ai moi aussi envie d’essayer te faire l’amour. »

Alors Lucas met une capote sur mon sexe, approche doucement sa bouche et commence à me tailler un pipe. Que c’est agréable. Mais il ne semble pas apprécier autant que moi et sa bouche quitte rapidement ma bite. Comme moi il s’allonge ensuite sur me dos. Comme pour ma première fois, je le pénètre avec une grande douceur pour éviter qu’il n’ait trop mal. Je commence ensuite à le limer. Et sous l’effet de mes va et viens, je vois Lucas prendre du plaisir. Je le vois prendre du plaisir à se faire prendre. Plaisir qu’il pensait déshonorant, pas son truc, … . Voir le garçon dont je rêve depuis si longtemps prendre son pied sous l’effet de ma queue déclenche mon orgasme. Je remplis la capote, tandis que Lucas jouit lui aussi.

Après avoir fais l’amour à Lucas nous recommençons quelques jours plus tard. Là il me dira qu’il a pris du plaisir avec moi, mais qu’il n’était pas amoureux et que les nanas lui manquait trop, alors après une dernière baise, Lucas m’a laissé repartir seul. Seul et malheureux. Malheureux que ça ne continue pas, malheureux qu’il ne soit pas tombé amoureux. Mais avec tout de même une petite joie, avoir fait l’amour avec lui. Quelques semaines plus tôt cela était tellement improbable.

Malheureusement tout ça n’est qu’un rêve. En vrai après cette rencontre j’ai revu Lucas une dernière fois. Une fois où il me considérait plus comme un ancien copain, que comme son meilleur ami ou tout simplement un copain. Depuis ce jour de 2011 je ne l’ai plu revu. J’ai déchanté sur celui que je voyais comme le garçon parfait. Depuis j’ai appris qu’il vivait à Lyon. Moi même je me suis installé dans l’Oise où vivait celle qui allait devenir il y’a bientôt 3 ans, ma femme. Pour être honnête j’aime ma femme, même si au fonds de moi j’aurais toujours le regret de ce coup manqué.