Titre de l'histoire érotique : Ma cousine salope [3]
Récit érotique écrit par Wizks [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 28 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Wizks ont reçu un total de 409 243 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 5 226 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Ma cousine salope [3]
http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=26816
Amandine était partante pour une autre baise le week-end suivant. Je comptais faire ça au même endroit, mais j’avais une sorte de fantasme : je voulais trouver des mecs qui payent pour la baiser. Je voulais en faire une pute, ni plus ni moins. Je ne sais pas d’où ça m’est venu, mais son côté vulgaire m’a tellement excité, je pense que c’est la raison.
Elle travaille dans un secteur où elle a souvent affaire aux gens du coin. Le petit vieux du week-end dernier l’avait reconnue, j’en était quasiment sûr. Je voulais savoir s’il allait venir la voir au taf. Et surtout je voulais être là pour voir sa réaction. Du coup dès que je pouvais j’attendais sur un banc devant l’entrée du bâtiment où Amandine travaille et je surveillais les allées-venues. J’ai pas dû patienter longtemps : le 1ier jour en fin de matinée, je vois le vieux entrer dans le bâtiment. J’entre à mon tour et je le vois attendre que ce soit son tour (je veux pas parler de son métier, mais chaque personne attend pour lui parler une à une). Quand c’est son tour, il va lui parler, et je vois à travers son pantalon qu’il bande. Quand il lui parle il se touche discrètement. Vu la tête d’Amandine, la discussion ne sort pas du cadre professionnel. Puis au moment où il part je crois capter un « merci pour samedi soir » ou « c’était bien samedi soir ». Amandine surprise, le regarde d’un air limite dégoûté, le rouge lui monte aux joues.
Quand je vois ça, une idée me vient : je sors de la salle, et j’appelle Amandine sur son téléphone professionnel. Elle répond de suite :
- C’est Rémi, dans 2 minutes tu vas faire une pause et tu vas aller aux toilettes.
Je raccroche avant qu’elle réponde. Les toilettes sont après la sortie de la salle où elle travaille. Je vois le petit vieux arriver, et je le vois me reconnaître.
- Ça vous dit de remettre ça avec Amandine ?
Je lui explique que le week-end prochain elle sera dispo, mais que ça sera 20€. Il rechigne et je le vois hésiter. Je lui dis que s’il reveut un aperçu, qu’il entre dans les toilettes d’ici 5minutes. Moi je pars me mettre en place.
Quand on rentre dans les toilettes, il y a une zone commune avec lavabo et miroir, puis deux portes faces à l’entrée pour deux toilettes séparées. Les deux sont vides. Amandine arrive, on se dit bonjour. Quand elle me fait la bise j’en profite pour lui mettre la main au cul, elle ne s’en offusque pas, semble même attendre plus. Je la fais rentrer dans une des deux cabines et je la retourne. Elle est dos à moi, contre la porte, qu’elle a fermé. Je baisse son jean, son string, et constate qu’elle est déjà trempée. Son jean me gêne alors je lui dis de l’enlever complètement. J’en profite pour lui enlever le string aussi. Je commence à l’enculer, les coups de bite s’entendent dans la zone commune mais on suppose que ça ne s’entend pas de l’extérieur. Puis on entend quelqu’un entrer. Je suppose que c’est le petit vieux. Amandine essaye de me retenir pour pas qu’on fasse de bruit. Alors qu’elle me retient de sa main droite, sa main gauche est appuyée sur la porte. J’ouvre le loquet, et Amandine n’a pas le temps de réagir que la porte s’ouvre. Le petit vieux nous découvre dans cette position, se dirige vers nous en sortant sa queue. Il la présente à Amandine pour qu’elle le suce. On est trop nombreux pour pouvoir fermer la porte. La situation m’excite au plus haut point, je gicle dans le cul d’Amandine alors que le vieux se finit à la main en lui éjaculant au visage.
Au moment de sortir, je prends le string d’Amandine et le donne au vieux. Il me dit « OK pour samedi, 20€ » et part. Amandine a entendu la phrase, elle se rhabille autant qu’elle peut et s’essuie le visage devant le lavabo. Elle a l’air un peu honteuse mais satisfaite aussi. Une fois remise elle me sort :
- Putain t’es un salop, tu te fais du fric sur mon cul ?
- Non je te le laisse le fric, mais samedi les mecs qui voudront pourront te baiser pour 20€.
Elle me regarde, d’un air interdit.
- Si tu veux on arrête tout, lui dis-je alors.
Je ne voulais pas la torturer.
- Tu me baiseras toi aussi ?
- Je suppose oui.
- Alors c’est bon, dit-elle.
Je la regarde alors qu’elle se rince le visage à l’eau du lavabo. Je décide de la baiser. Je baisse son jean à nouveau, et cette fois je m’enfonce dans sa chatte dégoulinante. Elle jette des coups d’œil régulier à la porte, si quelqu’un rentre on n’aura pas le temps de réagir. Je finis par éjaculer, et je lui demande de me nettoyer la queue, ce qu’elle fait sans rechigner.
Si ça vous a plu, je vous raconterai la soirée du week-end suivant.
Amandine était partante pour une autre baise le week-end suivant. Je comptais faire ça au même endroit, mais j’avais une sorte de fantasme : je voulais trouver des mecs qui payent pour la baiser. Je voulais en faire une pute, ni plus ni moins. Je ne sais pas d’où ça m’est venu, mais son côté vulgaire m’a tellement excité, je pense que c’est la raison.
Elle travaille dans un secteur où elle a souvent affaire aux gens du coin. Le petit vieux du week-end dernier l’avait reconnue, j’en était quasiment sûr. Je voulais savoir s’il allait venir la voir au taf. Et surtout je voulais être là pour voir sa réaction. Du coup dès que je pouvais j’attendais sur un banc devant l’entrée du bâtiment où Amandine travaille et je surveillais les allées-venues. J’ai pas dû patienter longtemps : le 1ier jour en fin de matinée, je vois le vieux entrer dans le bâtiment. J’entre à mon tour et je le vois attendre que ce soit son tour (je veux pas parler de son métier, mais chaque personne attend pour lui parler une à une). Quand c’est son tour, il va lui parler, et je vois à travers son pantalon qu’il bande. Quand il lui parle il se touche discrètement. Vu la tête d’Amandine, la discussion ne sort pas du cadre professionnel. Puis au moment où il part je crois capter un « merci pour samedi soir » ou « c’était bien samedi soir ». Amandine surprise, le regarde d’un air limite dégoûté, le rouge lui monte aux joues.
Quand je vois ça, une idée me vient : je sors de la salle, et j’appelle Amandine sur son téléphone professionnel. Elle répond de suite :
- C’est Rémi, dans 2 minutes tu vas faire une pause et tu vas aller aux toilettes.
Je raccroche avant qu’elle réponde. Les toilettes sont après la sortie de la salle où elle travaille. Je vois le petit vieux arriver, et je le vois me reconnaître.
- Ça vous dit de remettre ça avec Amandine ?
Je lui explique que le week-end prochain elle sera dispo, mais que ça sera 20€. Il rechigne et je le vois hésiter. Je lui dis que s’il reveut un aperçu, qu’il entre dans les toilettes d’ici 5minutes. Moi je pars me mettre en place.
Quand on rentre dans les toilettes, il y a une zone commune avec lavabo et miroir, puis deux portes faces à l’entrée pour deux toilettes séparées. Les deux sont vides. Amandine arrive, on se dit bonjour. Quand elle me fait la bise j’en profite pour lui mettre la main au cul, elle ne s’en offusque pas, semble même attendre plus. Je la fais rentrer dans une des deux cabines et je la retourne. Elle est dos à moi, contre la porte, qu’elle a fermé. Je baisse son jean, son string, et constate qu’elle est déjà trempée. Son jean me gêne alors je lui dis de l’enlever complètement. J’en profite pour lui enlever le string aussi. Je commence à l’enculer, les coups de bite s’entendent dans la zone commune mais on suppose que ça ne s’entend pas de l’extérieur. Puis on entend quelqu’un entrer. Je suppose que c’est le petit vieux. Amandine essaye de me retenir pour pas qu’on fasse de bruit. Alors qu’elle me retient de sa main droite, sa main gauche est appuyée sur la porte. J’ouvre le loquet, et Amandine n’a pas le temps de réagir que la porte s’ouvre. Le petit vieux nous découvre dans cette position, se dirige vers nous en sortant sa queue. Il la présente à Amandine pour qu’elle le suce. On est trop nombreux pour pouvoir fermer la porte. La situation m’excite au plus haut point, je gicle dans le cul d’Amandine alors que le vieux se finit à la main en lui éjaculant au visage.
Au moment de sortir, je prends le string d’Amandine et le donne au vieux. Il me dit « OK pour samedi, 20€ » et part. Amandine a entendu la phrase, elle se rhabille autant qu’elle peut et s’essuie le visage devant le lavabo. Elle a l’air un peu honteuse mais satisfaite aussi. Une fois remise elle me sort :
- Putain t’es un salop, tu te fais du fric sur mon cul ?
- Non je te le laisse le fric, mais samedi les mecs qui voudront pourront te baiser pour 20€.
Elle me regarde, d’un air interdit.
- Si tu veux on arrête tout, lui dis-je alors.
Je ne voulais pas la torturer.
- Tu me baiseras toi aussi ?
- Je suppose oui.
- Alors c’est bon, dit-elle.
Je la regarde alors qu’elle se rince le visage à l’eau du lavabo. Je décide de la baiser. Je baisse son jean à nouveau, et cette fois je m’enfonce dans sa chatte dégoulinante. Elle jette des coups d’œil régulier à la porte, si quelqu’un rentre on n’aura pas le temps de réagir. Je finis par éjaculer, et je lui demande de me nettoyer la queue, ce qu’elle fait sans rechigner.
Si ça vous a plu, je vous raconterai la soirée du week-end suivant.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Wizks
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On n'a pas encore osé d'aller jusqu'au bout, cela va finir par arriver
Bien aimé cette histoire. Est-elle vécue?
Beaucoup de femmes fantasment sur le fait de faire la pute.
Une suite?
Beaucoup de femmes fantasment sur le fait de faire la pute.
Une suite?
Au WE prochain alors :-)
(Ça m'a bien plu, moi aussi je fantasme à fond qu'on me traite comme une putain,,même si je sais bien que pour la plupart elles ne l'ont pas choisi.
(Ça m'a bien plu, moi aussi je fantasme à fond qu'on me traite comme une putain,,même si je sais bien que pour la plupart elles ne l'ont pas choisi.
C'est salaud et pas salop c'est mieux ....