Titre de l'histoire érotique : Ma cousine se découvre...
Récit érotique écrit par Julien_80 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2017 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : Ma cousine se découvre...
J'ai rencontré pour la première fois ma cousine Florence lors d'un mariage. Bien que d'un âge proche, 26 ans pour moi, 20 ans pour elle, nous ne nous etions jamais rencontré. Ce mariage n'a pas facilité notre rencontre : elle était placée à la table des enfants et moi de couples très agés. Pour faire bref, nous avons passé plus de temps dans les couloirs de l'hotel qu'à table, où ne nous sentions pas à notre place. Une complicité naturelle est née de cette situation, et je n'ai aucun souvenir de ce mariage si ce n'est celui de ma cousine qui me faisait un rentre dedans que je ne voyais pas jusqu'alors...
Ce n'est que 15 jours plus tard qu'elle m'invita à Poitiers, passer le week-end.
Nous étions immanquablement attiré l'un vers l'autre, sexuellement, mais je pense sincèrement qu'à cet instant ce n'était pas avoué ou conscient. Pour moi en tout cas.
Jeune, pas très grande ni très fine mais pulpeuse, de grands yeux bleus avec des traits fins, ma cousine était particulièrement sexy. Son généreux 90C y participait beaucoup, de même que ses lèvres, gourmandes, et qui habillaient un sourire mutin.
Dans son petit studio, nous étions naturellement couchés dans le même lit, un clic clac d'étudiant. Forcement étroit. Je n'ai curieusement pas de souvenir exact du déclenchement, mais couché contre elle, légèrement serrés, Florence a deviné mon érection... La réalité a rattrapé son imagination lorsqu'étonnamment, elle a soudain posée la main sur mon sexe, emprisonné dans un boxer.
"Tu es déjà chaud!" me glissa-t-elle.
Je l'embrassais alors, tout en lui caressant les seins, dont la douceur et la fermeté provoquaient au creux de la main de ma cousine les soubresauts de mon membre gonflé.
J'avais envie de la baiser, de lui secouer les seins en m'enfonçant violemment entre ses fesses et de lui faire pousser des cris en l'écartelant avec ma queue, plutôt large. Je suis descendu bas dans le lit, pour lui retirer sa culotte et gouter à sa chatte, sa jeune chatte d'étudiante. Le fin duvet blond que je découvris ne fis que m'exciter davantage ; une vraie blonde !
Elle mouillait beaucoup, je léchais son tendre ventre blanc laiteux autant que sa douce chatte tiède, offerte. Ses fesses, bien en chair, étaient étonnamment fermes et serrées.
Après quelques minutes de ce traitement qu'elle semblait apprécier, je remontais pour goûter à sa bouche. Et lui faire gouter le gout de sa mouille, ce qu'elle accepta avec plaisir... tout en m'avouant timidement sa virginité.
Son petit ami, m'expliqua-t-elle, n'avait jamais été en mesure de lui offrir une érection correcte... incroyable mais vrai. Je l'imagine, masturbant pendant des plombes ce mec impuissant incapable de satisfaire le cul girond de ma belle cousine blonde.
Nous ne fîmes rien cette nuit là ; inutile de vous dire le niveau de ma frustration. Elle me repoussa et passa la nuit dans mes bras, satisfaite et surtout rassurée de savoir que son corps, ses seins, son sexe puisse susciter l'envie chez un homme, ce en quoi elle doutait depuis des mois.
Lorsque nous nous revîmes le week-end suivant, je n'espérais pas grand-chose de cette nouvelle visite, si ce n'est être sur que notre écart resterait entre nous.
Apres un dîner rapide, cette discussion n'eut pas lieu ; elle m'approcha calmement, m'embrassa et me dit : "je veux ton sexe. Ma chatte est vierge...mais pas ma bouche."
Je me rappellerais toute ma vie ses magnifiques cheveux blonds, caressant mon ventre pendant que ses lèvres allaient et venaient le long de ma queue, raide comme un marteau en feu. J'allais jouir, et je me demandais si j'allais la prévenir ou non : ma belle salope blonde n'avait en effet jamais fait jouir d'homme jusque là! Tout lâcher dans sa bouche, sur sa langue, au fond de sa gorge de pucelle... L'étouffer avec mon sperme, lui engluer la bouche en lui agrippant sa crinière blonde, voila à quoi je rêvais à cet instant.
Mais non, elle me demanda de juter en dehors, de bien la prévenir. Petite déception qui n'entacha pas mon orgasme, violent et fourni.
Elle n'en avait jamais assez : elle pouvait me sucer 3 à 4 fois chaque jour durant le w-e. Elle adorait voir l'effet qu'avait sa langue et sa bouche sur mon sexe, plutôt volontaire !
Le dimanche était la journée la plus excitante car ses parents venaient la réapprovisionner en fin de journée, sans horaire fixe. Je devais donc me tenir prêt à partir et surtout être parti avant leur arrivée... ce qui sous entendait ne pas etre en train de remplir les joues de leur fille avec mon gland.
3 semaines s'écoulèrent ainsi. J'en voulais plus. Je voulais sa chatte blonde. Je voulais la défoncer, et lui arracher des cris, un orgasme. Son premier.
Nous passions de super week end, il faut le reconnaître. Je ne me sentais jamais frustré, pas comme aujourd'hui, avec mon mariage, mais ce sera une autre histoire.
Sport, shopping, soirée, nous simulions un parfait petit couple, même ses amis n'avaient plus de doute... mes mon identité restait absolument secrète !
Le samedi soir ce soir là, elle n'en pouvait plus. Elle était chaude, mouillée, prête. Elle craqua et accepta ma queue. Je fus très doux en faisant jaillir le premier sang.
Comme toutes filles un peu rondes,
Je venais alors d'ouvrir une porte dangereuse, une vraie liaison incestueuse.
La nuit s'écoula comme le sperme dans le préservatif. Je ne garde pas de souvenir particulier de cette vraie "première" nuit. Je pense encore aujourd'hui qu'elle avait dû attendre ça depuis des mois. Dépucelée à 20 ans, mais surtout par son cousin... Le dimanche nous remîmes ça. Car son éducation ne faisait que commencer !
Mais ça sera une autre histoire !
Ce n'est que 15 jours plus tard qu'elle m'invita à Poitiers, passer le week-end.
Nous étions immanquablement attiré l'un vers l'autre, sexuellement, mais je pense sincèrement qu'à cet instant ce n'était pas avoué ou conscient. Pour moi en tout cas.
Jeune, pas très grande ni très fine mais pulpeuse, de grands yeux bleus avec des traits fins, ma cousine était particulièrement sexy. Son généreux 90C y participait beaucoup, de même que ses lèvres, gourmandes, et qui habillaient un sourire mutin.
Dans son petit studio, nous étions naturellement couchés dans le même lit, un clic clac d'étudiant. Forcement étroit. Je n'ai curieusement pas de souvenir exact du déclenchement, mais couché contre elle, légèrement serrés, Florence a deviné mon érection... La réalité a rattrapé son imagination lorsqu'étonnamment, elle a soudain posée la main sur mon sexe, emprisonné dans un boxer.
"Tu es déjà chaud!" me glissa-t-elle.
Je l'embrassais alors, tout en lui caressant les seins, dont la douceur et la fermeté provoquaient au creux de la main de ma cousine les soubresauts de mon membre gonflé.
J'avais envie de la baiser, de lui secouer les seins en m'enfonçant violemment entre ses fesses et de lui faire pousser des cris en l'écartelant avec ma queue, plutôt large. Je suis descendu bas dans le lit, pour lui retirer sa culotte et gouter à sa chatte, sa jeune chatte d'étudiante. Le fin duvet blond que je découvris ne fis que m'exciter davantage ; une vraie blonde !
Elle mouillait beaucoup, je léchais son tendre ventre blanc laiteux autant que sa douce chatte tiède, offerte. Ses fesses, bien en chair, étaient étonnamment fermes et serrées.
Après quelques minutes de ce traitement qu'elle semblait apprécier, je remontais pour goûter à sa bouche. Et lui faire gouter le gout de sa mouille, ce qu'elle accepta avec plaisir... tout en m'avouant timidement sa virginité.
Son petit ami, m'expliqua-t-elle, n'avait jamais été en mesure de lui offrir une érection correcte... incroyable mais vrai. Je l'imagine, masturbant pendant des plombes ce mec impuissant incapable de satisfaire le cul girond de ma belle cousine blonde.
Nous ne fîmes rien cette nuit là ; inutile de vous dire le niveau de ma frustration. Elle me repoussa et passa la nuit dans mes bras, satisfaite et surtout rassurée de savoir que son corps, ses seins, son sexe puisse susciter l'envie chez un homme, ce en quoi elle doutait depuis des mois.
Lorsque nous nous revîmes le week-end suivant, je n'espérais pas grand-chose de cette nouvelle visite, si ce n'est être sur que notre écart resterait entre nous.
Apres un dîner rapide, cette discussion n'eut pas lieu ; elle m'approcha calmement, m'embrassa et me dit : "je veux ton sexe. Ma chatte est vierge...mais pas ma bouche."
Je me rappellerais toute ma vie ses magnifiques cheveux blonds, caressant mon ventre pendant que ses lèvres allaient et venaient le long de ma queue, raide comme un marteau en feu. J'allais jouir, et je me demandais si j'allais la prévenir ou non : ma belle salope blonde n'avait en effet jamais fait jouir d'homme jusque là! Tout lâcher dans sa bouche, sur sa langue, au fond de sa gorge de pucelle... L'étouffer avec mon sperme, lui engluer la bouche en lui agrippant sa crinière blonde, voila à quoi je rêvais à cet instant.
Mais non, elle me demanda de juter en dehors, de bien la prévenir. Petite déception qui n'entacha pas mon orgasme, violent et fourni.
Elle n'en avait jamais assez : elle pouvait me sucer 3 à 4 fois chaque jour durant le w-e. Elle adorait voir l'effet qu'avait sa langue et sa bouche sur mon sexe, plutôt volontaire !
Le dimanche était la journée la plus excitante car ses parents venaient la réapprovisionner en fin de journée, sans horaire fixe. Je devais donc me tenir prêt à partir et surtout être parti avant leur arrivée... ce qui sous entendait ne pas etre en train de remplir les joues de leur fille avec mon gland.
3 semaines s'écoulèrent ainsi. J'en voulais plus. Je voulais sa chatte blonde. Je voulais la défoncer, et lui arracher des cris, un orgasme. Son premier.
Nous passions de super week end, il faut le reconnaître. Je ne me sentais jamais frustré, pas comme aujourd'hui, avec mon mariage, mais ce sera une autre histoire.
Sport, shopping, soirée, nous simulions un parfait petit couple, même ses amis n'avaient plus de doute... mes mon identité restait absolument secrète !
Le samedi soir ce soir là, elle n'en pouvait plus. Elle était chaude, mouillée, prête. Elle craqua et accepta ma queue. Je fus très doux en faisant jaillir le premier sang.
Comme toutes filles un peu rondes,
Je venais alors d'ouvrir une porte dangereuse, une vraie liaison incestueuse.
La nuit s'écoula comme le sperme dans le préservatif. Je ne garde pas de souvenir particulier de cette vraie "première" nuit. Je pense encore aujourd'hui qu'elle avait dû attendre ça depuis des mois. Dépucelée à 20 ans, mais surtout par son cousin... Le dimanche nous remîmes ça. Car son éducation ne faisait que commencer !
Mais ça sera une autre histoire !
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