Titre de l'histoire érotique : Ma femme est une jolie nympho ?
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 44 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Abadi ont reçu un total de 565 348 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2014 dans la catégorie En solitaire
Cette histoire de sexe a été affichée 19 895 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Ma femme est une jolie nympho ?
Ma femme est-elle une jolie nympho ?.... C’est à vous de me le dire !
Elle est toujours en train d’y penser au point que lorsque nous marchons dans la rue, je la surprends souvent à baisser le regard au niveau de la braguette des hommes que nous croisons… Lorsque nous sommes en société, c’est la même chose, elle fait preuve d’un regard très perspicace et parfois même très appuyé . Pour preuve : c’est qu’elle est capable de vous dire que Monsieur Truc ou Monsieur Machin, rencontré deux jours avant, porte plutôt à droite qu’à gauche !… Ou l’inverse… Nous dirons qu’elle est très intéressée par la bosse dans le pantalon !
Il n’est pas rare non plus qu’au cours de soirées en bonne société, avec des personnes bien sous tous rapports , tel que des vernissages ou des invitations sélectes diverses, elle s’éclipse aux toilettes pour se rafraîchir un peu , comme elle le prétend. Pour ma part, je sais très bien qu’elle va se masturber ! Si elle a vu dans l’assistance un bel homme, assez jeune de préférence, qui lui plait et avec qui elle aimerait passer un moment, à coup sûr, elle va aller prendre son pied en solitaire. Se faire un doigt comme le dit très vulgairement ma jeune collègue…
Je me suis longtemps poser la question. Pour qu’elle ait envie de se masturber ainsi chaque fois qu’elle est dans un environnement masculin, est-ce parce qu’elle est sexuellement insatisfaite ? Peut-être que je la baise mal ? Ou plutôt pas assez bien ?... Je n’ai pas la réponse absolue à mon interrogation. Mais avec le temps, je me dis que même dans les périodes où elle a eu de grandes satisfactions sexuelles, elle a toujours eu ce besoin. Elle a des pratiques masturbatoires très fréquentes et très impromptues. Comme si c’était plus fort qu’elle. Comme si elle ne pouvait réprimer cette envie qui devient pour elle irrépressible… Voyez dans mon album photo, les preuves en images de ce que j’avance…
Nymphomane… Comme chacun le sait, ce nom s’emploie pour désigner une femme dont les désirs sexuels sont exagérés par rapport à la normale ; une femme dont le besoin de jouissance vire à l’obsession pathologique. Je pense que cet adjectif s’applique tout à fait à ma jolie femme. Avez-vous déjà pensé à la signification de ce mot : nymphomane ? Cette appellation vient des petites lèvres vaginales : les nymphes , si sensibles et pour lesquelles ce type de femme aurait des affinités (masturbatoires notamment). Tout est dit !
Parfois, ses envies ont même pris des proportions très inimaginables pour quelqu’un de normal . Ainsi, nous habitons à quelques kilomètres d’un centre pénitentiaire d’une certaine importance qui est très visible d’une route que nous empruntons souvent. Presqu’à chaque fois que nous passons devant, elle fait des remarques sur tous ces hommes prisonniers qui, dit-elle, sont là, inoccupés et qui ne demanderaient qu’à servir sexuellement :
Chéri me dit-elle souvent à l’occasion de ces passages près du centre de détention, tu te rends compte tous ces beaux mâles et leur sexe, qui sont là à ne rien faire. Ils ne peuvent que se branler les pauvres et moi j’irais bien les soulager si je pouvais… Tu te rends compte toutes ces bites qui pourraient me baiser dans toutes les positions ?!... Quel gâchis ! Surtout qu’ils doivent en voir grande envie, les salauds !... Oh lala, ça me fait mouiller moi d’imaginer leur braquemart comme autant de gourdins bandés, gonflés, bons à sucer et prêts à baiser… Oh oui !... Tu vois chéri, j’ai envie de me branler chaque fois que l’on passe là, devant… Surtout la nuit…, comme ce soir… Je suis sûre qu’il y des mecs qui se branlent en ce moment… Arrête-toi là, sur le bord de la route…
Bien évidemment, je m’arrête. Et là, contemplant la forteresse recélant tous ses fantasmes de bites, les plus diverses, les plus idéalisées, elle baisse sa petite culotte et se branle en gémissant. Il lui arrive même d’aller sur la banquette arrière pour avoir plus d’espace et être plus à l’aise pour pratiquer son exercice préféré…
Oh oui !… Oh chéri, de les imaginer comme ça, cela me fait mouiller… Et bander aussi, tu sais … Pas toi ?... Je les vois bien là, devant moi en train de s’astiquer leur pine énorme… Tu crois chéri, qu’en se branlant ils pensent aux femmes, comme moi je pense à eux ?... Ils me voient peut-être dans leurs rêves ?... En tout cas, moi je rêve de leur queue, de leur bite ! Oh putain, que c’est bon !... Chéri, si t’étais un homme tu m’emmènerais les voir, pour que je les suce, que je les pompe, que je les branle… Qu’ils me crachent leur foutre sur les seins…, dans la bouche…, dans le trou…, partout !! Oh les salauds, je voudrais qu’ils me baisent, qu’ils me prennent à la file comme une chienne… Ah, je les ferais jouir moi… je t’assure !... Oh oui… Oh lala, oui, je jouis !… Je jouis, chéri… Je jouis pour vous…, pour vos bites !!... Déchargez-moi dessus !... Allez, ne vous privez pas, je m’offre à vous, mes salauds… Prenez-moi… Prenez-moi !!
Le délire peut durer comme ça plusieurs minutes… En général, je vais la calmer en la baisant bien à fond lorsqu’elle a bien joui, comme ça, dans la voiture, toutes portes ouvertes … Mais le plus souvent elle me reproche d’en avoir profité :
T’es un vrai salaud, toi. T’en profites, hein ! Tu n’as aucune pensée pour eux qui sont privés de femmes…, de seins…, de trous… Tu devrais m’offrir à eux si tu avais un peu de solidarité… Et puis ta queue, elle ne me surprend plus comme ce serait le cas avec celles que je ne connais pas !! J’ai besoin de nouveauté, moi et là derrière ces murs, ce n’est pas ça qui manque !!
La coquine était alors dans tous ces états, parfois apaisée d’avoir été baisée par moi au bon moment, mais le plus souvent frustrée des bites qu’elle aurait pu (qu’elle aurait dû !) avoir à sa portée...
Une fois, alors que nous rentrions d’un réveillon de la Saint-Sylvestre et qu’elle était ronde, pour ne pas dire très saoule, passant près du centre, il fallut bien sûr là encore, s’arrêter. Mais là elle avait décrété qu’elle allait se mettre à poil pour que les types dans la prison puissent en profiter au maximum... Pour qu’ils puissent : fêter la nouvelle année , disait-elle…
Elle voulut à tout prix, malgré mes mises en garde et mes efforts pour la faire remonter en voiture, se mettre devant les phares. Et là remontant sa robe, elle a enlevé son slip et elle a commencé à se branler, debout, une bouteille de champagne à la main en gueulant des obscénités… Je ne sais pas si des prisonniers ont pu la voir depuis la fenêtre de leur cellule, toujours est-il que ce fut surtout le maton, qui de son mirador a vu la scène. Et comme je le craignais, trois minutes plus tard, une voiture de flics fondait sur nous toutes sirènes hurlantes… Les trois gardiens qui en descendirent se saisirent de ma femme qui, à demi-nue et titubant se débattait comme une mégère, aspergeant les matons de champagne et menaçant de leur pisser dessus…
L’aventure faillit se terminer au poste. Il me fallut user de toute ma diplomatie et compter sur la compréhension des gardiens un soir de réveillon, pour que je puisse ramener ma coquine d’épouse à la maison.
J’eus du mal à la descendre seul de la voiture. Elle chantait encore des chansons paillardes et rameutait le quartier en beuglant des histoires de bites et de cul. Déjà des fenêtres s’allumaient aux façades du voisinage. Je finis par la faire entrer. Une fois dans la maison, je lui fis tout de suite boire une bonne rasade d’alcool fort qui finit de l’assommer.
Il n’empêche, cela ne l’a pas corrigé pour autant de ses envies masturbatoires. Lorsque nous passons près du centre pénitentiaire, il faut la plupart du temps sacrifier au rituel. Certes de façon plus discrète que cette fois-là, mais tout aussi intense. Comme si elle demeurait insatiable ; insatiable des sexes fantasmés de ces hommes enfermés derrière les barreaux…
En contrepartie, j’ai souvent secrètement rêvé de la lâcher un jour dans ce centre de détention et de voir ce qui se passerait !! Je me plais parfois à l’imaginer…
Et vous en conviendrez, l’imaginer ne coute rien, au contraire !
Alors, nympho, ou pas ?
Elle est toujours en train d’y penser au point que lorsque nous marchons dans la rue, je la surprends souvent à baisser le regard au niveau de la braguette des hommes que nous croisons… Lorsque nous sommes en société, c’est la même chose, elle fait preuve d’un regard très perspicace et parfois même très appuyé . Pour preuve : c’est qu’elle est capable de vous dire que Monsieur Truc ou Monsieur Machin, rencontré deux jours avant, porte plutôt à droite qu’à gauche !… Ou l’inverse… Nous dirons qu’elle est très intéressée par la bosse dans le pantalon !
Il n’est pas rare non plus qu’au cours de soirées en bonne société, avec des personnes bien sous tous rapports , tel que des vernissages ou des invitations sélectes diverses, elle s’éclipse aux toilettes pour se rafraîchir un peu , comme elle le prétend. Pour ma part, je sais très bien qu’elle va se masturber ! Si elle a vu dans l’assistance un bel homme, assez jeune de préférence, qui lui plait et avec qui elle aimerait passer un moment, à coup sûr, elle va aller prendre son pied en solitaire. Se faire un doigt comme le dit très vulgairement ma jeune collègue…
Je me suis longtemps poser la question. Pour qu’elle ait envie de se masturber ainsi chaque fois qu’elle est dans un environnement masculin, est-ce parce qu’elle est sexuellement insatisfaite ? Peut-être que je la baise mal ? Ou plutôt pas assez bien ?... Je n’ai pas la réponse absolue à mon interrogation. Mais avec le temps, je me dis que même dans les périodes où elle a eu de grandes satisfactions sexuelles, elle a toujours eu ce besoin. Elle a des pratiques masturbatoires très fréquentes et très impromptues. Comme si c’était plus fort qu’elle. Comme si elle ne pouvait réprimer cette envie qui devient pour elle irrépressible… Voyez dans mon album photo, les preuves en images de ce que j’avance…
Nymphomane… Comme chacun le sait, ce nom s’emploie pour désigner une femme dont les désirs sexuels sont exagérés par rapport à la normale ; une femme dont le besoin de jouissance vire à l’obsession pathologique. Je pense que cet adjectif s’applique tout à fait à ma jolie femme. Avez-vous déjà pensé à la signification de ce mot : nymphomane ? Cette appellation vient des petites lèvres vaginales : les nymphes , si sensibles et pour lesquelles ce type de femme aurait des affinités (masturbatoires notamment). Tout est dit !
Parfois, ses envies ont même pris des proportions très inimaginables pour quelqu’un de normal . Ainsi, nous habitons à quelques kilomètres d’un centre pénitentiaire d’une certaine importance qui est très visible d’une route que nous empruntons souvent. Presqu’à chaque fois que nous passons devant, elle fait des remarques sur tous ces hommes prisonniers qui, dit-elle, sont là, inoccupés et qui ne demanderaient qu’à servir sexuellement :
Chéri me dit-elle souvent à l’occasion de ces passages près du centre de détention, tu te rends compte tous ces beaux mâles et leur sexe, qui sont là à ne rien faire. Ils ne peuvent que se branler les pauvres et moi j’irais bien les soulager si je pouvais… Tu te rends compte toutes ces bites qui pourraient me baiser dans toutes les positions ?!... Quel gâchis ! Surtout qu’ils doivent en voir grande envie, les salauds !... Oh lala, ça me fait mouiller moi d’imaginer leur braquemart comme autant de gourdins bandés, gonflés, bons à sucer et prêts à baiser… Oh oui !... Tu vois chéri, j’ai envie de me branler chaque fois que l’on passe là, devant… Surtout la nuit…, comme ce soir… Je suis sûre qu’il y des mecs qui se branlent en ce moment… Arrête-toi là, sur le bord de la route…
Bien évidemment, je m’arrête. Et là, contemplant la forteresse recélant tous ses fantasmes de bites, les plus diverses, les plus idéalisées, elle baisse sa petite culotte et se branle en gémissant. Il lui arrive même d’aller sur la banquette arrière pour avoir plus d’espace et être plus à l’aise pour pratiquer son exercice préféré…
Oh oui !… Oh chéri, de les imaginer comme ça, cela me fait mouiller… Et bander aussi, tu sais … Pas toi ?... Je les vois bien là, devant moi en train de s’astiquer leur pine énorme… Tu crois chéri, qu’en se branlant ils pensent aux femmes, comme moi je pense à eux ?... Ils me voient peut-être dans leurs rêves ?... En tout cas, moi je rêve de leur queue, de leur bite ! Oh putain, que c’est bon !... Chéri, si t’étais un homme tu m’emmènerais les voir, pour que je les suce, que je les pompe, que je les branle… Qu’ils me crachent leur foutre sur les seins…, dans la bouche…, dans le trou…, partout !! Oh les salauds, je voudrais qu’ils me baisent, qu’ils me prennent à la file comme une chienne… Ah, je les ferais jouir moi… je t’assure !... Oh oui… Oh lala, oui, je jouis !… Je jouis, chéri… Je jouis pour vous…, pour vos bites !!... Déchargez-moi dessus !... Allez, ne vous privez pas, je m’offre à vous, mes salauds… Prenez-moi… Prenez-moi !!
Le délire peut durer comme ça plusieurs minutes… En général, je vais la calmer en la baisant bien à fond lorsqu’elle a bien joui, comme ça, dans la voiture, toutes portes ouvertes … Mais le plus souvent elle me reproche d’en avoir profité :
T’es un vrai salaud, toi. T’en profites, hein ! Tu n’as aucune pensée pour eux qui sont privés de femmes…, de seins…, de trous… Tu devrais m’offrir à eux si tu avais un peu de solidarité… Et puis ta queue, elle ne me surprend plus comme ce serait le cas avec celles que je ne connais pas !! J’ai besoin de nouveauté, moi et là derrière ces murs, ce n’est pas ça qui manque !!
La coquine était alors dans tous ces états, parfois apaisée d’avoir été baisée par moi au bon moment, mais le plus souvent frustrée des bites qu’elle aurait pu (qu’elle aurait dû !) avoir à sa portée...
Une fois, alors que nous rentrions d’un réveillon de la Saint-Sylvestre et qu’elle était ronde, pour ne pas dire très saoule, passant près du centre, il fallut bien sûr là encore, s’arrêter. Mais là elle avait décrété qu’elle allait se mettre à poil pour que les types dans la prison puissent en profiter au maximum... Pour qu’ils puissent : fêter la nouvelle année , disait-elle…
Elle voulut à tout prix, malgré mes mises en garde et mes efforts pour la faire remonter en voiture, se mettre devant les phares. Et là remontant sa robe, elle a enlevé son slip et elle a commencé à se branler, debout, une bouteille de champagne à la main en gueulant des obscénités… Je ne sais pas si des prisonniers ont pu la voir depuis la fenêtre de leur cellule, toujours est-il que ce fut surtout le maton, qui de son mirador a vu la scène. Et comme je le craignais, trois minutes plus tard, une voiture de flics fondait sur nous toutes sirènes hurlantes… Les trois gardiens qui en descendirent se saisirent de ma femme qui, à demi-nue et titubant se débattait comme une mégère, aspergeant les matons de champagne et menaçant de leur pisser dessus…
L’aventure faillit se terminer au poste. Il me fallut user de toute ma diplomatie et compter sur la compréhension des gardiens un soir de réveillon, pour que je puisse ramener ma coquine d’épouse à la maison.
J’eus du mal à la descendre seul de la voiture. Elle chantait encore des chansons paillardes et rameutait le quartier en beuglant des histoires de bites et de cul. Déjà des fenêtres s’allumaient aux façades du voisinage. Je finis par la faire entrer. Une fois dans la maison, je lui fis tout de suite boire une bonne rasade d’alcool fort qui finit de l’assommer.
Il n’empêche, cela ne l’a pas corrigé pour autant de ses envies masturbatoires. Lorsque nous passons près du centre pénitentiaire, il faut la plupart du temps sacrifier au rituel. Certes de façon plus discrète que cette fois-là, mais tout aussi intense. Comme si elle demeurait insatiable ; insatiable des sexes fantasmés de ces hommes enfermés derrière les barreaux…
En contrepartie, j’ai souvent secrètement rêvé de la lâcher un jour dans ce centre de détention et de voir ce qui se passerait !! Je me plais parfois à l’imaginer…
Et vous en conviendrez, l’imaginer ne coute rien, au contraire !
Alors, nympho, ou pas ?
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Abadi
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Nympho non , con oui. Lâcher 1 femme en taule c’est comme déclencher 1 émeute.
Surtout qu’ils ont fait des conneries je ne vois pas pourquoi ils devraient recevoir 1 cadeau. 😡🤬🤬
Surtout qu’ils ont fait des conneries je ne vois pas pourquoi ils devraient recevoir 1 cadeau. 😡🤬🤬
Histoire originale et qui laisse à rêver mais on reste un peu sur notre faim
Il y avait peut être certaines choses à développer... MMMM
Il y avait peut être certaines choses à développer... MMMM