Titre de l'histoire érotique : Ma femme moi et mes amis
Récit érotique écrit par Mongil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Ma femme moi et mes amis
J’ai découvert, il y a peu, un plaisir très intense qui se passe dans la tête avant de se concrétiser sexuellement. Voir sa femme se faire baiser par d’autres hommes.
Pas la surprendre avec un amant, non, la voir se faire prendre devant soi par un autre, sans l’avoir voulu, comme ça, par jeux pervers, au cours d’une banale petite soirée entre amis. Pas de l’échangisme non plus, elle était la seule femme pour nous trois, un concours de circonstances, un hasard.
Ma sensation la plus forte a été quand j’ai vu, pour la première fois, le sexe de mon ami Michel s’enfoncer dans le con de Paule, ma femme. J’en bande encore en y pensant et en me remémorant les images. Ce qui est extraordinairement bandant, c’est de s’apercevoir qu’il faut très peu de choses pour qu’une "honnête" femme, un peu timide et réservée se transforme en une véritable salope qui se donne sans retenue à plusieurs hommes à la fois, devant un mari complaisant, quand la première barrière des conventions est franchie. Je me suis demandé s’il ne s’agissait pas de sa véritable nature. C’est sa véritable nature, c’est une jouisseuse.
Paule me dit m’avoir toujours été fidèle. Je n’ai pas de raisons de ne pas la croire. Nous sommes mariés depuis quinze ans. Elle est blonde, yeux bleus, assez grande, mince, bien foutue, jolie, très mignonne. J’aime qu’elle s’habille de façon sexy - robes courtes, minijupes, jamais de soutien-gorge, des bas en hiver, pas de collants - et elle aime le faire.
Comme tous les hommes, je suis voyeur et comme la plupart des jolies femmes, elle est un peu exhibitionniste. J’ai souvent constaté que des hommes la lorgnaient quand elle s’asseyait quelque part ou montait un escalier, rien de plus normal mais, plusieurs fois, je lui ai demandé d’écarter les cuisses, pour le plus grand plaisir des voyeurs qui la mataient. Ça m’excite, et elle aussi, d’ailleurs, elle n’est pas très pudique et laisse voir sa petite culotte très souvent, par inadvertance, bien sûr.
Il m’est arrivé de pousser ce jeu un plus loin. Nous nous étions installés dans un jardin public, les enfants jouaient autour de nous et j’avais remarqué que deux ou trois hommes nous observaient. Paule était vêtue d’une minijupe vraiment très courte et elle s’asseyait, se relevait, croisait les jambes, les décroisait, se baissait, se courbait, s’accroupissait pour s’occuper des enfants. Elle montrait sa petite culotte blanche à chaque instant et ils se régalaient. Je le lui fis remarquer et elle m’a dit :
— Si cela leur plaît, moi, ça ne me gêne pas, au contraire, ça m’amuse. Tu es jaloux ?
Un peu surpris par sa réaction, j’ai voulu me rendre compte si cela l’excitait autant que moi et, puisque ces regards l’amusaient, je lui ai demandé de leur en montrer un peu plus, en enlevant tout simplement sa culotte. Elle me regarda avec un sourire malicieux, se tourna vers moi et se débarrassa du slip. Quand ils s’aperçurent qu’elle était maintenant nue sous sa jupe, manifestement pour eux, les voyeurs nous firent des petits signes de remerciements. Paule s’est alors exhibée vraiment, en écartant les cuisses, et les types se sont branlés en la regardant, ils avaient sorti leur queue et nous les avons vu éjaculer devant eux.
Nous avions fait l’amour très fort, tout de suite en rentrant à la maison. Elle m’avoua qu’elle aimait beaucoup que des hommes la regardent et aient envie d’elles et que ce n’était pas la première fois que des voyeurs se masturbaient devant elle en la matant, quand elle faisait jouer les enfants dans le parc.
— Et tu ne m’as jamais rien dit !
— Pourquoi faire ? Ils ne me touchent pas, ils ne sont pas dangereux ! Et moi, ça m’amuse !
— Dis plutôt que ça t’excite !
Elle ne répondit pas, mais je savais que c’était vrai.
Michel et Philippe sont mes amis d’enfance. Ils sont mariés tous les deux et nous devions tous nous retrouver ce soir-là pour dîner ensemble. Philippe est arrivé le premier, seul, sa femme avait été obligée d’aller voir ses parents et elle resterait chez eux jusqu’à demain. Il n’avait pas pu nous prévenir. Michel suivit, lui aussi seul. Son épouse restait au chevet de son fils, malade, et il était quand même venu. Nous serions donc trois hommes et une femme.
Paule était particulièrement jolie, habillée comme d’habitude, très court et, comme d’habitude, elle montrait sa petite culotte, toujours blanche et transparente aujourd’hui, à tout bout de champ. Mes amis en avaient l’habitude, mais ils ne se privaient pas de la mater quand même et je surprenais souvent leurs regards dirigés vers l’entrecuisse de Paule.
C’est ce qui m’a provoqué le déclic. J’ai eu envie qu’elle s’exhibe devant eux et peut-être même un peu plus. Je faisais en sorte que le verre de Paule ne fut jamais vide. Un peu d’alcool la libère de ses réserves et je remplissais aussi les verres de Michel et de Philippe. Puis j’ai mis de la musique, j’ai commencé par danser avec elle, en lui pelotant carrément les fesses, elle se laissait faire, mais m’a murmuré, pas dupe :
— Qu’est-ce que tu fais ? Tu veux me saouler ?
— J’ai envie de m’amuser avec toi et eux…
— C’est quoi, "t’amuser avec eux et moi ?"
— Tu pourrais te montrer sexy, par exemple, les émoustiller un peu, flirter avec eux, les exciter quoi !
— Mais pourquoi ? me dit-elle en frissonnant, alors qu’elle se doutait où je voulais l’amener. Tu veux… Tu aimerais qu’ils… qu’ils me… qu’ils me fassent des choses ?… C’est ça ?
Alors que je la retroussais et que je lui mettais la main sous sa culotte, je lui répondis, en bandant très fort :
— Oui, c’est ça, qu’ils te fassent plein de choses, j’ai envie qu’ils te baisent, devant moi, tous les deux.
J’avais mes doigts qui lui rentraient dans le vagin en lui disant cela, elle a serré les cuisses dessus, elle était trempée.
Silencieux, ils assistaient au spectacle que nous leur offrions, Paule troussée très haut, sa culotte à moitié baissée sur les cuisses, la chatte à l’air et mes doigts qui s’activaient dedans. J’avais parlé normalement, et ils avaient entendu. Ils se sont levés pour s’approcher de nous et ils ont commencé par caresser les seins de ma femme qu’ils ont dénudés. Je me suis éloigné pour venir m’asseoir dans un fauteuil, en spectateur, et les laisser libres de faire ce qu’ils voulaient d’elle. Elle se laissait faire, en me regardant de temps en temps. Philippe lui avait rentré des doigts dans la vulve et dans le cul, Michel lui palpait les seins et les fesses. Ils se sont installés tous les trois dans un divan, en face de moi, et ils se relayaient pour lui enfoncer leurs doigts dans la chatte et dans le cul ou les lui mettre en même temps. Elle avait leur queue dressée dans chaque main.
J’avais sorti mon sexe et je me masturbai. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle elle acceptait ce jeu pervers. Cela me faisait un effet curieux, de la voir ainsi offerte, avec ces mains qui la touchaient et elle, avec des sexes d’homme dans les siennes. Elle me regardait toujours de temps en temps, mais je m’aperçus qu’elle tremblait.
C’est Michel qui ne put attendre plus longtemps. Sans plus s’occuper de moi, il enleva son pantalon et son slip, il la prit dans ses bras et la porta jusqu’au petit lit qui nous sert de canapé, la queue dressée. Il la déposa, il lui remonta sa jupe à la taille, il la débarrassa de sa culotte, il lui écarta les cuisses. Nous la contemplions tous les trois, elle s’offrait sans pudeur, consciente que nos deux amis allaient la prendre et de la perversité de la situation. Michel se pencha sur elle et il pointa son nœud en face de l’entrée du vagin.
Paule couvrit alors sa vulve d’une main et prit la verge de Michel de l’autre, lui chuchota quelque chose et me regarda en disant :
— Tu veux qu’ils me baisent, tu veux que Michel et Philippe me baisent ?
Je ne répondis pas et elle retira sa main, en libérant le sexe de Michel qui, impatient, la pénétra de toute sa longueur. J’ai vu la vulve de ma femme s’ouvrir sous la poussée et la queue de Michel s’enfoncer entièrement. Elle a frémi en poussant un « Ah ! » Elle ne me quitta pas des yeux pendant qu’il la pénétrait et moi, j’étais fasciné par cette bite qui la violait. Maintenant, il allait et venait en elle, je voyais sa verge entrer et presque sortir du vagin et les lèvres du con de Paule l’entourer, la sucer, la retenir et s’étirer en l’accompagnant. Je voyais son clitoris gonflé qu’il limait à chaque va-et-vient. Il baisait ma femme et il allait jouir d’elle.
Je n’arrivais pas à croire que c’était elle qui était là, le sexe d’un autre homme que moi fiché en elle et qui se faisait ramoner sous mes yeux. Ce ne pouvait être ma femme, étendue sur ce lit, avec les cuisses écartelées dans une posture obscène, qui se faisait besogner, qui gémissait de plaisir sous les coups de boutoir de Michel et qui allait en jouir. Il la bourrait ardemment, il lui fouillait le con que je connaissais si bien. Elle ne pouvait pas aimer se donner aussi totalement à un autre homme, et pourtant, j’éprouvais un plaisir extraordinaire à la voir ainsi, possédée devant moi.
Elle cria pendant que son orgasme l’emportait, elle haletait :
— Gil, il me fait jouir ! … Je jouis, Gil, tu me vois ! Il me fait jouir… Oh, c’est bon ! … Tu aimes qu’il me baise, Gil ? … Tu le vois ? … Je sens sa queue qui cogne tout au fond… Il me défonce… J’aime… Tu vois comme il me baise bien à fond ? … Tu aimes quand il me fait jouir ? … Philippe aussi va me baiser… tu veux bien Gil ? … J’en ai envie… Tous les hommes que tu voudras, Gil… tous… j’aime qu’on me baise devant toi… donne-moi… c’est trop bon… il me fait jouir.
Philippe s’impatientait et il m’observait, un peu inquiet. Il s’approcha de Michel pour lui dire :
— Dépêche-toi, Michel, merde ! J’ai envie de la baiser moi aussi ! Je n’en peux plus !
Je le regardai et lui dis :
— T’inquiète pas, tu pourras la prendre aussi !
Et je bandais toujours comme jamais, à avoir mal.
Michel la besognait de plus en plus vite, elle râlait. Il poussa un grognement en jouissant, il lui déchargea tout son sperme dans le con et j’ai vu Paule aller au-devant en criant :
— Vas-y, donne-moi tout ! Je le sens qu'il décharge, il se vide dans mon ventre ! Oh ! que c’est bon…
Après avoir longuement juté au fond d’elle, il s’est retiré. Les yeux rivés sur la chatte béante de ma femme, pleine du foutre crémeux, j’y ai plongé mes doigts, elle me regardait en se tortillant et m’a dit, tout en souriant :
— Michel m’a fait jouir très fort, tu sais ! … Qu’est-ce qu’il m’a mis ! … C’est bon de se laisser aller… C’est au tour de Philippe, maintenant, tu ne crois pas qu’il a assez attendu ? … Tu veux bien ? …
Et, s’adressant directement à lui :
— Philippe, prends-moi, viens me baiser, j’ai encore envie… Tu vois, Gil aime voir sa femme se faire baiser, mon mari aime me voir me faire sauter par ses amis, alors vas-y, profite, ne te gêne pas, j’ai toujours eu envie de coucher avec toi, tu ne le savais pas ? Tu vois, Gil n’est pas jaloux, il aime me donner. Baise-moi, j’en ai envie… C’est toujours ce que tu veux, n’est-ce pas Gil ? …
Philippe a voulu la prendre de la même manière que Michel, elle, étendue sur le dos et lui par-dessus, en "missionnaire". Mais Paule l’a fait se coucher, lui, sur le dos, elle est montée sur lui à califourchon, elle a pris sa bite dans la main droite et l’a introduite elle-même en elle. Elle s’est assise sur elle, elle s’est penchée en avant et, en présentant ses fesses qu’elle écartait, elle dit :
— Encule-moi, encule-moi pendant qu’il me baise, j’en ai rêvé, me faire prendre par deux hommes à la fois, vas-y, Gil, encule-moi pendant que Philippe m’enfile par-devant…
Je voyais la bite de Philippe enfoncée dans son con dégoulinant du foutre de Michel et la rosette qui palpitait. Je la graissai du foutre de Michel qui lui barbouillait les cuisses, pendant que Philippe, planté au fond d’elle, la limait doucement. Je me plaçai entre les jambes de Paule et de Philippe, je pointai ma verge sur l’anus et j’ai poussé. Je l’enculais et je sentais la queue de Philippe bien enfoncée près de la mienne. Fou de désir, je l’ai bourrée à fond, nous lui arrachions des cris de douleurs et de plaisirs, je l’ai défoncée brutalement dans un rythme frénétique, et Philippe suivait le mouvement, elle hurlait de jouissances. J’ai vu Michel s’approcher et lui présenter sa pine, qui rebandait, devant la bouche. Elle l’a happée goulûment et je voyais ses joues se déformer quand la verge de Michel s’enfournait, il s’en servait comme d’un vagin, en la tenant par la tête. Il lui baisait carrément la bouche.
Secouée de partout, empalée par trois bites qui la défonçaient, elle s’abandonnait entièrement, je l’entendais grogner et gémir. Je l’enculais violemment, sans retenue, Michel ne tenait plus aucun compte de mes mouvements, il la baisait comme un fou et sa bite lui sortait du vagin pour y rentrer à nouveau, en heurtant mes couilles, Philippe s’enfonçait dans sa gorge à toute vitesse. Je sentais le sperme monter le long de ma queue, mais je me suis retenu le plus longtemps possible, pour finalement exploser en une succession d’éjaculations dans ses intestins. J’ai vu Paule manquer de s’étouffer quand Michel s’est vidé dans sa gorge, et du foutre lui coulait de la bouche, j’ai entendu Philippe gueuler qu’il lui foutait toute la sauce au fond du con en lui disant qu'elle etait trop bonne... Elle n’était plus qu’une femelle prise de partout, dont on jouissait en se vidant les couilles dans tous ses orifices.
Nous l’avons bourrée dans tous les sens, en alternant les positions, chacun son tour dans son con, son cul ou a bouche jusqu’à trois heures du matin, jusqu’à ce que nous n’en puissions plus. Jusqu'à se que nous n'éjaculions plus que quelques gouttes.
Michel et Philippe partis, Paule et moi, nous nous sommes écroulés de fatigue et de plaisir et nous avons dormi jusqu’à midi. C’est ma femme qui m’a réveillé. Elle était en pleine forme et de très bonne humeur. La seule allusion à notre nuit de débauche a été de dire malicieusement :
— Qu’est-ce que j’ai mal… aux fesses !
Pas la surprendre avec un amant, non, la voir se faire prendre devant soi par un autre, sans l’avoir voulu, comme ça, par jeux pervers, au cours d’une banale petite soirée entre amis. Pas de l’échangisme non plus, elle était la seule femme pour nous trois, un concours de circonstances, un hasard.
Ma sensation la plus forte a été quand j’ai vu, pour la première fois, le sexe de mon ami Michel s’enfoncer dans le con de Paule, ma femme. J’en bande encore en y pensant et en me remémorant les images. Ce qui est extraordinairement bandant, c’est de s’apercevoir qu’il faut très peu de choses pour qu’une "honnête" femme, un peu timide et réservée se transforme en une véritable salope qui se donne sans retenue à plusieurs hommes à la fois, devant un mari complaisant, quand la première barrière des conventions est franchie. Je me suis demandé s’il ne s’agissait pas de sa véritable nature. C’est sa véritable nature, c’est une jouisseuse.
Paule me dit m’avoir toujours été fidèle. Je n’ai pas de raisons de ne pas la croire. Nous sommes mariés depuis quinze ans. Elle est blonde, yeux bleus, assez grande, mince, bien foutue, jolie, très mignonne. J’aime qu’elle s’habille de façon sexy - robes courtes, minijupes, jamais de soutien-gorge, des bas en hiver, pas de collants - et elle aime le faire.
Comme tous les hommes, je suis voyeur et comme la plupart des jolies femmes, elle est un peu exhibitionniste. J’ai souvent constaté que des hommes la lorgnaient quand elle s’asseyait quelque part ou montait un escalier, rien de plus normal mais, plusieurs fois, je lui ai demandé d’écarter les cuisses, pour le plus grand plaisir des voyeurs qui la mataient. Ça m’excite, et elle aussi, d’ailleurs, elle n’est pas très pudique et laisse voir sa petite culotte très souvent, par inadvertance, bien sûr.
Il m’est arrivé de pousser ce jeu un plus loin. Nous nous étions installés dans un jardin public, les enfants jouaient autour de nous et j’avais remarqué que deux ou trois hommes nous observaient. Paule était vêtue d’une minijupe vraiment très courte et elle s’asseyait, se relevait, croisait les jambes, les décroisait, se baissait, se courbait, s’accroupissait pour s’occuper des enfants. Elle montrait sa petite culotte blanche à chaque instant et ils se régalaient. Je le lui fis remarquer et elle m’a dit :
— Si cela leur plaît, moi, ça ne me gêne pas, au contraire, ça m’amuse. Tu es jaloux ?
Un peu surpris par sa réaction, j’ai voulu me rendre compte si cela l’excitait autant que moi et, puisque ces regards l’amusaient, je lui ai demandé de leur en montrer un peu plus, en enlevant tout simplement sa culotte. Elle me regarda avec un sourire malicieux, se tourna vers moi et se débarrassa du slip. Quand ils s’aperçurent qu’elle était maintenant nue sous sa jupe, manifestement pour eux, les voyeurs nous firent des petits signes de remerciements. Paule s’est alors exhibée vraiment, en écartant les cuisses, et les types se sont branlés en la regardant, ils avaient sorti leur queue et nous les avons vu éjaculer devant eux.
Nous avions fait l’amour très fort, tout de suite en rentrant à la maison. Elle m’avoua qu’elle aimait beaucoup que des hommes la regardent et aient envie d’elles et que ce n’était pas la première fois que des voyeurs se masturbaient devant elle en la matant, quand elle faisait jouer les enfants dans le parc.
— Et tu ne m’as jamais rien dit !
— Pourquoi faire ? Ils ne me touchent pas, ils ne sont pas dangereux ! Et moi, ça m’amuse !
— Dis plutôt que ça t’excite !
Elle ne répondit pas, mais je savais que c’était vrai.
Michel et Philippe sont mes amis d’enfance. Ils sont mariés tous les deux et nous devions tous nous retrouver ce soir-là pour dîner ensemble. Philippe est arrivé le premier, seul, sa femme avait été obligée d’aller voir ses parents et elle resterait chez eux jusqu’à demain. Il n’avait pas pu nous prévenir. Michel suivit, lui aussi seul. Son épouse restait au chevet de son fils, malade, et il était quand même venu. Nous serions donc trois hommes et une femme.
Paule était particulièrement jolie, habillée comme d’habitude, très court et, comme d’habitude, elle montrait sa petite culotte, toujours blanche et transparente aujourd’hui, à tout bout de champ. Mes amis en avaient l’habitude, mais ils ne se privaient pas de la mater quand même et je surprenais souvent leurs regards dirigés vers l’entrecuisse de Paule.
C’est ce qui m’a provoqué le déclic. J’ai eu envie qu’elle s’exhibe devant eux et peut-être même un peu plus. Je faisais en sorte que le verre de Paule ne fut jamais vide. Un peu d’alcool la libère de ses réserves et je remplissais aussi les verres de Michel et de Philippe. Puis j’ai mis de la musique, j’ai commencé par danser avec elle, en lui pelotant carrément les fesses, elle se laissait faire, mais m’a murmuré, pas dupe :
— Qu’est-ce que tu fais ? Tu veux me saouler ?
— J’ai envie de m’amuser avec toi et eux…
— C’est quoi, "t’amuser avec eux et moi ?"
— Tu pourrais te montrer sexy, par exemple, les émoustiller un peu, flirter avec eux, les exciter quoi !
— Mais pourquoi ? me dit-elle en frissonnant, alors qu’elle se doutait où je voulais l’amener. Tu veux… Tu aimerais qu’ils… qu’ils me… qu’ils me fassent des choses ?… C’est ça ?
Alors que je la retroussais et que je lui mettais la main sous sa culotte, je lui répondis, en bandant très fort :
— Oui, c’est ça, qu’ils te fassent plein de choses, j’ai envie qu’ils te baisent, devant moi, tous les deux.
J’avais mes doigts qui lui rentraient dans le vagin en lui disant cela, elle a serré les cuisses dessus, elle était trempée.
Silencieux, ils assistaient au spectacle que nous leur offrions, Paule troussée très haut, sa culotte à moitié baissée sur les cuisses, la chatte à l’air et mes doigts qui s’activaient dedans. J’avais parlé normalement, et ils avaient entendu. Ils se sont levés pour s’approcher de nous et ils ont commencé par caresser les seins de ma femme qu’ils ont dénudés. Je me suis éloigné pour venir m’asseoir dans un fauteuil, en spectateur, et les laisser libres de faire ce qu’ils voulaient d’elle. Elle se laissait faire, en me regardant de temps en temps. Philippe lui avait rentré des doigts dans la vulve et dans le cul, Michel lui palpait les seins et les fesses. Ils se sont installés tous les trois dans un divan, en face de moi, et ils se relayaient pour lui enfoncer leurs doigts dans la chatte et dans le cul ou les lui mettre en même temps. Elle avait leur queue dressée dans chaque main.
J’avais sorti mon sexe et je me masturbai. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle elle acceptait ce jeu pervers. Cela me faisait un effet curieux, de la voir ainsi offerte, avec ces mains qui la touchaient et elle, avec des sexes d’homme dans les siennes. Elle me regardait toujours de temps en temps, mais je m’aperçus qu’elle tremblait.
C’est Michel qui ne put attendre plus longtemps. Sans plus s’occuper de moi, il enleva son pantalon et son slip, il la prit dans ses bras et la porta jusqu’au petit lit qui nous sert de canapé, la queue dressée. Il la déposa, il lui remonta sa jupe à la taille, il la débarrassa de sa culotte, il lui écarta les cuisses. Nous la contemplions tous les trois, elle s’offrait sans pudeur, consciente que nos deux amis allaient la prendre et de la perversité de la situation. Michel se pencha sur elle et il pointa son nœud en face de l’entrée du vagin.
Paule couvrit alors sa vulve d’une main et prit la verge de Michel de l’autre, lui chuchota quelque chose et me regarda en disant :
— Tu veux qu’ils me baisent, tu veux que Michel et Philippe me baisent ?
Je ne répondis pas et elle retira sa main, en libérant le sexe de Michel qui, impatient, la pénétra de toute sa longueur. J’ai vu la vulve de ma femme s’ouvrir sous la poussée et la queue de Michel s’enfoncer entièrement. Elle a frémi en poussant un « Ah ! » Elle ne me quitta pas des yeux pendant qu’il la pénétrait et moi, j’étais fasciné par cette bite qui la violait. Maintenant, il allait et venait en elle, je voyais sa verge entrer et presque sortir du vagin et les lèvres du con de Paule l’entourer, la sucer, la retenir et s’étirer en l’accompagnant. Je voyais son clitoris gonflé qu’il limait à chaque va-et-vient. Il baisait ma femme et il allait jouir d’elle.
Je n’arrivais pas à croire que c’était elle qui était là, le sexe d’un autre homme que moi fiché en elle et qui se faisait ramoner sous mes yeux. Ce ne pouvait être ma femme, étendue sur ce lit, avec les cuisses écartelées dans une posture obscène, qui se faisait besogner, qui gémissait de plaisir sous les coups de boutoir de Michel et qui allait en jouir. Il la bourrait ardemment, il lui fouillait le con que je connaissais si bien. Elle ne pouvait pas aimer se donner aussi totalement à un autre homme, et pourtant, j’éprouvais un plaisir extraordinaire à la voir ainsi, possédée devant moi.
Elle cria pendant que son orgasme l’emportait, elle haletait :
— Gil, il me fait jouir ! … Je jouis, Gil, tu me vois ! Il me fait jouir… Oh, c’est bon ! … Tu aimes qu’il me baise, Gil ? … Tu le vois ? … Je sens sa queue qui cogne tout au fond… Il me défonce… J’aime… Tu vois comme il me baise bien à fond ? … Tu aimes quand il me fait jouir ? … Philippe aussi va me baiser… tu veux bien Gil ? … J’en ai envie… Tous les hommes que tu voudras, Gil… tous… j’aime qu’on me baise devant toi… donne-moi… c’est trop bon… il me fait jouir.
Philippe s’impatientait et il m’observait, un peu inquiet. Il s’approcha de Michel pour lui dire :
— Dépêche-toi, Michel, merde ! J’ai envie de la baiser moi aussi ! Je n’en peux plus !
Je le regardai et lui dis :
— T’inquiète pas, tu pourras la prendre aussi !
Et je bandais toujours comme jamais, à avoir mal.
Michel la besognait de plus en plus vite, elle râlait. Il poussa un grognement en jouissant, il lui déchargea tout son sperme dans le con et j’ai vu Paule aller au-devant en criant :
— Vas-y, donne-moi tout ! Je le sens qu'il décharge, il se vide dans mon ventre ! Oh ! que c’est bon…
Après avoir longuement juté au fond d’elle, il s’est retiré. Les yeux rivés sur la chatte béante de ma femme, pleine du foutre crémeux, j’y ai plongé mes doigts, elle me regardait en se tortillant et m’a dit, tout en souriant :
— Michel m’a fait jouir très fort, tu sais ! … Qu’est-ce qu’il m’a mis ! … C’est bon de se laisser aller… C’est au tour de Philippe, maintenant, tu ne crois pas qu’il a assez attendu ? … Tu veux bien ? …
Et, s’adressant directement à lui :
— Philippe, prends-moi, viens me baiser, j’ai encore envie… Tu vois, Gil aime voir sa femme se faire baiser, mon mari aime me voir me faire sauter par ses amis, alors vas-y, profite, ne te gêne pas, j’ai toujours eu envie de coucher avec toi, tu ne le savais pas ? Tu vois, Gil n’est pas jaloux, il aime me donner. Baise-moi, j’en ai envie… C’est toujours ce que tu veux, n’est-ce pas Gil ? …
Philippe a voulu la prendre de la même manière que Michel, elle, étendue sur le dos et lui par-dessus, en "missionnaire". Mais Paule l’a fait se coucher, lui, sur le dos, elle est montée sur lui à califourchon, elle a pris sa bite dans la main droite et l’a introduite elle-même en elle. Elle s’est assise sur elle, elle s’est penchée en avant et, en présentant ses fesses qu’elle écartait, elle dit :
— Encule-moi, encule-moi pendant qu’il me baise, j’en ai rêvé, me faire prendre par deux hommes à la fois, vas-y, Gil, encule-moi pendant que Philippe m’enfile par-devant…
Je voyais la bite de Philippe enfoncée dans son con dégoulinant du foutre de Michel et la rosette qui palpitait. Je la graissai du foutre de Michel qui lui barbouillait les cuisses, pendant que Philippe, planté au fond d’elle, la limait doucement. Je me plaçai entre les jambes de Paule et de Philippe, je pointai ma verge sur l’anus et j’ai poussé. Je l’enculais et je sentais la queue de Philippe bien enfoncée près de la mienne. Fou de désir, je l’ai bourrée à fond, nous lui arrachions des cris de douleurs et de plaisirs, je l’ai défoncée brutalement dans un rythme frénétique, et Philippe suivait le mouvement, elle hurlait de jouissances. J’ai vu Michel s’approcher et lui présenter sa pine, qui rebandait, devant la bouche. Elle l’a happée goulûment et je voyais ses joues se déformer quand la verge de Michel s’enfournait, il s’en servait comme d’un vagin, en la tenant par la tête. Il lui baisait carrément la bouche.
Secouée de partout, empalée par trois bites qui la défonçaient, elle s’abandonnait entièrement, je l’entendais grogner et gémir. Je l’enculais violemment, sans retenue, Michel ne tenait plus aucun compte de mes mouvements, il la baisait comme un fou et sa bite lui sortait du vagin pour y rentrer à nouveau, en heurtant mes couilles, Philippe s’enfonçait dans sa gorge à toute vitesse. Je sentais le sperme monter le long de ma queue, mais je me suis retenu le plus longtemps possible, pour finalement exploser en une succession d’éjaculations dans ses intestins. J’ai vu Paule manquer de s’étouffer quand Michel s’est vidé dans sa gorge, et du foutre lui coulait de la bouche, j’ai entendu Philippe gueuler qu’il lui foutait toute la sauce au fond du con en lui disant qu'elle etait trop bonne... Elle n’était plus qu’une femelle prise de partout, dont on jouissait en se vidant les couilles dans tous ses orifices.
Nous l’avons bourrée dans tous les sens, en alternant les positions, chacun son tour dans son con, son cul ou a bouche jusqu’à trois heures du matin, jusqu’à ce que nous n’en puissions plus. Jusqu'à se que nous n'éjaculions plus que quelques gouttes.
Michel et Philippe partis, Paule et moi, nous nous sommes écroulés de fatigue et de plaisir et nous avons dormi jusqu’à midi. C’est ma femme qui m’a réveillé. Elle était en pleine forme et de très bonne humeur. La seule allusion à notre nuit de débauche a été de dire malicieusement :
— Qu’est-ce que j’ai mal… aux fesses !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ouf, je suis bandé, juste a lire cet histoire. C est un de mes fantasmes.
Superbement bien écrit ! Bravo ! Belle histoire !
Excellente histoire!
Qui ne rêve pas de faire ça à son épouse!
Moi je suis pour, mais ma femme est contre! Dommage elle ne sait pas ce qu'elle rate!
Encore bravo et merci de ce bon moment
Qui ne rêve pas de faire ça à son épouse!
Moi je suis pour, mais ma femme est contre! Dommage elle ne sait pas ce qu'elle rate!
Encore bravo et merci de ce bon moment