Titre de l'histoire érotique : Ma niece 'chucky'
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Ma niece 'chucky'
- Ça t’ennuie Jérôme si ma nièce Julia vient passer quinze jours à la maison ? ma sœur par en vacances avec son nouveau copain
- Cette chipie de Chucky ?
- Ne l’appelle plus ainsi voyons, elle a beaucoup changé, elle a dix-sept ans, ça fait cinq ans que tu ne l’a pas vue
- Elle a toutes ses dents ? !
- Jérôme arrête !
- Son nouveau beau-père ne veut pas s’en encombrer alors ils nous la refilent ?
- C’est normal qu’ils veuillent profiter de leur lune de miel après un divorce difficile
- Bon, ça va je plaisante, c’est oui bien sûr
- Ça va bien se passer, je dis à ma sœur que c’est OK
Je charrie Évelyne, ma femme, j’adorais cette fillette au visage et à la dentition ingrate qui aimait venir sur mon genou faire ‘du cheval ’, voir ses seins naissants encore dispensés de soutien, tressauter ne me laissais pas indifférent, je me disais qu’un jour un garçon profiterait des charmes de cette ado une fois devenue femme… dix-sept ans... à quoi pouvait-elle ressembler ?
Lorsqu’elle est apparue je suis resté sur le cul ! j’ai difficilement dégluti ma salive, coiffée court, ce qui met son joli minois en valeur, toujours le même regard espiègle, une bouche pulpeuse qui laisse rêveur… et les seins … ! boudiou ! difficile de décrocher le regard d’une telle vallée, peut-être un peu courte la jupe ? en même temps cacher de telles cuisses serait un sacrilège !
- Houhou ? tonton Jéjé ? tu reve ? tu n’embrasses pas la petite Chucky ? !
- JULIA !! excuse-moi tu me laisse sans voix !mmmmmuuuuummmmmm !!
- Doucement ! tu vas me mordre ?
- Woooouuuuuaaaaaah !Je te mangerais toute crue !... enfin …
- Attention à ce que tu dis tonton, je pourrais te prendre au mot !
- Tu range tes affaires dans la chambre du fond chérie ?
- Oui tata j’y vais de suite, je vais en profiter pour me changer j’ai trop chaud habillée ainsi
- Surveille ton langage Jérôme, je suis certaine qu’elle a compris l’allusion
- Eh bé ça promet, je vais me renfermer dans ma chambre durant quinze jours ! je vous laisse entre nana
- Je ne t’en demande pas tant mais cette petite est très délurée pour son âge
Lorsqu’elle est réapparue, j’ai cru avoir une embolie, son p’tit cul moulé dans un shorty sous lequel je ne distingue pas de coutures de slip et un genre de foulard noué sur ses seins, piercing au nombril et tatouage papillon sur l’épaule, la panoplie de la parfaite lolita
- Que tu es ravissante ma chérie ! tu as vu notre nièce Jérôme ?
- Ben oui … une vraie miss
- Toi aussi tu aimes t’habiller ‘sexy’ tatie ?
- Quelquefois
- Pas assez souvent à mon goût !
- Tu veux que j’aille me changer chéri ?
- Pourquoi pas, je crois que je vais simplement décéder !
- Tu survivras tonton, tu te souviens quand tu me faisais sauter sur tes genoux ?
- Ce temps-là est révolu
- Tu n’as plus assez de force ?
- Tu rigole ? à quarante ans je soulèverais encore des montagnes d’un seul doigt !
- Alors montre-moi si tu peux encore ! assied toi … et hop !
- Doucement ! tu ne pèses pas bien lourd dis-donc
- Alors fais-moi sauter au galop !
J’ai cru que les seins allaient passer par-dessus le soutient gorge de fortune, les tétons frottant sur le tissu s’allongent à n’ en plus finir… mais ce qui provoque mon érection c’est la chatte replète qui s’écrase sur ma cuisse, je distingue parfaitement les lèvres qui s’aplatissent, et je ne suis pas certain que les mouvements qu’elle fait d’avant en arrière ne soient pas réalisés afin de solliciter son clitoris car soudain son regard se voile, elle mord sa lèvre inférieure, ses doigts se crispent sur ma cuisse, sa tête et un sein tombent sur mon épaule…je stoppe immédiatement la ‘chevauchée fantastique’ heureusement que ma femme n’est pas encore revenue de la chambre
- Tu es essoufflée Chucky ? que t’arrive-t-il ?
- J’sais pas, un étourdissement, j’ai très chaud !
- Je vois ça, ton shorty est mouillé
- Où ça ?
- Là, entre les cuisses
- Ho mince !! quelle poisse, je vais me changer, ne dis rien à tatie
- OK, fait vite
- T’es un amour de tonton ! toi aussi t’as chaud dans ton short, t’as vu ? !
Dès qu’elle est partie je coure me réfugier dans le garage afin de calmer en masturbant énergiquement l’érection monstre qui déforme mon bermuda, il reste même des traces de sa mouille sur ma cuisse…délurée ou chaudasse ? !!
Une phénoménale surprise m’attend lorsque je reviens dans le salon … Évelyne et Julia assissent côte à côte vêtues seulement d’un kimono ouvert sur un string ficelle...elles se pincent mutuellement un bout de sein, sans doute pour en comparer l’érectilité ?
- Mais que faites-vous les filles ? vous êtes à moitié nues ?
- Approche chéri, viens voir ta nièce comme elle est belle
- Mais enfin Éveline tu te rends compte de ce que tu dis ? même si ‘Chucky’ est ma nièce je reste néanmoins un homme avec les hormones à fleur de peau
- Personne ne te demande de cacher tes ‘émotions’ tonton Jéjé
- Julia m’a raconté ses malheurs, ses parents ne veulent en aucun cas la laisser sortir avec son copain
- C’est débile !
- En même temps ce copain a l’âge de son père …mais ils ne le savent pas
- Heureusement ! tu réfléchie un peu Julia ?pourquoi un tel choix ?
- J’aime les hommes plus âgés, mais je n’ai encore rien fait avec lui, j’hésite
- Pourquoi ?
- Elle a peur de découvrir que son sexe ‘d’homme âgé’ ne lui apporte pas ce qu’elle en attend
- Genre ?
- La performance
- Tu plaisent ? j’ai à peu près son âge, demande à ta tante si elle reste sur sa faim ?
- C’est vrai chérie, la verge de Jérôme me comble à tous points de vues, performance, durée des rapports, ingéniosité
- Ingéniosité ?
- Jamais la même position
- Laquelle préfères-tu tatie ?
- Tu es quasiment majeure nous pouvons parler librement, n’est-ce pas Jérôme ?
- Tout à fait, ce ne sont que des paroles
- Eh bien c’est la levrette !
- Levrette … comme la chienne ?
- On peut dire ça, à part que la femme ne reste pas collée à l’homme
- Heureusement d’ailleurs !
- Vous … vous voudriez me montrer ?
- Tu rêves ?
- Oh chéri nous somment entre nous, tu ne veux pas juste un peu, rien qu’une minute ! ?
- Tu en prends la responsabilité ?
- J’assume ! allons tous les trois sur le lit
Ma femme décontractée comme jamais, nue comme un ver est déjà en position, Julia se poste de façon à ne rien rater de l’accouplement et moi j’ai honte de me déshabiller et d’exposer aux yeux ‘innocents’ de la jeune fille la gaule que je me trimbale
- Dépêche-toi Jérôme !
- Va y Jéjé ! baise-la, je n’avais jamais vu de chatte de cette façon ! ça fait drôlement animal, regarde comme elle mouille pour son âge !
- A trente-six ans je ne suis pas encore finie dit donc ! aller chéri sans les mains, maintiens moi fortement sur toi au moment de la saillie !
- Je peux guider ta queue dans sa choune tonton ?
- Et puis quoi encore ?
- Laisse ça faire, ça va l’apprendre
- Merci tatie… waouh qu’elle est grosse ! je la décalotte ?
- Oui, frotte le bout sur la fente baveuse ensuite met moi bien en face… arrête de me branler petite vicieuse !
- C’est trop bon !, va-y Jéjé pousse !
- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhooooooouuuuuuuiii chéri c’est booooooooonnnnnnnnn
- Je ne vois plus ta pine tonton ! je peux caresser tes couilles ?
- Fait donc comme tu veux mais laisse-moi bourriquer ma femme à ma guise
- Comme j’aimerais être à sa place …
- Même pas en reve et ne met pas la main dans ton string s’il te plait, ce n’est pas raisonnable
- Alors met la tienne, je mouille trop
Ma femme fait tout le travail en s’emmanchant sur moi à son rythme préféré… affalée sur le drap, trop prise dans sa concentration pour accéder à la jouissance elle ne s’aperçoit pas que je lâche une main … les cuisses de Julie sont ouvertes au maximum… une lèvre luisante passe sur le côté, c’est trop tentant, je n’ai qu’à allonger le bras …
- OOOOOOOUUUUUUUUUUUUIIIIII enfonce tes doigts Jéjé !
- Chuuuuuut ! parle moins fort petite salope
- Tu me prends après ?
- Tu demanderas à ta tante
- Je suis sûre qu’elle dira oui, je veux la même position !
- Alors quitte ta culotte et met toi à genoux à côté d’elle
Voir ces deux culs de femelles en rut me donne le tournis, je baise l’une et fouille l’autre, mes couilles et mon poignet sont enduits de cyprine, excité par cette situation je ne me contrôle plus et envois plusieurs décharges dans la chatte d’Évelyne qui se bloque sur mon pubis, secouée de spasmes interminables qui se traduisent par une inondation sur le lit
- Quel pied ! je suis morte !
- Je peux jouer avec Jérôme tatie ?
- Si tu veux, laissez-moi reprendre mon souffle
Je ne suis pas certain qu’elle ait bien compris le sens ‘jouer’ mais je bifurque de quelques centimètres pour être face à la jeune vulve gonflée de désir, avant que ma verge ne perde de sa rigidité je perfore cette chatte serrée dans un râle divin, Chucky sentant ma perte de raideur serre ses muscles vaginaux plusieurs fois de suite sur mon membre, un coup de cul et c’est reparti, c’est le bruit de nos chairs qui se télescopent qui ramène ma femme a la réalité
- MAIS ? que faites-vous ? tu baise Julia ?
- Tu as raison tatie, les vieux sont très performants !
- Quelle autre position veut tu que je lui montre ????
- Sur l’évier ?… NON ! je ne pensais pas ce que je viens de dire
- Trop tard tatie ! nous essaieront demain !
- Cette chipie de Chucky ?
- Ne l’appelle plus ainsi voyons, elle a beaucoup changé, elle a dix-sept ans, ça fait cinq ans que tu ne l’a pas vue
- Elle a toutes ses dents ? !
- Jérôme arrête !
- Son nouveau beau-père ne veut pas s’en encombrer alors ils nous la refilent ?
- C’est normal qu’ils veuillent profiter de leur lune de miel après un divorce difficile
- Bon, ça va je plaisante, c’est oui bien sûr
- Ça va bien se passer, je dis à ma sœur que c’est OK
Je charrie Évelyne, ma femme, j’adorais cette fillette au visage et à la dentition ingrate qui aimait venir sur mon genou faire ‘du cheval ’, voir ses seins naissants encore dispensés de soutien, tressauter ne me laissais pas indifférent, je me disais qu’un jour un garçon profiterait des charmes de cette ado une fois devenue femme… dix-sept ans... à quoi pouvait-elle ressembler ?
Lorsqu’elle est apparue je suis resté sur le cul ! j’ai difficilement dégluti ma salive, coiffée court, ce qui met son joli minois en valeur, toujours le même regard espiègle, une bouche pulpeuse qui laisse rêveur… et les seins … ! boudiou ! difficile de décrocher le regard d’une telle vallée, peut-être un peu courte la jupe ? en même temps cacher de telles cuisses serait un sacrilège !
- Houhou ? tonton Jéjé ? tu reve ? tu n’embrasses pas la petite Chucky ? !
- JULIA !! excuse-moi tu me laisse sans voix !mmmmmuuuuummmmmm !!
- Doucement ! tu vas me mordre ?
- Woooouuuuuaaaaaah !Je te mangerais toute crue !... enfin …
- Attention à ce que tu dis tonton, je pourrais te prendre au mot !
- Tu range tes affaires dans la chambre du fond chérie ?
- Oui tata j’y vais de suite, je vais en profiter pour me changer j’ai trop chaud habillée ainsi
- Surveille ton langage Jérôme, je suis certaine qu’elle a compris l’allusion
- Eh bé ça promet, je vais me renfermer dans ma chambre durant quinze jours ! je vous laisse entre nana
- Je ne t’en demande pas tant mais cette petite est très délurée pour son âge
Lorsqu’elle est réapparue, j’ai cru avoir une embolie, son p’tit cul moulé dans un shorty sous lequel je ne distingue pas de coutures de slip et un genre de foulard noué sur ses seins, piercing au nombril et tatouage papillon sur l’épaule, la panoplie de la parfaite lolita
- Que tu es ravissante ma chérie ! tu as vu notre nièce Jérôme ?
- Ben oui … une vraie miss
- Toi aussi tu aimes t’habiller ‘sexy’ tatie ?
- Quelquefois
- Pas assez souvent à mon goût !
- Tu veux que j’aille me changer chéri ?
- Pourquoi pas, je crois que je vais simplement décéder !
- Tu survivras tonton, tu te souviens quand tu me faisais sauter sur tes genoux ?
- Ce temps-là est révolu
- Tu n’as plus assez de force ?
- Tu rigole ? à quarante ans je soulèverais encore des montagnes d’un seul doigt !
- Alors montre-moi si tu peux encore ! assied toi … et hop !
- Doucement ! tu ne pèses pas bien lourd dis-donc
- Alors fais-moi sauter au galop !
J’ai cru que les seins allaient passer par-dessus le soutient gorge de fortune, les tétons frottant sur le tissu s’allongent à n’ en plus finir… mais ce qui provoque mon érection c’est la chatte replète qui s’écrase sur ma cuisse, je distingue parfaitement les lèvres qui s’aplatissent, et je ne suis pas certain que les mouvements qu’elle fait d’avant en arrière ne soient pas réalisés afin de solliciter son clitoris car soudain son regard se voile, elle mord sa lèvre inférieure, ses doigts se crispent sur ma cuisse, sa tête et un sein tombent sur mon épaule…je stoppe immédiatement la ‘chevauchée fantastique’ heureusement que ma femme n’est pas encore revenue de la chambre
- Tu es essoufflée Chucky ? que t’arrive-t-il ?
- J’sais pas, un étourdissement, j’ai très chaud !
- Je vois ça, ton shorty est mouillé
- Où ça ?
- Là, entre les cuisses
- Ho mince !! quelle poisse, je vais me changer, ne dis rien à tatie
- OK, fait vite
- T’es un amour de tonton ! toi aussi t’as chaud dans ton short, t’as vu ? !
Dès qu’elle est partie je coure me réfugier dans le garage afin de calmer en masturbant énergiquement l’érection monstre qui déforme mon bermuda, il reste même des traces de sa mouille sur ma cuisse…délurée ou chaudasse ? !!
Une phénoménale surprise m’attend lorsque je reviens dans le salon … Évelyne et Julia assissent côte à côte vêtues seulement d’un kimono ouvert sur un string ficelle...elles se pincent mutuellement un bout de sein, sans doute pour en comparer l’érectilité ?
- Mais que faites-vous les filles ? vous êtes à moitié nues ?
- Approche chéri, viens voir ta nièce comme elle est belle
- Mais enfin Éveline tu te rends compte de ce que tu dis ? même si ‘Chucky’ est ma nièce je reste néanmoins un homme avec les hormones à fleur de peau
- Personne ne te demande de cacher tes ‘émotions’ tonton Jéjé
- Julia m’a raconté ses malheurs, ses parents ne veulent en aucun cas la laisser sortir avec son copain
- C’est débile !
- En même temps ce copain a l’âge de son père …mais ils ne le savent pas
- Heureusement ! tu réfléchie un peu Julia ?pourquoi un tel choix ?
- J’aime les hommes plus âgés, mais je n’ai encore rien fait avec lui, j’hésite
- Pourquoi ?
- Elle a peur de découvrir que son sexe ‘d’homme âgé’ ne lui apporte pas ce qu’elle en attend
- Genre ?
- La performance
- Tu plaisent ? j’ai à peu près son âge, demande à ta tante si elle reste sur sa faim ?
- C’est vrai chérie, la verge de Jérôme me comble à tous points de vues, performance, durée des rapports, ingéniosité
- Ingéniosité ?
- Jamais la même position
- Laquelle préfères-tu tatie ?
- Tu es quasiment majeure nous pouvons parler librement, n’est-ce pas Jérôme ?
- Tout à fait, ce ne sont que des paroles
- Eh bien c’est la levrette !
- Levrette … comme la chienne ?
- On peut dire ça, à part que la femme ne reste pas collée à l’homme
- Heureusement d’ailleurs !
- Vous … vous voudriez me montrer ?
- Tu rêves ?
- Oh chéri nous somment entre nous, tu ne veux pas juste un peu, rien qu’une minute ! ?
- Tu en prends la responsabilité ?
- J’assume ! allons tous les trois sur le lit
Ma femme décontractée comme jamais, nue comme un ver est déjà en position, Julia se poste de façon à ne rien rater de l’accouplement et moi j’ai honte de me déshabiller et d’exposer aux yeux ‘innocents’ de la jeune fille la gaule que je me trimbale
- Dépêche-toi Jérôme !
- Va y Jéjé ! baise-la, je n’avais jamais vu de chatte de cette façon ! ça fait drôlement animal, regarde comme elle mouille pour son âge !
- A trente-six ans je ne suis pas encore finie dit donc ! aller chéri sans les mains, maintiens moi fortement sur toi au moment de la saillie !
- Je peux guider ta queue dans sa choune tonton ?
- Et puis quoi encore ?
- Laisse ça faire, ça va l’apprendre
- Merci tatie… waouh qu’elle est grosse ! je la décalotte ?
- Oui, frotte le bout sur la fente baveuse ensuite met moi bien en face… arrête de me branler petite vicieuse !
- C’est trop bon !, va-y Jéjé pousse !
- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhooooooouuuuuuuiii chéri c’est booooooooonnnnnnnnn
- Je ne vois plus ta pine tonton ! je peux caresser tes couilles ?
- Fait donc comme tu veux mais laisse-moi bourriquer ma femme à ma guise
- Comme j’aimerais être à sa place …
- Même pas en reve et ne met pas la main dans ton string s’il te plait, ce n’est pas raisonnable
- Alors met la tienne, je mouille trop
Ma femme fait tout le travail en s’emmanchant sur moi à son rythme préféré… affalée sur le drap, trop prise dans sa concentration pour accéder à la jouissance elle ne s’aperçoit pas que je lâche une main … les cuisses de Julie sont ouvertes au maximum… une lèvre luisante passe sur le côté, c’est trop tentant, je n’ai qu’à allonger le bras …
- OOOOOOOUUUUUUUUUUUUIIIIII enfonce tes doigts Jéjé !
- Chuuuuuut ! parle moins fort petite salope
- Tu me prends après ?
- Tu demanderas à ta tante
- Je suis sûre qu’elle dira oui, je veux la même position !
- Alors quitte ta culotte et met toi à genoux à côté d’elle
Voir ces deux culs de femelles en rut me donne le tournis, je baise l’une et fouille l’autre, mes couilles et mon poignet sont enduits de cyprine, excité par cette situation je ne me contrôle plus et envois plusieurs décharges dans la chatte d’Évelyne qui se bloque sur mon pubis, secouée de spasmes interminables qui se traduisent par une inondation sur le lit
- Quel pied ! je suis morte !
- Je peux jouer avec Jérôme tatie ?
- Si tu veux, laissez-moi reprendre mon souffle
Je ne suis pas certain qu’elle ait bien compris le sens ‘jouer’ mais je bifurque de quelques centimètres pour être face à la jeune vulve gonflée de désir, avant que ma verge ne perde de sa rigidité je perfore cette chatte serrée dans un râle divin, Chucky sentant ma perte de raideur serre ses muscles vaginaux plusieurs fois de suite sur mon membre, un coup de cul et c’est reparti, c’est le bruit de nos chairs qui se télescopent qui ramène ma femme a la réalité
- MAIS ? que faites-vous ? tu baise Julia ?
- Tu as raison tatie, les vieux sont très performants !
- Quelle autre position veut tu que je lui montre ????
- Sur l’évier ?… NON ! je ne pensais pas ce que je viens de dire
- Trop tard tatie ! nous essaieront demain !
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