Titre de l'histoire érotique : Ma première amante - histoire érotique

Je suis marié depuis 15 ans et j'ai 35 ans seulement. Je fais toujours l'amour avec mon mari. Nous baisons seulement une fois par semaine et il est toujours pressé de jouir : quelques courts préliminaire, il me la met et en quelques minutes il jouit. Je reste en plan, avec toujours un creux dans mon bas ventre. J'attends qu'il s'endorme pur aller sur le divan pour le masturber. A force de ne jouir que de cette façon je me suis acheté un godemiché. Je m'en sers et là aussi j'ai encore besoin d'une présence.
J'en parle à Aline, mon amie de toujours, avec laquelle nous n'avons pas de secret. Son conseil: prendre un amant. Je n'en veux pas. Alors c'est simple, trouve toi une fille avec qui tu prendras ton pied. Cette proposition m'intéresse d'avantage: je n'aurais pas à cacher à un autre homme A mon mari. A ma grande surprise Aline se propose et vient très prés de moi pour m'embrasser sur la bouche. Surprise je ne réponds pas à cette avance. Elle insiste et à ce moment là j'ouvre mes lèvres pour recevoir une caresse buccale de sa langue. Malgré moi je sens que mon string commence à se mouiller. Je n'en crois rien au début pourtant je lui dit qu'elle m'excite beaucoup, en tout cas plus que mon mari. Elle pose une main sur un de mes seins et le caresse lentement à travers mon t-shirt. Je sens les pointes se durcir. Elle m'embrasse dans le cou et je la laisse faire.
En réalité je m'abandonne complètement à une femme. Elle sait quoi faire pour me donner du plaisir. Je la laisse faire: elle me retire le t-shirt et je me trouve en simple soutien gorge assez étroit qui montre plus qu'il ne cache. Elle m'embrasse sur la bouche à nouveau: je l'ouvre pour bien recevoir sa langue. Par derrière elle active une main pur dégrafer mon soutif et je me trouve torse nu devant elle. Oh, se n'ai pas la première fois depuis le temps qu'on se connait, mais dans ces conditions différentes. Elle pose sa bouche sur le premier sein et me le lèche pour enfin venir sur mon téton et le sucer. Cette fois je divague complètement: elle me fait un bien fou. Elle le sait et continu ses travaux de sape en posant une main sur ma cuisse. Sa bouche sur mes seins et sa main qui commence à remonter vers mon entrejambe m'excite encore plus.
Je sens que je mouille tellement que je dois déborder.
Elle le sait certainement et vient sur mon sexe, encarte les élastiques du string et comment à me passer la main le long de ma fente de bas en haut. Elle commence par me caresser le tour de mon petit trou. Personne encore ne m'avait touché là. Je la laisse faire. Je fais bien parce qu'un petit moment de cette caresse inédite pour moi je jouis à mon grand étonnement. Elle le sens bien puisqu'elle m'embrasse encore sur la bouche. Je lui rentre la langue dans sa bouche sans qu'elle ne fasse rien pour ça. Enfin je murmure à son oreille qu'elle m'a fait beaucoup de bien. Elle s'en doutait. Elle remonte sa main et trouve mes lèvres qu’elle effleure simplement avant de rentrer deux doigts dans ma vulve et y trouve le point le plus sensible que j'ignorais. Elle ne bouge pratiquement pas sa main et frôle rapidement et arrête avec de recommencer. Je jouis encore une fois. Il me semble que de ma vie je n'ai pas eu un tel plaisir. Elle me fait relever et me sort de ma jupe de mon string. Elle se déshabille aussi et je vois que son corps est terriblement sexy. J'ai envie d'elle et le lui dit. Elle ne dit rien, me sourit et met assise sur le divan. J'écarte instinctivement les jambes et elle en profite pour pose sa tête juste à coté de mon clitoris. J'espère qu'elle va me branler encore une fois. Je fais une grossière erreur : elle approche plus près et pose sa langue sur mon bouton. Mon mari avait fait ça une fois et je n'en avais pas retiré beaucoup de plaisir, alors que là, avec Aline je ressentais un vrai plaisir. Elle avait mon clito entre ses lèvres et le suçait délicatement. En peu de temps je jouissais encore.
Cette fois elle arrêtait pour me demander de la branler. je ne refusais pas, au contraire: il me faut lui rendre au moins un peu de ce qu'elle m'avait donné. Elle écarte ses cuisse et en l'embrassant je lui mets à mon tour la main sur son bouton. je le caresse comme s'il était le mien. Je n'au pas longtemps à attendre: Elle jouit en me mettant de la cyprine plein mes doigts. Je m'enhardis à gouter son jus. Il m’était très agréable. Elle me demande également de lui mettre deux doigts dans le cul. J'ignore comment faire. A tout hasard je garde un peu de mouille et cherche un peu son petit trou et l'ayant trouvé je pénètre lentement toute la longueur de mes deux doigts dans son fondement. Je l'embrasse continuellement. Je sens qu'elle jouit autour de mes doigts. En remerciement elle me branle encore.
Nous avons fini par vouloir, enfin elle veut que nous fassions un 69.
Je connais son goût et n'ai aucun a priori contre ce qu'elle désire.
Volontairement elle se place sous moi et je sens presque à près mettre mise sur elle sa langue envahir mon sexe. Elle n'oubliait pas de me caresser le cul. Je la laissais faire en lui rendant la pareille.
Nous avons joui ainsi je ne sais combien de fois.
Le lendemain après midi nous sommes à nouveau ensemble et cette fois j'ai sorti mon godemiché. Ne nous en sommes servis que plus tard, après nos masturbations.
Elle me demande de lui mettre profond ce gode dans le cul. Elle est couchée sur le dos, les jambes relevées et son cul plein mon gode.
Je la vois entièrement plus que nue. Elle pose une main sur son clitoris et le caresse sans honte devant moi. Elle jouit, bien sur et veut également me sodomiser. Je crains qu'elle me fasse du mal.
Elle me met en levrette, sa bouche contre mon petit trou, sa langue le lèche et même y rentre de plus en plus. Je suis prête à me faire enculer pour la première fois et par une femme. C'est bien excitant.
Elle me pénètre doucement et à ma surprise, comme elle m'avait bien préparée, je sens un autre plaisir qui va de plus en plus fort et enfin je jouis. Je me remets sur le dos et dans la même position qu'elle je lui demande de m'enculer encore. Elle sait bien y faire, la garce: elle me fait jouir plusieurs fois avant de me finir par un cunnilingus.
C'est décidé, nous nous reverrons souvent, à moins qu'elle ne m'offre à une autre de ses amie.