Titre de l'histoire érotique : Ma première expérience avec une fille
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : Ma première expérience avec une fille
Ma première expérience avec une fille
Je venais d’avoir 17 ans et je vivais avec mes parents avec beaucoup de libertés jusqu’au jour où ils divorcèrent. Comme ils sont souvent absent, ils ont décidé de me mettre dans une pension de jeunes filles.
J'avais bien du mal à m'y faire car, à mon ancienne école j'avais beaucoup de copains et de copines. Mes parents souhaitaient que je n’approche pas trop les garçons, c'est pourquoi ils ont choisi cette pension. J'avais peur de me retrouver dans un dortoir, surtout de quitter ma chambre, ma télé, mes jeux vidéo et surtout mes copains et copines. je suis d'un caractère timide, et d'arriver en cour d'année dans une nouvelle école me faisait peur.
Je pris le train du matin pour arriver que dans l’après-midi. Lorsque que le train arriva, je vis une femme vêtue de noir qui tenait un panneau avec mon nom et mon prénom. Je me dirige vers elle, et lui dis que je suis la personne qu'elle attend. Elle me demanda que je la suive pour m’amener à l’école, puis me dit qu'elle est la personne qui s’occupe du dortoir et qu'elle ne laisserai passer aucune bêtise.
Je sentis la peur dans mon ventre, j’eus envie de pleurer mais je ne fis rien, j’étais comme paralysée de accueil par de cette femme. En arrivant à l'école, elle me conduit dans un bureau et me donne une clef pour mon armoire, elle me conduit ensuit dans le dortoir pour y poser mes affaires dans mon armoire qui se situait à côté de mon lit.
L’école était un autre bâtiment à côté du dortoir celui-ci avait trois étages. le premier, celui des collégiennes et les deux autres réservées aux lycéennes. Au bout de chaque couloir, il y avait la douche et les toilettes.
J'étais rester seul pour ranger mes affaires, quand j’entendis un bruit derrière moi, la porte de la chambre était restée entrouverte, plusieurs lycéennes venaient de passer dans le couloir.
Une me remarqua et en informa les autres, qui entrèrent dans le dortoir. C’étaient des filles grandes avec des corps parfaits, presque des femmes. Elles s’approchèrent de moi d’un air nonchalant et me demandèrent ce que je faisais là, dans la chambre en pleine journée.
Je dis juste que je viens d’arriver à école, et que je range juste mes affaires dans le placard. Quelques minutes plus tard, mes camarades de chambre arrivèrent. Lorsqu’elles me virent, elles furent étonnées dans un premier temps puis tout naturellement, elles vinrent me faire la bise. Après quelques minutes, elles me posèrent plein de questions surtout pourquoi je me trouvais ici en plein milieu de l'année scolaire.
Elles m’expliquèrent que les terminales faisaient la loi ici et qu’elles jouaient avec leurs victimes. Il ne fallait surtout jamais rester seule proche du dortoir. Je leur expliquai alors que j’avais balancé à la surveillante de chambre que j'avais vue des lycéennes qui entraient en douce dans une classe. Les filles devinrent écarlates, et me dirent que si elle savaient que c'était moi, elles viendraient certainement se venger mais me promirent d’essayer de me protéger.
Puis on sonna le dîner. Pendant le repas je sentis beaucoup de regards sur moi, normal puisque je venais d'arrivée. Le repas fini, il y avait la douche obligatoire. On devait se déshabiller compétemment dans le dortoir, ce qui pour moi n’était pas facile car j’étais très pudique. J’enlevai mon maillot, puis mon pantalon, mon soutien-gorge et pour finir mon petit string blanc.
Je sentais tous les regards sur moi. Je rentrais dans la douche, l’eau était que tiède et mes petits tétons étaient devenus tout durs. Une fille aux cheveux roux me demanda en rigolant si j’avais froid. Je lui répondis que je n’avais pas très chaud car l’eau n’était pas très chaude. Une autre fille, me demanda si je voulais qu’elle me réchauffe. Je sentis la peur me pénétrer. Elle s’approcha de moi, je vis sa main glisser sur mon épaule pour essayer de me réchauffer. Elle se colla à moi. J’avais vraiment peur. Une autre filles que tout le monde avait l’air de respecter lui dit alors :
- Laisse la, tu vois bien qu’elle n’est pas prête !
En enlevant son bras de mon épaule, elle fit exprès de faire glisser sa main sur mon pubis avec une extrême douceur. Elle chatouilla mon clitoris. Un étrange plaisir s’introduisit en moi, en quelques secondes elle venaient de m’ouvrir le chemin du plaisir avec une fille. Après la douche, on partit se coucher. La nuit allait certainement être longue pour moi.
Je me couchai en tremblant de peur des filles de terminale et aussi de ce nouveau plaisir survenu dans les douches. Au bout d'un moment je finis quand-même par m'endormir. Au milieu de la nuit, je sentis une main sur ma bouche qui m'empêcha de crier. Puis deux autres, une qui m'attrapèrent l’entrejambe et l'autre me pris par les bras. Elles m'emmenaient de force dans les douches des lycéennes.
Après m'avoir arraché mon string, elles me le mirent dans la bouche. J'étais terrifiée, mes larmes commencèrent à couler. Puis elles me mirent un foulard pour que je ne puisse retirer mon sous-vêtement de ma bouche. Je ne voyais plus rien à cause de mes larmes. Ce qui agaça l'une des lycéennes qui me mit une claque pour me calmer et me traiter de sale gamine puis elle me coucha à terre sous la douche.
Une autre fille enleva ma nuisette et la jeta par terre. Elles me touchaient les seins, agaçaient mes petits tétons. Une autre commença à introduire doucement un doigt en moi et tout d’un coup elle s’arrêta. Elle dit aux autres filles que j’étais encore vierge et qu’elle ne pouvait pas prendre ma virginité aussi vite, il fallait y aller en douceur. Elles m’enlevèrent le foulard et ma culotte qu’elles m’avaient mis dans la bouche.
Et elles me demandèrent si j’avais déjà eu du plaisir. Je leur répondis que non et elles me dirent en se rapprochant de moi que cela allait bientôt être remédié. Une me dit ensuite que je ne devais pas être timide, que tout allait bien se passer. Je sentis monter en moi une étrange chaleur. Une autre me dit alors de fermer les yeux et prit ma main, la posa sur mon corps en ébullition. Elle commença par la faire glisser sur mes seins puis continua à descendre jusqu’à mon sexe.
Ensuite, elle me fit masser mon clitoris. Je ne ressentais à ce moment plus aucune honte mais beaucoup de plaisir. Tout d’un coup je sentis un liquide inconnue sur ma main, je pris peur mais l’une d’entre elles me dit de ne pas m’inquiéter, que c’était normal. Lorsqu’on ressent du plaisir, il y a un lubrifiant qui apparaît pour aider à la pénétration.
Elle mit un de ses doigts dans mon vagin en ajoutant en rigolant que ça rentrait sans problème. Ensuite la même fille, commença un intense va et vient jusqu’à me faire me tortiller de plaisir. Soudain elle introduisit sa langue dans ma bouche pour entamer un langoureux baiser. Tout naturellement je me surpris à mettre ma main sur son sein, ce qui ne parut pas lui déplaire.
Je sentais le plaisir m’envahir, une agréable brûlure me remplit le corps. Je ne me suis jamais sentie aussi bien que pendant ce premier orgasme. Je mis fin à ce baiser qui avait été fabuleux. Elles me répondirent que la prochaine fois, elles me prendraient mon hymen puis se dépêchèrent de me ramener dans ma chambre sans que personne ne me voit. Elles vinrent me remettre dans mon lit. La lycéenne avec qui j’avais partagé ce baiser me dit avant de partir :
- A demain ma belle.
Les copines de ma chambre dorment toutes profondément; personnes n'a remarqué mon absence.
Je venais d’avoir 17 ans et je vivais avec mes parents avec beaucoup de libertés jusqu’au jour où ils divorcèrent. Comme ils sont souvent absent, ils ont décidé de me mettre dans une pension de jeunes filles.
J'avais bien du mal à m'y faire car, à mon ancienne école j'avais beaucoup de copains et de copines. Mes parents souhaitaient que je n’approche pas trop les garçons, c'est pourquoi ils ont choisi cette pension. J'avais peur de me retrouver dans un dortoir, surtout de quitter ma chambre, ma télé, mes jeux vidéo et surtout mes copains et copines. je suis d'un caractère timide, et d'arriver en cour d'année dans une nouvelle école me faisait peur.
Je pris le train du matin pour arriver que dans l’après-midi. Lorsque que le train arriva, je vis une femme vêtue de noir qui tenait un panneau avec mon nom et mon prénom. Je me dirige vers elle, et lui dis que je suis la personne qu'elle attend. Elle me demanda que je la suive pour m’amener à l’école, puis me dit qu'elle est la personne qui s’occupe du dortoir et qu'elle ne laisserai passer aucune bêtise.
Je sentis la peur dans mon ventre, j’eus envie de pleurer mais je ne fis rien, j’étais comme paralysée de accueil par de cette femme. En arrivant à l'école, elle me conduit dans un bureau et me donne une clef pour mon armoire, elle me conduit ensuit dans le dortoir pour y poser mes affaires dans mon armoire qui se situait à côté de mon lit.
L’école était un autre bâtiment à côté du dortoir celui-ci avait trois étages. le premier, celui des collégiennes et les deux autres réservées aux lycéennes. Au bout de chaque couloir, il y avait la douche et les toilettes.
J'étais rester seul pour ranger mes affaires, quand j’entendis un bruit derrière moi, la porte de la chambre était restée entrouverte, plusieurs lycéennes venaient de passer dans le couloir.
Une me remarqua et en informa les autres, qui entrèrent dans le dortoir. C’étaient des filles grandes avec des corps parfaits, presque des femmes. Elles s’approchèrent de moi d’un air nonchalant et me demandèrent ce que je faisais là, dans la chambre en pleine journée.
Je dis juste que je viens d’arriver à école, et que je range juste mes affaires dans le placard. Quelques minutes plus tard, mes camarades de chambre arrivèrent. Lorsqu’elles me virent, elles furent étonnées dans un premier temps puis tout naturellement, elles vinrent me faire la bise. Après quelques minutes, elles me posèrent plein de questions surtout pourquoi je me trouvais ici en plein milieu de l'année scolaire.
Elles m’expliquèrent que les terminales faisaient la loi ici et qu’elles jouaient avec leurs victimes. Il ne fallait surtout jamais rester seule proche du dortoir. Je leur expliquai alors que j’avais balancé à la surveillante de chambre que j'avais vue des lycéennes qui entraient en douce dans une classe. Les filles devinrent écarlates, et me dirent que si elle savaient que c'était moi, elles viendraient certainement se venger mais me promirent d’essayer de me protéger.
Puis on sonna le dîner. Pendant le repas je sentis beaucoup de regards sur moi, normal puisque je venais d'arrivée. Le repas fini, il y avait la douche obligatoire. On devait se déshabiller compétemment dans le dortoir, ce qui pour moi n’était pas facile car j’étais très pudique. J’enlevai mon maillot, puis mon pantalon, mon soutien-gorge et pour finir mon petit string blanc.
Je sentais tous les regards sur moi. Je rentrais dans la douche, l’eau était que tiède et mes petits tétons étaient devenus tout durs. Une fille aux cheveux roux me demanda en rigolant si j’avais froid. Je lui répondis que je n’avais pas très chaud car l’eau n’était pas très chaude. Une autre fille, me demanda si je voulais qu’elle me réchauffe. Je sentis la peur me pénétrer. Elle s’approcha de moi, je vis sa main glisser sur mon épaule pour essayer de me réchauffer. Elle se colla à moi. J’avais vraiment peur. Une autre filles que tout le monde avait l’air de respecter lui dit alors :
- Laisse la, tu vois bien qu’elle n’est pas prête !
En enlevant son bras de mon épaule, elle fit exprès de faire glisser sa main sur mon pubis avec une extrême douceur. Elle chatouilla mon clitoris. Un étrange plaisir s’introduisit en moi, en quelques secondes elle venaient de m’ouvrir le chemin du plaisir avec une fille. Après la douche, on partit se coucher. La nuit allait certainement être longue pour moi.
Je me couchai en tremblant de peur des filles de terminale et aussi de ce nouveau plaisir survenu dans les douches. Au bout d'un moment je finis quand-même par m'endormir. Au milieu de la nuit, je sentis une main sur ma bouche qui m'empêcha de crier. Puis deux autres, une qui m'attrapèrent l’entrejambe et l'autre me pris par les bras. Elles m'emmenaient de force dans les douches des lycéennes.
Après m'avoir arraché mon string, elles me le mirent dans la bouche. J'étais terrifiée, mes larmes commencèrent à couler. Puis elles me mirent un foulard pour que je ne puisse retirer mon sous-vêtement de ma bouche. Je ne voyais plus rien à cause de mes larmes. Ce qui agaça l'une des lycéennes qui me mit une claque pour me calmer et me traiter de sale gamine puis elle me coucha à terre sous la douche.
Une autre fille enleva ma nuisette et la jeta par terre. Elles me touchaient les seins, agaçaient mes petits tétons. Une autre commença à introduire doucement un doigt en moi et tout d’un coup elle s’arrêta. Elle dit aux autres filles que j’étais encore vierge et qu’elle ne pouvait pas prendre ma virginité aussi vite, il fallait y aller en douceur. Elles m’enlevèrent le foulard et ma culotte qu’elles m’avaient mis dans la bouche.
Et elles me demandèrent si j’avais déjà eu du plaisir. Je leur répondis que non et elles me dirent en se rapprochant de moi que cela allait bientôt être remédié. Une me dit ensuite que je ne devais pas être timide, que tout allait bien se passer. Je sentis monter en moi une étrange chaleur. Une autre me dit alors de fermer les yeux et prit ma main, la posa sur mon corps en ébullition. Elle commença par la faire glisser sur mes seins puis continua à descendre jusqu’à mon sexe.
Ensuite, elle me fit masser mon clitoris. Je ne ressentais à ce moment plus aucune honte mais beaucoup de plaisir. Tout d’un coup je sentis un liquide inconnue sur ma main, je pris peur mais l’une d’entre elles me dit de ne pas m’inquiéter, que c’était normal. Lorsqu’on ressent du plaisir, il y a un lubrifiant qui apparaît pour aider à la pénétration.
Elle mit un de ses doigts dans mon vagin en ajoutant en rigolant que ça rentrait sans problème. Ensuite la même fille, commença un intense va et vient jusqu’à me faire me tortiller de plaisir. Soudain elle introduisit sa langue dans ma bouche pour entamer un langoureux baiser. Tout naturellement je me surpris à mettre ma main sur son sein, ce qui ne parut pas lui déplaire.
Je sentais le plaisir m’envahir, une agréable brûlure me remplit le corps. Je ne me suis jamais sentie aussi bien que pendant ce premier orgasme. Je mis fin à ce baiser qui avait été fabuleux. Elles me répondirent que la prochaine fois, elles me prendraient mon hymen puis se dépêchèrent de me ramener dans ma chambre sans que personne ne me voit. Elles vinrent me remettre dans mon lit. La lycéenne avec qui j’avais partagé ce baiser me dit avant de partir :
- A demain ma belle.
Les copines de ma chambre dorment toutes profondément; personnes n'a remarqué mon absence.
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joli fantasme