Titre de l'histoire érotique : Ma première fois avec Christine (suite Marc invité surprise)
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Ma première fois avec Christine (suite Marc invité surprise)
Le lendemain de notre soirée, je dis à marc que ma femme l’avait trouvé super sympa, et que j’étais désolé pour mon comportement.
Lui me dit que ce n’était rien, et qu’il avait trouvé Catherine très agréable.
Au bout d’une semaine je l’invitais de nouveau un soir à venir diner mais avec sa femme Christine. Je savais qu’il ne refuserait pas car il voulait revoir Cathy, il n’arrêtait pas de m’en parler.
Deux semaines plus tard c’est le grand jour, Marc et Christine viennent diner à la maison. Il fait toujours très chaud, Cathy a mis un soutien-gorge pigeonnant noir, avec un chemisier noir mais très transparent, et une jupe courte à plis, qui dès qu’elle bouge un peut, dévoile ses cuisses et le haut de ses cuisses. Moi j’ai mis une chemise en lin, et un bermuda rien d’autre.
Nous avions décidé de ne pas boire d’alcool, mais de faire boire notre invitée, pour ça nous avions un stratagème, boire des KIR, mais à la place du vin blanc nous allons mettre de l’eau. Il n’y a pas de différence d’aspect, mais surtout il n y a pas d’alcool.
Ils arrivent, Marc me salue rapidement et s’empresse d’embrasser Catherine, qu’il dévore des yeux.
Ensuite il nous présente sa femme, jolie brune aux cheveux courts, environ 1.65m, 55kg, de grands yeux marrons, un superbe sourire, un grain de beauté sur la joue gauche qui lui donne beaucoup de charme.
Elle porte une robe moulante, courte, sans manche qui met bien en valeur sa poitrine généreuse. En l’embrassant j’apprécie la douceur de sa peau en lui effleurant les bras.
Nous nous installons au salon, Marc et Cathy chacun dans un fauteuil et moi sur le canapé à coté de notre invitée.
La conversation se passe à bâton rompu, tout en buvant, champagne pour nos invités et faux Kir pour nous.
Marc est de plus en plus excité, il rigole fort, il ne quitte pas des yeux l’entre jambe de Cathy, qu’elle garde légèrement ouvertes. Christine est de plus en plus rouge, elle rigole, et parle fort. Moi je profite de temps en temps, pour lui glisser à l’oreille des mots doux : vous êtes ravissante, ou votre peau est si douce que je pourrais vous caresser des heures.
Elle me repousse en regardant son mari (qui ne voit rien), Comme si elle avait peur de craquer, et espérant qu’il va venir à son aide.
Après 2 bouteilles de champagne, Cathy demande à Marc de l’accompagner à la cuisine pour en ouvrir une troisième. Il ne se fait pas prier. Il a trop envie de se retrouver seul avec ma femme.
Moi j’en profite pour mettre de la musique douce, et pour inviter Chris à venir danser.
Dans un premier temps elle refuse, en disant : je ne peux pas danser, je suis à moitié saoule je ne vais pas tenir debout.
Moi : rassures toi je te soutiendrai
Je lui prends les mains et l’entraine au milieu du salon, pour un slow (coquin)
Je la serre fort contre moi en lui disant : tu es vraiment très belle, ton corps est attirant,
Elle en me repoussant mollement : mais tu es fou, je suis marié, j’aime mon mari, et toi aussi tu es marié
Parlons-en de nos conjoints
A peine dans la cuisine, la porte fermée, Marc se jette sur Cathy, lui plaque les mains sur les seins et l’embrasse dans le cou en lui disant je te veux. Elle se dégage, elle sait qu’elle doit le faire patienter jusqu’à ce que je sois parvenu à mes fins.
Elle lui dit : on fait la vaisselle et après récompense
Marc : mais Chris va trouver ça bizarre
Cathy : mais non alain lui tient compagnie
Et ils commencent la vaisselle
De mon côté je progresse doucement, Elle ne me repousse plus, elle accepte mes petits bisous dans le cou et sur le lobe de l’oreille. Mes mains passent dans son dos, jusque sur ses fesses, et je frotte mon ventre contre le siens pour lui montrer combien j’ai envie d’elle.
Je lui dis : j’ai envie de toi, de te mettre nue, de te caresser, te lécher le sexe et te faire l’amour la sur le canapé, tu sens mon érection ?
Elle : je crois que j’ai trop bu, on est pas raisonnable, ou est Marc ? j’ai chaud
Moi : il fait la vaisselle avec Cathy, il en a pour un moment. Viens te rafraichir sur la terrasse.
Je lui prends la main et l’entraîne, dans notre chambre, qui donne sur la terrasse.
Une fois dehors, je passe derrière elle, la prend dans mes bras, et l’embrasse délicatement dans le cou, sur la joue. je frotte mon érection contre ses reins.
Moi : tu es douce, j’ai envie de toi, ne résiste pas, tu vas voir, ça va être bon
Christine : je ne sais pas, et si Marc arrive, en tournant la tête vers l’entrée de la pièce.
J’en profite pour prendre sa bouche, elle recule légèrement, de la main gauche, je lui tiens la tête, ma main droite se referme sur ses seins.
Elle dit non, mais je sens que son corps est entrain de dire oui.
Sa tête ne résiste plus, nos bouches sont collées, ma langue force délicatement ses lèvres, sa langue vient à la rencontre de la mienne.
J’ai gagné, ses mains ne me repoussent plus, elles tombent le long de son corps, qui se relâche et s’appuie contre moi.
Nos bouches toujours collées, je m’écarte et baisse la fermeture éclaire de la robe. Je sens son corps frémir au contact de mes mains, qui dans un même élan, défont l’agrafe du sous-tient gorge, et font glisser l’ensemble sur le sol
Je lui caresse les seins à la peau douce et soyeuse, je prends entre mes doigts ses tétons tout gonflés de plaisir. Ma main droite, descend le long de son ventre, et effleure son sexe à travers le fin tissu tout humide.
Elle se retourne, notre baiser est devenu fougueux, nos langues et nos salives se mélangent. Je la porte et la dépose sur le lit. Elle est allongée les bras en croix, les jambes légèrement écartées. OFFERTE.
Je la regarde, je lui demande de se caresser, le temps que je me déshabille. Je vois ses doigts bouger sous sa culotte.
Une fois nu, je me couche sur elle. Nous reprenons nos baisers, je descends, je passe sur les seins, le ventre plat et musclé. Je m’arrête sur le sexe. Je l’embrasse, j’écarte le tissu. Elle soulève légèrement le bassin pour m’indiquer et me facilité l’enlèvement du fin rempart. Elle
avance le bassin pour offrir son entrecuisse à mes lèvres,
Ma langue lèche les lèvres du sexe de cette femme qui s'offre à moi sans la moindre pudeur. Ma langue s'introduit et pénètre à fond, recherchant ensuite le clito pour le titiller, puis replonge aussi loin que possible dans le vagin. Je vais la faire jouir, je sens son plaisir monter, elle avance de plus en plus son bassin vers moi. Ma langue titille de plus en plus fort son clitoris. Elle se tortille, respire de plus en plus vite.
Elle dit : ne t’arrête pas fais mois jouir
Et elle écarte les cuisses encore plus . Je mets 2 doigts dans son vagin trempé. Elle bouge de plus en plus fort, j’ai du mal à suivre le rythme avec ma langue et mes doigts, et tout à coup dans un râle de plaisir, elle a un orgasme fantastique. Je récupère sa mouille qui coule de sa chatte. Je la laisse récupérer, et reprendre ses esprits.
Je remonte sur elle, nos bouches se retrouvent.
Christine sentant mon sexe tendu contre sa hanche : Merci, dis-moi comment tu veux que je te fasse plaisir ?
Moi : je veux prendre tes fesses
Elle : oh non je ne l’ai jamais fait, ce n’est pas possible, et Marc il est où ?
Nos conjoints ils en sont ou ?
Cathy à fait trainer la vaisselle le plus possible, prétextant que le lave vaisselle était en panne, elle fit tout à la main. Lui essuyait et rongeait son frein. Il avait envie de la prendre là debout dans la cuisine. Il ne se demandait même pas ce que pouvait faire sa femme.
Le rangement terminé, il serre Cathy de près, lui prend les seins, sa bouche, passe sa main sous sa jupe, la caresse tout en l’embrassant fougueusement. Elle se laisse faire, elle doit gagner du temps, autant que ce soit agréable. Elle se hisse sur la table, enlève son string écarte les cuisses et lui dit : donnes moi du plaisir avec ta bouche.
Il se met à genou, il embrasse délicatement le sexe offert, le lèche le pénètre, sa langue passe partout, titille le clitoris très sensible par l’appel du désir. Elle se laisse faire, elle savoure, apprécie l’encourage par des mots crus : vas y fais moi du bien, après je te sucerai à fond, comme l’autre foi, aspire mon clito, ouiiiiiiiiiiiiii comme ça, j’adore.
Elle prend son plaisir, elle lui demande de boire son jus, ce qu’il fait avec gourmandise.
Il se relève, en commençant à défère sa ceinture, il bande comme un taureau, il est sur le point d’éjaculer dans son caleçon. Mais elle le retient, en lui disant : viens tu vas me sauter sur la terrasse et elle l’entraine vers la chambre.
Sur le lit je caresse les fesses de Chris, en insinuant de plus en plus un doigt dans sa fente pour la préparer.
Je lui dis de se décontracter, que ça va bien se passer, qu’elle va aimer. Qu’elle ne redemandera à Marc
Elle : au fait il est ou Marc
Moi : il s’occupe de Cathy comme moi je m’occupe de toi
Elle : hein, qu’est-ce que tu dis ?
Moi : il est en train d’essayer de sauter ma femme
Elle : pas possible il n’est pas comme ça
Moi : il l’a déjà fait deux fois pourquoi pas 3
Elle : toi tu ne dis rien
Moi : non du moment que j’ai une compensation
Et en disant ça, je l’embrasse, et lui met un pouce dans l’anus. Elle sursaute tente de se dégager, je lui dis de rester calme.
Tout en lui parlant je la fais mettre à 4 pattes, la tête dans les oreillers, les reins bien cambrés, les fesses offertes.
Je lui demande de me sucer pour bien lubrifier ma queue, ce qu’elle fait très bien. Puis je mouille son petit trou avec de la salive. J’introduits un doigt puis deux. Elle gémit doucement je lui demande si ça va
Elle répond : c’est supportable
Je lui dis que je vais remplacer mes doigts par mon sexe.
Elle : c’est vrai ce que tu m’as dit pour marc et Cathy ?
Moi : oui
Elle en se cambrant encore plus : alors vas y.
Je remets un peu de salive, je m’approche doucement, j’appuie mon gland à l’entrée,
je lui dis de se détendre
Elle : vas lentement, c’est douloureux
Moi : le plus difficile, c’est le passage du gland
je force encore, c’est fait il est passé. Je la pénètre entièrement,
Moi : ça va tu sens mes couilles sur tes fesses
Elle : oui ne bouge pas trop fort que je m’habitue
Nous restons quelques instants sans bouger, puis je commence à me retirer pour revenir lentement. Je lui tiens, les haches et j’admire sa croupe si accueillante, si étroite et chaude.
Je sens qu’elle commence par réagir
Moi ça va ?
Elle : oui c’est moins douloureux, tu peux accélérer progressivement
Moi : masturbes toi, tu vas voir c’est merveilleux.
Et sa main glisse le long de son corps
Je lui dis que je sens mon plaisir monter.
D’une voix plus rauque elle me dit la même chose qu’elle est sur le point de jouir.
Alors j’accélère, on entend mes parties qui tapent sur ses fesses. Je grogne en retenant mon plaisir. Chris à maintenant relevée la tête à 4 pattes, le cul tendu
Elle dit en criant : encule moi fort, vas y défonce moi l’anus, j’aime ce que me fais ta bite
Moi : tu aimes ça salope une vrai chienne en chaleur
Et dans un même élan nous jouissons ensemble dans un cri de plaisir, elle sent mon sperme chaud gicler sur les parois de son ventre et nous nous écroulons sur le lit en sueur.
Nous entendons aussi le cri de Marc, que nous n’avions pas vu rentrer et qui dit : mais vous faites quoi ?
Christine : on baise comme toi avec Cathy
Lui me dit que ce n’était rien, et qu’il avait trouvé Catherine très agréable.
Au bout d’une semaine je l’invitais de nouveau un soir à venir diner mais avec sa femme Christine. Je savais qu’il ne refuserait pas car il voulait revoir Cathy, il n’arrêtait pas de m’en parler.
Deux semaines plus tard c’est le grand jour, Marc et Christine viennent diner à la maison. Il fait toujours très chaud, Cathy a mis un soutien-gorge pigeonnant noir, avec un chemisier noir mais très transparent, et une jupe courte à plis, qui dès qu’elle bouge un peut, dévoile ses cuisses et le haut de ses cuisses. Moi j’ai mis une chemise en lin, et un bermuda rien d’autre.
Nous avions décidé de ne pas boire d’alcool, mais de faire boire notre invitée, pour ça nous avions un stratagème, boire des KIR, mais à la place du vin blanc nous allons mettre de l’eau. Il n’y a pas de différence d’aspect, mais surtout il n y a pas d’alcool.
Ils arrivent, Marc me salue rapidement et s’empresse d’embrasser Catherine, qu’il dévore des yeux.
Ensuite il nous présente sa femme, jolie brune aux cheveux courts, environ 1.65m, 55kg, de grands yeux marrons, un superbe sourire, un grain de beauté sur la joue gauche qui lui donne beaucoup de charme.
Elle porte une robe moulante, courte, sans manche qui met bien en valeur sa poitrine généreuse. En l’embrassant j’apprécie la douceur de sa peau en lui effleurant les bras.
Nous nous installons au salon, Marc et Cathy chacun dans un fauteuil et moi sur le canapé à coté de notre invitée.
La conversation se passe à bâton rompu, tout en buvant, champagne pour nos invités et faux Kir pour nous.
Marc est de plus en plus excité, il rigole fort, il ne quitte pas des yeux l’entre jambe de Cathy, qu’elle garde légèrement ouvertes. Christine est de plus en plus rouge, elle rigole, et parle fort. Moi je profite de temps en temps, pour lui glisser à l’oreille des mots doux : vous êtes ravissante, ou votre peau est si douce que je pourrais vous caresser des heures.
Elle me repousse en regardant son mari (qui ne voit rien), Comme si elle avait peur de craquer, et espérant qu’il va venir à son aide.
Après 2 bouteilles de champagne, Cathy demande à Marc de l’accompagner à la cuisine pour en ouvrir une troisième. Il ne se fait pas prier. Il a trop envie de se retrouver seul avec ma femme.
Moi j’en profite pour mettre de la musique douce, et pour inviter Chris à venir danser.
Dans un premier temps elle refuse, en disant : je ne peux pas danser, je suis à moitié saoule je ne vais pas tenir debout.
Moi : rassures toi je te soutiendrai
Je lui prends les mains et l’entraine au milieu du salon, pour un slow (coquin)
Je la serre fort contre moi en lui disant : tu es vraiment très belle, ton corps est attirant,
Elle en me repoussant mollement : mais tu es fou, je suis marié, j’aime mon mari, et toi aussi tu es marié
Parlons-en de nos conjoints
A peine dans la cuisine, la porte fermée, Marc se jette sur Cathy, lui plaque les mains sur les seins et l’embrasse dans le cou en lui disant je te veux. Elle se dégage, elle sait qu’elle doit le faire patienter jusqu’à ce que je sois parvenu à mes fins.
Elle lui dit : on fait la vaisselle et après récompense
Marc : mais Chris va trouver ça bizarre
Cathy : mais non alain lui tient compagnie
Et ils commencent la vaisselle
De mon côté je progresse doucement, Elle ne me repousse plus, elle accepte mes petits bisous dans le cou et sur le lobe de l’oreille. Mes mains passent dans son dos, jusque sur ses fesses, et je frotte mon ventre contre le siens pour lui montrer combien j’ai envie d’elle.
Je lui dis : j’ai envie de toi, de te mettre nue, de te caresser, te lécher le sexe et te faire l’amour la sur le canapé, tu sens mon érection ?
Elle : je crois que j’ai trop bu, on est pas raisonnable, ou est Marc ? j’ai chaud
Moi : il fait la vaisselle avec Cathy, il en a pour un moment. Viens te rafraichir sur la terrasse.
Je lui prends la main et l’entraîne, dans notre chambre, qui donne sur la terrasse.
Une fois dehors, je passe derrière elle, la prend dans mes bras, et l’embrasse délicatement dans le cou, sur la joue. je frotte mon érection contre ses reins.
Moi : tu es douce, j’ai envie de toi, ne résiste pas, tu vas voir, ça va être bon
Christine : je ne sais pas, et si Marc arrive, en tournant la tête vers l’entrée de la pièce.
J’en profite pour prendre sa bouche, elle recule légèrement, de la main gauche, je lui tiens la tête, ma main droite se referme sur ses seins.
Elle dit non, mais je sens que son corps est entrain de dire oui.
Sa tête ne résiste plus, nos bouches sont collées, ma langue force délicatement ses lèvres, sa langue vient à la rencontre de la mienne.
J’ai gagné, ses mains ne me repoussent plus, elles tombent le long de son corps, qui se relâche et s’appuie contre moi.
Nos bouches toujours collées, je m’écarte et baisse la fermeture éclaire de la robe. Je sens son corps frémir au contact de mes mains, qui dans un même élan, défont l’agrafe du sous-tient gorge, et font glisser l’ensemble sur le sol
Je lui caresse les seins à la peau douce et soyeuse, je prends entre mes doigts ses tétons tout gonflés de plaisir. Ma main droite, descend le long de son ventre, et effleure son sexe à travers le fin tissu tout humide.
Elle se retourne, notre baiser est devenu fougueux, nos langues et nos salives se mélangent. Je la porte et la dépose sur le lit. Elle est allongée les bras en croix, les jambes légèrement écartées. OFFERTE.
Je la regarde, je lui demande de se caresser, le temps que je me déshabille. Je vois ses doigts bouger sous sa culotte.
Une fois nu, je me couche sur elle. Nous reprenons nos baisers, je descends, je passe sur les seins, le ventre plat et musclé. Je m’arrête sur le sexe. Je l’embrasse, j’écarte le tissu. Elle soulève légèrement le bassin pour m’indiquer et me facilité l’enlèvement du fin rempart. Elle
avance le bassin pour offrir son entrecuisse à mes lèvres,
Ma langue lèche les lèvres du sexe de cette femme qui s'offre à moi sans la moindre pudeur. Ma langue s'introduit et pénètre à fond, recherchant ensuite le clito pour le titiller, puis replonge aussi loin que possible dans le vagin. Je vais la faire jouir, je sens son plaisir monter, elle avance de plus en plus son bassin vers moi. Ma langue titille de plus en plus fort son clitoris. Elle se tortille, respire de plus en plus vite.
Elle dit : ne t’arrête pas fais mois jouir
Et elle écarte les cuisses encore plus . Je mets 2 doigts dans son vagin trempé. Elle bouge de plus en plus fort, j’ai du mal à suivre le rythme avec ma langue et mes doigts, et tout à coup dans un râle de plaisir, elle a un orgasme fantastique. Je récupère sa mouille qui coule de sa chatte. Je la laisse récupérer, et reprendre ses esprits.
Je remonte sur elle, nos bouches se retrouvent.
Christine sentant mon sexe tendu contre sa hanche : Merci, dis-moi comment tu veux que je te fasse plaisir ?
Moi : je veux prendre tes fesses
Elle : oh non je ne l’ai jamais fait, ce n’est pas possible, et Marc il est où ?
Nos conjoints ils en sont ou ?
Cathy à fait trainer la vaisselle le plus possible, prétextant que le lave vaisselle était en panne, elle fit tout à la main. Lui essuyait et rongeait son frein. Il avait envie de la prendre là debout dans la cuisine. Il ne se demandait même pas ce que pouvait faire sa femme.
Le rangement terminé, il serre Cathy de près, lui prend les seins, sa bouche, passe sa main sous sa jupe, la caresse tout en l’embrassant fougueusement. Elle se laisse faire, elle doit gagner du temps, autant que ce soit agréable. Elle se hisse sur la table, enlève son string écarte les cuisses et lui dit : donnes moi du plaisir avec ta bouche.
Il se met à genou, il embrasse délicatement le sexe offert, le lèche le pénètre, sa langue passe partout, titille le clitoris très sensible par l’appel du désir. Elle se laisse faire, elle savoure, apprécie l’encourage par des mots crus : vas y fais moi du bien, après je te sucerai à fond, comme l’autre foi, aspire mon clito, ouiiiiiiiiiiiiii comme ça, j’adore.
Elle prend son plaisir, elle lui demande de boire son jus, ce qu’il fait avec gourmandise.
Il se relève, en commençant à défère sa ceinture, il bande comme un taureau, il est sur le point d’éjaculer dans son caleçon. Mais elle le retient, en lui disant : viens tu vas me sauter sur la terrasse et elle l’entraine vers la chambre.
Sur le lit je caresse les fesses de Chris, en insinuant de plus en plus un doigt dans sa fente pour la préparer.
Je lui dis de se décontracter, que ça va bien se passer, qu’elle va aimer. Qu’elle ne redemandera à Marc
Elle : au fait il est ou Marc
Moi : il s’occupe de Cathy comme moi je m’occupe de toi
Elle : hein, qu’est-ce que tu dis ?
Moi : il est en train d’essayer de sauter ma femme
Elle : pas possible il n’est pas comme ça
Moi : il l’a déjà fait deux fois pourquoi pas 3
Elle : toi tu ne dis rien
Moi : non du moment que j’ai une compensation
Et en disant ça, je l’embrasse, et lui met un pouce dans l’anus. Elle sursaute tente de se dégager, je lui dis de rester calme.
Tout en lui parlant je la fais mettre à 4 pattes, la tête dans les oreillers, les reins bien cambrés, les fesses offertes.
Je lui demande de me sucer pour bien lubrifier ma queue, ce qu’elle fait très bien. Puis je mouille son petit trou avec de la salive. J’introduits un doigt puis deux. Elle gémit doucement je lui demande si ça va
Elle répond : c’est supportable
Je lui dis que je vais remplacer mes doigts par mon sexe.
Elle : c’est vrai ce que tu m’as dit pour marc et Cathy ?
Moi : oui
Elle en se cambrant encore plus : alors vas y.
Je remets un peu de salive, je m’approche doucement, j’appuie mon gland à l’entrée,
je lui dis de se détendre
Elle : vas lentement, c’est douloureux
Moi : le plus difficile, c’est le passage du gland
je force encore, c’est fait il est passé. Je la pénètre entièrement,
Moi : ça va tu sens mes couilles sur tes fesses
Elle : oui ne bouge pas trop fort que je m’habitue
Nous restons quelques instants sans bouger, puis je commence à me retirer pour revenir lentement. Je lui tiens, les haches et j’admire sa croupe si accueillante, si étroite et chaude.
Je sens qu’elle commence par réagir
Moi ça va ?
Elle : oui c’est moins douloureux, tu peux accélérer progressivement
Moi : masturbes toi, tu vas voir c’est merveilleux.
Et sa main glisse le long de son corps
Je lui dis que je sens mon plaisir monter.
D’une voix plus rauque elle me dit la même chose qu’elle est sur le point de jouir.
Alors j’accélère, on entend mes parties qui tapent sur ses fesses. Je grogne en retenant mon plaisir. Chris à maintenant relevée la tête à 4 pattes, le cul tendu
Elle dit en criant : encule moi fort, vas y défonce moi l’anus, j’aime ce que me fais ta bite
Moi : tu aimes ça salope une vrai chienne en chaleur
Et dans un même élan nous jouissons ensemble dans un cri de plaisir, elle sent mon sperme chaud gicler sur les parois de son ventre et nous nous écroulons sur le lit en sueur.
Nous entendons aussi le cri de Marc, que nous n’avions pas vu rentrer et qui dit : mais vous faites quoi ?
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