Titre de l'histoire érotique : Malika Episode 2 : La découverte de l’érotisme
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Malika Episode 2 : La découverte de l’érotisme
Je savais maintenant que Malika était prête à s’offrir à moi sans aucune retenue ; « à prendre son
plaisir » comme elle le disait si joliment. Quand elle avait décidé de venir chez moi, elle n’était
pas très rassurée sur le type d’homme qu’elle allait trouver. Certes, elle avait fait ma
connaissance la veille au magasin, puis la nuit au téléphone ; mais c’était une connaissance
superficielle qui ne lui suffisait pas pour mettre à nu ma vraie personnalité.
Mais depuis une demi-heure qu’elle était avec moi – et chez moi – elle semblait rassurée. Elle
n’avait pas trouvé en moi la brute prédatrice qu’elle avait peur de découvrir ; une brute qui allait
profiter de son instant de faiblesse pour la traiter telle une catin (Elle aimait bien ce mot,
aujourd’hui démodé, qu’elle préférait à pute ou putain, qui lui paraissaient trop vulgaires). Elle
avait peur que je me comporte avec elle comme si elle était une moins que rien (une catin !) parce
qu’elle avait cédé à ses pulsions et au désir de venir chez moi pour se faire tirer ; cela, pensait
elle, pouvait me donner le droit de lui faire toutes sortes de cochonneries immorales et, donc, de
l’avilir.
Elle pensait que la majorité des hommes étaient incapables de maîtriser leurs bas instincts et ne
manqueraient pas de profiter d’une situation telle que celle dans laquelle elle s’était mise, pour
les assouvir. Elle était sûre, au moment même où elle avait mis les pieds chez moi, que j’allais
montrer mon « vrai visage » ; celui du mâle qui tient à sa merci une femelle et qui allait la
traiter comme la chienne, qu’elle pensait être, parce qu’elle n’avait pas su résister à l’appel du
plaisir.
J’ai toujours donné de moi l’image d’un homme réfléchi et rationnel. Mais dans la réalité je suis un
intuitif intégral. Je ne réfléchis qu’après coup; le plus souvent pour donner une assise rationnelle
à un comportement ou une action qui ne semblaient pas en avoir. Mais je n’agis en fait qu’en
fonction d’intuitions plus ou moins fortes, lesquelles, jusque là, m’avaient très rarement trompé.
Avec Malika, j’avais eu tout de suite l’intuition qu’elle n’apprécierait pas du tout que je me
comporte de manière désinvolte avec elle. Elle n’aurait pas aimé, malgré le fait que sa présence
chez moi ne pouvait souffrir d’aucune interprétation, autre que le désir de baiser, que je la traite
comme une catin qui ne mérite rien d’autre que d’être tirée - sans même y mettre la forme - à la
manière d’une chienne. Je sentais que par-dessus tout, elle avait peur d’être mal jugée.
Elle avait apprécié ma manière de l’accueillir – comme une amie, sans faire montre d’un quelconque
empressement à la sauter – et avait rapidement pris confiance. Je lui apparaissais comme quelqu’un
de très compréhensif : je comprenais son désarroi et ne la jugeais pas. C’était suffisant pour qu’en
très peu de temps, les craintes de départ, se transforment en confiance et …en bien être. Je me
rendais compte maintenant qu’elle était vraiment à l’aise en ma compagnie.
Il n’avait pas fallu plus d’une demi-heure pour qu’elle se détendît complètement et s’abandonnât
dans mes bras. Elle se laissa emporter par mes baisers. J’avais pris soin d’y aller en douceur, en
commençant par ses mains (une manière de lui montrer que j’avais du respect pour elle) puis en
passant à ses joues que j’effleurai de mes lèvres, sans trop insister, puis à la jonction de son
épaule droite et de son cou. Elle poussa un léger gémissement de plaisir au moment où mes lèvres se
posèrent sur le creux de son épaule et je la sentis frémir. D’évidence, c’était un endroit très
sensible. Elle se mit presque à trembler sous la pression de ma bouche et je la sentis se crisper et
se mettre totalement à l’écoute du désir qui commençait à la remplir.
Elle ne disait rien, mais je voyais à sa bouche à moitié ouverte, à ses lèvres qui palpitaient et à
sa respiration qui devenait de plus en plus bruyante et saccadée, qu’elle était de plus en plus
excitée et qu’elle se laissait aller au plaisir. Il n’y avait plus la moindre trace de résistance en
elle. Elle était exactement comme je me l’imaginais la veille pendant que nous faisions l’amour au
téléphone : totalement offerte et à l’écoute de ses sensations et de ses pulsions. A l’écoute aussi
des désirs de son corps assoiffé de plaisir et en attente impatiente de délivrance et de jouissance.
Elle n’osait encore rien dire pour exprimer le plaisir qu’elle était entrain de vivre, mais je
sentais son excitation grandir au fur et à mesure que mes baisers se faisaient plus pressants et
plus insistants.
Je voulais maintenant goûter à sa bouche qu’elle avait immense, mais parfaitement proportionnée avec
son visage long et ovale. Une bouche entourée de lèvres superbement ourlées et pulpeuses. Elles
étaient légèrement maquillées, toujours à demi ouverte et tendues comme pour quémander un baiser.
Baiser que j’entrepris aussitôt de lui donner. Baiser torride et mouillé qui fouetta mes sens et me
mit dans un état d’excitation impossible à décrire. Elle embrassait superbement bien.
Le baiser que nous échangeâmes en ce début de notre relation, préfigurait toute la passion érotique
qui allait suivre ; un baiser qui constituait à lui seul un véritable acte sexuel qui pouvait
suffire pour mener à un orgasme intense. J’avais l’impression d’être pris dans un violent ouragan et
dont je sortirai - dont nous sortirons - complètement lessivé, tant elle y mettait de fougue et
d’intensité. Un baiser qui dura une éternité et qui avait comme acteurs principaux nos langues et
nos lèvres. Elle utilisait ses lèvres, fermes, douces et élastiques, comme des ventouses qu’elle
collait aux miennes, sans laisser le moindre interstice. Des ventouses d’une douceur, d’une chaleur
et d’une sensualité infinies.
Quand j’avais commencé à l’embrasser, j’avais l’intention d’être le seul maître du jeu ; celui qui
dirigerait tout. Mais dans la réalité ce fut elle qui prit les choses en main et mena le bal
exactement comme elle le voulait. Elle me força à ouvrir les dents pour laisser passer sa langue et
aller à la recherche de la mienne. Elle voulait une confrontation, à l’intérieur de ma bouche, entre
nos deux organes linguaux. Sa langue avait pris totalement possession de ma bouche. Elle venait y
affronter ma langue pour lui imposer un combat, qu’elle était sûre de gagner; elle lui montait
dessus, l’enroulait, s’en éloignait légèrement pour mieux revenir à l’assaut. Elle en profitait pour
aspirer et boire goulument toute la salive que ma bouche produisait.
J’essayais bien de riposter et d’envoyer ma langue à l’assaut de sa bouche en profitant d’un moment
de répit où elle était obligée de reprendre sa respiration. Mais très rapidement, elle reprenait
la main et recommençait sa domination. Le baiser dura une éternité et nous mena, elle et moi, au
bord de l’asphyxie. Nous éloignâmes nos visages l’un de l’autre et nous nous regardâmes avec dans
les yeux un million d’étoiles scintillantes. Elle m’envoya un éclatant sourire, qui était une
invitation à aller encore plus loin.
Nous étions toujours assis sur le grand fauteuil du salon ; je la repris dans mes bras et la serrai
très fort de manière à ce que le haut de son corps épouse le mien ; je la collai à moi de manière à
bien ressentir, à travers le haut de son jogging, la fermeté de son opulente poitrine. Même là, elle
voulut reprendre l’initiative et frotta voluptueusement ses seins contre ma poitrine. L’effet ne se
fit pas attendre : mon sexe qui, sous l’effet du baiser torride de tantôt, avait déjà atteint sa
dimension maximale, se mit à frémir d’impatience. Mon bas ventre commençait même à me faire mal ;
un mal très agréable, mais difficilement soutenable, tant l’envie était forte de posséder le
magnifique corps de Malika.
- Tu es magnifique ! lui susurrai-je. Tu m’as mis dans un tel état d’excitation que j’ai peur
pour toi !
- Pourquoi ? Tu vas me violer ? Je n’attends que ça ! Moi aussi je suis très excitée. Pour
dire la vérité, je suis excitée depuis la nuit d’hier. Je n’ai pas pu dormir, tant j’avais envie de
faire l’amour. Quand mon mari est rentré, au petit matin, j’ai voulu qu’il me fasse l’amour pour
éteindre le désir qui me consumait. Il m’avait très vite fait savoir qu’il était trop fatigué pour
penser « aux galipettes ». J’en avais été très vexée et déçue. Je crois même que c’est cela qui
m’avait décidée à venir aujourd’hui. C’est presque une vengeance vis-à-vis de son indifférence
envers moi.
- Ce n’est pas parce que je te plais et que tu veux vivre un amour-passion avec moi ? Je suis
déçu !
- Arrête de dire des bêtises et fais-moi l’amour. Montre-moi que tu es vraiment l’homme qu’il
me faut. L’homme qui va me faire atteindre le nirvana. Tu es déjà celui qui a réveillé mes sens et
m’a donné l’envie de sexe et de jouissance. Maintenant je veux plus : je veux l’homme qui assouvira
mes désirs et me fera vivre tous les fantasmes que j’ai essayé de dissimuler pendant toute ma vie de
femme. Baise-moi !
- Tu veux que je te tire tout de suite ? Tu veux commencer immédiatement par une pénétration ?
- Oui ! J’ai trop envie ! J’ai besoin que tu me fasses sentir ta puissance ! La puissance de
ton sexe ! Cela m’a tellement manqué que je ne peux plus attendre. Nous ferons l’amour après ! Pour
l’instant je veux que tu me baises ! Comme une chienne ! Comme une catin !
J’étais moi-même tellement excité que j’étais heureux d’obéir à l’envie de ma belle de se faire
sauter sans autre préparation que le baiser de tantôt et le frottement de sa généreuse poitrine
contre la mienne. Je la fis se lever du fauteuil pour la déshabiller. Je commençai par le haut de
son jogging que je fis passer en un tour de main au dessus de sa tête. Elle resta ainsi avec un
soutien gorge à balconnet, de couleur violette, au dessus duquel apparaissaient une magnifique paire
de seins, volumineux et bruns, se terminant par deux tétons violets entourés d’une auréole de
couleur marron foncé.
Je tendis les mains pour les caresser et tester leur fermeté. De la soie ! Du marbre ! Je ne croyais
pas que des seins aussi volumineux pussent avoir autant de fermeté. Surtout après deux grossesses !
Et bien les seins de Malika avaient encore – et naturellement ! – la fermeté de ceux des jeunes
filles sortant à peine de la puberté. Je voulais les libérer du soutien gorge, mais je n’avais ni la
patience, ni l’habileté pour chercher, et ouvrir, le mécanisme qui le maintenait. Je le fis donc
passer par-dessus la tête de ma mie qui se retrouva le torse complètement nu. Elle me laissa tout le
temps d’admirer le spectacle avec, sur les lèvres, un merveilleux sourire de satisfaction. Elle
savait qu’elle était belle et aimait que je la regarde comme cela : les yeux exorbités et la bouche
ouverte, bavant de désir.
Au bout d’un moment, je décidai de m’occuper du pantalon du jogging, que rabaissai d’un seul coup
sur ses chevilles, prenant au passage la culotte de soie qui était de la même couleur que le
soutien-gorge. Je découvris le Paradis ! Quel spectacle ! De longues jambes de couleur mate, en
totale harmonie avec son teint général, avec des mollets longs et musclés, des genoux ronds
surmontés de longues cuisses potelées et se terminant par un entrecuisse en forme de triangle bombé
et luisant. Il n’y avait absolument aucune trace de poils sur son pubis arrondi ; elle s’était
certainement épilée le matin même. Elle était bandante à souhait. Pendant quelques secondes
j’admirai le spectacle de cet entrecuisse qui laissait deviner – plutôt que voir ou même entrevoir -
une chatte longue et dodue, de couleur encore plus sombre que le reste de son corps. J’avais une
envie folle de lancer ma main pour prendre possession du jardin d’Eden qui me faisait face.
Mais je voulais d’abord qu’elle se débarrasse du pantalon et de la culotte qui étaient restés
coincés sur ses chevilles. Cela donnait un spectacle d’un érotisme torride. D’un côté, je voulais
continuer d’admirer le magnifique panorama qu’elle m’offrait ainsi, totalement nue et offerte, avec
seulement son pantalon de jogging et sa culotte rabaissés en dessous de ses mollets. D’un autre je
désirais ardemment qu’elle se débarrasse de ces chiffons et qu’elle me permette d’avoir un accès
libre à sa chatte, que je voulais voir dans sa totalité et, surtout, que je voulais posséder tout de
suite.
Je lui fis signe, en pointant du doigt le pantalon, de s’en débarrasser. Ce qu’elle fit en levant
une jambe et puis l’autre et en envoyant les bouts de tissus à l’autre bout de la pièce d’un coup de
pied digne des plus grands footballeurs. Elle me regarda pour voir l’effet que me faisaient ses
parties intimes offertes à mon regard concupiscent. J’en bavais presque, tellement je bandais et
tellement j’avais envie de sauter sur elle pour m’occuper de sa merveilleuse chatte.
- Je suis belle n’est-ce pas ? Bghit ettnikni ? (Tu as envie de me niquer !) Wach testena ?
(Qu’est-ce que tu attends ?) Koul hatchouni ! (Bouffe-moi la chatte !)
J’avais déjà remarqué la nuit précédente que Malika aimait s’exprimer dans sa langue maternelle
quand le désir la submergeait. Cela semblait ajouter à son excitation et au plaisir qu’elle prenait.
Et moi j’adorais entendre tous les mots crus qu’elle prononçait ; ils accroissaient l’intensité de
mon désir pour elle.
- Rani djay ! (J’arrive !)
Je m’approchais d’elle et la pris par la taille pour la guider vers le fauteuil. Je voulais qu’elle
s’asseye et qu’elle écarte les cuisses pour me montrer toute son intimité. Elle s’assit et écarta
les genoux, étalant devant mes yeux exorbités sa merveilleuse chatte que je voyais palpiter. Elle
était complètement épilée : aucune trace de poils ; comme pour son mont de vénus, j’étais sûr
qu’elle l’avait rasée le matin même, confirmant par là qu’elle s’était préparée pour ce qui était
entrain de se passer. Les grandes lèvres, de couleur légèrement plus sombre que celle de ses cuisses
et de son pubis, étaient longues et bombées. Elles étaient surmontées d’un petit bouton brun – son
clitoris. J’avais rarement vu une chattes aussi belle avec un clito aussi évident, ferme et
palpitant.
Je tendis la main pour m’emparer du petit bouton et le pris entre trois doigts. Malika se crispa au
contact de mes doigts et poussa un petit gémissement rauque de plaisir. Un gémissement qui venait du
fond de ses entrailles. Elle referma ses cuisses pour obliger ma main à maintenir la pression sur
son clito. Elle avait ouvert la bouche et semblait avoir du mal à respirer. Elle était toute à son
plaisir de se faire caresser ainsi.
- Ma tahbesch ! Zid hak li ! Ach’ hal mlih ! (N’arrête pas ! Continue de me caresser ! Comme
c’est bon !) Zid ! Zid ! Koul-li sawti ! (Encore ! Encore ! Bouffe-moi la chatte !)
Lui bouffer la chatte ! Cette idée me trottait par la tête depuis le moment où j’avais découvert le
spectacle de ce superbe « hatchoune ». Je voulais connaitre et son odeur et son goût et je voulais
aussi m’abreuver de tout ce jus qui faisait briller ses petites lèvres et qu’elle semblait produire
à profusion. Je me mis donc à genoux par terre, de manière à avoir ma bouche au même niveau que ses
grandes lèvres. Je commençais par m’emparer de son clito que je suçais et tétais comme si c’était
une toute petite queue. Il était aussi ferme sous mes lèvres que, tout à l’heure, sous mes doigts.
La belle poussait son bassin vers l’avant, de manière à ce que mes lèvres restent collées contre sa
chatte. En même temps elle donnait à ses hanches un mouvement circulaire qui devait certainement
accroitre l’intensité du plaisir qu’elle prenait à se faire sucer le clito. Je ne voyais pas le
visage de Malika, mais je l’entendais gémir et respirer fortement, comme si elle manquait d’air. Et
puis elle murmurait des mots que j’avais du mal à saisir totalement. Elle exprimait, avec des mots
crus, tout le plaisir qui l’habitait.
- M’lih ! M’lih ! Sucar ! A’acel ! Zid ! Zid ! Lahsou’h ! R‘aadhou’h ! (C’est bon ! Bon ! Du
sucre ! Du miel ! Lèche-le ! Tète-le !)
Au bout d’un moment, je me dis qu’il était temps que j’élargisse l’activité de ma bouche à toute la
chatte. Je posais mes lèvres sur ses grandes lèvres et les écartais avec ma langue que j’essayais
d’introduire dans le vagin. Il y régnait une odeur enivrante de musc. Une odeur aphrodisiaque. Je me
mis à embrasser, sucer et téter, avalant par la même occasion tout le jus qu’elle produisait. Il
avait un agréable goût légèrement salé et acidulé.
La belle aimait ce que je lui faisais. Elle se mit à crier que c’était bon et qu’il ne fallait pas
que j’arrête. Qu’elle allait jouir et me remplir la bouche de son jus ! Qu’il fallait que je le
boive sans en perdre une seule goutte ! Et qu’elle aussi allait boire tout mon foutre ! Qu’elle
n’allait pas tarder à avoir un orgasme ! Que c’était la première fois qu’un homme lui faisait un
cunnilingus ! Qu’elle allait jouir rien qu’avec ma bouche ! Le tout en mélangeant les langues
arabes et françaises.
- Ma tahbesch ! Ra‘hi djaïa ! Dhork enn faregh ! Enn faregh fi foumek ! ‘Aadjib ! Enta ‘aadjib
! Bghit Radjli i chouhni ‘hakdha ! ‘Aamrou ma darli ‘hakdha ! M’lih ! M’lih ! M’lihhhhhhhhhh !
(Continue, n’arrête pas, je sens que je vais jouir ! Je vais décharger tout de suite ! Je vais
décharger dans ta bouche ! C’est merveilleux ! Tu es merveilleux ! Je voudrais que mon mari me voie
comme cela ! Il ne m’a jamais fait ça ! C’est bon, bon, bon ! boooooon!)
Tout en criant ses demi-phrases et ses mots crus, elle me tenait la tête pour qu’elle ne quitte pas
sa chatte, poussait ses hanches contre ma bouche pour que ma langue puisse la pénétrer le plus loin
possible et se tortillait pour accroître le frottement de ma bouche contre ses grandes et petites
lèvres. De temps en temps, j’attrapais son clitoris entre mes lèvres et le mordillais. Elle adorait
cela et gémissait plus fort pour me le faire savoir. Et puis tout à coup, ses gémissements
s’accélérèrent, montrant qu’elle était sur le point de jouir ; tout son corps se crispa et elle
déchargea dans ma bouche, en poussant un long râle de mourante. Puis elle se relâcha totalement,
reposa ses jambes par terre et me força à venir l’embrasser sur la bouche.
J’étais resté à genoux entre ses jambes ouvertes. Je bandais comme un âne. J’avais envie de la
pénétrer et de prendre mon pied dans sa merveilleuse chatte. Je voulais lui faire sentir toute la
force de ma queue et la faire encore une fois grimper aux rideaux. Et je le lui susurrais à
l’oreille :
- Je vais maintenant te tirer ; je vais te pénétrer en force ; je vais te faire jouir encore
plus fort avec mon engin. Tu veux le voir ?
- Ouuuiiiii ! Sort ton zob, murmura-t-elle ; je veux le voir ; je suis sûre qu’il est immense.
Je veux que tu me baises comme une chienne; je veux être une chienne ! Ta chienne ! Kelba ! Qahba !
(Une chienne ! Une pute !) Nik-ni ki kelba ! (Baise-moi comme une chienne !)
Je lui pris la main droite pour la guider vers le renflement de mon pantalon de pyjama. Je voulais
qu’elle sorte elle-même l’engin de sa cachette et qu’elle le découvre. Elle le fit avec
empressement. Je sentais qu’elle était pressée, d’une part, de le voir et de l’admirer (elle avait
déjà senti qu’il avait une belle taille) et d’autre part qu’il s’occupe d’elle sans plus perdre de
temps. Elle y alla donc franchement et tata le monstre d’une main experte qui me fit rugir de
plaisir.
- Ach-hal kbir ! (Comme il est grand !) Il est immense ! dit-elle en introduisant la main
sous à l’intérieur du pantalon pour le caresser.
Je reçus comme une décharge électrique au contact de cette main si douce et si experte. Elle
manipula quelques secondes mon gourdin sous le pantalon, puis se décida à le sortir pour le mettre
à l’air libre.
- Bghit en-chouffou (Je veux le voir !) dit-elle de sa voix rauque.
Elle fit descendre le pantalon le long de mes cuisses et mit à nu l’engin qui, à force d’excitation,
était devenu immense.
- ‘Hadha zeb t‘aa bghel ! Machi t‘aa ‘aabd ! (C’est un zob de mulet, pas d’homme !) Kheft
i kesserli saouti ! (J’ai peur qu’il ne me déchire la chatte !). En habbou ! (Je l’aime !)
Elle tâtait et palpait vigoureusement mon membre en me faisant tirer des gémissements de plaisir.
J’avais même failli éjaculer tellement elle savait s’y prendre. J’avais dû retenir sa main qui
allait et venait sur la hampe pour arrêter la masturbation. Je ne voulais pas jouir grâce à sa main
; je voulais la tirer. Je voulais la baiser ! Je voulais la posséder ! Je voulais qu’elle soit à moi
! Qu’elle m’appartienne ! Qu’elle soit à ma merci !
Elle était toujours assise sur le grand fauteuil du salon ; et moi j’étais toujours à genoux par
terre, entre ses jambes ouvertes. Je lui fis lever les genoux de manière à ce quelle pose les pieds
sur le bord du fauteuil et qu’elle m’ouvre totalement la voie de son tunnel. Je présentai le gland
de mon gourdin entre les grandes lèvres mouillées et caressai avec le clitoris et les petites lèvres
palpitantes. Elle avait fermé les yeux et s’était mise à l’écoute des sensations que lui procurait
le gland de mon gourdin entrain de lui caresser la chatte. Elle poussait des petits gémissements de
plaisir. Sa respiration devenait de plus en plus rapide et se transformait parfois en sifflements.
Son corps nu était totalement tendu ; il était en attente de la pénétration qui allait le délivrer
en l’emportant au sommet du plaisir.
Et brutalement et d’un seul coup, j’enfonçais l’engin jusqu’au fond du vagin inondé et chaud de ma
maîtresse. Je lui fis mal. Elle me le montra en poussant un petit cri de douleur et en ouvrant les
yeux pour regarder. Elle me lança un sourire éclatant et me fit signe de continuer, comme cela, en
force. Je ne me fis pas prier pour entamer, toujours en force, un mouvement de va-et-vient qui nous
fit pousser à tous les deux des cris de plaisir de plus en plus sonores. Je regardais ma belle qui
goûtait son plaisir ; elle avait les yeux qui brillaient et sur les lèvres un sourire énigmatique.
Sa bouche commençait à dégouliner de salive qui allait s’étaler sur son cou et sa poitrine nus.
Je faisais faire à mes hanches de grands mouvements de va-et-vient pour introduire mon gourdin
jusqu’au plus profond de son tunnel. J’entrais et sortais sans précaution, limant violement les
parois du vagin. Etonnamment, Malika avait un vagin vraiment étroit. Malgré ses deux grossesses et
toutes ses années de mariage. Je me disais que l’engin de son mari devait du genre rikiki, pour ne
pas avoir élargi, pendant tout ce temps, le tunnel de son épouse.
Chaque aller et retour de mon gourdin à l’intérieur du tunnel de ma maîtresse avait un goût de miel.
Je sentais son vagin se refermer sur ma queue, la mouler totalement et épouser sa forme. J’avais
l’impression qu’il y avait à l’intérieur une main douce et gluante qui m’attrapait le manche et le
masturbait en tirant de moi des cris de plaisir de plus en plus forts. De toute ma vie amoureuse,
j’avais rarement rencontré un vagin aussi étroit ; pas même chez les quelques filles vierges que
j’ai eues à inaugurer.
Mes coups de boutoir à l’intérieur du vagin de Malika provoquaient chez elle, comme chez moi, des
râles de plaisir qui allaient crescendo. Nos respirations devenaient de plus en plus saccadées et
courtes. Bientôt nous nous mîmes tous les deux à crier de plus en plus fort tout le plaisir que nous
prenions ; moi à la tirer comme cela, à la hussarde, brutalement ; elle à recevoir le monstre qui
limait son tunnel, comme il n’avait encore jamais été limé : avec autant de force joyeuse. Son vagin
sécrétait une énorme quantité de jus qui créait, à chaque passage du monstre, un indécent clapotis
de plus en plus sonore.
Les hanches de ma maîtresse se soulevaient et se rabaissaient au rythme des mes va-et-vient
endiablés. Sa tête dodelinait de droite à gauche et d’avant en arrière dans un mouvement
incontrôlable, dont elle n’avait peut-être même pas conscience. Son esprit était complètement sorti
de son corps pour aller planer au dessus du spectacle torride que nous donnions ; le bonheur se
lisait dans sa manière de jouir, sans retenue, aucune ! Elle criait, en arabe, des mots de plaisir,
qui ajoutaient énormément d’intensité à notre excitation.
- ‘Aacel ! Sukar ! M’lih ! Hlou ! (Du miel ! Du sucre ! C’est bon ! C’est doux !) K’bir !
Khchine ! I ‘aamarli Saouti ! I wedj‘aani ! Wedj‘aani ! ( Il est grand ! Il est gros ! Il me remplit
la chatte ! Il me fait mal ! Fais-moi mal !) Yemma Ach-hal m’lih ! Zid nik ni ‘hakdha! Ma tahbesch
! Ma n’habsouch ! Enn nikou toul n’har ! Nik ni ! Nik ni ! Nik qahbtek ! Nik kelbtek ! (Maman, comme
c’est bon ! Continue de me baiser comme ça! Ne t’arrête pas ! Nous n’allons pas arrêter ! Nous
niquerons toute la journée ! Nique-moi ! Nique-moi ! Nique ta pute ! Nique ta chienne !) Cheft
ach’hal enn hab zeb ! Ach’hal enn hab zebek ! Tel‘aani le sma seb‘aa ! Rani fi sma sab‘aa ! Ra‘hi
djaïa ! Dhork en’faregh ! (Tu as vu combien j’adore le zob ! Combien j’adore ton zob ! Emmène-moi
au septième ciel ! Je suis au septième ciel ! Je vais jouir ! Je vais décharger !).
Et effectivement elle eut un violent orgasme et déchargea, en hurlant, une énorme quantité de
cyprine qui augmenta d’autant le niveau sonore des clapotis que faisait mon membre en allant et
venant dans son vagin. Même avec l’énorme sécrétion de cyprine, son vagin continuait de mouler
fortement mon engin, qui n’en pouvait plus. Je ne voulais pas jouir immédiatement ; j’aurais aimé
tenir encore un peu de temps ; le temps de faire jouir ma mie encore une fois. Mais j’en étais
incapable.
Encore un aller-retour et je poussai un «aaaaah !» de jouissance qui, me sembla-t-il, dura une
éternité. J’éclatai comme une bombe en envoyant une énorme giclée de foutre brûlant au fond du vagin
tétanisé, brulant et inondé de Malika. Mon hurlement de plaisir se mêlait aux râles de jouissance de
ma maîtresse. Elle était complètement essoufflée et semblait proche de la syncope. Je n’étais pas en
meilleur état physique. Mais mon Dieu, quel plaisir intense nous venions de vivre!
Nous nous regardions, émerveillés, entrain de jouir sans retenue; puis entrain de reprendre notre
souffle, sans que nos yeux ne se séparent une seule seconde. Je lisais dans son regard comme dans un
livre : elle était heureuse ! Heureuse d’avoir vécu quelque chose de très fort ; quelque chose
qu’elle n’avait encore jamais vécu auparavant. Elle m’avoua, quelques minutes après avoir repris nos
esprits, que jamais elle n’avait vécu un tel bonheur. J’étais vraiment étonné de cet aveu et je
voulus en savoir plus sur la question.
Elle m’avoua que son histoire d’amour avec son mari n’avait absolument rien de sexuel. Elle l’aimait
vraiment, mais pas en tant qu’amant. Le sexe n’avait pas une grande place dans sa vie ; il était du
genre à faire l’amour pour de simples raisons d’hygiène. Il ne semblait pas avoir de besoins sexuels
énormes et surtout, il n’avait aucune tendance à aller au-delà la morale et de la bienséance. S’il
avait été chrétien, il aurait parlé de « pécher de chair » pour qualifier le besoin, trop répandu
chez les humains, de plaisir sexuel. Il aurait aussi repris à son compte ce poème chanté par Jean
Ferrat qui affirmait « qu’une femme honnête n’a pas de plaisir », pour rejeter toute revendication
féminine de plaisir sexuel. C’est dire combien Malika avait été sevrée de sexe depuis le début de sa
vie de femme.
Inutile de dire que j’étais aussi fier qu’un coq. Je venais de faire découvrir à ma maitresse la
signification du mot jouissance sexuelle et orgasme. Elle m’affirma qu’elle savait que ça existait
et que ce n’était pas que de simples mots – elle l’avait souvent lu et, surtout, elle avait des
amies qui lui racontaient leurs parties de jambes en l’air avec leurs maris ou leurs amants et qui
lui rapportaient tout le plaisir qu’elles en tiraient – mais qu’elle ne l’avait jamais vécu. Faire
l’amour pour elle avait surtout consisté à faire deux enfants. Pas plus. Elle sentait parfois son
corps frémir à l’évocation d’un bel homme de son entourage – un voisin marié avec une de ses amies –
dont l’épouse, peut-être par méchanceté envers elle, vantait les capacités d’amant. Elle avait
souvent fait le rêve d’être dans ses bras et de se faire tirer sans retenue par son sexe, qu’elle
imaginait être d’une taille monumentale.
Mais dans sa vie réelle, elle n’avait encore jamais autant joui que cette matinée. Pas même quand
elle se caressait la nuit pour essayer de calmer le désir qui la prenait parfois, d’un homme auquel
elle offrait son corps. Elle disait aussi qu’elle n’en avait pas réellement souffert ; tout
simplement parce qu’elle n’avait jamais connu le vrai plaisir sexuel ; ni en tant que jeune fille –
elle était arrivée totalement vierge au mariage - ni en tant que femme. Ce ne fut que cette fameuse
nuit, où les démons de la chair l’avaient poussé à m’appeler et à faire l’amour au téléphone avec
moi, qu’elle avait réellement joui. C’était aussi ce qui l’avait poussé à venir me rejoindre ce
matin et vivre ce magnifique moment de bonheur. Car elle était vraiment heureuse ! Heureuse de ce
qu’elle venait de vivre.
- N’aie crainte, avec moi tu connaîtras toutes les facettes d’un véritable amour. Je vais te
faire découvrir des choses que tu ne soupçonnes même pas. Tu ne pourras plus jamais te passer de
sexe et d’érotisme. Même quand je ne serais plus là – cela arrivera bien un jour – tu continueras à
vivre pour l’amour ; et pour rien d’autre.
- Tu penses vraiment que j’ai été bien ? Que je ne me suis pas comportée comme une fille des
rues ? Une catin ? Tu sais en y réfléchissant, j’ai encore honte de la manière dont je me suis
comportée avec toi ! Et toutes les insanités que je t’ai dites pendant que ….
(Elle hésitait à terminer sa phrase, n’osant pas employer les mots justes pour illustrer ce qui
s’était passé entre nous)
- Dis-le ! Il ne faut pas avoir peur des mots ! Pendant que je te baisais ! Que je te tirais !
Que je te niquais ! Ce sont des mots et des phrases qui ont un véritable contenu aphrodisiaque. Les
prononcer pendant l’acte ne fait qu’ajouter au désir et au plaisir que l’on prend. J’ai adoré tout
ce que tu me disais – surtout en arabe ! Et je suis sûr que toi aussi tu as libéré toute ta libido
avec ces mots. Ils constituaient une partie de tes fantasmes sexuels ; qu’ils soient évidents ou
cachés. Dans nos prochaines parties de jambes en l’air, tu utiliseras beaucoup d’autres mots crus.
Et tu jouiras autant, sinon plus que tout à l’heure. D’ailleurs, j’ai encore envie de toi. Nous
allons passer toute la journée à faire l’amour. Quand tu quitteras cette maison, tu auras
pratiquement tout connu de l’érotisme. Je vais tout te faire ! Et tu vas tout me faire !
- Mais je suis fourbue, morte de fatigue ! J’ai des courbatures partout ! Tu ne vas pas me
dire que tu es capable de me faire encore la même chose que tout à l’heure !
- Plus que tout à l’heure ! Et d’abord je vais te prendre par la bouche ! Ne fait pas la moue
! Tu as une bouche qui fait penser à une chatte ! Il faut que mon engin y fasse son nid ! Tout à
l’heure tu disais que tu allais boire mon sperme, comme moi j’avais bu ton jus, quand tu as déchargé
dans ma bouche. Et bien moi aussi je vais décharger dans la tienne. Je sais maintenant que tu n’as
encore jamais sucé la bite d’un homme. Et bien je vais t’apprendre à le faire. Et même si tu n’aimes
pas tout de suite, à la longue tu finiras par apprécier. Et il n’y a pas que ça : je vais aussi te
prendre par l’anus. Lui aussi n’a jamais servi ! Et bien j’aurai l’honneur et le bonheur de
l’inaugurer. Il ne faut surtout pas avoir peur ; tu finiras par me demander toi-même de te baiser
partout. Il n’y a que la première fois qui est difficile. Dis-moi que tu veux !
- Pas par derrière ! C’est sale ! Et ma voisine – qui se fait souvent enculer par son mari –
m’a affirmé que cela faisait très mal.
- Rien que la première fois, et je te promets que même cette première fois, la douleur
s’estompera très vite et laissera la place au plaisir. Viens, allons dans la chambre, nous serons
beaucoup plus à l’aise sur le lit.
Je me levai du fauteuil et tendis la main à Malika pour qu’elle me suive. Elle était
merveilleusement belle dans sa nudité. Elle était toujours aussi bandante ! En fine mouche, elle me
précéda pour que j’admire son merveilleux corps nu. D’ailleurs en la voyant marcher en balançant son
superbe cul nu, je sentis ma queue se réveiller et reprendre de la vigueur. J’avais moi-même enlevé
le pantalon de pyjama que je portais avant de tirer Malika et était resté avec un simple tee-shirt.
Je bandais comme un âne en arrivant devant le lit et ma maîtresse qui me devançait, se retourna pour
me regarder. Elle vit le monstre qui était dressé comme un sabre et qui frémissait de désir. Elle
eut un sourire de louve, montrant ses canines et tendit la main pour s’en saisir.
- On m’avait dit que les hommes avaient du mal à rebander après avoir joui une première fois.
Ce n’est pas ton cas. Ton zob est aussi en forme qu’il l’était tout à l’heure avant qu’il ne
s’occupe de ma chatte. Et aussi dur ! Et aussi doux ! Je l’aime ! En-habbou !
- Alors suce-le ! Fait moi une fellation ! Bghit en-nikek mel foum ! (Je veux te niquer par la
bouche !)
- Je ne sais pas comment on fait ! J’ai peur de te mordre la queue !
- N’aie pas peur ! Mets-toi à genoux devant moi et prend-le dans ta main. Commence par
l’embrasser et le lécher pour t’habituer à lui. Et puis ouvre très grand ta bouche et fait le
pénétrer à l’intérieur. Tu verras, c’est très facile ! Et puis c’est tellement bon ! Pour moi !
Elle obéit à la lettre aux instructions que je venais de lui donner et rapidement, elle fit pénétrer
le gland entre ses lèvres. Elle avait oublié d’écarter ses dents. Il ne pouvait donc pas encore
pénétrer. Je lui ordonnai de bien ouvrir sa bouche et exerçai une forte pression avec mon sexe pour
qu’elle le laisse pénétrer à l’intérieur. Elle eut un peu de mal au début, mais très vite, elle
comprit ce qu’il fallait faire et se mit à pomper comme une vraie pro. C’était divin ! Elle avait
une bouche très accueillante ; chaude et humide. D’instinct elle savait comment utiliser sa langue
pour titiller le gland de mon engin et m’envoyer une série de petites décharges électriques très
agréables. Elle avait aussi très vite trouvé le rythme qu’il fallait et utilisait sa main pour me
masturber, en même temps qu’elle me suçait.
Je sentis qu’à cette allure je n’allais pas tarder à jouir. Or je ne voulais pas jouir de cette
façon. Je voulais carrément la baiser par la bouche. J’avais découvert et aimé cela avec une des mes
anciennes maîtresses, qui m’avait initié à cette pratique. C’était pour la femme une vraie torture.
Mais quel plaisir pour l’homme ! Je voulais essayer avec Malika, bien que je fusse sûr qu’elle
n’allait pas apprécier. Qu’importe ! J’attrapais la tête de ma maîtresse pour l’empêcher de se
sauver et me mis à faire pénétrer mon sexe profondément dans sa bouche. D’abord avec précaution,
pour qu’elle n’étouffe pas et aussi, pour qu’elle ne vomisse pas ; puis avec plus de force. Je
faisais tout de même attention à aménager quelques secondes de pause, pour qu’elle puisse reprendre
sa respiration – mon sexe allait de plus en plus loin et dépassait maintenant la glotte – et pour
qu’elle recrachât une partie de la salive qu’elle produisait à profusion, à cause de la présence de
mon gourdin dans sa bouche.
La sensation que j’en tirais était exceptionnelle. Le palais de ma belle, ainsi que sa gorge,
n’avaient ni la douceur, ni la mollesse de son vagin. Ils étaient plus fermes, avec la même moiteur
et la même chaleur. De temps en temps mon sexe dérapait sur ses dents qui le raclaient et
provoquaient une forte douleur. Mais très vite elle se reprenait et écartait les dents. Elle avait
compris ce que je lui faisais et avait accepté de me laisser faire. Mon Dieu que c’était bon ! Il y
avait certainement beaucoup de perversion en moi. Peut-être même un brin de sadisme. Car j’adorais
ce que je lui faisais, tout en sachant qu’elle devait avoir atrocement mal.
Je tenais à deux mains la tête de Malika et je la pinais sans retenue; en force. De temps en temps,
elle résistait et me poussait à sortir quelques secondes de sa bouche pour pouvoir reprendre sa
respiration, et pour éloigner l’envie de vomir qui la prenait assez régulièrement quand mon engin,
trop long, allait titiller et dépasser la glotte. Mais elle le remettait très vite à l’intérieur de
la bouche et reprenait l’opération. Cela ressemblait à une véritable opération de torture. Je
sentais que d’une part elle souffrait beaucoup – je lui raclais la gorge et lui faisais très mal, et
que d’autre part je lui causais une vraie gêne pour respirer.
Elle avait les yeux qui larmoyaient et ses narines coulaient comme une fontaine. Ce spectacle
accroissait encore l’intensité du plaisir sadique que je prenais. Egoïstement, je profitais que ma
belle ne protestait pas, pour continuer à la piner comme cela. J’essayais de retarder l’éjaculation,
en contrôlant l’arrivée de l’orgasme. Je voulais profiter au maximum de cette bouche d’enfer. Quand
enfin, la jouissance arriva, tel un torrent en crue, j’envoyais une série de giclées de sperme -
moins épais et dru, mais tout aussi volumineux que tout à l’heure - qui alla au fond de sa gorge.
Elle commença par avoir le réflexe de vomir – le goût étrange et la viscosité du foutre, m’avait-
elle expliqué plus tard – mais elle se reprit très vite et en avala une grande partie. Le reste,
elle le recracha sur mon sexe et sur mes cuisses.
Il lui avait fallu quelques longues minutes avant que les choses ne redeviennent normales. Elle eut
du mal à parler – j’avais certainement raclé ses cordes vocales avec mon engin – et à se débarrasser
du goût du sperme qu’elle avait encore en bouche. Mais elle paraissait très contente d’elle. C’était
comme si elle venait de réaliser un exploit. Elle ne s’attendait certainement pas à ce qu’elle se
fasse tirer par la bouche. Mais maintenant qu’elle l’avait fait, elle en était fière.
- J’ai été à la hauteur, n’est-ce pas ? (Ce n’était pas une question. C’était une
affirmation.)
- Tu as été merveilleuse ! Je savais, au moment même où je t’avais vue dans le magasin, que tu
étais un superbe coup ! Tu viens de me le démontrer. Je m’en veux un peu de t’avoir traité comme
cela. De t’avoir fait mal. Et surtout que tu n’y aies pris aucun plaisir. Mais pour moi, c’était
merveilleux. Tu vas bientôt devenir une vraie experte en amour. Nous referons l’amour encore
plusieurs fois aujourd’hui. Et demain ! Et après-demain ! Et toute notre vie ! Dis-moi que tu
resteras avec moi et que nous vivrons tous les deux les plus beaux moments de notre vie !
- Pour aujourd’hui, c’est fini ! Mais demain je reviendrai ! Et après-demain ! Je veux
vraiment tout connaitre du sexe et de l’érotisme. Je veux encore jouir sous tes coups de boutoir. Je
veux encore que tu me baises. Que tu me baises encore et encore ! Dis-moi que tu ne te fatigueras
jamais de moi ! Bghit et’habni kima anna enn’habek ! (Je veux que tu m’aimes, comme moi je t’aime !)
Ou bghit ‘hadha zeb i koun lyïa ! Ghir lyïa ! (Et je veux que ce zob soit à moi ! Rien qu’à moi !)
Ahlef ! (Jure-le !)
Et je jurai ! Ce fut ainsi que notre relation continua, le lendemain et le surlendemain ! Et des
semaines et des mois après ! Elle dura en fait plusieurs années, au cours desquelles nous connûmes
un bonheur presque parfait. Une relation faite d’un érotisme torride, toujours renouvelé, qui nous
avait amené vers les plus hauts sommets du plaisir sexuel.
Deux années plus tard, elle se découvrit même une tendance à la bisexualité et engagea une relation
avec une jeune voisine, d’une beauté à couper le souffle, qui venait d’emménager dans la maison à
côté de la sienne. Elle venait de se marier avec un homme – très riche, mais aussi très vieux – qui
l’avait prise comme deuxième épouse. Malika tomba folle amoureuse de Chiraz et partagea son amour
entre elle et moi. Elle finit même par me la présenter.
Mais ceci est une autre histoire.
plaisir » comme elle le disait si joliment. Quand elle avait décidé de venir chez moi, elle n’était
pas très rassurée sur le type d’homme qu’elle allait trouver. Certes, elle avait fait ma
connaissance la veille au magasin, puis la nuit au téléphone ; mais c’était une connaissance
superficielle qui ne lui suffisait pas pour mettre à nu ma vraie personnalité.
Mais depuis une demi-heure qu’elle était avec moi – et chez moi – elle semblait rassurée. Elle
n’avait pas trouvé en moi la brute prédatrice qu’elle avait peur de découvrir ; une brute qui allait
profiter de son instant de faiblesse pour la traiter telle une catin (Elle aimait bien ce mot,
aujourd’hui démodé, qu’elle préférait à pute ou putain, qui lui paraissaient trop vulgaires). Elle
avait peur que je me comporte avec elle comme si elle était une moins que rien (une catin !) parce
qu’elle avait cédé à ses pulsions et au désir de venir chez moi pour se faire tirer ; cela, pensait
elle, pouvait me donner le droit de lui faire toutes sortes de cochonneries immorales et, donc, de
l’avilir.
Elle pensait que la majorité des hommes étaient incapables de maîtriser leurs bas instincts et ne
manqueraient pas de profiter d’une situation telle que celle dans laquelle elle s’était mise, pour
les assouvir. Elle était sûre, au moment même où elle avait mis les pieds chez moi, que j’allais
montrer mon « vrai visage » ; celui du mâle qui tient à sa merci une femelle et qui allait la
traiter comme la chienne, qu’elle pensait être, parce qu’elle n’avait pas su résister à l’appel du
plaisir.
J’ai toujours donné de moi l’image d’un homme réfléchi et rationnel. Mais dans la réalité je suis un
intuitif intégral. Je ne réfléchis qu’après coup; le plus souvent pour donner une assise rationnelle
à un comportement ou une action qui ne semblaient pas en avoir. Mais je n’agis en fait qu’en
fonction d’intuitions plus ou moins fortes, lesquelles, jusque là, m’avaient très rarement trompé.
Avec Malika, j’avais eu tout de suite l’intuition qu’elle n’apprécierait pas du tout que je me
comporte de manière désinvolte avec elle. Elle n’aurait pas aimé, malgré le fait que sa présence
chez moi ne pouvait souffrir d’aucune interprétation, autre que le désir de baiser, que je la traite
comme une catin qui ne mérite rien d’autre que d’être tirée - sans même y mettre la forme - à la
manière d’une chienne. Je sentais que par-dessus tout, elle avait peur d’être mal jugée.
Elle avait apprécié ma manière de l’accueillir – comme une amie, sans faire montre d’un quelconque
empressement à la sauter – et avait rapidement pris confiance. Je lui apparaissais comme quelqu’un
de très compréhensif : je comprenais son désarroi et ne la jugeais pas. C’était suffisant pour qu’en
très peu de temps, les craintes de départ, se transforment en confiance et …en bien être. Je me
rendais compte maintenant qu’elle était vraiment à l’aise en ma compagnie.
Il n’avait pas fallu plus d’une demi-heure pour qu’elle se détendît complètement et s’abandonnât
dans mes bras. Elle se laissa emporter par mes baisers. J’avais pris soin d’y aller en douceur, en
commençant par ses mains (une manière de lui montrer que j’avais du respect pour elle) puis en
passant à ses joues que j’effleurai de mes lèvres, sans trop insister, puis à la jonction de son
épaule droite et de son cou. Elle poussa un léger gémissement de plaisir au moment où mes lèvres se
posèrent sur le creux de son épaule et je la sentis frémir. D’évidence, c’était un endroit très
sensible. Elle se mit presque à trembler sous la pression de ma bouche et je la sentis se crisper et
se mettre totalement à l’écoute du désir qui commençait à la remplir.
Elle ne disait rien, mais je voyais à sa bouche à moitié ouverte, à ses lèvres qui palpitaient et à
sa respiration qui devenait de plus en plus bruyante et saccadée, qu’elle était de plus en plus
excitée et qu’elle se laissait aller au plaisir. Il n’y avait plus la moindre trace de résistance en
elle. Elle était exactement comme je me l’imaginais la veille pendant que nous faisions l’amour au
téléphone : totalement offerte et à l’écoute de ses sensations et de ses pulsions. A l’écoute aussi
des désirs de son corps assoiffé de plaisir et en attente impatiente de délivrance et de jouissance.
Elle n’osait encore rien dire pour exprimer le plaisir qu’elle était entrain de vivre, mais je
sentais son excitation grandir au fur et à mesure que mes baisers se faisaient plus pressants et
plus insistants.
Je voulais maintenant goûter à sa bouche qu’elle avait immense, mais parfaitement proportionnée avec
son visage long et ovale. Une bouche entourée de lèvres superbement ourlées et pulpeuses. Elles
étaient légèrement maquillées, toujours à demi ouverte et tendues comme pour quémander un baiser.
Baiser que j’entrepris aussitôt de lui donner. Baiser torride et mouillé qui fouetta mes sens et me
mit dans un état d’excitation impossible à décrire. Elle embrassait superbement bien.
Le baiser que nous échangeâmes en ce début de notre relation, préfigurait toute la passion érotique
qui allait suivre ; un baiser qui constituait à lui seul un véritable acte sexuel qui pouvait
suffire pour mener à un orgasme intense. J’avais l’impression d’être pris dans un violent ouragan et
dont je sortirai - dont nous sortirons - complètement lessivé, tant elle y mettait de fougue et
d’intensité. Un baiser qui dura une éternité et qui avait comme acteurs principaux nos langues et
nos lèvres. Elle utilisait ses lèvres, fermes, douces et élastiques, comme des ventouses qu’elle
collait aux miennes, sans laisser le moindre interstice. Des ventouses d’une douceur, d’une chaleur
et d’une sensualité infinies.
Quand j’avais commencé à l’embrasser, j’avais l’intention d’être le seul maître du jeu ; celui qui
dirigerait tout. Mais dans la réalité ce fut elle qui prit les choses en main et mena le bal
exactement comme elle le voulait. Elle me força à ouvrir les dents pour laisser passer sa langue et
aller à la recherche de la mienne. Elle voulait une confrontation, à l’intérieur de ma bouche, entre
nos deux organes linguaux. Sa langue avait pris totalement possession de ma bouche. Elle venait y
affronter ma langue pour lui imposer un combat, qu’elle était sûre de gagner; elle lui montait
dessus, l’enroulait, s’en éloignait légèrement pour mieux revenir à l’assaut. Elle en profitait pour
aspirer et boire goulument toute la salive que ma bouche produisait.
J’essayais bien de riposter et d’envoyer ma langue à l’assaut de sa bouche en profitant d’un moment
de répit où elle était obligée de reprendre sa respiration. Mais très rapidement, elle reprenait
la main et recommençait sa domination. Le baiser dura une éternité et nous mena, elle et moi, au
bord de l’asphyxie. Nous éloignâmes nos visages l’un de l’autre et nous nous regardâmes avec dans
les yeux un million d’étoiles scintillantes. Elle m’envoya un éclatant sourire, qui était une
invitation à aller encore plus loin.
Nous étions toujours assis sur le grand fauteuil du salon ; je la repris dans mes bras et la serrai
très fort de manière à ce que le haut de son corps épouse le mien ; je la collai à moi de manière à
bien ressentir, à travers le haut de son jogging, la fermeté de son opulente poitrine. Même là, elle
voulut reprendre l’initiative et frotta voluptueusement ses seins contre ma poitrine. L’effet ne se
fit pas attendre : mon sexe qui, sous l’effet du baiser torride de tantôt, avait déjà atteint sa
dimension maximale, se mit à frémir d’impatience. Mon bas ventre commençait même à me faire mal ;
un mal très agréable, mais difficilement soutenable, tant l’envie était forte de posséder le
magnifique corps de Malika.
- Tu es magnifique ! lui susurrai-je. Tu m’as mis dans un tel état d’excitation que j’ai peur
pour toi !
- Pourquoi ? Tu vas me violer ? Je n’attends que ça ! Moi aussi je suis très excitée. Pour
dire la vérité, je suis excitée depuis la nuit d’hier. Je n’ai pas pu dormir, tant j’avais envie de
faire l’amour. Quand mon mari est rentré, au petit matin, j’ai voulu qu’il me fasse l’amour pour
éteindre le désir qui me consumait. Il m’avait très vite fait savoir qu’il était trop fatigué pour
penser « aux galipettes ». J’en avais été très vexée et déçue. Je crois même que c’est cela qui
m’avait décidée à venir aujourd’hui. C’est presque une vengeance vis-à-vis de son indifférence
envers moi.
- Ce n’est pas parce que je te plais et que tu veux vivre un amour-passion avec moi ? Je suis
déçu !
- Arrête de dire des bêtises et fais-moi l’amour. Montre-moi que tu es vraiment l’homme qu’il
me faut. L’homme qui va me faire atteindre le nirvana. Tu es déjà celui qui a réveillé mes sens et
m’a donné l’envie de sexe et de jouissance. Maintenant je veux plus : je veux l’homme qui assouvira
mes désirs et me fera vivre tous les fantasmes que j’ai essayé de dissimuler pendant toute ma vie de
femme. Baise-moi !
- Tu veux que je te tire tout de suite ? Tu veux commencer immédiatement par une pénétration ?
- Oui ! J’ai trop envie ! J’ai besoin que tu me fasses sentir ta puissance ! La puissance de
ton sexe ! Cela m’a tellement manqué que je ne peux plus attendre. Nous ferons l’amour après ! Pour
l’instant je veux que tu me baises ! Comme une chienne ! Comme une catin !
J’étais moi-même tellement excité que j’étais heureux d’obéir à l’envie de ma belle de se faire
sauter sans autre préparation que le baiser de tantôt et le frottement de sa généreuse poitrine
contre la mienne. Je la fis se lever du fauteuil pour la déshabiller. Je commençai par le haut de
son jogging que je fis passer en un tour de main au dessus de sa tête. Elle resta ainsi avec un
soutien gorge à balconnet, de couleur violette, au dessus duquel apparaissaient une magnifique paire
de seins, volumineux et bruns, se terminant par deux tétons violets entourés d’une auréole de
couleur marron foncé.
Je tendis les mains pour les caresser et tester leur fermeté. De la soie ! Du marbre ! Je ne croyais
pas que des seins aussi volumineux pussent avoir autant de fermeté. Surtout après deux grossesses !
Et bien les seins de Malika avaient encore – et naturellement ! – la fermeté de ceux des jeunes
filles sortant à peine de la puberté. Je voulais les libérer du soutien gorge, mais je n’avais ni la
patience, ni l’habileté pour chercher, et ouvrir, le mécanisme qui le maintenait. Je le fis donc
passer par-dessus la tête de ma mie qui se retrouva le torse complètement nu. Elle me laissa tout le
temps d’admirer le spectacle avec, sur les lèvres, un merveilleux sourire de satisfaction. Elle
savait qu’elle était belle et aimait que je la regarde comme cela : les yeux exorbités et la bouche
ouverte, bavant de désir.
Au bout d’un moment, je décidai de m’occuper du pantalon du jogging, que rabaissai d’un seul coup
sur ses chevilles, prenant au passage la culotte de soie qui était de la même couleur que le
soutien-gorge. Je découvris le Paradis ! Quel spectacle ! De longues jambes de couleur mate, en
totale harmonie avec son teint général, avec des mollets longs et musclés, des genoux ronds
surmontés de longues cuisses potelées et se terminant par un entrecuisse en forme de triangle bombé
et luisant. Il n’y avait absolument aucune trace de poils sur son pubis arrondi ; elle s’était
certainement épilée le matin même. Elle était bandante à souhait. Pendant quelques secondes
j’admirai le spectacle de cet entrecuisse qui laissait deviner – plutôt que voir ou même entrevoir -
une chatte longue et dodue, de couleur encore plus sombre que le reste de son corps. J’avais une
envie folle de lancer ma main pour prendre possession du jardin d’Eden qui me faisait face.
Mais je voulais d’abord qu’elle se débarrasse du pantalon et de la culotte qui étaient restés
coincés sur ses chevilles. Cela donnait un spectacle d’un érotisme torride. D’un côté, je voulais
continuer d’admirer le magnifique panorama qu’elle m’offrait ainsi, totalement nue et offerte, avec
seulement son pantalon de jogging et sa culotte rabaissés en dessous de ses mollets. D’un autre je
désirais ardemment qu’elle se débarrasse de ces chiffons et qu’elle me permette d’avoir un accès
libre à sa chatte, que je voulais voir dans sa totalité et, surtout, que je voulais posséder tout de
suite.
Je lui fis signe, en pointant du doigt le pantalon, de s’en débarrasser. Ce qu’elle fit en levant
une jambe et puis l’autre et en envoyant les bouts de tissus à l’autre bout de la pièce d’un coup de
pied digne des plus grands footballeurs. Elle me regarda pour voir l’effet que me faisaient ses
parties intimes offertes à mon regard concupiscent. J’en bavais presque, tellement je bandais et
tellement j’avais envie de sauter sur elle pour m’occuper de sa merveilleuse chatte.
- Je suis belle n’est-ce pas ? Bghit ettnikni ? (Tu as envie de me niquer !) Wach testena ?
(Qu’est-ce que tu attends ?) Koul hatchouni ! (Bouffe-moi la chatte !)
J’avais déjà remarqué la nuit précédente que Malika aimait s’exprimer dans sa langue maternelle
quand le désir la submergeait. Cela semblait ajouter à son excitation et au plaisir qu’elle prenait.
Et moi j’adorais entendre tous les mots crus qu’elle prononçait ; ils accroissaient l’intensité de
mon désir pour elle.
- Rani djay ! (J’arrive !)
Je m’approchais d’elle et la pris par la taille pour la guider vers le fauteuil. Je voulais qu’elle
s’asseye et qu’elle écarte les cuisses pour me montrer toute son intimité. Elle s’assit et écarta
les genoux, étalant devant mes yeux exorbités sa merveilleuse chatte que je voyais palpiter. Elle
était complètement épilée : aucune trace de poils ; comme pour son mont de vénus, j’étais sûr
qu’elle l’avait rasée le matin même, confirmant par là qu’elle s’était préparée pour ce qui était
entrain de se passer. Les grandes lèvres, de couleur légèrement plus sombre que celle de ses cuisses
et de son pubis, étaient longues et bombées. Elles étaient surmontées d’un petit bouton brun – son
clitoris. J’avais rarement vu une chattes aussi belle avec un clito aussi évident, ferme et
palpitant.
Je tendis la main pour m’emparer du petit bouton et le pris entre trois doigts. Malika se crispa au
contact de mes doigts et poussa un petit gémissement rauque de plaisir. Un gémissement qui venait du
fond de ses entrailles. Elle referma ses cuisses pour obliger ma main à maintenir la pression sur
son clito. Elle avait ouvert la bouche et semblait avoir du mal à respirer. Elle était toute à son
plaisir de se faire caresser ainsi.
- Ma tahbesch ! Zid hak li ! Ach’ hal mlih ! (N’arrête pas ! Continue de me caresser ! Comme
c’est bon !) Zid ! Zid ! Koul-li sawti ! (Encore ! Encore ! Bouffe-moi la chatte !)
Lui bouffer la chatte ! Cette idée me trottait par la tête depuis le moment où j’avais découvert le
spectacle de ce superbe « hatchoune ». Je voulais connaitre et son odeur et son goût et je voulais
aussi m’abreuver de tout ce jus qui faisait briller ses petites lèvres et qu’elle semblait produire
à profusion. Je me mis donc à genoux par terre, de manière à avoir ma bouche au même niveau que ses
grandes lèvres. Je commençais par m’emparer de son clito que je suçais et tétais comme si c’était
une toute petite queue. Il était aussi ferme sous mes lèvres que, tout à l’heure, sous mes doigts.
La belle poussait son bassin vers l’avant, de manière à ce que mes lèvres restent collées contre sa
chatte. En même temps elle donnait à ses hanches un mouvement circulaire qui devait certainement
accroitre l’intensité du plaisir qu’elle prenait à se faire sucer le clito. Je ne voyais pas le
visage de Malika, mais je l’entendais gémir et respirer fortement, comme si elle manquait d’air. Et
puis elle murmurait des mots que j’avais du mal à saisir totalement. Elle exprimait, avec des mots
crus, tout le plaisir qui l’habitait.
- M’lih ! M’lih ! Sucar ! A’acel ! Zid ! Zid ! Lahsou’h ! R‘aadhou’h ! (C’est bon ! Bon ! Du
sucre ! Du miel ! Lèche-le ! Tète-le !)
Au bout d’un moment, je me dis qu’il était temps que j’élargisse l’activité de ma bouche à toute la
chatte. Je posais mes lèvres sur ses grandes lèvres et les écartais avec ma langue que j’essayais
d’introduire dans le vagin. Il y régnait une odeur enivrante de musc. Une odeur aphrodisiaque. Je me
mis à embrasser, sucer et téter, avalant par la même occasion tout le jus qu’elle produisait. Il
avait un agréable goût légèrement salé et acidulé.
La belle aimait ce que je lui faisais. Elle se mit à crier que c’était bon et qu’il ne fallait pas
que j’arrête. Qu’elle allait jouir et me remplir la bouche de son jus ! Qu’il fallait que je le
boive sans en perdre une seule goutte ! Et qu’elle aussi allait boire tout mon foutre ! Qu’elle
n’allait pas tarder à avoir un orgasme ! Que c’était la première fois qu’un homme lui faisait un
cunnilingus ! Qu’elle allait jouir rien qu’avec ma bouche ! Le tout en mélangeant les langues
arabes et françaises.
- Ma tahbesch ! Ra‘hi djaïa ! Dhork enn faregh ! Enn faregh fi foumek ! ‘Aadjib ! Enta ‘aadjib
! Bghit Radjli i chouhni ‘hakdha ! ‘Aamrou ma darli ‘hakdha ! M’lih ! M’lih ! M’lihhhhhhhhhh !
(Continue, n’arrête pas, je sens que je vais jouir ! Je vais décharger tout de suite ! Je vais
décharger dans ta bouche ! C’est merveilleux ! Tu es merveilleux ! Je voudrais que mon mari me voie
comme cela ! Il ne m’a jamais fait ça ! C’est bon, bon, bon ! boooooon!)
Tout en criant ses demi-phrases et ses mots crus, elle me tenait la tête pour qu’elle ne quitte pas
sa chatte, poussait ses hanches contre ma bouche pour que ma langue puisse la pénétrer le plus loin
possible et se tortillait pour accroître le frottement de ma bouche contre ses grandes et petites
lèvres. De temps en temps, j’attrapais son clitoris entre mes lèvres et le mordillais. Elle adorait
cela et gémissait plus fort pour me le faire savoir. Et puis tout à coup, ses gémissements
s’accélérèrent, montrant qu’elle était sur le point de jouir ; tout son corps se crispa et elle
déchargea dans ma bouche, en poussant un long râle de mourante. Puis elle se relâcha totalement,
reposa ses jambes par terre et me força à venir l’embrasser sur la bouche.
J’étais resté à genoux entre ses jambes ouvertes. Je bandais comme un âne. J’avais envie de la
pénétrer et de prendre mon pied dans sa merveilleuse chatte. Je voulais lui faire sentir toute la
force de ma queue et la faire encore une fois grimper aux rideaux. Et je le lui susurrais à
l’oreille :
- Je vais maintenant te tirer ; je vais te pénétrer en force ; je vais te faire jouir encore
plus fort avec mon engin. Tu veux le voir ?
- Ouuuiiiii ! Sort ton zob, murmura-t-elle ; je veux le voir ; je suis sûre qu’il est immense.
Je veux que tu me baises comme une chienne; je veux être une chienne ! Ta chienne ! Kelba ! Qahba !
(Une chienne ! Une pute !) Nik-ni ki kelba ! (Baise-moi comme une chienne !)
Je lui pris la main droite pour la guider vers le renflement de mon pantalon de pyjama. Je voulais
qu’elle sorte elle-même l’engin de sa cachette et qu’elle le découvre. Elle le fit avec
empressement. Je sentais qu’elle était pressée, d’une part, de le voir et de l’admirer (elle avait
déjà senti qu’il avait une belle taille) et d’autre part qu’il s’occupe d’elle sans plus perdre de
temps. Elle y alla donc franchement et tata le monstre d’une main experte qui me fit rugir de
plaisir.
- Ach-hal kbir ! (Comme il est grand !) Il est immense ! dit-elle en introduisant la main
sous à l’intérieur du pantalon pour le caresser.
Je reçus comme une décharge électrique au contact de cette main si douce et si experte. Elle
manipula quelques secondes mon gourdin sous le pantalon, puis se décida à le sortir pour le mettre
à l’air libre.
- Bghit en-chouffou (Je veux le voir !) dit-elle de sa voix rauque.
Elle fit descendre le pantalon le long de mes cuisses et mit à nu l’engin qui, à force d’excitation,
était devenu immense.
- ‘Hadha zeb t‘aa bghel ! Machi t‘aa ‘aabd ! (C’est un zob de mulet, pas d’homme !) Kheft
i kesserli saouti ! (J’ai peur qu’il ne me déchire la chatte !). En habbou ! (Je l’aime !)
Elle tâtait et palpait vigoureusement mon membre en me faisant tirer des gémissements de plaisir.
J’avais même failli éjaculer tellement elle savait s’y prendre. J’avais dû retenir sa main qui
allait et venait sur la hampe pour arrêter la masturbation. Je ne voulais pas jouir grâce à sa main
; je voulais la tirer. Je voulais la baiser ! Je voulais la posséder ! Je voulais qu’elle soit à moi
! Qu’elle m’appartienne ! Qu’elle soit à ma merci !
Elle était toujours assise sur le grand fauteuil du salon ; et moi j’étais toujours à genoux par
terre, entre ses jambes ouvertes. Je lui fis lever les genoux de manière à ce quelle pose les pieds
sur le bord du fauteuil et qu’elle m’ouvre totalement la voie de son tunnel. Je présentai le gland
de mon gourdin entre les grandes lèvres mouillées et caressai avec le clitoris et les petites lèvres
palpitantes. Elle avait fermé les yeux et s’était mise à l’écoute des sensations que lui procurait
le gland de mon gourdin entrain de lui caresser la chatte. Elle poussait des petits gémissements de
plaisir. Sa respiration devenait de plus en plus rapide et se transformait parfois en sifflements.
Son corps nu était totalement tendu ; il était en attente de la pénétration qui allait le délivrer
en l’emportant au sommet du plaisir.
Et brutalement et d’un seul coup, j’enfonçais l’engin jusqu’au fond du vagin inondé et chaud de ma
maîtresse. Je lui fis mal. Elle me le montra en poussant un petit cri de douleur et en ouvrant les
yeux pour regarder. Elle me lança un sourire éclatant et me fit signe de continuer, comme cela, en
force. Je ne me fis pas prier pour entamer, toujours en force, un mouvement de va-et-vient qui nous
fit pousser à tous les deux des cris de plaisir de plus en plus sonores. Je regardais ma belle qui
goûtait son plaisir ; elle avait les yeux qui brillaient et sur les lèvres un sourire énigmatique.
Sa bouche commençait à dégouliner de salive qui allait s’étaler sur son cou et sa poitrine nus.
Je faisais faire à mes hanches de grands mouvements de va-et-vient pour introduire mon gourdin
jusqu’au plus profond de son tunnel. J’entrais et sortais sans précaution, limant violement les
parois du vagin. Etonnamment, Malika avait un vagin vraiment étroit. Malgré ses deux grossesses et
toutes ses années de mariage. Je me disais que l’engin de son mari devait du genre rikiki, pour ne
pas avoir élargi, pendant tout ce temps, le tunnel de son épouse.
Chaque aller et retour de mon gourdin à l’intérieur du tunnel de ma maîtresse avait un goût de miel.
Je sentais son vagin se refermer sur ma queue, la mouler totalement et épouser sa forme. J’avais
l’impression qu’il y avait à l’intérieur une main douce et gluante qui m’attrapait le manche et le
masturbait en tirant de moi des cris de plaisir de plus en plus forts. De toute ma vie amoureuse,
j’avais rarement rencontré un vagin aussi étroit ; pas même chez les quelques filles vierges que
j’ai eues à inaugurer.
Mes coups de boutoir à l’intérieur du vagin de Malika provoquaient chez elle, comme chez moi, des
râles de plaisir qui allaient crescendo. Nos respirations devenaient de plus en plus saccadées et
courtes. Bientôt nous nous mîmes tous les deux à crier de plus en plus fort tout le plaisir que nous
prenions ; moi à la tirer comme cela, à la hussarde, brutalement ; elle à recevoir le monstre qui
limait son tunnel, comme il n’avait encore jamais été limé : avec autant de force joyeuse. Son vagin
sécrétait une énorme quantité de jus qui créait, à chaque passage du monstre, un indécent clapotis
de plus en plus sonore.
Les hanches de ma maîtresse se soulevaient et se rabaissaient au rythme des mes va-et-vient
endiablés. Sa tête dodelinait de droite à gauche et d’avant en arrière dans un mouvement
incontrôlable, dont elle n’avait peut-être même pas conscience. Son esprit était complètement sorti
de son corps pour aller planer au dessus du spectacle torride que nous donnions ; le bonheur se
lisait dans sa manière de jouir, sans retenue, aucune ! Elle criait, en arabe, des mots de plaisir,
qui ajoutaient énormément d’intensité à notre excitation.
- ‘Aacel ! Sukar ! M’lih ! Hlou ! (Du miel ! Du sucre ! C’est bon ! C’est doux !) K’bir !
Khchine ! I ‘aamarli Saouti ! I wedj‘aani ! Wedj‘aani ! ( Il est grand ! Il est gros ! Il me remplit
la chatte ! Il me fait mal ! Fais-moi mal !) Yemma Ach-hal m’lih ! Zid nik ni ‘hakdha! Ma tahbesch
! Ma n’habsouch ! Enn nikou toul n’har ! Nik ni ! Nik ni ! Nik qahbtek ! Nik kelbtek ! (Maman, comme
c’est bon ! Continue de me baiser comme ça! Ne t’arrête pas ! Nous n’allons pas arrêter ! Nous
niquerons toute la journée ! Nique-moi ! Nique-moi ! Nique ta pute ! Nique ta chienne !) Cheft
ach’hal enn hab zeb ! Ach’hal enn hab zebek ! Tel‘aani le sma seb‘aa ! Rani fi sma sab‘aa ! Ra‘hi
djaïa ! Dhork en’faregh ! (Tu as vu combien j’adore le zob ! Combien j’adore ton zob ! Emmène-moi
au septième ciel ! Je suis au septième ciel ! Je vais jouir ! Je vais décharger !).
Et effectivement elle eut un violent orgasme et déchargea, en hurlant, une énorme quantité de
cyprine qui augmenta d’autant le niveau sonore des clapotis que faisait mon membre en allant et
venant dans son vagin. Même avec l’énorme sécrétion de cyprine, son vagin continuait de mouler
fortement mon engin, qui n’en pouvait plus. Je ne voulais pas jouir immédiatement ; j’aurais aimé
tenir encore un peu de temps ; le temps de faire jouir ma mie encore une fois. Mais j’en étais
incapable.
Encore un aller-retour et je poussai un «aaaaah !» de jouissance qui, me sembla-t-il, dura une
éternité. J’éclatai comme une bombe en envoyant une énorme giclée de foutre brûlant au fond du vagin
tétanisé, brulant et inondé de Malika. Mon hurlement de plaisir se mêlait aux râles de jouissance de
ma maîtresse. Elle était complètement essoufflée et semblait proche de la syncope. Je n’étais pas en
meilleur état physique. Mais mon Dieu, quel plaisir intense nous venions de vivre!
Nous nous regardions, émerveillés, entrain de jouir sans retenue; puis entrain de reprendre notre
souffle, sans que nos yeux ne se séparent une seule seconde. Je lisais dans son regard comme dans un
livre : elle était heureuse ! Heureuse d’avoir vécu quelque chose de très fort ; quelque chose
qu’elle n’avait encore jamais vécu auparavant. Elle m’avoua, quelques minutes après avoir repris nos
esprits, que jamais elle n’avait vécu un tel bonheur. J’étais vraiment étonné de cet aveu et je
voulus en savoir plus sur la question.
Elle m’avoua que son histoire d’amour avec son mari n’avait absolument rien de sexuel. Elle l’aimait
vraiment, mais pas en tant qu’amant. Le sexe n’avait pas une grande place dans sa vie ; il était du
genre à faire l’amour pour de simples raisons d’hygiène. Il ne semblait pas avoir de besoins sexuels
énormes et surtout, il n’avait aucune tendance à aller au-delà la morale et de la bienséance. S’il
avait été chrétien, il aurait parlé de « pécher de chair » pour qualifier le besoin, trop répandu
chez les humains, de plaisir sexuel. Il aurait aussi repris à son compte ce poème chanté par Jean
Ferrat qui affirmait « qu’une femme honnête n’a pas de plaisir », pour rejeter toute revendication
féminine de plaisir sexuel. C’est dire combien Malika avait été sevrée de sexe depuis le début de sa
vie de femme.
Inutile de dire que j’étais aussi fier qu’un coq. Je venais de faire découvrir à ma maitresse la
signification du mot jouissance sexuelle et orgasme. Elle m’affirma qu’elle savait que ça existait
et que ce n’était pas que de simples mots – elle l’avait souvent lu et, surtout, elle avait des
amies qui lui racontaient leurs parties de jambes en l’air avec leurs maris ou leurs amants et qui
lui rapportaient tout le plaisir qu’elles en tiraient – mais qu’elle ne l’avait jamais vécu. Faire
l’amour pour elle avait surtout consisté à faire deux enfants. Pas plus. Elle sentait parfois son
corps frémir à l’évocation d’un bel homme de son entourage – un voisin marié avec une de ses amies –
dont l’épouse, peut-être par méchanceté envers elle, vantait les capacités d’amant. Elle avait
souvent fait le rêve d’être dans ses bras et de se faire tirer sans retenue par son sexe, qu’elle
imaginait être d’une taille monumentale.
Mais dans sa vie réelle, elle n’avait encore jamais autant joui que cette matinée. Pas même quand
elle se caressait la nuit pour essayer de calmer le désir qui la prenait parfois, d’un homme auquel
elle offrait son corps. Elle disait aussi qu’elle n’en avait pas réellement souffert ; tout
simplement parce qu’elle n’avait jamais connu le vrai plaisir sexuel ; ni en tant que jeune fille –
elle était arrivée totalement vierge au mariage - ni en tant que femme. Ce ne fut que cette fameuse
nuit, où les démons de la chair l’avaient poussé à m’appeler et à faire l’amour au téléphone avec
moi, qu’elle avait réellement joui. C’était aussi ce qui l’avait poussé à venir me rejoindre ce
matin et vivre ce magnifique moment de bonheur. Car elle était vraiment heureuse ! Heureuse de ce
qu’elle venait de vivre.
- N’aie crainte, avec moi tu connaîtras toutes les facettes d’un véritable amour. Je vais te
faire découvrir des choses que tu ne soupçonnes même pas. Tu ne pourras plus jamais te passer de
sexe et d’érotisme. Même quand je ne serais plus là – cela arrivera bien un jour – tu continueras à
vivre pour l’amour ; et pour rien d’autre.
- Tu penses vraiment que j’ai été bien ? Que je ne me suis pas comportée comme une fille des
rues ? Une catin ? Tu sais en y réfléchissant, j’ai encore honte de la manière dont je me suis
comportée avec toi ! Et toutes les insanités que je t’ai dites pendant que ….
(Elle hésitait à terminer sa phrase, n’osant pas employer les mots justes pour illustrer ce qui
s’était passé entre nous)
- Dis-le ! Il ne faut pas avoir peur des mots ! Pendant que je te baisais ! Que je te tirais !
Que je te niquais ! Ce sont des mots et des phrases qui ont un véritable contenu aphrodisiaque. Les
prononcer pendant l’acte ne fait qu’ajouter au désir et au plaisir que l’on prend. J’ai adoré tout
ce que tu me disais – surtout en arabe ! Et je suis sûr que toi aussi tu as libéré toute ta libido
avec ces mots. Ils constituaient une partie de tes fantasmes sexuels ; qu’ils soient évidents ou
cachés. Dans nos prochaines parties de jambes en l’air, tu utiliseras beaucoup d’autres mots crus.
Et tu jouiras autant, sinon plus que tout à l’heure. D’ailleurs, j’ai encore envie de toi. Nous
allons passer toute la journée à faire l’amour. Quand tu quitteras cette maison, tu auras
pratiquement tout connu de l’érotisme. Je vais tout te faire ! Et tu vas tout me faire !
- Mais je suis fourbue, morte de fatigue ! J’ai des courbatures partout ! Tu ne vas pas me
dire que tu es capable de me faire encore la même chose que tout à l’heure !
- Plus que tout à l’heure ! Et d’abord je vais te prendre par la bouche ! Ne fait pas la moue
! Tu as une bouche qui fait penser à une chatte ! Il faut que mon engin y fasse son nid ! Tout à
l’heure tu disais que tu allais boire mon sperme, comme moi j’avais bu ton jus, quand tu as déchargé
dans ma bouche. Et bien moi aussi je vais décharger dans la tienne. Je sais maintenant que tu n’as
encore jamais sucé la bite d’un homme. Et bien je vais t’apprendre à le faire. Et même si tu n’aimes
pas tout de suite, à la longue tu finiras par apprécier. Et il n’y a pas que ça : je vais aussi te
prendre par l’anus. Lui aussi n’a jamais servi ! Et bien j’aurai l’honneur et le bonheur de
l’inaugurer. Il ne faut surtout pas avoir peur ; tu finiras par me demander toi-même de te baiser
partout. Il n’y a que la première fois qui est difficile. Dis-moi que tu veux !
- Pas par derrière ! C’est sale ! Et ma voisine – qui se fait souvent enculer par son mari –
m’a affirmé que cela faisait très mal.
- Rien que la première fois, et je te promets que même cette première fois, la douleur
s’estompera très vite et laissera la place au plaisir. Viens, allons dans la chambre, nous serons
beaucoup plus à l’aise sur le lit.
Je me levai du fauteuil et tendis la main à Malika pour qu’elle me suive. Elle était
merveilleusement belle dans sa nudité. Elle était toujours aussi bandante ! En fine mouche, elle me
précéda pour que j’admire son merveilleux corps nu. D’ailleurs en la voyant marcher en balançant son
superbe cul nu, je sentis ma queue se réveiller et reprendre de la vigueur. J’avais moi-même enlevé
le pantalon de pyjama que je portais avant de tirer Malika et était resté avec un simple tee-shirt.
Je bandais comme un âne en arrivant devant le lit et ma maîtresse qui me devançait, se retourna pour
me regarder. Elle vit le monstre qui était dressé comme un sabre et qui frémissait de désir. Elle
eut un sourire de louve, montrant ses canines et tendit la main pour s’en saisir.
- On m’avait dit que les hommes avaient du mal à rebander après avoir joui une première fois.
Ce n’est pas ton cas. Ton zob est aussi en forme qu’il l’était tout à l’heure avant qu’il ne
s’occupe de ma chatte. Et aussi dur ! Et aussi doux ! Je l’aime ! En-habbou !
- Alors suce-le ! Fait moi une fellation ! Bghit en-nikek mel foum ! (Je veux te niquer par la
bouche !)
- Je ne sais pas comment on fait ! J’ai peur de te mordre la queue !
- N’aie pas peur ! Mets-toi à genoux devant moi et prend-le dans ta main. Commence par
l’embrasser et le lécher pour t’habituer à lui. Et puis ouvre très grand ta bouche et fait le
pénétrer à l’intérieur. Tu verras, c’est très facile ! Et puis c’est tellement bon ! Pour moi !
Elle obéit à la lettre aux instructions que je venais de lui donner et rapidement, elle fit pénétrer
le gland entre ses lèvres. Elle avait oublié d’écarter ses dents. Il ne pouvait donc pas encore
pénétrer. Je lui ordonnai de bien ouvrir sa bouche et exerçai une forte pression avec mon sexe pour
qu’elle le laisse pénétrer à l’intérieur. Elle eut un peu de mal au début, mais très vite, elle
comprit ce qu’il fallait faire et se mit à pomper comme une vraie pro. C’était divin ! Elle avait
une bouche très accueillante ; chaude et humide. D’instinct elle savait comment utiliser sa langue
pour titiller le gland de mon engin et m’envoyer une série de petites décharges électriques très
agréables. Elle avait aussi très vite trouvé le rythme qu’il fallait et utilisait sa main pour me
masturber, en même temps qu’elle me suçait.
Je sentis qu’à cette allure je n’allais pas tarder à jouir. Or je ne voulais pas jouir de cette
façon. Je voulais carrément la baiser par la bouche. J’avais découvert et aimé cela avec une des mes
anciennes maîtresses, qui m’avait initié à cette pratique. C’était pour la femme une vraie torture.
Mais quel plaisir pour l’homme ! Je voulais essayer avec Malika, bien que je fusse sûr qu’elle
n’allait pas apprécier. Qu’importe ! J’attrapais la tête de ma maîtresse pour l’empêcher de se
sauver et me mis à faire pénétrer mon sexe profondément dans sa bouche. D’abord avec précaution,
pour qu’elle n’étouffe pas et aussi, pour qu’elle ne vomisse pas ; puis avec plus de force. Je
faisais tout de même attention à aménager quelques secondes de pause, pour qu’elle puisse reprendre
sa respiration – mon sexe allait de plus en plus loin et dépassait maintenant la glotte – et pour
qu’elle recrachât une partie de la salive qu’elle produisait à profusion, à cause de la présence de
mon gourdin dans sa bouche.
La sensation que j’en tirais était exceptionnelle. Le palais de ma belle, ainsi que sa gorge,
n’avaient ni la douceur, ni la mollesse de son vagin. Ils étaient plus fermes, avec la même moiteur
et la même chaleur. De temps en temps mon sexe dérapait sur ses dents qui le raclaient et
provoquaient une forte douleur. Mais très vite elle se reprenait et écartait les dents. Elle avait
compris ce que je lui faisais et avait accepté de me laisser faire. Mon Dieu que c’était bon ! Il y
avait certainement beaucoup de perversion en moi. Peut-être même un brin de sadisme. Car j’adorais
ce que je lui faisais, tout en sachant qu’elle devait avoir atrocement mal.
Je tenais à deux mains la tête de Malika et je la pinais sans retenue; en force. De temps en temps,
elle résistait et me poussait à sortir quelques secondes de sa bouche pour pouvoir reprendre sa
respiration, et pour éloigner l’envie de vomir qui la prenait assez régulièrement quand mon engin,
trop long, allait titiller et dépasser la glotte. Mais elle le remettait très vite à l’intérieur de
la bouche et reprenait l’opération. Cela ressemblait à une véritable opération de torture. Je
sentais que d’une part elle souffrait beaucoup – je lui raclais la gorge et lui faisais très mal, et
que d’autre part je lui causais une vraie gêne pour respirer.
Elle avait les yeux qui larmoyaient et ses narines coulaient comme une fontaine. Ce spectacle
accroissait encore l’intensité du plaisir sadique que je prenais. Egoïstement, je profitais que ma
belle ne protestait pas, pour continuer à la piner comme cela. J’essayais de retarder l’éjaculation,
en contrôlant l’arrivée de l’orgasme. Je voulais profiter au maximum de cette bouche d’enfer. Quand
enfin, la jouissance arriva, tel un torrent en crue, j’envoyais une série de giclées de sperme -
moins épais et dru, mais tout aussi volumineux que tout à l’heure - qui alla au fond de sa gorge.
Elle commença par avoir le réflexe de vomir – le goût étrange et la viscosité du foutre, m’avait-
elle expliqué plus tard – mais elle se reprit très vite et en avala une grande partie. Le reste,
elle le recracha sur mon sexe et sur mes cuisses.
Il lui avait fallu quelques longues minutes avant que les choses ne redeviennent normales. Elle eut
du mal à parler – j’avais certainement raclé ses cordes vocales avec mon engin – et à se débarrasser
du goût du sperme qu’elle avait encore en bouche. Mais elle paraissait très contente d’elle. C’était
comme si elle venait de réaliser un exploit. Elle ne s’attendait certainement pas à ce qu’elle se
fasse tirer par la bouche. Mais maintenant qu’elle l’avait fait, elle en était fière.
- J’ai été à la hauteur, n’est-ce pas ? (Ce n’était pas une question. C’était une
affirmation.)
- Tu as été merveilleuse ! Je savais, au moment même où je t’avais vue dans le magasin, que tu
étais un superbe coup ! Tu viens de me le démontrer. Je m’en veux un peu de t’avoir traité comme
cela. De t’avoir fait mal. Et surtout que tu n’y aies pris aucun plaisir. Mais pour moi, c’était
merveilleux. Tu vas bientôt devenir une vraie experte en amour. Nous referons l’amour encore
plusieurs fois aujourd’hui. Et demain ! Et après-demain ! Et toute notre vie ! Dis-moi que tu
resteras avec moi et que nous vivrons tous les deux les plus beaux moments de notre vie !
- Pour aujourd’hui, c’est fini ! Mais demain je reviendrai ! Et après-demain ! Je veux
vraiment tout connaitre du sexe et de l’érotisme. Je veux encore jouir sous tes coups de boutoir. Je
veux encore que tu me baises. Que tu me baises encore et encore ! Dis-moi que tu ne te fatigueras
jamais de moi ! Bghit et’habni kima anna enn’habek ! (Je veux que tu m’aimes, comme moi je t’aime !)
Ou bghit ‘hadha zeb i koun lyïa ! Ghir lyïa ! (Et je veux que ce zob soit à moi ! Rien qu’à moi !)
Ahlef ! (Jure-le !)
Et je jurai ! Ce fut ainsi que notre relation continua, le lendemain et le surlendemain ! Et des
semaines et des mois après ! Elle dura en fait plusieurs années, au cours desquelles nous connûmes
un bonheur presque parfait. Une relation faite d’un érotisme torride, toujours renouvelé, qui nous
avait amené vers les plus hauts sommets du plaisir sexuel.
Deux années plus tard, elle se découvrit même une tendance à la bisexualité et engagea une relation
avec une jeune voisine, d’une beauté à couper le souffle, qui venait d’emménager dans la maison à
côté de la sienne. Elle venait de se marier avec un homme – très riche, mais aussi très vieux – qui
l’avait prise comme deuxième épouse. Malika tomba folle amoureuse de Chiraz et partagea son amour
entre elle et moi. Elle finit même par me la présenter.
Mais ceci est une autre histoire.
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..la suite please