Titre de l'histoire érotique : Maman ...est échangiste
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Maman ...est échangiste
Ma mère a fait une formation professionnelle de couturière pour homme et femme, au chômage elle travaille pour la famille et des amis, elle est très capable de faire une robe où un costume d’homme sur mesure
En ce moment elle bâtit une robe pour une amie à elle, Béa, une très belle femme, plus jeune de quelques années, comme j’aimerais assister aux essayages ! hélas pas facile de forcer sans motifs la porte de la chambre d’amis dont elle se sert d’atelier
Je fantasme sur ses formes, a dix huit ans et demi lorsque les hormones vous travaillent comment se soulager si ce n’est qu’en me masturbant, je l’imagine en sous-vêtements, voire entièrement nue, quelle chance a maman sous prétexte d’ouvrage de poser ses mains sur certaines parties de ce corps magnifique
En début d’après midi Béa arrive pour l’essayage d’une robe en cours de confection, les deux femmes se renferment dans l’atelier je vais jouer sur mon ordi, une demi-heure plus tard de petits cris comme des pleurnichements attirent mon attention, je m’approche a pas de loup de la porte mal fermée, je la pousse de quelques centimètres et là stupéfaction …maman et Léa face a face légèrement décalées ce qui me permet de voir la main de maman enfouie dans la culotte par l’élastique de la taille tiré a craquer, je me doute que Léa lui rend le même hommage vu la robe remontée sur les cuisses de ma mère
Léa a les yeux fermés afin de mieux savourer les doigts qui fouillent son intimité, soudain son sixième sens lui révèle ma présence …j’ai juste le temps de me sauver et m’enfermer dans ma chambre
- LUDO !!
- QUOI ??
- Ton fils, il était là ! il a tout vu !
- Bon-sang de bonsoir quel petit curieux ! !
- Que va-tu faire ?
- Je ne sais pas ? comment aborder la chose pour lui parler…
- Laisse-moi faire, ne lui reproche rien pour l’instant
Toute la soirée nous nous somment évités jusqu’ a l’arrivée de papa qui s’est aperçu que quelque chose ne tournait pas rond
- Que se passe-t-il ici ?
- Rien mon chéri pourquoi ?
- Vous vous faites la gueule avec Ludo ?
- C’est ma faute j’ai manqué de respect a maman
- Ha ? ce ne doit pas être bien grave, embrassez vous et n’en parlons plus !
Maman s’avance vers moi et me prend dans ses bras pour me serrer très fort contre elle et me murmurer quelques mots à mon oreille, inaudibles pour papa
- Béa veux te parler, elle passera te chercher a la sortie du lycée demain a quatorze heures
- Hé bien voilà ! ce n’est pas mieux ainsi ?
- Oui papa c’est terminé ! je ne recommencerais plus
Je suis soulagé par la tournure que prend cet événement avec ma mère, Béa va certainement me réprimander pour ma curiosité et m’expliquer que j’ai mal interprété ce que j’ai vu …
Le lendemain Béa m’attend prés de la sortie je monte dans sa 308 cabriolet rouge, elle porte une robe que lui a confectionné maman, fermée par un zip qui va de haut en bas, ouverte de façon a lui découvrir très haut les cuisses, je n’ose regarder de peur de passer a nouveau pour un gros vicieux
- Salut Ludo tu me fais la bise ?
- Bonjour Béa … Mmmuuum !
- Bien ! je t’emmène a la maison nous devons absolument parler de certaines choses
- C’est réglé avec maman …
- Très bien mais tu dois savoir tout pour comprendre …
- Haa …
Me retrouver seul avec cette femme m’excite et me fait peur, un œil discret sur ses cuisses de temps à autre, dire que ma mère fouillait sa chatte hier, elle va peut-être me permettre d’en faire autant ? je ne vais quand même pas bander pour si peu ? ! pourtant ma queue ne m’obéis plus …
- Tu es dans la lune Ludo ? houhou ! nous voici arrivés !
- Pardon …
Mes illusions s’envolent lorsque je vois son mari sur le seuil de la porte …
- Salut Ludo ! entre , détend toi je ne vais pas te manger
- Je n’ai pas de raison d’avoir peur !
- Absolument, je vais seulement te révéler le degré de nos relations avec tes parents
- Vous êtes très amis je crois ?
- Très- très bons amis … bon, tu t’es aperçu que de temps en temps nous allons au resto tous les quatre
- Oui, un samedi soir par mois
- Bien observé ! mais en sortant nous ne rentrons pas de suite a notre domicile respectif
- Ils rentrent effectivement très tôt le matin !
- Décidément on ne peut rien te cacher … nous venons ici pour discuter… non, pas seulement discuter … boire un verre, danser …
- Danser ?
- Oui, nous adorons les danses lascives telles que les slows qui ne passent plus en discothèques, tu danse quoi toi ?
- Boff des trucs a la mode, il est difficile d’entrer en contact avec sa partenaire effectivement
- Tu le regrette ? ça te dirait de danser un slow avec ma femme ?
- Pourquoi ?
- Parce que tu comprendrais mieux ce qui se passe avec tes parents lors de ces soirées …
- Vous vous embrassez ?
- Oui, voire plus … Béa ? tu invite Ludo pour un slow ? vous êtes de taille égale ça tombe bien !
- Vient mon grand, tamise un peu la lumière Hugo chéri
J’ai soudain peur de comprendre, maman se fait baiser par Hugo et papa saute Béa ….me voici dans les bras de la femme qui me colle délibérément contre elle, son parfum discret me trouble autant que la poitrine nue que j’aperçois dans le décolleté, ma verge grossissante appuie sur son mont de vénus qui tangue au gré de son déhanchement, mes bras enserrent sa taille de guêpe, les siens forment un collier autour de mon cou, joues contre joues, elle respire fort, appréhende-t-elle quelque chose ?
Que faire ? comment lui faire comprendre que j’ai envie de l’embrasser, de lui toucher les seins et la chatte, la présence de son mari freinent mes élans
- C’est moi qui te produis l’effet que je ressens sur mon minou ?
- Excusez-moi mais je ne peux pas me retenir …
- Ne pas avoir d’érection dans un moment pareil serait un affront pour moi Ludo ! je suis a présent certaine que tu es bien monté ! serre-moi fort contre toi, embrasse-moi chéri
- Mais … ton mari ?
- Hugo ? il vient de quitter le salon, donne moi tes lèvres et ta langue, je vais ouvrir complètement ma robe, si tu veux me palper les seins ne te gêne pas
- Et maman dans tout ça ?
- Ta mère et moi somment amantes depuis longtemps avec la bénédiction de nos maris respectifs ! tu comprends mieux ce que tu as vus hier ?
- A présent c’est clair, vous faites des partouzes !
- Je n’aime pas cette expression, à présent tais toi et agit en homme
Le zip est carrément baissé permettant aux pans de s’ouvrir, je matte ce corps sur lequel mon père se vautre sans risquer d’être pris en faute, ma queue courbée en deux me fait un mal de chien, jamais elle n’a été aussi tendue, Béa me tend sa bouche sa langue mentholée pénètre aussitôt mon palais, je me laisse guider dans ce baiser amoureux, ma main empoigne un sein et son téton dressé, la femme force ma jambe à s’insinuer entre les siennes, je sens sa motte rouler sur ma cuisse, je suis a deux doigts d’éjaculer dans mon slip, elle recule lentement pour appuyer ses fesses contre la table, elle lâche ma bouche pour s’exprimer
- Soulage toi, baise moi ici tout de suite, nous ferons les préliminaires après
- Ton mari est là …
- Il aime me voir prise par de bons mâles, alors assure
En déboutonnant mon pantalon je recule de deux pas pour admirer cette femme nue que je vais enfiler devant son mari, Béa attend avec impatience que ma queue soir entièrement libérée de sa prison, elle pousse un soupir de satisfaction en voyant ‘la bête’ fouetter air
- Il a une bite magnifique chéri !
- Suce le donc …
- Plus tard nous ferons un soixante neuf, je la veux dans mon con maintenant
- Alors allez-y, je vous laisse un moment
Assise sur le coin de la table, les cuisses largement ouverte, la craquette fendue par le désir elle m’attrape la main
- Avance Ludo, enfile ma foufoune, ça ne fait rien si tu décharge de suite, reste dedans et continue à limer
- Tu as un gros clitoris
- Tu en as vu souvent ?
- Non, quand je tire un coup c’est toujours vite fait le long d’un mur
- Tout à l’heure sur le lit tu auras tout le loisir d’observer ma chatte et me la bouffer
- Et si je décharge dedans ?
- Mes amants ne rechignent pas à lécher leur propre sperme ou celui d’un autre, par exemple mon mari mange souvent celui de ton père ! et vice-versa
- Pouah !
- Tu ne diras pas toujours ça, aller, enfonce vite ta queue dans mon ventre chéri, sinon la grosse goutte qui perle à ton bout va tomber
J’empoigne ma queue et la frotte sur les lèvres luisantes de mouille, après quelques hésitations j’appuis sur la motte, ma queue est comme aspirée dans cette cheminée poilue, Béa pousse un ‘haaaaa’ de surprise et m’attire entre ses cuisses avec ses mollets, son vagin se contracte sur mon manche qui tressaute a chaque jets de foutre … en grognant je jouis a longs jets dans cette cavité brulante
- HHHoooooo que c’est boooooooonnnnnnnnn ! continue Ludo, bourre-moi la chatte à grands coups de reins
- Je vais te ramoner salope !
- Tu as les mêmes expressions que ton père ! baise-moi encore !!
Je cogne comme un fou lui arrachant des cris et des mots incohérents, c’est a son tour de jouir, elle se laisse aller en arrière en se tortillant comme un ver et se malaxant les seins, j’ai de la peine à rester dans son antre qui laisse une écume autour da ma bite, a mon tour je lui envoie une deuxième dose de purée, encore emboités nous reprenons notre souffle sous le regard excité d’Hugo qui est totalement nu, la verge raide a la main
- Bravo petit ! tu l’as bien baisée ! elle ne jouit pas facilement d’ordinaire
- Ha ? je suis flatté
- Il assure vraiment ce petit Ludo !
- Je vais m’allonger sur le lit chérie, rejoignez-moi
- Ça te dit de me sauter avec mon mari ?
- Par où ?
- Par où tu veux, tu me prends d’abords en double dans la chatte avec Hugo et si tu veux me sodomiser par la suite je suis d’accord
- Tout ça la même journée ? ça ne m’est jamais arrivé… vous faites ça avec mes parents ?
- Évidement !
- J’aimerais que tu me suce avant …
- Ha c’est vrai ! tu me lèche en même temps ?
- Je ne sais pas ce qui m’arrive mais je suis prêt à tout essayer !
- Même te faire sucer par Hugo et moi ?
- Me faire sucer par ton mari ?
- Ça nous arrive souvent avec tes parents
- Vous êtes vraiment obsédés !
- C’est le prix à payer pour faire partie de notre petit groupe …tout est permis sans distinction de sexe
- Rassurez-moi … la sodomie ?
- Pareil !
- Je crois que je vais rentrer …
- Reviens nous voir quand tu seras prêt a tout accepter, d’ici là ne juge pas tes parents …
En ce moment elle bâtit une robe pour une amie à elle, Béa, une très belle femme, plus jeune de quelques années, comme j’aimerais assister aux essayages ! hélas pas facile de forcer sans motifs la porte de la chambre d’amis dont elle se sert d’atelier
Je fantasme sur ses formes, a dix huit ans et demi lorsque les hormones vous travaillent comment se soulager si ce n’est qu’en me masturbant, je l’imagine en sous-vêtements, voire entièrement nue, quelle chance a maman sous prétexte d’ouvrage de poser ses mains sur certaines parties de ce corps magnifique
En début d’après midi Béa arrive pour l’essayage d’une robe en cours de confection, les deux femmes se renferment dans l’atelier je vais jouer sur mon ordi, une demi-heure plus tard de petits cris comme des pleurnichements attirent mon attention, je m’approche a pas de loup de la porte mal fermée, je la pousse de quelques centimètres et là stupéfaction …maman et Léa face a face légèrement décalées ce qui me permet de voir la main de maman enfouie dans la culotte par l’élastique de la taille tiré a craquer, je me doute que Léa lui rend le même hommage vu la robe remontée sur les cuisses de ma mère
Léa a les yeux fermés afin de mieux savourer les doigts qui fouillent son intimité, soudain son sixième sens lui révèle ma présence …j’ai juste le temps de me sauver et m’enfermer dans ma chambre
- LUDO !!
- QUOI ??
- Ton fils, il était là ! il a tout vu !
- Bon-sang de bonsoir quel petit curieux ! !
- Que va-tu faire ?
- Je ne sais pas ? comment aborder la chose pour lui parler…
- Laisse-moi faire, ne lui reproche rien pour l’instant
Toute la soirée nous nous somment évités jusqu’ a l’arrivée de papa qui s’est aperçu que quelque chose ne tournait pas rond
- Que se passe-t-il ici ?
- Rien mon chéri pourquoi ?
- Vous vous faites la gueule avec Ludo ?
- C’est ma faute j’ai manqué de respect a maman
- Ha ? ce ne doit pas être bien grave, embrassez vous et n’en parlons plus !
Maman s’avance vers moi et me prend dans ses bras pour me serrer très fort contre elle et me murmurer quelques mots à mon oreille, inaudibles pour papa
- Béa veux te parler, elle passera te chercher a la sortie du lycée demain a quatorze heures
- Hé bien voilà ! ce n’est pas mieux ainsi ?
- Oui papa c’est terminé ! je ne recommencerais plus
Je suis soulagé par la tournure que prend cet événement avec ma mère, Béa va certainement me réprimander pour ma curiosité et m’expliquer que j’ai mal interprété ce que j’ai vu …
Le lendemain Béa m’attend prés de la sortie je monte dans sa 308 cabriolet rouge, elle porte une robe que lui a confectionné maman, fermée par un zip qui va de haut en bas, ouverte de façon a lui découvrir très haut les cuisses, je n’ose regarder de peur de passer a nouveau pour un gros vicieux
- Salut Ludo tu me fais la bise ?
- Bonjour Béa … Mmmuuum !
- Bien ! je t’emmène a la maison nous devons absolument parler de certaines choses
- C’est réglé avec maman …
- Très bien mais tu dois savoir tout pour comprendre …
- Haa …
Me retrouver seul avec cette femme m’excite et me fait peur, un œil discret sur ses cuisses de temps à autre, dire que ma mère fouillait sa chatte hier, elle va peut-être me permettre d’en faire autant ? je ne vais quand même pas bander pour si peu ? ! pourtant ma queue ne m’obéis plus …
- Tu es dans la lune Ludo ? houhou ! nous voici arrivés !
- Pardon …
Mes illusions s’envolent lorsque je vois son mari sur le seuil de la porte …
- Salut Ludo ! entre , détend toi je ne vais pas te manger
- Je n’ai pas de raison d’avoir peur !
- Absolument, je vais seulement te révéler le degré de nos relations avec tes parents
- Vous êtes très amis je crois ?
- Très- très bons amis … bon, tu t’es aperçu que de temps en temps nous allons au resto tous les quatre
- Oui, un samedi soir par mois
- Bien observé ! mais en sortant nous ne rentrons pas de suite a notre domicile respectif
- Ils rentrent effectivement très tôt le matin !
- Décidément on ne peut rien te cacher … nous venons ici pour discuter… non, pas seulement discuter … boire un verre, danser …
- Danser ?
- Oui, nous adorons les danses lascives telles que les slows qui ne passent plus en discothèques, tu danse quoi toi ?
- Boff des trucs a la mode, il est difficile d’entrer en contact avec sa partenaire effectivement
- Tu le regrette ? ça te dirait de danser un slow avec ma femme ?
- Pourquoi ?
- Parce que tu comprendrais mieux ce qui se passe avec tes parents lors de ces soirées …
- Vous vous embrassez ?
- Oui, voire plus … Béa ? tu invite Ludo pour un slow ? vous êtes de taille égale ça tombe bien !
- Vient mon grand, tamise un peu la lumière Hugo chéri
J’ai soudain peur de comprendre, maman se fait baiser par Hugo et papa saute Béa ….me voici dans les bras de la femme qui me colle délibérément contre elle, son parfum discret me trouble autant que la poitrine nue que j’aperçois dans le décolleté, ma verge grossissante appuie sur son mont de vénus qui tangue au gré de son déhanchement, mes bras enserrent sa taille de guêpe, les siens forment un collier autour de mon cou, joues contre joues, elle respire fort, appréhende-t-elle quelque chose ?
Que faire ? comment lui faire comprendre que j’ai envie de l’embrasser, de lui toucher les seins et la chatte, la présence de son mari freinent mes élans
- C’est moi qui te produis l’effet que je ressens sur mon minou ?
- Excusez-moi mais je ne peux pas me retenir …
- Ne pas avoir d’érection dans un moment pareil serait un affront pour moi Ludo ! je suis a présent certaine que tu es bien monté ! serre-moi fort contre toi, embrasse-moi chéri
- Mais … ton mari ?
- Hugo ? il vient de quitter le salon, donne moi tes lèvres et ta langue, je vais ouvrir complètement ma robe, si tu veux me palper les seins ne te gêne pas
- Et maman dans tout ça ?
- Ta mère et moi somment amantes depuis longtemps avec la bénédiction de nos maris respectifs ! tu comprends mieux ce que tu as vus hier ?
- A présent c’est clair, vous faites des partouzes !
- Je n’aime pas cette expression, à présent tais toi et agit en homme
Le zip est carrément baissé permettant aux pans de s’ouvrir, je matte ce corps sur lequel mon père se vautre sans risquer d’être pris en faute, ma queue courbée en deux me fait un mal de chien, jamais elle n’a été aussi tendue, Béa me tend sa bouche sa langue mentholée pénètre aussitôt mon palais, je me laisse guider dans ce baiser amoureux, ma main empoigne un sein et son téton dressé, la femme force ma jambe à s’insinuer entre les siennes, je sens sa motte rouler sur ma cuisse, je suis a deux doigts d’éjaculer dans mon slip, elle recule lentement pour appuyer ses fesses contre la table, elle lâche ma bouche pour s’exprimer
- Soulage toi, baise moi ici tout de suite, nous ferons les préliminaires après
- Ton mari est là …
- Il aime me voir prise par de bons mâles, alors assure
En déboutonnant mon pantalon je recule de deux pas pour admirer cette femme nue que je vais enfiler devant son mari, Béa attend avec impatience que ma queue soir entièrement libérée de sa prison, elle pousse un soupir de satisfaction en voyant ‘la bête’ fouetter air
- Il a une bite magnifique chéri !
- Suce le donc …
- Plus tard nous ferons un soixante neuf, je la veux dans mon con maintenant
- Alors allez-y, je vous laisse un moment
Assise sur le coin de la table, les cuisses largement ouverte, la craquette fendue par le désir elle m’attrape la main
- Avance Ludo, enfile ma foufoune, ça ne fait rien si tu décharge de suite, reste dedans et continue à limer
- Tu as un gros clitoris
- Tu en as vu souvent ?
- Non, quand je tire un coup c’est toujours vite fait le long d’un mur
- Tout à l’heure sur le lit tu auras tout le loisir d’observer ma chatte et me la bouffer
- Et si je décharge dedans ?
- Mes amants ne rechignent pas à lécher leur propre sperme ou celui d’un autre, par exemple mon mari mange souvent celui de ton père ! et vice-versa
- Pouah !
- Tu ne diras pas toujours ça, aller, enfonce vite ta queue dans mon ventre chéri, sinon la grosse goutte qui perle à ton bout va tomber
J’empoigne ma queue et la frotte sur les lèvres luisantes de mouille, après quelques hésitations j’appuis sur la motte, ma queue est comme aspirée dans cette cheminée poilue, Béa pousse un ‘haaaaa’ de surprise et m’attire entre ses cuisses avec ses mollets, son vagin se contracte sur mon manche qui tressaute a chaque jets de foutre … en grognant je jouis a longs jets dans cette cavité brulante
- HHHoooooo que c’est boooooooonnnnnnnnn ! continue Ludo, bourre-moi la chatte à grands coups de reins
- Je vais te ramoner salope !
- Tu as les mêmes expressions que ton père ! baise-moi encore !!
Je cogne comme un fou lui arrachant des cris et des mots incohérents, c’est a son tour de jouir, elle se laisse aller en arrière en se tortillant comme un ver et se malaxant les seins, j’ai de la peine à rester dans son antre qui laisse une écume autour da ma bite, a mon tour je lui envoie une deuxième dose de purée, encore emboités nous reprenons notre souffle sous le regard excité d’Hugo qui est totalement nu, la verge raide a la main
- Bravo petit ! tu l’as bien baisée ! elle ne jouit pas facilement d’ordinaire
- Ha ? je suis flatté
- Il assure vraiment ce petit Ludo !
- Je vais m’allonger sur le lit chérie, rejoignez-moi
- Ça te dit de me sauter avec mon mari ?
- Par où ?
- Par où tu veux, tu me prends d’abords en double dans la chatte avec Hugo et si tu veux me sodomiser par la suite je suis d’accord
- Tout ça la même journée ? ça ne m’est jamais arrivé… vous faites ça avec mes parents ?
- Évidement !
- J’aimerais que tu me suce avant …
- Ha c’est vrai ! tu me lèche en même temps ?
- Je ne sais pas ce qui m’arrive mais je suis prêt à tout essayer !
- Même te faire sucer par Hugo et moi ?
- Me faire sucer par ton mari ?
- Ça nous arrive souvent avec tes parents
- Vous êtes vraiment obsédés !
- C’est le prix à payer pour faire partie de notre petit groupe …tout est permis sans distinction de sexe
- Rassurez-moi … la sodomie ?
- Pareil !
- Je crois que je vais rentrer …
- Reviens nous voir quand tu seras prêt a tout accepter, d’ici là ne juge pas tes parents …
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est une aubaine de baiser une jeunot et bientot j'espère que le de partenaires augmentera et delà à voir et à toucher la maman voir laller plus et mieux encore c'est le nirvana . Je rêve de lire la suite
Tres bandant!!!