Titre de l'histoire érotique : Marchand d'illusions 4 - histoire érotique

Content d’avoir lancé l’automate, Grégoire se relève, se déplace derrière Julie, retire le mini soutien-gorge et caresse les seins si mignons de Julie Ce que ce type est serviable, il ne perd pas une occasion d‘amplifier les effets de son matériel, en dépit des règles de déontologie énoncées plus tôt. Et Julie, livrée aux vibrations, est aux anges, sourit, approuve les caresses et se met à haleter. C’est parti, je la vois, tordue d’un plaisir excessif, s’allonger sur le canapé et commenter, en phrases hachées par la montée de la volupté, les sensations violentes qui la traversent.

Ses jambes gigotent de façon désordonnée, ses pieds battent l’air, ses mains pressent ses seins dénudés et qui étaient si attendrissants à mes yeux auparavant. Nous ne sommes pas mariés et mon concurrent n’est qu’ un objet. Un jour je lui ferai connaître la différence. Un vibromasseur n’a pas de coeur. Les sons perdent leur signification, se transforment en onomatopées étranges. Levant la tête Grégoire rencontre le regard de Marie, se souvient qu’il doit lui imposer de jouer à son tour avec le contenu de la dernière valise.

-Bien Julie, continue. A toi Marie, regarde ce que j’ai de beau pour toi.

Il ouvre et déballe.

-Tu vois ceci, c’est un siège gonflable vibrant d’un joli rose. Je le gonfle. Au centre de l’arrondit se dresse un vibromasseur. Quand tu veux l’utiliser tu t’assieds à califourchon sur le siège à vibromasseur intégré. En position semi assise, mains libres, tu peux bouger à ta guise autour de l’axe. Tu éprouveras des sensations proches de celles de l’acte réel grâce à la liberté de positionnement. Quand tu as joui, tu le dégonfles et tu peux le ranger dans son élégante boîte.

Pour augmenter sensations et plaisir ce siège gode vibre. Avec cette manette de réglage de vitesses tu augmentes ou tu baisses l’allure et l’intensité, tu joues pour atteindre l’orgasme à ton rythme, tu contrôles, tu fais durer, tu recommences à l’infini. Bien, à toi de tester son efficacité. Tu t’installes sur le siège, tu diriges le vibromasseur vers ton vagin ou ton anus, ton corps amorce quelques mouvements et le vibromasseur se charge du reste. Le coussin fait 46 cm par 19 de haut et le vibromasseur 15,5 cm par 4. Tu commences?

- Je ne vais pas tomber?

- Au moment de l’orgasme les réactions varient, mais tu n’as rien à craindre. Peut-être veux-tu que je te fasse mouiller comme ta copine?

Aimé cette fois bout de rage. Je le calme. Julie sauve Marie de cette situation périlleuse pour son couple, elle appelle:

- Grégoire au secours, c’est trop fort, je n’en peux plus, calme ce robot. Je préfère une bonne bite. Grégoire baise-moi, je t’en supplie. Je suis chaude, je tremble de désir, vite prends-moi, j’en ai envie.

- Pense à ton copain.

- Il attendra jusqu‘au mariage, mais toi, éteins immédiatement l’incendie qui m’envahit, sors ta lance, montre-moi ta bite et défonce-moi.......

Avant d’arriver au canapé Grégoire laisse tomber son pantalon et son slip « Éminence » et laisse apparaître un éminent sceptre congestionné, sans doute à l’étroit depuis le début des essayages et des photos. Son visage se détend et, rayonnant, il vient présenter sa queue aux belles dimensions sur laquelle le vagin de Julie devra pourtant se contracter après le passage du super gode dans sa cramouille défoncée.

Marie souffle, grâce à Julie elle vient d’obtenir un sursis. Mais Grégoire veille, se retourne et articule:

-Tu es assez grande pour savoir t’installer. Essaie les commandes, c’est facile. Le bouton vert pour aller plus vite, le bleu pour faire plus fort, le jaune pour ralentir, le rouge pour freiner et le noir pour ébranler les billes. Essaie, ça vaut tous les discours. Dans un quart d’heure tu me supplieras comme Julie.

Marie aussi devra y passer. Si elle recule ce sera pour mieux sauter ou se faire sauter. Elle envisage avec crainte le moment où travaillée par le vibromasseur de son siège gonflable, après Julie et comme Julie, elle réclamera la lance à incendie de Grégoire pour calmer ses ardeurs. Puisqu’elle devra y passer, elle se résout à enjamber le demi cylindre et s’accroupit sur la protubérance en forme de phallus. Elle se penche pour viser et quand ses lèvres entrent en contact elle se ravise:

- Il faut que je fasse un pipi sinon je vais inonder mon tapis. Je reviens.

Grégoire emprisonné dans la bouche dévoreuse de Julie admet ce départ. Il a mieux à faire que de batailler avec Marie. Elle se soumettra, alléchée comme Julie par la promesse d’embauche. Et cette nana là lui mangera aussi la queue avant de se faire emmancher par sa bite chaude. De toute façon il n’a qu’une queue et ne peut baiser qu’une nénette à la fois. Il s’abandonne donc aux travaux d’approche très habiles de la plus jeune. Julie suce divinement bien et branle en même temps la lance réclamée. Encore un peu et Grégoire lui enfoncera son gourdin dans la fournaise; il faut battre le fer quand il est chaud, et tamponner un vagin lorsqu’il bout.

J’ai compris désormais quel rôle Julie m’a attribué. En attendant de se faire mettre par devant et par derrière, si elle le souhaite par Grégoire, son futur patron, elle se met le doigt dans l’œil, je ne lui offrirai pas la bague de fiançailles et je ne demanderai pas sa main. Je n’ai donc aucune raison de voler au secours d’une fille qui supplie un étranger juste rencontré de la pénétrer. Le hasard m’a rendu service en m’éclairant sur sa conduite, le hasard m’a mis en position de voyeur: je regarde, j’observe attentivement, je suis un cours pratique d’éducation sexuelle et de vente à domicile réussi. La porte de la cuisine s’ouvre, entre Marie qui roule des yeux lorsqu‘elle nous aperçoit. Aimé, un index en travers de la bouche, lui fait signe de se taire. Elle sort de son état de surprise intense et murmure :

-Depuis quand êtes-vous là ? Vous regardez par cette fenêtre. Tu as vu, Aimé,je n’ai rien fait de mal.

Pourquoi sent-elle le besoin de se défendre? Elle a subi bien des attouchements, était sur le point de s’empaler sur un vibromasseur, a chauffé Julie, qui sait comment elle allait continuer. Peut-elle s’en vanter devant son compagnon ? Aimé revoit toutes ces scènes, reste muet, incapable de dire un mot pendant deux ou trois minutes durant lesquelles je lis sur le visage de Marie un profond désarroi. Elle vient de réaliser qu’Aimé ne saute pas de joie et ne la félicitera pas pour le spectacle offert ou pour la promesse d’embauche liée à un chantage sexuel.

Si le futur patron est aussi familier avant l’embauche, que ne se permettra-t-il pas après la signature du contrat. Et des femmes qui se soumettent aussi facilement avant la présentation et la signature du contrat, résisteront-elles ensuite à ce séducteur qu’elles considèrent comme un bienfaiteur? Aimé a légitimement des doutes sur l’avenir de son couple. Tout allait si bien, Marie était un exemple de fidélité et de complicité, mais jusqu’où se laissera-t-elle entraîner par ce beau parleur? Soudain elle réalise l’étendue des dégâts, elle lit ces interrogations dans les yeux d’Aimé, elle craint le pire. Dehors, Grégoire bite en main s’apprête à visiter la grotte de Julie. Elle s’est agenouillée sur le canapé, seins aplatis dans les coussins d’assise et tend sa croupe en creusant son dos. Deux fortes mains tirent sur ses fesses pour offrir un accès facile à la tige du pompier.

- Marie, je t’attends, prête nous tes mains, viens m’aider à embrocher ta copine. Il t’en faut du temps pour pisser.

Aimé soudain débite

- Vas-y. File. Aujourd’hui, si tu veux te racheter, fonce et, par tous les moyens, fous-moi ce gaillard à plat. Quand il quittera la maison il ne devra plus lui rester une goutte de sperme dans les couilles. Epuisez-le. Bien entendu tu ne nous as pas vus. Surtout pas un mot à Julie.

- Tu veux que…. Mais tu ne m’en voudras pas ? Tu as dit « par tous les moyens »?

- Videz-le. Asséchez-le ou tu ne me verras plus.

Incrédule, mais angoissée Marie répond à l’appel de Grégoire

- Il me fallait du temps pour me nettoyer le minou. Tu n’es pas pervers au point de préférer les odeurs d’urine ? Voilà, j’arrive, gare à toi !

C’est un avertissement gratuit sur un ton égrillard. Elle oublie d’enfourcher le siège gonflable et rejoint le couple.

- Quoi, il te faut de l’aide ? Ta trique est pourtant bien raide, dure comme de la pierre, c’est par vice que tu m’invites à t’enfourner. Allons-y, beau mâle. Donne ta queue. Là, j’ouvre le trou…Maintenant pousse, avance encore, recule un peu, pends de l’élan et force le passage. Bravo! Bouge, à fond, remonte, à fond

A deux mains elle pousse sur les fesses poilues du gars, il s’enfonce dans le puits d’un seul trait, Julie hurle. Il marque un temps d’arrêt puis remonte, sort un morceau de verge qui repart en profondeur. Marie accompagne le mouvement, pousse vers l’intérieur, laisse remonter et accentue les plongées en poussant aussitôt, sans laisser de répit. Julie geint régulièrement à chaque nouvelle pénétration : De surprise, de bonheur ou de douleur? Marie se glisse entre les jambes de l’homme, la figure tournée vers nous, elle recule sur ses fesses, peu soucieuse de nous cacher son sexe, elle s’installe sur la croupe en mouvement, nous fait un clin d’œil et s’occupe à prendre en main le scrotum du bonhomme, à gratter la peau des bourses ou à presser les testicules. Elle aussi à de la pratique, Aimé serre les poings et me dit sa satisfaction

- Sacrée Marie, la voilà en route. Je plains Grégoire. Julie est plus délurée que je ne le pensais. Elle a du tempérament, la petite. Qu’est-ce que tu en dis?

- Ah! Du tempérament à revendre. Elle s’est bien foutue de moi. J’ai une revanche à prendre..

En même temps, à la renverse, Marie souple à souhait, envoie un index couvert de sa salive dans la rondelle du garçon d’abord, puis au prix de contorsions, dans l’anus de ma fiancée perdue. Massages internes ou externes, elle augmente l’énervement de ces deux amants improvisés. Le type s’agite, emporté par des élans fous, Julie remue ses fesses, arrondit son dos ou creuse ses reins pour favoriser l’accueil du soc qui laboure lourdement son sexe. Quand Grégoire grogne et crie victoire, Marie pèse de tout son poids sur le bas de son dos et maintient la lance au fond du vagin. L’éjaculation surprend Julie, l’incendie n’est pas éteint, mais un réflexe atavique la fait réagir brutalement aux salves de liquide :

- Hé, gros porc, je sens tes jets de foutre. Tu n’as pas mis de protection ? Connard. Tu essaies de me foutre en cloque ? Tes jouets sont meilleurs et moins cons que toi.

C’est un vocabulaire de fille habituée à ces jeux sexuels, avertie de leur danger.. Julie se montre sous son vrai jour, telle que je ne la connaissais pas. Grégoire le rusé marchand est débordé et s’excuse platement :

- Ho, m’en as-tu laissé le temps? Je me retire… Marie descends de mon cul.

La verge quitte le sexe pour tomber dans les doigts de Marie. Un liquide blanchâtre s’écoule, tombe dans les yeux de Marie. Celle-ci ne lâche pas le pénis mais le masturbe activement. Grégoire se réjouit de ce secours, reprend force, se laisse aller dans la bouche de Marie. Je viens de constaterla fougue de Julie lorsqu’elle « soigne un petit oiseau », la rage de Marie pour se racheter est beaucoup plus efficace et en moins de deux le manche retapé de Grégoire se trouve en face de l’anus de Julie restée en position d‘attente, croupe offerte à tous les regards , fente trempée par le trop plein.

-Vas-y, Grégoire fais du tourisme, va pour un voyage en terre jaune. Là tu pourras cracher ta sève sans danger. Encule-la, bien à fond. Fais lui connaître tous les délices possibles, si elle n’y a pas goûté déjà avec Bruno ou un autre. Initie là cette fausse pucelle. D’abord graisse toi l’engin dans le jus de sexe en quelques frottements. Allez, appuie sans plier, je te soutiens

- Ça fait mal! Ooooh, ah T’es un peu épais pour mon cul. Mais vas-y, j’en ai envie