Titre de l'histoire érotique : Marie - Épisode 21 – Les enchères.
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Marie - Épisode 21 – Les enchères.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
C'est Édouard qui a été chargé de gérer la logistique pour organiser les enchères du scalp de Marie, avec bien entendu les instruction de Cello.
Il a vidé et nettoyer une grange, qui ne servait plus qu'à entreposer du vieux matériel agricole. Une fois ceci fait, il a bricoler une estrade de 50 centimètres de haut sur tout le fond de la pièce. Ensuite, il a placé un fauteuil au beau milieu de cette estrade. Le fauteuil est munie de sangles en cuir au pied de devant et aussi sur les accoudoirs, de même que sur le dossier au niveau des cuisses, de la taille et des aisselles de la personne qui sera assis sur ce fauteuil, c'est à dire Marie.
Pour être certain de bien placer les sangles au bon niveau des cuisses, de la taille et des aisselles, il a demandé à Mylène, qui a, à peut près la même taille que Marie, de prendre place sur le fauteuil, le temps qu'il fasse les marques pour fixer les attaches.
Sur le coté gauche de l'estrade, trois fauteuils, placés perpendiculairement au fauteuil central, fauteuils prévus pour Mylène, Édouard,et Cello.
De l'autre côté, un treuil a été fixé à la poutre de la toiture face aux trois organisateurs, Cello demande à Édouard de vérifier la hauteur de la corde, munie d’un crochet.
Face à l'estrade, il a installé une vingtaine de chaise, pour les participants.
Sur le coté droit de la pièce, une grande table avec des verres et bouteilles. Cello est avec Édouard à faire les dernières vérifications : sonorisation, éclairage et vidéo, quand il lui vient une idée, et il profite qu'il ne sont que tous les deux pour lui la soumettre :
C : « Dis Édouard, maintenant que Mylène a été épilé à la bougie, que penserais-tu de la tondre, également. Elle qui ne prend pas soin de son apparence physique, cela ne devrais pas trop la déranger et puis on pourrais presque doubler la mise en faisant une seconde enchère ».
E: « Heu !... Tu crois qu'elle accepteras ?... Moi, heu !... Je ne suis pas contre, et puis à près tout pourquoi pas. Mais tu vas faire comment pour la persuader ?».
C : « Mon pauvre Édouard, tu me connais pourtant bien. Tu crois sincèrement que je vais lui demander son avis à ta bergère, est ce que je lui ai demandé la permission pour l'épiler ? Non, alors là ce sera pareil ».
Les deux hommes ferment la grange à clé et retourne dans le corps de ferme rejoindre Mylène. Elle est sous la douche et en entendant les hommes rentrer, elle vient les rejoindre quelques minutes plus tard, après s'être rincée et essuyer. Elle est nue.
C: « Assieds toi Mylène, j'ai eu une idée ».
M : « Et tu veux que je te dise ce que j'en pense ».
C : « Non, ce que tu en penses je m'en fout, ma décision est prise, ce sera comme je vais te le dire »
M : « Tu m'intrigues ! Allez dis! ».
C : « Voilà, pour ce faire plus de fric, j'ai pensé à faire une seconde enchère »
M : « Tu ne veux tout de même pas tondre la bourgeoise ! »
C : « Laisse moi finir, s'il te plaît ! Non je ne veux pas et ne souhaite pas tondre Pauline »
M : « Tu vas faire quoi alors ? »
C : « Tu vas la fermer et me laisser parler ! Bien... Je continue... C'est toi que je vais faire tondre, de toute façon, tu ne prends pas soin de ton apparence, ta chatte et tes aisselles,'étaient de vraies forêts vierges, tes cheveux c'est pareil, tu ressembles à un porc-épic avec tes épis dressés sur la tête. Au moins là, tu auras de l'allure et quand ils repousseront, tu devras en prendre soin sous peine de punition ».
Mylène est sous le choc :
« Heu !…. Mais tu ne vas, pas heu !….Tu ne vas pas faire ça ».
Elle ne s'attendait pas à cela :
« Heu !….Pourquoi tu me fais ça, pourquoi veut-tu me tondre ».
Mais en elle-même, elle sait que Cello a raison, aussi elle baisse la tête et demande juste avec quelques sanglots dans la voix :
« Ta décision est prise, tu veux me rabaisser devant cette bourgeoise, et tu vas me faire baiser à la soirée? »
C : « Oui Mylène, prise et bien prise et tu vas aussi tourner à la soirée, Édouard est d’accord avec ça. Allez va t'habiller..., Enfin ….. Mets une petite robe courte avec juste un bouton ou une ceinture pour la fermer, et surtout rien dessous ! ».
M : « J'ai une robe rouge, très sexy, courte et très décolletée, qui ferme juste avec la ceinture, tu crois que cela ira, ça ne seras pas trop court, pas trop indécent, »
C : « Oui très bien, parfait pour faire ton entrée ».
Édouard qui n'a pas dit un mot depuis le début dit :
« Oh oui, parfait ! C'est moi qui lui l'a acheté le mois dernier »
C : « Alors va t'habiller et maquille-toi un peu aussi, et pense bien à ne pas fermer ta robe ».
Et les hommes retournent dans la grange. Sur le chemin, Cello dit à Édouard :
« Tu vois, quand on ne laisse pas de choix, ça passe toujours mieux. Bon je te laisse, je vais chercher Marie et Pauline ».
Cela fait près d'une heure que Cello est partie, quand les premières voitures entre dans la cour de la ferme. Ils attendent l'arrivée de Mylène qui est sensée tenir la buvette pour faire entrer les premiers clients. Près de la porte, il y a déjà une dizaine de personne : 8 ou 9 hommes seuls, 3 couples et même une femme seule, et d'autres voitures apparaissent dans le chemin qui mène à la ferme.
Parmi celles-ci, il y a la voiture de Cello, avec les 2 soumises. Il se gare derrière la grange et fait rentrer Marie et Pauline par une porte dérobée à l'arrière du bâtiment, à l'abri de regard de l'auditoire. Elle rentre dans un cellier et par une petite porte sur le coté, pénètre dans la grange.
Marie qui pense que ce sont des personnes pour une partie de baise, ne pose pas de question et entre dans le bâtiment. Cello lui retire sa cape. Marie est nue. Il lui demande de s'asseoir sur le fauteuil central, face à la salle. Son maître lui attache les mains, puis les pieds, ensuite il passe la sangle autour de sa taille et la serre fort et la dernière sangle passe au dessus de ses seins et sous ses aisselles les cuisses écartées au maximum, laissant une vue sur son abricot, d'où coulent déjà des filets de cyprine.
« Voilà ma jolie ! Tu es prête pour ton changement de coiffure. Il place un paravent devant Marie, afin que l'assistance ne la voit pas, avant le début des enchères. Édouard commence à vendre les billets et les personnes entrent dans la salle. Certains vont s’asseoir directement, d'autres se dirigent vers la buvette ou Mylène leur vend un verre de vin 10 euros pièce. Lorsqu'il n'y a plus personnes dehors, Édouard ferme la porte de la grange et prenant le micro, il demande à tous de s’asseoir. L'assistance est formée de 18 hommes, 5 couples et de 3 femmes seules.
Cello prend son portable et envoi un SMS à Henri pour lui donner le lien pour se connecter.
[Bonjour Henri. Branche toi sur ton pc et compose le numéro suivant et tu pourras assister aux enchères pour la tonte de Marie, la femme d'Hervé, mais surtout il ne doit rien savoir. Précision, ta femme est la salle. Regarde bien elle apprend très rapidement, son stage lui est très bénéfique, tu vas pouvoir le constater]
En donnant le micro à Cello, micro qu'il a pris soin de fermé, il lui dit : 31 personnes, cela fait déjà une recette de 3100 euros. Puis Cello prend le micro l'ouvre et dit :
« Mesdames et Messieurs, vous savez tous pourquoi vous êtes ici cet après-midi. C'est pour assister à la nouvelle coupe de chevaux de Marie, mon assistante mais surtout ma soumise, ma chienne, ma pute. C'est la personne, qui proposera la plus forte enchère qui aura le privilège de s'occuper de Marie. De plus le gagnant ou la gagnante, se verra gratifier d'une gâterie de la part de Marie. Elle est experte en langue vous verrez ! Mais je me doute que vous voulez voir la salope qui se trouve derrière ce paravent, mais cette enchère ne feras qu’ouvrir cette journée, je vous proposerais, après la tonte de ma soumise Marie, deux autres attractions, mais d’abord veuillez accueillir Marie, elle est aussi impatiente que vous».
L'assistance crie, vocifère qu'on retire immédiatement le paravent, afin qu'apparaisse Marie.
Au moment où Cello retire le paravent, Marie lui dit tout bas : « J'ai peur ».
Édouard est chargé de la vidéo, et il déclenche sa caméra au moment ou Marie apparaît nue. Le spectacle est retransmis sur un grand écran placé au dessus et derrière Marie. Édouard fait des gros plans des seins percés et du capuchon.
Marie apparaît attachée, nue, écartée et c'est des sifflets d'admirations mais aussi des insultes qui pleuvent dans la salle : « Salope, traînée, putain, etc... ».
Édouard et Mylène s’apprêtent à pénétrer sur la scène. Cello arrête le couple et retrousse la robe courte de Mylène, regarde dans son décolleté pour s'assurer qu'elle a bien respecter ses consignes et qu'elle est nue sous sa petite robe rouge. Ils rentrent et prennent place dans un fauteuil, sur le côté gauche de la scène, puis c'est Cello qui rentre tenant en laisse Pauline sous une musique tonique diffusée par la sonorisation.
C'est une femme très bien faite, pas très grande, mince avec de jolis petits seins, ces tétons érigés sont percés d'un anneau. Elle porte une cagoule en latex avec trois ouvertures pour les yeux et la bouche. Elle n'est vêtue que d'un foulard rouge autour du cou, foulard qui cache son collier de soumise et d'un mini string ficelle blanc. Le devant n'est composé que de 5 lanières, ce qui permet de voir qu'elle est totalement épilée, qu'elle porte un piercing sur le capuchon de son clitoris et que ses lèvres intimes sont gonflées. Cello lui enlève sa laisse, lui attache les poignées, se baisse et lui attaches les chevilles, c’est deux bracelets en cuir qui se referme sur ces chevilles, Cello lui demande d’écartées les jambes, et attache une barre entre les deux bracelets, elle ne peut plus refermer ces jambes, offerte et pratiquement nue, Cello avance Pauline sous le treuil , lui demande de lever les bras au-dessus de la tête, et l’attache au crochet, s’adressant à Édouard :
« Aller tire la corde, ces pieds ne doivent pas toucher le sol ».
Cello regarde Pauline, qui est juste en face des organisateurs et il reprend la parole.
« Les personnes qui souhaitent examiner ma soumise Marie pour évaluer la marchandise de plus près, peuvent monter sur scène, dans le calme, s'il vous plaît ».
C'est toute la salle qui se presse sur scène approchée Marie. Des dizaines de mains, caressent, palpent, malaxent ou doigtent les attributs de Marie. Lorsqu’en fin, les spectateurs ont regagnés leur place, Marie est trempée. Elle n'a qu'une envie à ce moment là, se faire prendre comme une chienne.
Pendant ce temps, Édouard film Marie avec des gros plans sur son visage, très pâle, ses gros seins percés et son sexe décoré d'un piercing au capuchon de son clitoris. Puis, il filme sa femme, s'attardant sur ses seins et ses cuisses qu'elle a gardée ouvertes. Puis il se tourne et sur le grand écran c'est la femme mystérieuse qui apparaît pendue par les bras avec ses petits seins percés, et son piercing au capuchon visible sous son string à lanière.
Henri à ce moment, reconnaît le piercing, persuadé qu'il s'agit bien de sa femme qui se cache sous la cagoule..
Cello reprend le micro et lance le début des enchères.
« Allez qui commence : Mise à prix 1500 euros, qui dit mieux ? Les enchères montent assez vite, par 100 euros ou parfois même de 500 euros d'un coup. Les plus intéressées semblent être les 3 bourgeoises et c'est l'une d'elle qui remporte la mise.
Édouard, invite la gagnante, à monter sur scène. Elle remet la somme de 5000 euros à Cello, et Édouard, lui tend une paire de ciseaux et la tondeuse électrique, Cello vous savez ce que vous avez à faire.
La bourgeoise. : « Heu !…. Oui je ….. Heu !… Je dois la tondre ».
C : « Oui c’est bien ça ».
Marie qui vient de comprendre, pleure et implore Cello. Mais trop tard, la bourgeoise attrape Marie par les cheveux, tire sa tête en arrière, et commence à couper des mèches, les mèches tombent sur l’estrade. Le public hurle encore une fois. Débroussaillée, Marie, n’avait plus que des poils courts et irrégulier sur la tête, plusieurs mèches n’avaient pas été coupées, une sur le dessus du crâne et d’autres sur l’arrière de la tête, Marie ne ressemblait plus à rien, la bourgeoise se retourne vers le public, levant la tondeuse, comme pour leurs demander, des cris, des vociférations.
« Oui, aller rase la, la boule à zéro »,
Et même un a mort comme au temps des gladiateurs, la bourgeoise mets en marche la tondeuse la montre à Marie, prends une mèche, lui renverse la tête et commence la tonte , elle lui rase la tête jusqu'à la nuque,
Marie qui vient de comprendre, pleure et implore Cello. Mais trop tard, la bourgeoise attrape Marie par les cheveux, tire sa tête en arrière et partant du milieu du front, elle rase sa tête jusqu'à la nuque, laissant une large bande blanche au milieu de son crane. Elle s'arrête, s'écarte pour montrer son œuvre aux spectateurs. Certains applaudissent, d'autres cris. La femme revient vers Marie et reprend son travail. Il lui faut moins d'un quart d'heure pour rendre la tête de Marie aussi lisse qu'un œuf.
Alors qu'elle s'apprête à rendre la tondeuse, Mylène lui dit : « N'oubliez pas les sourcils ». La bourgeoise se ravise et passe l'instrument sur les arcades sourcilières de Marie pour la dépoiler totalement.
La femme redonne la tondeuse. Cello lui donne une paire de ciseau à ongles. La bourgeoise s'approche de Marie et lui dit doucement et tout bas :
« Ouvre tes yeux et surtout ne bouge pas, je ne vais pas te faire mal. Je ne tiens pas à te crever un œil ma chérie ».
Et elle coupe les cils de Marie.
Cello détache Marie et lui apporte un miroir pour qu'elle se voit ainsi, sans aucun poil, ni cheveux. Elle regarde, puis se cache le visage entre ses mains :
M : « Oh mon dieu ! Mais je suis méconnaissable ! Pourquoi n'avez vous enlaidie comme cela ? ».
C : « Je ne t'ai pas enlaidie ma belle, je t'ai transformée pour qu'Hervé ne te reconnaisse pas lors de la soirée. Mais tu es toujours belle, et tu es même encore plus sexy avec tes piercings ».
Tout en rassurant Marie, Cello joue avec les anneaux des tétons et Marie répond :
« Vous croyez ? Mais je suis complètement nue monsieur Cello »
Et elle esquisse un petit sourire.
Cello envoie un SMS à Hervé pour qu'il voit la fin des enchères, sans préciser que c'est la seconde partie
[Bonjour Hervé. Branche toi sur ton pc et compose le numéro suivant et tu pourras assister aux enchères pour la tonte d'une salope – Précision, celle qui qui est pendue et porte une cagoule n'est autre que Pauline la femme de ton patron].
puis il ouvre de nouveau le micro et annonce :
« Pour les perdants de cette première enchère, j'ai une bonne nouvelle, j'ai une seconde tonte à faire ».
« Êtes-vous prêt à être aussi généreux ? Et en bonus, celui qui enlèvera l'enchère pourra sodomiser, la femme tondue ».
La salle est de nouveau en effervescence, tandis que Pauline s'imagine déjà se retrouver la boule à zéro. Elle se dit – c'est pour cela qu'il m'a envoyé chez le coiffeur pour me faire couper les cheveux très court l'autre jour.
C : « Vous pouvez, vous désaltérer au buffet pendant que l'on change de soumise » Édouard coupe sa camera et va au buffet servir les invités.
L’assistance se lève, discute, papote, rie et certains et certaines vont au buffet se rafraîchir.
Marie est délivrée par Cello et la gagnante de l'enchère, la prend par la main et lui dit :
« Viens salope ! C'est prévu que tu me bouffes la chatte, elle va s'asseoir dans l'un des fauteuil coté gauche, fait s'agenouiller Marie et relève sa robe. Marie n'a pas d'autre choix que de passer sa langue sur les lèvres intimes de la gagnante et de la lécher. Cello s'approche de Mylène, la saisis par le bras, retire sa robe et en quelques minutes, elle se retrouve à la place de Marie.
Hervé récupère la connexion à ce moment là, il voit sur son écran une belle femme totalement nue, entièrement tondue en train de lécher une autre femme, habillée ayant relevé sa robe jusqu'aux hanches. Il regarde la lécheuse avec ses gros seins annelés qui ballottent, Ils restent fasciné par les seins de la soumise, se disant qu'ils sont aussi beau et gros que ceux de Marie, mais sans penser un seul instant que c'est son épouse, qui broute la bourgeoise.
La bourgeoise très excitée par les enchère et la langue de Marie, jouis très rapidement. Elle regagne alors sa place dans la salle, tandis que Marie s’assoie dans le fauteuil où se trouvait Mylène quelques instants plus tôt.
Pauline est soulagée, du moins pour l'instant, se demandant, si Cello n'a pas prévu la troisième enchère.
Cello va s'asseoir près de Marie et l'embrasse à pleine bouche tout en posant sa main sur la cuisse de Marie. Elle la caresse et remonte jusqu'à l'aine sans un mot, et se pose sur la chatte de Marie. Elle joue avec le piercing du capuchon ainsi une ou deux minutes .
Cello , reprends le micro, la salle retrouve le silence.
C : « Maintenant, si vous voulez tester cette salope et juger de la marchandise, elle est là pour vous ».
C'est une ruée sur la scène, pour peloter Mylène. Il faut préciser que quasiment toutes les personnes présentes connaissent la femme d’Édouard : les chasseurs, les agriculteurs voisins et même les clients et clientes de la boutique que tient Mylène pour vendre les produits de la ferme. Elle est pelotée, doigter et même embrasser par deux femmes.
Cello prend le micro et demande à l'assistance de regagner leur place, pour le début des enchères. Une partie des spectateurs passent devant Pauline pour regagner leur chaise et ne se prive pas pour regarder l'entre-jambes nu de Pauline. Elle s'en aperçoit rapidement et écarte davantage ses cuisses pour offrir une vue imprenable sur son abricot et son piercing.
L’enchère pour le scalp de Mylène commence avec la même mise à prix de départ de 1500 euros. Les enchères s'arrêtent également à 5000 euros et le gagnant qui est un ami chasseur d’Édouard. Le chasseur monte sur scène, donne les billets à Cello. Mylène ferme les yeux.
Pendant ce temps, Édouard filme toujours soit Mylène, soit Marie ou Pauline, voir même la salle pour y percevoir l’ambiance.
La tonte de Mylène se déroule comme pour Marie à une exception, Mylène pleure, les cheveux collent à son visage. Elle est méconnaissable, les cernes se dessinent, elle est rouge de honte , humiliée devant des amis, des connaissances, des clients. Cello ce penche et lui dit à l’oreille :
C : « Tu connais le bonus du gagnant, ton cul, regarde ton mari il va mettre un tapis pour toi ».
M : « Heu !… Oui, heu ! …Je sais, mais, pas ça Cello, pas devant mes connaissances, et je suis assez humiliée, regarde-moi, je ne ressemble à plus rien ».
C: « Mylène, je l’ai annoncé, je ne peux plus revenir en arrière, et pense que c’est Édouard qui t’encule ».
Édouard amène au milieu de la scène, devant le fauteuil central, un petit matelas ou Mylène sera exposé à quatre pattes, le visage sur la paillasse, les genoux repliés et écartées, offrant ainsi ses fesses.
Le chasseur baisse son pantalon, sort son sexe de son slip et montre un sexe de fort belle dimension. Il claque le cul de Mylène et s'adressant à Édouard, il dit bien fort :
« Depuis le temps que j'avais envie de me faire ta femme ».
Édouard sourit alors que la salle rit. Il place son gland contre la pastille de Mylène, il l'encule sans précaution particulière. Heureusement pour Mylène qu'elle avait été généreusement doigter par l'assistance avant. Édouard filme sa femme en train de se faire enculer par son ami, faisant des gros plans sur le cul de Mylène. Après une dizaine de minutes de vas et viens dans le fion de Mylène, il explose dans son fondement, se vidant totalement avant de se retirer et de donner sa queue à nettoyer à la fermière.
L'assistance applaudis. Mylène se relève et se dirige vers les fauteuils, humiliée mais heureuse que cela se termine. Elle est sur le point de s’asseoir quand Marie, lui dit :
« Donne moi ton cul à lécher, tu ne veux tout de même pas perdre tout ce foutre ».
Marie s’accroupit et Mylène se place devant elle et tend ses fesses en les écartant pour que Marie y mette sa langue. Elle lui nettoie l’œillet et elles regagnent leur place.
Pendant ce temps, Cello et Édouard ont retiré le matelas de la scène, Cello fait un signe à Pauline en lui disant : « Maintenant c’est à toi ».
Il récupère la paire de ciseaux, coupe les lanières qui retiennent ce minuscule string une à une puis c’est le foulard qui disparaît. Cello lui appuie sur le piercing, de longues pressions, sur son appendice. Pauline, attachée au treuil, maintenant complètement nue, ressent des sensations dans le bas-ventre et commence à se tordre, mais de plaisir. Elle se demande ce que Cello va lui faire subir, une tonte ? Non, elle n’aurait pas été attachée comme ça, alors quoi ?
Cello. Branche le micro, et demande à cette bourgeoise :
« Tu es prête, prête à te faire casser le cul devant l’assemblée, c’est toi qui m’a dit que tu étais ma chose, que tu acceptais tout ce je voulais, et bien voilà le moment de le prouver ».
P : « Heu ! …Oui monsieur, heu !….Oui je suis à vous, mais là, monsieur, heu !… Mon mari, heu ! …..S’il venait à l’apprendre ».
Et là un éclat de rire collégiale dans la salle, et :
« Aller salope pas de sentiment, fait toi baiser, ton cocu ne seras jamais ».
Toujours pendue par les bras et complètement ouverte :
P. : « Oui monsieur comme vous voulez, je suis votre pute et c’est vous qui décider pour moi ».
Une fois de plus la salle réagit ;
« Aller Cello offre nous cette bourgeoise, elle a besoin de se faire démonter ».
Cello rejoint Édouard et il mette en place un chevalet. Édouard lance alors une musique et prend la caméra pour filmer la scène, Cello dépend Pauline la retenant dans ces bras Pauline se love dans ces bras, puis il la conduit vers le chevalet le dos tourné au public, lui
ordonne de ce plier dessus. Elle obéit et est attachée, les jambes écartées, pliée en deux sur un chevalet, les poignets attachés de chaque coté du chevalet. Le public peut ainsi voir ses orifices. D'ailleurs Édouard ne se prive pas pour faire un gros plan sur les orifices de Pauline.
Cello baisse la musique et annonce, qu'il est possible de doigter la chatte de la femme à la cagoule que ça petite rondelle ne doit en aucun cas être doigtée. C'est aussitôt une nouvelle ruée sur l'estrade pour doigter la chatte de Pauline. Les hommes, les femmes, tous se précipitent pour palper et doigter quelques secondes la belle avant de regagner leur place. Grâce au micro placer sur le chevalet, il est possible d'entendre Pauline geindre de plus en plus fort, sous les doigtages qui s’enchaînent dans son sexe.
Cello prend son portable et envoi un SMS à Henri et Hervé :
[J'espère que la vue de ces belles femelles, totalement soumises vous satisfont et que cela vous donne envie de les rencontrés prochainement pour ma soirée spéciale]
Henri lui n’avais pas quitté son écran, mais il savait que la chienne en cagoule était Pauline sa femme, il savait aussi que l’autre chienne était Marie la femme de son collaborateur
Quand le calme est revenu, Cello annonce que pour la dernière partie de la soirée, il y aura trois gagnants et que le premier sera, celui qui a la plus grosse bite et qu'il pourra enculer la bourgeoise cagoulée.
Henri, qui comprend qu'une nouvelle fois sa femme va se faire sodomiser, est atterrer et envoi à Cello :
[Salaud !...Laisser Pauline tranquille, elle ne mérite pas d'être traitée comme une chienne]
C : [ Tu m’as offert ta femme rappelle toi, tu as accepté de lui faire faire un stage intensif, bien voilà, la première leçon, et ne t’inquiète pas la liste seras très longue, et maintenant lâche moi arrête de pleurnicher, tu est cocu et Pauline ne t’appartient plus ,du moins son cul pour le reste, je te la laisse].
H. : [heu…. mais là c’est de la démence, elle et offerte, elle va se faire enculer pour du fric],
C :. [comme la dernière fois Henri, rappelle toi, tu même assisté, aller tu commences à me casser les couilles, moi j’ai autre chose à faire, je vais offrir le cul de ta femme, regarde et branle toi, c’est ce tu as de mieux à faire].
Entre temps, c'est celui que tout le monde surnomme le bûcheron, qui est désigné vainqueur et celui-ci est heureux de monter sur la scène et de retirer son pantalon pour exhiber un sexe monstrueux avec un gland très large et une paire de couilles grosses comme des oranges. Le bûcheron s'approche de Pauline, lui flatte le cul se place derrière la belle. Il lui écarte les fesses et approche son sexe bandé et droit de la rondelle de Pauline.
L'homme pousse et force sur son gland pour pénétrer la belle. Celle-ci hurle quand le gland rentre dans son fondement. Elle a l'impression qu'il l'a déchirée. Il force encore pour faire entrer le reste de son mandrin. Pauline hurle encore plus fort, comme un truie qu'on égorge. Elle a l'impression d'être coupée en deux. Le bûcheron et maintenant en elle. Progressivement il va et viens en elle, lentement au début puis il accélère la cadence. Pauline ne crie plus, elle gémit sous les assauts du bûcheron. Plus l'homme s'active entre les fesses de la femme cagoulée, que celle-ci gémie de plus en plus fort, puis elle crie :
« Oui ! Oui c'est bon ! Plus fort ! Oh oui je jouiiiiiiiis ».
Le bûcheron excité par les réactions de Pauline, accélère encore la cadence, jusqu' à exploser et de se vider les couilles dans le cul de Pauline dans un râle énorme de bête fauve.
Il se retire de Pauline et approche sa queue de la bouche de la soumise, elle le lèche et lui dit :
« Merci monsieur ! »
Quand celui-ci regagne sa place dans la salle. Cello prend de nouveau le micro et s'approche de Marie et lui demande de désigner un homme dans l'assistance pour être le deuxième bénéficiaire du cul de Pauline. Elle désigne un homme d'une vingtaine d'année, pas très beau, mais costaud.
Le jeune homme se précipite sur l'estrade et ôte son pantalon, avant d'approcher de Pauline. Il lui caresse les fesses, avant de lui donner deux grandes claques sur le postérieur et d'approcher de celui-ci la bite à la main. L'anus de Pauline, n'a pas eu le temps de se refermer, et il n'a aucun mal à embrocher la jeune femme, car s'il a un sexe de très bonne dimension, il est toutefois, moins énorme que le précédent. Il est aussi moins résistant et il lui faut moins de 10 minutes pour se rependre dans le fondement de Pauline, sous ses cris de jouissance. Comme pour le premier, elle nettoie le sexe de l'homme et dit :
« Merci monsieur »
Le troisième et dernier vainqueur de la soirée est désigné par Mylène. C'est le boucher du village. Un homme d'une cinquantaine d'année, costaud et bedonnant. Il a à peine mis son gland contre l’œillet ouvert de Pauline que celle-ci supplie, d’arrêter qu'elle n’en peut plus :
Et il est tout juste rentré, qu'elle hurle de douleurs, le boucher continue sa progression ne laissant aucun répit a cette femelle qu’il est en train de saillir, plus Pauline crie plus, le boucher s’enfonce en elle, puis à force de coups de butoir, Pauline finis par jouir :
P : « Oh oui ! Enculez-moi ! Défoncez-moi ! Et il est tout juste rentrer qu'elle jouis sans interruption jusqu'à ce que le dernier homme de la soirée explose dans son fion ».
Cello envoi à Henri une réponse à son SMS :
[Tu dis que ce n'est pas une chienne, mais regarde comme elle aime cela!]
Comme les deux précédents il se fait nettoyer la queue et Pauline s'écroule sur le chevalet totalement épuisée.
Hervé envoi lui aussi un SMS à Cello :
[Qu'avez-vous fait de Marie ? Pourquoi n'est elle pas avec vous ?]
Cello répond :
[Tu as du mal regarder, car Marie est dans la salle]
Et il fait signe à Édouard de filmer la salle, comme pour convaincre Hervé que sa femme fait partie de l'assistance. Puis Édouard revient sur l'estrade et film la suite du spectacle.
Marie s'approche alors du chevalet avec une assiette que lui a donné Cello et elle recueille le sperme des trois compères qui ont déchargés dans le cul de la belle, le sperme et les sécrétions coulent dans l’assiette, le filet n’en finis pas de couler
Marie met alors l'assiette sous le nez de Pauline, qui lape les semences. Lorsque le récipient est nettoyé, Marie pose l'assiette et vient derrière Pauline et lui nettoie l'anus, avant que Cello l'attache à une laisse. Il attache également Mylène à la même laisse.
Pour clôturer la soirée, Édouard leur fait faire le tour de la salle à quatre pattes, avant de sortir dehors, où elle font un tour de parking, toujours à quatre pattes avant de les détachées pour les faire entrer dans le chenil.
C'est Édouard qui a été chargé de gérer la logistique pour organiser les enchères du scalp de Marie, avec bien entendu les instruction de Cello.
Il a vidé et nettoyer une grange, qui ne servait plus qu'à entreposer du vieux matériel agricole. Une fois ceci fait, il a bricoler une estrade de 50 centimètres de haut sur tout le fond de la pièce. Ensuite, il a placé un fauteuil au beau milieu de cette estrade. Le fauteuil est munie de sangles en cuir au pied de devant et aussi sur les accoudoirs, de même que sur le dossier au niveau des cuisses, de la taille et des aisselles de la personne qui sera assis sur ce fauteuil, c'est à dire Marie.
Pour être certain de bien placer les sangles au bon niveau des cuisses, de la taille et des aisselles, il a demandé à Mylène, qui a, à peut près la même taille que Marie, de prendre place sur le fauteuil, le temps qu'il fasse les marques pour fixer les attaches.
Sur le coté gauche de l'estrade, trois fauteuils, placés perpendiculairement au fauteuil central, fauteuils prévus pour Mylène, Édouard,et Cello.
De l'autre côté, un treuil a été fixé à la poutre de la toiture face aux trois organisateurs, Cello demande à Édouard de vérifier la hauteur de la corde, munie d’un crochet.
Face à l'estrade, il a installé une vingtaine de chaise, pour les participants.
Sur le coté droit de la pièce, une grande table avec des verres et bouteilles. Cello est avec Édouard à faire les dernières vérifications : sonorisation, éclairage et vidéo, quand il lui vient une idée, et il profite qu'il ne sont que tous les deux pour lui la soumettre :
C : « Dis Édouard, maintenant que Mylène a été épilé à la bougie, que penserais-tu de la tondre, également. Elle qui ne prend pas soin de son apparence physique, cela ne devrais pas trop la déranger et puis on pourrais presque doubler la mise en faisant une seconde enchère ».
E: « Heu !... Tu crois qu'elle accepteras ?... Moi, heu !... Je ne suis pas contre, et puis à près tout pourquoi pas. Mais tu vas faire comment pour la persuader ?».
C : « Mon pauvre Édouard, tu me connais pourtant bien. Tu crois sincèrement que je vais lui demander son avis à ta bergère, est ce que je lui ai demandé la permission pour l'épiler ? Non, alors là ce sera pareil ».
Les deux hommes ferment la grange à clé et retourne dans le corps de ferme rejoindre Mylène. Elle est sous la douche et en entendant les hommes rentrer, elle vient les rejoindre quelques minutes plus tard, après s'être rincée et essuyer. Elle est nue.
C: « Assieds toi Mylène, j'ai eu une idée ».
M : « Et tu veux que je te dise ce que j'en pense ».
C : « Non, ce que tu en penses je m'en fout, ma décision est prise, ce sera comme je vais te le dire »
M : « Tu m'intrigues ! Allez dis! ».
C : « Voilà, pour ce faire plus de fric, j'ai pensé à faire une seconde enchère »
M : « Tu ne veux tout de même pas tondre la bourgeoise ! »
C : « Laisse moi finir, s'il te plaît ! Non je ne veux pas et ne souhaite pas tondre Pauline »
M : « Tu vas faire quoi alors ? »
C : « Tu vas la fermer et me laisser parler ! Bien... Je continue... C'est toi que je vais faire tondre, de toute façon, tu ne prends pas soin de ton apparence, ta chatte et tes aisselles,'étaient de vraies forêts vierges, tes cheveux c'est pareil, tu ressembles à un porc-épic avec tes épis dressés sur la tête. Au moins là, tu auras de l'allure et quand ils repousseront, tu devras en prendre soin sous peine de punition ».
Mylène est sous le choc :
« Heu !…. Mais tu ne vas, pas heu !….Tu ne vas pas faire ça ».
Elle ne s'attendait pas à cela :
« Heu !….Pourquoi tu me fais ça, pourquoi veut-tu me tondre ».
Mais en elle-même, elle sait que Cello a raison, aussi elle baisse la tête et demande juste avec quelques sanglots dans la voix :
« Ta décision est prise, tu veux me rabaisser devant cette bourgeoise, et tu vas me faire baiser à la soirée? »
C : « Oui Mylène, prise et bien prise et tu vas aussi tourner à la soirée, Édouard est d’accord avec ça. Allez va t'habiller..., Enfin ….. Mets une petite robe courte avec juste un bouton ou une ceinture pour la fermer, et surtout rien dessous ! ».
M : « J'ai une robe rouge, très sexy, courte et très décolletée, qui ferme juste avec la ceinture, tu crois que cela ira, ça ne seras pas trop court, pas trop indécent, »
C : « Oui très bien, parfait pour faire ton entrée ».
Édouard qui n'a pas dit un mot depuis le début dit :
« Oh oui, parfait ! C'est moi qui lui l'a acheté le mois dernier »
C : « Alors va t'habiller et maquille-toi un peu aussi, et pense bien à ne pas fermer ta robe ».
Et les hommes retournent dans la grange. Sur le chemin, Cello dit à Édouard :
« Tu vois, quand on ne laisse pas de choix, ça passe toujours mieux. Bon je te laisse, je vais chercher Marie et Pauline ».
Cela fait près d'une heure que Cello est partie, quand les premières voitures entre dans la cour de la ferme. Ils attendent l'arrivée de Mylène qui est sensée tenir la buvette pour faire entrer les premiers clients. Près de la porte, il y a déjà une dizaine de personne : 8 ou 9 hommes seuls, 3 couples et même une femme seule, et d'autres voitures apparaissent dans le chemin qui mène à la ferme.
Parmi celles-ci, il y a la voiture de Cello, avec les 2 soumises. Il se gare derrière la grange et fait rentrer Marie et Pauline par une porte dérobée à l'arrière du bâtiment, à l'abri de regard de l'auditoire. Elle rentre dans un cellier et par une petite porte sur le coté, pénètre dans la grange.
Marie qui pense que ce sont des personnes pour une partie de baise, ne pose pas de question et entre dans le bâtiment. Cello lui retire sa cape. Marie est nue. Il lui demande de s'asseoir sur le fauteuil central, face à la salle. Son maître lui attache les mains, puis les pieds, ensuite il passe la sangle autour de sa taille et la serre fort et la dernière sangle passe au dessus de ses seins et sous ses aisselles les cuisses écartées au maximum, laissant une vue sur son abricot, d'où coulent déjà des filets de cyprine.
« Voilà ma jolie ! Tu es prête pour ton changement de coiffure. Il place un paravent devant Marie, afin que l'assistance ne la voit pas, avant le début des enchères. Édouard commence à vendre les billets et les personnes entrent dans la salle. Certains vont s’asseoir directement, d'autres se dirigent vers la buvette ou Mylène leur vend un verre de vin 10 euros pièce. Lorsqu'il n'y a plus personnes dehors, Édouard ferme la porte de la grange et prenant le micro, il demande à tous de s’asseoir. L'assistance est formée de 18 hommes, 5 couples et de 3 femmes seules.
Cello prend son portable et envoi un SMS à Henri pour lui donner le lien pour se connecter.
[Bonjour Henri. Branche toi sur ton pc et compose le numéro suivant et tu pourras assister aux enchères pour la tonte de Marie, la femme d'Hervé, mais surtout il ne doit rien savoir. Précision, ta femme est la salle. Regarde bien elle apprend très rapidement, son stage lui est très bénéfique, tu vas pouvoir le constater]
En donnant le micro à Cello, micro qu'il a pris soin de fermé, il lui dit : 31 personnes, cela fait déjà une recette de 3100 euros. Puis Cello prend le micro l'ouvre et dit :
« Mesdames et Messieurs, vous savez tous pourquoi vous êtes ici cet après-midi. C'est pour assister à la nouvelle coupe de chevaux de Marie, mon assistante mais surtout ma soumise, ma chienne, ma pute. C'est la personne, qui proposera la plus forte enchère qui aura le privilège de s'occuper de Marie. De plus le gagnant ou la gagnante, se verra gratifier d'une gâterie de la part de Marie. Elle est experte en langue vous verrez ! Mais je me doute que vous voulez voir la salope qui se trouve derrière ce paravent, mais cette enchère ne feras qu’ouvrir cette journée, je vous proposerais, après la tonte de ma soumise Marie, deux autres attractions, mais d’abord veuillez accueillir Marie, elle est aussi impatiente que vous».
L'assistance crie, vocifère qu'on retire immédiatement le paravent, afin qu'apparaisse Marie.
Au moment où Cello retire le paravent, Marie lui dit tout bas : « J'ai peur ».
Édouard est chargé de la vidéo, et il déclenche sa caméra au moment ou Marie apparaît nue. Le spectacle est retransmis sur un grand écran placé au dessus et derrière Marie. Édouard fait des gros plans des seins percés et du capuchon.
Marie apparaît attachée, nue, écartée et c'est des sifflets d'admirations mais aussi des insultes qui pleuvent dans la salle : « Salope, traînée, putain, etc... ».
Édouard et Mylène s’apprêtent à pénétrer sur la scène. Cello arrête le couple et retrousse la robe courte de Mylène, regarde dans son décolleté pour s'assurer qu'elle a bien respecter ses consignes et qu'elle est nue sous sa petite robe rouge. Ils rentrent et prennent place dans un fauteuil, sur le côté gauche de la scène, puis c'est Cello qui rentre tenant en laisse Pauline sous une musique tonique diffusée par la sonorisation.
C'est une femme très bien faite, pas très grande, mince avec de jolis petits seins, ces tétons érigés sont percés d'un anneau. Elle porte une cagoule en latex avec trois ouvertures pour les yeux et la bouche. Elle n'est vêtue que d'un foulard rouge autour du cou, foulard qui cache son collier de soumise et d'un mini string ficelle blanc. Le devant n'est composé que de 5 lanières, ce qui permet de voir qu'elle est totalement épilée, qu'elle porte un piercing sur le capuchon de son clitoris et que ses lèvres intimes sont gonflées. Cello lui enlève sa laisse, lui attache les poignées, se baisse et lui attaches les chevilles, c’est deux bracelets en cuir qui se referme sur ces chevilles, Cello lui demande d’écartées les jambes, et attache une barre entre les deux bracelets, elle ne peut plus refermer ces jambes, offerte et pratiquement nue, Cello avance Pauline sous le treuil , lui demande de lever les bras au-dessus de la tête, et l’attache au crochet, s’adressant à Édouard :
« Aller tire la corde, ces pieds ne doivent pas toucher le sol ».
Cello regarde Pauline, qui est juste en face des organisateurs et il reprend la parole.
« Les personnes qui souhaitent examiner ma soumise Marie pour évaluer la marchandise de plus près, peuvent monter sur scène, dans le calme, s'il vous plaît ».
C'est toute la salle qui se presse sur scène approchée Marie. Des dizaines de mains, caressent, palpent, malaxent ou doigtent les attributs de Marie. Lorsqu’en fin, les spectateurs ont regagnés leur place, Marie est trempée. Elle n'a qu'une envie à ce moment là, se faire prendre comme une chienne.
Pendant ce temps, Édouard film Marie avec des gros plans sur son visage, très pâle, ses gros seins percés et son sexe décoré d'un piercing au capuchon de son clitoris. Puis, il filme sa femme, s'attardant sur ses seins et ses cuisses qu'elle a gardée ouvertes. Puis il se tourne et sur le grand écran c'est la femme mystérieuse qui apparaît pendue par les bras avec ses petits seins percés, et son piercing au capuchon visible sous son string à lanière.
Henri à ce moment, reconnaît le piercing, persuadé qu'il s'agit bien de sa femme qui se cache sous la cagoule..
Cello reprend le micro et lance le début des enchères.
« Allez qui commence : Mise à prix 1500 euros, qui dit mieux ? Les enchères montent assez vite, par 100 euros ou parfois même de 500 euros d'un coup. Les plus intéressées semblent être les 3 bourgeoises et c'est l'une d'elle qui remporte la mise.
Édouard, invite la gagnante, à monter sur scène. Elle remet la somme de 5000 euros à Cello, et Édouard, lui tend une paire de ciseaux et la tondeuse électrique, Cello vous savez ce que vous avez à faire.
La bourgeoise. : « Heu !…. Oui je ….. Heu !… Je dois la tondre ».
C : « Oui c’est bien ça ».
Marie qui vient de comprendre, pleure et implore Cello. Mais trop tard, la bourgeoise attrape Marie par les cheveux, tire sa tête en arrière, et commence à couper des mèches, les mèches tombent sur l’estrade. Le public hurle encore une fois. Débroussaillée, Marie, n’avait plus que des poils courts et irrégulier sur la tête, plusieurs mèches n’avaient pas été coupées, une sur le dessus du crâne et d’autres sur l’arrière de la tête, Marie ne ressemblait plus à rien, la bourgeoise se retourne vers le public, levant la tondeuse, comme pour leurs demander, des cris, des vociférations.
« Oui, aller rase la, la boule à zéro »,
Et même un a mort comme au temps des gladiateurs, la bourgeoise mets en marche la tondeuse la montre à Marie, prends une mèche, lui renverse la tête et commence la tonte , elle lui rase la tête jusqu'à la nuque,
Marie qui vient de comprendre, pleure et implore Cello. Mais trop tard, la bourgeoise attrape Marie par les cheveux, tire sa tête en arrière et partant du milieu du front, elle rase sa tête jusqu'à la nuque, laissant une large bande blanche au milieu de son crane. Elle s'arrête, s'écarte pour montrer son œuvre aux spectateurs. Certains applaudissent, d'autres cris. La femme revient vers Marie et reprend son travail. Il lui faut moins d'un quart d'heure pour rendre la tête de Marie aussi lisse qu'un œuf.
Alors qu'elle s'apprête à rendre la tondeuse, Mylène lui dit : « N'oubliez pas les sourcils ». La bourgeoise se ravise et passe l'instrument sur les arcades sourcilières de Marie pour la dépoiler totalement.
La femme redonne la tondeuse. Cello lui donne une paire de ciseau à ongles. La bourgeoise s'approche de Marie et lui dit doucement et tout bas :
« Ouvre tes yeux et surtout ne bouge pas, je ne vais pas te faire mal. Je ne tiens pas à te crever un œil ma chérie ».
Et elle coupe les cils de Marie.
Cello détache Marie et lui apporte un miroir pour qu'elle se voit ainsi, sans aucun poil, ni cheveux. Elle regarde, puis se cache le visage entre ses mains :
M : « Oh mon dieu ! Mais je suis méconnaissable ! Pourquoi n'avez vous enlaidie comme cela ? ».
C : « Je ne t'ai pas enlaidie ma belle, je t'ai transformée pour qu'Hervé ne te reconnaisse pas lors de la soirée. Mais tu es toujours belle, et tu es même encore plus sexy avec tes piercings ».
Tout en rassurant Marie, Cello joue avec les anneaux des tétons et Marie répond :
« Vous croyez ? Mais je suis complètement nue monsieur Cello »
Et elle esquisse un petit sourire.
Cello envoie un SMS à Hervé pour qu'il voit la fin des enchères, sans préciser que c'est la seconde partie
[Bonjour Hervé. Branche toi sur ton pc et compose le numéro suivant et tu pourras assister aux enchères pour la tonte d'une salope – Précision, celle qui qui est pendue et porte une cagoule n'est autre que Pauline la femme de ton patron].
puis il ouvre de nouveau le micro et annonce :
« Pour les perdants de cette première enchère, j'ai une bonne nouvelle, j'ai une seconde tonte à faire ».
« Êtes-vous prêt à être aussi généreux ? Et en bonus, celui qui enlèvera l'enchère pourra sodomiser, la femme tondue ».
La salle est de nouveau en effervescence, tandis que Pauline s'imagine déjà se retrouver la boule à zéro. Elle se dit – c'est pour cela qu'il m'a envoyé chez le coiffeur pour me faire couper les cheveux très court l'autre jour.
C : « Vous pouvez, vous désaltérer au buffet pendant que l'on change de soumise » Édouard coupe sa camera et va au buffet servir les invités.
L’assistance se lève, discute, papote, rie et certains et certaines vont au buffet se rafraîchir.
Marie est délivrée par Cello et la gagnante de l'enchère, la prend par la main et lui dit :
« Viens salope ! C'est prévu que tu me bouffes la chatte, elle va s'asseoir dans l'un des fauteuil coté gauche, fait s'agenouiller Marie et relève sa robe. Marie n'a pas d'autre choix que de passer sa langue sur les lèvres intimes de la gagnante et de la lécher. Cello s'approche de Mylène, la saisis par le bras, retire sa robe et en quelques minutes, elle se retrouve à la place de Marie.
Hervé récupère la connexion à ce moment là, il voit sur son écran une belle femme totalement nue, entièrement tondue en train de lécher une autre femme, habillée ayant relevé sa robe jusqu'aux hanches. Il regarde la lécheuse avec ses gros seins annelés qui ballottent, Ils restent fasciné par les seins de la soumise, se disant qu'ils sont aussi beau et gros que ceux de Marie, mais sans penser un seul instant que c'est son épouse, qui broute la bourgeoise.
La bourgeoise très excitée par les enchère et la langue de Marie, jouis très rapidement. Elle regagne alors sa place dans la salle, tandis que Marie s’assoie dans le fauteuil où se trouvait Mylène quelques instants plus tôt.
Pauline est soulagée, du moins pour l'instant, se demandant, si Cello n'a pas prévu la troisième enchère.
Cello va s'asseoir près de Marie et l'embrasse à pleine bouche tout en posant sa main sur la cuisse de Marie. Elle la caresse et remonte jusqu'à l'aine sans un mot, et se pose sur la chatte de Marie. Elle joue avec le piercing du capuchon ainsi une ou deux minutes .
Cello , reprends le micro, la salle retrouve le silence.
C : « Maintenant, si vous voulez tester cette salope et juger de la marchandise, elle est là pour vous ».
C'est une ruée sur la scène, pour peloter Mylène. Il faut préciser que quasiment toutes les personnes présentes connaissent la femme d’Édouard : les chasseurs, les agriculteurs voisins et même les clients et clientes de la boutique que tient Mylène pour vendre les produits de la ferme. Elle est pelotée, doigter et même embrasser par deux femmes.
Cello prend le micro et demande à l'assistance de regagner leur place, pour le début des enchères. Une partie des spectateurs passent devant Pauline pour regagner leur chaise et ne se prive pas pour regarder l'entre-jambes nu de Pauline. Elle s'en aperçoit rapidement et écarte davantage ses cuisses pour offrir une vue imprenable sur son abricot et son piercing.
L’enchère pour le scalp de Mylène commence avec la même mise à prix de départ de 1500 euros. Les enchères s'arrêtent également à 5000 euros et le gagnant qui est un ami chasseur d’Édouard. Le chasseur monte sur scène, donne les billets à Cello. Mylène ferme les yeux.
Pendant ce temps, Édouard filme toujours soit Mylène, soit Marie ou Pauline, voir même la salle pour y percevoir l’ambiance.
La tonte de Mylène se déroule comme pour Marie à une exception, Mylène pleure, les cheveux collent à son visage. Elle est méconnaissable, les cernes se dessinent, elle est rouge de honte , humiliée devant des amis, des connaissances, des clients. Cello ce penche et lui dit à l’oreille :
C : « Tu connais le bonus du gagnant, ton cul, regarde ton mari il va mettre un tapis pour toi ».
M : « Heu !… Oui, heu ! …Je sais, mais, pas ça Cello, pas devant mes connaissances, et je suis assez humiliée, regarde-moi, je ne ressemble à plus rien ».
C: « Mylène, je l’ai annoncé, je ne peux plus revenir en arrière, et pense que c’est Édouard qui t’encule ».
Édouard amène au milieu de la scène, devant le fauteuil central, un petit matelas ou Mylène sera exposé à quatre pattes, le visage sur la paillasse, les genoux repliés et écartées, offrant ainsi ses fesses.
Le chasseur baisse son pantalon, sort son sexe de son slip et montre un sexe de fort belle dimension. Il claque le cul de Mylène et s'adressant à Édouard, il dit bien fort :
« Depuis le temps que j'avais envie de me faire ta femme ».
Édouard sourit alors que la salle rit. Il place son gland contre la pastille de Mylène, il l'encule sans précaution particulière. Heureusement pour Mylène qu'elle avait été généreusement doigter par l'assistance avant. Édouard filme sa femme en train de se faire enculer par son ami, faisant des gros plans sur le cul de Mylène. Après une dizaine de minutes de vas et viens dans le fion de Mylène, il explose dans son fondement, se vidant totalement avant de se retirer et de donner sa queue à nettoyer à la fermière.
L'assistance applaudis. Mylène se relève et se dirige vers les fauteuils, humiliée mais heureuse que cela se termine. Elle est sur le point de s’asseoir quand Marie, lui dit :
« Donne moi ton cul à lécher, tu ne veux tout de même pas perdre tout ce foutre ».
Marie s’accroupit et Mylène se place devant elle et tend ses fesses en les écartant pour que Marie y mette sa langue. Elle lui nettoie l’œillet et elles regagnent leur place.
Pendant ce temps, Cello et Édouard ont retiré le matelas de la scène, Cello fait un signe à Pauline en lui disant : « Maintenant c’est à toi ».
Il récupère la paire de ciseaux, coupe les lanières qui retiennent ce minuscule string une à une puis c’est le foulard qui disparaît. Cello lui appuie sur le piercing, de longues pressions, sur son appendice. Pauline, attachée au treuil, maintenant complètement nue, ressent des sensations dans le bas-ventre et commence à se tordre, mais de plaisir. Elle se demande ce que Cello va lui faire subir, une tonte ? Non, elle n’aurait pas été attachée comme ça, alors quoi ?
Cello. Branche le micro, et demande à cette bourgeoise :
« Tu es prête, prête à te faire casser le cul devant l’assemblée, c’est toi qui m’a dit que tu étais ma chose, que tu acceptais tout ce je voulais, et bien voilà le moment de le prouver ».
P : « Heu ! …Oui monsieur, heu !….Oui je suis à vous, mais là, monsieur, heu !… Mon mari, heu ! …..S’il venait à l’apprendre ».
Et là un éclat de rire collégiale dans la salle, et :
« Aller salope pas de sentiment, fait toi baiser, ton cocu ne seras jamais ».
Toujours pendue par les bras et complètement ouverte :
P. : « Oui monsieur comme vous voulez, je suis votre pute et c’est vous qui décider pour moi ».
Une fois de plus la salle réagit ;
« Aller Cello offre nous cette bourgeoise, elle a besoin de se faire démonter ».
Cello rejoint Édouard et il mette en place un chevalet. Édouard lance alors une musique et prend la caméra pour filmer la scène, Cello dépend Pauline la retenant dans ces bras Pauline se love dans ces bras, puis il la conduit vers le chevalet le dos tourné au public, lui
ordonne de ce plier dessus. Elle obéit et est attachée, les jambes écartées, pliée en deux sur un chevalet, les poignets attachés de chaque coté du chevalet. Le public peut ainsi voir ses orifices. D'ailleurs Édouard ne se prive pas pour faire un gros plan sur les orifices de Pauline.
Cello baisse la musique et annonce, qu'il est possible de doigter la chatte de la femme à la cagoule que ça petite rondelle ne doit en aucun cas être doigtée. C'est aussitôt une nouvelle ruée sur l'estrade pour doigter la chatte de Pauline. Les hommes, les femmes, tous se précipitent pour palper et doigter quelques secondes la belle avant de regagner leur place. Grâce au micro placer sur le chevalet, il est possible d'entendre Pauline geindre de plus en plus fort, sous les doigtages qui s’enchaînent dans son sexe.
Cello prend son portable et envoi un SMS à Henri et Hervé :
[J'espère que la vue de ces belles femelles, totalement soumises vous satisfont et que cela vous donne envie de les rencontrés prochainement pour ma soirée spéciale]
Henri lui n’avais pas quitté son écran, mais il savait que la chienne en cagoule était Pauline sa femme, il savait aussi que l’autre chienne était Marie la femme de son collaborateur
Quand le calme est revenu, Cello annonce que pour la dernière partie de la soirée, il y aura trois gagnants et que le premier sera, celui qui a la plus grosse bite et qu'il pourra enculer la bourgeoise cagoulée.
Henri, qui comprend qu'une nouvelle fois sa femme va se faire sodomiser, est atterrer et envoi à Cello :
[Salaud !...Laisser Pauline tranquille, elle ne mérite pas d'être traitée comme une chienne]
C : [ Tu m’as offert ta femme rappelle toi, tu as accepté de lui faire faire un stage intensif, bien voilà, la première leçon, et ne t’inquiète pas la liste seras très longue, et maintenant lâche moi arrête de pleurnicher, tu est cocu et Pauline ne t’appartient plus ,du moins son cul pour le reste, je te la laisse].
H. : [heu…. mais là c’est de la démence, elle et offerte, elle va se faire enculer pour du fric],
C :. [comme la dernière fois Henri, rappelle toi, tu même assisté, aller tu commences à me casser les couilles, moi j’ai autre chose à faire, je vais offrir le cul de ta femme, regarde et branle toi, c’est ce tu as de mieux à faire].
Entre temps, c'est celui que tout le monde surnomme le bûcheron, qui est désigné vainqueur et celui-ci est heureux de monter sur la scène et de retirer son pantalon pour exhiber un sexe monstrueux avec un gland très large et une paire de couilles grosses comme des oranges. Le bûcheron s'approche de Pauline, lui flatte le cul se place derrière la belle. Il lui écarte les fesses et approche son sexe bandé et droit de la rondelle de Pauline.
L'homme pousse et force sur son gland pour pénétrer la belle. Celle-ci hurle quand le gland rentre dans son fondement. Elle a l'impression qu'il l'a déchirée. Il force encore pour faire entrer le reste de son mandrin. Pauline hurle encore plus fort, comme un truie qu'on égorge. Elle a l'impression d'être coupée en deux. Le bûcheron et maintenant en elle. Progressivement il va et viens en elle, lentement au début puis il accélère la cadence. Pauline ne crie plus, elle gémit sous les assauts du bûcheron. Plus l'homme s'active entre les fesses de la femme cagoulée, que celle-ci gémie de plus en plus fort, puis elle crie :
« Oui ! Oui c'est bon ! Plus fort ! Oh oui je jouiiiiiiiis ».
Le bûcheron excité par les réactions de Pauline, accélère encore la cadence, jusqu' à exploser et de se vider les couilles dans le cul de Pauline dans un râle énorme de bête fauve.
Il se retire de Pauline et approche sa queue de la bouche de la soumise, elle le lèche et lui dit :
« Merci monsieur ! »
Quand celui-ci regagne sa place dans la salle. Cello prend de nouveau le micro et s'approche de Marie et lui demande de désigner un homme dans l'assistance pour être le deuxième bénéficiaire du cul de Pauline. Elle désigne un homme d'une vingtaine d'année, pas très beau, mais costaud.
Le jeune homme se précipite sur l'estrade et ôte son pantalon, avant d'approcher de Pauline. Il lui caresse les fesses, avant de lui donner deux grandes claques sur le postérieur et d'approcher de celui-ci la bite à la main. L'anus de Pauline, n'a pas eu le temps de se refermer, et il n'a aucun mal à embrocher la jeune femme, car s'il a un sexe de très bonne dimension, il est toutefois, moins énorme que le précédent. Il est aussi moins résistant et il lui faut moins de 10 minutes pour se rependre dans le fondement de Pauline, sous ses cris de jouissance. Comme pour le premier, elle nettoie le sexe de l'homme et dit :
« Merci monsieur »
Le troisième et dernier vainqueur de la soirée est désigné par Mylène. C'est le boucher du village. Un homme d'une cinquantaine d'année, costaud et bedonnant. Il a à peine mis son gland contre l’œillet ouvert de Pauline que celle-ci supplie, d’arrêter qu'elle n’en peut plus :
Et il est tout juste rentré, qu'elle hurle de douleurs, le boucher continue sa progression ne laissant aucun répit a cette femelle qu’il est en train de saillir, plus Pauline crie plus, le boucher s’enfonce en elle, puis à force de coups de butoir, Pauline finis par jouir :
P : « Oh oui ! Enculez-moi ! Défoncez-moi ! Et il est tout juste rentrer qu'elle jouis sans interruption jusqu'à ce que le dernier homme de la soirée explose dans son fion ».
Cello envoi à Henri une réponse à son SMS :
[Tu dis que ce n'est pas une chienne, mais regarde comme elle aime cela!]
Comme les deux précédents il se fait nettoyer la queue et Pauline s'écroule sur le chevalet totalement épuisée.
Hervé envoi lui aussi un SMS à Cello :
[Qu'avez-vous fait de Marie ? Pourquoi n'est elle pas avec vous ?]
Cello répond :
[Tu as du mal regarder, car Marie est dans la salle]
Et il fait signe à Édouard de filmer la salle, comme pour convaincre Hervé que sa femme fait partie de l'assistance. Puis Édouard revient sur l'estrade et film la suite du spectacle.
Marie s'approche alors du chevalet avec une assiette que lui a donné Cello et elle recueille le sperme des trois compères qui ont déchargés dans le cul de la belle, le sperme et les sécrétions coulent dans l’assiette, le filet n’en finis pas de couler
Marie met alors l'assiette sous le nez de Pauline, qui lape les semences. Lorsque le récipient est nettoyé, Marie pose l'assiette et vient derrière Pauline et lui nettoie l'anus, avant que Cello l'attache à une laisse. Il attache également Mylène à la même laisse.
Pour clôturer la soirée, Édouard leur fait faire le tour de la salle à quatre pattes, avant de sortir dehors, où elle font un tour de parking, toujours à quatre pattes avant de les détachées pour les faire entrer dans le chenil.
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