Titre de l'histoire érotique : Marie ma nouvelle voisine - 12 - vendredi - Fin du dîner
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Marie ma nouvelle voisine - 12 - vendredi - Fin du dîner
Hervé lui regarde comme captivé n'en revenant pas de votre audace et ressentant malgré lui de l'excitation ... Tout en continuant à me claquer les fesses en alternant vous dites à mon mari :
« Tu me dis si je dois y aller plus fort ou si je dois arrêter hein ».
Et pendant ce temps, votre autre main glisse sur mes cotés pour m'empoigner une mamelle sans que mon mari ne le voit tant il a le regard absorbé par mes fesses et par mes petits gémissement.
« Hoo haa haa hoo arrêtez j'ai trop honte, monsieur Cello, vous ne raconterez rien à personne vous me promettez ?
- Oui promis ! Je ne dirais à personne que tu es une cochonne, qui s'en met partout ».
Et je continue encore une bonne minute à te claquer le cul, avant de te faire te redresser et remettre ta robe convenablement
Je me redresse les larmes aux yeux, Hervé voudrait se lever et me prendre dans ses bras pour me consoler mais vous lui dites :
« Herve tu veux bien mettre de la musique douce, je vais danser avec Marie pour la consoler, je crois qu'on a exagéré ... tu n'es pas une grosse cochonne Marie à cause de tes mamelles trop lourdes, tu t’es faite belle pour ce repas entre amis et cette robe te va très bien, elle te mets magnifiquement en valeur, n'est ce pas Hervé que ta femme est superbe comme ça ?
- Heu… heu oui tu es superbe ma chérie ».
Il met un disque de slow qui était dans le lecteur (comme préparé à l'avance ...). Vous me prenez dans vos bras, une main sur mes reins, une main entre mes omoplates, nous dansons, je pose ma tête sur votre épaule... Je sens mes seins pressés contre votre torse, lorsque vous êtes face à Hervé vous lui faites un clin d'oeil pour lui rappeler ce dont vous aviez convenu, que tant que j'acceptais ce que vous me faites, il acceptait aussi ... votre main caresse mes reins, monte jusqu'au milieu du dos et redescend vers mes fesses ... sur mes fesses.
« Ca va ? Tu n'as pas eu mal j'espère, excuse moi de t'avoir humiliée en faisant remarquer à ton mari que tu étais excitée et que je pouvais le sentir, c'est une grande qualité que de laisser exprimer sa féminité et son désir ... »
Je sens contre mon ventre votre grosse queue et lorsque le slow se termine nous nous écartons et Hervé remarque la bosse, qui déforme votre pantalon.
Je caresse tes fesses au travers de ta robe remontant progressivement celle-ci, puis m'adressant à Hervé, je lui demande :
« Ses fesses sont elle encore rouges ? »
Tout en relevant ta robe sur tes hanches. Humm oui, vous remontée ma robe sur mes reins, honteuse je ferme les yeux, Hervé lui les a grand ouverts et il réponds :
« Un peu oui »
Et il vous regarde me les caresser, me les masser.
Je mets une de mes mains dans ma poche et rapidement je déclenche l'oeuf vibrant en position maximum de vibration.
Je sens l'œuf vibrer d'un coup et je me mets à gémir doucement sans pouvoir me retenir :
« Hum ! Hooo »
Vous stoppez l'œuf et lui dites :
« Dis donc tu es sensible des fesses ! Elle fait ça avec toi Hervé ?
- Heu...je n'ai jamais dansé comme cela avec Marie...non je ne crois pas.
Ce doit être l'excitation de la fessée et de danser le cul à l'air.
- Ha oui ça t'excitent de recevoir une fessée et de danser presque nue contre moi Marie ?
- Je... heu... c'est que je... heu... (Je regarde Hervé honteuse) oui un peu surtout devant mon mari
Alors que le disque se termine, je dépose un baiser sur tes lèvres, avant de te dire :
« Dis donc Marie, je prendrais bien un digestif avant de rentrer ! »
Sous les yeux de mon mari, vous posez vos lèvres sur les miennes, je me retiens de vous offrir un baiser fougueux, mais le regard que pose Hervé sur nous me retient.
« Oui monsieur, je vais aller vous le servir ».
Je viens rejoindre Hervé dans le salon, m'asseyant dans un fauteuil, alors que tu vas chercher des verres et le digestif.
Je vais à la cuisine en rabaissant ma robe, et vous discutez avec mon mari.
« Dis donc Hervé je ne me serais jamais douté, elle a l'habitude de se comporter comme ça ? On dirait que ta femme a envie de t'offrir un spectacle d'exhibition avec moi ... »
Lorsque je vais à la cuisine chercher des verres pour le digestif, vous allez près d'Hervé.
« Dis donc si je m'étais douté du programme de cette soirée ! Mais petit pervers tu bandes autant que moi ça t'excitent de voir Marie gémir sous mes caresses ? Allez tu peux me le dire on est entre homme ?
- Heu je… et bien c'est assez inattendu comme situation, mais c'est vrai que de la voir se laisser caresser les fesses et aussi embrasser sur la bouche je heu... je devrais être jaloux mais c'est vrai, j'en bande ... »
Sautant sur l'occasion que mon mari vous offre en avouant son excitation, vous lui dites d'un air de confident :
« Moi aussi, elle me fait bander ta femme avec ses gros nichons, tout à l'heure je les sentais contre mon torse bien souples et chaud, je ne pouvais pas m'empêcher de bander et d'appuyer ma queue contre son ventre ... je crois que ça a participé aussi à ce qu'elle gémisse, elle a du être surprise par la taille de ma bite toute raide contre elle ».
Et là dessus Hervé regarde votre entrejambe et semble rêveur devant la protubérance. Vous reprenez :
« Apres le digestif, je la ferai à nouveau danse mais là je lui enlèverai carrément sa robe, si elle se laisse faire d'accord ? Mais chutt ! La voilà ... »
Hervé n'a pas le temps de répondre que c'est un peu exagéré quand même que j'arrive avec les verres à cognac et la bouteille ... en me penchant vous me prenez sous les yeux de mon mari, à 50 cm de son visage, un sein et me dites :
« Humm ! Merci Marie, allez sers nous et retournons danser, ton mari me donne l'autorisation »
Tu poses les verres, mets une dose de cognac dans chaque, en prenant soin d'en mettre plus dans le verre d'Hervé, comme pour l'achever, puis je te dis :
« Si tu mettais un disque de danse du ventre pour nous offrir un beau spectacle ».
Tu te lèves et demande à Hervé :
« On a toujours ce vieux disque que nous avons ramener de notre voyage en Egypte ?
- Heu...quoi...heu... oui je crois ».
Tu vas chercher dans la pile de disque et d'exclame :
« Ca y est je l'ai ! »
Je mets le disque et commence à danser dans ma robe rouge
Je pose mon verre, me lève et m'approchant de toi, te demande :
« Tu crois que les danseuses du ventre sont aussi vêtues ? Allez retire ta robe ! Et tu ressembleras à une danseuse du ventre des bas-fond du Caire.
- Je heu... mais je ne peux pas danser nue, je heu... Hervé tu heu... tu es d'accord avec Monsieur Cello pour que je danse nue ?
Heu ...oui c'est vrai que ce sera plus réel et heu...tu es trop belle. Ma chérie...moi aussi cela me tente de te voir te trémousser »
Tu retires alors ta robe, contrainte et forcée, et tu commences à te trémousser au milieu de la place, prenant soin de bien faire bouger tes grosses mamelles de haut en bas et de droite à gauche.
Elle est vraiment très bandante lorsqu'elle danse ainsi, tu ne trouves » dis je à Hervé.
Hervé ne réagit quasiment pas, totalement embuée par l'alcool. Tu te trémousses, en caressant tes mamelles, les agitant sous nos regards et lorsque le disque se termine, je te demande de nous remettre un cognac, tu t'approches de nous, et alors que tu te penches pour servir Hervé qui proteste légèrement, car il ne veut plus d'alcool, mais tu le sers tout de même, j'en profite pour glisser ma main entre tes cuisses, trempée. Tu me laisses faire quelques secondes avant de te retourner et me regarde dans les yeux pour me proposer un autre verre.
Je trinque une nouvelle fois avec ton cocu de mari, et te dis :
« Allez Marie, remets le disque et danse à nouveau pour continuer à nous exciter, tu es trop belle et trop bandante pour t'arrêter ».
Tu retournes au milieu de la pièce et recommence ton show, pendant ce temps, Hervé s'endort totalement, avant d'avoir fini son verre.
Oui je danse nue faisant se balancer mes grosses mamelles de gauche a droite, les faisant sauter bien haut ... Lorsque je remarque que mon mari s'est endormi, je suis déçue et me trémousse d'autant plus sous vos yeux, venant caresser votre visage de mes nichons, frotter ma chatte sur votre cuisse ...
Au bout de plusieurs minutes où tu te frottes contre moi, ta chatte sur ma cuisse et tes seins contre mon visage, je te fais mettre à quatre pattes sur le canapé pour te prendre comme une chienne.
Oui vous ma baisez comme une chienne en me faisant avouer que je suis une salope en chaleur excitée de faire cocu mon mari, qui dort à coté et lorsque, après m'avoir faite jouir plusieurs fois vous éjaculez en moi.
Après t'avoir rempli la chatte devant ton mari, qui dort dans le fauteuil, je te demande :
« Allez ma chienne tourne tes fesses vers Hervé, et écarte les, pour qu'il voit comment je t'encule, lui à qui tu as toujours refusé ta rondelle.
Oui je me tourne vers lui à quatre pattes tandis qu'il ronfle, j'ai honte, je fais attention de ne pas faire de bruit (alors que je viens de jouir bruyamment pendant la levrette) ensuite sur instruction, je me mets de profil pour qu'il puisse bien voir, s'il devait ouvrir un oeil, comment je me fais enculer en me faisant malaxer les outres.
Je te frappe les fesses et dis :
« Tu aimerais qu'on réveille Hervé pour qu'il voit à quel point, tu es devenue salope !
- Ho non monsieur Cello pitié ne le réveillez pas ».
Je ne te réponds pas, plaçant mon gland contre ta rondelle et t'enculant d'un coup de rein violent, rentrant ainsi mon sexe en totalité dans ton anus.
Je sens une déchirure tant vous y allez sec et sans ménagement, je me retiens de crier et pleure en me mordant les lèvres
Lorsque je t'encule violemment, tu pousses un cri et cela réveille à moitié Hervé qui semi inconscient demande :
« Qu'est ce qui se passe ?
- Rien mon chéri, rendors toi ! »
Et refermant les yeux et se tournant légèrement, il replonge dans son sommeil. Il bouge dans son fauteuil alors que je commence mes vas et viens dans ton fion.
« Allez ma chérie laisse toi aller et tant pis si tu le réveilles ».
Hum oui ! Il me voit de profil, en train de me faire enculer, et se rendort.
« Allez Marie, dis à ton mari combien tu aimes que je t'encule ! »
Puis je te donne une grosse claque sur les fesses, tout en continuant à te besogner l'anus.
« Regarde mon chéri comme monsieur Cello m'encule bien »
Hervé bouge une nouvelle fois, en ouvrant un oeil et repart dans les bras de Morphée. Excitez, je jouis une nouvelle fois, mais cette fois-ci dans ton fondement, puis me retirant je te dis :
« Approche ton cul d'Hervé, qu'il voit à quel point ta rondelle est dilatée ».
Tu approches de ton cocu, et te tournes en te courbant et écartant tes fesses pour lui présenter ton anus ouvert rempli de sperme.
Hervé bouge, mais tu es trop près de son visage pour que je voie s'il ouvre les yeux, puis je décide d'aller le coucher pour être tranquille dans le salon.
Oui on va le coucher et le laissons ronfler avant de retourner dans le salon, où je danse nue en me trémoussant, sachant que le lendemain, Herve ne se souviendra sûrement plus de rien de la soirée.
Après avoir dansé pour vous à nouveau, je vous suce une dernière fois et vous me laissez ainsi pleine de foutre ... Je vais prendre une douche et me caresse de mes mains savonneuses pour soulager mes seins que vous avez malaxez encore plus fort qu'à l'accoutumée, et pénètre les orifices de mes doigts pour me laver, puis lorsque je me rince, je laisse longuement le jet puissant de la pomme de douche sur mon clitoris, me procurant une dernière jouissance et vais me coucher.
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« Tu me dis si je dois y aller plus fort ou si je dois arrêter hein ».
Et pendant ce temps, votre autre main glisse sur mes cotés pour m'empoigner une mamelle sans que mon mari ne le voit tant il a le regard absorbé par mes fesses et par mes petits gémissement.
« Hoo haa haa hoo arrêtez j'ai trop honte, monsieur Cello, vous ne raconterez rien à personne vous me promettez ?
- Oui promis ! Je ne dirais à personne que tu es une cochonne, qui s'en met partout ».
Et je continue encore une bonne minute à te claquer le cul, avant de te faire te redresser et remettre ta robe convenablement
Je me redresse les larmes aux yeux, Hervé voudrait se lever et me prendre dans ses bras pour me consoler mais vous lui dites :
« Herve tu veux bien mettre de la musique douce, je vais danser avec Marie pour la consoler, je crois qu'on a exagéré ... tu n'es pas une grosse cochonne Marie à cause de tes mamelles trop lourdes, tu t’es faite belle pour ce repas entre amis et cette robe te va très bien, elle te mets magnifiquement en valeur, n'est ce pas Hervé que ta femme est superbe comme ça ?
- Heu… heu oui tu es superbe ma chérie ».
Il met un disque de slow qui était dans le lecteur (comme préparé à l'avance ...). Vous me prenez dans vos bras, une main sur mes reins, une main entre mes omoplates, nous dansons, je pose ma tête sur votre épaule... Je sens mes seins pressés contre votre torse, lorsque vous êtes face à Hervé vous lui faites un clin d'oeil pour lui rappeler ce dont vous aviez convenu, que tant que j'acceptais ce que vous me faites, il acceptait aussi ... votre main caresse mes reins, monte jusqu'au milieu du dos et redescend vers mes fesses ... sur mes fesses.
« Ca va ? Tu n'as pas eu mal j'espère, excuse moi de t'avoir humiliée en faisant remarquer à ton mari que tu étais excitée et que je pouvais le sentir, c'est une grande qualité que de laisser exprimer sa féminité et son désir ... »
Je sens contre mon ventre votre grosse queue et lorsque le slow se termine nous nous écartons et Hervé remarque la bosse, qui déforme votre pantalon.
Je caresse tes fesses au travers de ta robe remontant progressivement celle-ci, puis m'adressant à Hervé, je lui demande :
« Ses fesses sont elle encore rouges ? »
Tout en relevant ta robe sur tes hanches. Humm oui, vous remontée ma robe sur mes reins, honteuse je ferme les yeux, Hervé lui les a grand ouverts et il réponds :
« Un peu oui »
Et il vous regarde me les caresser, me les masser.
Je mets une de mes mains dans ma poche et rapidement je déclenche l'oeuf vibrant en position maximum de vibration.
Je sens l'œuf vibrer d'un coup et je me mets à gémir doucement sans pouvoir me retenir :
« Hum ! Hooo »
Vous stoppez l'œuf et lui dites :
« Dis donc tu es sensible des fesses ! Elle fait ça avec toi Hervé ?
- Heu...je n'ai jamais dansé comme cela avec Marie...non je ne crois pas.
Ce doit être l'excitation de la fessée et de danser le cul à l'air.
- Ha oui ça t'excitent de recevoir une fessée et de danser presque nue contre moi Marie ?
- Je... heu... c'est que je... heu... (Je regarde Hervé honteuse) oui un peu surtout devant mon mari
Alors que le disque se termine, je dépose un baiser sur tes lèvres, avant de te dire :
« Dis donc Marie, je prendrais bien un digestif avant de rentrer ! »
Sous les yeux de mon mari, vous posez vos lèvres sur les miennes, je me retiens de vous offrir un baiser fougueux, mais le regard que pose Hervé sur nous me retient.
« Oui monsieur, je vais aller vous le servir ».
Je viens rejoindre Hervé dans le salon, m'asseyant dans un fauteuil, alors que tu vas chercher des verres et le digestif.
Je vais à la cuisine en rabaissant ma robe, et vous discutez avec mon mari.
« Dis donc Hervé je ne me serais jamais douté, elle a l'habitude de se comporter comme ça ? On dirait que ta femme a envie de t'offrir un spectacle d'exhibition avec moi ... »
Lorsque je vais à la cuisine chercher des verres pour le digestif, vous allez près d'Hervé.
« Dis donc si je m'étais douté du programme de cette soirée ! Mais petit pervers tu bandes autant que moi ça t'excitent de voir Marie gémir sous mes caresses ? Allez tu peux me le dire on est entre homme ?
- Heu je… et bien c'est assez inattendu comme situation, mais c'est vrai que de la voir se laisser caresser les fesses et aussi embrasser sur la bouche je heu... je devrais être jaloux mais c'est vrai, j'en bande ... »
Sautant sur l'occasion que mon mari vous offre en avouant son excitation, vous lui dites d'un air de confident :
« Moi aussi, elle me fait bander ta femme avec ses gros nichons, tout à l'heure je les sentais contre mon torse bien souples et chaud, je ne pouvais pas m'empêcher de bander et d'appuyer ma queue contre son ventre ... je crois que ça a participé aussi à ce qu'elle gémisse, elle a du être surprise par la taille de ma bite toute raide contre elle ».
Et là dessus Hervé regarde votre entrejambe et semble rêveur devant la protubérance. Vous reprenez :
« Apres le digestif, je la ferai à nouveau danse mais là je lui enlèverai carrément sa robe, si elle se laisse faire d'accord ? Mais chutt ! La voilà ... »
Hervé n'a pas le temps de répondre que c'est un peu exagéré quand même que j'arrive avec les verres à cognac et la bouteille ... en me penchant vous me prenez sous les yeux de mon mari, à 50 cm de son visage, un sein et me dites :
« Humm ! Merci Marie, allez sers nous et retournons danser, ton mari me donne l'autorisation »
Tu poses les verres, mets une dose de cognac dans chaque, en prenant soin d'en mettre plus dans le verre d'Hervé, comme pour l'achever, puis je te dis :
« Si tu mettais un disque de danse du ventre pour nous offrir un beau spectacle ».
Tu te lèves et demande à Hervé :
« On a toujours ce vieux disque que nous avons ramener de notre voyage en Egypte ?
- Heu...quoi...heu... oui je crois ».
Tu vas chercher dans la pile de disque et d'exclame :
« Ca y est je l'ai ! »
Je mets le disque et commence à danser dans ma robe rouge
Je pose mon verre, me lève et m'approchant de toi, te demande :
« Tu crois que les danseuses du ventre sont aussi vêtues ? Allez retire ta robe ! Et tu ressembleras à une danseuse du ventre des bas-fond du Caire.
- Je heu... mais je ne peux pas danser nue, je heu... Hervé tu heu... tu es d'accord avec Monsieur Cello pour que je danse nue ?
Heu ...oui c'est vrai que ce sera plus réel et heu...tu es trop belle. Ma chérie...moi aussi cela me tente de te voir te trémousser »
Tu retires alors ta robe, contrainte et forcée, et tu commences à te trémousser au milieu de la place, prenant soin de bien faire bouger tes grosses mamelles de haut en bas et de droite à gauche.
Elle est vraiment très bandante lorsqu'elle danse ainsi, tu ne trouves » dis je à Hervé.
Hervé ne réagit quasiment pas, totalement embuée par l'alcool. Tu te trémousses, en caressant tes mamelles, les agitant sous nos regards et lorsque le disque se termine, je te demande de nous remettre un cognac, tu t'approches de nous, et alors que tu te penches pour servir Hervé qui proteste légèrement, car il ne veut plus d'alcool, mais tu le sers tout de même, j'en profite pour glisser ma main entre tes cuisses, trempée. Tu me laisses faire quelques secondes avant de te retourner et me regarde dans les yeux pour me proposer un autre verre.
Je trinque une nouvelle fois avec ton cocu de mari, et te dis :
« Allez Marie, remets le disque et danse à nouveau pour continuer à nous exciter, tu es trop belle et trop bandante pour t'arrêter ».
Tu retournes au milieu de la pièce et recommence ton show, pendant ce temps, Hervé s'endort totalement, avant d'avoir fini son verre.
Oui je danse nue faisant se balancer mes grosses mamelles de gauche a droite, les faisant sauter bien haut ... Lorsque je remarque que mon mari s'est endormi, je suis déçue et me trémousse d'autant plus sous vos yeux, venant caresser votre visage de mes nichons, frotter ma chatte sur votre cuisse ...
Au bout de plusieurs minutes où tu te frottes contre moi, ta chatte sur ma cuisse et tes seins contre mon visage, je te fais mettre à quatre pattes sur le canapé pour te prendre comme une chienne.
Oui vous ma baisez comme une chienne en me faisant avouer que je suis une salope en chaleur excitée de faire cocu mon mari, qui dort à coté et lorsque, après m'avoir faite jouir plusieurs fois vous éjaculez en moi.
Après t'avoir rempli la chatte devant ton mari, qui dort dans le fauteuil, je te demande :
« Allez ma chienne tourne tes fesses vers Hervé, et écarte les, pour qu'il voit comment je t'encule, lui à qui tu as toujours refusé ta rondelle.
Oui je me tourne vers lui à quatre pattes tandis qu'il ronfle, j'ai honte, je fais attention de ne pas faire de bruit (alors que je viens de jouir bruyamment pendant la levrette) ensuite sur instruction, je me mets de profil pour qu'il puisse bien voir, s'il devait ouvrir un oeil, comment je me fais enculer en me faisant malaxer les outres.
Je te frappe les fesses et dis :
« Tu aimerais qu'on réveille Hervé pour qu'il voit à quel point, tu es devenue salope !
- Ho non monsieur Cello pitié ne le réveillez pas ».
Je ne te réponds pas, plaçant mon gland contre ta rondelle et t'enculant d'un coup de rein violent, rentrant ainsi mon sexe en totalité dans ton anus.
Je sens une déchirure tant vous y allez sec et sans ménagement, je me retiens de crier et pleure en me mordant les lèvres
Lorsque je t'encule violemment, tu pousses un cri et cela réveille à moitié Hervé qui semi inconscient demande :
« Qu'est ce qui se passe ?
- Rien mon chéri, rendors toi ! »
Et refermant les yeux et se tournant légèrement, il replonge dans son sommeil. Il bouge dans son fauteuil alors que je commence mes vas et viens dans ton fion.
« Allez ma chérie laisse toi aller et tant pis si tu le réveilles ».
Hum oui ! Il me voit de profil, en train de me faire enculer, et se rendort.
« Allez Marie, dis à ton mari combien tu aimes que je t'encule ! »
Puis je te donne une grosse claque sur les fesses, tout en continuant à te besogner l'anus.
« Regarde mon chéri comme monsieur Cello m'encule bien »
Hervé bouge une nouvelle fois, en ouvrant un oeil et repart dans les bras de Morphée. Excitez, je jouis une nouvelle fois, mais cette fois-ci dans ton fondement, puis me retirant je te dis :
« Approche ton cul d'Hervé, qu'il voit à quel point ta rondelle est dilatée ».
Tu approches de ton cocu, et te tournes en te courbant et écartant tes fesses pour lui présenter ton anus ouvert rempli de sperme.
Hervé bouge, mais tu es trop près de son visage pour que je voie s'il ouvre les yeux, puis je décide d'aller le coucher pour être tranquille dans le salon.
Oui on va le coucher et le laissons ronfler avant de retourner dans le salon, où je danse nue en me trémoussant, sachant que le lendemain, Herve ne se souviendra sûrement plus de rien de la soirée.
Après avoir dansé pour vous à nouveau, je vous suce une dernière fois et vous me laissez ainsi pleine de foutre ... Je vais prendre une douche et me caresse de mes mains savonneuses pour soulager mes seins que vous avez malaxez encore plus fort qu'à l'accoutumée, et pénètre les orifices de mes doigts pour me laver, puis lorsque je me rince, je laisse longuement le jet puissant de la pomme de douche sur mon clitoris, me procurant une dernière jouissance et vais me coucher.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hum jouissive continuez... je veux être marie...
Nous avions déjà dit tout le bien que l'on prenait à vous lire et nous revenons à notre demande de suite de votre récit précédent. Merci
merci pour ces histoires incroyables
J'adore tes histoires cello, particulièrement la scène du dîner. Tu m'as reconnues, c'est vero, j'attends la suite avec impatience, ne me fais pas attendre. Biz à trés vite
PS: j'ai aussi beaucoup aimée la scène avec le livreur de pizza.
PS: j'ai aussi beaucoup aimée la scène avec le livreur de pizza.
Toute l'histoire est très excitante... bandante et jouissive! J'aimerais bien avoir une voisine comme Marie... je suis sûr que je ferais de même.
Je suis impatiente de connaître la suite.
Avez-vous une suite à votre série précédente? Je crois que nous sommes nombreux dans l'attente. Continuez
France et Cocuforever
Avez-vous une suite à votre série précédente? Je crois que nous sommes nombreux dans l'attente. Continuez
France et Cocuforever
Mon excitation est à chaque fois à son comble.
J'adore !
Rudy
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Rudy
S'il vous plait, merci de laisser un prénom pour vos commentaires ou mieux une adresse mail pour vous remercier
Vous pouvez aussi nous contacter sur notre boite mail
noter sur la page de presentation
bises
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bises
je serais une bonne marie....
J adore vos histoires ! Continuez tant que vous pouvez!