Titre de l'histoire érotique : Mere et fille .. la fille...2/2
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Mere et fille .. la fille...2/2
- Eh bien, que vas-tu faire toute la journée ?
- Je crois qu’Henri n’as pas le choix que de m’inviter chez lui, n’est-ce pas Henri ?
- Heeeuuuu jeeeeeeeee… non c’n’est pas possible voyons !
- Dans ce cas papa va tousser lorsqu’il va savoir …
- Boooonnnn, boooooonnnn, ça va, reste ici, mais fais-toi toute petite
- Vous ne remarquerez même pas ma présence, vous devriez vous couvrir, l’oiseau va s’enrhumer ! dépêche-toi ‘mamounne’ sinon il va débarquer ici,
- N’embête surtout pas Henri, je te dirais quand ton père sera repartit, à toi aussi Henri
- Ouuuuuuiiiiii ! magne-toi bordel !
- Soit plus gentille avec ta maman
- Peeuuuuuuh !! elle est trop conne !
- Tu mériterais une bonne fessée, bon, je préfère aller me doucher
C’est une fois dans la douche que j’ai réalisé que la gamine matait mon matériel qui est dans le même état que la chatte de sa mère, je ne suis qu’a moitié rassuré avec Camille dans mon bungalow, pour l’instant elle chantonne, donc, tout va bien … j’astique soigneusement mon nœud encore sous l’emprise de la femme à qui j’allais en remettre un coup si cette maudite Camille n’était venue nous déranger, en même temps le père nous aurait sans doute surprit au lit ?
Tien … le silence s’est établi, que peut-elle bien mijoter, je dois sortir de la douche nu car mes vêtements sont dans la chambre, personne dans le salon … mais une surprise m’attend, au beau milieu du lit, là où Clotilde et moi avons fait des taches monstrueuses un corps nu est étalé, Camille semble dormir paisiblement dans une position impudique, sa poitrine monte et descend régulièrement, je me mets a contempler ses formes irréprochables, tien ? elle pratique le bronzage intégral ? je me demande si Clotilde est au courant car elle, a les marques du maillot, une autre chose m’intrigue, mon slip de bain est étalé sur son visage et sa main gauche repose entre ses cuisses ouvertes, dommage, ça me cache tout le mont de vénus, délicatement je prends son poignet pour la déplacer, un doigt était encore dans sa fentine, il semble mouillé… quelle odeur as-t-il ?? … muuuummmm, c’est sa sève intime …Camille s’est endormie aussitôt après avoir jouis, quel goût a-t-elle ….wouaaaaah, un véritable nectar, comme j’aimerais laper ces sécrétions … après tout lécher n’est pas pénétrer
Tel un félin je m’immisce entre ses cuisses …, les poils me chatouillent les narines je n’ai plus qu’à sortir ma langue et la faire aussi longue que possible… huuuuummmmmmmmmm, il faudrait que je sépare les lèvres avec deux doigts … la jeune fille gémit et bouge sensiblement, sa nouvelle position m’avantage, les genoux sont repliés, les cuisses retombent sur le côté, cette fois c’est vraiment indécent …, mon nez effleure le clitoris sorti de son long capuchon, ce qui prouve qu’elle s’est endormie en se caressant, prenant mon courage à deux mains je me lance, ma langue entre lentement dans cette faille gorgée de sève visqueuse, Camille soupire longuement comme si elle éprouvait un bien être immense, encouragé je lape et aspire avant de me consacrer à son clito, soudain ses fesses se soulèvent violement comme si elle avait reçu une décharge électrique, nouveau soupir qui ressemble à un long ouiiiiiiiiiiiiiii accompagné de convulsions, si ce n’est pas un orgasme c’est vraiment bien imité… ses cuisses se bloquent sur mes oreilles, impossible de me retirer, je suis bel et bien pris au piège …
- Merci Henri … continue, j’ai encore envie de jouir…
- S’il te plaît, desserre ton étreinte Camille, sinon je vais étouffer
- Remet ta langue et enfile deux doigts et je relâche mon étreinte
- Mais tu es trop jeune pour moi voyons !
- Alors pourquoi m’as-tu fais minette ?
- Tu étais si bien détendue et endormie que je n’ai pu résister
- Je ne dormais pas, je voulais tester ta résistance au plaisir
- Petite peste… adorable petite peste ! qu’as-tu fais avec mon maillot ? si j’ai bien compris tu veux que je fasse l’amour sinon tu me dénonce à ton père ?
- Même pas ! papa mérite d’être cocu et moi j’ai trop envie de me faire prendre, maman a dût en prendre plein les miches si j’en juge l’odeur de ton maillot
- Tu n’as pas trouvés de copains dans le camping ?
- J’ai passé la nuit avec une bande de ploucs tous plus camés les uns que les autres, au moment de baiser ils bandaient mou ou bien ronflaient comme des porcs, je suis à cran alors baise moi s’il te plait Henri …
- Tu te rends compte ce que tu me demande petite ?
- Ne m’appelle pas ‘petite ’j’ai des envies et des besoins de femmes, autant que maman, tu l’as prise combien de fois avec cette grosse bite ?
- Ça ne te regarde pas Camille … ne me touche pas !!
- Il est gros … et il grossit encore
- Camille …lâche moi le sexe s’il te plait
- Je ne te plais pas ?
- tu es ravissante mais pour la dernière fois, sort-d’ ici… CAMILLE …. relève-toi je t’en supplie
- Mmmmmmuuuuuuuuuuuuuummmmmmmmmmm, nnnnnnnooooooooooonnnnnn, c’est trop booooooooonnnnnnnnn !
- Recrache mon gland ….c’est un ordre …
- Voilà …
- Non, finalement reprend moi en bouche
- Tu vois ? tu apprécies mon savoir-faire !!
- Petite dévergondée je vais te faire ta fête
- Je suis prête, vient sur moi, j’ai trop envie de sentir le poids d’un vrai homme sur mon corps
- Tu n’es plus vierge ?
- Non
- Tu prends un contraceptif ?
- J’ai piqué de pilules à maman
- T’es folle ?
- T’inquiète pas, j’en prends régulièrement, et puis mes ours vont débarquer incessamment
- Pose tes jambes sur mes épaules ma chérie
- Oooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiii ! super ! enfonce-toi entièrement
- Tu es étroite …
- Pousse ! ooooooohhhhhaaaaaaahhhhhhhhoooooooouuuuuuuiiiiiiiii vas-yyyyyyyyyyyy
- Ta chatte comprime énormément ma queue, je suis au fond de ta gaine vaginale et je ne t’ai pas encore tout mis
- N’ai pas peur de me faire mal, je veux tout ! décharge dans mon con Henri chéri
- Accroche-toi à mon cou, ça va secouer
- Tant pis si je te griffe ton dos
- J’en ai vu d’autres, lâche prise je vais te faire voir des étoiles
- Oooooooooooohhhhhhhhhhhhhhh que ça fait du biiiiiiiiieeeeeeeennnnnnnnnnnnnn, encore ! encore ! encore !
- Tien-tien-tien-tien-tien-ttiiiiiieeeeeeeeennnnnnnnnnnnnnn, putainnnnn, je jjjoooooouuuuuuuiiiiiiiiiiis
- NNNNNNNOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUIIIIII !! Je sens les giclées de sperme qui gonflent mon vagin !!! ça n’arrête pas ! oooh c’est trop bon !
- A présent laisse-moi me reposer
- Déjà ? ah bon …
Persuadé que c’était fini je me suis allongé sur le dos pour reprendre ma respiration, mais ce n’est que de courte durée, Camille vient le cul tourné vers moi, frottant sa fente encore éclatée sur mon torse pour y laisser une trainée d’escargot, très vite mon gland est embouché pour lui redonner de la vigueur, je n’ai qu’à la tirer par les hanches afin de brouter ses orifices odorants, son anus boursouflé étant le plus a portée c’est à lui que je dédie ma langue, Camille se trémousse oubliant de téter mon nœud qui a repris une grosseur de fonctionnement acceptable et sa cible est suffisamment défripée
- A genoux mademoiselle
- Que veux-tu me faire ?
- tu désires toujours la même chose que j’ai faite à ta mère ?
- Oui évidemment !
- Alors ce sera une sodomie
- Aiiiieeeeee ! elle a accepté ça ?
- Tu ne vas pas te dégonfler ? c’est toi qui m’as provoqué
- Alors entre a petits coups hein ?
Conscient de la différence du contenant et de la masse à absorber j’y vais d’abord avec les doigts, la fille se détend peu à peu, lorsque j’ai introduit trois doigts aisément je la pénètre par la chatte afin de la préparer au pire, elle ronronne et se trémousse du derrière …
- Hhhhhoooooooooooo toi tu sais parler aux femmes … je suis prête Henri
- Tu es prête comme pour un sacrifice ou tu en as envie ?
- Encule-moi bordel !
Ma verge est suffisamment imprégnée de sa mouille, une fois pointée je force graduellement, par fierté Camille ne bronche pas au contraire c’est elle qui vient à moi, la barrière fatidique du gland est atteinte, impossible de faire marche arrière, son anus se contracte deux fois, c’est le moment que je choisi pour finaliser la pénétration, Camille s’affaisse en geignant
- Houlàlà mon cul !
- Ça va ?
- Ç’est différent que par la minette mais je crois que je vais aimer, qu’attends-tu pour démarrer ?
- Je vais repousser par les hanches et te ramener à moi, ceci de plus en plus vite, caresse ton clitoris, ça va t’aider à jouir
- J’ai déjà mon doigt dessus
- Alors c’est partit
Lorsque ma queue est suffisamment ressortie je laisse tomber un filet de salive afin de lubrifier les vas-et viens, ce qui forme une bague qui recule de plus en plus vers mon pubis, ma jeune maitresse m’encourage de la voix, les contractions sont de plus en plus rapprochées, je sens qu’elle est sur le point de jouir, je dois calquer mon éjaculation pour un feu d’artifice… final ? … du moins je l’espère !
Lorsqu’elle a éclaté nos hurlements ont dût ameuter le voisinage, cette fois Camille est repue, elle s’est assoupie recroquevillée en chien de fusil, ses deux trous béant continues à évacuer des sécrétions mêlées, j’en profite pour aller prendre une douche bien méritée… j’allais fermer la porte lorsque celle de l’entrée s’est ouverte ….
- Henri ! tu es là ? j’ai cru que mon con de mari ne repartirait jamais ! Camille est là ?
- Heuuuu non …
- Chouette ! alors je viens avec toi sous la douche !!!
- Je crois qu’Henri n’as pas le choix que de m’inviter chez lui, n’est-ce pas Henri ?
- Heeeuuuu jeeeeeeeee… non c’n’est pas possible voyons !
- Dans ce cas papa va tousser lorsqu’il va savoir …
- Boooonnnn, boooooonnnn, ça va, reste ici, mais fais-toi toute petite
- Vous ne remarquerez même pas ma présence, vous devriez vous couvrir, l’oiseau va s’enrhumer ! dépêche-toi ‘mamounne’ sinon il va débarquer ici,
- N’embête surtout pas Henri, je te dirais quand ton père sera repartit, à toi aussi Henri
- Ouuuuuuiiiiii ! magne-toi bordel !
- Soit plus gentille avec ta maman
- Peeuuuuuuh !! elle est trop conne !
- Tu mériterais une bonne fessée, bon, je préfère aller me doucher
C’est une fois dans la douche que j’ai réalisé que la gamine matait mon matériel qui est dans le même état que la chatte de sa mère, je ne suis qu’a moitié rassuré avec Camille dans mon bungalow, pour l’instant elle chantonne, donc, tout va bien … j’astique soigneusement mon nœud encore sous l’emprise de la femme à qui j’allais en remettre un coup si cette maudite Camille n’était venue nous déranger, en même temps le père nous aurait sans doute surprit au lit ?
Tien … le silence s’est établi, que peut-elle bien mijoter, je dois sortir de la douche nu car mes vêtements sont dans la chambre, personne dans le salon … mais une surprise m’attend, au beau milieu du lit, là où Clotilde et moi avons fait des taches monstrueuses un corps nu est étalé, Camille semble dormir paisiblement dans une position impudique, sa poitrine monte et descend régulièrement, je me mets a contempler ses formes irréprochables, tien ? elle pratique le bronzage intégral ? je me demande si Clotilde est au courant car elle, a les marques du maillot, une autre chose m’intrigue, mon slip de bain est étalé sur son visage et sa main gauche repose entre ses cuisses ouvertes, dommage, ça me cache tout le mont de vénus, délicatement je prends son poignet pour la déplacer, un doigt était encore dans sa fentine, il semble mouillé… quelle odeur as-t-il ?? … muuuummmm, c’est sa sève intime …Camille s’est endormie aussitôt après avoir jouis, quel goût a-t-elle ….wouaaaaah, un véritable nectar, comme j’aimerais laper ces sécrétions … après tout lécher n’est pas pénétrer
Tel un félin je m’immisce entre ses cuisses …, les poils me chatouillent les narines je n’ai plus qu’à sortir ma langue et la faire aussi longue que possible… huuuuummmmmmmmmm, il faudrait que je sépare les lèvres avec deux doigts … la jeune fille gémit et bouge sensiblement, sa nouvelle position m’avantage, les genoux sont repliés, les cuisses retombent sur le côté, cette fois c’est vraiment indécent …, mon nez effleure le clitoris sorti de son long capuchon, ce qui prouve qu’elle s’est endormie en se caressant, prenant mon courage à deux mains je me lance, ma langue entre lentement dans cette faille gorgée de sève visqueuse, Camille soupire longuement comme si elle éprouvait un bien être immense, encouragé je lape et aspire avant de me consacrer à son clito, soudain ses fesses se soulèvent violement comme si elle avait reçu une décharge électrique, nouveau soupir qui ressemble à un long ouiiiiiiiiiiiiiii accompagné de convulsions, si ce n’est pas un orgasme c’est vraiment bien imité… ses cuisses se bloquent sur mes oreilles, impossible de me retirer, je suis bel et bien pris au piège …
- Merci Henri … continue, j’ai encore envie de jouir…
- S’il te plaît, desserre ton étreinte Camille, sinon je vais étouffer
- Remet ta langue et enfile deux doigts et je relâche mon étreinte
- Mais tu es trop jeune pour moi voyons !
- Alors pourquoi m’as-tu fais minette ?
- Tu étais si bien détendue et endormie que je n’ai pu résister
- Je ne dormais pas, je voulais tester ta résistance au plaisir
- Petite peste… adorable petite peste ! qu’as-tu fais avec mon maillot ? si j’ai bien compris tu veux que je fasse l’amour sinon tu me dénonce à ton père ?
- Même pas ! papa mérite d’être cocu et moi j’ai trop envie de me faire prendre, maman a dût en prendre plein les miches si j’en juge l’odeur de ton maillot
- Tu n’as pas trouvés de copains dans le camping ?
- J’ai passé la nuit avec une bande de ploucs tous plus camés les uns que les autres, au moment de baiser ils bandaient mou ou bien ronflaient comme des porcs, je suis à cran alors baise moi s’il te plait Henri …
- Tu te rends compte ce que tu me demande petite ?
- Ne m’appelle pas ‘petite ’j’ai des envies et des besoins de femmes, autant que maman, tu l’as prise combien de fois avec cette grosse bite ?
- Ça ne te regarde pas Camille … ne me touche pas !!
- Il est gros … et il grossit encore
- Camille …lâche moi le sexe s’il te plait
- Je ne te plais pas ?
- tu es ravissante mais pour la dernière fois, sort-d’ ici… CAMILLE …. relève-toi je t’en supplie
- Mmmmmmuuuuuuuuuuuuuummmmmmmmmmm, nnnnnnnooooooooooonnnnnn, c’est trop booooooooonnnnnnnnn !
- Recrache mon gland ….c’est un ordre …
- Voilà …
- Non, finalement reprend moi en bouche
- Tu vois ? tu apprécies mon savoir-faire !!
- Petite dévergondée je vais te faire ta fête
- Je suis prête, vient sur moi, j’ai trop envie de sentir le poids d’un vrai homme sur mon corps
- Tu n’es plus vierge ?
- Non
- Tu prends un contraceptif ?
- J’ai piqué de pilules à maman
- T’es folle ?
- T’inquiète pas, j’en prends régulièrement, et puis mes ours vont débarquer incessamment
- Pose tes jambes sur mes épaules ma chérie
- Oooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiii ! super ! enfonce-toi entièrement
- Tu es étroite …
- Pousse ! ooooooohhhhhaaaaaaahhhhhhhhoooooooouuuuuuuiiiiiiiii vas-yyyyyyyyyyyy
- Ta chatte comprime énormément ma queue, je suis au fond de ta gaine vaginale et je ne t’ai pas encore tout mis
- N’ai pas peur de me faire mal, je veux tout ! décharge dans mon con Henri chéri
- Accroche-toi à mon cou, ça va secouer
- Tant pis si je te griffe ton dos
- J’en ai vu d’autres, lâche prise je vais te faire voir des étoiles
- Oooooooooooohhhhhhhhhhhhhhh que ça fait du biiiiiiiiieeeeeeeennnnnnnnnnnnnn, encore ! encore ! encore !
- Tien-tien-tien-tien-tien-ttiiiiiieeeeeeeeennnnnnnnnnnnnnn, putainnnnn, je jjjoooooouuuuuuuiiiiiiiiiiis
- NNNNNNNOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUIIIIII !! Je sens les giclées de sperme qui gonflent mon vagin !!! ça n’arrête pas ! oooh c’est trop bon !
- A présent laisse-moi me reposer
- Déjà ? ah bon …
Persuadé que c’était fini je me suis allongé sur le dos pour reprendre ma respiration, mais ce n’est que de courte durée, Camille vient le cul tourné vers moi, frottant sa fente encore éclatée sur mon torse pour y laisser une trainée d’escargot, très vite mon gland est embouché pour lui redonner de la vigueur, je n’ai qu’à la tirer par les hanches afin de brouter ses orifices odorants, son anus boursouflé étant le plus a portée c’est à lui que je dédie ma langue, Camille se trémousse oubliant de téter mon nœud qui a repris une grosseur de fonctionnement acceptable et sa cible est suffisamment défripée
- A genoux mademoiselle
- Que veux-tu me faire ?
- tu désires toujours la même chose que j’ai faite à ta mère ?
- Oui évidemment !
- Alors ce sera une sodomie
- Aiiiieeeeee ! elle a accepté ça ?
- Tu ne vas pas te dégonfler ? c’est toi qui m’as provoqué
- Alors entre a petits coups hein ?
Conscient de la différence du contenant et de la masse à absorber j’y vais d’abord avec les doigts, la fille se détend peu à peu, lorsque j’ai introduit trois doigts aisément je la pénètre par la chatte afin de la préparer au pire, elle ronronne et se trémousse du derrière …
- Hhhhhoooooooooooo toi tu sais parler aux femmes … je suis prête Henri
- Tu es prête comme pour un sacrifice ou tu en as envie ?
- Encule-moi bordel !
Ma verge est suffisamment imprégnée de sa mouille, une fois pointée je force graduellement, par fierté Camille ne bronche pas au contraire c’est elle qui vient à moi, la barrière fatidique du gland est atteinte, impossible de faire marche arrière, son anus se contracte deux fois, c’est le moment que je choisi pour finaliser la pénétration, Camille s’affaisse en geignant
- Houlàlà mon cul !
- Ça va ?
- Ç’est différent que par la minette mais je crois que je vais aimer, qu’attends-tu pour démarrer ?
- Je vais repousser par les hanches et te ramener à moi, ceci de plus en plus vite, caresse ton clitoris, ça va t’aider à jouir
- J’ai déjà mon doigt dessus
- Alors c’est partit
Lorsque ma queue est suffisamment ressortie je laisse tomber un filet de salive afin de lubrifier les vas-et viens, ce qui forme une bague qui recule de plus en plus vers mon pubis, ma jeune maitresse m’encourage de la voix, les contractions sont de plus en plus rapprochées, je sens qu’elle est sur le point de jouir, je dois calquer mon éjaculation pour un feu d’artifice… final ? … du moins je l’espère !
Lorsqu’elle a éclaté nos hurlements ont dût ameuter le voisinage, cette fois Camille est repue, elle s’est assoupie recroquevillée en chien de fusil, ses deux trous béant continues à évacuer des sécrétions mêlées, j’en profite pour aller prendre une douche bien méritée… j’allais fermer la porte lorsque celle de l’entrée s’est ouverte ….
- Henri ! tu es là ? j’ai cru que mon con de mari ne repartirait jamais ! Camille est là ?
- Heuuuu non …
- Chouette ! alors je viens avec toi sous la douche !!!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
je n'ai qu'une chose a dire en plus que c'est un agréable récit ...: Veinard !!!
Ben agréable