Titre de l'histoire érotique : Mon fantasme réalisé
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Mon fantasme réalisé
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
J’ai rencontré cet homme sur un site de rencontre. Je voulais me sortir du quotidien, juste fantasmer, je me suis senti attirée par lui. Et un jour je lui ai demandée de faire de moi sa soumise, sa chienne. Il m’a demandé si je savais ce que ça impliquait. J’ai répondu que oui. Alors il m’a envoyé des instructions pour notre première rencontre. Il a rajouté que je pouvais à tout moment changer d’avis. Mais que cela signifierait alors la fin de nos échanges, que je n’existerai alors plus pour lui.
J’ai longuement hésité. Et je me suis retrouvé dans ce train rejoindre celui qui allait devenir mon maitre. Le seul vêtement que je porte est une robe le bas fendu sur le côté jusqu’à la ceinture. Rien de trop choquant si ce n’est qu’il a exigé que pendant mon voyage, je dévoile ma jambe en rabattant le tissu entre mes cuisses pour que l’on voie aussi mes fesses. Et que l’on devine aisément que je ne porte pas de culotte.
J’aurais pu ne pas faire sa demande, il ne l’aurait jamais su. Mais j’étais déjà sous son emprise, je ne pouvais pas refuser, je ne voulais pas le décevoir. Le haut de la robe était inexistant pour ainsi dire juste deux triangles de tissu. Autant dire que mes seins étaient presque entièrement dévoilés. L’étoffe était de plus très moulante et l’on devinait facilement mes tétons.
Comme il l’avait prévu, je me suis fait accoster. L’homme m’a simplement demandé mes tarifs. Comme prévu j’ai répondu que je n’étais pas disponible, que j’allais chez un client. Puis je lui ai tendu ma carte, expliquant mes prestations. Ce qui devait faire de moi une catin de luxe prête à tout pour de l’argent.
J’avais honte, mais je ne voulais pas décevoir mon maitre. L’homme du train a insisté, alors j’ai accepté de lui tailler une pipe dans les toilettes. Mais bien sûr il a voulu plus, et, comme prévu, par mon maitre je lui ai donné plus. Il a éjaculé trois fois en tout, il devait vraiment être en manque.
Une fois arrivée à destination je suis descendu du train. Je m’étais nettoyé le visage, remaquillé et avait même bu quelque chose pour enlever le goût de son sperme de ma bouche. Je devais être parfaite pour lui. Il m’attendait dans sa voiture. Je me suis assise à côté de lui, rougissante. Il ne m’a pas salué et m’a juste dit :
- Alors ! Tu t’es bien faîte baisé ?
J’ai hoché la tête. Je pleurai de honte. Il a démarré en me disant :
- C’est bien. On est entre nous, montre-moi ta chatte.
J’ai poussé le pan de ma robe pour dévoiler mon intimité. Il a jeté un œil :
- Qu’est-ce que tu as fait exactement ?
Ma voix était hésitante, j’avais du mal à ne pas pleurer. Mais je ne devais pas. J’ai commencé à lui raconter :
- D’abord je l’ai sucé et j’ai bu son sperme. Ensuite, il a voulu que je le masturbe un peu. J’ai accepté et il a vite repris de la vigueur. Il a insisté pour me prendre, et de me payer plus que mon tarif. J’ai cherché des excuses. Je lui ai dit que je n’avais pas de préservatifs. Il en a sorti un. Alors j’ai acceptée.
- Brave petite. Il t’a sodomisée ?
- Non ! Je lui ai dit que mon client voulait que mon cul soit vierge pour lui.
- Je me doutais que t’étais une bourgeoise coincée du cul, tu sais. Je parie que tu n’avais jamais avalé avant non plus. Ne t’inquiète pas, bientôt tu ne seras plus coincée du tout.
J’avais honte ! J’ai murmurée pour moi-même : - « Je suis vraiment une traînée, une salope». Il m’a entendu. Il m’a dit :
- Je t’interdis de dire, ou de penser ça. Tu n’es pas une salope. Tu es une traînée, une pute, oui. Mais pas n’importe laquelle. Tu es Ma pute, compris ?
Il m’hypnotisait, j’étais sienne. Il m’a dit de continuer mon récit. Je lui ai raconté qu’après l’homme s’était reposé un peu mais qu’il était revenu une troisième fois. Il voulait me couvrir le visage de sperme, ça l’excitait. J’ai accepté et nous sommes retournés aux toilettes.
Dans le train ! Tout le monde me regardait. D’autant que nous n’avions pas été très discrets lors de notre discussion. Il me fallait accomplir mon devoir. Alors je l’ai sucé et il m’a juté au visage.
Mon récit fini je me suis tue. Il est resté silencieux puis il a simplement dit :
- C’était la première fois que tu te faisais juter au visage ? Alors tu as pris ton pied je suis sûr ?
- Non ! Pas vraiment !
- Tu devrais. Une bonne pute le ferait. Tu as simulée au moins ?
- Oui, bien sûr.
- Et tu n’as pas pris ton pied ?
- Non, mais ! J’ai mouillé quand il m’a prise la deuxième fois.
Il m’a regardé. Je n’osais pas lever la tête. Il a dit :
- Bon ! C’est bien ! C’est un bon début.
Je n’ai rien dit. Nous avons continué à rouler. Il a tendu sa main. Je lui ai donné l’argent que j’avais gagné en me prostituant dans le train. Il a compté, un œil sur la route. Puis il a dit :
- Bien… Très bien. Tu es une bonne pute.
Puis il a rangé les billets et m’a doigté distraitement la chatte en conduisant d’une main. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai joui. J’étais atrocement honteuse, j’avais mouillé le siège de sa voiture. Mais je me sentais si heureuse…
Lorsque nous sommes arrivés, il m’a guidée chez lui. Nous nous sommes assis au salon et nous avons discuté en prenant l’apéritif. C’était très étrange. J’étais tendue. Je savais que j’allais me faire baiser, comme une chienne. Mais il semblait agir comme si ça n’avait pas été prévu. A un moment il s’est levé, probablement pour aller chercher à boire. Avant que je ne comprenne il était à côté de moi et sortait son sexe. J’ai levé les yeux et il s’est mis à m’uriner dessus. J’ai eu un mouvement de recul. Mais il s’est avancé.
Alors je lui ai offert mon visage. Mon calvaire volontaire avait commencé. J’ai ressenti ça comme une délivrance. Je n’ai même pas hésité quand il m’a demandé d’ouvrir la bouche, de lui nettoyer le gland quand il a eu fini. Nous avons échangé un regard. Il m’a giflé et a hurlé :
- Espèce de truie ! A cause de ton hésitation j’en ai foutu sur la moquette et le fauteuil ! Bonne à rien ! Maintenant tu vas nettoyer.
Il est parti me laissant pantelante par terre. Quand il est revenu il m’a jeté un seau et une serpillière :
- Allez, lave.
Pendant que je laver, il m’a ôté ma ceinture, puis ma robe. Il m’a claqué les fesses plusieurs fois puis il les a écartées. Je savais qu’il scrutait mon anus et j’ai rougi de honte. Il a murmuré :
- Toi, tu vas te faire enculer, ma belle.
Je ne me suis pas révoltée. Puis une phrase m’a échappée, comme une envie subite :
- Bien sûr. Et j’espère que ce ne sera pas tout !
- Oh non, ce ne sera pas tout ! Tu auras plus. Bien plus que tu n’aurais voulu.
J’ai frissonné mais j’ai continué à nettoyer. Il est parti. Quand il est revenu il avait des menottes de cuir, une laisse, un bâillon, un foulard, il me les a montré et a dit :
- Tu vois tout ça ? C’est pour toi.
- Merci.
Il est resté pensif quelques instants et me dit :
- Mais j’ai envie de faire un petit jeu d’abord ! Tu vas faire comme si tu avais ces liens, mais je ne te les mettrais pas.
- D’accord.
- Bien. Imagine que tu as les yeux bandés.
J’ai fermé les yeux. Il a continué :
- Imagine maintenant, que je vais te bâillonner. N’oublie pas qu’il y a une boule pour garder ta mâchoire ouverte.
J’ouvre la bouche. J’ai rapidement la gorge sèche, il ajoute :
- Je viens de t’attacher les poignets dans les dos. Et tes chevilles aussi.
Je place mes mains dans mon dos, colle mes chevilles ensemble. Il me pousse alors en avant, je tombe. Je me retiens d’utiliser mes bras, d’ouvrir les yeux. Je percute le sol dans un bruit sourd. Un cri m’échappe. Il tempête :
- Et ton bâillon ? Tu te crois où ? Tu ne peux pas crier.
Je veux m’excuser mais me rappelle le bâillon et reste la bouche ouverte. Il me tire par les cheveux et me mets sur le dos. Je reste les yeux fermés et la bouche ouverte. Je me tortille sans jamais oublier que mes poignets et mes chevilles sont liés. Il se calme, me remet face au sol, m’ordonne de lever mon cul vers lui. Il le claque. Puis il le saisit à pleine main et enfourne son sexe profondément en moi.
J’ai mal. Mais je ne peux hurler. Je pousse des cris étouffés par ma mâchoire immobile, ma gorge sèche. Cela lui plait, il me prend plus fort. Enfin il me libère de mon bâillon. Je m’autorise alors à hurler, ça l’excite, je le sais. Il glisse sa main sur ma chatte et murmure :
- Mais c’est que tu es trempée. Tu aimes vraiment ça, cochonne.
Il a raison. J’en ai honte mais j’aime ça, et même ça me fait jouir. Il m’humilie et j’adore ça. Il dit en sortant sa verge de mon anus :
- Met-toi sur le dos. Tu n’as plus les yeux bandés.
Je suis sur le dos, je regarde alors son sexe. C’est la première fois que je le vois en érection. Il est beau. J’ai envie de le sucer. Mais il ne me l’a pas demandé. Alors j’attends. Il se branle et me couvre de sperme. La sonnette retentit. Il sourit et se dirige vers l’entrée sans même ranger sa queue et me lance :
- Va te laver un peu, tu sens le sperme et l’urine. Viens nous rejoindre dès que tu as fini.
Je suis allée me laver, comme il me l’avait demandé. Je me suis même remaquillée, pas par coquetterie, mais parce que je savais que voir mon maquillage couler l’excitait. Je voulais qu’il soit excité. Qu’il me batte, qu’il me viole. Puis je suis allé dans l’entrée. Son ami discutait avec lui. Leurs deux queues étaient sorties. Il m’a demandé de le saluer. J’ai obéi et j’ai commencé à lui tailler une pipe en guise de bonjour. Son ami a ri :
- En voilà une sacrée salope ! On lui demande juste de dire bonjour et elle vous taille une pipe !
- Oui, mais elle pourrait faire mieux. Par exemple ne pas s’agenouiller. Cela offrirait plus de possibilité.
Ce n’était pas un ordre mais j’ai obéi. J’ai gardé le sexe de son ami en bouche et me suis redressé. J’étais penché en avant et mon cul l’appelait. Il m’a écarté les fesses et doigter l’anus en disant :
- Tu sais que je n’ai pas encore eu droit à sa chatte ? Elle l’a pourtant offerte à un inconnu dans le train.
- Oh, vraiment ? C’est une belle cochonne !
- Une cochonne ! Non, une pute. Elle lui a tiré du pognon en échange.
Son ami a ri, il s’en fichait, du moment que je le suçais.
- Une belle pute alors. Elle doit bien gagner sa vie. On ne devra pas la payer aujourd’hui au moins ?
- Non, elle veut juste être ma chienne. Ca la change de ses clients.
- Ok. C’est quand même une cochonne alors.
Ils ont ricané. J’étais rouge de honte. Mais je continuais à sucer consciencieusement. Son ami lui a demandé :
- Tu vas lui prendre sa petite chatte alors ?
- Non, j’ai tout mon temps.
Il m’a aussitôt empalé. J’ai étouffé un cri, sucé plus fort pour oublier la douleur. Son ami a eu l’air d’aimer :
- Putain, elle aime la bite !
- Et oui !
- Même la douleur ne l’arrête pas.
Je les entendais avec horreur discuter comme si je n’étais pas là. Et moi je ne réagissais pas, tout ce que je trouvais à faire c’est sucer son ami plus fort. Mon maitre m’a donné un grand coup de bite dans le cul puis a rigolé. Il m’a attrapé par les cheveux, m’a redressé et m’a murmuré :
- Rappelle-toi que c’est toi qui décide ! Tu peux arrêter à tout moment.
Je n’ai rien répondu. Il m’a relâchée et je suis retourné sucer la verge de son ami.
Je continue à sucer son ami alors que mon Maître fait claquer ses hanches sur mes fesses. Enfin je sens le sperme couler dans ma bouche. J’aspire fort, avale goulûment. L’ami de mon Maître m’offrait sa semence et je me devais de l’avaler. Enfin la verge sort de ma bouche. Je pousse un soupir de dépit malgré moi. Mon Maître me plaque alors contre le mur et m’encule violemment. Puis il s’arrête, maintenant ma tête contre le mur. Je tente de le regarder et demande :
- Maitre ! Vous ne me violez plus le cul ? Je vous ai déplu ?
Il ne répond pas. Il me tire vers le bas. Je m’agenouille. Sa queue est si près. Je tends le cou, tire la langue. En vain, il retient ma tête. Son ami ricane :
- Quelle affamée ! Elle aime la bite !
Je parviens à lécher son gland du bout de la langue. Puis je réponds :
- Je n’aime que la queue de mon Maître. Les autres m’indiffèrent.
- Ah oui ? Tu m’as bien sucé pourtant !
- Bien sûr ! Mon Maître m’offre une nouvelle queue. Je me dois de la traiter comme si c’était la sienne !
Il pousse un sifflement d’admiration :
- Eh bé… Tu l’as bien dressée !
Mon Maître n’a pas dit à son copain que mon dressage ne faisait que commencer. Nos regards se croisent et suis heureuse d’y lire son plaisir. Je mouille terriblement, je veux me toucher mais il m’arrête, mes jambes tremblent, je suis au bord de jouir. Puis il enfourne son sexe entre mes lèvres et je le suce avidement. Il me force à l’avaler, m’étouffe. Mais je m’en fiche, je lèche comme si c’était un délicieux cadeau. Je savoure le goût particulier de sa queue, c’est si bon.
Je rougis vivement en réalisant que ce goût dont je me délecte est celui de mon cul, de ma merde. Mais je ne peux m’empêcher de continuer. Je pousse des petits couinements de plaisir. Il sort son sexe. Je l’accompagne de la langue, retardant le moment où je n’aurais plus son membre en bouche. Puis il ordonne d’un ton sec :
- Tes seins.
Il n’a pas besoin d’en dire plus. Je saisis ma poitrine, la presse, caresse son sexe avec. Les tétons frottent le dessous de son gland. Il se masturbe et jute dessus. Je les masse, savourant la sensation du liquide gluant entre eux. Puis j’enfourne son sexe dans le val de ma poitrine en le regardant. Il sourit et me fait sucer ses doigts. Je ferme les yeux et soupire. Il dit à son ami :
- Va au salon et sers-toi un verre de whisky. Ramène la bouteille après.
- Ok.
Puis il s’adresse à moi avec douceur :
- Tu vas jouir, salope.
Je lui suce le gland puis j’arrête de le branler et lèche son membre maintenant recouvert de sa délicieuse semence. Son ami ne tarde pas à revenir. Il tend la bouteille à mon Maître. Il boit au goulot avant de me dire :
- En position, chienne.
Je me mets en levrette, instinctivement. Je sens le verre froid contre mon anus. Il pousse et la bouteille me pénètre. Je hurle de douleur. Puis il pousse à nouveau et je m’effondre au sol, anéantie. Je jouis comme rarement j’ai joui. Des larmes de honte coulent sur mes joues. Il vient de me faire jouir avec un goulot de bouteille. Juste en m’enculant et en enfonçant cette bouteille. Ma chatte est encore vierge de son sexe. Elle coule pourtant, dégouline de mouille. Je suis sienne et j’ai honte. Il fait rentrer et sortir la bouteille et je gémis. Puis il la ressort et me fait boire le fond de la bouteille. A nouveau le goût de mon cul sur mes lèvres. Il souhaite que je goûte mon cul. Alors je ne peux qu’aimer ça.
Je reste ainsi un moment, le visage collé au sol, le cul dressé. Il a planté à nouveau la bouteille et je resserre mon anus pour ne pas qu’elle tombe. Ils ne sont même plus là. Ils discutent au salon. Puis ils reviennent. Ils me font relever.
A nouveau je dois serrer les fesses pour ne pas perdre la bouteille que mon Maître m’a offerte. Ils me bandent les yeux, me fixent un collier et une laisse en discutant tranquillement. Ils attachent ensuite mes poignets derrière ma nuque, les fixant au collier.
Mon Maître ressort la bouteille. Il la fait glisser sur mon corps. Je sens le goulot jouer avec mes lèvres intimes. Je manque de jouir à nouveau, me mord les lèvres en retenant un grand cri de jouissance. C’est la première fois qu’il honore mon intimité. Avec une bouteille, certes. Mais c’est lui qui l’a planté. Pas son ami.
Je suis heureuse, je voudrais le remercier mais je sais qu’il me veut silencieuse. Je mouille dans la bouteille. Son ami appuie sur ma vessie en murmurant :
- Laisse-toi aller !
J’urine alors, cela coule sur mes cuisses. Je devrais avoir honte. Mais je n’y arrive pas. Puis il me fait boire. Je me délecte du nectar qui coule sur mes lèvres. Je n’arrive pas à trouver cela mauvais. J’en voudrais plus, toujours plus. Il vide le reste de la bouteille sur mon corps. Odeur d’alcool, d’urine. Il me murmure :
- Petite souillon !
Je retiens ma respiration. Va-t-il se fâcher ? Me renier car je suis trop sale pour lui ? Mais il me tire juste par ma laisse en disant :
- On va te laver, tu en as bien besoin !
Je me mets à pleurer. De joie. De soulagement. Son ami demande :
- Pourquoi maintenant elle chiale, cette conne ?
- Parce qu’elle est mienne. Ca la rend heureuse.
Il n’a même pas eu besoin de me demander. De toute façon mon avis ne compte pas. Si il s’était trompé j’aurais simplement changé de raison pour pleurer. Mais il ne pouvait pas se tromper. Pas lui. Pas mon Maître. Son ami parait impressionné. Il murmure à nouveau :
- Vraiment bien dressée.
Je ris intérieurement. Il n’a pas eu besoin de me dresser. Juste accepter que je sois à lui. Il aurait été insultant qu’il eut à faire des efforts pour me faire sienne. Je sentis l’air frais sur ma peau nue. Nous devions être dehors. Je crains un instant d’être en pleine rue livrée au regard. Je commençais à paniquer, voulus fuir. Puis je me rappelais que j’étais à lui. Que seul lui pouvait décider ce qui était humiliant ou non pour moi. Mais je m’étais arrêtée. Il gronda :
- Un problème ?
- Non, non, je suis désolée, Maître. Aucun souci.
Il me gifla et cria :
- Ne me mens jamais ou je te renie !
Je me remis à pleurer. Pas pour les mêmes raisons. Il était fier de moi et je venais de tout gâcher. Je tombais à genoux, malgré l’étranglement du collier et tenta de me pencher en avant pour lui lécher les chaussures en suppliant :
- Pardon, Maître ! Pardonnez à votre chienne ! Je ne voulais pas ! Pardonnez-moi !
Il a dégagé son pied, donné un coup sec sur la laisse et m’a tiré à nouveau sans répondre. Je reniflais comme une gamine en le suivant. Puis il me laissa debout. Je ne savais même pas ou. Un jet d’eau glacé interrompit mes pensées. Je fis un bond en arrière. Il grogna :
- Reste en place, et tourne sur toi même qu’on puisse te laver bien partout.
Je bafouillais :
- Ou… Oui, Maître. Pardon.
- Arrête de t’excuser et obéis, tu me gonfles.
Je m’apprêtais à m’excuser de nouveau mais refermais la bouche. Comment pouvais-je être aussi stupide ? Soit il ne voulait plus de moi et mes suppliques ne serviraient à rien. Soit il voulait encore de moi et mes excuses ne feraient que l’importuner. Quelle imbécile ! J’avais honte à nouveau. Mais honte de ne pas être à la hauteur de ses attentes, de le décevoir par mon attitude. J’offrais alors mon corps au jet, je savourais ces caresses indirectes.
Enfin le jet s’interrompit. J’attendais frémissante. Soudain ses doigts sur moi. Je tressaillis. Peut-être était-ce ceux de son ami ? Non, j’étais sûre du contraire. Je me surpris à reconnaître des détails infimes de sa morphologie. Puis je sentis un tube de plastique dans ma chatte. Il dit :
- Ouvre l’arrivée d’eau.
Ma chatte se remplit. Je sentis mon ventre se tendre. Puis le jet s’arrêta. Il pinça les lèvres de mon intimité. De l’eau coulait malgré tout. Il susurra :
- Essaie d’en garder le maximum, ma chienne.
Puis il glissa le tube dans mon anus. Je fus remplie à nouveau. J’avais mal et j’étais nauséeuse, il ressortit le tube. Je serrer les fesses, anticipant son ordre. Enfin une petite phrase, il me dit :
- Lâche tout.
Sa main quitta mon sexe et je me vidais sur le sol. A nouveau la honte me prit. J’étais sûre qu’il n’y avait pas que de l’eau qui giclait de mes orifices.
- Et bien ! Ma cochonne ! Ça en avait bien besoin. Dire que j’ai foutu mon sexe la dedans !
J’ai rougi, gênée d’avoir ainsi souillé son magnifique sexe. Mais il me rassura en ajoutant :
- Heureusement tu l’as bien nettoyé, petit aspirateur à bite !
Puis il me claqua la fesse et m’essuya la chatte et le cul avec une vieille serpillère. Il m’entraîna alors sur du gazon. Il me fit agenouiller et je suçais leurs deux queues avec délice. Puis je sentis qu’il s’allongeait alors que son ami pilonnait ma gorge. J’étais follement excitée, il allait me prendre ! Il me prit par la taille et m’attira à lui. Je sentis son gland sur mes lèvres intimes. Je me mis à mouiller abondamment. Il allait me prendre la chatte, enfin.
Le dernier trou qu’il n’avait pas conquis. Il s’enfonça et je jouis sur le coup. Je restais la bouche béante alors qu’il profitait de mon corps en massant mes seins et me limant. Son ami saisit mon visage et profita de ma bouche ouverte pour enfourner sa verge. Je me remis à sucer, aspirant, léchant. Enfin il ressortit et se dirigea vers mes fesses. Il les claqua en demandant :
- Alors, ma pute, tu penses que ça va rentrer ?
- Non. Je ne suis pas habituée.
- Ah ? Tu veux dire que je ne vais pas pouvoir de te baiser le cul en même temps qu’il te lime ?
- Bien sûr que si ! Ca ne rentrera pas. Mais vous n’aurez qu’à forcer.
- Oh. ca va te faire mal, non ?
- Bien sûr, et je vais jouir, comme une salope.
Il claqua à nouveau mes fesses et dit joyeusement :
- Bien ! On y mettra d’autres choses alors !
Je ne compris pas ce qu’il voulait dire mais je n’eus pas le temps d’y réfléchir, il pénétra mon anus. Je m’effondrais sur mon Maître. Il me releva la tête en m’étranglant. Mon corps ballotait sous leurs assauts. Il gueula :
- Eh ! Tu ne tombes pas dans les pommes sans mon autorisation, ok ?
Je luttais contre l’engourdissement qui saisissait mon corps endolori. Je me mordis la langue, espérant rester consciente. Il me gifla et cela me réveilla. J’étais si contente, il prenait la peine de m’aider. Un sexe se frotta sur ma joue et je le pris en bouche. Puis on prit ma main et le posa sur un autre que je commençais alors à branler méthodiquement.
Je ne réalisais pas tout de suite. L’arrivée d’une autre queue sur ma joue me fit enfin prendre consciente qu’ils n’étaient pas deux, mais bien plus. Je pris peur : allais-je être privée du sexe de mon Maître ? Je me mis à pleurer en suçant avec l’énergie du désespoir.
Ils me firent tourner sur moi-même. Mon Maître me limait maintenant à nouveau l’anus. Son ami se pencha sur moi entrainant son sexe loin dans ma chatte, la déformant vers le haut. On me forçait à avaler profondément une queue en en branlant deux autres. Il eut du mal à entrer et ne s’enfonça guère loin mais cela suffit à m’arracher des cris de douleur étouffés, cela excita mes compagnons et ils me prirent plus vigoureusement.
Le moment que je craignais arriva enfin, mon cul s’emplit de sperme. Mon Maître allait m’abandonner. Mon seul espoir était d’être assez salope pour rapidement l’exciter de nouveau. Son ami ne tarda pas non plus, son sperme coulant sur mon ventre alors qu’il giclait sur mon corps. D’autres verges vinrent les remplacer. Je me fis aussi pute que je pus, aussi affamée qu’il me parut possible. Je gémissais mon plaisir. Très vite je n’eus même plus à simuler. La simple violence de leur assaut et l’idée du plaisir que mon maître devait ressentir me guidant vers des orgasmes répétés.
Chaque fois que mon Maître me prenait je le reconnaissais. Ses mains, sa langue, son sexe. J’y accordais une attention particulière, jouissais plus qu’avec les autres. Je me devais d’apprécier tous ces sexes puisqu’il me les offrait. Mais jamais autant que le sien.
J’étais fourbue mais heureuse. Un peu déçue aussi. J’aurais voulu que toutes ces queues soient la sienne. Et qu’il me prenne jusqu’à l’inconscience. Je rougis en me réprimandant intérieurement de penser que sa verge ne suffirait pas à mon bonheur. J’étais trop épuisée pour avoir honte maintenant. Ils me firent lever et je fus aussi étonnée qu’eux lorsque mes jambes cédèrent. Ils ricanèrent :
- On l’a bien défoncée, la salope ! Regarde dans quel état on l’a mise !
- Ouais, je parie qu’elle a la chatte sèche d’avoir trop mouillé !
- Et son cul ? Il doit être aussi dilaté qu’un tunnel !
- Tu parles ! On pourrait y faire entrer un TGV !
- Et en plus lubrifié par son sang.
Ils éclatèrent de rire. L’un d’eux me porta dans ses bras et je me mis à pleurer. Il grogna :
- Qu’est-ce qu’elle a cette gonzesse ? Elle a joui comme une malade et maintenant elle fait genre qu’elle est outrée ?
- Pose-la à terre, tu vas comprendre.
La voix de mon Maître. Comme un baume sur mon corps meurtri. Il vint et me prit dans ses bras. Il avait tout de suite compris. Les autres jouaient avec mon corps, me mettaient des doigts mais je m’en fichais. J’étais dans ses bras. Contre son torse. Je fermais les yeux et perdis conscience.
Je me réveillais la tête dans le coton. J’avais du mal à respirer et je voulus tousser mais des mains me tinrent fermement la tête. Je compris alors que j’avais une verge en bouche et entrepris de faire mon travail, la sucer. Des mains me caressaient. J’étais allongée sur le divan. Les hommes discutaient tranquillement et profitaient de mon corps. L’homme que je suçais dit :
- Ah ! Notre poupée gonflable se réveille enfin !
Les hommes commencèrent alors à s’agglutiner autour de moi. J’avais toujours les yeux bandés et je cherchais à tâtons un sexe à branler. Je ne tardais pas à en trouver un. Je fus un peu déçue que ce ne soit pas la sienne. Un deuxième sexe força l’entrée de ma bouche. Je suçais comme je pouvais. Je sentis un homme monter sur le divan. J’écartais les cuisses pour l’accueillir. Il me prit doucement. C’était lui, je le savais. J’avalais les deux verges profondément et jouis au son de sa voix me câlinant en me traitant de sale pute.
Maintenant libre, remerciant celui qui fut mon maître, sans regret, j’ai réalisé mon fantasme : celui d’être une femme soumise ! Pire qu’une pute.
J’ai rencontré cet homme sur un site de rencontre. Je voulais me sortir du quotidien, juste fantasmer, je me suis senti attirée par lui. Et un jour je lui ai demandée de faire de moi sa soumise, sa chienne. Il m’a demandé si je savais ce que ça impliquait. J’ai répondu que oui. Alors il m’a envoyé des instructions pour notre première rencontre. Il a rajouté que je pouvais à tout moment changer d’avis. Mais que cela signifierait alors la fin de nos échanges, que je n’existerai alors plus pour lui.
J’ai longuement hésité. Et je me suis retrouvé dans ce train rejoindre celui qui allait devenir mon maitre. Le seul vêtement que je porte est une robe le bas fendu sur le côté jusqu’à la ceinture. Rien de trop choquant si ce n’est qu’il a exigé que pendant mon voyage, je dévoile ma jambe en rabattant le tissu entre mes cuisses pour que l’on voie aussi mes fesses. Et que l’on devine aisément que je ne porte pas de culotte.
J’aurais pu ne pas faire sa demande, il ne l’aurait jamais su. Mais j’étais déjà sous son emprise, je ne pouvais pas refuser, je ne voulais pas le décevoir. Le haut de la robe était inexistant pour ainsi dire juste deux triangles de tissu. Autant dire que mes seins étaient presque entièrement dévoilés. L’étoffe était de plus très moulante et l’on devinait facilement mes tétons.
Comme il l’avait prévu, je me suis fait accoster. L’homme m’a simplement demandé mes tarifs. Comme prévu j’ai répondu que je n’étais pas disponible, que j’allais chez un client. Puis je lui ai tendu ma carte, expliquant mes prestations. Ce qui devait faire de moi une catin de luxe prête à tout pour de l’argent.
J’avais honte, mais je ne voulais pas décevoir mon maitre. L’homme du train a insisté, alors j’ai accepté de lui tailler une pipe dans les toilettes. Mais bien sûr il a voulu plus, et, comme prévu, par mon maitre je lui ai donné plus. Il a éjaculé trois fois en tout, il devait vraiment être en manque.
Une fois arrivée à destination je suis descendu du train. Je m’étais nettoyé le visage, remaquillé et avait même bu quelque chose pour enlever le goût de son sperme de ma bouche. Je devais être parfaite pour lui. Il m’attendait dans sa voiture. Je me suis assise à côté de lui, rougissante. Il ne m’a pas salué et m’a juste dit :
- Alors ! Tu t’es bien faîte baisé ?
J’ai hoché la tête. Je pleurai de honte. Il a démarré en me disant :
- C’est bien. On est entre nous, montre-moi ta chatte.
J’ai poussé le pan de ma robe pour dévoiler mon intimité. Il a jeté un œil :
- Qu’est-ce que tu as fait exactement ?
Ma voix était hésitante, j’avais du mal à ne pas pleurer. Mais je ne devais pas. J’ai commencé à lui raconter :
- D’abord je l’ai sucé et j’ai bu son sperme. Ensuite, il a voulu que je le masturbe un peu. J’ai accepté et il a vite repris de la vigueur. Il a insisté pour me prendre, et de me payer plus que mon tarif. J’ai cherché des excuses. Je lui ai dit que je n’avais pas de préservatifs. Il en a sorti un. Alors j’ai acceptée.
- Brave petite. Il t’a sodomisée ?
- Non ! Je lui ai dit que mon client voulait que mon cul soit vierge pour lui.
- Je me doutais que t’étais une bourgeoise coincée du cul, tu sais. Je parie que tu n’avais jamais avalé avant non plus. Ne t’inquiète pas, bientôt tu ne seras plus coincée du tout.
J’avais honte ! J’ai murmurée pour moi-même : - « Je suis vraiment une traînée, une salope». Il m’a entendu. Il m’a dit :
- Je t’interdis de dire, ou de penser ça. Tu n’es pas une salope. Tu es une traînée, une pute, oui. Mais pas n’importe laquelle. Tu es Ma pute, compris ?
Il m’hypnotisait, j’étais sienne. Il m’a dit de continuer mon récit. Je lui ai raconté qu’après l’homme s’était reposé un peu mais qu’il était revenu une troisième fois. Il voulait me couvrir le visage de sperme, ça l’excitait. J’ai accepté et nous sommes retournés aux toilettes.
Dans le train ! Tout le monde me regardait. D’autant que nous n’avions pas été très discrets lors de notre discussion. Il me fallait accomplir mon devoir. Alors je l’ai sucé et il m’a juté au visage.
Mon récit fini je me suis tue. Il est resté silencieux puis il a simplement dit :
- C’était la première fois que tu te faisais juter au visage ? Alors tu as pris ton pied je suis sûr ?
- Non ! Pas vraiment !
- Tu devrais. Une bonne pute le ferait. Tu as simulée au moins ?
- Oui, bien sûr.
- Et tu n’as pas pris ton pied ?
- Non, mais ! J’ai mouillé quand il m’a prise la deuxième fois.
Il m’a regardé. Je n’osais pas lever la tête. Il a dit :
- Bon ! C’est bien ! C’est un bon début.
Je n’ai rien dit. Nous avons continué à rouler. Il a tendu sa main. Je lui ai donné l’argent que j’avais gagné en me prostituant dans le train. Il a compté, un œil sur la route. Puis il a dit :
- Bien… Très bien. Tu es une bonne pute.
Puis il a rangé les billets et m’a doigté distraitement la chatte en conduisant d’une main. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai joui. J’étais atrocement honteuse, j’avais mouillé le siège de sa voiture. Mais je me sentais si heureuse…
Lorsque nous sommes arrivés, il m’a guidée chez lui. Nous nous sommes assis au salon et nous avons discuté en prenant l’apéritif. C’était très étrange. J’étais tendue. Je savais que j’allais me faire baiser, comme une chienne. Mais il semblait agir comme si ça n’avait pas été prévu. A un moment il s’est levé, probablement pour aller chercher à boire. Avant que je ne comprenne il était à côté de moi et sortait son sexe. J’ai levé les yeux et il s’est mis à m’uriner dessus. J’ai eu un mouvement de recul. Mais il s’est avancé.
Alors je lui ai offert mon visage. Mon calvaire volontaire avait commencé. J’ai ressenti ça comme une délivrance. Je n’ai même pas hésité quand il m’a demandé d’ouvrir la bouche, de lui nettoyer le gland quand il a eu fini. Nous avons échangé un regard. Il m’a giflé et a hurlé :
- Espèce de truie ! A cause de ton hésitation j’en ai foutu sur la moquette et le fauteuil ! Bonne à rien ! Maintenant tu vas nettoyer.
Il est parti me laissant pantelante par terre. Quand il est revenu il m’a jeté un seau et une serpillière :
- Allez, lave.
Pendant que je laver, il m’a ôté ma ceinture, puis ma robe. Il m’a claqué les fesses plusieurs fois puis il les a écartées. Je savais qu’il scrutait mon anus et j’ai rougi de honte. Il a murmuré :
- Toi, tu vas te faire enculer, ma belle.
Je ne me suis pas révoltée. Puis une phrase m’a échappée, comme une envie subite :
- Bien sûr. Et j’espère que ce ne sera pas tout !
- Oh non, ce ne sera pas tout ! Tu auras plus. Bien plus que tu n’aurais voulu.
J’ai frissonné mais j’ai continué à nettoyer. Il est parti. Quand il est revenu il avait des menottes de cuir, une laisse, un bâillon, un foulard, il me les a montré et a dit :
- Tu vois tout ça ? C’est pour toi.
- Merci.
Il est resté pensif quelques instants et me dit :
- Mais j’ai envie de faire un petit jeu d’abord ! Tu vas faire comme si tu avais ces liens, mais je ne te les mettrais pas.
- D’accord.
- Bien. Imagine que tu as les yeux bandés.
J’ai fermé les yeux. Il a continué :
- Imagine maintenant, que je vais te bâillonner. N’oublie pas qu’il y a une boule pour garder ta mâchoire ouverte.
J’ouvre la bouche. J’ai rapidement la gorge sèche, il ajoute :
- Je viens de t’attacher les poignets dans les dos. Et tes chevilles aussi.
Je place mes mains dans mon dos, colle mes chevilles ensemble. Il me pousse alors en avant, je tombe. Je me retiens d’utiliser mes bras, d’ouvrir les yeux. Je percute le sol dans un bruit sourd. Un cri m’échappe. Il tempête :
- Et ton bâillon ? Tu te crois où ? Tu ne peux pas crier.
Je veux m’excuser mais me rappelle le bâillon et reste la bouche ouverte. Il me tire par les cheveux et me mets sur le dos. Je reste les yeux fermés et la bouche ouverte. Je me tortille sans jamais oublier que mes poignets et mes chevilles sont liés. Il se calme, me remet face au sol, m’ordonne de lever mon cul vers lui. Il le claque. Puis il le saisit à pleine main et enfourne son sexe profondément en moi.
J’ai mal. Mais je ne peux hurler. Je pousse des cris étouffés par ma mâchoire immobile, ma gorge sèche. Cela lui plait, il me prend plus fort. Enfin il me libère de mon bâillon. Je m’autorise alors à hurler, ça l’excite, je le sais. Il glisse sa main sur ma chatte et murmure :
- Mais c’est que tu es trempée. Tu aimes vraiment ça, cochonne.
Il a raison. J’en ai honte mais j’aime ça, et même ça me fait jouir. Il m’humilie et j’adore ça. Il dit en sortant sa verge de mon anus :
- Met-toi sur le dos. Tu n’as plus les yeux bandés.
Je suis sur le dos, je regarde alors son sexe. C’est la première fois que je le vois en érection. Il est beau. J’ai envie de le sucer. Mais il ne me l’a pas demandé. Alors j’attends. Il se branle et me couvre de sperme. La sonnette retentit. Il sourit et se dirige vers l’entrée sans même ranger sa queue et me lance :
- Va te laver un peu, tu sens le sperme et l’urine. Viens nous rejoindre dès que tu as fini.
Je suis allée me laver, comme il me l’avait demandé. Je me suis même remaquillée, pas par coquetterie, mais parce que je savais que voir mon maquillage couler l’excitait. Je voulais qu’il soit excité. Qu’il me batte, qu’il me viole. Puis je suis allé dans l’entrée. Son ami discutait avec lui. Leurs deux queues étaient sorties. Il m’a demandé de le saluer. J’ai obéi et j’ai commencé à lui tailler une pipe en guise de bonjour. Son ami a ri :
- En voilà une sacrée salope ! On lui demande juste de dire bonjour et elle vous taille une pipe !
- Oui, mais elle pourrait faire mieux. Par exemple ne pas s’agenouiller. Cela offrirait plus de possibilité.
Ce n’était pas un ordre mais j’ai obéi. J’ai gardé le sexe de son ami en bouche et me suis redressé. J’étais penché en avant et mon cul l’appelait. Il m’a écarté les fesses et doigter l’anus en disant :
- Tu sais que je n’ai pas encore eu droit à sa chatte ? Elle l’a pourtant offerte à un inconnu dans le train.
- Oh, vraiment ? C’est une belle cochonne !
- Une cochonne ! Non, une pute. Elle lui a tiré du pognon en échange.
Son ami a ri, il s’en fichait, du moment que je le suçais.
- Une belle pute alors. Elle doit bien gagner sa vie. On ne devra pas la payer aujourd’hui au moins ?
- Non, elle veut juste être ma chienne. Ca la change de ses clients.
- Ok. C’est quand même une cochonne alors.
Ils ont ricané. J’étais rouge de honte. Mais je continuais à sucer consciencieusement. Son ami lui a demandé :
- Tu vas lui prendre sa petite chatte alors ?
- Non, j’ai tout mon temps.
Il m’a aussitôt empalé. J’ai étouffé un cri, sucé plus fort pour oublier la douleur. Son ami a eu l’air d’aimer :
- Putain, elle aime la bite !
- Et oui !
- Même la douleur ne l’arrête pas.
Je les entendais avec horreur discuter comme si je n’étais pas là. Et moi je ne réagissais pas, tout ce que je trouvais à faire c’est sucer son ami plus fort. Mon maitre m’a donné un grand coup de bite dans le cul puis a rigolé. Il m’a attrapé par les cheveux, m’a redressé et m’a murmuré :
- Rappelle-toi que c’est toi qui décide ! Tu peux arrêter à tout moment.
Je n’ai rien répondu. Il m’a relâchée et je suis retourné sucer la verge de son ami.
Je continue à sucer son ami alors que mon Maître fait claquer ses hanches sur mes fesses. Enfin je sens le sperme couler dans ma bouche. J’aspire fort, avale goulûment. L’ami de mon Maître m’offrait sa semence et je me devais de l’avaler. Enfin la verge sort de ma bouche. Je pousse un soupir de dépit malgré moi. Mon Maître me plaque alors contre le mur et m’encule violemment. Puis il s’arrête, maintenant ma tête contre le mur. Je tente de le regarder et demande :
- Maitre ! Vous ne me violez plus le cul ? Je vous ai déplu ?
Il ne répond pas. Il me tire vers le bas. Je m’agenouille. Sa queue est si près. Je tends le cou, tire la langue. En vain, il retient ma tête. Son ami ricane :
- Quelle affamée ! Elle aime la bite !
Je parviens à lécher son gland du bout de la langue. Puis je réponds :
- Je n’aime que la queue de mon Maître. Les autres m’indiffèrent.
- Ah oui ? Tu m’as bien sucé pourtant !
- Bien sûr ! Mon Maître m’offre une nouvelle queue. Je me dois de la traiter comme si c’était la sienne !
Il pousse un sifflement d’admiration :
- Eh bé… Tu l’as bien dressée !
Mon Maître n’a pas dit à son copain que mon dressage ne faisait que commencer. Nos regards se croisent et suis heureuse d’y lire son plaisir. Je mouille terriblement, je veux me toucher mais il m’arrête, mes jambes tremblent, je suis au bord de jouir. Puis il enfourne son sexe entre mes lèvres et je le suce avidement. Il me force à l’avaler, m’étouffe. Mais je m’en fiche, je lèche comme si c’était un délicieux cadeau. Je savoure le goût particulier de sa queue, c’est si bon.
Je rougis vivement en réalisant que ce goût dont je me délecte est celui de mon cul, de ma merde. Mais je ne peux m’empêcher de continuer. Je pousse des petits couinements de plaisir. Il sort son sexe. Je l’accompagne de la langue, retardant le moment où je n’aurais plus son membre en bouche. Puis il ordonne d’un ton sec :
- Tes seins.
Il n’a pas besoin d’en dire plus. Je saisis ma poitrine, la presse, caresse son sexe avec. Les tétons frottent le dessous de son gland. Il se masturbe et jute dessus. Je les masse, savourant la sensation du liquide gluant entre eux. Puis j’enfourne son sexe dans le val de ma poitrine en le regardant. Il sourit et me fait sucer ses doigts. Je ferme les yeux et soupire. Il dit à son ami :
- Va au salon et sers-toi un verre de whisky. Ramène la bouteille après.
- Ok.
Puis il s’adresse à moi avec douceur :
- Tu vas jouir, salope.
Je lui suce le gland puis j’arrête de le branler et lèche son membre maintenant recouvert de sa délicieuse semence. Son ami ne tarde pas à revenir. Il tend la bouteille à mon Maître. Il boit au goulot avant de me dire :
- En position, chienne.
Je me mets en levrette, instinctivement. Je sens le verre froid contre mon anus. Il pousse et la bouteille me pénètre. Je hurle de douleur. Puis il pousse à nouveau et je m’effondre au sol, anéantie. Je jouis comme rarement j’ai joui. Des larmes de honte coulent sur mes joues. Il vient de me faire jouir avec un goulot de bouteille. Juste en m’enculant et en enfonçant cette bouteille. Ma chatte est encore vierge de son sexe. Elle coule pourtant, dégouline de mouille. Je suis sienne et j’ai honte. Il fait rentrer et sortir la bouteille et je gémis. Puis il la ressort et me fait boire le fond de la bouteille. A nouveau le goût de mon cul sur mes lèvres. Il souhaite que je goûte mon cul. Alors je ne peux qu’aimer ça.
Je reste ainsi un moment, le visage collé au sol, le cul dressé. Il a planté à nouveau la bouteille et je resserre mon anus pour ne pas qu’elle tombe. Ils ne sont même plus là. Ils discutent au salon. Puis ils reviennent. Ils me font relever.
A nouveau je dois serrer les fesses pour ne pas perdre la bouteille que mon Maître m’a offerte. Ils me bandent les yeux, me fixent un collier et une laisse en discutant tranquillement. Ils attachent ensuite mes poignets derrière ma nuque, les fixant au collier.
Mon Maître ressort la bouteille. Il la fait glisser sur mon corps. Je sens le goulot jouer avec mes lèvres intimes. Je manque de jouir à nouveau, me mord les lèvres en retenant un grand cri de jouissance. C’est la première fois qu’il honore mon intimité. Avec une bouteille, certes. Mais c’est lui qui l’a planté. Pas son ami.
Je suis heureuse, je voudrais le remercier mais je sais qu’il me veut silencieuse. Je mouille dans la bouteille. Son ami appuie sur ma vessie en murmurant :
- Laisse-toi aller !
J’urine alors, cela coule sur mes cuisses. Je devrais avoir honte. Mais je n’y arrive pas. Puis il me fait boire. Je me délecte du nectar qui coule sur mes lèvres. Je n’arrive pas à trouver cela mauvais. J’en voudrais plus, toujours plus. Il vide le reste de la bouteille sur mon corps. Odeur d’alcool, d’urine. Il me murmure :
- Petite souillon !
Je retiens ma respiration. Va-t-il se fâcher ? Me renier car je suis trop sale pour lui ? Mais il me tire juste par ma laisse en disant :
- On va te laver, tu en as bien besoin !
Je me mets à pleurer. De joie. De soulagement. Son ami demande :
- Pourquoi maintenant elle chiale, cette conne ?
- Parce qu’elle est mienne. Ca la rend heureuse.
Il n’a même pas eu besoin de me demander. De toute façon mon avis ne compte pas. Si il s’était trompé j’aurais simplement changé de raison pour pleurer. Mais il ne pouvait pas se tromper. Pas lui. Pas mon Maître. Son ami parait impressionné. Il murmure à nouveau :
- Vraiment bien dressée.
Je ris intérieurement. Il n’a pas eu besoin de me dresser. Juste accepter que je sois à lui. Il aurait été insultant qu’il eut à faire des efforts pour me faire sienne. Je sentis l’air frais sur ma peau nue. Nous devions être dehors. Je crains un instant d’être en pleine rue livrée au regard. Je commençais à paniquer, voulus fuir. Puis je me rappelais que j’étais à lui. Que seul lui pouvait décider ce qui était humiliant ou non pour moi. Mais je m’étais arrêtée. Il gronda :
- Un problème ?
- Non, non, je suis désolée, Maître. Aucun souci.
Il me gifla et cria :
- Ne me mens jamais ou je te renie !
Je me remis à pleurer. Pas pour les mêmes raisons. Il était fier de moi et je venais de tout gâcher. Je tombais à genoux, malgré l’étranglement du collier et tenta de me pencher en avant pour lui lécher les chaussures en suppliant :
- Pardon, Maître ! Pardonnez à votre chienne ! Je ne voulais pas ! Pardonnez-moi !
Il a dégagé son pied, donné un coup sec sur la laisse et m’a tiré à nouveau sans répondre. Je reniflais comme une gamine en le suivant. Puis il me laissa debout. Je ne savais même pas ou. Un jet d’eau glacé interrompit mes pensées. Je fis un bond en arrière. Il grogna :
- Reste en place, et tourne sur toi même qu’on puisse te laver bien partout.
Je bafouillais :
- Ou… Oui, Maître. Pardon.
- Arrête de t’excuser et obéis, tu me gonfles.
Je m’apprêtais à m’excuser de nouveau mais refermais la bouche. Comment pouvais-je être aussi stupide ? Soit il ne voulait plus de moi et mes suppliques ne serviraient à rien. Soit il voulait encore de moi et mes excuses ne feraient que l’importuner. Quelle imbécile ! J’avais honte à nouveau. Mais honte de ne pas être à la hauteur de ses attentes, de le décevoir par mon attitude. J’offrais alors mon corps au jet, je savourais ces caresses indirectes.
Enfin le jet s’interrompit. J’attendais frémissante. Soudain ses doigts sur moi. Je tressaillis. Peut-être était-ce ceux de son ami ? Non, j’étais sûre du contraire. Je me surpris à reconnaître des détails infimes de sa morphologie. Puis je sentis un tube de plastique dans ma chatte. Il dit :
- Ouvre l’arrivée d’eau.
Ma chatte se remplit. Je sentis mon ventre se tendre. Puis le jet s’arrêta. Il pinça les lèvres de mon intimité. De l’eau coulait malgré tout. Il susurra :
- Essaie d’en garder le maximum, ma chienne.
Puis il glissa le tube dans mon anus. Je fus remplie à nouveau. J’avais mal et j’étais nauséeuse, il ressortit le tube. Je serrer les fesses, anticipant son ordre. Enfin une petite phrase, il me dit :
- Lâche tout.
Sa main quitta mon sexe et je me vidais sur le sol. A nouveau la honte me prit. J’étais sûre qu’il n’y avait pas que de l’eau qui giclait de mes orifices.
- Et bien ! Ma cochonne ! Ça en avait bien besoin. Dire que j’ai foutu mon sexe la dedans !
J’ai rougi, gênée d’avoir ainsi souillé son magnifique sexe. Mais il me rassura en ajoutant :
- Heureusement tu l’as bien nettoyé, petit aspirateur à bite !
Puis il me claqua la fesse et m’essuya la chatte et le cul avec une vieille serpillère. Il m’entraîna alors sur du gazon. Il me fit agenouiller et je suçais leurs deux queues avec délice. Puis je sentis qu’il s’allongeait alors que son ami pilonnait ma gorge. J’étais follement excitée, il allait me prendre ! Il me prit par la taille et m’attira à lui. Je sentis son gland sur mes lèvres intimes. Je me mis à mouiller abondamment. Il allait me prendre la chatte, enfin.
Le dernier trou qu’il n’avait pas conquis. Il s’enfonça et je jouis sur le coup. Je restais la bouche béante alors qu’il profitait de mon corps en massant mes seins et me limant. Son ami saisit mon visage et profita de ma bouche ouverte pour enfourner sa verge. Je me remis à sucer, aspirant, léchant. Enfin il ressortit et se dirigea vers mes fesses. Il les claqua en demandant :
- Alors, ma pute, tu penses que ça va rentrer ?
- Non. Je ne suis pas habituée.
- Ah ? Tu veux dire que je ne vais pas pouvoir de te baiser le cul en même temps qu’il te lime ?
- Bien sûr que si ! Ca ne rentrera pas. Mais vous n’aurez qu’à forcer.
- Oh. ca va te faire mal, non ?
- Bien sûr, et je vais jouir, comme une salope.
Il claqua à nouveau mes fesses et dit joyeusement :
- Bien ! On y mettra d’autres choses alors !
Je ne compris pas ce qu’il voulait dire mais je n’eus pas le temps d’y réfléchir, il pénétra mon anus. Je m’effondrais sur mon Maître. Il me releva la tête en m’étranglant. Mon corps ballotait sous leurs assauts. Il gueula :
- Eh ! Tu ne tombes pas dans les pommes sans mon autorisation, ok ?
Je luttais contre l’engourdissement qui saisissait mon corps endolori. Je me mordis la langue, espérant rester consciente. Il me gifla et cela me réveilla. J’étais si contente, il prenait la peine de m’aider. Un sexe se frotta sur ma joue et je le pris en bouche. Puis on prit ma main et le posa sur un autre que je commençais alors à branler méthodiquement.
Je ne réalisais pas tout de suite. L’arrivée d’une autre queue sur ma joue me fit enfin prendre consciente qu’ils n’étaient pas deux, mais bien plus. Je pris peur : allais-je être privée du sexe de mon Maître ? Je me mis à pleurer en suçant avec l’énergie du désespoir.
Ils me firent tourner sur moi-même. Mon Maître me limait maintenant à nouveau l’anus. Son ami se pencha sur moi entrainant son sexe loin dans ma chatte, la déformant vers le haut. On me forçait à avaler profondément une queue en en branlant deux autres. Il eut du mal à entrer et ne s’enfonça guère loin mais cela suffit à m’arracher des cris de douleur étouffés, cela excita mes compagnons et ils me prirent plus vigoureusement.
Le moment que je craignais arriva enfin, mon cul s’emplit de sperme. Mon Maître allait m’abandonner. Mon seul espoir était d’être assez salope pour rapidement l’exciter de nouveau. Son ami ne tarda pas non plus, son sperme coulant sur mon ventre alors qu’il giclait sur mon corps. D’autres verges vinrent les remplacer. Je me fis aussi pute que je pus, aussi affamée qu’il me parut possible. Je gémissais mon plaisir. Très vite je n’eus même plus à simuler. La simple violence de leur assaut et l’idée du plaisir que mon maître devait ressentir me guidant vers des orgasmes répétés.
Chaque fois que mon Maître me prenait je le reconnaissais. Ses mains, sa langue, son sexe. J’y accordais une attention particulière, jouissais plus qu’avec les autres. Je me devais d’apprécier tous ces sexes puisqu’il me les offrait. Mais jamais autant que le sien.
J’étais fourbue mais heureuse. Un peu déçue aussi. J’aurais voulu que toutes ces queues soient la sienne. Et qu’il me prenne jusqu’à l’inconscience. Je rougis en me réprimandant intérieurement de penser que sa verge ne suffirait pas à mon bonheur. J’étais trop épuisée pour avoir honte maintenant. Ils me firent lever et je fus aussi étonnée qu’eux lorsque mes jambes cédèrent. Ils ricanèrent :
- On l’a bien défoncée, la salope ! Regarde dans quel état on l’a mise !
- Ouais, je parie qu’elle a la chatte sèche d’avoir trop mouillé !
- Et son cul ? Il doit être aussi dilaté qu’un tunnel !
- Tu parles ! On pourrait y faire entrer un TGV !
- Et en plus lubrifié par son sang.
Ils éclatèrent de rire. L’un d’eux me porta dans ses bras et je me mis à pleurer. Il grogna :
- Qu’est-ce qu’elle a cette gonzesse ? Elle a joui comme une malade et maintenant elle fait genre qu’elle est outrée ?
- Pose-la à terre, tu vas comprendre.
La voix de mon Maître. Comme un baume sur mon corps meurtri. Il vint et me prit dans ses bras. Il avait tout de suite compris. Les autres jouaient avec mon corps, me mettaient des doigts mais je m’en fichais. J’étais dans ses bras. Contre son torse. Je fermais les yeux et perdis conscience.
Je me réveillais la tête dans le coton. J’avais du mal à respirer et je voulus tousser mais des mains me tinrent fermement la tête. Je compris alors que j’avais une verge en bouche et entrepris de faire mon travail, la sucer. Des mains me caressaient. J’étais allongée sur le divan. Les hommes discutaient tranquillement et profitaient de mon corps. L’homme que je suçais dit :
- Ah ! Notre poupée gonflable se réveille enfin !
Les hommes commencèrent alors à s’agglutiner autour de moi. J’avais toujours les yeux bandés et je cherchais à tâtons un sexe à branler. Je ne tardais pas à en trouver un. Je fus un peu déçue que ce ne soit pas la sienne. Un deuxième sexe força l’entrée de ma bouche. Je suçais comme je pouvais. Je sentis un homme monter sur le divan. J’écartais les cuisses pour l’accueillir. Il me prit doucement. C’était lui, je le savais. J’avalais les deux verges profondément et jouis au son de sa voix me câlinant en me traitant de sale pute.
Maintenant libre, remerciant celui qui fut mon maître, sans regret, j’ai réalisé mon fantasme : celui d’être une femme soumise ! Pire qu’une pute.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
EXCELLENT...Poursuivez, passez au hard dressage...bel avenir en perspective!!!
J'ai adoré; cette femelle a des fantasmes très forts !
J'ai beaucoup aimé.
Ah oui quand même ....
Rudy
Rudy