Titre de l'histoire érotique : Mon hotesse de caisse préférée - histoire érotique

Depuis quelques semaines je vais faire mes courses au supermarché de ma ville, depuis huit jours je fais mes achats en trois fois tous les jours, j’achète des peccadilles tout cela pour passer à la même caisse tenue par la même hôtesse
Une superbe blondinette d’environ vingt-cinq ans, Rose, je connais son prénom grâce au badge agrafé sur son sein, comme j’aimerais devenir badge …une gueule d’ange aux yeux malicieux et seins hauts placés, pour le reste caché derrière son fauteuil je me fie à mon instinct qui me dit que ça vaut la peine de découvrir ses trésors cachés
Elle a évidemment repéré mon manège mais ne s’en offusque pas, ça la fait marrer, la seule chose qu’elle a faite pour me décourager c’est de faire tourner son alliance sur son annulaire en soupirant …il en faut plus pour me décourager, je multiplie les sourires et les mots gentils
A force de repérer ses habitudes je connais ses jours et heures de travail, ce midi, heure a laquelle elle annonce la fermeture de sa caisse sous les soupirs des clients déçus derrière moi, a présent seul à la caisse j’ai cru défaillir …comme d’habitude je sors ma carte bancaire lorsqu’elle m’annonce les dix euros vingt à payer, elle esquisse un large sourire et tourne son siège vers moi, ses genoux s’ouvrent subrepticement tirant sur la blouse mal fermée, en me lançant d’une voix enrouée et chaude ...
- Vous pouvez insérer… votre carte bancaire monsieur !
- Merci … Rose
C’est tout ce que j’ai trouvé à répondre …l’allusion était-elle volontaire ? toujours est-il que je me suis réfugié dans ma voiture pour sortir ma queue bandée et la caresser au risque de me faire découvrir par un voisin de parking, combien de temps suis-je resté immobile et songeur lorsque mon hôtesse est apparue dans mon allée se dirigeant d’une allure féline vers ma voiture et me jette ce regard coquin que je lui connais… mais hélas comme sur les pubs elle est passée pour aller se jeter dans les bras d’un minus qui lui roule une pelle d’enfer en lui pelotant les fesses sans se soucier des passants, Rose cesse son baiser pour lui parler tout en regardant dans ma direction ,l’homme se tord le cou pour essayer de me voir, une dernière tape sur les fesses en haussant les épaules, surement destinés à mon attention et ils montent rapidement dans une voiture de sport décapotable, j’imagine ses cuisses découvertes et la main du mâle posée entre … je suppose que pour des galipettes le manque de place dans un tel véhicule va les contraindre à trouver une autre solution, aucuns doutes, étant donné la direction qu’ils prennent vont-ils rechercher un endroit tranquille pour faire des cochonneries ? et … si je les suivais ?
C’est parti ! comme ils connaissent ma voiture je reste à bonne distance, le gars prend la direction de la forêt toute proche, bon signe ! le deuxième chemin est le bon, je sais qu’il ne peut s’enfoncer très loin alors je préfère me garer sur la berne, a peine descendu j’entends des rires et des exclamations de femme, son mec dois déjà lui toucher des endroits intimes... ça me guide dans la direction à suivre, soudain c’est le silence …les amoureux doivent être déjà à l’œuvre, ils ne peuvent être que dans ce sentier là aussi je redouble de précautions, un soupir qui en dit long sur sa cause vient d’à peine dix mètres … ils sont là dans cette clairière, allongés sur une couverture jetée a la hâte, Rose est quasiment torse nu, le soutient gorge encore maintenu à la taille laisse voir ses seins arrogants, les genoux repliés et ouverts, la jupe retombée montre ses cuisses fuselées, mais hélas pour voir le haut de la fourche et son minou l’angle n’est pas bon, c’est tout ce qui m’intéresse, je vais devoir jouer aux indiens en rampant sur le côté , son homme commence a ôter sa chemise avant s’attaquer à la ceinture du pantalon , j’ai hâte de voir s’il bande et surtout s’il est mieux monté que moi , pour ma part ma queue coincée dans mon bermuda me semble énorme
J’ai bien peur que l’homme m’ait repéré, car sourcils froncés il scrute dans ma direction sans toutefois prévenir Rose d’une éventuelle présence, au contraire, à genoux il commence à caresser ses cheveux en amenant sournoisement sa tête vers sa bite bandée mais très moyenne, la jeune femme ne rechigne pas et avale le gland minuscule taillé en sifflet … beurk je n’aime pas ce genre de queue !
Cette fois je suis sûr qu’il est certain d’être épié, il sourit comme pour me dire ‘ toi tu mate mais moi je me fais sucer et c’est moi qui vais la baiser ducon ! ‘
Puisque je suis découvert à quoi bon faire le mort ? je me redresse, désormais ma tête dépasse du buisson ainsi j’ai une très bonne vue sur l’entrejambe de Rose, elle a encore sa petite culotte, certes bousculée car une lèvre bordée de duvet blond collé dépasse, ce salaud l’a doigtée pour la faire mouiller au point de tacher sa culotte, il va et vient tel un métronome dans la bouche de la femme, en désespoir de cause je sors ma bite pour me branler… je rêve ? il vient de me faire signe d’approcher ? non c’est bien ça, déterminé, je contourne le buisson et avance pas à pas vers le couple libertin, Rose qui se fait malaxer à pleine main la chatte par son mec ne s’est encore rendue compte de rien, c’est seulement lorsque je murmure un ‘bonjour’ qu’elle réagis
- MAIS ???? que faites-vous là ??? LUCAS tu ne dis rien ?
- Laisse chérie, j’ai jugé bon d’inviter ton admirateur de caisse, t’as vu sa queue ?
- OUAIS …d’accord, mais vous regardez seulement hein ?
- Ça me comble déjà !
- Et puis faites comme nous, déshabillez-vous, prend moi maintenant Lucas, je suis chaude comme une braise
- Retourne-toi, je vais te baiser en levrette ainsi ton copain … ?
- Mathieu !
- Ton copain Mathieu va assister à notre accouplement
- J’aimerais le voir se toucher la pine …
- Met toi à genoux devant elle Mathieu et astique-toi le jonc, t’es sacrément gaulé mon pote
- Votre femme me fait bander à chaque fois que je passe à sa caisse
- C’est un bel hommage, baise moi chéri … hhhhhaaaaaaaaaaooooooooouuuuuuuuiiiiiii
- Chhhuuuuuuuuuutttt ! n’ameute pas toute la forêt !
- Je connais un moyen de la bâillonner …
- Approche Mathieu
- Tu veux lui faire une pipe ma cochonne ?
- Soit pas jaloux, j’aurais pu répondre à ses avances sans t’en parler
- Je reconnais ton honnêteté, avale donc son beau morceau
- Mmmmmuuuuummmmmm ! il est gros …défonce-moi la choune chéri... qu’attends-tu ?
- Aahh ! ça me fais bizarre de te voir sucer un autre homme... ça me fais débander
- Voulez-vous que je vous remplace ?
- Et puis quoi encore ?
- Je ne vais pas rester sur ma faim, ou tu me fais grimper aux rideaux ou c’est Mathieu qui s’en charge
- Salope ! échangeons nos places puisque madame désire que vous la baisiez
- Si c’est pour rendre service... poussez-vous, huuuuummmmm, quelle chatte appétissante
- Pas de commentaires, contentez-vous de la bourrer
- Quel magnifique petit anus délicat ...
- N’y touchez surtout pas
- Juste un doigt mon amour, une fois que je serai partie pour déclencher ma jouissance
- Espèce de chaudasse
- Insère-moi ta queue, tape-moi dans la cramouille Mathieu, ne t’occupe pas de ce qu’il dit ! agrippe moi par les hanches, fait moi péter la chatte
Je me sers de mon gland pour badigeonner sa mouille du clitoris à sa raie avant de pousser afin de repousser les lèvres gonflées de désir, Rose se cabre lorsque ma queue fait son passage, je savoure l’instant où mon nœud perfore la matrice alors je fais et refais la manœuvre X fois
- Ooooooohhhhh tu es gros … ooooooohhhhh chéri, son gland me force le col vaginal, je le sens bien dans mon con
- Tu es très serrée, ma queue et comme aspirée par ton ventre, je vais y décharger toute ma sauce
- Déconnez pas ! elle ne prend pas la pilule en ce moment
- Alors je vais juter dans son cul
- NON ! SI ! et merde, faites donc comme vous voulez !
- Arrose copieusement mes deux trous Mathieu
Je me régale devant la mine déconfite du mari me voyant défoncer sa femme qui se lance au-devant de mes assauts, il grimace en entendant nos corps se percuter, soudain Rose se bloque sur mes couilles, ses muscles vaginaux enserrent tellement ma bite que mes testicules jugent bon d’envoyer mon sperme, sous les impacts de foutre la femme redouble de spasmes avant de s’effondrer essoufflée sur la couverture, laissant sa chatte évacuer des glaires dans un gargouillis immonde, je me trouve ridicule à genoux la verge toujours dressée fouettant l’air
- Ben mon gars, t’en fait quoi de ta trique à présent ?
- Je vais sodomiser votre épouse, à moins que vous ne puissiez m’en empêcher ?
- Puisqu’elle est d’accord fait lui donc
Je caresse délicatement les fesses de Rose qui écarte ses cuisses d’elle-même, vu l’abondance de jus recraché par le vagin pas besoin d’humidifier l’anus prêt à l’emploi, en appuis sur les mains je m’allonge sur la femme qui sentant la présence de ma bite sur son œillet boursoufflé relève son cul, les doigts crispés sur la couverture elle accepte la pénétration laborieuse et inévitable
- Va doucement … ouuuuuuuiiiiii c’est booooonnnn, encore … encore …ENCORE !! wwwwwwooooooooooohhhhhhhh chéri je suis enfin sodomisée !!
- Pute ! salope ! tu vas rentrer à pieds
- Ne dit pas ça, tu sais bien que tu vas te délecter en léchant mes orifices souillés par mon amant
- Vide tes burnes dans son cul enfoiré, c’est moi qui vais nettoyer ses plaies
- Tu en profiteras pour me sucer la pine, c’est un vrai bonheur de s’enfoncer dans les entrailles de ta compagne
C’est ainsi que je suis devenu l’amant incontournable de Rose