Titre de l'histoire érotique : MON NOM EST PLAISIR...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : MON NOM EST PLAISIR...
Je peux affirmer que je me suis masturbé pour la première fois à 13 ans. Depuis, j’ai toujours eu un goût immodéré pour ce plaisir que l’on dit solitaire. Même marié et satisfait dans le domaine des rapports sexuels, je n’en ai pas moins continué à me branler.
À ce penchant s’en ajoute un second, voyeur. Oui, j’aime apercevoir, entrevoir, non pas en regardant des exhibitionnistes, mais en comptant sur la chance et le hasard pour pouvoir satisfaire mon goût pour les petites culottes entrevues. Je dois dire quand ce domaine je suis plutôt chanceux, et je ne puis résister à l’envie de vous raconter mon dernier « coup de chance », qui fut particulièrement bandant et qui m’a procuré un plaisir extrême.
Lors de ma première rencontre avec l’avocat pour mon affaire de divorce, j’arrivais dans le cabinet avec quelques minutes de retard. Je donnais mon nom à la réceptionniste à l’accueil. Elle eut un large sourire avant de roucouler.
- Oui, vous allez prendre l’ascenseur face à vous et monter au deuxième étage. À votre arrivée, une secrétaire vous accueillera et vous accompagnera jusqu’au bureau de maître X.
Une femme, dont la grosse bouche semblait faire la moue mais aux yeux d’un très beau bleu, m’accueillait à ma sortie, et demanda dans un souffle :
- Monsieur Alainylon ?
- Oui, c’est bien moi, répondis-je.
- Maître X vous prie de l’excuser, il est retenu par un rendez-vous à l’extérieur. Il vous demande de bien vouloir l’attendre. Si vous voulez bien me suivre.
Elle virevolta, et me précéda. Je découvrais chez elle, une chute de reins incroyablement cambrée, soulignée par la jupe tendue à craquer. Le léger balancement achevait de me donner le vertige. Elle ne pouvait pas ignorer l’effet qu’elle me faisait. Arrivée dans un bureau, elle prenait place sur une chaise, se tortillant pour croiser des jambes charnues, tant sa jupe était serrée. J’en avais la bouche sèche.
Elle m’invita alors à m’asseoir sur une chaise face à son bureau. N’ayant rien d’autre à faire, je la regardais s’affairer sur son ordinateur. Découvrant soudain l’absence d’un panneau devant le bureau. Lentement, je sentais mon bas-ventre se réchauffer. Je soulevais ma chaise en toute discrétion et la reculais pour avoir un plus grand angle d‘observation. La secrétaire tapait toujours sur le clavier les yeux rivés sur la feuille posaient sur sa gauche.
Je pris un feuillet dans mon dossier et fis semblant de le consulter. Seule les longues jambes douces et effilées de la secrétaire m’intéresser.
Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais la sensation qu’elle se doutait que je l’épiais. Ça ne m’empêchais de regarder le galbe de ses jambes. Je n’avais qu’une envie, glisser ma main entre ses cuisses. Je n’avais plus en face de moi, une secrétaire mais un sexe. Une chatte avec un minou dont je mourais d’envie de faire plus ample connaissance avec lui.
Je m’attardais. Je profitais à loisir de scruter ses jambes. Elle se mit tout à coup à croiser négligemment les jambes. Apparemment peu soucieuse du spectacle qu’elle pouvait me donner. Comme dans un songe, les genoux de la secrétaire se séparèrent. Ses cuisses blanches surgissaient de la jupe qui remontait. Elles s’ouvraient de plus en plus. Dans ma vue apparut alors, à leur jointure, un triangle blanc. Un string en fin dentelle qui surmontait des bas de couleur chair et sensuels. Je me mordais les lèvres pour ne pas lâcher un cri de surprise et d’envie.
Elle me regardait. Avait-elle deviné l’effet qu’elle me faisait ?
Je restais interdit. Je la surpris, esquissait un sourire. Soudain, ses mains descendaient jusqu’à sa jupe et, d’un mouvement vif, se glissaient dessous pour ressortir aussitôt, entraînant le mince bout de tissu. Lentement, elle le glissait jusqu’à ses genoux et le laissa continuer sa course le long de ses fins mollets avant de s’arrêter sur ses petites chevilles qui surmontaient de jolis escarpins noirs.
D’un geste preste, elle dégagea un pied, puis l’autre. Du bout du doigt, elle fit tournoyer la dentelle. Jusqu’à ce qu’il lui échappe et vole à travers le bureau pour atterrir à deux mètres à droite de mon poste d‘observation. J’avais chaud. Avec un sourire à la fois innocent et satisfait, elle écarta ses cuisses, m’exhibant son intimité. Elle se régalait de l’effet que cela produisait sur moi. L’air était électrique et empreint de sensualité !
Le tableau qui s’offrait à moi était impensable. Une vraie débauche sexuelle, qui enflammait mon bas-ventre. Comme si ce n’était pas assez, voilà que la coquine s’enfilait un doigt dans son sexe. Ressortait et replongeait à nouveau, laissant apparaître à chaque pénétration un mince filet de mouille qui s’écoulait de son antre. Je relevais la tête et croisais son regard. Il était couronné d’un sourire espiègle et d’un regard soutenu qui sonnait comme une invitation à venir la rejoindre.
Soudain, une sonnerie de téléphone retentit. Me ramenant dans le présent. Je n’en revenais pas moi-même. J’avais été la proie d’une hallucination. Un jeu d’ombres… une farce de mon subconscient. Pour me le prouver je n’avais qu’à tourner la tête sur le côté pour m’apercevoir qu’il n’y avait aucune dentelle sur le sol.
À la deuxième sonnerie, la secrétaire se mit aussitôt à gigoter sur son fauteuil. Elle décrocha le combiné de téléphone et je l’entendais dire, un :
- Oui monsieur…
La conversation fut brève et la femme reposa l’appareil sur son socle. Un homme de taille moyenne pénétra quelques instants plus tard dans le bureau, et me serra chaleureusement la main.
- Je suis désolé de vous avoir fait attendre ! Vous ne vous êtes pas trop ennuyé. Voulez-vous bien me suivre, s’il vous plaît. Il me précéda jusqu’à son bureau.
Une heure plus tard, je sortais du bureau, suivi de l'avocat. Il me raccompagna jusqu’à la porte. Je fus contrarié de ne plus trouver la secrétaire derrière son bureau.
Mais alors que j’avançais en direction de ma voiture, que fut ma surprise d’y voir sur le même parking, je vous la laisse en mille. Et bien oui ! La fameuse secrétaire. Elle était appuyée sur la portière d’une Ford Fiesta d’un rouge vif. D’ailleurs elle me fixait quelques instants et, me reconnaissant, elle me sourit. Je fis un petit décrochement et allais à sa rencontre. Elle tenait en laisse un teckel.
- Je viens de le récupérer, me dit-elle. Une amie, qui habite le quartier me le garde pendant que je travaille.
Nous avions échangé quelques banalités. À un moment le chien s’était pris les pattes dans la laisse. Pour lui venir en aide, elle s’était accroupie aussitôt. Ma galanterie m’obligeait à faire de même. Je marquais un étonnement. Sa position me donna l’opportunité de me régaler la vue. Ravi devant le spectacle de la légère une culotte en dentelle blanche. Tiens ! Tiens… Qui soulignait, plus qu’il ne le protégeait, l’adorable fruit défendu. Des mèches de poils s’échappaient sur les côtés du triangle de tissu. Que du bonheur !
Moi qui ai horreur des minous chauves ou juste soulignés d’une virgule de quelques poils, j’étais là gâté !
Mais aussi médusé, pétrifié, scotché par cette vision bandante. Une érection spontanée déformait mon pantalon. Je soulevais la patte du chien alors qu’elle s’occupait de délier la laisse. Je bandais maintenant très dur. Et la coquine s’en était aperçus. Je perçus comme une petite rougeur sur ses joues, alors qu’elle se redressait.
- Je m’excuse pour ma réaction très masculine, mais ce n’est pas contrôlable.
Elle sourit en me disant :
- Ne vous excusez pas. Après tout, cette réaction est parfaitement naturelle, non ?
Elle avait tout de même conscience qu’elle était la responsable. Ne manquant pas d’humour elle ajouta :
- Si je peux me le permettre, je vous conseillerez de rentrer le plus vite pour que madame…
- Je suis en instance de divorce, la coupais-je. Le rendez-vous avec l’avocat.
- Ho! Je m’excuse.
- Je vous en prie. Vous n’êtes pas censé de le savoir.
- Mais alors ? réplique-t-elle.
- Oui, hélas, je ne peux que compter sur moi-même.
- Non… vous n’allez pas me faire croire que vous n’avez pas une copine qui veuille bien vous soulager.
- Même pas.
- Mais putain ! Dans quel monde en vie, fit-elle, avec un petit rire mi-narquois, mi-émoustillé. Alors qu’elle posa sa main sur ma protubérance.
- Si vous le permettez, je ne serai pas contre de vous soulager de votre trop plein d’excitation. D’ailleurs je suis tout de même la responsable, même involontairement de votre saillit. En conséquence, je vous dois réparation. Ne voulant pas trahir mon époux, je vous propose le prêt de ma main. Mais pour cela montant dans ma voiture.
Après avoir jeté ce chien sur le siège avant, elle m’invita à prendre place sur la banquette arrière. Comme l’aurait fait une infirmière, elle écarta les obstacles qui la gênaient, avant d’entourer ma verge de ses doigts. Très lentement, elle commença une caresse de haut en bas, et de bas en haut. C’était délicieux. Sa bouche était entrouverte, comme guettant une proie. Des gens passaient tout près de nous sans se douter ce qui se tramer à bord de cette voiture.
Je posais une main sur son genou, et commençais à remonter le long de sa cuisse prenant la direction de son sexe, alors qu‘elle s’agitait sur ma hampe. Alors que j’effleurais les poils fugitif, je restais un bref instant interdit. Elle me détacha un petit sourire et souleva les épaules.
- J’en ai moi aussi, une énorme envie, dit-elle. Et d’ailleurs mon marie n’en saura rien.
Elle secoua la tête comme pour signifier un « Vas-y, sers-toi ». J’insérai ma main sous l’élastique de sa culotte. Elle était à tordre. Alors que je le lui ôtais, elle referma les jambes pour que je puisse aisément la faire glisser le long de ses jambes. Je n’ai pas pu m’empêcher de l’enfouir sur mon visage. Je lus chez elle de la stupéfaction. Elle n’était sans doute pas, coutumière de ce genre d’agissement
Le temps de la fourrer dans ma poche, (pour ma collection), et je glissais de nouveau ma main sous sa jupe. De l’index et de l’annulaire j’écartais doucement ses lèvres pour venir titiller son clitoris avec mon majeur. Tantôt le frôlant à peine, tantôt tournant autour, j’abandonnais son petit bouton pour introduire la première phalange de mon doigt dans son vagin. Il débordait de mouille. Je ramenais le majeur recouvert d’une épaisse couche de mouille pour la respirer longuement avant de la goûter à petits coups de langue.
Puis je replongeais ma main sous son vêtement pour m’occuper de son clitoris que je pris entre deux doigts, le massant. Il était déjà très gonfler. Sa tête rejetée en arrière, sa respiration s’accélérait. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle attrapa ma main et enfonça mes doigts tout au fond de sa grotte humide. Elle se raidit, je comprenais qu’elle était au bord de l’orgasme. Le brutal coup de reins qu’elle donnait en était la preuve. De sa main libre elle attrapa mon autre main et la porta à sa bouche et mordilla mes doigts. Je sentais son souffle saccadé sur ma main et de l’autre les contractions de son vagin autour de mes deux doigts. Après cette apothéose orgasmique arrosée, la secrétaire sombra dans un état de calme béat. Elle était apaisée et son visage reflétait une indicible paix. Elle soupira et embrassa ma main.
Je retirai délicatement mes doigts de son intimité et les portais à mes lèvres. Je n’eus le temps que de sucer mon majeur, elle attrapa déjà ma main et la porta à sa bouche. Elle suça mon index comme elle l’aurait fait avec une verge.
- Oh ! Que c’était bon ! fit-elle à voix basse.
Puis elle s’occupa de moi. Enduit mon gland d’une grosse quantité de salive, puis se remit en devoir de me masturber. Son pouce vint exciter mon frein. Elle alternait les allers-retours lents puis rapides. Ses doigts fins glissaient sur la peau de mon sexe. Surpris et décontenancé par l’irréalité de la situation mon excitation était à son paroxysme et il ne lui fallut pas plus de trois allers-retours pour me pousser à l’orgasme.
Une sublime jouissance qui se matérialisa par trois jets épais saccadés puissants suivis de quelques gouttes.
Je reprenais peu à peu mes esprits, mais la secrétaire n’était pas du genre à lâcher sa proie aussi facilement. Continuant son massage jusqu’à ce que mon sexe soit complètement débandé.
- J‘ai été à la hauteur ? me questionna-t-elle
- Merveilleux, répondis-je en ajoutant : pourrais-je savoir vôtre prénom ?
- Plaisir. Parfaitement, mon nom est Plaisir.
À ce penchant s’en ajoute un second, voyeur. Oui, j’aime apercevoir, entrevoir, non pas en regardant des exhibitionnistes, mais en comptant sur la chance et le hasard pour pouvoir satisfaire mon goût pour les petites culottes entrevues. Je dois dire quand ce domaine je suis plutôt chanceux, et je ne puis résister à l’envie de vous raconter mon dernier « coup de chance », qui fut particulièrement bandant et qui m’a procuré un plaisir extrême.
Lors de ma première rencontre avec l’avocat pour mon affaire de divorce, j’arrivais dans le cabinet avec quelques minutes de retard. Je donnais mon nom à la réceptionniste à l’accueil. Elle eut un large sourire avant de roucouler.
- Oui, vous allez prendre l’ascenseur face à vous et monter au deuxième étage. À votre arrivée, une secrétaire vous accueillera et vous accompagnera jusqu’au bureau de maître X.
Une femme, dont la grosse bouche semblait faire la moue mais aux yeux d’un très beau bleu, m’accueillait à ma sortie, et demanda dans un souffle :
- Monsieur Alainylon ?
- Oui, c’est bien moi, répondis-je.
- Maître X vous prie de l’excuser, il est retenu par un rendez-vous à l’extérieur. Il vous demande de bien vouloir l’attendre. Si vous voulez bien me suivre.
Elle virevolta, et me précéda. Je découvrais chez elle, une chute de reins incroyablement cambrée, soulignée par la jupe tendue à craquer. Le léger balancement achevait de me donner le vertige. Elle ne pouvait pas ignorer l’effet qu’elle me faisait. Arrivée dans un bureau, elle prenait place sur une chaise, se tortillant pour croiser des jambes charnues, tant sa jupe était serrée. J’en avais la bouche sèche.
Elle m’invita alors à m’asseoir sur une chaise face à son bureau. N’ayant rien d’autre à faire, je la regardais s’affairer sur son ordinateur. Découvrant soudain l’absence d’un panneau devant le bureau. Lentement, je sentais mon bas-ventre se réchauffer. Je soulevais ma chaise en toute discrétion et la reculais pour avoir un plus grand angle d‘observation. La secrétaire tapait toujours sur le clavier les yeux rivés sur la feuille posaient sur sa gauche.
Je pris un feuillet dans mon dossier et fis semblant de le consulter. Seule les longues jambes douces et effilées de la secrétaire m’intéresser.
Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais la sensation qu’elle se doutait que je l’épiais. Ça ne m’empêchais de regarder le galbe de ses jambes. Je n’avais qu’une envie, glisser ma main entre ses cuisses. Je n’avais plus en face de moi, une secrétaire mais un sexe. Une chatte avec un minou dont je mourais d’envie de faire plus ample connaissance avec lui.
Je m’attardais. Je profitais à loisir de scruter ses jambes. Elle se mit tout à coup à croiser négligemment les jambes. Apparemment peu soucieuse du spectacle qu’elle pouvait me donner. Comme dans un songe, les genoux de la secrétaire se séparèrent. Ses cuisses blanches surgissaient de la jupe qui remontait. Elles s’ouvraient de plus en plus. Dans ma vue apparut alors, à leur jointure, un triangle blanc. Un string en fin dentelle qui surmontait des bas de couleur chair et sensuels. Je me mordais les lèvres pour ne pas lâcher un cri de surprise et d’envie.
Elle me regardait. Avait-elle deviné l’effet qu’elle me faisait ?
Je restais interdit. Je la surpris, esquissait un sourire. Soudain, ses mains descendaient jusqu’à sa jupe et, d’un mouvement vif, se glissaient dessous pour ressortir aussitôt, entraînant le mince bout de tissu. Lentement, elle le glissait jusqu’à ses genoux et le laissa continuer sa course le long de ses fins mollets avant de s’arrêter sur ses petites chevilles qui surmontaient de jolis escarpins noirs.
D’un geste preste, elle dégagea un pied, puis l’autre. Du bout du doigt, elle fit tournoyer la dentelle. Jusqu’à ce qu’il lui échappe et vole à travers le bureau pour atterrir à deux mètres à droite de mon poste d‘observation. J’avais chaud. Avec un sourire à la fois innocent et satisfait, elle écarta ses cuisses, m’exhibant son intimité. Elle se régalait de l’effet que cela produisait sur moi. L’air était électrique et empreint de sensualité !
Le tableau qui s’offrait à moi était impensable. Une vraie débauche sexuelle, qui enflammait mon bas-ventre. Comme si ce n’était pas assez, voilà que la coquine s’enfilait un doigt dans son sexe. Ressortait et replongeait à nouveau, laissant apparaître à chaque pénétration un mince filet de mouille qui s’écoulait de son antre. Je relevais la tête et croisais son regard. Il était couronné d’un sourire espiègle et d’un regard soutenu qui sonnait comme une invitation à venir la rejoindre.
Soudain, une sonnerie de téléphone retentit. Me ramenant dans le présent. Je n’en revenais pas moi-même. J’avais été la proie d’une hallucination. Un jeu d’ombres… une farce de mon subconscient. Pour me le prouver je n’avais qu’à tourner la tête sur le côté pour m’apercevoir qu’il n’y avait aucune dentelle sur le sol.
À la deuxième sonnerie, la secrétaire se mit aussitôt à gigoter sur son fauteuil. Elle décrocha le combiné de téléphone et je l’entendais dire, un :
- Oui monsieur…
La conversation fut brève et la femme reposa l’appareil sur son socle. Un homme de taille moyenne pénétra quelques instants plus tard dans le bureau, et me serra chaleureusement la main.
- Je suis désolé de vous avoir fait attendre ! Vous ne vous êtes pas trop ennuyé. Voulez-vous bien me suivre, s’il vous plaît. Il me précéda jusqu’à son bureau.
Une heure plus tard, je sortais du bureau, suivi de l'avocat. Il me raccompagna jusqu’à la porte. Je fus contrarié de ne plus trouver la secrétaire derrière son bureau.
Mais alors que j’avançais en direction de ma voiture, que fut ma surprise d’y voir sur le même parking, je vous la laisse en mille. Et bien oui ! La fameuse secrétaire. Elle était appuyée sur la portière d’une Ford Fiesta d’un rouge vif. D’ailleurs elle me fixait quelques instants et, me reconnaissant, elle me sourit. Je fis un petit décrochement et allais à sa rencontre. Elle tenait en laisse un teckel.
- Je viens de le récupérer, me dit-elle. Une amie, qui habite le quartier me le garde pendant que je travaille.
Nous avions échangé quelques banalités. À un moment le chien s’était pris les pattes dans la laisse. Pour lui venir en aide, elle s’était accroupie aussitôt. Ma galanterie m’obligeait à faire de même. Je marquais un étonnement. Sa position me donna l’opportunité de me régaler la vue. Ravi devant le spectacle de la légère une culotte en dentelle blanche. Tiens ! Tiens… Qui soulignait, plus qu’il ne le protégeait, l’adorable fruit défendu. Des mèches de poils s’échappaient sur les côtés du triangle de tissu. Que du bonheur !
Moi qui ai horreur des minous chauves ou juste soulignés d’une virgule de quelques poils, j’étais là gâté !
Mais aussi médusé, pétrifié, scotché par cette vision bandante. Une érection spontanée déformait mon pantalon. Je soulevais la patte du chien alors qu’elle s’occupait de délier la laisse. Je bandais maintenant très dur. Et la coquine s’en était aperçus. Je perçus comme une petite rougeur sur ses joues, alors qu’elle se redressait.
- Je m’excuse pour ma réaction très masculine, mais ce n’est pas contrôlable.
Elle sourit en me disant :
- Ne vous excusez pas. Après tout, cette réaction est parfaitement naturelle, non ?
Elle avait tout de même conscience qu’elle était la responsable. Ne manquant pas d’humour elle ajouta :
- Si je peux me le permettre, je vous conseillerez de rentrer le plus vite pour que madame…
- Je suis en instance de divorce, la coupais-je. Le rendez-vous avec l’avocat.
- Ho! Je m’excuse.
- Je vous en prie. Vous n’êtes pas censé de le savoir.
- Mais alors ? réplique-t-elle.
- Oui, hélas, je ne peux que compter sur moi-même.
- Non… vous n’allez pas me faire croire que vous n’avez pas une copine qui veuille bien vous soulager.
- Même pas.
- Mais putain ! Dans quel monde en vie, fit-elle, avec un petit rire mi-narquois, mi-émoustillé. Alors qu’elle posa sa main sur ma protubérance.
- Si vous le permettez, je ne serai pas contre de vous soulager de votre trop plein d’excitation. D’ailleurs je suis tout de même la responsable, même involontairement de votre saillit. En conséquence, je vous dois réparation. Ne voulant pas trahir mon époux, je vous propose le prêt de ma main. Mais pour cela montant dans ma voiture.
Après avoir jeté ce chien sur le siège avant, elle m’invita à prendre place sur la banquette arrière. Comme l’aurait fait une infirmière, elle écarta les obstacles qui la gênaient, avant d’entourer ma verge de ses doigts. Très lentement, elle commença une caresse de haut en bas, et de bas en haut. C’était délicieux. Sa bouche était entrouverte, comme guettant une proie. Des gens passaient tout près de nous sans se douter ce qui se tramer à bord de cette voiture.
Je posais une main sur son genou, et commençais à remonter le long de sa cuisse prenant la direction de son sexe, alors qu‘elle s’agitait sur ma hampe. Alors que j’effleurais les poils fugitif, je restais un bref instant interdit. Elle me détacha un petit sourire et souleva les épaules.
- J’en ai moi aussi, une énorme envie, dit-elle. Et d’ailleurs mon marie n’en saura rien.
Elle secoua la tête comme pour signifier un « Vas-y, sers-toi ». J’insérai ma main sous l’élastique de sa culotte. Elle était à tordre. Alors que je le lui ôtais, elle referma les jambes pour que je puisse aisément la faire glisser le long de ses jambes. Je n’ai pas pu m’empêcher de l’enfouir sur mon visage. Je lus chez elle de la stupéfaction. Elle n’était sans doute pas, coutumière de ce genre d’agissement
Le temps de la fourrer dans ma poche, (pour ma collection), et je glissais de nouveau ma main sous sa jupe. De l’index et de l’annulaire j’écartais doucement ses lèvres pour venir titiller son clitoris avec mon majeur. Tantôt le frôlant à peine, tantôt tournant autour, j’abandonnais son petit bouton pour introduire la première phalange de mon doigt dans son vagin. Il débordait de mouille. Je ramenais le majeur recouvert d’une épaisse couche de mouille pour la respirer longuement avant de la goûter à petits coups de langue.
Puis je replongeais ma main sous son vêtement pour m’occuper de son clitoris que je pris entre deux doigts, le massant. Il était déjà très gonfler. Sa tête rejetée en arrière, sa respiration s’accélérait. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle attrapa ma main et enfonça mes doigts tout au fond de sa grotte humide. Elle se raidit, je comprenais qu’elle était au bord de l’orgasme. Le brutal coup de reins qu’elle donnait en était la preuve. De sa main libre elle attrapa mon autre main et la porta à sa bouche et mordilla mes doigts. Je sentais son souffle saccadé sur ma main et de l’autre les contractions de son vagin autour de mes deux doigts. Après cette apothéose orgasmique arrosée, la secrétaire sombra dans un état de calme béat. Elle était apaisée et son visage reflétait une indicible paix. Elle soupira et embrassa ma main.
Je retirai délicatement mes doigts de son intimité et les portais à mes lèvres. Je n’eus le temps que de sucer mon majeur, elle attrapa déjà ma main et la porta à sa bouche. Elle suça mon index comme elle l’aurait fait avec une verge.
- Oh ! Que c’était bon ! fit-elle à voix basse.
Puis elle s’occupa de moi. Enduit mon gland d’une grosse quantité de salive, puis se remit en devoir de me masturber. Son pouce vint exciter mon frein. Elle alternait les allers-retours lents puis rapides. Ses doigts fins glissaient sur la peau de mon sexe. Surpris et décontenancé par l’irréalité de la situation mon excitation était à son paroxysme et il ne lui fallut pas plus de trois allers-retours pour me pousser à l’orgasme.
Une sublime jouissance qui se matérialisa par trois jets épais saccadés puissants suivis de quelques gouttes.
Je reprenais peu à peu mes esprits, mais la secrétaire n’était pas du genre à lâcher sa proie aussi facilement. Continuant son massage jusqu’à ce que mon sexe soit complètement débandé.
- J‘ai été à la hauteur ? me questionna-t-elle
- Merveilleux, répondis-je en ajoutant : pourrais-je savoir vôtre prénom ?
- Plaisir. Parfaitement, mon nom est Plaisir.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sans rancune et bisous où vous voulez, Votre chère Ablesse
Faudrait encore que je la veuille !!! Ma chère Ablesse… amitié Alainylon
Faites comme moi les filles ne portez jamais de petite culotte ça évitera de vous la faire faucher, bises à vous toutes
A vous lire j'ai l'impression que vous êtes atteint de satyriasis (nymphomanie au masculin) et j'espère que ma petite culotte ne finira jamais dans la poche d'un homme comme vous