Titre de l'histoire érotique : Nos plaisirs adultérins - histoire érotique

Je suis marié depuis un peu plus de 4 ans. Mais coté sexe, je suis passé à coté de l'amoureuse. Elle n'aime pas trop baiser. Pendant la période pré mariage, elle simulait toujours et moi, pauvre type, je ne m'en apercevais pas. Depuis quelques mois j'ai trouvé une jeune femme qui elle ne simulait pas. Elle était aussi mariée et avec son mari ce n'était pas le top. Nous nous rencontrons souvent pour baiser. Nous prévenons que nous allons rentrer tard où une réunion le samedi. Bref tous les moyens sont bons. Nous descendons toujours au même hôtel et y sommes bien reçus.
Nous faisons l'amour à perdre haleine. Ma maîtresse, Claire est très belle et possède tous les atouts: Sa poitrine me plait bien et j'aime beaucoup ses tétons. Son ventre plat domine un pubis toujours bien rasé. Ses jambes fuselées sont très longues
Ce qu'aime Claire en amour: tout ce qui peut faire jouir. Ce que Claire aime chez moi, c'est ma queue assez longue (18 cm) et sa grosseur (6 cm) et mes façons de la faire jouir.
J'oubliais, Claire est bisexuelle.
Quand nous sommes deux les choses sont simples: une fois nus, nous commençons une bonne séance. Nous nous embrassons et commençons par faire un 69 que nous ne finissons jamais: il ne faut pas jouir encore comme ça. Notre 69 n'est qu'un hors d'oeuvre: nous y retrouvons les goûts et les odeurs du l'autre sexe.
Nous sommes très excités, surtout Claire. Je ne la baise pas encore: je la branle comme elle aime: Ma main suit sa fente de haut en bas: du clitoris que je frôle jusqu'au cul où je pénètre une ou deux phalanges. Je remonte pour rentrer dans le con. Mes doigts cherchent et trouvent son point sensible. Je caresse cet endroit et souvent elle jouit à ce moment là. Je retire mes doigts pour enfin lui branler son point faible: le clitoris. Je le lui branle longtemps et elle jouit sans arrêt.
Enfin elle prend ma bite et la caresse comme si elle me branlait. Elle prend mes couilles dans sa main et les caresse. Elle me fait bander encore plus. Quand elle sent que je suis à point elle s'étend sur le dos et ouvre ses jambes en me disant: mets la moi.
Je pose ma bite à l'entrée du con. Elle me supplie de la baiser. Je la laisse un peu sur sa faim de bite et enfin je rentre dans le sexe humide. Nous cadençons nos mouvements et elle éclate plusieurs fois avant que mon sperme jaillisse. Je reste en elle jusqu'à ce que je débande. Je sors de son con et elle s'occupe encore de ma queue. Elle la suce et me caresse toujours les couilles. Quand ma bite renaît, elle est satisfaite: elle va pouvoir continuer ses galipettes.
Ensuite elle me laisse couché et m'enjambe pour se faire enculer. Elle pose ma bite sur son anus et lentement elle se laisse aller pour avoir ma bite dans le cul. Elle l'enfonce à fond. J'ai l'impression que je vais la traverser. Elle se branle et je vois ses doigts s'agiter sur son con.
Quand elle jouit pendant une sodomie, je sens se contracter son anus et souvent ça me fait jouir. Je résiste quand même pour qu'elle ait un plaisir plus profond. Il me semble que quand je jouis dans son anus, j'ai davantage de sperme qui sort de ma pine.
Connaissant ses désirs de baise avec une autre souvent je lui demande de venir avec une amie, toujours la même. Au fond si je lui demande cette chose c'est que cette amie me plait bien aussi et que nous nous entendons toujours en baisant. Dans le couple homo, c'est elle qui a le rôle actif. Elle a toujours avec elle un godemiché double qui permet de baiser son amie et de se branler à la fois le point G et le clitoris: un délice parait-il.
Cet après midi, donc la copine Élise est venue. Nous allons toujours dans la même chambre et nus, nous commençons à baiser. Disons qu'elles commencent à faire l'amour. Après une petite branlette elles se mettent en 69 et commencent les choses sérieuses: elles se font jouir plusieurs fois. Je les regarde et je bande sans arrêt. Élise me demande de venir lui mettre ma queue dans son fourreau. Elle est fort bien mouillée et je rentre facilement en elle: nous nous faisons l'amour ainsi plusieurs fois: elle jouit fort et souvent. Claire nous regarde et se branle avec le fameux gode double. Les deux filles ont quelque chose dans leurs cons: c'est le principal. Je jouis comme toujours avec Élise qui sait baiser comme peu de femme savent le faire.
Comme je débande les deux femmes vont s'aimer devant moi sans complexe: Claire se met sur le dos et écarte les jambes. Élise prépare le gode. Elle se le rentre dans le con et le met bien en place. Elle vérifie que le point G est touché et que le clitoris aussi aura aussi les sensations voulues. Ensuite, elle se couche sur Claire et lentement la baise. Je vois de temps en temps le gode entre les deux ventres. Elles sont seins contre seins. Je les vois jouir encore plusieurs fois à la file. Elles sont insatiables. Je bande encore plus et je suis sur le point de me branler devant elles, car je sais qu'elles aiment me voir pendant que je me masturbe. Pourtant je veux faire autre chose avec Élise. Elle baise toujours son amante avec le gode et moi je veux l'enculer. Je sais qu'elle aime bien se faire sodomiser, mais je n'ai pas essayé pendant qu'elle baisait. Aussi, avec de la salive, je mouille bien ma bite et la pose sur son cul. Élise ne réagit pas: je peux donc la lui mettre dans le cul. Je rentre doucement. Comme elle baise elle fait les mouvements qui me permettront de lui jouir dans le cul. En attendant, nous sommes trois et ne formons plus qu'un seul corps agité par la baise.
Élise jouit en moi je reste en plan. Tant pis, je propose à Claire de l'enculer: elle offre ses fesses et les écarte, aidé par Élise. Je la pénètre encore et je sens mes couilles battre contre ses fesses. Claire pousse de légers soupirs: elle ne va pas tarder à jouir. En tout cas elle le fait avant moi. Alors je fais ce qu'elle aiment voir: je me branle lentement et de plus en plus vite pour jouir. Elles se masturbent en me regardant attentivement. Quand mon sperme sort, elles se partagent me semence.
C'est ainsi qu'avec Claire nous prenons du plaisir hors du mariage. Ce n'est peut être pas bien moral, mais nous y prenons un plaisir fabuleux.