Titre de l'histoire érotique : Nous avons une belle terrasse et .... un enfant !
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Nous avons une belle terrasse et .... un enfant !
Je viens de faire un test de grossesse …il est positif, je devrais me réjouir mais ce n’est pas si simple…
Je m’appelle Marine, vingt trois ans mariée a Lucien vingt six ans, je l’aime il m’aime c’est lui qui a eue ma virginité il y a six ans
Laissez moi vous présenter mes beaux parents, Marinette ma belle mère quarante huit ans, encore belle femme que je qualifierais de ‘ superficielle ‘ ses trois mots favoris sont : fringues, chaussures, carte bleue, elle ne travaille pas, jalouse que son fils me préfère a elle et de mes tenues parfois excentriques mais décentes
Charles mon beau père, le mot beau est justifié … une carrure d’athlète, ancien boxeur ancien rugbyman devenu petit entrepreneur de maçonnerie, il se tue au travail pour payer les caprices de sa femme, je suis ‘ sa brut préférée ‘ vu que je suis la seule c’est rigolo ! il adore mes tenues excentriques et lorgne quelques fois mes cuisses découvertes du coin de l’œil mais fait preuve d’un grand respect pour ma personne
Lucien ? Fait la moitié de son père, aussi grand mais filiforme, sportif ? Il faisait badminton au lycée !!! Intelligent, beau sinon je ne l’aurais pas épousé, mais ne sait pas planter un clou ! Sexuellement ? A mon point de vue, normal, sa verge fait dix sept centimètres sur 3,5 … je sais pour avoir vu des vidéos qu’il y a mieux mais il me contente … enfin, plus souvent et plus de diversité me conviendrais ….
Il y a trois mois nous étions invités chez eux, ils habitent à cent vingt kilomètres de notre maison, pendant le déjeuner Lucien a lancé un projet qui a faillit faire étouffer mon beau père …
- Papa, je vais faire une terrasse derrière la maison, j’ai déjà tout acheté !
- Mon fils est fou ! toi faire une terrasse ? laisse-moi rire ! ne fait pas ça le résultat me ferais honte, je ferais plus confiance a ta femme pour la maçonnerie ! si je n’habitais pas si loin je te la ferais mais je ne vais pas me taper plus de deux cents bornes pendant au moins trois jours
Et moi d’ajouter...
- Et si vous veniez passer une semaine chez nous tous les deux ?
- Moi je veux bien mais ta belle mère ça m’étonnerais qu’elle quitte son clocher !
- Tu peux y aller seul Charles au contraire ça me feras des vacances !
- Comme tu veux …
- Chérie tu poseras quelques jours de R T T papa peut avoir besoin de quelqu’un
- Ça ne me dérange pas ….
C’est de là que tout a commencé …..Quinze jours plus tard Charles a débarqué avec sa camionnette et sa petite valise, aussitôt il s’est mis au boulot, j’admire ses gestes précis, la sueur qui souille son marcel, ses poils bouclés qui en dépassent, les muscles puissants qui roulent sous sa peau….
- Au lieu de me surveiller tu va m’aider, mais avant va te changer, pas d’arpette en jupe !
- Tout de suite Charles !
Ma changer … je n’ai qu’un petit short en jean mais il découvre un peu mes fesses, je vais mettre par dessus un grand teeshirt a Lucien… ouais... ça ne cache pas grand-chose, tant pis il m’a déjà vue en maillot de bain, un soutient gorge ? Il fait chaud si je dois bosser je vais être en nage et avec ce grand teeshirt vague on ne voit rien, Charles a ouverts de grands yeux mais ne s’est pas permis une réflexion, je lui fais passer des outils ou des matériaux, de dos je me penche sans plier les genoux je suis certaine qu’il ne perd pas une miette de mon anatomie qui doit être moulée par le tissu tendu, je l’entend même souffler et marmonner, il travaille souvent a genoux mon ventre est juste a hauteur de ses yeux qui fixent le ‘ bon endroit ‘
L’après midi une chaleur orageuse et moite électrise l’atmosphère, Charles est en sueurs je respire ses relents de mâle que j’adore
- Marine ? ton tuyau d’arrosage est branché ?
- Oui
- Je vais m’arroser un peu je n’en peu plus, dirige le jet en pluie sur moi
J’appuis sur la poignée et règle le jet en vaporisation
- Approchez….
Les premières gouttes le font frissonner mais il se prête au jeu et tourne sur lui-même, l’eau dégouline sur son ventre et bien au-delà ….le short est carrément imbibé, sans doute le slip aussi et ce qu’il renferme ….L’image de son sexe et ses testicules mouillées passe devant mes yeux, je suis tellement déconcentrée que sans le vouloir dérègle la poignée, un jet dru le frappe en plein visage
- Petite chipie attend tu va voir !
Il se jette sur moi et m’arrache la poignée des mains
- Tient ! prend ça à ton tour !
Je suffoque, mes cheveux trempés tombent sur mes yeux, l’eau ruisselle sur mon corps, soudain le jet s’arrête, je le vois médusé les bras ballants, le tuyau au sol il me fixe …je réalise que mes seins nus sont parfaitement dessinés sous le teeshirt trempé, et vu la paire de seins bien pleins que je possède il est servi … des gens m’ont souvent demandés s’ils sont naturels et c’est le cas
- Excuse moi je ne voulais pas …tu devrais te couvrir…
- Ce ne sont que des nichons beau papa !
- Mais tu es mouillée partout !
C’est vrai ma culotte est trempée, mais vu le regard de braise qu’il me jette ce n’est plus de l’eau qui dégouline dans ma culotte… une gêne s’installe, vite passée pour ma part mais pour lui c’est plus difficile… son short s’est gonflé, je décide de m’éloigner pour ne pas envenimer la gêne
- Jeeeeee…. Je vais au garage m’essuyer ….
Dans le garage il y a une vielle armoire à glace avec de vieilles fringues, je prends un vêtement de coton, ote mon teeshirt qui colle a ma peau et tamponne ma poitrine et mon ventre quand dans la glace je vois Charles juste derrière moi …..
- Excuse moi encore je n’aurais pas dût faire ça...
Mes jambes se dérobent sous moi, je me retourne et m’accroche a lui, ma joue sur ses poils mouillés, mes seins s’écrasent sur son torse, mon ventre pèse sur le sien, ses bras jusque là pendant se posent sur mes épaules et essaient de me repousser
- Ne fait pas ça petite …
Pour toute réponse je me colle a lui encore plus, je sens son paquet qui gonfle sur mon ventre, sa queue ne ment pas, vaincu il m’enserre de ses grands bras je lève mon visage vers le sien, il finit par baisser la tête nos lèvres se joignent, nos langues se battent entre elles, dans mon ventre c’est la tempête, dans ma culotte c’est un déferlement, mon bassin ondule et se cabre, une bosse énorme nous sépare , Charles me lâche d’une main qui vient se poser sur un sein
- Emmène-moi dans ta chambre …
- Il ne faut pas Marine
- EMMÈNE MOI DANS TA CHAMBRE !!!! je t’en supplie j’ai trop envie ….
Mon beau père me lâche et en un clin d’œil quitte ses vêtements, mon short gît a terre, il me prend dans se bras, nue, sans forcer, comme une jeune mariée qu’on emmène dans la chambre nuptiale, sa queue tendue tape sur mes fesses a chaque pas
Il me dépose délicatement au beau milieu de la couche et me détaille des pieds à la tête tenant sa queue démesurément bandée à la main
- Donne la moi …
Comme un robot il vient a genoux prés de moi, un gland violet a moitié décalotté me menace, je m’assois, ouvre la bouche, Charles avance sa matraque noueuse dont je me saisie, mes doigts n’en font pas le tour, je tire lentement sur la peau, une fois le champignon écarlate mis a jour je le gobe amoureusement, Charles tend une main en direction de mon entre- cuisses ruisselant, un index énorme pénètre ma vulve gonflée par le désir
- Tu mouille …
- Mmmmuuuuuummmmmmm
- Je vais te baiser tout de suite ….
- Si tu veux Charles
Les genoux remontés aux seins je lui tends les bras, sans quitter ma chatte des yeux il se met en position de pénétration, la queue sépare mes lèvres, frotte longuement mon clitoris bandé, il prélève de sa salive sur le bout de ses doigts et s’en macule le gland
- J’espère ne pas te faire mal …
- Pourquoi me ferais-tu mal ?
- Ta belle mère ne veux plus baiser a cause soit disant de la grosseur de ma pine
- J’ai trop envie pour avoir mal et je suis bien dilatée, va y baise moi …
La tête relevée je regarde effarée le gourdin disparaitre doucement entre mes lèvres qui se modifient, les parois se prêtent a la dimension en me procurant une sensation d’accouchement a l’envers mais le plaisir est bien plus fort que cette mini douleur
- Ça va ?
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii pousse ! vas-y en force !
Charles plaque ses mains sur mes épaules et arque son dos, les derniers centimètres sont avalés, nos poils encore humides se mélangent
- Reste un peu ainsi que je savoure …
- Ton vagin étrangle ma bitte
- C’est trop bon … baise moi a ton rythme maintenant
- Je décharge sur ton ventre ?
- Tu es fou ? donne-moi tout dedans
- J’espère que tu prends la pilule
- C’est mon affaire …..
Avec des mouvements amples Charles se met en devoir de me saillir avec application longtemps très longtemps, je râle sans discontinuer, l’onde dévastatrice de l’orgasme survient et me submerge, ne pouvant s’échapper tant sa queue fait joint une source de mouille gonfle ma gaine vaginale, autant surpris que moi par ce phénomène mon amant lâche toute sa semence augmentant la dilation, sa queue baigne carrément dans un jus brulant, sous pression il me semble que ce jus remonte directement dans mon utérus
Nous restons corps à corps peu pressés de nous désaccoupler, la verge ne désenfle pas, malgré ma désapprobation Charles décide de retirer doucement sa queue, quand le gland arrive aux lèvres un jet puissant nous inonde, une fois tout évacué c’est comme si mon ventre s’était vidé de ses entrailles
- Excuse moi Marine je dois retourner bosser sinon Lucien va se demander a quoi j’ai passé mon temps, repose toi chérie
- Merci Charles…..
Guillerette après un tel intermède nous avons passés une bonne soirée, je me suis endormie très vite, trop vite pour Lucien qui pour une fois avait envie de baiser, le lendemain matin mon mari devait partir travailler très tôt, mon beau père n’étant pas encore levé je me suis glissée dans son lit en mettant directement une main entre ses jambes, sa verge même au repos est volumineuse
- Que fais-tu là Marine ? et ton mari ?
- Il est partit, laisse- moi te sucer
Sans attendre son consentement je plonge sous les draps d’où des relents de notre fornication de la veille montent encore, cette fois j’avale une partie de la hampe, mais ça ne dure pas longtemps je suis obligée d’en recracher un partie si je ne veux pas étouffer, sans doute surpris par mon intrusion Charles décharge en deux minutes une bonne rasade de foutre que j’avale en guise de petit déjeuner
- Huuuuuuuuuuuummmmmmmm ça fait du bien ! aller en levrette maintenant
Le cul cambré tourné vers lui il ne peu résister a ma chatte exhibée de façon indécente et me plante directement sa matraque dans la matrice m’arrachant un cri de bête blessée
- Les petites salopes comme toi je ne les baise pas je les défonce
- Vas-y tape moi dans la moule espèce de pervers !!!!
Le colosse pilonne mon vagin à grands coups de reins faisant claquer son panse sur mon cul, une fois de plus ma gaine vaginale est mise a rude épreuve mais quel plaisir immense de sentir cette matraque coulisser dans mon ventre, je mords dans l’oreiller et cambre encore plus le cul lorsqu’il titille de son doigt ma cible étoilée qui cède et avale son pouce jusqu'à la dernière phalange
- Ne crains rien je ne vais pas t’enculer, du moins pas aujourd’hui ! je teste simplement l’élasticité de ta rondelle
- Travaille le bien demain tu me la mettras dedans
- Ce chantier va durer deux semaines !
- Baise moi Charles, défonce ma moule, remplis moi encore de ton jus
- Ça va te ressortir par les narines, je vais t’enfiler deux doigts dans le fion
- Salaud je vais ……. JOOOOUUUUIIIIIIIIIIIIR OOOOOOOUUUUUUHHHHHHHH !!!!!
- MOI AUSSSSSSIIIIIIIIII ! HOOOOUUUUUUUAAAAAAAAAAAH !
Comme la veille la semence prisonnière cherche un passage mon utérus en prend plein la poire, je n’ai jamais ressentie cette sensation avec mon mari, Charles reste collé a moi comme un chien prisonnier de sa chienne, longtemps sa queue sursaute dans mon con avant de sortir a peine ramollie, va –t- il me sodomiser ?
- Aller fillette au boulot
- Tu me laisse comme ça ? j’ai encore envie moi !
Sans un mot il quitte la chambre, je vais prendre une douche sans purifier mon vagin je le laisse gluant de sperme, une fois un café avalé je le rejoins en teeshirt, seulement en teeshirt et l’anus tartiné de crème visqueuse …. Je fais exprès de me pencher en lui tournant le dos, il bougonne et continue son travail …une idée me viens ….je me penche sur un tas de sacs de ciment et relève mon vêtement jusqu’aux reins les cuisses ouvertes mon cul bien exposé...
- Charles ? je suis prête …..
- Prête ? prête à quoi ? ho putain ! quelle salope ! tu vas voir ce que tu vas voir …
Je me prépare mentalement, en aucun cas je ne doit laisser paraitre une quelconque souffrance, je n’attends pas longtemps, une manthule frotte mon sexe avant de s’arrêter sur ma cible boursouflée qui palpite
- Ne te rétracte pas pousse ……ouvre toi avec tes mains ……
- Oui Charles
Je tire au maximum sur mes fesses afin de les écarter, l’homme crache sur mon petit trou et force son champignon à me perforer, je dois déchirer une brulure atroce me fait venir les larmes aux yeux mais je ne bronche pas …
- Ça rentre …ça va aller … voilà tu viens d’absorber le diamètre y’a plus qu’a faire entrer la tige
- Reste immobile une seconde … VOUFF quel suppositoire !
- Je t’avais prévenue, je continue …je sors de deux centimètres et…. HANNNN !! en voilà dix d’avalés ! tripote ton clitoris ça va te faire oublier la douleur, quel cul tu as …..
- Va y Charles encule ta belle fille, laisse moi un souvenir impérissable de cette terrasse
Mon beau père m’a limée méthodiquement comme un métronome pendant un temps interminable j’ai tachés les sacs de ciments avec le jus qui dégouline de ma chatte a chaque orgasme, soudain il s’est fiché au plus profond de moi pour se vider les bourses, comme pour mon vagin il attend que sa queue sorte d’elle-même, mon entre cuisse s’enduit d’un jus glauque qui glisse lentement jusqu'à mes chevilles
Il s’est lavé au robinet et repris son boulot sans plus m’adresser la parole, je suis allée sous la douche et me suis recouchée … je ne l’ai plus sollicité durant son séjour pour me baiser tellement mon entre jambes est tuméfié …jamais je n’oublierais puisque je suis enceinte ….
Je m’appelle Marine, vingt trois ans mariée a Lucien vingt six ans, je l’aime il m’aime c’est lui qui a eue ma virginité il y a six ans
Laissez moi vous présenter mes beaux parents, Marinette ma belle mère quarante huit ans, encore belle femme que je qualifierais de ‘ superficielle ‘ ses trois mots favoris sont : fringues, chaussures, carte bleue, elle ne travaille pas, jalouse que son fils me préfère a elle et de mes tenues parfois excentriques mais décentes
Charles mon beau père, le mot beau est justifié … une carrure d’athlète, ancien boxeur ancien rugbyman devenu petit entrepreneur de maçonnerie, il se tue au travail pour payer les caprices de sa femme, je suis ‘ sa brut préférée ‘ vu que je suis la seule c’est rigolo ! il adore mes tenues excentriques et lorgne quelques fois mes cuisses découvertes du coin de l’œil mais fait preuve d’un grand respect pour ma personne
Lucien ? Fait la moitié de son père, aussi grand mais filiforme, sportif ? Il faisait badminton au lycée !!! Intelligent, beau sinon je ne l’aurais pas épousé, mais ne sait pas planter un clou ! Sexuellement ? A mon point de vue, normal, sa verge fait dix sept centimètres sur 3,5 … je sais pour avoir vu des vidéos qu’il y a mieux mais il me contente … enfin, plus souvent et plus de diversité me conviendrais ….
Il y a trois mois nous étions invités chez eux, ils habitent à cent vingt kilomètres de notre maison, pendant le déjeuner Lucien a lancé un projet qui a faillit faire étouffer mon beau père …
- Papa, je vais faire une terrasse derrière la maison, j’ai déjà tout acheté !
- Mon fils est fou ! toi faire une terrasse ? laisse-moi rire ! ne fait pas ça le résultat me ferais honte, je ferais plus confiance a ta femme pour la maçonnerie ! si je n’habitais pas si loin je te la ferais mais je ne vais pas me taper plus de deux cents bornes pendant au moins trois jours
Et moi d’ajouter...
- Et si vous veniez passer une semaine chez nous tous les deux ?
- Moi je veux bien mais ta belle mère ça m’étonnerais qu’elle quitte son clocher !
- Tu peux y aller seul Charles au contraire ça me feras des vacances !
- Comme tu veux …
- Chérie tu poseras quelques jours de R T T papa peut avoir besoin de quelqu’un
- Ça ne me dérange pas ….
C’est de là que tout a commencé …..Quinze jours plus tard Charles a débarqué avec sa camionnette et sa petite valise, aussitôt il s’est mis au boulot, j’admire ses gestes précis, la sueur qui souille son marcel, ses poils bouclés qui en dépassent, les muscles puissants qui roulent sous sa peau….
- Au lieu de me surveiller tu va m’aider, mais avant va te changer, pas d’arpette en jupe !
- Tout de suite Charles !
Ma changer … je n’ai qu’un petit short en jean mais il découvre un peu mes fesses, je vais mettre par dessus un grand teeshirt a Lucien… ouais... ça ne cache pas grand-chose, tant pis il m’a déjà vue en maillot de bain, un soutient gorge ? Il fait chaud si je dois bosser je vais être en nage et avec ce grand teeshirt vague on ne voit rien, Charles a ouverts de grands yeux mais ne s’est pas permis une réflexion, je lui fais passer des outils ou des matériaux, de dos je me penche sans plier les genoux je suis certaine qu’il ne perd pas une miette de mon anatomie qui doit être moulée par le tissu tendu, je l’entend même souffler et marmonner, il travaille souvent a genoux mon ventre est juste a hauteur de ses yeux qui fixent le ‘ bon endroit ‘
L’après midi une chaleur orageuse et moite électrise l’atmosphère, Charles est en sueurs je respire ses relents de mâle que j’adore
- Marine ? ton tuyau d’arrosage est branché ?
- Oui
- Je vais m’arroser un peu je n’en peu plus, dirige le jet en pluie sur moi
J’appuis sur la poignée et règle le jet en vaporisation
- Approchez….
Les premières gouttes le font frissonner mais il se prête au jeu et tourne sur lui-même, l’eau dégouline sur son ventre et bien au-delà ….le short est carrément imbibé, sans doute le slip aussi et ce qu’il renferme ….L’image de son sexe et ses testicules mouillées passe devant mes yeux, je suis tellement déconcentrée que sans le vouloir dérègle la poignée, un jet dru le frappe en plein visage
- Petite chipie attend tu va voir !
Il se jette sur moi et m’arrache la poignée des mains
- Tient ! prend ça à ton tour !
Je suffoque, mes cheveux trempés tombent sur mes yeux, l’eau ruisselle sur mon corps, soudain le jet s’arrête, je le vois médusé les bras ballants, le tuyau au sol il me fixe …je réalise que mes seins nus sont parfaitement dessinés sous le teeshirt trempé, et vu la paire de seins bien pleins que je possède il est servi … des gens m’ont souvent demandés s’ils sont naturels et c’est le cas
- Excuse moi je ne voulais pas …tu devrais te couvrir…
- Ce ne sont que des nichons beau papa !
- Mais tu es mouillée partout !
C’est vrai ma culotte est trempée, mais vu le regard de braise qu’il me jette ce n’est plus de l’eau qui dégouline dans ma culotte… une gêne s’installe, vite passée pour ma part mais pour lui c’est plus difficile… son short s’est gonflé, je décide de m’éloigner pour ne pas envenimer la gêne
- Jeeeeee…. Je vais au garage m’essuyer ….
Dans le garage il y a une vielle armoire à glace avec de vieilles fringues, je prends un vêtement de coton, ote mon teeshirt qui colle a ma peau et tamponne ma poitrine et mon ventre quand dans la glace je vois Charles juste derrière moi …..
- Excuse moi encore je n’aurais pas dût faire ça...
Mes jambes se dérobent sous moi, je me retourne et m’accroche a lui, ma joue sur ses poils mouillés, mes seins s’écrasent sur son torse, mon ventre pèse sur le sien, ses bras jusque là pendant se posent sur mes épaules et essaient de me repousser
- Ne fait pas ça petite …
Pour toute réponse je me colle a lui encore plus, je sens son paquet qui gonfle sur mon ventre, sa queue ne ment pas, vaincu il m’enserre de ses grands bras je lève mon visage vers le sien, il finit par baisser la tête nos lèvres se joignent, nos langues se battent entre elles, dans mon ventre c’est la tempête, dans ma culotte c’est un déferlement, mon bassin ondule et se cabre, une bosse énorme nous sépare , Charles me lâche d’une main qui vient se poser sur un sein
- Emmène-moi dans ta chambre …
- Il ne faut pas Marine
- EMMÈNE MOI DANS TA CHAMBRE !!!! je t’en supplie j’ai trop envie ….
Mon beau père me lâche et en un clin d’œil quitte ses vêtements, mon short gît a terre, il me prend dans se bras, nue, sans forcer, comme une jeune mariée qu’on emmène dans la chambre nuptiale, sa queue tendue tape sur mes fesses a chaque pas
Il me dépose délicatement au beau milieu de la couche et me détaille des pieds à la tête tenant sa queue démesurément bandée à la main
- Donne la moi …
Comme un robot il vient a genoux prés de moi, un gland violet a moitié décalotté me menace, je m’assois, ouvre la bouche, Charles avance sa matraque noueuse dont je me saisie, mes doigts n’en font pas le tour, je tire lentement sur la peau, une fois le champignon écarlate mis a jour je le gobe amoureusement, Charles tend une main en direction de mon entre- cuisses ruisselant, un index énorme pénètre ma vulve gonflée par le désir
- Tu mouille …
- Mmmmuuuuuummmmmmm
- Je vais te baiser tout de suite ….
- Si tu veux Charles
Les genoux remontés aux seins je lui tends les bras, sans quitter ma chatte des yeux il se met en position de pénétration, la queue sépare mes lèvres, frotte longuement mon clitoris bandé, il prélève de sa salive sur le bout de ses doigts et s’en macule le gland
- J’espère ne pas te faire mal …
- Pourquoi me ferais-tu mal ?
- Ta belle mère ne veux plus baiser a cause soit disant de la grosseur de ma pine
- J’ai trop envie pour avoir mal et je suis bien dilatée, va y baise moi …
La tête relevée je regarde effarée le gourdin disparaitre doucement entre mes lèvres qui se modifient, les parois se prêtent a la dimension en me procurant une sensation d’accouchement a l’envers mais le plaisir est bien plus fort que cette mini douleur
- Ça va ?
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii pousse ! vas-y en force !
Charles plaque ses mains sur mes épaules et arque son dos, les derniers centimètres sont avalés, nos poils encore humides se mélangent
- Reste un peu ainsi que je savoure …
- Ton vagin étrangle ma bitte
- C’est trop bon … baise moi a ton rythme maintenant
- Je décharge sur ton ventre ?
- Tu es fou ? donne-moi tout dedans
- J’espère que tu prends la pilule
- C’est mon affaire …..
Avec des mouvements amples Charles se met en devoir de me saillir avec application longtemps très longtemps, je râle sans discontinuer, l’onde dévastatrice de l’orgasme survient et me submerge, ne pouvant s’échapper tant sa queue fait joint une source de mouille gonfle ma gaine vaginale, autant surpris que moi par ce phénomène mon amant lâche toute sa semence augmentant la dilation, sa queue baigne carrément dans un jus brulant, sous pression il me semble que ce jus remonte directement dans mon utérus
Nous restons corps à corps peu pressés de nous désaccoupler, la verge ne désenfle pas, malgré ma désapprobation Charles décide de retirer doucement sa queue, quand le gland arrive aux lèvres un jet puissant nous inonde, une fois tout évacué c’est comme si mon ventre s’était vidé de ses entrailles
- Excuse moi Marine je dois retourner bosser sinon Lucien va se demander a quoi j’ai passé mon temps, repose toi chérie
- Merci Charles…..
Guillerette après un tel intermède nous avons passés une bonne soirée, je me suis endormie très vite, trop vite pour Lucien qui pour une fois avait envie de baiser, le lendemain matin mon mari devait partir travailler très tôt, mon beau père n’étant pas encore levé je me suis glissée dans son lit en mettant directement une main entre ses jambes, sa verge même au repos est volumineuse
- Que fais-tu là Marine ? et ton mari ?
- Il est partit, laisse- moi te sucer
Sans attendre son consentement je plonge sous les draps d’où des relents de notre fornication de la veille montent encore, cette fois j’avale une partie de la hampe, mais ça ne dure pas longtemps je suis obligée d’en recracher un partie si je ne veux pas étouffer, sans doute surpris par mon intrusion Charles décharge en deux minutes une bonne rasade de foutre que j’avale en guise de petit déjeuner
- Huuuuuuuuuuuummmmmmmm ça fait du bien ! aller en levrette maintenant
Le cul cambré tourné vers lui il ne peu résister a ma chatte exhibée de façon indécente et me plante directement sa matraque dans la matrice m’arrachant un cri de bête blessée
- Les petites salopes comme toi je ne les baise pas je les défonce
- Vas-y tape moi dans la moule espèce de pervers !!!!
Le colosse pilonne mon vagin à grands coups de reins faisant claquer son panse sur mon cul, une fois de plus ma gaine vaginale est mise a rude épreuve mais quel plaisir immense de sentir cette matraque coulisser dans mon ventre, je mords dans l’oreiller et cambre encore plus le cul lorsqu’il titille de son doigt ma cible étoilée qui cède et avale son pouce jusqu'à la dernière phalange
- Ne crains rien je ne vais pas t’enculer, du moins pas aujourd’hui ! je teste simplement l’élasticité de ta rondelle
- Travaille le bien demain tu me la mettras dedans
- Ce chantier va durer deux semaines !
- Baise moi Charles, défonce ma moule, remplis moi encore de ton jus
- Ça va te ressortir par les narines, je vais t’enfiler deux doigts dans le fion
- Salaud je vais ……. JOOOOUUUUIIIIIIIIIIIIR OOOOOOOUUUUUUHHHHHHHH !!!!!
- MOI AUSSSSSSIIIIIIIIII ! HOOOOUUUUUUUAAAAAAAAAAAH !
Comme la veille la semence prisonnière cherche un passage mon utérus en prend plein la poire, je n’ai jamais ressentie cette sensation avec mon mari, Charles reste collé a moi comme un chien prisonnier de sa chienne, longtemps sa queue sursaute dans mon con avant de sortir a peine ramollie, va –t- il me sodomiser ?
- Aller fillette au boulot
- Tu me laisse comme ça ? j’ai encore envie moi !
Sans un mot il quitte la chambre, je vais prendre une douche sans purifier mon vagin je le laisse gluant de sperme, une fois un café avalé je le rejoins en teeshirt, seulement en teeshirt et l’anus tartiné de crème visqueuse …. Je fais exprès de me pencher en lui tournant le dos, il bougonne et continue son travail …une idée me viens ….je me penche sur un tas de sacs de ciment et relève mon vêtement jusqu’aux reins les cuisses ouvertes mon cul bien exposé...
- Charles ? je suis prête …..
- Prête ? prête à quoi ? ho putain ! quelle salope ! tu vas voir ce que tu vas voir …
Je me prépare mentalement, en aucun cas je ne doit laisser paraitre une quelconque souffrance, je n’attends pas longtemps, une manthule frotte mon sexe avant de s’arrêter sur ma cible boursouflée qui palpite
- Ne te rétracte pas pousse ……ouvre toi avec tes mains ……
- Oui Charles
Je tire au maximum sur mes fesses afin de les écarter, l’homme crache sur mon petit trou et force son champignon à me perforer, je dois déchirer une brulure atroce me fait venir les larmes aux yeux mais je ne bronche pas …
- Ça rentre …ça va aller … voilà tu viens d’absorber le diamètre y’a plus qu’a faire entrer la tige
- Reste immobile une seconde … VOUFF quel suppositoire !
- Je t’avais prévenue, je continue …je sors de deux centimètres et…. HANNNN !! en voilà dix d’avalés ! tripote ton clitoris ça va te faire oublier la douleur, quel cul tu as …..
- Va y Charles encule ta belle fille, laisse moi un souvenir impérissable de cette terrasse
Mon beau père m’a limée méthodiquement comme un métronome pendant un temps interminable j’ai tachés les sacs de ciments avec le jus qui dégouline de ma chatte a chaque orgasme, soudain il s’est fiché au plus profond de moi pour se vider les bourses, comme pour mon vagin il attend que sa queue sorte d’elle-même, mon entre cuisse s’enduit d’un jus glauque qui glisse lentement jusqu'à mes chevilles
Il s’est lavé au robinet et repris son boulot sans plus m’adresser la parole, je suis allée sous la douche et me suis recouchée … je ne l’ai plus sollicité durant son séjour pour me baiser tellement mon entre jambes est tuméfié …jamais je n’oublierais puisque je suis enceinte ….
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
L'une des meilleures histoire que j'ai pu lire !
Hmmm... le beau-père... si délicieusement pervers...
J'ai pas fini de jouir.
Hmmm... le beau-père... si délicieusement pervers...
J'ai pas fini de jouir.
Pas mal du tout, cette petite histoire !
Y-a-t-il une suite ou pas ?
tes histoires m'ont manqué, et à ma chatte aussi. Il y a quelques fautes mais rien de
grave. Bise love_
grave. Bise love_