Titre de l'histoire érotique : Obsédé du pire
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Obsédé du pire
- Nymphomaniaque. Et pour un homme, comment dit-on ?
C'est la question que j'ai posée à mon compagnon.
- C'est quoi, encore ?
- C'est le titre d'un film d'un réalisateur à la mode, où on voit Charlotte Gainsbourg se faire déshabiller, puis fouettée, et enfin tailler une pipe à plusieurs hommes noirs. J'étais tellement excité que je me suis branlé devant les photos.
- Fais-moi voir...
Je lui montrai le site internet.
- Ils disent qu'elle ne s'est pas faite doubler !
- Moi, j'aurais aimer le faire à sa place ! Répondis-je.
- Toutes les scènes, intégralement ?
- Pour sûr !
- Je peux te monter ça, j'ai des amis qui se régaleraient.
- Quand ?
- Dimanche !
Au lieu dit, deux hommes noirs nous attendaient. L'un d'eux, me prit par le bras, et m'entraîna vers une pièce cachée. Au fond, contre le mur, il y avait un canapé. Le deuxième déboutonna puis ouvrit ma braguette. Il m'enleva mon pantalon, me laissant en caleçon, au milieu de la pièce. Je me dirigeai vers l'accoudoir et me courbai dessus, les fesses proéminentes. Un homme vint et baissa mon caleçon, découvrant mes fesses. Avec une baguette de bois, il me flagella, jusqu'à ce que mes fesses deviennent rouges. Ensuite, je me suis relevé. Je suis allé m'asseoir sur le sofa. Les deux noirs étaient à poil. Leurs sexes dressés, ils se sont approchés. Le premier saisit sa queue et la présenta à ma bouche. Mes lèvres s'entrouvrirent, et le gros gland se posa sur ma langue. Le gars s'assit à son tour et je penchai la tête en même temps que mes lèvres glissaient le long de sa tige. Je le pompai comme une ventouse. Je sentais la pine du gars augmenter de volume entre mes lèvres. J'astiquais tellement bien son manche à couilles, qu'il finit par me remplir l'estomac.
Ils me firent prendre une pause. Me tenant chacun par un bras, ils me conduisirent à nouveau vers l'accoudoir et cette fois, ils m'ont fouetté avec un martinet, et de toutes leur force. Mes fesses étaient en sang.
Dans la version avec Charlotte, ils finissent par la baiser. Comme je n'ai pas de foufoune, ils m'ont enculé. D'abord, chacun leur tour, puis tous les deux ensemble.
Pour ça, celui qui avait la plus courte, s'allongea sur le canapé, à plat dos. Je suis monté sur lui, et me suis empalé sur sa grosse pine. L'autre est passé derrière moi, et sa queue, un peu plus longue a rejoint celle de son copain, dans mon cul. C'est lui qui m'a limé, comme un fou, montant à l'assaut, à la vitesse lumière. Quand ils se sont retirés, leurs membres étaient sanguinolents.
Toujours émoustillé par les photos et par le souvenir de mon épopée, je leur ai demandé de recommencer, une fois par mois, histoire de laisser mon cul cicatriser.
- Cochon qui s'en dédit, chantèrent-ils en choeur.
J'ai 35 ans, et ça fait 15 ans que ces deux colosses se partagent et meurtrissent mon cul. Et ça me donne toujours autant de plaisir.
Merci Monsieur Lars Von Trier !
C'est la question que j'ai posée à mon compagnon.
- C'est quoi, encore ?
- C'est le titre d'un film d'un réalisateur à la mode, où on voit Charlotte Gainsbourg se faire déshabiller, puis fouettée, et enfin tailler une pipe à plusieurs hommes noirs. J'étais tellement excité que je me suis branlé devant les photos.
- Fais-moi voir...
Je lui montrai le site internet.
- Ils disent qu'elle ne s'est pas faite doubler !
- Moi, j'aurais aimer le faire à sa place ! Répondis-je.
- Toutes les scènes, intégralement ?
- Pour sûr !
- Je peux te monter ça, j'ai des amis qui se régaleraient.
- Quand ?
- Dimanche !
Au lieu dit, deux hommes noirs nous attendaient. L'un d'eux, me prit par le bras, et m'entraîna vers une pièce cachée. Au fond, contre le mur, il y avait un canapé. Le deuxième déboutonna puis ouvrit ma braguette. Il m'enleva mon pantalon, me laissant en caleçon, au milieu de la pièce. Je me dirigeai vers l'accoudoir et me courbai dessus, les fesses proéminentes. Un homme vint et baissa mon caleçon, découvrant mes fesses. Avec une baguette de bois, il me flagella, jusqu'à ce que mes fesses deviennent rouges. Ensuite, je me suis relevé. Je suis allé m'asseoir sur le sofa. Les deux noirs étaient à poil. Leurs sexes dressés, ils se sont approchés. Le premier saisit sa queue et la présenta à ma bouche. Mes lèvres s'entrouvrirent, et le gros gland se posa sur ma langue. Le gars s'assit à son tour et je penchai la tête en même temps que mes lèvres glissaient le long de sa tige. Je le pompai comme une ventouse. Je sentais la pine du gars augmenter de volume entre mes lèvres. J'astiquais tellement bien son manche à couilles, qu'il finit par me remplir l'estomac.
Ils me firent prendre une pause. Me tenant chacun par un bras, ils me conduisirent à nouveau vers l'accoudoir et cette fois, ils m'ont fouetté avec un martinet, et de toutes leur force. Mes fesses étaient en sang.
Dans la version avec Charlotte, ils finissent par la baiser. Comme je n'ai pas de foufoune, ils m'ont enculé. D'abord, chacun leur tour, puis tous les deux ensemble.
Pour ça, celui qui avait la plus courte, s'allongea sur le canapé, à plat dos. Je suis monté sur lui, et me suis empalé sur sa grosse pine. L'autre est passé derrière moi, et sa queue, un peu plus longue a rejoint celle de son copain, dans mon cul. C'est lui qui m'a limé, comme un fou, montant à l'assaut, à la vitesse lumière. Quand ils se sont retirés, leurs membres étaient sanguinolents.
Toujours émoustillé par les photos et par le souvenir de mon épopée, je leur ai demandé de recommencer, une fois par mois, histoire de laisser mon cul cicatriser.
- Cochon qui s'en dédit, chantèrent-ils en choeur.
J'ai 35 ans, et ça fait 15 ans que ces deux colosses se partagent et meurtrissent mon cul. Et ça me donne toujours autant de plaisir.
Merci Monsieur Lars Von Trier !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire très excitante, seul problème le film est sorti en 2013, alors "merci à M.Lars von Trier ça fait quinze ans que ces deux colosses se partagent mon cul", il y aurait comme un problème de date.