Titre de l'histoire érotique : Odile
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Odile
J'ai rencontré Odile, lors du concours d'entrée à La Poste. Elle était jolie, douce. Quand je l'ai mise dans mon lit, elle était timide, vierge, et effarouchée. Malgré toutes ses réticences, et avec une tendresse et une patience infinies, je lui ai fait accepter la fellation, la sodomie et autres pratiques sexuelles un peu hors normes.
Après six mois de stage et de vie commune, nous obtînmes nos titularisations et un mois de vacances. Nous sommes retournés dans le midi, lieu de notre enfance, et je suis allé présenter mes respects, aux parents d'Odile.
Là, tout à changé. Est-ce le fait d'être chez elle ? Je ne sais pas. Le premier soir, elle me prit par la main, et m'entraîna dans sa chambre. Une fois la porte refermée, elle s'est jetée sur moi. Elle m'a arraché mes vêtements et m'a renversé sur le lit. J'étais complètement nu. Elle s'est allongée sur moi et a frotté sa chatte contre ma bite. Elle s'est glissée entre mes cuisses et a embouché ma queue. Un de ses doigts s'est glissé entre mes fesses, et s'est infiltré dans mon cul. Je ne l'avais jamais vue dans cet état. J'ai crié :
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
La bouche pleine de ma queue, elle grommela quelque chose d'inintelligible. Ses lèvres montaient et descendaient le long de mon manche, à une vitesse vertigineuse. Elle avalait goulûment, comme si elle avait été privée de bite depuis longtemps. Quand j'ai eu joui dans sa bouche, elle s'est relevée, m'a embrassé sur la bouche, me rendant une partie du sperme qu'elle venait de me soutirer. Elle se releva et écarta ses jambes. Tenant ma queue dans sa main, elle s'assit sur moi, dirigeant sa proie vers sa chatte. Après deux ou trois aller-retours, elle se releva et posa ma queue sur son petit cul. Une fois le gland enfoncé dans son cul, elle se laissa retomber de tout son poids sur mon membre, le faisant s'enfoncer, tout entier, au fond de son cul.
Les yeux révulsées, je voyais la raie de son cul, faire des va et viens rapides le long de mon sexe. Il me semblait que son cul s'était embelli depuis Paris. Revenant à la réalité, ce détail m'a finalement échappé. Odile avait changé. Pourquoi ? Pour l'heure, je m'en fichais. L'important était le plaisir que je prenais, à la baiser, ou plutôt à ma faire faire baiser par elle.
Quand nous sommes retournés sur Paris, elle était redevenue la petite fille sage, à qui j'avais tout appris, et qui se laissait faire avec prudence. J'ai demandé des explications et elle m'a répondu qu'elle ne comprenait pas de quoi je lui parlais. J'ai laissé tomber la question, jusqu'aux vacances suivantes.
La situation avait de nouveau évoluée. Non seulement Elodie était redevenue exaltée, mais elle avait exigé autre chose. Le soir de notre arrivée, elle m'entraîna de nouveau dans sa chambre, et me dépouilla à nouveau de mes vêtements. Elle se releva après la première fellation, enfila sa culotte, et se dirigea vers la porte.
- Ne te rhabilles pas, dit-elle , en ouvrant la porte. Je reviens tout de suite.
Quand elle reparut, elle portait un string noir, avec au milieu, un énorme sexe noir, en plastique.
Je sursautai, quand je l'entendis hurler :
- Mets-toi en position !
- Quoi ?
- Approches-toi, à genoux !
Dans sa main droite, elle tenait un martinet. Elle m'en assèna un coup sur les fesses, et me tendit le sexe factice.
- Suces !
J'écartais les lèvres, et accueillis la bite factice sur ma langue. A petits coups de reins, Odile faisait glisser l'imitation entre mes lèvres. Elle se redressa et cria :
- A genoux, au bord du lit !
J'ai compris que j'allais prendre l'engin dans mon cul. Elle m'a baisé toute la nuit.
De retour à Paris, j'ai éxigé une explication. Odile m'a dit qu'elle avait une soeur jumelle qui s'appelait Elodie. Depuis qu'elles étaient petites, elles partageaient tout. Maintenant, elles me partageaient moi. Soudain, elle prit mon visage dans ses mains, et, avec un petit sourire coquin, elle me demanda :
- Laquelle tu préfères ? Elodie ou Odile ?
J'ai répondu, Odile à Paris et Elodie en province. D'ailleurs, c'est dommage qu'on n'aie pas le droit d'être bigame.
Après six mois de stage et de vie commune, nous obtînmes nos titularisations et un mois de vacances. Nous sommes retournés dans le midi, lieu de notre enfance, et je suis allé présenter mes respects, aux parents d'Odile.
Là, tout à changé. Est-ce le fait d'être chez elle ? Je ne sais pas. Le premier soir, elle me prit par la main, et m'entraîna dans sa chambre. Une fois la porte refermée, elle s'est jetée sur moi. Elle m'a arraché mes vêtements et m'a renversé sur le lit. J'étais complètement nu. Elle s'est allongée sur moi et a frotté sa chatte contre ma bite. Elle s'est glissée entre mes cuisses et a embouché ma queue. Un de ses doigts s'est glissé entre mes fesses, et s'est infiltré dans mon cul. Je ne l'avais jamais vue dans cet état. J'ai crié :
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
La bouche pleine de ma queue, elle grommela quelque chose d'inintelligible. Ses lèvres montaient et descendaient le long de mon manche, à une vitesse vertigineuse. Elle avalait goulûment, comme si elle avait été privée de bite depuis longtemps. Quand j'ai eu joui dans sa bouche, elle s'est relevée, m'a embrassé sur la bouche, me rendant une partie du sperme qu'elle venait de me soutirer. Elle se releva et écarta ses jambes. Tenant ma queue dans sa main, elle s'assit sur moi, dirigeant sa proie vers sa chatte. Après deux ou trois aller-retours, elle se releva et posa ma queue sur son petit cul. Une fois le gland enfoncé dans son cul, elle se laissa retomber de tout son poids sur mon membre, le faisant s'enfoncer, tout entier, au fond de son cul.
Les yeux révulsées, je voyais la raie de son cul, faire des va et viens rapides le long de mon sexe. Il me semblait que son cul s'était embelli depuis Paris. Revenant à la réalité, ce détail m'a finalement échappé. Odile avait changé. Pourquoi ? Pour l'heure, je m'en fichais. L'important était le plaisir que je prenais, à la baiser, ou plutôt à ma faire faire baiser par elle.
Quand nous sommes retournés sur Paris, elle était redevenue la petite fille sage, à qui j'avais tout appris, et qui se laissait faire avec prudence. J'ai demandé des explications et elle m'a répondu qu'elle ne comprenait pas de quoi je lui parlais. J'ai laissé tomber la question, jusqu'aux vacances suivantes.
La situation avait de nouveau évoluée. Non seulement Elodie était redevenue exaltée, mais elle avait exigé autre chose. Le soir de notre arrivée, elle m'entraîna de nouveau dans sa chambre, et me dépouilla à nouveau de mes vêtements. Elle se releva après la première fellation, enfila sa culotte, et se dirigea vers la porte.
- Ne te rhabilles pas, dit-elle , en ouvrant la porte. Je reviens tout de suite.
Quand elle reparut, elle portait un string noir, avec au milieu, un énorme sexe noir, en plastique.
Je sursautai, quand je l'entendis hurler :
- Mets-toi en position !
- Quoi ?
- Approches-toi, à genoux !
Dans sa main droite, elle tenait un martinet. Elle m'en assèna un coup sur les fesses, et me tendit le sexe factice.
- Suces !
J'écartais les lèvres, et accueillis la bite factice sur ma langue. A petits coups de reins, Odile faisait glisser l'imitation entre mes lèvres. Elle se redressa et cria :
- A genoux, au bord du lit !
J'ai compris que j'allais prendre l'engin dans mon cul. Elle m'a baisé toute la nuit.
De retour à Paris, j'ai éxigé une explication. Odile m'a dit qu'elle avait une soeur jumelle qui s'appelait Elodie. Depuis qu'elles étaient petites, elles partageaient tout. Maintenant, elles me partageaient moi. Soudain, elle prit mon visage dans ses mains, et, avec un petit sourire coquin, elle me demanda :
- Laquelle tu préfères ? Elodie ou Odile ?
J'ai répondu, Odile à Paris et Elodie en province. D'ailleurs, c'est dommage qu'on n'aie pas le droit d'être bigame.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bonne histoire, il y a une inversion de prénom et on connaît la fin avant l'explication.
Cette histoire vaut mieux que le petit huit octroyé par HDS
J'ai connu deux jumelles qui aimaient "jouer aux garçons" comme elles disaient
Malheureusement ces deux là avaient des goûts très similaires et on n'y voyait que du feu...
J'ai connu deux jumelles qui aimaient "jouer aux garçons" comme elles disaient
Malheureusement ces deux là avaient des goûts très similaires et on n'y voyait que du feu...