Titre de l'histoire érotique : Petite pipe au sex shop - histoire érotique

L'autre jour, je faisais un tour dans un sex shop près de la gare de ma ville. Je voulais enrichir ma collection de jouets.

Alors je fais mes emplettes tranquillement, sous l'oeil affamé du vendeur. Je l'avais remarqué dès mon entrée, il me matait avec insistance et avait l'air carrément en chien. Moi en bonne petite pute j'en rajoute une couche, je tortille bien du cul, je fais exprès de me pencher, dos à lui, pour regarder articles que je repose ensuite. Ça a l'air de faire son petit effet.

Au bout d'une trentaine de minutes, j'ai fini mon petit tour et j'ai trouvé mon bonheur : deux sex toys, un pot de lubrifiant, un dvd de type BDSM un peu hard, et un plug anal. Je suis en général assez décomplexé quant à ma consommation d'accessoires sexuels, donc je me pointe à la caisse sans problème, le plus naturellement du monde.
Je jette un oeil au vendeur. Il est assez jeune, tout juste quelques années de plus que moi, il doit avoir à peine la trentaine. Blond, les cheveux courts avec une barbe de trois jours un peu négligée. Il n'est pas très beau mais formidablement bien bâti : un mètre quatre-vingt cinq au bas mot, des épaules de forteresse et des bras magnifiquement taillés. Le genre de garçon qu'on n'embête pas dans la rue le soir.
Je déballe le fruit de mes recherches sur le comptoir et il jette un coup d'oeil sondeur au butin. Puis, sans un mot, il scanne les articles et m'annonce froidement le montant à payer. Sans même me laisser le temps de sortir ma carte pour payer, il relève les yeux vers moi et me lance tout naturellement :

"- Ça te dirait une petite ristourne ?"

Je sens venir le traquenard. Innocemment, je hasarde quand même un petit :

"- Quel genre de ristourne ?" accompagné d'un léger sourire qui veut dire "Je vois très bien de quoi tu parles mais envoie la sauce !"

"- Eh ben, je te vois depuis tout à l'heure. Tu sais j'ai l'habitude ici, quand quelqu'un m'aguiche je m'en rend compte tout de suite. Alors si ça te dit, tu peux me sucer, et je te ferai payer moins cher."

Original. J'ai pas vraiment besoin d'une ristourne, mais par contre sucer, ça ça me plaît !
Mon sourire s'agrandit, je jette un coup d'oeil autour de moi, nous sommes seuls dans la boutique.

"- Dans ce cas, je vais prendre aussi ça." et je rajoute une boite de préservatifs, pour la forme.

Il sourit et me fait signe de passer derrière le comptoir. Je le rejoint, et m'agenouille illico. Je lui lance un petit regard aguicheur, puis ouvre sa ceinture, en lui malaxant le paquet à travers son pantalon. Je descend mon regard sur son endroit intime, l'air concentré, la langue sortie sur les lèvres en signe d'application.
Je baisse délicatement son pantalon et dresse un premier constat : même à travers son caleçon, je peux deviner qu'il a un énorme chibre. La boursouflure qu'il cause sur le sous-vêtement descend sur sa cuisse. Ça a l'air d'être un sacré colosse : je vais me régaler !

Je lui baisse le caleçon et empoigne son engin qui, déjà, commence peu à peu à se raidir.
L'une de mes mains est posée sur son fessier musclé, de l'autre je le branle délicatement, progressivement. Je fais de grands aller-retours avec ma main pour pouvoir couvrir toute la longueur du monstre.
Le vendeur soupire, témoignant de l'efficacité de mon oeuvre. Il faut dire que j'ai de l'expérience.
Lorsque je sens qu'il est bien dur, j'approche ma bouche et embrasse son gland avant de l'humidifier d'un coup de langue.
Je lance un regard vers le haut, souris légèrement, puis laisse couler un filet de salive sur le sexe noueux avant de l'étaler avec mes deux mains, pour bien couvrir toute la surface.
Une fois la bite bien humidifiée, je l'enfourne dans ma bouche d'un coup et entend mon partenaire gémir très légèrement de plaisir. J'astique bien comme je sais faire, en concordant le branlage de mes deux mains et les mouvements de tête avec le léchage intra-bucal. Je dois plutôt bien m'en sortir car je l'entends soupirer et il pose sa main derrière ma tête pour me faire accélérer, me forçant légèrement la marche.
Je l'enfonce de plus en plus profond dans ma gorge, malgré la difficulté de jouer avec un si gros outil, parfois je ne peux réfréner un disgracieux bruit d'étouffement.

Soudain, les cloches qui ornent la porte de la boutique tintent.

"- Bonjour Monsieur !" lance gaiement un client qui vient d'entrer.

Le vendeur balbutie tant bien que mal :

"- B... Bonjour..."

Pas de réaction du client. Quant à moi, je redouble d'effort, étant peu pudique, pour rendre notre petit jeu bien évident pour ce dernier. Le vendeur soupire, halète, il est évident que le client se rend désormais compte de ce qu'il se passe, il ne peut faire autrement, mais il ne réagit pas.

Je passe à la vitesse supérieur. Je donne tout ce que j'ai, qui à presque m'étrangler sur cet énorme vit. J'accélère encore, encore, encore. Plus vite. Encore plus vite. Je sens que ça y est presque.
C'est le moment, il va venir. Je sors sa bite luisant de salive de ma bouche, tout en continuant de la branler ardemment, descend légèrement sans quitter le vendeur des yeux, et lui gobe les couilles, que je lèche tranquillement. J'ai à peine le temps de remonter et de ré-enfourner son colosse dans ma bouche qu'il balance la sauce dans ma gorge.
Le précieux nectar jaillit à pleine vitesse et coule dans ma gorge, épais, tiède.
J'avale la charge, sans jamais rompre le contact visuel, quand soudain, le client se pointe au comptoir :

"- Désolé de vous déranger, j'aimerais louer une salle privée s'il vous plaît."

J'ai oublié de préciser que le sex shop fait également des projections privées en cabines individuelles de films érotiques ou pornos.
La honte totale. On est cramés. Je dois avouer que ça m'excite à fond.
Le vendeur, pas encore remis de ses émotions, clairement dans les vapes, rassemble ses esprits et marmonne :

"- Euh oui oui... Voilà la clé, c'est la numéro deux.
- Merci Monsieur. Je vous laisse alors, amusez-vous bien."

Sans même voir le client, je devine le clin d'oeil qu'il lui a fait en guise de ponctuation à la fin de sa phrase.

Finalement, une fois ce dernier parti, je me relève et m'essuie la bouche. Le vendeur se rhabille et me lance, fanfaron :

"- T'es une sacré petite salope, toi ! Tu m'as bien foutu la honte ! Mais tu suces divinement bien, tu as bien mérité ta ristourne."

Je le regarde malicieux, et lui lance avec un grand sourire :

"- Mais quelle ristourne ?"

Je paye puis rentre chez moi.


Eh bien je peux vous dire qu'une fois arrivé chez moi, j'ai inauguré mes nouveaux de la meilleure façon qui soit, et pendant un sacré moment.