Titre de l'histoire érotique : Poker story 1
Récit érotique écrit par Joe Vanille [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Poker story 1
Le jeu était simple et complexe à la fois. Une partie se déroulait ainsi : à la mise de départ, elle et moi choisissions un gage que nous soumettions à l'autre si la victoire nous revenait. J'avais commencé gentiment par des épreuves verbales, comme de me préciser les positions qui l'intéressaient le plus, les mots grossiers qu'elle pourrait entendre tout en me suçant le sexe, etc. Bref, des petites épreuves qui la faisait rougir dès qu'elle perdait le jeu, mais que jamais elle ne refusa. Odile était très joueuse. A peine sortie de son adolescence, et déjà pleine d'espoir et de curiosité dans la tête, elle s'était prêtée au jeu avec énormément d'intérêt. Je savais que je lui plaisais, et que les moments qu'elle passait rarement avec moi lui égayaient sa semaine d'études, soi-disant.
A l'époque, je travaillais dans un bar quelconque de la ville, et prolongeait ma vie comme je pouvais dans cette cité estudiantine où les filles viennent aussi apprendre la vie sexuelle. J'étais de physique anonyme mais de contact sympathique et distrayant. Les étudiantes venaient en groupe et jouaient leur jeu de séduction, de piques agressives ou excitées, allez savoir. Odile n'était pas des plus timorées : elle riait beaucoup et ses yeux plissés ne faisaient qu'envoûter mes soirées. A l'époque encore, je découvris le poker entre amis et réussissait à améliorer mon capital nécessaire pour assurer une vie simple mais confortable. Je compris vite pourtant que ce jeu de cartes m'attirait plus dans une possible variante érotique, voire bassement sexuelle que dans sa voie lucrative.
J'avais donc invité ce soir-là Odile à manger un bout à la maison et passer notre soirée ensemble. Nous vivions dans la même maison, elle y occupait une petite chambre tandis que j'occupais le « beau » studio du rez-de-chaussée. Une petite cour me permettait de l'inviter en été à préparer ses examens de deuxième session au soleil, et de l'admirer dans ses tenues légères. Elle venait volontiers; elle n'était pas très studieuse et les matières étaient nombreuses en juillet et août. Je l'aidais comme je pouvais, j'étais son intendant comme son animateur de soirées « pantoufles au pied ». Et on parlait de sexe, beaucoup et avec beaucoup de plaisir. Depuis longtemps, je voulais la voir et l'avoir pour moi, je lui avais dit plusieurs fois et plusieurs fois elle m'avait répondu qu'un jour elle se donnerait avec un homme comme moi. Je pensai que ce soir était arrivé et ma proposition d'un poker coquin l'amusa énormément.
Une ambiance musicale mélangeant reggae et jazz nous plut pour entamer cette joute chaude. Odile était vêtue d'une jolie robe couleur prune avec de fines bretelles aux épaules. Sa chevelure brune à la garçonne, ses yeux doux et malicieux qui me fixaient souvent me rendaient fébriles, mon pantalon me semblait souvent bien étroit... En quelques parties, je sus ces choses : « j'aurai du plaisir à chevaucher un homme et laisser son pénis dans mon ventre », « tu pourrais me traiter de salope, d'esclave, mais pas de pute, pas de trainée! », « un Suisse m'a caressé le sexe en montagne à l'âge de treize ans, et un garçon de mon lycée avec son ami m'ont léché la chatte lors d'un voyage scolaire. J'avais seize ans », « je suis vierge parce que je n'ai jamais trouvé le garçon pour passer le cap ».
Elle gagna par deux fois avec un brelan et deux paires supérieures. Elle apprit que je prenais mon pied en faisant un cunilingus tout en me masturbant et en me caressant sur le corps de ma partenaire. La deuxième fois, elle me demanda de lui révéler ce que je pensais d'elle : «... Belle Odile, cela fait des semaines que je rêve de te manger la chatte ! Te faire couler sur ma bouche, mon menton, te faire crier de plaisir ! ». Cet aveu la troubla, je le vis facilement. Je savais que je pouvais dès lors proposer des défis plus osés.
Un brelan de huit contre une paire de dames. Elle avait accepté de m'accorder deux minutes pour la caresser. J'évitai un massage de la tête et de son visage, ce qui devenait un peu trop gentillet pour mon goût. Je m'assis quasi face à elle, et tout en la fixant avec un sourire gourmand, je posai doucement ma main sur sa rotule droite et remontai lentement pour arriver sur le bord de son vêtement. Je glissai sur sa cuisse gauche et fis le chemin inverse tout en lui disant : « je veux que ta culotte soit trempée avant de t'en débarrasser. Tu vas connaître l'extase ma toute Belle, je le veux! ».
Je ne crois pas que les deux minutes furent respectées : depuis plus de cinq minutes, ma main caressait son mont sur le tissu rapeux de son string et ses gémissements se transformaient depuis peu en suffocations. Je voulais entendre, vivre avec elle un orgasme, un orgasme qui nous lierait ensemble pour un bout de temps. Car je comptais la faire descendre dans un abyme de luxure et d'abandon, enfin de don de soi. Je pressai de plus en plus son sexe dans ma paume, le sertis de son tissu qui n'était qu'un bavoir à mouille, « jouis belle salope, jouis, vas-y, pour moi, pour toi ». Elle partit soudainement, s'accrocha à moi, raide dans une tension qui me fit penser à la stupeur. Il était temps que je gagne à nouveau, mon pénis avait besoin d'air et d'espace pour exploser.
Je gagnai encore. Une paire d'as contre rien. Je me demandai tout à coup si elle s'appliquait à ses victoires. Finalement, qu'importait sa motivation, elle jouait le jeu et l'important était de vouloir participer. Son enjeu : que je me masturbe, le mien: qu'elle se masturbe devant moi et que je puisse éjaculer sur elle. « Où vas-tu jouir? », « où je le voudrais ». « N'enlève pas ta culotte, va dedans et fais-toi du bien. Je l'écarterai quand bon me semblera ». Elle avait accepté, un regard troublé mais volontaire.
A l'époque, je travaillais dans un bar quelconque de la ville, et prolongeait ma vie comme je pouvais dans cette cité estudiantine où les filles viennent aussi apprendre la vie sexuelle. J'étais de physique anonyme mais de contact sympathique et distrayant. Les étudiantes venaient en groupe et jouaient leur jeu de séduction, de piques agressives ou excitées, allez savoir. Odile n'était pas des plus timorées : elle riait beaucoup et ses yeux plissés ne faisaient qu'envoûter mes soirées. A l'époque encore, je découvris le poker entre amis et réussissait à améliorer mon capital nécessaire pour assurer une vie simple mais confortable. Je compris vite pourtant que ce jeu de cartes m'attirait plus dans une possible variante érotique, voire bassement sexuelle que dans sa voie lucrative.
J'avais donc invité ce soir-là Odile à manger un bout à la maison et passer notre soirée ensemble. Nous vivions dans la même maison, elle y occupait une petite chambre tandis que j'occupais le « beau » studio du rez-de-chaussée. Une petite cour me permettait de l'inviter en été à préparer ses examens de deuxième session au soleil, et de l'admirer dans ses tenues légères. Elle venait volontiers; elle n'était pas très studieuse et les matières étaient nombreuses en juillet et août. Je l'aidais comme je pouvais, j'étais son intendant comme son animateur de soirées « pantoufles au pied ». Et on parlait de sexe, beaucoup et avec beaucoup de plaisir. Depuis longtemps, je voulais la voir et l'avoir pour moi, je lui avais dit plusieurs fois et plusieurs fois elle m'avait répondu qu'un jour elle se donnerait avec un homme comme moi. Je pensai que ce soir était arrivé et ma proposition d'un poker coquin l'amusa énormément.
Une ambiance musicale mélangeant reggae et jazz nous plut pour entamer cette joute chaude. Odile était vêtue d'une jolie robe couleur prune avec de fines bretelles aux épaules. Sa chevelure brune à la garçonne, ses yeux doux et malicieux qui me fixaient souvent me rendaient fébriles, mon pantalon me semblait souvent bien étroit... En quelques parties, je sus ces choses : « j'aurai du plaisir à chevaucher un homme et laisser son pénis dans mon ventre », « tu pourrais me traiter de salope, d'esclave, mais pas de pute, pas de trainée! », « un Suisse m'a caressé le sexe en montagne à l'âge de treize ans, et un garçon de mon lycée avec son ami m'ont léché la chatte lors d'un voyage scolaire. J'avais seize ans », « je suis vierge parce que je n'ai jamais trouvé le garçon pour passer le cap ».
Elle gagna par deux fois avec un brelan et deux paires supérieures. Elle apprit que je prenais mon pied en faisant un cunilingus tout en me masturbant et en me caressant sur le corps de ma partenaire. La deuxième fois, elle me demanda de lui révéler ce que je pensais d'elle : «... Belle Odile, cela fait des semaines que je rêve de te manger la chatte ! Te faire couler sur ma bouche, mon menton, te faire crier de plaisir ! ». Cet aveu la troubla, je le vis facilement. Je savais que je pouvais dès lors proposer des défis plus osés.
Un brelan de huit contre une paire de dames. Elle avait accepté de m'accorder deux minutes pour la caresser. J'évitai un massage de la tête et de son visage, ce qui devenait un peu trop gentillet pour mon goût. Je m'assis quasi face à elle, et tout en la fixant avec un sourire gourmand, je posai doucement ma main sur sa rotule droite et remontai lentement pour arriver sur le bord de son vêtement. Je glissai sur sa cuisse gauche et fis le chemin inverse tout en lui disant : « je veux que ta culotte soit trempée avant de t'en débarrasser. Tu vas connaître l'extase ma toute Belle, je le veux! ».
Je ne crois pas que les deux minutes furent respectées : depuis plus de cinq minutes, ma main caressait son mont sur le tissu rapeux de son string et ses gémissements se transformaient depuis peu en suffocations. Je voulais entendre, vivre avec elle un orgasme, un orgasme qui nous lierait ensemble pour un bout de temps. Car je comptais la faire descendre dans un abyme de luxure et d'abandon, enfin de don de soi. Je pressai de plus en plus son sexe dans ma paume, le sertis de son tissu qui n'était qu'un bavoir à mouille, « jouis belle salope, jouis, vas-y, pour moi, pour toi ». Elle partit soudainement, s'accrocha à moi, raide dans une tension qui me fit penser à la stupeur. Il était temps que je gagne à nouveau, mon pénis avait besoin d'air et d'espace pour exploser.
Je gagnai encore. Une paire d'as contre rien. Je me demandai tout à coup si elle s'appliquait à ses victoires. Finalement, qu'importait sa motivation, elle jouait le jeu et l'important était de vouloir participer. Son enjeu : que je me masturbe, le mien: qu'elle se masturbe devant moi et que je puisse éjaculer sur elle. « Où vas-tu jouir? », « où je le voudrais ». « N'enlève pas ta culotte, va dedans et fais-toi du bien. Je l'écarterai quand bon me semblera ». Elle avait accepté, un regard troublé mais volontaire.
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Odile...tu ne perds rien à attendre, je sens que ce sera trèèèès bon...