Titre de l'histoire érotique : Policier municipal corrompu - histoire érotique

Ce dimanche à cause d'un évènement qui se passe sur la plage et qui amène du monde dans la ville je ne trouve pas de place de parking disponible dans un bon rayon autour de la maison ou je rends visite à mon amie Manon.
Du coup ne voulant pas tourner en rond inutilement ni marcher sur une grande distance je me gare dans un endroit non autorisé mais qui ne gêne en rien la circulation des voitures et des piétons.

Un policier municipal que je vois souvent s'évertue à canaliser la circulation et empêcher les stationnements gênants, il vient vers moi.
<<madame vous ne pouvez pas rester là>>.
<<ou voulez vous que je me gare et si j'en juge par ce que j'ai vu il y a beaucoup de voitures en infraction>>.
<<oui je suis en train d'en verbaliser car il y a des stationnements dangereux ou particulièrement gênants>>.
<<je ne gêne personne, je suis devant le portail d'une maison vide d'habitants hors saison>>.
<<peut être mais ce n'est pas un stationnement autorisé>>.
<<vu le contexte aujourd'hui soyez compréhensif>>.
<<si je vous fais une fleur cela ne va pas plaire à d'autres>>.

Comme j'insiste beaucoup nous partons dans de longues discussions.
Physiquement il n'est pas mal, environ trente ans et de taille moyenne. Cela me donne une idée évidemment tournée vers le sexe.
Je le vois souvent en ville et j'ai remarqué plusieurs fois son regard posé sur moi et je n'ai pas manquée une occasion de lui sourire tout en le fixant avec mon regard qualifié de salope.
Je me souviens que encore récemment un matin j'étais assise à la terrasse de mon bar favori, il est resté un bon moment à discuter avec plusieurs personnes en face de la terrasse et il regardait sans arrêt dans ma direction sans que cela me gêne, ce qui l'intéressait c'était la vue sur mon entre-jambes ma jupe courte en tissu léger ayant bien remontée.

Ne me démontant pas je lui propose d'être gentille avec lui.
Après m'avoir fait préciser ce que j'entends par là il me dit que c'est de la corruption.
Je lui rétorque que c'est un échange de bons procédés et que se faire du bien entre adultes consentants ne peut être que profitable aux deux personnes.
Nous continuons à parler, j'insiste et fais ressortir sans ambiguité mon côté salope par mes paroles et mes attitudes.
Au bout d'un moment je sens qu'il ne sait plus trop ou il en est et mes paroles deviennent plus directes.
Touché par mes arguments, il commence à devenir plus conciliant.

<<le problème ce n'est pas moi mais si un collègue ou mon supérieur passe il va vous coller un PV et moi je vais avoir des problèmes>>.
<<il doit bien y avoir un moyen d'éviter ça>>.
Il réfléchit.
<<oui je crois, je vais mettre sous un de vos essuie-glace un avis de contravention mais je ne vais pas enregistrer votre véhicule pour qu'il n'y aie pas de traces>>.
<<et ça ne va pas se voir>>.
<<il nous arrive de faire des erreurs et de supprimer, ça ne choquera personne>>.
<<astucieux et merci d'être compréhensif>>.
Il fait ce qu'il a dit et appose un avis sur mon pare-brise.

Du coup je me sens obligée de faire ce que je lui ai promis.
<<je peux vous payer une partie de mon mauvais stationnement tout de suite>>.
<<comment ça et ou>>.
<<dans le parc>>.
<<vous n'y pensez pas, ce n'est pas discret>>.
<<si, il y a des bosquets d'arbustes qui ne perdent pas leurs feuilles et ou on est à l'abri des regards>>.
Il n'est pas rassuré.
Il est difficile à convaincre et je dois beaucoup lui parler et l'assurer qu'on sera très discrets.

Je gagne le parc, il me suit à distance.
Sa présence n'étonne pas les quelques promeneurs que nous croisont car il a l'habitude d'y faire des rondes.
Je choisis un bosquet bien touffu avec derrière un mur assez haut. J'écarte des branchages et me glisse au milieu des arbustes à l'abri des regards.
Après s'être assuré que personne ne le voyait Alex me rejoint.
<<je ne suis pas rassuré>>.
<<on ne peut pas nous voir et si on ne fait pas de bruit on est tranquille>>.
Je ne lui laisse pas le temps de cogiter. Je me baisse, dégrafe sa ceinture et baisse la fermeture de son pantalon, celui-ci tombe sur ses chaussures suivi de son caleçon.
Je caresse son pénis qui a du mal à bander puis je commence à le masturber, il gonfle et se raidit.
Tout en caressant ses testicules je lèche consciencieusement son membre partout puis j'insiste sur le gland que je me mets à aspirer.
On entend des personnes qui passent dans l'allée du parc souvent en discutant mais cela ne me perturbe pas.
J'enfonce dans ma bouche la queue d'Alex, qui de taille moyenne a maintenant une belle érection.
Je commence une fellation en serrant au maximum mes lèvres autour de la verge et au fur et à mesure j'accélère progressivement les aller-retour de ma bouche en y faisant pénétrer toute la longueur de la queue.
Je juge de la montée du plaisir chez ma proie en fonction de la pression qu'exercent ses doigts qui sont agrippées à mes épaules.
Ses sens sont maintenant bien exacerbés, il ne me faut pas longtemps pour le faire éjaculer.
Son corps se tend, sa verge gonfle encore et s'agite dans ma bouche pendant que des giclées de sperme frappent ma gorge.
Je continue à sucer tout en avalant sa semence.
Je me relève, rapidement il se rhabille.
Je sors du bosquet la première et je regarde s'il y a quelqu'un dans les parages.
J'appelle Alex qui me rejoint puis il se dirige vers la sortie du parc, je le suis à distance.
Arrivés devant la voiture nous parlons.
<<quand tu veux pour la suite>>.
<<il y a un local dans le parc à l'entrée des cours de tennis, je vais aller chercher la clé et on se retrouve la-bas.
Je vais m'assoir sur un banc dans le parc et j'attends.
Quand il revient j'attends qu'il me fasse signe après avoir ouvert la porte d'un local puis je le rejoins.
Il allume la lumière et ferme la porte à clé.
<<j'ai dis au PC que je restais un moment du côté du parc car il y a une bande de jeunes assez dissipés que je dois surveiller>>.
<<bien ton excuse pour être tranquilles un moment>>.

Je passe mes bras autour de son cou et pose mes lèvres sur les siennes, sa langue rejont la mienne dans sa bouche et elles se mêlent dans plusieurs baisers.
En même temps je caresse son sexe par dessus son pantalon.
Il déboutonne mon chemisier et écarte mon soutien-gorge.
Il caresse mes seins et triture les tétons pendant que je me démène pour sortir son sexe du pantalon.
Pendant que je masturbe son pénis déjà bien érigé une main se glisse sous ma jupe et s'insinue dans ma culotte puis caresse mon sexe.
Pour lui favoriser l'accès je soulève ma jupe et accroche le bas côté ceinture puis je retire ma culotte.

Il s'en donne à coeur-joie caressant mon entre-jambes, introduisant un doigt dans mon intimité.
Il n'est pas décidé à perdre de temps.
Il met ses mains sous mes fesses, je comprends et passe mes bras autour de son cou, il me soulève.
Une fois qu'il a réussi à m'empaler sur sa queue je croise mes jambes autour de sa taille.
Avec la force de ses bras il me fait monter et descendre sur son membre.
Il s'active pendant un moment puis je sens son pénis grossir encore et s'agiter dans on intimité et il arrose ma grotte de son sperme.

Une fois qu'il m'a déposée sur le sol je masturbe vigoureusement sa queue gluante qui rétrécit, j'arrive sans trop de difficultés à lui redonner une érection puis je prends son membre dans ma bouche et je lui administre une fellation.
Les va-et-vient de mes lèvres sur la verge sont rapides car comme il a un travail à faire je ne veux pas le retenir trop longtemps.
Quand il en a assez de la caresse buccale que je lui prodigue il me repousse et me dit qu'il veut me prendre en levrette.

Je me penche en avant en creusant les reins, les mains appuyées contre un mur.
Il se positionne derrière moi et me pénètre.
Les mains sur mes hanches il donne des grands coups de reins pour faire aller et venir sa queue dans ma chatte, comme il a déjà éjaculé deux fois il est long à venir.
Bien que j'essaye de penser à autre chose le plaisir monte progressivement dans mon ventre et mon intimité est de plus en plus humide.
Alex me défonce pendant un bon moment, je désespère qu'il arrive à un résultat et je crains qu'il arrive à me faire jouir quand enfin ses doigts se crispent sur la peau de mes hanches, sa verge tressaute dans ma chatte et je sens le sperme couler dans mon vagin.
Il a remis de l'ordre dans ses vêtements avant que j'ai terminé de me rhabiller.

Nous parlons un peu, il me dit qu'en cas de besoin où si j'ai des problèmes je peux venir le voir, je comprends que si je fais appel à lui je devrais payer le service avec mon corps.
Je quitte sans me cacher le local ou nous avons eu la relation sexuelle pendant qu'il attend un peu avant d'en faire autant plus discrètement.

Maintenant en cas de difficultés de stationnement ou pour éviter de payer le parking je sais à qui m'adresser et je ne vais pas m'en priver.

Je me rends chez mon amie Manon qui trouve le temps long et s'inquiète de mon grand retard.
<<ou étais tu, cela fait un bon moment que ta voiture est garée devant la maison>>.
<<j'ai du convaincre l'agent de police de ne pas verbaliser mon mauvais stationnement>>.
<<te connaissant tu t'es encore servie de ton cul>>.
<<comme d'habitude, mais tu n'es pas non plus la dernière à utiliser tes fesses en cas de besoin et je ne parles pas uniquement de tes amants>>.
<<je ne vais pas nier, je n'étais pas comme ça avant de te connaître, j'ai suivi ton exemple mais tu es bien plus forte que moi à ce jeu la>>.
Entre salopes on se comprend.