Titre de l'histoire érotique : Pour patienter...
Récit érotique écrit par Bourgeoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Pour patienter...
Après cette soirée de prise de connaissance bien chaude et assez profonde, j'étais dans un bonheur particulier et une petite obsession sexuelle spéciale. Tous les soirs, je ne pensais qu'à son appel et toutes les nuits, je ne pensais qu'à mes orifices dont les vides se faisaient ressentir très fort.
Pourtant Marjana, ma servante et amante était là et me faisait jouir comme toujours et nos câlins étaient toujours aussi doux et aussi forts que d'habitude… c'est un peu comme si j'étais amoureuse de celui qui m'aurait déflorée un peu tard et abandonnée dans une île déserte. Il doit me rappeler dans dix jours pour me parler de mon divorce… et je n'ai pas l'habitude qu'un homme supporte d'attendre… mais, je vais voir et je ne dois pas faiblir… quitte à faire une bêtise…
Jeudi, pour aller chercher mon fils à l'école, j'opte pour une chemise longue avec de lares échancrures sur les côtés et une jupe assez moulante trahissant bien mes hanches et des petites ballerines… le tout dans un rose d'adolescente assez sympa…
Devant la porte, un homme d'une quarantaine d'années me complimente sur le choix de ma tenue et sur ma jeunesse mise en valeur par la couleur rose. Quand je le remercie en baissant la tête, il me prend le menton et dit à voix basse :
-je suis sur que ce qui est caché est le meilleur.. et que vous serez fière de le montrer…
-merci, dis-je avec une grimace, voilà mon fils, monsieur.
-je vous verrai à 14 h, au revoir, petite…
BIEN SUR je n'ai pas répondu, mais le rendez-vous était pris pour une suite plus que probable, je la désire...
Quand mon fils est à l'intérieur de l'école, il me dit de le suivre vers une rue où je peux déposer ma voiture, et dès que je referme la portière, il démarre en trombe.
-où allons nous? Vous allez trop vite…
-chez moi, c'est le plus discret, non?
-à quoi vous pensez?
-à ce qui doit finir avant l'école, notre plaisir. Tu peux vérifier dit-il en posant ma main sur son membre… et en voyant tes tétons turgescents, je devine le reste… alors arrête stp...
-un peu sec, mais bon… c'est ton style…
Dès que nous sommes devant l'ascenseur, il m'embrasse d'abord tendrement, et quand nous sommes dans la cage, ses mains passées sous ma chemise serrent déjà mes seins. Quand l'ascenseur s'arrête, il est debout près de moi, comme un inconnu et dit bonjour à une femme qui monte trois étages avec nous.
-bien baisé, lui demande-t-il?
Pour toute réponse, elle lui a souri en partant.
Il me serre dans ses bras et quand nous arrivons au 11e étage, il me porte dans ses bras, et je me retrouve dans un studio face à lui, sous une lumière rouge.
Il déboutonne mon chemisier et caresse mes seins, je m'attaque à la sienne pour découvrir une poitrine assez large et un ventre légèrement plissé. Je dégrafe son pantalon qui retombe à ses chevilles et caresse légèrement la bosse dressée sur sa culotte sans la baisser.
Il me prend dans ses bras et caresse mon dos du bout des doigts, je la laisse tomber derrière moi avant de m'accrocher à son cou.
Quand il me colle à lui et que son torse poilu presse mes seins, je me tortille un peu et sens contre mon ventre un membre dur sur mon nombril. Une main remonte sur ma nuque me serrant très fort contre les lèvres qui viennent recevoir les miennes dans un baiser qui n'a rien d'un premier entre nous deux, nos langues pénètrent dans nos bouches respectives comme par habitude et notre baiser, arrivé comme une fatalité est des plus fougueux, peut-être le plus fort de ma vie,,, je sentais un plaisir confus.
Quand je reçois une légère claque sur une fesse, je suis surprise de découvrir qu'elle est déjà nue, et un doigt indiscret caresse déjà ma fente fessière…
Je sens ma jupe tomber sur mes ballerines, et mon amant me soulève un peu. Croyant que ce n'était que laisser passer la jupe, je plie un genou qu'il retient par l'arrière en m'élevant, écartant du coup mes jambes… Il prend ma deuxième en main et je suis totalement écartée, alors que je sens son phallus s'éloigner de mon nombril sans atteindre mon sexe… ou plutôt sans que mon sexe ne soit assez élevé pour l'accueillir.
Alors que je tente de m'élever en m'accrochant son cou, ce sont ses mains qui me remettent à la bonne hauteur avant de me laisser redescendre sur ce sexe épais qui en me pénétrant finit de m'écarter. La pénétration est un peu douloureuse, mais je sens assez vite ses testicules sur mes lèvres m'annonçant la taille courte de l'engin.
Après un court temps, notre baiser est interrompu, nous échangeons un sourire complice, et ses mains s'emparent de mes fesses et le majeur indiscret cherche directement mon anus…
-ohhh… baisez moi vite svp dis-je malgré moi, vite svp…
-j'hésite encore entre les deux tunnels, petite, que veux-tu ?
-comme ça, les deux, svp...
-arrête de dire vous, sinon c'est la fessée !
-vous feriez cela?
-bon, puisque tu veux… et j'entends la première claque sur une fesse, puis une suite d'autres.
Comme je sursautais à chaque coup, et que son doigt entrait de plus en plus en moi, un premier orgasme m'envahit et je l'exprime par un long chééééériiiiiiiiiiiiii. Mais la fessée ne finit que quand il jouit aussi. Notre étreinte, devenue un doux câlin, se prolongea le temps que dura l'érection de mon amant. Il s'assoit sur l'inique fauteuil des lieux et je me retrouve les jambes écartées sur les siennes, pubis voisins, son doigt toujours dans mon cul et un sein dans une main qui le comprime.
-t'es un bon coup, petite…
-déjà?
-oui, je sais déjà que tu baises bien, que tu aimes la bite, que tu vas bien me sucer, et que je vais t'enculer comme il te plait, avant 17 heures.
-tu n'oublies rien, chéri?
-oui, un pubis épilé mérite bien un cunni, et c'est tout de suite… et par terre…
Obéissante, je me couche sur le tapis qu'il m'indique en écartant bien les jambes. Il se place sur mon côté, embrasse mon ventre, fait tourner sa langue dans mon nombril qu'il aspire un peu et s'avance vers mon pubis qu'il mordille un peu. Sa queue se retrouvant au dessus de mon visage, je la prends en bouche sans attendre…
Il continue de mordiller mon pubis, puis mes grandes lèvres, et quand il atteint mon clitoris l'aspire un moment, me faisant vibrer… je deviens plus active à la recherche de sa jouissance alors que j'avais commencé à lui offrir la mienne par deux reprises.
En même temps que son jus envahit ma bouche, son doigt investit encore mon anus, cette fois-ci plus ouvert. Il se relève un peu pour me regarder en souriant:
-c'est bien petite, j'adore voir mon sperme déborder une bouche, aujourd'hui, c'est une belle petite bouche…
-ton sperme me plait, chéri
-alors, tu vas en avoir plein le cul, mets-toi à quatre pattes, et que ça saute…
-tu m'as déjà plus que sautée, mais j'en veux encore, chéri… quand j'ai le cul offert il me demande de le regarder m'enculer, je lui demande de pimenter en caressant mes seins…
Au début de la pénétration, je sens une petite douleur sans le montrer, et comme il fait tout de mes seins, la douleur passe vite. Mais en éjaculant, il envoie deux jets dans mes entrailles et un troisième sur mon dos.
- oh, excuse moi, je n'ai pas pu tout envoyer dans tes entrailles, chérie…
- pas grave chéri, tu étais à l'étroit !
Nous échangeons un clin d'œil, il me relève et dans un baiser fougueux me serre en étalant son sperme sur mes fesses, et mon dos.
Après une douche rapide, il tient à m'embrasser une dernière fois avant de partir, je me rhabille, lui offre un dernier baiser en précisant que si je me maquille, ce sera fini.
Il m'offre un parfum et me dit :
-le jour où tu sentiras ça à 11h30, on passera un après-midi sympa…
Et nous nous sommes séparés rapidement pour ne pas laisser les enfants attendre...
En prenant ma voiture, je me suis rendue compte qu'il ne m'avait pas dit son prénom... le salaud... je ne lui ai pas dit le mien... il va m'appeler salope, en tout cas...
Pourtant Marjana, ma servante et amante était là et me faisait jouir comme toujours et nos câlins étaient toujours aussi doux et aussi forts que d'habitude… c'est un peu comme si j'étais amoureuse de celui qui m'aurait déflorée un peu tard et abandonnée dans une île déserte. Il doit me rappeler dans dix jours pour me parler de mon divorce… et je n'ai pas l'habitude qu'un homme supporte d'attendre… mais, je vais voir et je ne dois pas faiblir… quitte à faire une bêtise…
Jeudi, pour aller chercher mon fils à l'école, j'opte pour une chemise longue avec de lares échancrures sur les côtés et une jupe assez moulante trahissant bien mes hanches et des petites ballerines… le tout dans un rose d'adolescente assez sympa…
Devant la porte, un homme d'une quarantaine d'années me complimente sur le choix de ma tenue et sur ma jeunesse mise en valeur par la couleur rose. Quand je le remercie en baissant la tête, il me prend le menton et dit à voix basse :
-je suis sur que ce qui est caché est le meilleur.. et que vous serez fière de le montrer…
-merci, dis-je avec une grimace, voilà mon fils, monsieur.
-je vous verrai à 14 h, au revoir, petite…
BIEN SUR je n'ai pas répondu, mais le rendez-vous était pris pour une suite plus que probable, je la désire...
Quand mon fils est à l'intérieur de l'école, il me dit de le suivre vers une rue où je peux déposer ma voiture, et dès que je referme la portière, il démarre en trombe.
-où allons nous? Vous allez trop vite…
-chez moi, c'est le plus discret, non?
-à quoi vous pensez?
-à ce qui doit finir avant l'école, notre plaisir. Tu peux vérifier dit-il en posant ma main sur son membre… et en voyant tes tétons turgescents, je devine le reste… alors arrête stp...
-un peu sec, mais bon… c'est ton style…
Dès que nous sommes devant l'ascenseur, il m'embrasse d'abord tendrement, et quand nous sommes dans la cage, ses mains passées sous ma chemise serrent déjà mes seins. Quand l'ascenseur s'arrête, il est debout près de moi, comme un inconnu et dit bonjour à une femme qui monte trois étages avec nous.
-bien baisé, lui demande-t-il?
Pour toute réponse, elle lui a souri en partant.
Il me serre dans ses bras et quand nous arrivons au 11e étage, il me porte dans ses bras, et je me retrouve dans un studio face à lui, sous une lumière rouge.
Il déboutonne mon chemisier et caresse mes seins, je m'attaque à la sienne pour découvrir une poitrine assez large et un ventre légèrement plissé. Je dégrafe son pantalon qui retombe à ses chevilles et caresse légèrement la bosse dressée sur sa culotte sans la baisser.
Il me prend dans ses bras et caresse mon dos du bout des doigts, je la laisse tomber derrière moi avant de m'accrocher à son cou.
Quand il me colle à lui et que son torse poilu presse mes seins, je me tortille un peu et sens contre mon ventre un membre dur sur mon nombril. Une main remonte sur ma nuque me serrant très fort contre les lèvres qui viennent recevoir les miennes dans un baiser qui n'a rien d'un premier entre nous deux, nos langues pénètrent dans nos bouches respectives comme par habitude et notre baiser, arrivé comme une fatalité est des plus fougueux, peut-être le plus fort de ma vie,,, je sentais un plaisir confus.
Quand je reçois une légère claque sur une fesse, je suis surprise de découvrir qu'elle est déjà nue, et un doigt indiscret caresse déjà ma fente fessière…
Je sens ma jupe tomber sur mes ballerines, et mon amant me soulève un peu. Croyant que ce n'était que laisser passer la jupe, je plie un genou qu'il retient par l'arrière en m'élevant, écartant du coup mes jambes… Il prend ma deuxième en main et je suis totalement écartée, alors que je sens son phallus s'éloigner de mon nombril sans atteindre mon sexe… ou plutôt sans que mon sexe ne soit assez élevé pour l'accueillir.
Alors que je tente de m'élever en m'accrochant son cou, ce sont ses mains qui me remettent à la bonne hauteur avant de me laisser redescendre sur ce sexe épais qui en me pénétrant finit de m'écarter. La pénétration est un peu douloureuse, mais je sens assez vite ses testicules sur mes lèvres m'annonçant la taille courte de l'engin.
Après un court temps, notre baiser est interrompu, nous échangeons un sourire complice, et ses mains s'emparent de mes fesses et le majeur indiscret cherche directement mon anus…
-ohhh… baisez moi vite svp dis-je malgré moi, vite svp…
-j'hésite encore entre les deux tunnels, petite, que veux-tu ?
-comme ça, les deux, svp...
-arrête de dire vous, sinon c'est la fessée !
-vous feriez cela?
-bon, puisque tu veux… et j'entends la première claque sur une fesse, puis une suite d'autres.
Comme je sursautais à chaque coup, et que son doigt entrait de plus en plus en moi, un premier orgasme m'envahit et je l'exprime par un long chééééériiiiiiiiiiiiii. Mais la fessée ne finit que quand il jouit aussi. Notre étreinte, devenue un doux câlin, se prolongea le temps que dura l'érection de mon amant. Il s'assoit sur l'inique fauteuil des lieux et je me retrouve les jambes écartées sur les siennes, pubis voisins, son doigt toujours dans mon cul et un sein dans une main qui le comprime.
-t'es un bon coup, petite…
-déjà?
-oui, je sais déjà que tu baises bien, que tu aimes la bite, que tu vas bien me sucer, et que je vais t'enculer comme il te plait, avant 17 heures.
-tu n'oublies rien, chéri?
-oui, un pubis épilé mérite bien un cunni, et c'est tout de suite… et par terre…
Obéissante, je me couche sur le tapis qu'il m'indique en écartant bien les jambes. Il se place sur mon côté, embrasse mon ventre, fait tourner sa langue dans mon nombril qu'il aspire un peu et s'avance vers mon pubis qu'il mordille un peu. Sa queue se retrouvant au dessus de mon visage, je la prends en bouche sans attendre…
Il continue de mordiller mon pubis, puis mes grandes lèvres, et quand il atteint mon clitoris l'aspire un moment, me faisant vibrer… je deviens plus active à la recherche de sa jouissance alors que j'avais commencé à lui offrir la mienne par deux reprises.
En même temps que son jus envahit ma bouche, son doigt investit encore mon anus, cette fois-ci plus ouvert. Il se relève un peu pour me regarder en souriant:
-c'est bien petite, j'adore voir mon sperme déborder une bouche, aujourd'hui, c'est une belle petite bouche…
-ton sperme me plait, chéri
-alors, tu vas en avoir plein le cul, mets-toi à quatre pattes, et que ça saute…
-tu m'as déjà plus que sautée, mais j'en veux encore, chéri… quand j'ai le cul offert il me demande de le regarder m'enculer, je lui demande de pimenter en caressant mes seins…
Au début de la pénétration, je sens une petite douleur sans le montrer, et comme il fait tout de mes seins, la douleur passe vite. Mais en éjaculant, il envoie deux jets dans mes entrailles et un troisième sur mon dos.
- oh, excuse moi, je n'ai pas pu tout envoyer dans tes entrailles, chérie…
- pas grave chéri, tu étais à l'étroit !
Nous échangeons un clin d'œil, il me relève et dans un baiser fougueux me serre en étalant son sperme sur mes fesses, et mon dos.
Après une douche rapide, il tient à m'embrasser une dernière fois avant de partir, je me rhabille, lui offre un dernier baiser en précisant que si je me maquille, ce sera fini.
Il m'offre un parfum et me dit :
-le jour où tu sentiras ça à 11h30, on passera un après-midi sympa…
Et nous nous sommes séparés rapidement pour ne pas laisser les enfants attendre...
En prenant ma voiture, je me suis rendue compte qu'il ne m'avait pas dit son prénom... le salaud... je ne lui ai pas dit le mien... il va m'appeler salope, en tout cas...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
mon premier homme me disait: si tu joues la dure, je risque de te laisser gagner, et nous perdrons notre soirée... et j'ai appris à être facile
A femme facile, baise facile et jouissance.....facile