Titre de l'histoire érotique : privilege de sportif
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : privilege de sportif
A dix sept ans et demi je suis le benjamin et devenu la mascotte de l’équipe de rugby
locale, cet après midi j’ai marqué trois essais, un mètre quatre vingt de muscles,
digne de paraitre dans le calendrier des pros mais je n’ai pas dix huit ans ! Après le
match nous nous retrouvons dans les vestiaires, pas de tabous entre nous, presque tous
a poil une vapeur émane encore de nos corps en sueurs, je suis surnommé ‘ Pinocchio ‘
a cause de mes dix sept centimètres de verge au repos … Maxime, tu a le nez qui’
s’allonge facilement ! voilà le genre de réflexions sympas que je reçois de mes
camarades !
Comme a l’habitude quelques privilégiés sont admis, hommes et femmes, parfois ça ‘
dérape ‘ si une ou deux femmes pleines de fantasmes sont disposées à nous faire don de
leur corps a la troisième mi-temps
Ce soir il y a un homme d’environ trente quarante ans qui ne me quitte pas des yeux,
un homme quasi impotent, il souffle comme un bœuf il me détaille des pieds a la tête
ça me gêne, jusqu’au moment ou il m’aborde
- Maxime tous mes compliments pour ce match, accepteriez vous de boire un verre
avec moi ? j’aimerais vous parler
- … Oui pourquoi pas ……
Peu après je suis assis en face de lui
- C’est difficile a croire mais il y a quelques années j’étais comme vous
rugbyman avec un bel avenir et puis j’ai eu des soucis de santé et voilà le résultat
mais ce n’est pas de moi que je veux vous parler, c’est de ma femme …. Vous avez le
pouvoir de sauver mon couple... attendez …
Il sort de sa poche un mini album photos
- Voilà à quoi je ressemblais
- Effectivement vous étiez bel homme c’est vraiment dommage, mais quel rapport ?
- Voici Élodie, ma femme, elle à vingt huit ans moi trente deux je me prénomme
Didier
Il me montre le portrait d’une créature de rêve, rousse aux longs cheveux, yeux verts,
bouche pulpeuse, une peau de pêche
- Vraiment très jolie …..
- Elle vous plait ?
- Il faudrait être idiot pour dire le contraire !
- Je vous en montre plus …
Alanguie sur une serviette de plage, les seins nus et quels seins ! Deux poires qui ne
s’affaissent pas même allongée, Un genou replié, a son entre cuisses un mini triangle
de fin tissu bien renflé a l’endroit de la vulve
- Je garantis que les seins sont cent pour cent naturels ! Maxime, il ne tient
qu’a vous de devenir son amant, cependant a une condition : ça ce passera a la
maison, autant de fois qu’elle désirera vous rencontrer en ma présence, sinon aucuns
interdits en ce qui concerne vos désirs et les siens …..
- Je ne sais quoi répondre !...... c’est tentant mais pourquoi moi ?
- Pour finir de vous décider la voici nue …
Houaaaa !un corps sublime, dans une pose autant érotique qu’obscène la femme expose
ses atours, un ventre plat, des cuisses pleines, la chatte est entièrement rasée, deux
fines lèvres marquent le sexe, sur le haut une proéminence à l’ endroit du clitoris
laisse supposer qu’il est de belle taille
- je ne peux plus la contenter, mon sexe est devenu trop court par rapport aux
plis de mon ventre, je veux lui trouver un amant viril et discret, nous avons utilisés
tous les artifices inimaginables, il lui faut une queue, une vraie, elle vous a vu
évoluer sur le terrain, vous lui plaisez, votre différence d’âge n’est pas un problème
ni pour moi ni pour elle et pour vous ?
- C’est tellement inattendu …. Boff l’âge n’a pas d’importance, je veux bien
faire sa connaissance
- Alors demain soir dix huit heures a la maison voici mon adresse
Quand je sonne a la porte de cette maison cossue je n’en mène pas large, Didier
m’ouvre en robe de chambre, si je comprends ça va être pour ce soir …debout devant le
canapé Elodie est encore plus belle que sur les photos dans un déshabillé vaporeux
j’aperçois les sous- vêtements de dentelles blancs
- Maxime ? enchantée venez vous assoir
- Enchanté Élodie et si on se tutoyait ?
- Très bonne idée assied toi prés de ma femme je m’assois ici en face, je vous
sers un verre, pose tes mains sur elle n’ai pas peur
L’idée que son mari mâte nos faits et gestes me bloque, Élodie tourne son visage vers
moi je pose mes lèvres sur les siennes et une main sur ses seins durs comme du bois …
rien pas d’érection …je malaxe, pelote, toujours rien, ma main descend sur son ventre
consentante elle ouvre les cuisses, Élodie geint impatiente de se faire toucher la
chatte, ma paume lisse le mont de vénus, sa main cherche l’éventuelle bosse qui
devrait se former sur ma braguette, de savoir qu’ont nous observe me coupe tout pas
la peine d’insister ….
- Je suis désolé je n’y arriverais pas excusez moi
Élodie se lève et part vers la cuisine son mari est énervé
- Bon je me suis trompé sur votre compte, ce n’est pas grave nous en restons
là, bonsoir maxime … tu viens dire bonsoir a notre invité Élodie ?
Avec un étrange sourire sur les lèvres la femme me tend la main et dépose un baiser au
coin de mes lèvres …au creux de sa paume un papier plié qui m’est destiné, je le saisi
en douce et je pars …… Sitôt la pas de la porte franchis je déplie ce message : -
demain seize heures prés de la bijouterie du centre commercial -
A l’heure pile j’aperçois Élodie des lunettes de soleil sur le nez
- Suis-moi de loin jusqu'à ma voiture
Je laisse de la distance entre nous, la femme monte dans une luxueuse berline isolée
au fond du parking, elle m’attend sur la banquette arrière …les vitres sont teintées,
j’ai un choc quand je vois son corsage largement ouvert sur sa poitrine nue, ses
cuisses sont écartées, sa jupe est remontée jusqu'à sa fourche, le string est blanc,
il ne m’en faut pas davantage pour bander
- Caresse-moi ….. hooooo Ouiiiiiiiiiiiii, je sais pourquoi tu as eu un problème
hier, tu bande ?
- Je bande Élodie….
- sort ta queue
Elle se met a quatre pattes sur le siège et se penche vers moi, Je défais ma ceinture
a la hâte, baisse ma braguette et extrais difficilement mon membre raide de mon boxer
étroit
- Houa ! quel engin, je n’ai jamais vue que celle de mon mari, le pauvre elle a
été mangée par la graisse, passe ta main entre mes cuisses branle mon minou
Comme une affamée la femme gobe mon gland ses longs cheveux tombent sur son visage et
font écran, J’ai l’impression d’avoir mon nœud dans une essoreuse, mes doigts se sont
fait un passage dans le string, je fouille l’antre ruisselant, Élodie malaxe mes
bourses, pompe, aspire et branle tellement que je décharge en deux minutes pas une
goutte n’échappe a sa bouche vorace, elle se redresse triomphante en passant un doigt
sur ses lèvres pour essuyer le surplus avant de l’enfoncer dans la bouche avec une
moue perverse
- Bon début prometteur ! malheureusement je ne peux rester plus longtemps,
demain quatorze heures à l’hôtel là juste a coté ça te va ? j’ai réservée la chambre
trente huit, la porte sera ouverte tu entre je serais là
A quatorze heures je monte l’escalier extérieur qui mène a la chambre, le cœur
battant j’ouvre la porte, les rideaux sont tirés, une pénombre règne, la clim
ronronne, je l’aperçois nue au milieu du lit ses longs cheveux entoure son visage, un
avant bras masque sa poitrine une main en conque sur son entre jambes d’une façon
faussement pudique
- Déshabille toi maxime et vient me rejoindre
- Tu va te souvenir de moi ….
En deux secondes mes habits volent dans la pièce, le membre au garde à vous j’avance
vers ce corps offert, je m’allonge sur elle, ma queue frotte son bas ventre, nos
bouches s’unissent dans un baiser passionné
- J’ai tellement envie de baiser …retourne toi et mange moi je vais te sucer
La tête enfouie entre ses cuisses relevées ma langue sépare sa fente minuscule collée
par la mouille, sa trou est brulante, mes doigts explorent ce volcan en fusion, ma
queue est aspirée, mes bourses malaxées, un doigt fureteur s’enfonce dans mon anus, je
lui rends la caresse, sa corolle est souple, son bassin s’agite
- OUIIIIIIII j’aime continue …
Mes doigts fouillent son cul, elle devient folle quand je mordille son clito
décalotté, sa cyprine jaillis comme une source, j’ai trop envie de la bourrer, je me
relève, c’est a ce moment là que la porte de la salle de bain entrouverte il m’a
semble voir une ombre…un doute survient et si son mec était caché là ? Tant pis, trop
tard pour reculer j’ai envie de me faire cette femme, je vais même en rajouter pour le
plaisir de son voyeur de mari
- Je vais te baiser a quatre pattes salope, cambre les reins je ne veux voir que
ta moule, tu va la sentir passer ma bitte
- OUI ! OUIIIIIIII ramone mon vagin de salope
Dans la pièce à coté les soufflements redoublent de violence, je pointe mon gland sur
la fente entrebâillée par l’excitation, d’un coup de rein puissant j’investis la
chatte jusqu’aux couilles, Élodie pousse un cri d’animal qu’on égorge, mes cuisses
claquent sur son cul rebondit
- WOOOOUUUUUH ! AAAAAAAAAAAH ! je suis ouverte en deux, je te sens bien salaud,
tu m’ouvre la chatte, va-y lime moi la moule, comme ça oui encore ! encore ! fait moi
jouir, DIDIER ! je jouuuuuiiiiiiiiis !!!!
- Aaaaaaaaoooooooooh ! je me vide dans ton con salope !
oooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
L’homme entièrement nu approche du lit, Ainsi je ne me suis pas trompé le mari était
bien là planqué dans la salle de bain !
- Merci maxime tu l’as bien éclatée ! excuse nous de t’avoir piégé ! -chérie je
viens de décharger !
- Ça va Didier tu n’es pas jaloux ? je me suis trop laissée aller ….
- JALOUX, tu es folle ? si maxime est d’accord à l’ avenir il viendra te baisser
ici en ma présence ou non
- Je suis d’accord désormais cela m’est égal que vous soyez là je viens de
surmonter ma pudeur
Depuis tous les vendredi soir je monte sa femme qu’il soit là ou non………et quelquefois
a son insu je prends la petite porte interdite……..
locale, cet après midi j’ai marqué trois essais, un mètre quatre vingt de muscles,
digne de paraitre dans le calendrier des pros mais je n’ai pas dix huit ans ! Après le
match nous nous retrouvons dans les vestiaires, pas de tabous entre nous, presque tous
a poil une vapeur émane encore de nos corps en sueurs, je suis surnommé ‘ Pinocchio ‘
a cause de mes dix sept centimètres de verge au repos … Maxime, tu a le nez qui’
s’allonge facilement ! voilà le genre de réflexions sympas que je reçois de mes
camarades !
Comme a l’habitude quelques privilégiés sont admis, hommes et femmes, parfois ça ‘
dérape ‘ si une ou deux femmes pleines de fantasmes sont disposées à nous faire don de
leur corps a la troisième mi-temps
Ce soir il y a un homme d’environ trente quarante ans qui ne me quitte pas des yeux,
un homme quasi impotent, il souffle comme un bœuf il me détaille des pieds a la tête
ça me gêne, jusqu’au moment ou il m’aborde
- Maxime tous mes compliments pour ce match, accepteriez vous de boire un verre
avec moi ? j’aimerais vous parler
- … Oui pourquoi pas ……
Peu après je suis assis en face de lui
- C’est difficile a croire mais il y a quelques années j’étais comme vous
rugbyman avec un bel avenir et puis j’ai eu des soucis de santé et voilà le résultat
mais ce n’est pas de moi que je veux vous parler, c’est de ma femme …. Vous avez le
pouvoir de sauver mon couple... attendez …
Il sort de sa poche un mini album photos
- Voilà à quoi je ressemblais
- Effectivement vous étiez bel homme c’est vraiment dommage, mais quel rapport ?
- Voici Élodie, ma femme, elle à vingt huit ans moi trente deux je me prénomme
Didier
Il me montre le portrait d’une créature de rêve, rousse aux longs cheveux, yeux verts,
bouche pulpeuse, une peau de pêche
- Vraiment très jolie …..
- Elle vous plait ?
- Il faudrait être idiot pour dire le contraire !
- Je vous en montre plus …
Alanguie sur une serviette de plage, les seins nus et quels seins ! Deux poires qui ne
s’affaissent pas même allongée, Un genou replié, a son entre cuisses un mini triangle
de fin tissu bien renflé a l’endroit de la vulve
- Je garantis que les seins sont cent pour cent naturels ! Maxime, il ne tient
qu’a vous de devenir son amant, cependant a une condition : ça ce passera a la
maison, autant de fois qu’elle désirera vous rencontrer en ma présence, sinon aucuns
interdits en ce qui concerne vos désirs et les siens …..
- Je ne sais quoi répondre !...... c’est tentant mais pourquoi moi ?
- Pour finir de vous décider la voici nue …
Houaaaa !un corps sublime, dans une pose autant érotique qu’obscène la femme expose
ses atours, un ventre plat, des cuisses pleines, la chatte est entièrement rasée, deux
fines lèvres marquent le sexe, sur le haut une proéminence à l’ endroit du clitoris
laisse supposer qu’il est de belle taille
- je ne peux plus la contenter, mon sexe est devenu trop court par rapport aux
plis de mon ventre, je veux lui trouver un amant viril et discret, nous avons utilisés
tous les artifices inimaginables, il lui faut une queue, une vraie, elle vous a vu
évoluer sur le terrain, vous lui plaisez, votre différence d’âge n’est pas un problème
ni pour moi ni pour elle et pour vous ?
- C’est tellement inattendu …. Boff l’âge n’a pas d’importance, je veux bien
faire sa connaissance
- Alors demain soir dix huit heures a la maison voici mon adresse
Quand je sonne a la porte de cette maison cossue je n’en mène pas large, Didier
m’ouvre en robe de chambre, si je comprends ça va être pour ce soir …debout devant le
canapé Elodie est encore plus belle que sur les photos dans un déshabillé vaporeux
j’aperçois les sous- vêtements de dentelles blancs
- Maxime ? enchantée venez vous assoir
- Enchanté Élodie et si on se tutoyait ?
- Très bonne idée assied toi prés de ma femme je m’assois ici en face, je vous
sers un verre, pose tes mains sur elle n’ai pas peur
L’idée que son mari mâte nos faits et gestes me bloque, Élodie tourne son visage vers
moi je pose mes lèvres sur les siennes et une main sur ses seins durs comme du bois …
rien pas d’érection …je malaxe, pelote, toujours rien, ma main descend sur son ventre
consentante elle ouvre les cuisses, Élodie geint impatiente de se faire toucher la
chatte, ma paume lisse le mont de vénus, sa main cherche l’éventuelle bosse qui
devrait se former sur ma braguette, de savoir qu’ont nous observe me coupe tout pas
la peine d’insister ….
- Je suis désolé je n’y arriverais pas excusez moi
Élodie se lève et part vers la cuisine son mari est énervé
- Bon je me suis trompé sur votre compte, ce n’est pas grave nous en restons
là, bonsoir maxime … tu viens dire bonsoir a notre invité Élodie ?
Avec un étrange sourire sur les lèvres la femme me tend la main et dépose un baiser au
coin de mes lèvres …au creux de sa paume un papier plié qui m’est destiné, je le saisi
en douce et je pars …… Sitôt la pas de la porte franchis je déplie ce message : -
demain seize heures prés de la bijouterie du centre commercial -
A l’heure pile j’aperçois Élodie des lunettes de soleil sur le nez
- Suis-moi de loin jusqu'à ma voiture
Je laisse de la distance entre nous, la femme monte dans une luxueuse berline isolée
au fond du parking, elle m’attend sur la banquette arrière …les vitres sont teintées,
j’ai un choc quand je vois son corsage largement ouvert sur sa poitrine nue, ses
cuisses sont écartées, sa jupe est remontée jusqu'à sa fourche, le string est blanc,
il ne m’en faut pas davantage pour bander
- Caresse-moi ….. hooooo Ouiiiiiiiiiiiii, je sais pourquoi tu as eu un problème
hier, tu bande ?
- Je bande Élodie….
- sort ta queue
Elle se met a quatre pattes sur le siège et se penche vers moi, Je défais ma ceinture
a la hâte, baisse ma braguette et extrais difficilement mon membre raide de mon boxer
étroit
- Houa ! quel engin, je n’ai jamais vue que celle de mon mari, le pauvre elle a
été mangée par la graisse, passe ta main entre mes cuisses branle mon minou
Comme une affamée la femme gobe mon gland ses longs cheveux tombent sur son visage et
font écran, J’ai l’impression d’avoir mon nœud dans une essoreuse, mes doigts se sont
fait un passage dans le string, je fouille l’antre ruisselant, Élodie malaxe mes
bourses, pompe, aspire et branle tellement que je décharge en deux minutes pas une
goutte n’échappe a sa bouche vorace, elle se redresse triomphante en passant un doigt
sur ses lèvres pour essuyer le surplus avant de l’enfoncer dans la bouche avec une
moue perverse
- Bon début prometteur ! malheureusement je ne peux rester plus longtemps,
demain quatorze heures à l’hôtel là juste a coté ça te va ? j’ai réservée la chambre
trente huit, la porte sera ouverte tu entre je serais là
A quatorze heures je monte l’escalier extérieur qui mène a la chambre, le cœur
battant j’ouvre la porte, les rideaux sont tirés, une pénombre règne, la clim
ronronne, je l’aperçois nue au milieu du lit ses longs cheveux entoure son visage, un
avant bras masque sa poitrine une main en conque sur son entre jambes d’une façon
faussement pudique
- Déshabille toi maxime et vient me rejoindre
- Tu va te souvenir de moi ….
En deux secondes mes habits volent dans la pièce, le membre au garde à vous j’avance
vers ce corps offert, je m’allonge sur elle, ma queue frotte son bas ventre, nos
bouches s’unissent dans un baiser passionné
- J’ai tellement envie de baiser …retourne toi et mange moi je vais te sucer
La tête enfouie entre ses cuisses relevées ma langue sépare sa fente minuscule collée
par la mouille, sa trou est brulante, mes doigts explorent ce volcan en fusion, ma
queue est aspirée, mes bourses malaxées, un doigt fureteur s’enfonce dans mon anus, je
lui rends la caresse, sa corolle est souple, son bassin s’agite
- OUIIIIIIII j’aime continue …
Mes doigts fouillent son cul, elle devient folle quand je mordille son clito
décalotté, sa cyprine jaillis comme une source, j’ai trop envie de la bourrer, je me
relève, c’est a ce moment là que la porte de la salle de bain entrouverte il m’a
semble voir une ombre…un doute survient et si son mec était caché là ? Tant pis, trop
tard pour reculer j’ai envie de me faire cette femme, je vais même en rajouter pour le
plaisir de son voyeur de mari
- Je vais te baiser a quatre pattes salope, cambre les reins je ne veux voir que
ta moule, tu va la sentir passer ma bitte
- OUI ! OUIIIIIIII ramone mon vagin de salope
Dans la pièce à coté les soufflements redoublent de violence, je pointe mon gland sur
la fente entrebâillée par l’excitation, d’un coup de rein puissant j’investis la
chatte jusqu’aux couilles, Élodie pousse un cri d’animal qu’on égorge, mes cuisses
claquent sur son cul rebondit
- WOOOOUUUUUH ! AAAAAAAAAAAH ! je suis ouverte en deux, je te sens bien salaud,
tu m’ouvre la chatte, va-y lime moi la moule, comme ça oui encore ! encore ! fait moi
jouir, DIDIER ! je jouuuuuiiiiiiiiis !!!!
- Aaaaaaaaoooooooooh ! je me vide dans ton con salope !
oooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
L’homme entièrement nu approche du lit, Ainsi je ne me suis pas trompé le mari était
bien là planqué dans la salle de bain !
- Merci maxime tu l’as bien éclatée ! excuse nous de t’avoir piégé ! -chérie je
viens de décharger !
- Ça va Didier tu n’es pas jaloux ? je me suis trop laissée aller ….
- JALOUX, tu es folle ? si maxime est d’accord à l’ avenir il viendra te baisser
ici en ma présence ou non
- Je suis d’accord désormais cela m’est égal que vous soyez là je viens de
surmonter ma pudeur
Depuis tous les vendredi soir je monte sa femme qu’il soit là ou non………et quelquefois
a son insu je prends la petite porte interdite……..
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