Titre de l'histoire érotique : Quelle est la femme qui voudrait baiser avec moi?

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Quelle est la femme qui voudrait baiser avec moi? Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Quelle est la femme qui voudrait baiser avec moi?
Je suis d'un age certain, j'ai bien roulé ma bosse et je sais bien niquer. J'ai eu plusieurs aventures assez "hot" avec diverses femmes, des brunes, des blondes, des rousses, des qui ne savaient pas trop et d'autre qui en savait beaucoup. Ma préférence va vers celles qui ne savent pas trop: je peux leur apprendre à baiser comme j'aime, c'est à dire sans complexe ni pudeur.
Ainsi la dernière avec qui j'ai baisé était une jeune femme qui ne savait pas trop bien faire l'amour. Je l'ai initié à tout ce qu'elle ne connaissait pas ou craignait. Le première fois que nous avons baisé, elle ignorait faire une pipe: c'était dégoutant de mettre une bite dans la bouche. Je l'ai sucé, mais pour elle ce n'était plus dégoutant d'avoir ma bouche sur son con. Quand elle a jouit je lui ai fait remarquer que mon mandrin dans sa bouche revenait à ma bouche sur sa chatte. Avec un peu de répugnance, elle acceptait de mettre dans sa bouche ce qui lui ferait plaisir une fois dans le con. Je lui disait ce qu'il fallait faire pour me faire jouir. Elle m'obéissait et finalement m'a fait jouir rapidement. Je n'ai pas jouis dans sa bouche. Je débandais un peu et je lui demandais de se branler devant moi. Elle avait honte de se donner en spectacle pour faire une chose qu'elle pratiquait toujours seule. A force d'insister elle mettait sa main sur son con et elle ouvrait bien les cuisses: je pouvais enfin voir son bouton recevoir des caresses de ses mains. Elle astiquait son clitoris avec ardeur et finalement elle jouissait. Je lui faisait remarquer que rien que de la voir se faire jouir m'excitais fortement. A son tour elle me demandait de me masturber devant elle. Ce n'est pas difficile: je prenais ma bite en main et lui montrait comment je me masturbais. A son tour elle était très excitée et avant que je jouisse elle me demandait de la lui mettre dans le con.
Une telle demande ne se refuse pas. Elle était là, devant moi, les jambes ouvertes écartant avec les mains les lèvres pour facilité la pénétration, comme si c'était la première fois qu'elle baisait. Elle était trempée. Je rentrais ma pine sans forcer. Dès la pénétration elle commençait à pousser des "hans" comme si elle forçait: en réalité, elle se donnait entièrement au plaisir. J'allais très profond dans son sexe. Elle accompagnait mes mouvements jusqu'au moment où elle criait " je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis". Ce cri me faisait jouir et mon sperme abondant restait pourtant dans son vagin.
Il me fallait autre chose pour la dévergonder: la sodomie. Mais encore fallait-il la convaincre de prendre ma bite dans son cul. Je choisissais la solution la plus sensuelle à mon avis: j'allais lui mettre la langue sur le cul. Je la faisait se mettre sur le ventre. Avec une main que je passais sous elle je lui branlais le con. Et avec l'autre j'écartais ses fesses pour que ma langue arrive à son petit trou. J'allais doucement lui passer la langue sur le cul et quand elle serait à point je lui rentrerai cette langue. En effet je finissais par lui rentrer la moitié de ma langue dans le cul. Elle me demandait de ne pas arrêter
Je continuais un moment, mais mon mandrin avait des envies de cul. Je la laissais dans la position où elle était et je mettais ma bite à l'entrée de son anus. Je la pénétrais assez rudement pour qu'elle n'ai pas mal trop longtemps. Je faisais bien: elle hurlait quand je l'enculais mais passé la porte de son cul elle commençait à apprécier et m'en redemandait. Je la sentais jouir plusieurs fois et enfin je déchargeais mon foutre dans son cul. Il me restait encore à lui apprendre à baiser avec une autre femme et en groupe. Mais là, elle ne voulait absolument pas. Je n'insistais pas.
Cette aventure me rappelle celle d'une autre femme, mariée celle là qui pour passer le temps s'adonnait à la luxure. Son mari la baisait fort bien et il lui manquait juste un peu de piment pour ses relations intimes. Elle possédait un godemiché toujours rangé dans son sac et elle le sortait souvent quand elle en avait envie: elle rentrait dans un café, demandait un jus de fruit et ensuite allait dans les toilette pour se faire une branlette. Nous nous sommes rencontrés par hasard un jour justement où elle sortait des toilettes le visage encore illuminé de sa masturbation. Par défit je lui demandait si elle s'était bien faite jouir. Elle relevait le défit et me disait que quand elle se branlait, elle jouissait toujours. Je l'invitais chez moi pour faire l'amour. Elle acceptait aussitôt. je n'avais encore jamais draguer une femme aussi rapidement.
Une fois nue elle m'offrait son con pour que je la suce: c'était meilleur que de se masturber. Je la suçais donc plusieurs fois: j'arrêtais à chaque orgasme. elle se réservait le droit de me sucer le moment venu. Nous nous sommes couchés et les manoeuvres ont commencées. Elle voulais que je la baise comme elle voulait: sur le dos et moi sur elle. Je refusais. Je voulais baiser en étant assis: j'étais accroupi ma bite bien en l'air et elle devait venir d'elle même se mettre la bite au con. Excitée par ma proposition, elle accomplissait bien sa part de baise. Nous avons jouit pratiquement ensemble.
Elle restait collée à moi, dans la même position. Mais je débandais. C'est à ce moment qu'elle voulait me sucer. En effet elle avait une bouche et surtout une langue très agile pour me faire bander encore.
Dès qu'elle sentait ma bite au point elle se mettait en levrette en disant :encules moi. Aimant bien sodomiser les femmes je me mettais derrière elle. Elle se barbouillait le cul de cyprine et je posait ma pine sur son anus. Je rentrais lentement, trop lentement à son gré, d'un coup de rein, elle faisait pénétrer profond mon sexe. Elle jouissait plusieurs fois par son cul. J'éjaculais dans son petit trou. Nous finissions notre baise et nous ne savions même pas nos prénoms.

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