Titre de l'histoire érotique : Retour chez Maître Benjamin (Deuxième partie)
Récit érotique écrit par Quintessence2017 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Retour chez Maître Benjamin (Deuxième partie)
Lorsque je reprends mes esprits, il me faut quelques instants pour réaliser que je ne suis pas tranquillement chez moi. Le collier qui me serre toujours le cou me rappelle à ma condition de captif, et qui plus est de captif couvert de semence.
Benjamin est penché au dessus de moi, un sourire un brin sadique aux lèvres.
" - C'est bête, tu t'es endormi. Maintenant ton quartier libre est terminé, tu n'as même pas pu en profiter. Lève-toi vite et file prendre une douche."
Je me relève, encore à moitié assoupi, et prends machinalement la direction de la salle de bain. Mes membres sont engourdis et le gourdin de Léo m'a laissé un souvenir à la fois doux et amer.
" - Au fait. Tu prendras une douche froide, je ne veux pas gaspiller d'eau chaude pour toi. Léo a utilisé tout ce qu'il restait avant de partir."
Il aurait pu trouver un meilleur prétexte pour me faire prendre une douche froide. Ça m'étonnerait, au vu de son appartement et de son contenu, qu'il en soit à faire des économies de bouts de chandelles. Enfin bon, j'ai accepté de me soumettre à lui, plus ou moins en connaissance de cause, et je dois maintenant obéir.
Je rentre dans la cabine et, comme ordonné par Maître Benjamin, n'ouvre que le robinet d'eau froide. Au contact de ma peau, c'est comme si des milliers d'aiguilles s'étaient mises en tête de m'infliger une séance d'acupuncture façon Hellraiser.
Surprise, Benjamin a décidé de ne me laisser aucun répit : je vois qu'il est entré dans la salle de bain sur mes talons. Tranquillement assis sur un tabouret, il me regarde me débattre contre l'eau glacée.
" - Je te préviens, si je vois de la vapeur, je serai obligé de te punir."
Tu parles ! De la vapeur ! Avec cette eau glacée ça m'étonnerait. Mes tétons se contractent et pointent, ma peau se raffermit, j'ai la chair de poule.
J'attrape le savon et entreprend de laver les souillures qu'ils m'ont faites sur le corps. Machinalement, lorsque vient le moment de me laver les fesses, je m'enfonce un doigt à l'intérieur. La facilité avec laquelle ce dernier pénètre mon cul, bientôt suivi par un deuxième qui ne rencontre pas plus de difficulté, confirme mes souvenirs selon lesquels Léo m'a totalement dilaté le trou.
Vient le moment de me rincer, et ce n'est pas trop tôt car le froid commence à se faire difficilement supportable.
Je sors de la douche et Benjamin me jette une serviette sur les épaules.
" - Alors tu te sens mieux ?
- Oui, beaucoup mieux. Merci Maître."
Il sourit. Son sourire est bienfaisant, presque avenant. Je suis ébahi devant cette fausse gentillesse. Il arriverait presque à me faire croire qu'il m'a fait une faveur incroyable en m'autorisant à prendre une douche glacée. Et après tout, peut-être bien que c'est le cas.
" - Dis-moi tout. Quelles sont tes impressions sur tout à l'heure ? Tu as aimé Léo ?"
La simple évocation de Léo et de son énorme bite, allant et venant en moi, suffit à me faire rougir et baisser les yeux.
" - Oui, vraiment beaucoup. Je serai ravi de le servir à nouveau."
Benjamin rigole.
" - Tu as été formidable, vraiment je suis impressionné. Laisse-moi te dire que Léo t'a trouvé très bien aussi, et qu'il m'a dit qu'il serait ravi de venir profiter de toi à nouveau."
En faisant mine de me frotter la serviette sur les épaules pour me réchauffer, il me pousse vers les salon.
" - Bon, tu comprendras que je suis obligé de te remettre le plug anal. Il faut que tu restes bien ouvert, au cas où j'aurais une petite envie."
Je comprends le message, et me baisser pour lui tendre mon cul, dont l'orifice est bien vite comblé. Donc c'est reparti... Aucun répit à ce que je vois. Ou peut-être que je l'ai simplement déjà eu, mon répit, et que je ne suis qu'un ingrat.
" - C'est très bien. Bon je vais regarder un film, tu restes à mes pieds bien à disposition au cas où j'aurais besoin de quelque chose. Si tu es sage, tu auras le droit de me sucer."
Il s'installe dans le canapé, et moi à ses pieds.
À peine suis-je à quatre pattes, qu'il me fait signe de me relever.
" - J'ai soif, va me chercher une bière, mes clopes et un cendrier dans la cuisine."
Je me dirige vers la cuisine et trouve les cigarettes et le cendrier posés sur la table. Je pioche une bière dans le frigo et la ramène, m'attendant à être récompensé, ou tout du moins félicité.
Que nenni ! C'est une grande torgnole que je mange, suivi d'un ordre sec, concis.
" - Ce n'est pas la bonne bière. Montre-moi ton cul je vais te punir."
Eh bien... Soit. J'ai fauté, je mérite ma punition j'imagine. Je lui tends mon cul, et récolte une série de cinq fessées, que je compte au fur et à mesure à haute voix, ayant retenu la leçon lors de la première punition qu'il m'a infligée.
Je retourne donc à la cuisine et lui ramène une autre marque de bière. Lorsque je décapsule et lui remets la bière, je reste une demi seconde, tétanisé, attendant l'approbation pour me remettre à quatre pattes. C'est bon, j'ai choisi la bonne.
" - Tu vas me tenir le cendrier pendant que je fume."
Me voilà porte-cendrier maintenant... Je n'ai pas le choix, j'obéis.
Benjamin fume une cigarette, prenant bien son temps, me faisant de temps à autres signe de tenir le cendrier plus haut. Puis une autre. Il teste mes limites. Je ne flancherai pas.
Puis, enfin, après deux cigarettes qui auraient pu en être cinq tant il a pris son temps, Maître Benjamin me fait signe de me remettre à quatre pattes.
Il regarde son film, moi je ne vois pas la télé. Je ne vois que les pieds nus de Maître Benjamin, et le sol. Par contre il semblerait que lui, en plus de la télé, a une belle vue sur mon cul, car il le palpe assez souvent, profitant parfois de l'occasion pour me décocher une fessée gratuite.
Benjamin me sollicite à plusieurs reprises pour lui allumer des cigarettes, tenir son cendrier, aller lui chercher des bières, recevoir une punition car je n'ai pas deviné quelle bière il voulait... Lorsque finalement, une sonnerie retentit dans le placard.
Mon sang ne fait qu'un tour, je suis tétanisé. C'est mon téléphone. J'avais oublié de l'éteindre. Je suis bon pour une trempe monumentale. Peut-être même qu'il va me virer, qu'il ne m'autorisera plus à son esclave...
Benjamin se lève, et se dirige vers le placard.
" - Mais qu'est-ce que ça peut bien être."
Il sort mon téléphone et regarde l'écran.
" - Fanny. Qui c'est cette pute ?
- C'est... une amie. Je devais la voir aujourd'hui pour boire un verre."
Il s'approche de moi d'un pas décidé, le téléphone toujours à la main.
" - Je pensais que tu aurais annulé tes rendez-vous avant de venir.
- C'est que je ne pensais pas être retenu ici aussi longtemps."
Sans poser le téléphone, il m'attrape un téton et le tord brutalement. Je laisse échapper un petit gémissement.
" - C'est moi qui décide combien de temps tu seras retenu ici. Tout ce que tu as à savoir, c'est que tu pourras aller travailler Lundi. Maintenant décroche, tu vas lui dire que tu ne peux pas car tu as un imprévu. Et surtout tu ne bouges pas, tu gardes la tête bien au sol, et le cul bien levé."
Sur ces mots, il me tend le téléphone et se met juste derrière moi, accroupi sur mon cul.
" - Allo Fanny ?
- Allo ! Comment ça va ?"
Je m'apprête à répondre, lorsque Benjamin commence à jouer avec le plug qui est dans mon cul. Il le sort, le rentre, le sort...
Je ravale péniblement ma salive, et bégaye :
" - Ça... ça va... et toi ?
- Tu es sûr que ça va ? Tu n'as pas l'air bien.
- Oui... oui... désolé, ne t'inquiètes pas t... tout va b... bien.
- Bon. Tu te rappelles qu'on se voit cet après-midi, pas vrai ?
- Justement... je voulais t'appeler je... je peux p... je peux pas cet après-midi, j'ai un empêchement de dernière ah... de dernière minute.
- Oh non ! T'abuses !
- Je suis vraiment dé... désolé Fanny. Je me rattraperai, c'est p... promis.
- Bon... Ok. Je te laisse alors. Bises !
- Bises... Fanny."
Benjamin me remet le plug en place, et m'arrache le téléphone des mains.
" - Si tu veux mon avis, elle t'a percé à jour. Elle a sûrement compris que t'avais préféré te faire péter le cul que d'aller boire un verre avec elle. Maintenant elle sait que t'es qu'une salope !"
Il essaye de me déstabiliser moralement... Et ça marche.
" - Bon, c'était très distrayant comme petit imprévu. Maintenant tu vas te lever, et te mettre à genoux exactement à cet endroit."
Il m'indique un endroit au centre de la pièce, pile en face de la porte d'entrée. Mais qu'est-ce qu'il a encore en tête.
Je m'agenouille comme ordonné, et lève la tête. Au dessus de moi, il y a un crochet au plafond. Ce qui peut vouloir dire deux choses... Soit il a un sac de frappe amovible, ce qui paraît peu probable vue sa carrure. Soit... Il a installé un crochet dans son salon dans le seul but de pouvoir y attacher les inconscients qui feraient la bêtise de se soumettre à sa volonté.
Il fouille dans le placard et dissipe très vite le doute en sortant sa "boite à domination" (souvenez-vous, je vous en parlais déjà dans mon premier récit chez lui.)
Il en tire la fameuse corde, et sourit lorsqu'il distingue sur mon visage que j'ai compris ce qu'il allait me faire.
Il me lie les poignets bien serré, puis tend une corde qu'il attache au crochet afin de me bloquer les mains en l'air. Cela lui prend un petit moment, puis il me contourne et s'accroupit devant moi, rapprochant son visage du mien, et me tenant le menton levé.
" - Maintenant tu es à ma merci."
Il m'embrasse longuement, ce que j'interprète comme le calme avant la tempête. Puis il se lève et fouille dans sa boite qui est posée derrière moi. Une vague gymnastique de cou me permet de voir ce qu'il en a sorti : un ruban noir. Pas besoin d'être medium pour deviner ce qu'il en fait. Il me bande les yeux, me laissant totalement vulnérable.
Je l'entends fouiller à nouveau dans sa boite, sans savoir ce qu'il en sort. Il s'approche, une douleur aigüe sur mon téton droit, plus le gauche ainsi qu'un léger cliquetis m'apprennent qu'il a tiré de sa boite magique des pinces à tétons reliées par une chaîne. Il marche autour de moi, et autre une douleur aiguë sur ma cuisse m'apprend qu'il a également tiré de sa boite une cravache, ou un objet qui y ressemble.
Il continue à tourner autour de moi, tantôt me fouettant le cul, tantôt les seins, tantôt la bite... Je l'entends marcher, mais impossible pour moi de savoir quand il va frapper.
Tout à coup, son téléphone sonne. Il soupire, puis décroche.
" - Oui ma chérie ! T'es sûre ? Bon, bon d'accord."
Incompréhension totale. Sa chérie ? Alors ça veut dire qu'il a une petite ami ? Je me sens trahi, il m'a manipulé sur toute la ligne, il m'a menti. Et en même temps, ce n'est qu'un plan cul... je n'ai pas mon mot à dire. Tout se bouscule dans ma tête.
J'ouvre la bouche pour parler, mais il me fait taire sur le champ.
" - Ne t'avise pas de poser la moindre question à propos de cette discussion."
Bruits de pas, puis silence.
" - Bon, j'ai faim. Je vais commander des sushis."
Se faire livrer des sushis... Il ne va tout de même pas oser faire livrer des sushis chez lui, alors que je suis dans cet état, à genoux, pile en face de la porte d'entrée, les mains attachées en l'air, les yeux bandés, des pinces sur les tétons et un plug planté dans le cul. Ou alors c'est précisément le but recherché... m'humilier encore plus. Le tout en dégustant un plateau de sushis... J'ai peur d'avoir compris.
Il passe donc sa commande, donne son adresse.
J'attends qu'il vienne me délivrer, qu'il m'ordonne de lui masser les pieds, ou de le sucer, ou peu importe... mais rien. Il va juste s'assoir devant la télé, tranquillement. Et moi, il me laisse là.
Le temps passe, et ce que je redoutais arriva. L'interphone sonne. Maître Benjamin se lève, décroche, indique l'étage puis ouvre le loquet de la porte.
Quelques secondes plus tard, on toque. Il ouvre la porte qui cogne contre le butoir l'empêchant de cogner dans le mur, ce qui signifie qu'il a bien fait exprès de l'ouvrir en grand, me dévoilant, moi, son esclave, au livreur inconnu, ou peut-être connu d'ailleurs, qui sait.
" - Bonjour, c'est le livreur pour les su..."
Il s'interrompt. Ça y est. Il m'a vu. J'ai si honte. Je suis si excité. Je choppe directement une gaule d'enfer, ce qui n'arrange probablement pas mon cas aux yeux de ce pauvre livreur. Et Benjamin en rajoute une couche :
" - Ça te plaît ? Tu veux mater un peu ? Tu peux même toucher si tu veux ! Tu n'as pas à t'inquiéter, il a les yeux bandés, il ne te voit pas."
Un silence extrêmement pesant s'installe, et dure quelques secondes, qui paraissent durer plusieurs minutes.
" - Je... j'ai beaucoup de travail Monsieur, désolé. Ça fera 32€50 s'il vous plaît.
- Bon, bon d'accord. Tu ne sais pas ce que tu rates. Tiens, voilà tes sous, tu peux garder la monnaie."
Benjamin claque la porte. Puis ses bruits de pas se rapprochent, et il me susurre à l'oreille :
" - Alors, ça te fait quel effet d'être exhibé à un parfait inconnu dans cette situation ? En plus tu n'as pas vu son visage... si ça se trouve il te connait."
Il marque une pause puis reprend.
" - Oh, on dirait que ça t'a effectivement bien excité, regardez-moi cette trique !"
Il joue un peu avec ma bite, puis me prend à la gorge.
" - Tu n'es pas là pour satisfaire ta bite, mais la mienne. J'espère que c'est bien compris."
Et à peine a t-il fini de parler, que j'entends le bruit de sa braguette, et qu'il force l'entrée de ma bouche avec son sexe.
Visiblement l'épisode du livreur n'a pas excité que moi, car il a, lui aussi, une érection du tonnerre.
Il me baise la bouche de plus en plus vite, et je tente tant bien que mal d'y apporter ma contribution. Je tente de lui lécher le gland quand il entre et ressort, j'essaye du mieux que je peux de bien serrer son vit dans mes lèvres, mais c'est lui qui mène la danse, je ne fais que subir, malgré tous mes efforts.
Ma salive dégouline un peu plus à chaque coup de bite, et fini par couler sur mon torse. Mais cela n'arrête pas Benjamin qui redouble de violence, et finit par me lâcher la sauce dans la gorge dans un puissant râle éjaculatoire.
" - Fais-moi voir ce que tu as dans la bouche."
J'ouvre la bouche pour lui montrer le sperme qu'il vient d'y déverser.
"- C'est bien. Je veux que tu avales tout jusqu'à la dernière goutte."
J'avale en faisant exprès de forcer le geste, pour qu'il voie bien ma pomme d'Adam suivre le mouvement habituel de déglutition.
" - Ouvre la bouche. Je veux m'assurer que tu as bien tout avalé."
Je rouvre la bouche, fier d'avoir été à la hauteur. Je m'attends à ce qu'il me détache, en récompense, mais les bruits de pas qui s'éloignent, puis de ses fesses se posant dans le canapé me font comprendre que non. Je l'entends manger tranquillement ses sushis, et le bruit de la télé devient bientôt ma seule perception sensorielle, en dehors des tortures que m'inflige Maître Benjamin.
Je reste là un long moment. Tellement long, que sans le plug dans mon cul et les pinces me torturant les tétons, je pense que j'aurais presque pu m'endormir.
Je suis d'ailleurs en train de m'assoupir, lorsque l'interphone sonne.
Encore une visite ? Et si c'était un imprévu ? Ses parents... un ami à lui qui n'a pas connaissance de ses pratiques... le relevé du compteur d'électricité... ?
Encore un moment de honte extrême ?
Benjamin décroche l'interphone, bruit de pression de bouton, puis il raccroche sans même avoir demandé qui est la personne à qui il vient d'ouvrir. Il ouvre le loquet et la porte dans la foulée.
Quelques secondes après, j'entends des bruits de talons.
" - Coucou mon amour ! "
Bruit de baiser. Voix féminine.
" - Tu m'as manqué mon chéri !"
On pose un sac par terre.
" - C'est pas grave, maintenant tu es revenue, c'est le principal."
Nouveau bruit de baiser. Silence. Bruit de talons qui s'approchent.
" - Alors c'est lui ton nouveau soumis ? Tu l'as trouvé où celui-ci ?
- Dans un bar, il m'a accosté et même pas une demi-heure après il me suppliait de devenir mon esclave."
Alors ça c'est la meilleure. Maintenant c'est moi qu'il l'ai accosté... Et qui l'ai supplié de devenir son esclave. Il retourne complètement la situation ! Il m'énerve ! J'essaye de me débattre mais mes liens réduisent mes efforts au néant.
" - Je comprends pas, qu'est-ce que tu leur fais à tous pour qu'ils se mettent dans ces états pour toi ?
- Je sais pas. Je dois avoir un certain charme j'imagine."
Quelle ordure ! Il ne doute de rien ! Enfin... il n'a pas tout à fait tort quant à son charme, il a clairement un don pour manipuler les gens, moi le premier. Je suis tombé dans le panneau comme un bleu.
Les bruits de talons s'approchent, me tournent autour. C'est elle qui fait le tour du propriétaire. Par besoin de voir pour savoir qu'elle est en train de me mater, de m'inspecter.
" - Pas mal." dit-elle.
Elle me palpe fermement le cul, je sursaute. Les bruits de talons recommencent à me tourner autour.
" - Joli cul. Bien ferme."
Elle me soupèse la bite, la branle un peu, puis tire sur la chaine qui relie les pinces qui me tiraillent les tétons. Je gémis.
" - Il couine toujours comme ça ?
- Un peu. Je pense qu'il est surtout très content de te voir."
Le ton de la discussion me laisse entendre qu'il est hors de question que j'ouvre la bouche pour dire le moindre mot. Ils parlent de moi comme si je ne pouvais comprendre ce qu'ils disent, ni m'exprimer dans un langage intelligible.
Elle me dépose un baiser sur les lèvres.
" - Bon, ôte-lui ce bandeau, je veux qu'il me voie."
On me retire le bandeau. D'abord la lumière m'éblouit, cela fait un moment que j'ai les yeux bandés, ils avaient eu le temps de s'habituer à l'obscurité.
Puis, peu à peu, je vois une silhouette qui se dessine. Puis un visage. Puis je vois tout.
Une jeune fille, à peine la vingtaine, comme Benjamin. Elle est blonde aux yeux bleus, son visage n'est pas particulièrement beau, mais il a énormément de charme, elle a l'air sacrément désagréable. Elle est habillée avec classe, on voit directement qu'elle est issue d'une bonne famille. Son décolleté laisse apparaître une petite chaîne en or reliée à un pendentif qui plonge allègrement entre deux jolis seins magnifiquement formés dont le droit arbore un petit grain de beauté. Je remarque immédiatement qu'elle ne porte pas de soutien-gorge car ses tétons pointes à travers son chemisier.
En réalité, c'est l'archétype de la petite peste bourgeoise à qui on n'a jamais rien refusé, et qui en est devenu incroyablement capricieuse.
" - Je te présente Angélique. C'est ma petite amie. Tu lui dois obéissance autant qu'à moi, du moins si tu veux que cela puisse durer entre toi et moi."
Benjamin est penché au dessus de moi, un sourire un brin sadique aux lèvres.
" - C'est bête, tu t'es endormi. Maintenant ton quartier libre est terminé, tu n'as même pas pu en profiter. Lève-toi vite et file prendre une douche."
Je me relève, encore à moitié assoupi, et prends machinalement la direction de la salle de bain. Mes membres sont engourdis et le gourdin de Léo m'a laissé un souvenir à la fois doux et amer.
" - Au fait. Tu prendras une douche froide, je ne veux pas gaspiller d'eau chaude pour toi. Léo a utilisé tout ce qu'il restait avant de partir."
Il aurait pu trouver un meilleur prétexte pour me faire prendre une douche froide. Ça m'étonnerait, au vu de son appartement et de son contenu, qu'il en soit à faire des économies de bouts de chandelles. Enfin bon, j'ai accepté de me soumettre à lui, plus ou moins en connaissance de cause, et je dois maintenant obéir.
Je rentre dans la cabine et, comme ordonné par Maître Benjamin, n'ouvre que le robinet d'eau froide. Au contact de ma peau, c'est comme si des milliers d'aiguilles s'étaient mises en tête de m'infliger une séance d'acupuncture façon Hellraiser.
Surprise, Benjamin a décidé de ne me laisser aucun répit : je vois qu'il est entré dans la salle de bain sur mes talons. Tranquillement assis sur un tabouret, il me regarde me débattre contre l'eau glacée.
" - Je te préviens, si je vois de la vapeur, je serai obligé de te punir."
Tu parles ! De la vapeur ! Avec cette eau glacée ça m'étonnerait. Mes tétons se contractent et pointent, ma peau se raffermit, j'ai la chair de poule.
J'attrape le savon et entreprend de laver les souillures qu'ils m'ont faites sur le corps. Machinalement, lorsque vient le moment de me laver les fesses, je m'enfonce un doigt à l'intérieur. La facilité avec laquelle ce dernier pénètre mon cul, bientôt suivi par un deuxième qui ne rencontre pas plus de difficulté, confirme mes souvenirs selon lesquels Léo m'a totalement dilaté le trou.
Vient le moment de me rincer, et ce n'est pas trop tôt car le froid commence à se faire difficilement supportable.
Je sors de la douche et Benjamin me jette une serviette sur les épaules.
" - Alors tu te sens mieux ?
- Oui, beaucoup mieux. Merci Maître."
Il sourit. Son sourire est bienfaisant, presque avenant. Je suis ébahi devant cette fausse gentillesse. Il arriverait presque à me faire croire qu'il m'a fait une faveur incroyable en m'autorisant à prendre une douche glacée. Et après tout, peut-être bien que c'est le cas.
" - Dis-moi tout. Quelles sont tes impressions sur tout à l'heure ? Tu as aimé Léo ?"
La simple évocation de Léo et de son énorme bite, allant et venant en moi, suffit à me faire rougir et baisser les yeux.
" - Oui, vraiment beaucoup. Je serai ravi de le servir à nouveau."
Benjamin rigole.
" - Tu as été formidable, vraiment je suis impressionné. Laisse-moi te dire que Léo t'a trouvé très bien aussi, et qu'il m'a dit qu'il serait ravi de venir profiter de toi à nouveau."
En faisant mine de me frotter la serviette sur les épaules pour me réchauffer, il me pousse vers les salon.
" - Bon, tu comprendras que je suis obligé de te remettre le plug anal. Il faut que tu restes bien ouvert, au cas où j'aurais une petite envie."
Je comprends le message, et me baisser pour lui tendre mon cul, dont l'orifice est bien vite comblé. Donc c'est reparti... Aucun répit à ce que je vois. Ou peut-être que je l'ai simplement déjà eu, mon répit, et que je ne suis qu'un ingrat.
" - C'est très bien. Bon je vais regarder un film, tu restes à mes pieds bien à disposition au cas où j'aurais besoin de quelque chose. Si tu es sage, tu auras le droit de me sucer."
Il s'installe dans le canapé, et moi à ses pieds.
À peine suis-je à quatre pattes, qu'il me fait signe de me relever.
" - J'ai soif, va me chercher une bière, mes clopes et un cendrier dans la cuisine."
Je me dirige vers la cuisine et trouve les cigarettes et le cendrier posés sur la table. Je pioche une bière dans le frigo et la ramène, m'attendant à être récompensé, ou tout du moins félicité.
Que nenni ! C'est une grande torgnole que je mange, suivi d'un ordre sec, concis.
" - Ce n'est pas la bonne bière. Montre-moi ton cul je vais te punir."
Eh bien... Soit. J'ai fauté, je mérite ma punition j'imagine. Je lui tends mon cul, et récolte une série de cinq fessées, que je compte au fur et à mesure à haute voix, ayant retenu la leçon lors de la première punition qu'il m'a infligée.
Je retourne donc à la cuisine et lui ramène une autre marque de bière. Lorsque je décapsule et lui remets la bière, je reste une demi seconde, tétanisé, attendant l'approbation pour me remettre à quatre pattes. C'est bon, j'ai choisi la bonne.
" - Tu vas me tenir le cendrier pendant que je fume."
Me voilà porte-cendrier maintenant... Je n'ai pas le choix, j'obéis.
Benjamin fume une cigarette, prenant bien son temps, me faisant de temps à autres signe de tenir le cendrier plus haut. Puis une autre. Il teste mes limites. Je ne flancherai pas.
Puis, enfin, après deux cigarettes qui auraient pu en être cinq tant il a pris son temps, Maître Benjamin me fait signe de me remettre à quatre pattes.
Il regarde son film, moi je ne vois pas la télé. Je ne vois que les pieds nus de Maître Benjamin, et le sol. Par contre il semblerait que lui, en plus de la télé, a une belle vue sur mon cul, car il le palpe assez souvent, profitant parfois de l'occasion pour me décocher une fessée gratuite.
Benjamin me sollicite à plusieurs reprises pour lui allumer des cigarettes, tenir son cendrier, aller lui chercher des bières, recevoir une punition car je n'ai pas deviné quelle bière il voulait... Lorsque finalement, une sonnerie retentit dans le placard.
Mon sang ne fait qu'un tour, je suis tétanisé. C'est mon téléphone. J'avais oublié de l'éteindre. Je suis bon pour une trempe monumentale. Peut-être même qu'il va me virer, qu'il ne m'autorisera plus à son esclave...
Benjamin se lève, et se dirige vers le placard.
" - Mais qu'est-ce que ça peut bien être."
Il sort mon téléphone et regarde l'écran.
" - Fanny. Qui c'est cette pute ?
- C'est... une amie. Je devais la voir aujourd'hui pour boire un verre."
Il s'approche de moi d'un pas décidé, le téléphone toujours à la main.
" - Je pensais que tu aurais annulé tes rendez-vous avant de venir.
- C'est que je ne pensais pas être retenu ici aussi longtemps."
Sans poser le téléphone, il m'attrape un téton et le tord brutalement. Je laisse échapper un petit gémissement.
" - C'est moi qui décide combien de temps tu seras retenu ici. Tout ce que tu as à savoir, c'est que tu pourras aller travailler Lundi. Maintenant décroche, tu vas lui dire que tu ne peux pas car tu as un imprévu. Et surtout tu ne bouges pas, tu gardes la tête bien au sol, et le cul bien levé."
Sur ces mots, il me tend le téléphone et se met juste derrière moi, accroupi sur mon cul.
" - Allo Fanny ?
- Allo ! Comment ça va ?"
Je m'apprête à répondre, lorsque Benjamin commence à jouer avec le plug qui est dans mon cul. Il le sort, le rentre, le sort...
Je ravale péniblement ma salive, et bégaye :
" - Ça... ça va... et toi ?
- Tu es sûr que ça va ? Tu n'as pas l'air bien.
- Oui... oui... désolé, ne t'inquiètes pas t... tout va b... bien.
- Bon. Tu te rappelles qu'on se voit cet après-midi, pas vrai ?
- Justement... je voulais t'appeler je... je peux p... je peux pas cet après-midi, j'ai un empêchement de dernière ah... de dernière minute.
- Oh non ! T'abuses !
- Je suis vraiment dé... désolé Fanny. Je me rattraperai, c'est p... promis.
- Bon... Ok. Je te laisse alors. Bises !
- Bises... Fanny."
Benjamin me remet le plug en place, et m'arrache le téléphone des mains.
" - Si tu veux mon avis, elle t'a percé à jour. Elle a sûrement compris que t'avais préféré te faire péter le cul que d'aller boire un verre avec elle. Maintenant elle sait que t'es qu'une salope !"
Il essaye de me déstabiliser moralement... Et ça marche.
" - Bon, c'était très distrayant comme petit imprévu. Maintenant tu vas te lever, et te mettre à genoux exactement à cet endroit."
Il m'indique un endroit au centre de la pièce, pile en face de la porte d'entrée. Mais qu'est-ce qu'il a encore en tête.
Je m'agenouille comme ordonné, et lève la tête. Au dessus de moi, il y a un crochet au plafond. Ce qui peut vouloir dire deux choses... Soit il a un sac de frappe amovible, ce qui paraît peu probable vue sa carrure. Soit... Il a installé un crochet dans son salon dans le seul but de pouvoir y attacher les inconscients qui feraient la bêtise de se soumettre à sa volonté.
Il fouille dans le placard et dissipe très vite le doute en sortant sa "boite à domination" (souvenez-vous, je vous en parlais déjà dans mon premier récit chez lui.)
Il en tire la fameuse corde, et sourit lorsqu'il distingue sur mon visage que j'ai compris ce qu'il allait me faire.
Il me lie les poignets bien serré, puis tend une corde qu'il attache au crochet afin de me bloquer les mains en l'air. Cela lui prend un petit moment, puis il me contourne et s'accroupit devant moi, rapprochant son visage du mien, et me tenant le menton levé.
" - Maintenant tu es à ma merci."
Il m'embrasse longuement, ce que j'interprète comme le calme avant la tempête. Puis il se lève et fouille dans sa boite qui est posée derrière moi. Une vague gymnastique de cou me permet de voir ce qu'il en a sorti : un ruban noir. Pas besoin d'être medium pour deviner ce qu'il en fait. Il me bande les yeux, me laissant totalement vulnérable.
Je l'entends fouiller à nouveau dans sa boite, sans savoir ce qu'il en sort. Il s'approche, une douleur aigüe sur mon téton droit, plus le gauche ainsi qu'un léger cliquetis m'apprennent qu'il a tiré de sa boite magique des pinces à tétons reliées par une chaîne. Il marche autour de moi, et autre une douleur aiguë sur ma cuisse m'apprend qu'il a également tiré de sa boite une cravache, ou un objet qui y ressemble.
Il continue à tourner autour de moi, tantôt me fouettant le cul, tantôt les seins, tantôt la bite... Je l'entends marcher, mais impossible pour moi de savoir quand il va frapper.
Tout à coup, son téléphone sonne. Il soupire, puis décroche.
" - Oui ma chérie ! T'es sûre ? Bon, bon d'accord."
Incompréhension totale. Sa chérie ? Alors ça veut dire qu'il a une petite ami ? Je me sens trahi, il m'a manipulé sur toute la ligne, il m'a menti. Et en même temps, ce n'est qu'un plan cul... je n'ai pas mon mot à dire. Tout se bouscule dans ma tête.
J'ouvre la bouche pour parler, mais il me fait taire sur le champ.
" - Ne t'avise pas de poser la moindre question à propos de cette discussion."
Bruits de pas, puis silence.
" - Bon, j'ai faim. Je vais commander des sushis."
Se faire livrer des sushis... Il ne va tout de même pas oser faire livrer des sushis chez lui, alors que je suis dans cet état, à genoux, pile en face de la porte d'entrée, les mains attachées en l'air, les yeux bandés, des pinces sur les tétons et un plug planté dans le cul. Ou alors c'est précisément le but recherché... m'humilier encore plus. Le tout en dégustant un plateau de sushis... J'ai peur d'avoir compris.
Il passe donc sa commande, donne son adresse.
J'attends qu'il vienne me délivrer, qu'il m'ordonne de lui masser les pieds, ou de le sucer, ou peu importe... mais rien. Il va juste s'assoir devant la télé, tranquillement. Et moi, il me laisse là.
Le temps passe, et ce que je redoutais arriva. L'interphone sonne. Maître Benjamin se lève, décroche, indique l'étage puis ouvre le loquet de la porte.
Quelques secondes plus tard, on toque. Il ouvre la porte qui cogne contre le butoir l'empêchant de cogner dans le mur, ce qui signifie qu'il a bien fait exprès de l'ouvrir en grand, me dévoilant, moi, son esclave, au livreur inconnu, ou peut-être connu d'ailleurs, qui sait.
" - Bonjour, c'est le livreur pour les su..."
Il s'interrompt. Ça y est. Il m'a vu. J'ai si honte. Je suis si excité. Je choppe directement une gaule d'enfer, ce qui n'arrange probablement pas mon cas aux yeux de ce pauvre livreur. Et Benjamin en rajoute une couche :
" - Ça te plaît ? Tu veux mater un peu ? Tu peux même toucher si tu veux ! Tu n'as pas à t'inquiéter, il a les yeux bandés, il ne te voit pas."
Un silence extrêmement pesant s'installe, et dure quelques secondes, qui paraissent durer plusieurs minutes.
" - Je... j'ai beaucoup de travail Monsieur, désolé. Ça fera 32€50 s'il vous plaît.
- Bon, bon d'accord. Tu ne sais pas ce que tu rates. Tiens, voilà tes sous, tu peux garder la monnaie."
Benjamin claque la porte. Puis ses bruits de pas se rapprochent, et il me susurre à l'oreille :
" - Alors, ça te fait quel effet d'être exhibé à un parfait inconnu dans cette situation ? En plus tu n'as pas vu son visage... si ça se trouve il te connait."
Il marque une pause puis reprend.
" - Oh, on dirait que ça t'a effectivement bien excité, regardez-moi cette trique !"
Il joue un peu avec ma bite, puis me prend à la gorge.
" - Tu n'es pas là pour satisfaire ta bite, mais la mienne. J'espère que c'est bien compris."
Et à peine a t-il fini de parler, que j'entends le bruit de sa braguette, et qu'il force l'entrée de ma bouche avec son sexe.
Visiblement l'épisode du livreur n'a pas excité que moi, car il a, lui aussi, une érection du tonnerre.
Il me baise la bouche de plus en plus vite, et je tente tant bien que mal d'y apporter ma contribution. Je tente de lui lécher le gland quand il entre et ressort, j'essaye du mieux que je peux de bien serrer son vit dans mes lèvres, mais c'est lui qui mène la danse, je ne fais que subir, malgré tous mes efforts.
Ma salive dégouline un peu plus à chaque coup de bite, et fini par couler sur mon torse. Mais cela n'arrête pas Benjamin qui redouble de violence, et finit par me lâcher la sauce dans la gorge dans un puissant râle éjaculatoire.
" - Fais-moi voir ce que tu as dans la bouche."
J'ouvre la bouche pour lui montrer le sperme qu'il vient d'y déverser.
"- C'est bien. Je veux que tu avales tout jusqu'à la dernière goutte."
J'avale en faisant exprès de forcer le geste, pour qu'il voie bien ma pomme d'Adam suivre le mouvement habituel de déglutition.
" - Ouvre la bouche. Je veux m'assurer que tu as bien tout avalé."
Je rouvre la bouche, fier d'avoir été à la hauteur. Je m'attends à ce qu'il me détache, en récompense, mais les bruits de pas qui s'éloignent, puis de ses fesses se posant dans le canapé me font comprendre que non. Je l'entends manger tranquillement ses sushis, et le bruit de la télé devient bientôt ma seule perception sensorielle, en dehors des tortures que m'inflige Maître Benjamin.
Je reste là un long moment. Tellement long, que sans le plug dans mon cul et les pinces me torturant les tétons, je pense que j'aurais presque pu m'endormir.
Je suis d'ailleurs en train de m'assoupir, lorsque l'interphone sonne.
Encore une visite ? Et si c'était un imprévu ? Ses parents... un ami à lui qui n'a pas connaissance de ses pratiques... le relevé du compteur d'électricité... ?
Encore un moment de honte extrême ?
Benjamin décroche l'interphone, bruit de pression de bouton, puis il raccroche sans même avoir demandé qui est la personne à qui il vient d'ouvrir. Il ouvre le loquet et la porte dans la foulée.
Quelques secondes après, j'entends des bruits de talons.
" - Coucou mon amour ! "
Bruit de baiser. Voix féminine.
" - Tu m'as manqué mon chéri !"
On pose un sac par terre.
" - C'est pas grave, maintenant tu es revenue, c'est le principal."
Nouveau bruit de baiser. Silence. Bruit de talons qui s'approchent.
" - Alors c'est lui ton nouveau soumis ? Tu l'as trouvé où celui-ci ?
- Dans un bar, il m'a accosté et même pas une demi-heure après il me suppliait de devenir mon esclave."
Alors ça c'est la meilleure. Maintenant c'est moi qu'il l'ai accosté... Et qui l'ai supplié de devenir son esclave. Il retourne complètement la situation ! Il m'énerve ! J'essaye de me débattre mais mes liens réduisent mes efforts au néant.
" - Je comprends pas, qu'est-ce que tu leur fais à tous pour qu'ils se mettent dans ces états pour toi ?
- Je sais pas. Je dois avoir un certain charme j'imagine."
Quelle ordure ! Il ne doute de rien ! Enfin... il n'a pas tout à fait tort quant à son charme, il a clairement un don pour manipuler les gens, moi le premier. Je suis tombé dans le panneau comme un bleu.
Les bruits de talons s'approchent, me tournent autour. C'est elle qui fait le tour du propriétaire. Par besoin de voir pour savoir qu'elle est en train de me mater, de m'inspecter.
" - Pas mal." dit-elle.
Elle me palpe fermement le cul, je sursaute. Les bruits de talons recommencent à me tourner autour.
" - Joli cul. Bien ferme."
Elle me soupèse la bite, la branle un peu, puis tire sur la chaine qui relie les pinces qui me tiraillent les tétons. Je gémis.
" - Il couine toujours comme ça ?
- Un peu. Je pense qu'il est surtout très content de te voir."
Le ton de la discussion me laisse entendre qu'il est hors de question que j'ouvre la bouche pour dire le moindre mot. Ils parlent de moi comme si je ne pouvais comprendre ce qu'ils disent, ni m'exprimer dans un langage intelligible.
Elle me dépose un baiser sur les lèvres.
" - Bon, ôte-lui ce bandeau, je veux qu'il me voie."
On me retire le bandeau. D'abord la lumière m'éblouit, cela fait un moment que j'ai les yeux bandés, ils avaient eu le temps de s'habituer à l'obscurité.
Puis, peu à peu, je vois une silhouette qui se dessine. Puis un visage. Puis je vois tout.
Une jeune fille, à peine la vingtaine, comme Benjamin. Elle est blonde aux yeux bleus, son visage n'est pas particulièrement beau, mais il a énormément de charme, elle a l'air sacrément désagréable. Elle est habillée avec classe, on voit directement qu'elle est issue d'une bonne famille. Son décolleté laisse apparaître une petite chaîne en or reliée à un pendentif qui plonge allègrement entre deux jolis seins magnifiquement formés dont le droit arbore un petit grain de beauté. Je remarque immédiatement qu'elle ne porte pas de soutien-gorge car ses tétons pointes à travers son chemisier.
En réalité, c'est l'archétype de la petite peste bourgeoise à qui on n'a jamais rien refusé, et qui en est devenu incroyablement capricieuse.
" - Je te présente Angélique. C'est ma petite amie. Tu lui dois obéissance autant qu'à moi, du moins si tu veux que cela puisse durer entre toi et moi."
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
salut a toi ses avec beaucoup de plaisir que j ai lue la suite a bientôt pour la 3
J'ai bien apprécié cette suite de ta prise en main par ton Maître…mais tu as encore bien besoin de dressage pour devenir un bon esclave qui obéit sans se poser de questions. Donner satisfaction à Ton Maître doit être ta seule motivation.
Dommage que Ton Maître soit bi mais il faut de tout…
Dommage que Ton Maître soit bi mais il faut de tout…
Très bonne suite!
Merci de ce bon moment
Bernard
Merci de ce bon moment
Bernard